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PDL-145 T : 96% de taux d’exécution au Centre de Santé Bakwa Mulumba, l’un des ouvrages construits par Caritas dans le Territoire de Lupatapata

Un joli établissement des soins, dénommé Centre de Santé Bakwa Mulumba, est sorti des terres à 24 Kms de la ville de Mbujimayi. Il est situé à Bakwa Mulumba, un village du Territoire de Lupatapata, en Province du Kasaï Oriental. C’est l’une des illustrations du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), mis en place par le Gouvernement que dirige le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi.

Ce Centre de Santé est parmi les ouvrages que la Caritas Congo ASBL est en train de construire, sous la supervision du Bureau Central de Coordination (BCeCo) dans cette province. Les autres ouvrages sont l’Ecole Primaire Batumiki, l’EP Lupatapata et l’EP Lubundu.
Samedi 08 juin 2024, le Secrétaire Exécutif de la Caritas Congo ASBL, accompagné de deux de ses Collaborateurs, a visité ces chantiers pour se rendre personnellement compte de l’évolution des travaux, d’écouter les difficultés rencontrées et de booster le processus de finalisation optimale de ces ouvrages.

« A  ce niveau, nous avons un Centre de Santé Bakwa Mulumba et une Ecole Primaire (EP) Bakwa Iba distante de 400 mètres », a ajouté l’architecte.
A  la question de caritasdev.cd sur le taux d’exécution de cet ouvrage, l’Architecte Ben Kasongo Tshilolo, Délégué à Pied d’œuvre du BCeCo dans le Territoire de Lupatapata, a donné les précisions suivantes : « nous sommes à 96% pour le Centre de Santé Bakwa Mulumba ; à 94% pour EP Lupatapata ; à 88% pour EP Butumiki et à 75% pour l’Ecole Primaire Lubundu, qui est sur l’autre axe ».

Que faut-il encore pour que la population puisse bénéficier effectivement de ces ouvrages ? A cette question, le DPO du BCeCo a cité l’accélération des travaux : « Parce que les pourcentages du taux d’exécution déjà atteints prouvent qu’il y a une volonté. Il faut juste accélérer les travaux pour que les ouvrages soient réceptionnés ».

En effet, atteindre le Centre de Santé Bakwa Mulumba n’est pas une sinécure. L’état de route est très mauvaix, si bien que les 24 kms qui séparent Bakwa Mulumba de Mbujimayi ont été parcourus en deux heures, à bord d’un véhicule, pourtant 4x4. Engager un véhicule sur cette route, c’est le sacrifier et aller au-devant de beaucoup de pannes.

Du côté de la Caritas Congo ASBL, l’ingénieur Nicolas Katalayi a fait savoir les étapes déjà franchies : « Nous avons déjà procédé à la réception technique du Centre de Santé Bakwa Mulumba ; nous nous préparons à la réception provisoire, en travaillant sur les petites remarques nous formulées. C’est ainsi que nous avons déjà entreposé du matériel pour cela », a déclaré l’Ingénieur Nicolas Katalayi.
Parlant de l’EP Iba, l’Ir Nicolas Katalayi a confirmé que le taux d’exécution des travaux est à 75% : " Il reste la pose de la menuiserie métallique, le béton de sous-pavement, l’électivité et la plomberie et la fosse septique. »

L’EP Iba, tout comme les autres écoles primaires en construction compte six salles de classe, un bâtiment administratif, bureau du Directeur et, une salle polyvalente, et les installations hygiéniques (avec 4 box pour filles et 4 autres pour les garçons).

GMK/Caritasdev.cd

 

PDL-145 T : 96% de taux d’exécution au Centre de Santé Bakwa Mulumba, l’un des ouvrages construits par Caritas dans le Territoire de Lupatapata
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Développement Rural : Muhindo Nzangi communique sa politique au Gouverneur Mike Mokeni

 Le Ministre d'Etat, Ministre du Développement Rural, a reçu, ce mercredi 26 juin 2024, dans son cabinet de travail à Kinshasa, le nouveau gouverneur de la province du Bas-Uélé, Mike Mokeni. Au sortir de l’audience, le Chef de l'exécutif du Bas-Uélé, province issue du découpage de la Province Orientale, a indiqué « qu’il était question de présenter ses civilités au ministre d'Etat ayant le développement rural dans ses attributions, comprendre la vision du patron du développement rural afin de solutionner les problèmes vitaux qui préoccupent sa province dans le secteur du développement rural ».

C'est dans cette optique que Mike Mokeni a notamment parlé du problème de désenclavement du Bas-Uélé qui fournit l’essentielle des denrées alimentaires consommées par les provinces voisines et suggérer l'ouverture des routes de desserte agricole dont certaines ont été fermées depuis 30 à 40ans a en croire l'Autorité provinciale.

Au sujet des voies fluviales, l’hôte de marque du Ministre a déclaré qu'il est possible de rendre navigable l'affluent de la rivière Timbiri pour faciliter l'accès à Aketi et la localité portuaire de Bumba qui est proche du Bas-Uele dans la province voisine de Mongala. A ce sujet, Muhindo Nzangi s’est montré particulièrement attentif à cette préoccupation majeure pour l’intérêt des populations de ce coin du pays.

Il faut rappeler que le nouveau gouverneur du Bas-Uélé, est en séjour officiel à Kinshasa, capitale congolaise où il a participé avec ses collègues gouverneurs aux échanges sur la gestion des entités à l'occasion de leur notification par le Vice premier ministre, ministre de l'intérieur.

La Pros.

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Corruption et lenteur dans le traitement des dossiers judiciaires , RDC : Constant Mutamba sonne la fin de la recréation !

Déterminé à remettre sur les rails la politique judiciaire en RDC, Constant Mutamba continue sur sa lancée. Après plusieurs mesures prises et injonctions données dès son entrée aux affaires, le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde de Sceau durcit le ton, cette fois-ci, contre les juges et magistrats de la République. Lors de son passage à la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete, il a interpellé les diseurs des Lois sur le désordre et l’indiscipline qui règnent en maître au sein de la Justice congolaise. Constatant la lenteur dans le traitement des dossiers judicaires, il les a exhortés à veiller sur le délai de prononcé de jugement pour ne pas ralentir le système et a, par ricochet, invité les membres du corps judiciaire à dénoncer tous les cas de corruption à travers un numéro du ministère de tutelle. 

Faisant le diagnostic de la maladie qui ronge le système judiciaire en RDC, Constant Mutamba évoque le désordre et l’indiscipline comme les causes majeures qui empêchent le pays de décoller. Selon lui, le redressement de la justice va arriver dans un laps de temps, seulement si les mesures nécessaires sont prises pour y remédier.

‘’Le jour où nous allons remettre de l’ordre et la discipline dans la justice, l’Etat va se relever en un jour. Ça ne prendra pas trois mois, vous verrez que les choses vont changer. Le Chef de l’Etat nous a fait confiance. Il nous a nommé pour une mission claire, c’est le redressement de l’appareil judiciaire, c’est la redéfinition de la politique judiciaire du gouvernement, pour qu’enfin, qu’il n’y ait plus des justiciables qui se plaignent de la distribution de notre justice’’, a déclaré le Ministre en charge de la Justice à haute et intelligible voix.  

Conscient de la lourde tâche lui attribuée par le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi en le nommant ministre, le leader de la Dynamique  progressiste (Dypro) invite les responsables des Cours et Tribunaux à travailler en tout honnêteté, en dénonçant toute tentative de corruption de la part des magistrats, des avocats, voire des justiciables.

‘’Un magistrat qui voit un avocat ou un justiciable venir le corrompre, doit l’arrêter ! Avocats, justiciables, vous voyez un magistrat vous exiger de l’argent, dénoncez-le immédiatement, en saisissant soit le premier Président de la Cour de Cassation, soit le premier Président de la Cour d’appel, tout en réservant une copie à la cellule de lutte contre la corruption’’, a-t-il indiqué, tout en soulignant que celui qui sera attrapé la main dans le sac, sera puni sévèrement.

Par ailleurs, sur ordre du Président de la République, il a annoncé la mise en place incessamment d’un parquet financier, pour recenser des cas de détournements.

En outre, ce membre de l’exécutif central a insisté sur la ponctualité des magistrats en ce qui concerne la ténue des audiences. ‘’9 heures, c’est 9 heures’’, dit-il. Dans la foulée, il a invité les magistrats de ne pas prendre beaucoup de temps pour se prononcer sur une affaire, afin de ne pas céder à toute tentation de corruption. Quant aux avocats et justiciables, ils sont appelés à dénoncer en cas du dépassement du délai de prononcé. Avec toutes ces mesures, les congolais sont remplis d’espoir de voir une justice congolaise bien solide, et qui contribue à l’émergence du pays.

Nathan Mundele

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Médias : JED mobilise des journalistes pour la défense de la liberté de la presse en RDC

 L’heure est venue pour un nouvel exode. Ce jeudi 27 juin 2024, en effet, Journaliste en danger (JED) a formalisé une série de contrats de collaboration avec des journalistes pour renforcer son réseau d’alerte sur des cas d’atteintes à la liberté de la presse en RD. Congo. C’était au terme d’un séminaire de sensibilisation organisé, deux jours durant, à l’espace Cassiopée, dans la commune de la Gombe. Tchèque Bukasa, Patron du média en ligne Congo profond, Joël Cadet Ndanga ou encore Jino Rehema de Top Congo sont parmi les nouveaux correspondants qui, dans un élan de mobilisation, ont accepté de contribuer activement à la défense de la profession. Tshivis Tshivuadi, Secrétaire général de Journaliste en danger, a salué cet engagement et encouragé le réseau à travailler en toute sérénité.

Il a déploré, avec fermeté, ce qui parait, clairement, comme une sorte d’indifférence des dirigeants du pays par rapport à la situation du secteur des médias en RD. Congo. Il a appelé de ses vœux la mise en place des recommandations des états généraux organisés par le Ministre Patrick Muyaya Katembwe, il y a de cela deux ans, sous le haut patronage du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Le SG Tshivis Tshivuadi a évoqué, en passant, le Congrès de l’Union nationale de la Presse du Congo (UNPC), qui peine à être convoqué par manque des moyens financiers conséquents. Et, pourtant, le Président Félix Tshisekedi, lui-même, avait affirmé son engagement, au moment des travaux des états généraux, à mettre du paquet pour la tenue effective de ce rendez-vous aux enjeux multiples.

Alerte au Président Tshisekedi

Dans son rapport du mois de novembre 2023, rendu public en marge de la Journée mondiale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes, JED lance une alerte au Chef de l’Etat pour des mesures qui s’imposent.

« À l'occasion de la célébration, mardi 03 mai 2022, de la Journée mondiale de la liberté de la presse, Journaliste en Danger (JED) appelait une fois de plus, le gouvernement du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde à sortir de sa léthargie face à la détérioration croissante de la situation sécuritaire des journalistes et des médias et à accélérer la mise en œuvre des recommandations des états généraux de la communication et des médias, tenus du 25 au 28 janvier 2022. La tenue de ces assises, présidée par le Chef de l'État congolais, avait suscité l'espoir d'une nouvelle ère pour le journalisme en RDC. A savoir, renforcer la protection des journalistes et améliorer leur cadre de travail, tout en consolidant la professionnalisation et la viabilité du secteur de la presse au Congo. Le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s'étant engagé dans son discours de clôture de ces États généraux à « Accompagner la dépénalisation des délits de presse et à garantir l'indépendance des médias ». Trois mois après, aucune de ces 80 résolutions n'avait connu un début d'exécution, en dépit de la mise en place d'un Comité de suivi de ces états généraux présidé par le Ministre de la Communication. Les journalistes et les médias congolais restaient exposés aux diverses pressions et censures aux arrestations arbitraires et aux menaces directes et indirectes, particulièrement dans les provinces de l'Est du pays sous état de siège, à savoir le Nord-Kivu et l'lturi », peut-on lire, dans le rapport de Journaliste en danger.

G. Mfemfere

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Se joignant à Seth Kikuni et Claudel Lubaya , RDC : Alain Bolodjwa juge inopportune la nomination d’un Porte-parole de l’Opposition

 

En poursuite des consultations pour la mise en place d’un cadre de concertation des forces politiques et sociales lancées le 17 juin dernier, Seth Kikuni et Claudel Lubaya, des opposants farouches au régime actuel, ont reçu, hier mercredi 26 juin 2024, Alain Bolodjwa, président du parti politique Levons-nous et Bâtissons (LeBât). Les discussions entre ces trois personnalités ont tourné autour de la situation politique et sociale de la RDC, dont la controverse sur le choix du Porte-parole de l’Opposition.  Ces consultations ont pour principal objectif de favoriser un dialogue constructif et inclusif entre les différentes forces politiques afin de trouver des solutions durables aux problèmes qui affectent la nation.

Les participants, parmi lesquels figurent des personnalités éminentes telles qu’Alain Bolodjwa et Ados Ndombasi, ont apporté leurs expertises et leurs visions pour nourrir les débats et élaborer des propositions concrètes.

Au sortir de ces échanges, le leader de LeBât, a affirmé la disponibilité de sa famille politique à participer aux discussions entamées par Seth Kikuni et Claudel Lubaya, surtout, lorsqu’il s’agit de l’intérêt commun des congolais. 

‘’Nous voulons léguer une Nation forte aux générations futures, et naturellement en tant que politiques, nous sommes astreins à mettre en place des stratégies communes en vue de résoudre les problèmes de manière durable… Nous ne sommes pas en train de nous battre pour le leadership, mais pour les intérêts de la population’’, a déclaré Alain Bolodjwa.

Par ailleurs, en ce qui concerne le choix d’un porte-parole, il estime que l’opposition n’a pas besoin d’un représentant pour faire entendre sa voix, mais plutôt, c’est le pouvoir qui cherche à avoir un informateur au sein de l’opposition.

‘’Je souhaite que l’opposition soit plus divisée pour que nous ayons la solution aux problèmes. Parce que, M. Félix Tshisekedi n’a pas besoin d’un porte-parole de l’opposition, mais, il a plutôt besoin d’un porte-parole dans l’opposition, c’est-à-dire, il voudrait avoir un trait d’union entre lui et nous, dans l’intention de nous empêcher d’atteindre nos objectifs. La grande question est celle de savoir pourquoi Etienne Tshisekedi, de son vivant, n’a pas accepté d’être porte-parole de l’opposition, justement parce qu’il ne reconnaissait pas le pouvoir ’’, a-t-il enchaîné, et en soulignant que personne ne sera porte-parole de l’opposition.

En somme, les consultations des forces vives de l’opposition lancées par Seth Kikuni et Claudel Lubaya s’inscrivent dans une démarche de dialogue et de collaboration essentielle pour l’avenir du pays. Ces échanges témoignent de la volonté des acteurs politiques de transcender leurs différences et de travailler ensemble pour construire un avenir meilleur pour tous les citoyens.

Nathan Mundele

Se joignant à Seth Kikuni et Claudel Lubaya , RDC : Alain Bolodjwa juge inopportune la nomination d’un Porte-parole de l’Opposition
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Polémique autour de la composition de la délégation de Kamerhe, Assemblée Nationale : Jean-Claude Isaac Tshilumbayi appelle à l’apaisement !

Le Professeur Jean-Claude Isaac Tshilumbayi, le Premier Vice-Président de l’Assemblée nationale, a fait une mise au point sur la mission que va conduire le Président de l'Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe, à Montréal au Canada, pour participer à la 49ème  session plénière de l'Assemblée Parlementaire Francophone.

Point n'est besoin de continuer à alimenter des polémiques autour de la composition de la Délégation congolaise à cette session. 

Il s'agit de la fusion de 4 différents ordres de mission avec des Personnes différentes pour des Forums différents qui se tiendront en marge de cette session qui s'étalera sur 12 jours. Contrairement aux chiffres avancés dans les réseaux sociaux, il n'y a pas eu abus des finances publics ni exagération car, les chiffres avancés sur les réseaux sociaux sont faux. Une mention a été faite aussi sur les mesures prises pour mettre fin à la publication des documents officiels sur les réseaux sociaux.

La Pros.

 

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Face aux élus de la Tshopo, SNEL S.A : le DG Lusinde présente le plan de stabilisation de l’électricité à Kisangani

*Le Directeur Général de la Société nationale d’électricité (SNEL SA), Fabrice Lusinde, a rencontré une délégation d’élus de la province de Tshopo pour discuter des défis persistants de la desserte électrique à Kisangani. Lors de cette réunion cruciale, M. Justin Bendesana, élu de Bafwasende et Président du caucus des députés locaux, a exprimé sa satisfaction quant aux éclaircissements apportés par la SNEL.

M. Fabrice Lusinde, Directeur général de la SNEL, a détaillé le plan ambitieux visant à stabiliser et à améliorer la fourniture d’électricité à Kisangani, notamment grâce aux financements disponibles tels que le Fonds spécial de réparation et d’indemnisation des victimes des activités armées de l’Ouganda en RDC (Frivao) et l’Agence française de développement (AFD).

« Nous avons eu des explications claires sur l’utilisation des fonds disponibles depuis l’année dernière », a souligné M. Bendesana, mettant en avant l’engagement à améliorer les infrastructures électriques vieillissantes de la région.

Les priorités ont été établies pour assainir le réseau électrique, installer des compteurs prépayés, moderniser l’éclairage public et optimiser les investissements pour garantir des recettes durables.

Les élus se sont engagés à soutenir activement la Snel dans cette entreprise cruciale pour la région, avec l’objectif commun de fournir une alimentation électrique stable et fiable à Kisangani et ses environs.

Cette réunion marque une étape importante dans les efforts continus pour répondre aux besoins énergétiques croissants de la Tshopo, renforçant ainsi l’optimisme quant à l’avenir de l’électricité dans la ville de Kisangani.

La Pros.

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Favorable aux états généraux de la justice : Me Okonda  Etakana soutient les initiatives prises par le Ministre Constant Mutamba

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Dans le souci de redorer le blason de la justice congolaise et de propulser notre justice à l’échelle internationale, Okonda Etakana, avocat au barreau de Kinshasa Matete, coordonnateur d’une structure  de défense  des droits humains appelée ‘’ Groupe d’Action pour la Souveraineté » apporte son soutien à Constant Mutamba en vue d’atteindre ses objectifs.

Pour se conformer à la vision du Chef de l’Etat, il entend relever le défi de la justice en permettant à la justice congolaise de se ressaisir et d’agir conformément à la loi malgré certaines pesanteurs. En tant qu’acteur de cette justice, Me Okonda veut un Etat où la justice est pour  tous. Il appelle à pratiquer, en tant qu’avocat, le patriotisme et non chercher à répondre aux appétits gloutons pour les propres personnels.

 D’où la nécessité de dire droit en toute indépendance malgré les conditions difficiles que traversent les juges en ce qui concerne notamment les écarts des salaires entre un juge du tribunal de Grande Instance et celui de la Cassation. Et d’indiquer, parfois, il arrive que l’on soit frustré en tant qu’avocat de carrière.

Au ministre de la Justice Constant Mutamba, il lui demande de restructurer l’appareil judiciaire en RDC et d’entrevoir la tenue des états généraux de la justice en vue de diagnostiquer les maux qui rongent ce secteur.

Par ailleurs, M. Jean-Charles Okonda a fait savoir qu’ au niveau international l’Etat congolais peut engager un parquet pour traquer tous les prédateurs qui détournent les deniers publics et des fonds alloués à la construction des routes afin que cet argent rentre au pays. « Souvent, a-t-il poursuivi, nous constatons dans notre pays quand quelqu’un qui détourne l’argent de l’Etat, il va vite à l’étranger ». C’est pourquoi, il est nécessaire de restructurer l’appareil judiciaire congolais tant sur le plan international qu’interne.

Par ailleurs,  M Okonda demande au ministre de la Justice de créer le parquet financier permettant de travailler en collaboration  avec l’Inspection Générale des Finances. Cette jointure aidera à traquer les différents réseaux mafieux qui ont élu domicile au sein de notre société congolaise, de traquer aussi  les voleurs.

Cette manière de faire permettra à l’Etat congolais de canaliser les différentes recettes et de lutter contre  le coulage des recettes. Beaucoup d’argent échappent à l’Etat à cause des détournements de deniers publics, de l’égoïsme, de gain illicite, et parfois provoquent de la crise morale et mentale des dirigeants et de la population, a-t-il-conclu.

Michel Okaso 

Favorable aux états généraux de la justice : Me Okonda  Etakana soutient les initiatives prises par le Ministre Constant Mutamba
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