Le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, a participé, le mercredi 4 octobre 2023, à Kolwezi, à la cérémonie de la clôture de la 7e édition d’expo-béton. Celle-ci était placée sous le thème ‘’le développement des villes’’.
Plusieurs autres personnalités ont pris part à cette cérémonie notamment, la distingué Première dame de la République, Denise Nyakeru, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, le Vice-Premier ministre, ministre de l’économie, Vital Kamerhe, les honorables députés nationaux et provinciaux, sénateurs, Mme le gouverneur de la province du Lualaba, le Président de l’Asbl Expo-béton, les représentants des entreprises publiques et privées, les représentants des organismes et institutions internationaux, etc.
Pour Mme Antoinette Kipulu Kabenga, la ministre de la formation professionnelle et métiers, la formation professionnelle et métiers est une haute exigence pour travailler dans le but de former toute la population désœuvrée et d’en faire la classe moyenne dont la RD-Congo a besoin pour son développement intégral.
Elle a également précisé que le développement des villes, en tant que thématique principale de ces assises, a permis de dégager un consensus sur les priorités de la communauté en termes des bâtiments et travaux publics, afin de promouvoir la création des connaissances, aptitudes et compétences pour améliorer l’employabilité, l’adaptabilité, la transition verte et écologique de toute construction.
Elle a en outre expliqué que ce forum constitue un plaidoyer de la nation entière pour accorder à l’apprentissage des métiers et formation professionnelle, une place prépondérante et une attention sans cesse soutenue au niveau national et international.
«Permettez-moi de rappeler un témoignage de cette attention, Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, en date du 11 février 2022, lors de la 40ème réunion du Conseil de ministres, sous votre haute impulsion, le gouvernement avait adopté le programme d’urgence intégré de développement communautaire « PUIDC », pour lequel la valorisation des métiers prévoit leur insertion au sein du répertoire opérationnel des métiers (ROM), ainsi que la création des centres de développement des métiers, CDM.
Cependant, à la suite de cette adoption, des Recommandations ont été encore formulées au cours d’une réunion tenue le 26 mai 2022 par la cellule d’appui au programme d’urgence intégré de développement communautaire de la Présidence de la République, axée sur le chômage et le sous-emploi, comme facteurs principaux de la vulnérabilité et de l’extrême pauvreté de la population en âge actif dont les jeunes et les femmes», a-t-elle rappelé.
Et de poursuivre : «Cette réunion sera suivie par un Atelier organisé par le ministère de la formation professionnelle et métiers, qui avaient réuni du 24 au 28 août 2022, près de 50 experts délégués par 25 ministères organisant la formation professionnelle, ainsi que d’autres institutions publiques et privées.
En ressortira d’autres recommandations sur l’application de l’Ordonnance n°022/003 du 07 Janvier 2022 fixant les attributions des ministères, plus précisément dans le cadre des missions dévolues au ministère de la formation professionnelle et métiers, pour continuer le processus d’élaboration du répertoire opérationnel des métiers (ROM), débouchant sur le répertoire des métiers innovants (RMI) et la création des chambres des métiers, en adéquation avec les axes 51 et 52 du programme d’actions du gouvernement 2021-2023 ».
La ministre de la formation professionnelle et métiers a rappelé que la continuité de cette mise en œuvre et de l’exercice des missions spécifiques attribuées par cette Ordonnance, le ministère a obtenu le soutien et l’appui du Gouvernement de la République, afin d’ériger un cadre légal de création et de fonctionnement de la chambre nationale des arts et métiers , ainsi que de ses représentations provinciales, avec une vocation interministérielle et transversale, pour une activité principale, à savoir : le recensement et l’identification des métiers, en vue de les formaliser, de former les promoteurs des métiers et de Les orienter vers La création d’entreprises.
De plus, elle a fait savoir que grâce à la synergie de la cohésion gouvernementale, le projet de décret sur la création et le fonctionnement de la chambre nationale des arts et métiers qui a été adopté récemment à la commission socioculturelle permanente du gouvernement, est présentement dans le circuit administratif au niveau de la commission loi du gouvernement.
Enfin, Antoinette Kipulu a donné l’importance de la promulgation de ce projet de décret qui sera de renforcer le rôle de la formation professionnelle et des métiers dans les efforts de développement socioéconomique du Congo.
«Grâce à la création de la chambre nationale des arts et métiers par décret, le ministère de la formation professionnelle et métiers c’est assigner plusieurs objectifs dont celui de promouvoir ‘’l’esprit entrepreneurial’’, dans le but de chasser la pauvreté et le Chômage, avec le concours de la cité de métiers dont vous êtes, Monsieur le Président de La République, le porteur politique », a-t-elle fait savoir.
Hénoc Akano
Après sa brillante participation sans succès en 2018
Présidentielle 2023 : Marie-José Ifoku revient à la charge !
Après sa brillante participation sans succès à la présidentielle de 2018, Marie-José Ifoku a déposé son dossier de candidature à la présidentielle, le jeudi 5 octobre, à la Commission Electorale Nationale Indépendante.
Forte de sa première expérience intervenue, il y a de cela 5 ans, comme ci-haut indiqué, cette élue à la tête de l’Alliance des Elites pour un Nouveau Congo, AENC, a cette fois-ci accepté d’aller à cette tant attendue bataille électorale avec une énergie renouvelée et moulue dans sa ferme volonté de se voir au sommet de la magistrature suprême congolaise afin, pour elle, de faire partir la République Démocratique du Congo sur de nouvelles bases.
Marie-José Ifoku a donc fait le choix de revenir à la charge en vue de ne pas prétendre avoir échoué pour avoir tout simplement abandonné son combat. C’est avec un nouvel insigne du pouvoir, changement de paradigme exige, que M-J Ifoku compte s’installer au pouvoir. Il s’agit du balai, symbole de la propreté tant publique que privée et avec lequel elle se dit être venue nettoyer le pays de toutes les bavures qui le maintient jusqu’ici dans la saleté des mentalités à la base de toutes les dépravations qui ont élu domicile en République Démocratique du Congo.
Unique femme jusqu’ici parmi les prétendants au fauteuil présidentiel du Palais de la Nation, Marie-José Ifoku promet, une fois y assise, de faire de la République Démocratique du Congo un pays libéré du système des prédations socio-financières qui, à l’en croire, s’est aujourd’hui érigé en un mode de gestion au quotidien avec une participation passive de la majorité des citoyens congolais dans la complicité active de la classe dirigeante. La ‘’Mère de la Nation’’, faut-il ainsi la surnommer, est donc venue mettre fin à cette pratique qui n’a que trop duré.
Il faut donc souligner que la candidature de Marie-José Ifoko à la présidentielle congolaise vient susciter à la fois un vif intérêt et un indéniable espoir parmi ceux qui ont toujours rêvé voir un jour une femme à la tête du pays. C’est selon que, à les en croire : ‘’l’homme est un tout qui n’a jusqu’à présent rien fait et duquel il ne faut même pas attendre qu’il puisse encore faire ne fût-ce que quelque chose’’.
*Dans l'auditorium prestigieux du centre des conférences internationales d'Alger, Capitale de l’Algérie, Pius Muabilu, Ministre d'Etat congolais en charge de l'Urbanisme et Habitat, a participé activement au débat relatif à la transformation de Shelter-Afrique en une véritable banque panafricaine de développement urbain et du financement de l'immobilier sur le continent. En effet, il a formulé des observations claires, s'agissant de l'adoption du statut amendé de cette institution panafricaine qui devient officiellement une Banque de Développement Urbain, en tant que telle.
Le Warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala a notamment soutenu la thèse de l'élection et la révocation du Directeur général de Shelter-Afrique par les États-membres en lieu et place du Conseil d'administration. Le patron des villes de la RD Congo a exhorté les participants à cette Assemblée générale extraordinaire à ne pas s'éloigner de l'esprit des pères fondateurs de Shelter-Afrique quant à la solidarité entre pays membres actionnaires, selon que d'aucuns sont de la catégorie A, d'autres B et d'autres encore se trouvant dans la catégorie C en rapport avec le part social de chaque pays.
Le ministre d'Etat Pius Muabilu est donc d'avis que Shelter-Afrique qui devient dorénavant une banque panafricaine de développement urbain devant financer les projets d'habitat en Afrique est appelé à jouer aujourd'hui mieux que hier, un rôle de taille pour doter aux nombreux pays des logements abordables et adéquats.
Bien avant le débat général, il faut souligner le premier ministre Algérien Aïmene Benabderrahmane a pris parole devant l'auguste assemblée pour souhaiter aux uns et aux autres la bienvenue à Alger, mais aussi a-t-il, au nom de son Gouvernement loué l'expérience de son pays en matière d'autosuffisance dans le domaine de construction des logements sociaux.
Pour lui, l'expérience Algérienne doit inspirer plusieurs autres Etats membres préoccupés par l'impérieuse nécessité d'administrer une cure de jouvence à la crise du logement.
Il estime qu'il est important que Shelter Afrique ait un siège viable et permanent, condition sine qua non pour la stabilité de cette institution bancaire. «Sauf en cas de force majeure, les Etats membres peuvent délocaliser le siège de cette institution bancaire », a-t-il affirmé.
Les Députés Nationaux se sont retrouvés, cet après-midi du lundi 9 octobre 2023, au cours d’une plénière dirigée par le Professeur André Mbata Betukumesu Mangu, 1er vice-président de l'Assemblée Nationale. Elle était essentiellement consacrée au projet de loi relatif aux Bureaux d'information sur le crédit (BIC). Présenté par la Vice-ministre des Finances, O’Neige N'sele Mimpa, le projet vient ainsi parachever les réformes entamées dans le secteur des finances publiques.
« Nous savons que l'accès aux crédits est une composante essentielle du développement économique et de la création d'emplois, en raison de la corrélation qui existe entre le développement des systèmes financiers et la croissance économique, il est aussi important de souligner que l'octroi de crédit était basé essentiellement sur la connaissance que le prêteur a de l'emprunteur. Au premier niveau, cette connaissance couvre les exigences d'identification du demandeur du crédit. Cette identification est devenue une étape importante dans l'établissement de la relation tant dans l'intérêt du prêteur que dans l'intérêt du système bancaire dans son ensemble, au regard des normes en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Au deuxième niveau, la connaissance de l'emprunteur, de sa capacité à rembourser les crédits empruntés. La capacité de remboursement est fonction de plusieurs éléments dont l'historique d'anciens crédits, les crédits en force ou de l'existence de tout élément, actuel ou futur, susceptible d'influencer positivement ou négativement la capacité financière de l'emprunteur telle qu'une garantie. Il est question pour le prêteur de se prémunir contre le risque de défaut de remboursement et, en la liquidation des biens, contre le risque d'insolvabilité du débiteur. C'est dans ce cadre le ministère des Finances et la Banque Centrale du Congo ont travaillé sur le projet de loi relatif aux Bureaux d'information sur le crédit, qui participe à la réduction de l'asymétrie d'informations entre le prêteur et l'emprunteur en vue de pallier le rationnement de crédit , le long délai de traitement de demande de crédit, les intérêts exorbitants, le surendettement asphyxiant et le ratio de portefeuille à risque élevé », a déclaré la Vice-ministre des Finances.
Les Bureaux d'information sur le crédit (BIC) sont donc une société commerciale agréée par la Banque Centrale du Congo, laquelle effectue à titre professionnel habituel la collecte, la compilation, le stockage, le traitement des données et d'informations aussi des sources publiques et des fournisseurs, la diffusion des données et la mise à disposition à des utilisateurs des rapports de solvabilité ainsi que d'autres services à ajouter, conformément à un accord signé entre les parties.
« Ce projet de loi a pour objet de fixer les modalités de constitution, d'agrément, d'administration, d'exercice d'activités, de contrôle et de supervision des Bureaux d'information sur le crédit en République Démocratique du Congo, et ce conformément à l'article 202 point 36 (a) de la Constitution du 18 février 2006 telle modifiée à ce jour », a ajouté O’Neige N’Sele.
Dans le débat général sur ce projet de loi, les députés nationaux ont fait observer que cette matière relève de la réglementation. C'est pour ainsi dire que le gouvernement peut agir de manière réglementaire sur cette matière.
Au finish, la Vice-ministre des Finances a sollicité et obtenu 72 heures pour rencontrer les préoccupations de la représentation nationale.
(Avec la Cellule de communication de l’Assemblée Nationale)
Les professionnels des médias et activistes des droits Humains invités à soutenir les actions menées par le groupe de plaidoyer
*Le comité de Pilotage du groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène Mpaka, avait tenu le jeudi 6 octobre dernier à Kinshasa, la première réunion de prise de contact avec les leaders des associations professionnelles des médias.
Reconnaissance des journalistes assassinés : Les professionnels des médias et activistes des droits Humains invités à soutenir les actions menées par le groupe de plaidoyer.
Au cours de cette réunion, un appel a été lancé à l’endroit des professionnels des médias et des activistes des droits Humains afin de soutenir les actions menées par le groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène Mpaka. Le groupe de Plaidoyer « Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU » mène une campagne de sensibilisation à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la fin de l’impunité pour des crimes commis contre des journalistes.
Selon l’Editeur responsable du journal la Référence Plus, co-initiateur dudit projet, M. André Ipakala Abeiyi Mobiko, cette campagne vise à rappeler l’importance de la liberté de la presse et à obtenir la reconnaissance des journalistes assassinés en République Démocratique du Congo au rang des Martyrs de la liberté de la presse. « Nous invitons toute la corporation à nous rejoindre dans le plaidoyer pour la reconnaissance des journalistes assassinés en RDC au rang des martyrs de la liberté de la presse », a fait cet appel Grâce Israëlla KANGUNDU Ngyke, fille biologique du défunt Franck Ngyke Kangundu.
De son côté, le secrétaire général de l’UNPC a fait savoir qu’il était temps de rappeler le sacrifice de ceux qui ont donné leur vie pour la liberté d’expression et la démocratie.
« Nous plaidons auprès de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat et Magistrat suprême, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo d’élever au rang des Martyrs de la liberté de la presse tous ces journalistes assassinés en RDC », un appel lancé par les membres du comité de pilotage.
Ces derniers plaident à ce que les sacrifices des confrères assassinés ne soient pas classé dans les oubliettes de l’histoire de la République. Faisant à l’état de droit prôné par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le comité de pilotage du groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU crois que la liberté de la presse est essentielle pour une société démocratique. Ainsi, un appel a été lancé à tous les professionnels des médias et les activistes des droits de l’homme pour leurs voix continuent de résonner.
Au cours d’un briefing-presse tenu hier, lundi 9 octobre 2023, et diffusé en direct sur les antennes de la chaîne nationale, Patrick Muyaya et le Docteur Samuel Roger Kamba, respectivement Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement et Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, ont étalé la stratégie du Gouvernement de la République autour de la mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle, l’un des piliers au centre de l’action du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. D’une pierre deux coups, les deux membres du Gouvernement ont brossé les origines de création de cette mesure internationale et ses implications dans la pratique. Modérant cet échange avec la presse, le Porte-parole du Gouvernement a d’abord salué la vision qui place l'homme au centre de l'action à travers notamment, l’éducation et surtout la santé. «En résumant sa vision, le Président de la République a parlé de l’homme qui était au centre de son action. Et ceci veut dire principalement deux choses à savoir l’éducation et la santé. Pour ceux qui étaient avec nous au Haut-Katanga et au Lualaba, le Président de la République est revenu sur la notion de couverture de santé universelle. Ce soir, nous voulons faire un focus sur ce sujet que nous entendons de partout, mais peut-être pas comprises par plusieurs », a introduit Patrick Muyaya. Avant de rajouter : « Couverture Santé Universelle pour nous Gouvernement, c'est de permettre à chaque congolais d'avoir accès aux soins de santé de qualité et à bas prix». Implication du Chef de l’Etat Prenant la parole, le Docteur Samuel Roger Kamba a expliqué le choix de la Couverture Santé Universelle et son incidence sur le développement de la population. Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a fait savoir qu'à travers la Couverture Santé Universelle, les soins sont accessibles et de qualité et couvrent tout le monde. D'où, il ne faut pas en profiter pour se ruiner volontairement afin d'y accéder. «Je rappelle que le Président de la République l'a fait d'emblée dès qu'il a commencé son mandat. Je me rappelle dans son premier discours, il a parlé de la Couverture Maladie Universelle et la Couverture Santé Universelle. Le Président de la République n'est pas venu se rendre compte qu'il y a un problème, il a préparé dès le départ la réponse à cette question très importante de la santé. Deuxième chose, quand on dit comment ça va, on parle de la santé. Donc la santé doit être un droit pour tout le monde. Si un droit dépend des moyens financiers qu'on dispose, c'est devenu un privilège. Ce que le Chef de l'Etat veut, c'est que la santé ne soit plus un privilège, ça doit être un droit », a-t-il souligné. Le Docteur Samuel Roger Kamba a, dans la foulée, précisé que la Couverture Santé Universelle n'est pas un choix que le gouvernement a fait, mais plutôt une obligation. « On ne peut pas se développer sans la Couverture Santé Universelle », a-t-il souligné. Pourquoi commencer par la gratuité de la maternité ? Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a, en outre, révélé le choix de commencer avec la phase de la gratuité de la maternité. « La RDC a une espérance de vie inférieure à la moyenne des pays africains. Quand un congolais nait, on sait qu'il vivra moins longtemps que les autres africains. Ce sont les nouveau-nés qui meurent particulièrement tôt et les mamans qui accouchent. Sur 100.000 mamans qui accouchent, 480 décèdent en RDC. Et tous les 35 nouveau-nés qui arrivent, il y a un qui décède. C'est un gros problème de santé publique. Comme ça impacte l'espérance de vie, le Président de la République a décidé qu'on commence par-là et qui impacte notre développement, c'est la catégorie mère-enfant », a-t-il expliqué. Et à lui de renchérir : « Le Congo n’est pas différent d’autres pays. On se rend compte que dans les pays où on a rendu les services de soins de grande qualité à la mère et à l’enfant, ils ont également eu l’occasion de l’éduquer. Ainsi, la mère contrôle mieux sa maternité. C’est donc l’inverse qui se produit. Le nombre des naissances est mieux contrôlé grâce à cela. Les avoir sous la main est beaucoup mieux que de les laisser faire ». Que disait Félix Tshisekedi ? «Le développement, c’est aussi la santé. Là aussi, nous avons une politique de santé universelle qui consiste à ce que tous les Congolais, de quelques conditions sociales qu’ils soient, aient accès aux soins de santé et les meilleurs qu’ils puissent y avoir dans notre pays. Aujourd’hui, nous avons commencé avec la catégorie la plus vulnérable, à savoir la catégorie mère-enfant, en rendant les accouchements gratuits. Mais pas seulement les accouchements, mais y compris les consultations prénatales et postnatales. Au cours de ces consultations, nous faisons aussi du planning familial pour doser les naissances et accompagner les mères. C’est donc devenue une réalité qui va s’étendre sur d’autres secteurs de la médecine », déclarait Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, au sortir du siège de la Centrale électorale pour le dépôt de sa candidature à la présidentielle. La Pros.
Le 10 octobre 2023 marque le 78e anniversaire de la fondation du Parti du travail de Corée (PTC). Le 13 octobre 1945 au soir, les représentants de toutes les couches sociales de la ville de Pyongyang ont offert un banquet en l’honneur du grand Leader Kim Il Sung qui avait libéré le pays de la domination militaire du Japon et fondé le Parti. Arrivé dans la salle de banquet, Kim Il Sung a échangé des saluts avec les participants en serrant la main à chacun d’eux. La salle a débordé de la joie d’avoir accueilli le Soleil de la nation, le patriote sans égal. Le grand Leader a prononcé le discours : « Edifions dans l’union une Corée nouvelle et démocratique ». Dans le discours, il a déclaré que le peuple entier attaché au pays et à la nation doit s’engager, uni, dans l’édification d’une Corée nouvelle. Et de poursuivre : Chers auditeurs, Le 10 courant, nous, les communistes coréens, avons mis sur pied le Comité d’organisation central du Parti communiste de Corée du Nord et proclamé la création de ce parti devant le monde entier. Le Parti communiste est la troupe militante et l’avant-garde de la classe ouvrière, car il défend ses intérêts ainsi que ceux des autres masses laborieuses et lutte pour édifier un Etat démocratique indépendant. Nous, les communistes, n’avons d’autre but que de combattre pour les intérêts et le bonheur authentiques des masses laborieuses. Il ne peut pas en être autrement. Lors de son récent congrès constitutif, le Parti communiste s’est fixé comme ligne politique fondamentale pour le stade actuel de créer une république populaire démocratique et de transformer ainsi notre pays en Etat démocratique indépendant, riche et puissant, et a défini les tâches immédiates qui s’imposent. Il absorbera activement dans ses rangs les éléments d’avant-garde qui, parmi les ouvriers et les paysans, luttent avec abnégation pour édifier un Etat démocratique indépendant, et accroîtra constamment ses effectifs. Je vous prie de consacrer toutes vos forces et toute votre ardeur à lutter pour l’édification d’un Etat démocratique indépendant, riche et puissant. Toujours parmi le peuple Ces plus de dix dernières années, Kim Jong Un, Secrétaire général du PTC, est toujours allé vers les masses populaires pour accomplir des réalisations prodigieuses en s’appuyant sur leur force. Il prend l’amélioration des conditions de vie matérielle et cultuelle du peuple pour principe suprême des activités du Parti. Grâce à son abnégation, ont vu le jour, partout dans le pays, des cités magnifiques, usines, hôpitaux, centres de vie culturelle et récréative, etc. Le peuple coréen anticipe son avenir radieux, convaincu qu’il ne remportera que la victoire malgré de multiples difficultés, tant qu’il y a la direction du Parti. La Corée, pays charmant La RPD de Corée abrite nombre de sites pittoresques, y compris les monts Kumgang largement connus dans le monde. Son peuple est gentil et laborieux. Ainsi, ceux qui l’ont visitée la considèrent comme pays charmant. Et ce n’est pas tout. Dans la capitale Pyongyang se sont érigées des cités splendides et des constructions monumentales. Après leur visite en 2015, des architectes italiens et serbes ont fait paraître un livre dans lequel ils ont écrit : « Pyongyang, c’est la ville-modèle parfaite. La beauté propre aux bâtiments coréens est introuvable dans le monde. » Depuis, Pyongyang a changé beaucoup. Ont été construits la cité Mirae des scientifiques au bord du fleuve Taedong ayant une excellente valeur plastique et artistique, la cité Ryomyong avec l’immeuble de 70 étages et d’autres de nombreux étages, la cité de Songhwa, le quartier résidentiel en terrasses au bord de la rivière Pothong, 10 000 logements de la 1re étape du secteur de Hwasong, etc. Surtout, le Palais de la science et de la technique, le parc aquatique de Munsu et le parc de loisirs du Peuple de Rungna font l’admiration de tous. Il est de notoriété publique que le prix de logement au centre de la capitale est exorbitant dans d’autres pays du monde. Pourtant, en RPDC, l’Etat construit des logements à ses frais et les distribue aux ouvriers et employés à titre gratuit. 10 000 logements de la 2e étape du secteur de Hwasong, les immeubles d’habitation de la nouvelle cité dans le secteur de Sopho, de la ville minière du secteur de Komdok et des logements ruraux en construction seront distribués à titre gratuit aux travailleurs ordinaires. Les parcs aquatiques de Rungna et de Munsu, le club d’équitation de Mirim, la zone de villégiature des sources thermales de Yangdok, la station de ski de Masikryong et le Palais de la science et de la technique, bâtiment représentant la structure d’un atome, servent les gens ordinaires. En Corée, il y a nombre de centres d’éducation extrascolaire. Surtout, au Palais des enfants de Mangyongdae, plus de 5 000 élèves reçoivent chaque jour, sans payer un sou, des leçons concernant la science, l’art, le sport, etc. auprès des enseignants compétents et font pleinement preuve de leurs talents. Les monts Myohyang, Ryong-ak et d’autres monts célèbres, ainsi que des sites pittoresques, dont Songdowon, abritent des colonies de vacances. La Corée compte plus de 210 palais et maisons des enfants et colonies de vacances. Les parents ignorent les dépenses pour élever leurs enfants. D’ailleurs, l’Etat répond entièrement de la vie du peuple et a préparé le potentiel de défense nationale d’ordre mondial pour une sauvegarde sûre de la sécurité du pays et du peuple. Les ouvriers et paysans ordinaires élus députés des organes du pouvoir de tous les échelons participent à la politique nationale. Tout cela est dû à la direction du Parti du travail de Corée. Lors du VIIIe Congrès du Parti du travail de Corée et d’autres réunions du Parti importantes, le Secrétaire général Kim Jong Un a exposé un grandiose projet de transformation du pays en un paradis, dans un proche avenir, dit-on. Dans le cadre de la réalisation de son dessein, le peuple coréen accélère la construction de 50 000 logements dans la capitale et travaille à appliquer un nouveau programme de l’édification rurale. Le monde entier imagine un avenir radieux de la Corée.
Le mouvement des femmes ambitieuses en RDC, MFA en sigle, a célébré le vendredi 29 septembre 2023 sa sortie officielle au centre culturel boboto. Cette structure regroupant des femmes politiques venues de différents coins du pays, se veut un cadre qui contribue à la croissance et a l’amélioration de taux de participation des femmes à des instances de prise de décisions. Dans son intervention, madame la coordonnatrice de MFA, Antoinette Lokomba Mboyo, a souligné que le mouvement des femmes ambitieuses en RDC, vise l’accompagnement, l’encadrement et la coordination des efforts pour la promotion de droit de la femme, d’une part, et de lutter contre toutes violences faite à la femme, d’une part. «En effet, la rencontre de ce jour s’inscrit dans un processus visant à consolider les liens entre les femmes de toutes tendances politiques, en vue de relever le défi commun qui est celui de l’amélioration et de la participation des femmes dans les instances de prise de décision en RDC. D’aucuns ignorent que la RDC est un pays potentiellement riche. Il a besoin d’une gouvernance participative pour son prélèvement qui passe par l’apport de ses filles et fils que nous sommes. Ce le sens à donner à la présente initiative qui consiste à promouvoir le droit de la femme sans aucune discrimination», a déclaré Antoinette Lokomba. L’essence de MFA «Le projet de mettre en place une structure composée des femmes politiques est parti d’un constant et d’un souci. Le constat selon lequel la femme qui a représenté 52% de l’électorat lors des élections de 2018, demeure avec un taux aussi faible de 28%... A ce jour, la République démocratique du Congo, notre pays, vient de fêter sa 35ème année au sein de la convention pour l’élimination de toute le forme et spéculation à l’égard de la femme, sa 20ème année depuis qu’elle a adopté la résolution 13.25, sa 6ème année depuis l’adoption de la loi sur la parité entre homme et femme et enfin sa 7ème année depuis l’adoption de la constitution du 18 février 2006», a-t-elle ajouté. Eunice Maleka
*Les 25 et 26 septembre, les gouvernements des États-Unis et de la RDC, en partenariat avec le Centre pour la stratégie sur les minéraux critiques de SAFE, ont organisé un atelier à Kinshasa pour soutenir les efforts de la RDC visant à développer une chaîne de valeur dans le secteur des batteries pour véhicules électriques (VE) et connecter le Conseil des batteries de la RDC avec l’expertise des États-Unis et du secteur privé. L'atelier a promu l'objectif de garantir que les minéraux essentiels sont produits, traités et recyclés en RDC afin que le peuple congolais puisse réaliser le plein potentiel de développement économique de ses ressources minérales. L'événement a réuni des représentants du secteur privé, de la société civile et du monde universitaire, ainsi que des responsables des gouvernements américain et congolais, dont le ministre des Finances Nicholas Kazadi, qui a réfléchi aux opportunités offertes à la RDC de passer du statut de producteur de matières premières à celui de pays industriel. Les participants ont identifié les défis et les obstacles au développement du secteur des batteries pour véhicules électriques et ont partagé les meilleures pratiques pour établir des chaînes de valeur durables pour l'extraction, le raffinage, la fabrication et l'exportation des ressources naturelles. Une chaîne d’approvisionnement en batteries électriques en RDC et en Zambie créera des opportunités d’investissement ouvert et transparent et permettra de conserver une plus grande partie de la valeur ajoutée du secteur en Afrique. Dans ses remarques à la clôture de l'atelier, le chef de mission adjoint par intérim de l'ambassade américaine, Mich Coker, a souligné la nécessité d'une transition énergétique juste qui donne la priorité à l'engagement des communautés locales et à la garantie des normes environnementales les plus élevées et de la bonne gouvernance, et il a souligné l'engagement des États-Unis à travailler avec la RDC pour faire progresser ses objectifs de lutte contre la corruption. L'atelier, financé conjointement par le Conseil des batteries de la RDC et le Bureau des ressources énergétiques du Département d'État américain, fait suite au protocole d'accord (MOU) entre les États-Unis, la RDC et la Zambie annoncé lors du Sommet des dirigeants États-UnisAfrique en décembre 2022. Demande mondiale de cobalt devrait augmenter considérablement dans les décennies à venir pour répondre à la demande de batteries pour véhicules électriques. La RDC produit 70 % du cobalt mondial et est le premier producteur africain de cuivre, deux éléments cruciaux pour la transition énergétique propre afin de contribuer à réduire les émissions de carbone et de soutenir la réponse mondiale à la crise climatique.
*Après que la CENI aura publié la liste des candidats à l’élection présidentielle, la période de la campagne électorale va s’ouvrir. Ainsi, les candidats et leurs équipes seront appelés à se déployer sur l’ensemble d’un vaste pays comme la RDC qui, depuis 2018, compte 25 Provinces subdivisées en 145 territoires et 34 villes. La ville-province de Kinshasa n'est pas divisée en territoires mais en 24 communes urbaines. Le parcourir du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest n’est pas du tout chose aisée. Il faudra aux candidats de gros moyens matériels et financiers pour affronter les enjeux de la campagne électorale. Ils devront endurer de l’hostilité de la part des gens qui ne leur sont pas favorables, et pouvoir y faire face. Ils connaitront donc des hauts et des bas sur le plan émotionnel, chaque jour, durant la période fixée par la CENI.
Mais, étant donné l’étendue du pays, les candidats présidentiables pourront recourir à l’accompagnement des hommes politiques appartenant à des regroupements qui les soutiennent. Tel est le cas du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi dont la candidature à l’élection présidentielle de décembre 2023 est portée par les partis membres de l’Union sacrée de la nation, ainsi que d’autres regroupements politiques qui ont vu le jour dans notre pays. Car, battre la campagne, c’est comme marcher dans un labyrinthe. Si l’on prend un mauvais virage au début, tout ce qui suit sera également erroné. Face à cette évidence, l’institut de sondage Le peuple d’abord a déployé ses agents dans toutes les provinces pour tenter de connaître les personnalités politiques capables de mieux mener la campagne en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi en décembre prochain. Ci-dessous, nous publions les résultats pour les grands ensembles politico-administratifs de notre pays. ESPACE GRAND EQUATEUR 1. Michel Bongongo Ikoli Ndombo: 78% Cet homme politique a été sénateur représentant l’Équateur, membre du Mouvement de libération du Congo –MLC- et de l’Union des forces du changement-UFC. Il a exercé successivement les fonctions de vice-président de l’Assemblée régionale de 1985 à 1989 et son président de 1989 à 1990; ministre d’État en charge du Budget de 2014 à 2016, de la Fonction publique, et ministre intérimaire de la Défense nationale, Anciens combattants et Réinsertion. Il est actuellement président national du parti politique «Actions pour le bien-être des Communautés de la RDC» -ABC-RDC. Professeur ordinaire à la Faculté des sciences sociales, administratives et politiques de l’Université pédagogique nationale, il est détenteur d’un diplôme de docteur en philosophie à l’Université catholique de Louvain en Belgique, licencié en philosophie de l’Université Saint Joseph à Beyrouth au Liban. De 1986 à 1990, il a travaillé au Conseil national de sécurité-cabinet du Conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité, et de 1994 à 1997, il a été Chef de la Maison civile du chef de l’Etat. Michel Bongongo jouit d’une bonne audience dans le Grand Equateur grâce à son sens d’écoute, son abord facile, sa sagesse et son esprit de responsabilité. Il est donc en mesure de rallier de grandes foules à la candidature de Félix Tshisekedi dont il apprécie la vision qui place le peuple au centre de toute action. 2. Jean-Pierre Bemba Gombo: 73% Pour avoir lutté, les armes à la main, contre la volonté de Laurent-Désiré Kabila d’anéantir la province de l’Equateur dont est issu le président Mobutu, Jean-Pierre Bemba Gombo est incontestablement l’homme le plus populaire dans cet espace politico-administratif. Les populations l’adulent et sont prêtes à le suivre dans tous les ordres qu’il pourrait donner. Ainsi, déjà en 2022, Jean-Pierre Bemba avait entrepris une tournée dans le Grand Equateur afin de mobiliser pour la réélection du Chef de l’Etat à la présidentielle de 2023. Drainant de nombreuses foules à chacune de ses descentes, il avait facilement prêché à Gbadolite, Gemena, Lisala, Boende, Mbandaka, Mongala, etc. Bemba fut considéré comme le fils d’Etienne Tshisekedi, voilà pourquoi il lui avait rendu visite par deux fois à la CPI où il était incarcéré. L’on comprend dès lors qu’il se jette dans la bataille pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi dont le bilan du premier mandat, a-t-il déclaré haut et fort, est largement positif. Le président national du MLC a occupé les fonctions de vice-président de la République pendant le régime 1+4. 3. Mossaï Temongonde Sanguma: 60% Il est pasteur de la Communauté évangélique de l’Ubangi-Mongala, membre de l’Église du Christ au Congo, professeur d’université et homme politique. Le 15 mars 2019, il a été élu sénateur pour la province du Sud-Ubangi. Il est depuis le 2 mars 2021, le deuxième vice-président du bureau du Sénat. En 2003, il obtient un doctorat en philosophie des études interculturelles (Missiologie-School of World Mission). Depuis 2003, Mossaï Sanguma est professeur de Science de la Mission, Oecuménisme et Science des religions à l’Université protestante au Congo, et à la Faculté de théologie évangélique de Bangui –FATEB- en Centrafrique de 2004 à 2007. Ce pasteur ne passe jamais inaperçu auprès des populations grâce à ses multiples œuvres philanthropiques. Il contribue également à des travaux de réhabilitation et construction des routes dans son fief électoral, voire même dans la province de la Mongala. Compte tenu de son audience, il peut facilement mobiliser pour la réélection de Félix Tshisekedi auprès de ses ouailles et des membres d’autres communautés. 4. Pierre Yula Omombo: 58% Editeur responsable du groupe de presse Le Libre Débat comprenant un magazine en quadrichromie et un hebdomadaire, il analyse depuis de nombreuses années la situation de la RDC dans tous les domaines. La pertinence de ses idées lui a fait connaître non seulement de l’ancien et l’actuel président de la République, mais également des décideurs aussi bien politiques qu’économiques. Dans la province de la Tshuapa dont il est originaire, il est apprécié par les populations, surtout les jeunes, pour de multiples plaidoyers qu’il n’a jamais cessé de mener auprès des instances tant nationales que provinciales en rapport avec des projets socioéconomiques élaborés en vue du développement de cette entité politico-administrative, et le bien-être des populations. 5. Aimé Molendo Sakombi: 55% Fils de l’inoubliable Dominique Sakombi Inongo, Aimé Sakombi Molendo, a annoncé sa candidature à la députation nationale pour le siège de Lisala ville. Déterminé à assurer le deuxième mandat au président de la République, le ministre des Affaires foncières a aussi mobilisé la base de l’UNC à voter massivement Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de 2023. Pendant son séjour et à toutes les rencontres qu’il a eues avec les représentants des différentes couches sociales, il n’a cessé de lancer: Mongala pour Félix Tshisekedi en 2023. Depuis le début de cette année 2023, le ministre s’est énormément investi de plusieurs manières afin de vitaliser efficacement l’UNC dans la Mongala, notamment en dotant les bureaux de ses 3 territoires d’un siège digne du parti, à savoir Lisala, Bumba et Bongandanga. KONGO CENTRAL 1. Atou Matubwana: 70%, Généralement présenté comme l’homme le plus populaire du Kongo central, l’ancien gouverneur demeure fermement attaché au chef de l’Etat Félix Tshisekedi qu’il considère comme son maître et lui le bon élève. Ainsi, dans le cadre de son parti politique Ingeta, membre du regroupement AAAP, il mène un travail énorme apprécié de tout le monde. Atou Matubuana continue à prouver à l’opinion nationale que l’on peut aussi compter sur lui pour toute action en faveur du président de la République. Totalement impliqué dans la vision du chef de l’Etat, cet acteur politique ne jure que par sa réélection à la tête de la RDC en décembre 2023. Pour cela, il mobilise l’électorat du Kongo Central partout où il passe. 2. Fabrice Puela: 68% Le ministre des droits humains avait déjà plébiscité au Kongo-Central précisément à Matadi, Félix Tshisekedi comme candidat naturel de son parti politique «Congo Nova» à la présidentielle de 2023. A ce sujet, il avait fait savoir aux populations de Matadi que le gouvernement Sama Lukonde est en train de travailler sur plusieurs plans dont son ministère des droits humains où, à travers la justice transitionnelle, il a fait adopter plusieurs lois à l’Assemblée nationale qui ont conduit à la consultation nationale pour la réparation des victimes de crimes graves avec l’accompagnement de la première Dame, Denise Nyakeru. En outre, le ministre des Droits humains avait justifié son choix de Félix Tshisekedi par le fait que son parti Congo Nova partage avec l’UDPS non seulement la même vision celle du «peuple d’abord», mais également la même idéologie politique. 3. Nefertiti Ngudianza: 61%,5 Elle avait brigué, en 2022, le poste de gouverneur de la province du Kongo central. N’ayant pas été élue, la sénatrice Néfertiti Ngudianza Bayokisa Kisulu, a continué à marquer sa présence dans toutes les activités politiques de cette partie du pays. Licenciée en droit de l’Université de Kinshasa, elle entame sa carrière professionnelle en 1999 après avoir passé dans un cabinet d’expertise pendant 6 mois à Kinshasa. Très écoutée, elle est capable de mener une véritable campagne électorale, à la manière du pays de l’Oncle Sam où elle a grandi, pour la réélection de Félix Tshisekedi en décembre 2023. 4. Guy Bandu: 58% Le gouverneur du Kongo Central, membre de l’union sacrée, avait regroupé dans une salle de la ville portuaire de Matadi plusieurs personnalités politiques locales pour vulgariser la charte de l’Union sacrée, après son adoption le 5 avril 2023 à Kinshasa par les partis membres. Guy Bandu a exprimé son souhait de voir tout le monde se mobiliser pour faire réélire Félix Tshisekedi au Kongo Central. Conscient de cette situation, l’autorité provinciale mobilise déjà toutes les couches sociales afin de marquer l’histoire en assurant pour la première fois une large victoire au président de la République. GRAND KASAI 1. She Okitundu: 80% Le parti social-démocrate vert s’est récemment prononcé en faveur de la candidature de Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de décembre 2023. L’annonce a été faite à la clôture de sa première convention tenue du 5 au 7 septembre dernier à Kinshasa. A l’issue de ces travaux, les membres ont exprimé «la nécessité d’avoir un leadership éclairé au sommet de l’Etat », afin de relever efficacement les multiples défis que connait la RDC. Signalons que She Okitundu avait été directeur de cabinet et ministre des Affaires étrangères de l’ex-président Joseph Kabila. En tant membre de la l’ex-Majorité présidentielle, il avait été co-fondateur du parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie. En cette qualité, il avait été élu en 2019 sénateur du Sankuru. 2. Denis Kambayi 78% Le sénateur Dénis Kambayi est président international de la synergie des notables et associations du Grand Kasaï. Lors de son séjour à Mbuji-Mayi, il a procédé à l’installation du comité local de sa structure et encouragé les Kasaïens, toutes tendances confondues, à se lever pour soutenir le deuxième mandat du président Tshisekedi en 2023. Et de lancer: « En dépit de nos appartenances politiques, nous devons accompagner le chef de l’Etat parce que nous avons besoin qu’il puisse faire le deuxième mandat, ce qui n’a pas été fait depuis plus de 60 ans. L’ancien gouverneur du Kasaï central a déjà mené la même campagne au Kongo central, Kinshasa, Kwango, Kwilu, Kasaï (Tshikapa), Kasaï central (Kananga). Après Kasaï oriental (Mbuji-Mayi), Dénis Kambayi entend mettre le cap sur Lomami, Sankuru, avant de « projeter une grande descente dans l’espace du grand Kivu ou le grand Katanga, le grand Équateur ou le grand Oriental. 3. Lambert Mende Omalanga: 64% Celui qui fut plusieurs fois ministre, dont celui de la Communication et Médias de 2008 à 2012, puis de 2014 à 2019, est le président national du parti politique Convention des Congolais Unis-CCU. Originaire de Lodja dans le district de Sankuru, il a fait des études de droit à l’Université nationale du Zaïre (campus de Kinshasa), mais ne les finit pas. Il part ensuite en Belgique, où il décroche une licence en criminologie de l’Université libre de Bruxelles (ULB). En 2005, Mende a été élu député national de la circonscription de Lodja comme membre du RCD/K-ML. Il fut le Rapporteur du Sénat pendant la transition (2003 à 2007), et vice-Premier ministre, ministre des Transports et Communications. Nommé ministre des Hydrocarbures dans le gouvernement Gizenga en février 2007, il n’a pas hésité à révoquer une partie de la licence qui avait été attribuée à Heritage Oil et Tullow Oil, deux sociétés qui veulent exploiter des gisements autour de lac Albert. Début 2019, il n’a pas réussi à se faire élire gouverneur de la province du Sankuru. Celui qui avait été traité par un défunt artiste-musicien congolais de « l’homme au verbe facile», est capable de parler, de mobiliser et de convaincre l’électorat en faveur de Félix Tshisekedi. 4. Nicolas Kazadi: 56% Le ministre des Finances est le membre du gouvernement Sama Lukonde le plus performant et le mieux apprécié des Congolais. Avant lui, les finances publiques ne se sont jamais si bien portées. Avec des réserves de change dépassant plusieurs milliards de dollars, le ministre a redonné de l’air à une économie balbutiante. S’appuyant sur l’excellent travail de l’Inspection générale des finances, l’argentier national se pose comme le régulateur, bien plus qu’un simple gestionnaire, des finances publiques. Il a hérité d’un plan de trésorerie peu reluisant, qui présentait la RDC comme un État, financièrement, au bord du gouffre. Aujourd’hui, les institutions de Bretton Woods sont d’avis que la RDC a réussi sa marche vers la résilience. Grâce au savoir-faire de Nicolas Kazadi, le FMI qui avait tourné le dos à la RDC suite à la gabegie financière, a renoué avec notre pays et s’est engagé à financer pour trois ans le programme économique du gouvernement. Il en est de même de la Banque mondiale avec un décaissement de 3 milliards de dollars échelonnés sur 18 mois en faveur de la RDC. Ces performances plaident évidemment en faveur du chef de l’Etat Félix Tshisekedi. GRAND KIVU 1. Aimé Boji: 72% Depuis son arrivée au ministère du Budget, Aimé Boji Sangara se fait remarquer par sa surveillance accrue de la qualité des dépenses publiques, et à leur stricte conformité aux instructions relatives à leur exécution. Cette orthodoxie dans la gestion des Finances publiques a permis le retour de la stabilité de la situation économique, ainsi que la mobilisation des recettes publiques observées actuellement en RDC. Tout le monde salue le renforcement par ce ministre de la gouvernance budgétaire, et sa rigueur pour ce qui est des dépenses et recettes de l’État. En outre, il est félicité pour sa volonté d’améliorer le cadre et des structures de l’administration du Budget. Enfin, dans le cadre de la vision portée par le chef de l’Etat, ce technocrate pose des actes socioéconomiques au profit de sa communauté, tout en l’encourageant à soutenir Félix Tshisekedi pour un second mandat à la tête du pays. 2. Honorable Singoma Mwanza 70% Le président du Caucus des élus du Nord-Kivu contribue énormément au retour de la paix dans la partie est du pays. C’est dans ce cadre qu’il prend part à toutes les initiatives du gouvernement visant la fin de la guerre, la démobilisation des rebelles, et le retour des déplacés dans leurs communautés respectives. Membre du regroupement politique AAB, l’élu du Nyirangongo souhaite vivement que la dynamique qui s’est mise en place permette rapidement de traiter la situation difficile que vit la population congolaise en général, et celle du Kivu en particulier. A cet effet, il soutient fermement le Premier ministre pour bien concrétiser la vision du chef de l’État. 3. Honorable Olive Mudekereza: 68% Le député national Olive Mudekereza encourage fortement la reprise effective des activités agricoles dans le Sud-Kivu. Il estime qu’après les guerres qui endeuillent les populations, l’agriculture sera la principale activité qui permettra aux déplacés de lutter contre la faim et de constituer des réserves. Pour cette raison, il se rend à des intervalles réguliers dans le territoire de Walungu avec des étudiants de l’Institut supérieur de développement rural –ISDR/Bukavu, les experts agricoles et autres jeunes entrepreneurs du milieu; ce dans l’objectif de vulgariser les nouvelles techniques agricoles. Sur place, le député national a profité de son champ pour partager son expérience d’entrepreneur avec ces étudiants et chercheurs. Pour lui, l’objectif est de voir ces étudiants accueillir des nouvelles connaissances sur l’agribusiness. Il sied de noter que l’émergence de nouveaux entrepreneurs congolais est un des volets de la vision du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. 4. Théo Ngwabidje: 57% Le gouverneur du Sud-Kivu a demandé à la population de sa province, de renouveler sa confiance au président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi. Dans ses propos, il a salué le processus électoral en cours, ce dans l’objectif de faire le bon choix lors des élections générales de décembre 2023. A son avis, il faudrait élire des dirigeants qui peuvent réellement être au service du peuple, ceux qui mettent les intérêts de la population au centre de leurs préoccupations. Le gouverneur, haut cadre du parti présidentiel, estime qu’il serait sage pour le peuple de renouveler sa pleine confiance à “Fatshi Béton” afin qu’il continue sur la même lancée du développement. MANIEMA 1. Justin Kalumba: 75% Le ministre des classes moyennes, petites et moyennes entreprises et artisanats, avait mis un accent particulier sur la publication des listes des candidats gagnants au concours des plans d'affaires –COPA-, une première initiative en RDC chargée de subventionner les petites et moyennes entreprises. Ce concours est un projet qui avait rassemblé plus de 1000 candidatures, mais auquel uniquement près de 500 candidatures pertinentes avaient été retenues, réparties dans différentes villes de Kinshasa, Matadi, Lubumbashi et Goma. Notons que l’émergence de la classe moyenne dans notre pays est la volonté maintes fois exprimée par le président de la République. 2. Honorable Tunda 66% Le député national Prosper Tunda Kasongo, a procédé à l’installation de son parti membre de l’Union Sacrée à Goma, il a aussi sensibilisé et galvanisé ses militants et de centaines de nouveaux membres. ‘’Le Congo doit rester un et indivisible’’, a insisté l’honorable Tunda en véritable patriote devant de centaines de militants. Lors de cette activité, l’honorable a insisté sur l’apport du peuple dans la consolidation de la démocratie, socle de l’émergence de la RDC. Il a exhorté ses partisans, et à travers eux toute la population du Nord-Kivu, à un soutien sans faille aux FARDC et au chef de l’Etat Félix Tshisekedi. GRAND KATANGA 1. Sama Lukonde: 80% Le regroupement politique « Agissons et Bâtissons » -AB- dont il est l’autorité morale, a tenu une réunion stratégique le jeudi 28 septembre 2023 à Kinshasa. Cet événement qui a réuni les présidents des différents partis membres de cette famille politique, avait pour but de mettre en place des stratégies en vue d’aller aux élections de décembre prochain, de la plus belle manière. Dans son allocution, Sama Lukonde, en sa qualité d’autorité morale de ce regroupement, a réaffirmé le soutien et l'engagement de la coalition à accompagner Félix Tshisekedi pour sa réélection à la présidentielle du 20 décembre. 2. Fifi Masuka : 76% Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, madame Epoli a précisé que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité. 3. Jacques Kyabula: 75% Le gouverneur du Haut-Katanga a lancé plusieurs chantiers d’infrastructures routières. Il s’agit des actions visant la reconstruction de cette entité politico-administrative. Il y a quelques semaines, l’autorité provinciale a dit avoir mis de l’accent sur la qualité des infrastructures routières. Ainsi, à Likasi comme à Lubumbashi où la plupart des routes datent de l’époque coloniale, le chef de l’Exécutif provincial a construit des routes ou avenues plus agrandies. Les matériaux utilisés, selon les ingénieurs, sont plus durables. Ces ouvrages sont munis de canalisation et de systèmes d’éclairage public. Dans le secteur alimentaire, le gouverneur a réalisé une bonne récolte des graines de maïs au cours de l’année culturale 2021-2022. Pour cela, il a organisé une visite de suivi de l’opération de remboursement des sacs de maïs pour les fermiers ayant bénéficié des intrants agricoles. Après avoir visité les dépôts de stock de maïs, il a annoncé l’instauration d’une journée dédiée aux agriculteurs. Ces sacs de maïs entreposés dans l’enceinte du Gouvernorat, seront transférés vers la minoterie pour la farine de maïs made in Haut- Katanga. Voilà donc une personnalité politique qui matérialise à merveille la vision de Félix Tshisekedi pour qui il est disposé à se mobiliser en vue de sa réélection en décembre 2023. 4. Danny Banza: 68% L’ambassadeur itinérant Dany Banza apparait incontestablement comme l’un des leaders incontestés de l’espace Grand Katanga. Alors que les enjeux électoraux de 2023 se dessinent clairement à l’horizon, Dany Banza Maloba qui a retrouvé enfin les insignes et les couleurs de son parti Avenir du Congo –ACO- à la suite de la mise à jour, par le Secrétariat général du Ministère de l’Intérieur en charge des partis politiques autorisés à fonctionner en République Démocratique du Congo, peut à présent se mobiliser dans la sérénité, dans le cadre de l’Union sacrée de la nation, avec pour objectif final de faire réélire Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. 5. Serge Khonde: 65% L’ancien ministre des sports et loisirs est originaire du territoire de Sakania, dans le Haut-Katanga. Ayant repris son siège de député national, il ne manque jamais de rassurer les fils et filles de ce territoire de l’implication du gouvernement dans la modernisation de cette partie du pays dans le cadre du programme des 145 territoires initié par le chef de l’État. Pour ce faire, il échange souvent avec des jeunes, des vieux, des femmes, des associations socio-culturelles pour leur expliquer l’attention que porte le chef de l’Etat sur les problèmes ayant trait à ce territoire, tout en leur demandant de tout faire pour lui accorder un second mandat à la tête du pays. KINSHASA: 1. Ngobila Mbaka: 82% L’Alliance des Congolais progressistes –ACP- de Gentiny Ngobila Mbaka s'est engagé à soutenir la candidature du président de la République Félix Tshisekedi à l'élection présidentielle de décembre 2023. C'est ce qui ressort du congrès extraordinaire du parti organisé mercredi 6 septembre à Béatrice Hôtel de Kinshasa/Gombe. A cette occasion, le parti de Gentiny Ngobila a désigné Félix Tshisekedi comme son candidat président. L’autorité morale du parti, a expliqué les raisons de son choix. Selon lui, le progressisme qui est l'identité de l'ACP, cadre avec la vision socio-démocrate du chef de l'État Félix Tshisekedi. Ce dernier a, depuis son accession au pouvoir, initié des réformes importantes qui ont impacté la vie sociale des Congolais. Il a entamé des réformes qui ont permis de quadrupler le budget national en quatre ans, susceptible de financer le programme des 145 territoires ainsi que la construction et la rénovation des infrastructures de base. L'ACP juge positif le bilan du président et lui exprime son soutien et sa loyauté. Le parti a pris l'engagement ferme et irrévocable de tout mettre en œuvre pour faire triompher le président Félix Tshisekedi lors de l'élection présidentielle qui pointe à l'horizon. 2. Henriette Wamu: 80% Députée nationale, Autorité morale de l’Alliance pour le progrès du Congo –APC-, parti allié de l’UDPS, Henriette Wamu, candidate aux législatives nationales dans le district de Funa à Kinshasa, a réaffirmé son total soutien au candidat de l’UDPS à la présidentielle de décembre 2023. « J’afirme avec force et conviction que mon parti est allié à I’UDPS. Et c’est dans cette logique que j’apporte personnellement un soutien enraciné au candidat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. J’en profite pour vous dire que I’APC mon parti croit fermement aux valeurs politiques pour lesquelles, feu Étienne Tshisekedi a donné le meilleur de lui-même durant sa vie», a-t-elle déclaré. 3. Patrick Muyaya: 72% La délégation du parti politique Bloc des Bâtisseurs du Congo –BBLOC- conduite par son président national, Jimmy Mukendi Tshimanga, a dernièrement échangé avec le ministre de la Communication et médias Patrick Muyaya, sur des questions liées au processus électoral. Pour les cadres de ce parti membre de l'Union sacrée, cet échange avec le porte-parole du gouvernement avait pour premier objectif de s’informer à la source du bilan du président de la République Félix Tshisekedi. Il était aussi question d’avoir une connaissance globale de ce qu’a mené le chef de l’État auprès des militants, sa base et la population afin de mieux battre campagne pour la victoire de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023. Pour sa part, le ministre Patrick Muyaya a loué la démarche menée par la délégation de ce parti politique. Il a fait voir aux membres de BBLOC les différentes pistes qui mèneront à bon port les actions concrètes de sensibilisation et de vulgarisation pendant la campagne électorale du président de la République. 4. Samuel Mbemba: 65%, Les travaux visant le désengagement du quartier Camp Luka par la construction de plusieurs routes et ponts ont pris une vitesse de croisière, et seront entièrement achevés dans quelques mois au grand bonheur de la population de cette contrée qui a tant souffert. Si le gouvernement a financé ce projet, l’on reconnaît néanmoins à Maître Samuel Mbemba Kabuya Tanda le mérite d’avoir plaidé la cause de cette entité qui non seulement l’a voté massivement lors des élections de 2018, mais aussi l’a vu naître. 5. Patcho Panda: 60% L’AGAPE compte parmi les partis politiques qui se mobilisent pour la réélection de Félix Tshisekedi à la présidence de la République en 2023, Pour cette raison, le président de cette formation politique, Patcho Panda, a présidé une réunion stratégique à laquelle les présidents provinciaux de l’AGAPE ont tous pris part. Objectif: le réarmement moral des membres en vue de bien affronter les échéances électorales qui pointent à l’horizon. Le président national a saisi cette occasion pour expliquer clairement les raisons qui ont motivé la création de ce parti ayant l’ambition de bouger le microcosme politique congolais. Il a demandé à tous les membres de s’engager comme un seul homme pour accompagner le chef de l’État dans son élan de libérer totalement notre pays. GRANDE ORIENTALE: 1. Carole Agito: 80%, Après la désignation et l'investiture du président Félix Tshisekedi comme unique candidat de l'Union sacrée de la nation à la présidentielle de décembre 2023, au terme du premier congrès de cette méga plateforme, la sénatrice Carole Agito Amela a sonné la cloche de la victoire de sa haute Autorité politique avec un résultat sans précédent dans la Grande Orientale, en général, et le Bas-Uélé en particulier. Aujourd'hui, il ne fait l'ombre d'aucun doute que Carole Agito se présente comme l'architecte de la victoire de Fatshi en 2023 dans le Bas-Uélé pour notamment son engagement depuis 4 ans à soutenir l'éducation de la jeunesse en payant les frais de participation à l'examen d'État de tous les finalistes de sa province avec un effectif annuel qui varie entre 3.500 et 4.000 candidats, en ce compris les autodidactes, à financer et promouvoir la formation de la femme et de la jeune fille pour son autonomisation à travers la fondation Carole Agito qui a construit des centres de formation à Buta sur le site de son siège national, ses différentes œuvres au profit de la population dans le secteur de la santé, des infrastructures de base, etc. 2. Baseane Naanga: 70% Dans la province du Haut-Uélé, Christophe Baseane Nangaa a prôné l’unité autour de la vision du chef de l’État, Félix Tshisekedi à qui il dit devoir son bilan politique à la tête du Haut-Uélé. En sa qualité du chef de fil de l’Union sacrée de la nation dans sa juridiction, il n’a pas trahi sa philosophie politique: le pragmatisme en octroyant une Land Cruiser à Bouzo Zamani qu’il a, dans l’entre-temps désigné comme son Directeur de campagne pour les prochaines élections législatives où il compte se présenter à la députation nationale et provinciale. Pour lui, non seulement l’actuel locataire du Palais de la Nation doit rempiler, mais en plus il faudra remporter la majorité des sièges dans les différentes chambres parlementaires pour lui permettre de poursuivre son œuvre salvatrice du développement du pays. 3. Constant Lomata: 67% « Action pour la Bonne Gouvernance et l’émergence (ABGE) », parti politique de Constant Lomata Kongoli, gouverneur honoraire de la province de la Tshopo, se place en ordre de choix au sein de la plateforme politique Alliance des acteurs attachés au peuple –AAAP. Ce regroupement politique soutient la vision du chef de l’Etat Félix Tshisekedi et sa réélection en décembre 2023. 4. Emile Bongeli: 65% Le professeur Emile Bongeli a formulé des propositions pour que l’Union sacrée mise en place par le chef de l’Etat ne retombe pas dans les erreurs du passé de la politique congolaise. «Nous ne devrions pas réfléchir en termes de celui-ci a autant de députés nous lui donnons autant de postes. Si nous allons dans ce sens-là, ça ne sera pas quelque chose de nouveau, parce que le Congo n'a connu que ça. Il faut plutôt identifier les personnes compétentes capables de changer les choses», a expliqué l'ancien ministre de l'information. Le professeur Bongeli invite les décideurs à se «remettre en question» et à réfléchir sur le développement du pays. 5. Thomas Lubanga: 62% Le parti politique de Thomas Lubanga, l'Union des Patriotes Congolais –UPC- adhère à la vision de l'Union sacrée de la nation initiée par Félix Tshisekedi. L'UPC encourage donc le chef de l’Etat à poursuivre son combat pour sauver la nation du "naufrage inéluctable dans lequel il est en train de sombrer". L'UPC se dit prête à mobiliser sa base en Ituri et partout en RDC afin de soutenir les réformes entrevues par Félix Tshisekedi à travers l'Union Sacrée. GRAND BANDUNDU: 1. Abdon Etina: 78% L’Autorité morale de l’Alliance des paysans, ouvriers et de la classe moyenne -APOCM- se mobilise pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023. Ce choix est justifié par sa conviction et sa détermination à voir l’actuel président de la République être reconduit à ce poste. C’est cela qui explique ses appels incessants à l’endroit de la jeunesse et, ensuite à toute la population congolaise à se mobiliser et à s’enrôler pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi de manière à le reconduire pour un second mandat. Le discours de ce parti qui se défini comme étant celui de proximité et du peuple par le peuple ou pour le peuple, séduit les Congolais de l’Est à l’0uest. 2. Christophe Mboso: 73% Dans une réunion tenue le vendredi 29 septembre au sein de l’Union sacrée de la nation, le président de l’Assemblée nationale a réaffirmé avec conviction le rôle central des députés nationaux dans la campagne pour la réélection du président Félix Tshisekedi pour un second mandat. Selon lui le numéro un de la Chambre basse du parlement, les parlementaires seront les “acteurs majeurs” qui “œuvreront sur le terrain”, couvrant l’ensemble de la République avec une “connaissance approfondie des réalités locales”. Christophe Mboso a souligné que les députés nationaux jouent un “rôle essentiel” en tant que représentants du peuple, étant présents dans tous les coins du pays. Leur proximité avec les citoyens leur confère une compréhension précise des “enjeux locaux” et une capacité à mobiliser les électeurs en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi. 3. Ritha Bola: 55% A quelques mois seulement des élections présidentielles en RDC, les femmes gouverneures se donnent fermement un défi à relever dans leurs provinces respectives, celui de la réélection du président Félix Tshisekedi. C’est le cas de Rita Bola, gouverneure du Maï-Ndombe et Madeleine Nikomba, à la Tshopo. Dans un point de presse conjoint animé à Kisangani, les deux personnalités n’ont pas manqué de réitérer leur soutien indéfectibles à l’actuel pouvoir qui a fait confiance à cinq gouverneures femmes en RDC. Pour Rita Bola, aussi présidente du Caucus des femmes gouverneures, ces dernières font la fierté du chef de l’État dans leurs entités respectives. Dès lors, des stratégies sont déjà en place afin que le caucus travaille durement pour sa réélection à la tête du pays. Le Peuple d’abord
*Fabien Mutomb Kan Kato, Directeur Général de la SNCC S.A, a vanté le confort des voitures à voyageurs neuves avant d'inviter le Chef de l'état à embarquer à bord. Mais, avant de palper personnellement ce bijou, voire ce fleuron du traffic des voyageurs, le Père de la Nation congolaise a procédé à la coupure du ruban symbolique en guise de remise officielle de cette série de 22 voitures à voyageurs neuves et de 100 wagons porte-conteneurs et 4 vedettes à la SNCC.SA. C'était en présence de nombreuses personnalités tant nationales que provinciales, à l’instar du Ministre national de communication et médias, Patrick Muyaya, du gouverneur de province du Haut katanga, Jacques kyabula katwe. Jean Ladis Umba Lungange, le Président du Conseil d'Administration de la SNCC.SA, était également présent à côté de l'initiateur du vaste programme de redressement et de modernisation de la SNCC SA. Programme en vertu duquel la SNCC.SA a repris progressivement mais sûrement du poil de la bête, et a pris de l'élan pour monter en puissance. Et ce, sous les acclamations nourries des membres du CODIR, des directeurs et agents de la SNCC.SA, y compris les cheminots qui ont ajouté de l'ambiance à la fête. C'en était une à la faveur de cette visite historique du Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Fabien Mutomb Kan Kato, le Directeur Général de la SNCC S.A, a, en effet, salué l'acquisition de 4 vedettes rapides de ligne et donné à l'hôte de marque des informations sur l' acheminement vers Bukavu de ces engins moteurs. Une autre réalisation de la promesse du Chef de l'Etat que le numéro un de la SNCC.SA a souligné, en outre, à l'intention de Félix Tshisekedi, c’est le réaménagement de la place de la Gare de Lubumbashi qui arbore, depuis quarante huit heures, un décor particulier enrichi par des messages de gratitude envers lui qui a toujours accordé toute sa sollicitude à l'endroit des conditions de travail des cheminots et même, à l'amélioration de l'outil de production de l'entreprise de transport multimodal. Quoi que brève, de 30 minutes environ, la visite du Président de la République a marqué les esprits des agents de la SNCC.SA qui ont encore frais en mémoire le fait que c'est grâce à la décision de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qu'ils ont le bonheur de toucher régulièrement leur paie, depuis 2019. Il y a lieu de relever que le Dg Fabien Mutomb Kan Kato a guidé le Chef de l'état dans sa visite de ce nouvel outil stationné en gare voyageurs en compagnie notamment, du Ministre Ekila des Transports, Voies de communication et Désenclavement. Ainsi, la date du 4 octobre 2023 sera-t-elle, désormais, mémorable pour la SNCC.SA. C’est une date marquée dans les annales de l'histoire du chemin de fer comme celle où le Président de la République, Chef de l'Etat, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, en effectuant cette visite, a démontré son attachement ainsi que sa ferme volonté de remettre la SNCC S.A sur les rails. La Pros.