Le stade de martyrs avait refusé du monde, le 29 avril dernier à l’occasion de la sortie officielle de l’Union sacrée de la Nation. Une démonstration de force faite par cette méga plateforme politique qui soutient la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cette réussite est, évidemment, l’œuvre du présidium de l’USN qui n’a ménagé aucun effort, mais surtout du plus grand parti de la plateforme, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), dirigé par Augustin Kabuya. Après ce carton plein, le numéro un du parti au pouvoir a réuni les combattants, membres et cadres de son parti jeudi 4 avril 2023 au siège du parti afin de les remercier pour leur mobilisation. Le SG a déclaré que le 29 avril était une victoire confirmée pour Félix Tshisekedi, avec l’afflux de la population qui, poursuit-il, a démontré avec fierté l’amour qu’il porte envers le Chefs de l’Etat. Il a également appelé les membres et cadres de l’UDPS à orienter leurs actions dans le sens de travailler pour la réélection du Chef de l’Etat. « L’heure n’est plus à somnoler », leur a-t-il dit. A cette même occasion, Augustin Kabuya a présenté les membres de l’UDPS ayant soumis leurs candidatures au parti pour validation par la CDP. Il a tenu également à préciser qu’il n’y a que les candidatures qui seront sélectionnées par la Commission de discipline du parti (CDP) qui seront reconnus comme étant les candidats de l’UDPS. Aux détracteurs Augustin Kabuya a aussi adressé un message d’avertissement à tous les ‘’semeurs de désordre’’ au sein du parti, leur demandant de cesser de le faire car, leurs actions ne sont nullement pas de nature à laisser impunies. Egalement, à tous ceux qui racontent à longueur de journées des jérémiades en son nom, l’accusant notamment d’avoir confisqué pour lui seul les dons de pagne offerts aux femmes du parti par la première dame, Augustin Kabuya a clos le débat. En pleine matinée politique, il a montré devant les caméras ce qui restait de ce que la première dame avait offert à la ligue des femmes à l’occasion de la clôture du mois de la femme. «Ceux qui croient qu’ils sont en train de me combattre doivent comprendre qu’ils combattent le Chef de l’Etat », a réagi Augustin Kabuya. Fidel Songo
‘’Publier le document d’appel d’offre de kits électoraux pour nous permettre d’apprécier la conformité des machines reçues par rapport aux spécifications contenues dans le cahier de charge ;Divulguer le nom de l’imprimerie qui a produit les cartes d’électeurs avec les détails de la commande, spécifications de la carte, quantité de la commande, etc. ; Rendre publique la cartographie des centres d’inscription pour les aires opérationnelles 2 et 3 comme ce fut le cas pour l’aire opérationnelle numéro un ; Publier, à ce stade, le nombre provisoire d’enrôlés par circonscription et par province ; Donner le coût global, à ce jour, du processus électoral en cours’’. Telles sont les principales revendications à la base de la marche de l’Opposition projetée ce samedi dans les rues de Kinshasa ainsi que dans les principales villes des Provinces. A la manœuvre, les Opposants, quatre au total, sans oublier tant d’autres qui se sont joints à eux, pour réclamer, en outre, la recomposition de la CENI, la recomposition de la Cour Constitutionnelle et, surtout, la transparence et l’exigence de la réunion des conditions pour la tenue des élections apaisées, justes et démocratiques. Matthieu Kalele ka-Bila, Professeur de son état et, en même temps, nouveau Coordonnateur désigné par Martin Fayulu à la tête de la Plateforme Lamuka, y est revenu abondamment ce mardi 9 mai 2023 à Faden House, à la Gombe, lors d’un point de presse qu’il a personnellement animé, pour la première fois, depuis son entrée en fonction. Il en a profité, non seulement décliner son plan d’action pour les six prochains dans le cadre de sa Coordination de Lamuka mais, également, pour lancer un appel à la mobilisation générale en vue de la réussite totale de cette marche du 13 mai 2023. Selon lui, en effet, toutes les Kinoises et tous les Kinois, conscients de leurs responsabilités face à leur propre destin, devraient, en principe, descendre massivement dans les différents itinéraires de la grande marche prévue pour ce samedi 13 mai 2023 à Kinshasa, pour réclamer leurs droits. Il sera question, à l’en croire, de dénoncer, entre autres, la montée généralisée de l’insécurité qui prévaut sur toute l’étendue du territoire national, la dégradation à grande échelle de la vie sociale du congolais, ainsi que la préparation et l’organisation de la fraude et la corruption à tous les niveaux de l’administration. LPM Lamuka LE COORDONNATEUR CONFERENCE DE PRESSE Avant toute chose, je vous prie de vous lever pour observer une minute de silence en mémoire de nos frères et sœurs morts à KALEHE, victimes des inondations, et aussi en mémoire de nos frères et sœurs tués dans le NORD-KIVU, ITURI, GRAND KATANGA, GRAND BANDUNDU et à l’Est de KINSHASA. Je vous ai convié à cette conférence de presse pour décliner la vision de ma coordination pour les six mois à venir. Rachel Albert KISONGA MAZAKALA, dans son livre intitulé : ‘’l’idéologie de Lumumba’’, (Edition l’Harmattan) dit : «La RD Congo, pays de tous les espoirs à l’indépendance en 1980, ne cesse d’être, depuis lors, le grand malade du continent noir. Certes, les problèmes de mauvaise gouvernance sont communs à tous les pays africains, mais en RD Congo, ils prennent une dimension particulière ? Engluée dans une corruption sans pareille, la gestion des dirigeants congolais depuis l’indépendance a engendré une misère sociale telle que les valeurs se sont effondrées. La conscience citoyenne s’est délitée au point que voler n’est plus perçu comme un acte répréhensible. Dirigeants de l’Etat, de la magistrature, de l’armée, de la police et même de l’église sont tous concernés ». On ne saurait mieux résumer la situation actuelle de la RD Congo. Dans sa lettre testament adressée à son épouse, quelques jours avant son assassinat, Patrice-Emery LUMUMBA affirmait ce qui suit : «Je sais et je sens au fond de moi-même que tôt ou tard mon peuple se débarrassera de tous ses ennemis intérieurs et extérieurs, qu’il se lèvera comme un seul homme pour dire non au capitalisme dégradant et honteux, et pour reprendre sa dignité sous un soleil pur ». Aujourd’hui, nous sommes loin du rêve de Patrice Emery Lumumba. Nous sommes en 2023, année électorale, nous devons absolument avoir des élections transparentes, impartiales et apaisées dans le délai constitutionnel. Cependant, nous sommes en droit de nous poser la question de savoir ; quelle est la finalité des élections ? La réponse à cette question sera à la base de mon action. En effet, nous pensons que les élections ont pour but, à savoir, mettre en place les institutions politiques et leurs animateurs choisis librement par le peuple, conformément au principe de la vérité des urnes. Depuis notre accession à l’indépendance, notre pays fait du surface en matière de développement parce que les différents leaderships qui se sont succédé à la tête de notre pays, se sont révélés non seulement faibles, mais aussi et surtout illégitimes et corrompus. Tout au long de ma coordination, je veux me battre pour que les élections soient réellement crédibles. Comme vous devez le savoir, la Coordination des Opérations Electorales de LAMUKA, COEL en sigle, suit de près l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs. A cet effet, elle a réalisé quatre points de presse où elle a dénoncé les irrégularités ainsi que l’intention manifeste de la CENI de pouvoir organiser le chaos dans la république dû à un conflit post-électoral sans précédent. Nous demandons à la CENI de la transparence et ainsi, nous lui exigeons ce qui suit : 1. Publier le document d’appel d’offre de kits électoraux pour nous permettre d’apprécier la conformité des machines reçues par rapport aux spécifications contenues dans le cahier de charge ; 2. Divulguer le nom de l’imprimerie qui a produit les cartes d’électeurs avec les détails de la commande, spécifications de la carte, quantité de la commande, etc. ; 3. Rendre publique la cartographie des centres d’inscription pour les aires opérationnelles 2 et 3 comme ce fut le cas pour l’aire opérationnelle numéro un ; 4. Publier, à ce stade, le nombre provisoire d’enrôlés par circonscription et par province ; 5. Donner le coût global, à ce jour, du processus électoral en cours. Nous avons, donc, dit NON à l’opération « portes ouvertes » de la CENI pour lui faire comprendre que nous ne sommes pas pour les accompagner à opérer une nouvelle fraude électorale dans notre pays. C’est pourquoi, j’invite toutes les Kinoises et tous les Kinois à descendre massivement dans les différents itinéraires de la marche du samedi 13 mai 2023 pour dénoncer : 1. La montée généralisée de l’insécurité sur l’ensemble du territoire national ; 2. La dégradation généralisée de la vie sociale ; 3. La préparation et l’organisation de la fraude par le pouvoir en place. Nous devons absolument barrer la route à cette pratique anticonstitutionnelle qui veut que le pays organise les élections pour les élections et non pour le conduire vers un réel développement. Je vous remercie. Matthieu Kalele ka-Bila Professeur Emérite
La journée du samedi 6 mai a servi d’espace-temps au Président National du parti politique Action Commune pour la République, Eliezer Ntambwe, pour la nomination de ses 19 secrétaires Nationaux ainsi que leurs adjoints. Il place à la tête du Secrétariat National en charge des élections un homme fort en questions électorales : Le capable Adonis Muula Mutombo. Ci-dessous la décision portant ces nominations dans toute leur intégralité : République Démocratique du Congo ACTION COMMUNE POUR LA REPUBLIQUE A.C.R. Unité-Travail-Patriotisme Parti politique enregistré sous l’agrément N°034/2018 du 19 février 2018 Le Président National Le Président DECISION N°003/ACR/CPN/NMCE/2023, DU 06/05/2023, PORTANT NOMINATION DES CAPABLES SECRETAIRES NATIONAUX ET SECRETAIRES NATIONAUX ADJOINTS DE L’ACTION COMMUNE POUR LA REPUBLIQUE, ‘’ACR’’ EN SIGLE. Le Capable Président National de l’Action Commune pour la République, ACR en sigle. Vu les statuts du parti politique ‘’Actions Communes pour la République ‘’ACR’’ en sigle, tels que modifiés à ce jour ; en leurs articles 44, 69, 71, 72 et 75 ; Vu la résolution du Congrès n°001/CNG/ACR/2022, du 10/08/2022, portant élection d’un Capable Présidnt National du Parti Politique dénommé ‘’Action Commune pour la République ACR’’ en sigle ; Vu la décision n°001/ACR/CPN/NMCE/2022, portant nomination du capable secrétaire général ; Vu l’urgence et la nécessité ; Décide : Article 1er : Sont nommés Secrétaires Nationaux de l’Action Commune pour la République, ACR en sigle, aux fonctions en regard de leurs noms. Il s’agit de : 1. Secrétaire National en charge de recrutement et adhésion : Capable KANDA KALONJI Boniface, 2. Secrétaire National en charge des élections : Capable MUULA MUTOMBO Adonis, 3. Secrétaire National en charge des relations avec l’extérieur : Capable BUKASA TAMINA Christopher, 4. Secrétaire National en charge des questions politiques : Capable MAKUYA MAKILA Elie, 5. Secrétaire National en charge des questions juridiques : Capable TATTY MANTIMA Harris, 6. Secrétaire National en charge de suivi des fédérations et interfédérations au niveau national : Capable TSHIZUBU KANYINDA François, 7. Secrétaire National en charge de suivi des fédérations et interfédérations de l’étranger ou de la diaspora : Capable KATOMPA Désiré, 8. Secrétaire National en charge de surveillance des politiques gouvernementales et de la riposte : Capable TSHIEMPO KABALA Patience, 9. Secrétaire National en charge de mobilisation et propagande : Capable KASANDA MBIYANGANDU J’ai tout, 10. Secrétaire National en charge de l’agriculture, pêche et élevage : Capable TSHILUMBA KALONJI Paul, 11. Secrétaire National en charge de l’implantation : Capable KALONJI MPOYI Burland, 12. Secrétaire National en charge de planification et études : Capable MPETSHI ETSHINDO WAPELEPELE Casimir, 13. Secrétaire National en charge de l’emploi et entreprenariat : Capable MANATSHITU NDIBU Philomène, 14. Secrétaire National en charge des stratégies et projets : Capable TULUENGA NSEMI Serge, 15. Secrétaire National en charge de l’environnement et lutte contre le réchauffement climatique : Capable SAKI MUKINDA Rémy 16. Secrétaire National en charge de transport, voies de communication et désenclavement : Capable NTANGA MBOMBO Thérèse, 17. Secrétaire National en charge des finances : Capable KASEKELAYI MUNDEKE Paul, 18. Secrétaire National en charge de budget : Capable KABANGU MUSHIYA Grâce, 19. Secrétaire National en charge de l’intendance et logistique : Capable EDIMBU MAYELE Papy. Article 2 : Sont nommés Secrétaires Nationaux Adjoints de l’Action Commune pour la République, ACR en sigle, aux fonctions en regard de leurs noms. Il s’agit de : 1. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de recrutement et adhésion : Capables KAMOSHI KANUKE Gloria et MUNGANGA LAMAMA Antho, 2. Secrétaire National Adjoint en charge des élections : Capable MAKASI MPANDA Plaisir, 3. Secrétaire National Adjoint en charge des relations avec l’extérieur : Capable MANKINDU KUNTWALA Mike, 4. Secrétaire National Adjoint en charge des questions politiques : Capable SHOTSHA OMANGA Alphonse, 5. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge des questions juridiques : Capables DJOMO OKITANVULA Nicolas et SHOTSHA OLAMBA Blaise, 6. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de suivi des fédérations et interfédérations au niveau national Adjoint: Capables NYEMBUA BULABA Derrick et OLELA LODI Clémentine, 7. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de suivi des fédérations et interfédérations de l’étranger ou de la diaspora : Capables YEMBO OBERT Fabrice et SUMBU KABISU Joyce-Gloria, 8. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de surveillance des politiques gouvernementales et de la riposte : Capables MABOSO LONGONDO Horil et MPOYI BILONDA Mireille, 9. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de mobilisation et propagande : Capables MAMBOTE KATASI Laschot et KAPONGO KALALA Trésor, 10. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de l’agriculture, pêche et élevage : Capables MISENGA Gertrude, BUANGA MFUMUNSAKU Blanchard et BADIBANGA TSHITUKA Françoise, 11. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de l’implantation : Capables KEMBI MUTIAKA Junior et NKUMU MBAYA Anelyse, 12. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de planification et études : Capables KAYABO MILAMBO Habakuck et TSHIBANGU MPETA Patrick, 13. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de l’emploi et entreprenariat : Capables KAMANA TEMBO Jeanne-Chantal et NTUMBA KAPETA Josué-Fils, 14. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge des stratégies et projets : Capables GEBELO BONGELI Daddy et ASHA JAKONGA Asha, 15. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de l’environnement et lutte contre le réchauffement climatique : Capables IBAMA NGOLO Charles et OMALOKONO WOOKO Henry, 16. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de transport, voies de communication et désenclavement : Capables SAFARANI RADJABU Kabibi et MILOLO KASANDA Nadine, 17. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge des finances : Capables LUKAYO TSHIBAMBE Lydie et MUTEABA WA MUTEBA Serge, 18. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de budget : Capables MUDIMBI MANGI Pierre et MASENA MOBA Decxy, 19. Secrétaires Nationaux Adjoints en charge de l’intendance et logistique : Capables KAJINGA TSHIBANGU Fiston et ODIA TSHOMBO Odile. Article 3 : Sont abrogées toutes les dispositions antérieures contraires à la présente décision. Article 4 : La Capable Secrétaire Générale est chargée de l’exécution de la présente décision qui entre en vigueur à la date de sa signature. Fait à Kinshasa, le 06/05/2023 NTAMBWE MPOSHI Charmant Eliezer Capable Président National Siège National : 102, avenue Kabinda, commune de Kinshasa Site Web : www.acr.org ; www.acr-rdc.com
C’est en raison de restituer ce qu’a été l’objet de la réunion tenue dernièrement avec le secrétaire général de l’UDPS, Augustin Kabuya, que la Ligue des Jeunes de l’Union Sacrée de la Nation (LJ-USN) a convoqué mardi dernier, une réunion au sein du siège du parti MDCO où elle se rassemble si souvent. Cette réunion a porté sur l’annonce de la déchéance de l’équipe d’Emmanuel Dioko à la tête de la LJ-USN et de la mise en place du comité de crise, du conseil des sages ainsi que de la commission de crise. Conduit par le responsable du conseil des sages, M. Longin Balu, cette rencontre a connu la présence des présidents des ligues des jeunes des partis membres de l’Union Sacrée de la Nation, ce qui fait la composition de cette ligue. Longin Balu a énuméré les différents comités mis en place et leurs composants. Cependant, la mise en place du comité de crise sera composé de 7 personnes, dont à la tête, Me. Michel Tshiamala pour sa coordination. Entre-temps, le conseil des sages sera composé de 10 personnes avec à sa tête, M. Longin Balu. Enfin, la commission de discipline sera chapeautée par Me. Merveille Mulamba. Se remettant à la presse, Longin Balu est revenu sur l’essentiel de ce rendez-vous. « …Après notre rencontre avec le S.G de l’UDPS, il nous a été révélé que la personne qui nous dirige n’avait ni qualité et ni mandat. Alors, de ce fait en tant que politique, on ne pouvait pas rester bouche bée et on ne pouvait que prendre la responsabilité en mains. C’est pourquoi, nous avons convoqué cette réunion d’aujourd’hui pour faire premièrement, la restitution de la plénière et tirer les conséquences politiques. Maintenant là, nous venons de tirer les conséquences politiques, nous avons déchu l’équipe qui était dirigée par le coordonnateur Emmanu Dioko, parce que, c’est des faits normaux et réels que le coordonnateur Emmanu Dioko n’a ni qualité, ni mandat. Et de ce fait, il est conjugué au passé », a-t-il précisé. Et de continuer : « Non seulement lui seul, mains avec notre camarade qui fut notre secrétaire rapporteur, le camarade Peter… », souligne-t-il. Pour sa part, le président de la ligue des jeunes du MDCO, M. Freddy Tshilumba et membre de la LJ-USN a conclu en disant : « …la jeunesse de l’Union Sacrée a deux ans depuis que nous existons. Alors, on a pu constater que la jeunesse de l’Union Sacrée n’avançait pas. Quand on est allé consulter l’un des membres du comité de l’Union Sacrée, ils nous ont dit, le monsieur qui nous chapeautait, le Dr. Emmanu Dioko, le président des jeunes de l’UDPS, n’avait pas qualité de coordonner cette structure. Il n’était pas mandaté par son parti politique. Sur ce, la jeunesse de l’Union Sacrée a jugé bon de le déchoir… », a-t-il renseigné. Israël Mpoyi
L’ancien Ministre de la Justice et l’ex secrétaire permanent adjoint du parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) Célestin Tunda ya Katende, rejoint officiellement le rang de Félix Tshisekedi. Selon lui, l’actuel Chef de l’Etat mérite d’être réélu Président de la République au prochain scrutin et, à cet effet, il décide donc de le soutenir dans sa lutte ‘’pour le bien du pays’’. Dans sa narration, Tunda affirme qu’il est de nouveau à l’union sacrée pour défendre les intérêts du Congo, ‘’puisque notre pays veut qu’on soit ensemble pour le bâtir’’. Il demande par ailleurs de laisser Joseph Kabila, son désormais ancien sociétaire en paix, pour autant que le mandat de celui-ci est déjà passé. «Il est temps de soutenir Félix Antoine Tshisekedi et de laisser Joseph Kabila se reposer. Son temps est révolu, nous devons être solidaires pour développer notre pays et le protéger contre les ennemis. Ce que j’ai dans mon cœur, c’est le Congo. Pas les individus», a déclaré Célestin Tunda ya Kasende qui poursuit que ce n’est pas les individus qui le préoccupent, encore moins les partis politiques mais, plutôt, les intérêts et le bien-être de la République. Il a annoncé son adhésion à l’Union sacrée et son départ du PPRD où il a quitté personnellement sans être expulsé par qui que ce soit. «Je n’ai jamais déposé ma démission au PPRD, car il n’y a pas d’administration où il faut aller et recevoir un accusé de réception. Personne ne m’a chassé du PPRD, j’ai par ma propre volonté décidé de rejoindre l’Union sacrée afin de travailler pour le Congo, derrière le numéro 1, le magistrat suprême, c’est Félix Tshisekedi. Nous devons être réalistes. Le Drian était ministre de la défense de Hollande, 5 ans après il est redevenu ministre sous Macron. Là-bas, c’est bon, mais pas ici ? Si nous ne nous unissons pas au Congo, nous pouvons le perdre. Défendons le Congo», a-t-il conclu. Eunice Maleka
Sous l’égide de l’Honorable Laurent Batumona, le Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC) et l’Alliance des Mobutistes (AMO) ont décidé de mouiller leurs maillots pour la victoire écrasante de Félix Tshisekedi à la présidentielle de décembre prochain. Valence Kembi Bangala pour le MSC et Martin Lolo Bakonga pour l’AMO, ont, lors de la signature de l’accord de partenariat politique du 1er Mai dernier dans la salle des réunions des FPAU, convenu de mettre en œuvre leurs efforts pour offrir à Félix Tshisekedi un deuxième mandat à l’élection présidentielle de 2023. Le MSC et l’AMO ont obtenu cet accord après une longue médiation du Prof. Léon Bruno Likoku. Le Mouvement de Solidarité pour le Changement et l’Alliance des Mobutistes ne jurent que pour un deuxième mandat de Félix Tshisekedi. Les représentants de tous les partis politiques ont validé ce texte. Toutefois, la principale force politique, le Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), a précisé qu’il s’y joint uniquement pour que son Parti soit la deuxième force politique de la RDC. Les deux partis se sont plongés dans une vision de mobilisation tous azimuts des congolais pour accorder une majorité confortable au Parlement en faveur de Fatshi pour parachever la reconstruction du pays. L’Autorité Morale du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC) a précisé, lors de cette cérémonie de signature de partenariat entre le Mouvement de Solidarité pour le Changement et l’Alliance des Mobutistes, que cet accord permettra de mettre en commun nos efforts et notre notoriété pour promouvoir la démocratie, la tolérance politique, l’unité, la solidarité, la justice, la bonne gouvernance et l’installation de l’Etat de droit. La signature de ladite convention s’est conclue en présence de Hauts cadres du MSC notamment, prétendants candidats venus de tous les horizons : Paris, Chicago, Kenge, Tshikapa, Mbandaka, Kongo Central, Bandundu et Kinshasa. Il faut noter que cette avancée concrète de la vision de Laurent Batumona de faire du MSC une deuxième force politique en RDC s’enracine davantage sur l’agora politique en RDC Aussi, d’accompagner le MSC à travers cette vision à lutter contre la pauvreté et de faire de cette nation congolaise un pays émergeant dans les jours plus proches. Fort de cet accord, les deux parties se sont convenus, sous le leadership de l’Honorable Laurent Batumona, d’œuvrer ensemble sous le label du MSC afin de soutenir non seulement les actions du Chef de l’Etat et également celles de l’Autorité Morale du MSC, porteur d’un massage de soutien et solidarité au Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Laurent Batumona a rappelé les principes repris dans la loi électorale, précisément sur le seuil. Il doit nous pousser, a-t-il poursuivi, à redynamiser nos forces sur le terrain pour gagner comme nous sommes maintenant une force avec les cinq grandes provinces de l’Equateur. Il a appelé les prétendants candidats députés provinciaux et nationaux à approuver cet accord de partenariat électoral afin de témoigner la vision du MSC à la population au sujet des élections. ‘’C’est un grand jour de voir se concrétiser cette cérémonie. Elle nous a pris beaucoup de réflexion et prudence pour arriver à mettre ensemble les deux formations politiques. Notre objectif est de mettre en place un appareil politique solide qui va nous permettre avec les ambitions que nous avons de fournir plus de 50 députés de grand Equateur au sein de l’Assemblée Nationale’’, A déclaré Likoku Léon Bruno. Pour le Président ai de l’Alliance des Mobutistes, Marti Lolo Bakonga, ‘‘le moment n’est pas au discours mais nous venons de franchir une étape importante. L’AMO donne une garantie de travailler pour une majorité des députés au Parlement’’. La Pros.
«Alors qu'il pensait rouler l'opinion nationale dans la farine en dénaturant les faits au sujet de l'incident de Lomela, Mfumutoto vient d'être corrigé par les originaires de ce territoire de la province du Sankuru qui l'accusent de s'employer au mensonge comme dans ses habitudes. Lisez plutôt, la vraie version des faits tels qu'ils se sont déroulés», témoigne Cicéron Owamba, président national des jeunes consciencieux qui réagissait à propos du malheureux incident survenu dans le territoire de Lomela, au village Efomi à 7 km de Kosso, chef-lieu du Secteur de Bakela. Il affirme avoir été consterné par l'intervention de Monsieur Basanga, alias Mfumutoto sur Top Congo Fm à ce sujet. En effet, après avoir vérifié l'information des sources crédibles et dignes de foi, Cicéron Owamba signale la ‘’dénaturalisation’’ des faits à ‘’90%’’ par M. Mfumutoto Basanga, ‘’comme dans ses habitudes’’. Voici ce qui s'est réellement passé ? De prime à bord, l'opinion doit savoir qu'il n'y a jamais eu des affrontements entre des groupes de gens se réclamant de telle ou telle obédience politique, encore moins entre individus rangés derrière des leaders politiques. C'est faux et archi faux. Ce que nous savons et cela est vérifiable, ce n'est d'ailleurs pas le commandant Socrate Iyoko, pourtant cité abusivement par Mfumutoto. Il s'agissait d'une simple visite de consolation des éléments de la Police à leur collègue éprouvé suite à la disparition de son grand frère, confirme le président national des jeunes consciencieux. Poursuivant sa narration, il relate que le policier du nom de Cébondo Bokombo, dans la nuit du jeudi au vendredi dernier, pendant qu'il dormait, et ayant oublié qu'il y a avait dans la chambre de son arme. C'est de cette manière que pendant son sommeil, par inadvertance, il a appuyé sur la gâchette provoquant ainsi la détonation de l'arme. Une balle est sortie perçant un mur et atteint une maman du nom de Cécile Ndjale au pied droit à côté du genou. La dame a été secourue puis transportée en urgence à l'hôpital général de référence de Tshudi-Loto pour des soins appropriés. Après avoir été en contact avec le Médecin Directeur de cet hôpital, le Docteur Marcelin,... il nous revient que la victime se porte bien et que sa vie n'est pas en danger contrairement à la description de l'incident faite par Monsieur Basanga dit Mfumutoto sur Top Congo FM, fait-il comprendre. Haltes aux fausses alertes ! «Nous pensons ici, et nous voudrions profiter de l'espace que nous offre votre média pour nous adresser aux uns et aux autres, surtout à Mfumutoto que Lomela n'a pas besoin des discours alarmistes, haineux susceptibles de créer inutilement des tensions au niveau de différentes communautés qui ont plus besoin de s'unir que de vivre divisées. Des discours de réconciliation au lieu des discours mensongers, séparatistes et surtout à l'approche des élections pour juste se faire une santé politique», fustige-t-il. Néanmoins, M. Owamba insiste que les propos alarmistes de Mfumutoto sont une sorte d’information teintée de fausseté et qui, malheureusement au final ne l'honore pas et ‘’est une information qui le dessert et qui dangereusement et copieusement rétrécit l'épaisseur du peu de célébrité qui lui reste encore’’. Enfin, il le conseille un bon tri-sélectif avant diffusion des informations de ce genre. «Mfumutoto devrait en réalité chercher à avoir l'information, la vraie à la source auprès des personnes responsables, crédibles au lieu de survivre avec ce type de colportage ou recours à cette pratique irresponsable de vouloir jeter un discrédit sur les notables de Lomela, bien qu'ayant reçu une mission d'infiltration à l'Union Sacrée pour faire un combat d'arrière garde tout en servant les intérêts de l'ancien régime », conclut-il. Fidel Songo
De passage sur le plateau de France24, vendredi 05 mai 2023, Adolphe Muzito a remis au goût du jour toutes ses pistes de solution sur les grandes questions de l’heure. Il a mis une emphase sur les élections de décembre prochain et sur la situation sécuritaire toujours préoccupante dans l’Est du territoire national, due à la persistance de l’agression rwandaise sous couvert du M23. Le Leader de Nouvel Elan a ramassé, en passant, le dossier Lamuka qui continue de faire couler encre et salive. Dans sa communication, Adolphe Muzito a appelé les dirigeants du pays à accorder tout le sérieux possible à la question de crise sécuritaire de l’Est. Il a proposé même une diplomatie économique. Pour lui, en effet, la RDC doit briller par un réalisme sans précédant en ce sens qu’elle doit absolument négocier avec les puissances extérieures et les multinationales qui, en réalité, à l’en croire, sont les vrais sponsors du Rwanda, qui appuie le M23. L’homme rejette en bloc l’option levée par le Président Tshisekedi de faire venir la Force de l’EAC pour combattre l’agression rwandaise. Il est pour le départ de toutes les troupes déjà sur le sol congolais. Pour lui, en effet, tout est question d’organisation à l’interne, en dotant les FARDC des outils qu’il faut, pour la restauration d’une paix durable. Au chapitre des joutes électorales, l’ex Premier ministre a dénoncé un glissement en gestation, conséquence logique d’un processus électoral chaotique, a-t-il déploré. Muzito dit avoir tenté en vain de sauver les meubles en proposant au Chef de l’Etat un forum informel ‘’qui allait discuter et proposer aux institutions, pour entérinement, des propositions des réformes’’. Pour ce qui est de la situation de Lamuka, il a répondu en ces termes : « La question de l’opposition ne se pose pas en termes d’unité pour gagner les élections. Moi, je crois que la force de l’opposition doit être constituée par l’unité de l’opposition autour d’un programme ». Cap sur la diplomatie économique «Nous avions un budget de 100 millions de dollars. Et pendant toute la période de 1990 jusqu’à 2000, le Congo a collecté plus ou moins 1 milliard 200 sur 10 ans. Donc, nous avons sombré en tant qu’Etat et le Rwanda nous a occupés. Ce qui nous a permis de résister c’était que nous sommes un peuple uni avec une grande capacité de résilience. Quand j’appelle de la guerre qu’il faut faire, c’est en dotant notre armée progressivement maintenant qu’on a un budget qui dépasse les 10 milliards de dollars. Nous venons de 1 milliard de dollars sur 10 ans. Nous, nous pouvons équiper l’armée sur deux ans, trois ans… A terme, nous aurons raison du Rwanda. Aussi, nous voulons une diplomatie économique avec des puissances extérieures… Nous pensons qu’en négociant avec elles, nous pourrons obtenir, dans un partenariat gagnant-gagnant, l’exploitation des richesses du Congo qui représentent une opportunité pour l’humanité dans le contexte nouveau de la transition écologique », a-t-il dit. Halte à la présence de l’EAC ! «Je considère que ces pays sont juges et partis. C’est des pays pauvres comme nous, qui ont les mêmes intérêts que le Rwanda. Nous, nous pensons qu’il faut négocier avec les vrais partenaires, ceux avec qui nous pouvons défendre les richesses du Congo, défendre le Congo et développer ensemble ces potentiels pour l’intérêt de l’humanité. Il faut penser à leur départ. Ce n’est pas eux qui vont nous libérer parce qu’ils ne sont pas puissants que nous… Je ne les vois pas nous libérer encore qu’ils sont juges et partis… Nous pensons que ce que le Rwanda veut obtenir par l’agression, il peut l’obtenir par la coopération », a-t-il complété. Adolphe Muzito dit non au glissement «Je crois que nous sommes en train d’aller petit à petit vers le glissement parce que nous sommes en face de deux ou trois contraintes. La première contrainte, c’est le respect des délais. J’ai l’impression que puisque nous voulons consolider le fichier aujourd’hui, il faut passer à l’élaboration du projet de la loi relative à la répartition des sièges pour un processus dont l’enrôlement n’a pas eu lieu dans quatre territoires. La CENI ne saura pas présenter cette loi. Et si on ne présente pas cette loi qui repartit les sièges, il sera difficile de faire appel à candidature. Conséquence, on sera hors-délai. Nous avions proposé en son temps que Monsieur Tshisekedi accepte que nous fassions un forum informel qui allait discuter et proposer aux institutions, pour entérinement, des propositions des réformes. Il n’a pas voulu. Si nous franchissons les délais constitutionnels, c’est un pouvoir qui va tomber et nous serons devant un vide juridique», a-t-il prévenu. La Pros.
Augustin Kabuya Tshilumba, Secrétaire Général de l'UDPS, a rendu une visite de courtoisie ce dimanche 7 mai 2023 à Ne Muanda Nsemi en sa résidence de Macampagne, dans la commune de Ngaliema Le gestionnaire au quotidien du parti présidentiel et leader de Bundu dia Mayala ont échangé durant 45 minutes. Bien que rien n’ait filtré de leurs entretiens, il est, cependant, fort probable que des consultations autour de la problématique de la réélection du Chef de l’Etat avec une majorité confortable aient été au centre de ces échanges.
Il sied de noter que le Chef de l'administration du parti présidentiel était accompagné du Directeur de Cabinet Adjoint du Chef de l'Etat en charge des questions économiques et financières, M. André Wameso, du ministre provincial des Hydrocarbures du Kongo Central, Me Patrick Yala ainsi que de Madame Stella Tuanisha, membre de la Ligue de femmes de l'UDPS. (LPM avec Liberté Plus)
Lors de son meeting tenu dimanche 7 mai 2023 à Camping, dans la commune de Selembao, à Kinshasa, Martin Fayulu Madidi qui, comme dans bien de ses meetings populaires, a drainé de milliers de personnes de ce coin de la capitale et d’ailleurs à l’occasion. Plusieurs sujets ont été abordés lors de son allocution. Celui que certains considèrent comme le ‘’Président élu’’ a dressé un bilan ‘’très sombre’’ du régime en place. A l’en croire, tout ne marche pas et dans tous les secteurs de la vie : de l’économie à la sécurité, du social à la démocratie, etc. A ce sujet, le président de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (ECIDE) s’est demandé, avec courroux, ce qui fait à ce que rien n’avance au pays, même avec d’énormes potentialités que l’on dispose. «Pourquoi même avec d’énormes potentialités que dispose la RDC mais la vie sociale, la sécurité, l’économie…ne marchent pas ?», se demandait-il. La faute à tout cela, selon Martin Fayulu, revient sur le dos des dirigeants du régime en place qui, à l’en croire, font des choses sans moindre contrôle. Il accuse notamment, le Président de la République Félix Tshisekedi d’avoir passé des accords ‘’secrets’’ avec les ennemis de la RDC dont le Rwanda, parrain direct du mouvement des rebelles du M23 qui opère dans certains territoires de la République démocratique du Congo, dans la partie orientale. Par exemple, le leader de l’ECIDE indique que le fait pour Félix Tshisekedi d’accepter que la RD. Congo adhère à l’EAC est, sans nul doute, une manière de ‘’vendre aux enchères’’ l’intégrité de la RDC. Il s’explique en appuyant que cela non seulement par le fait que la RDC n’est pas un pays géographiquement situé dans la partie orientale du continent, parce que, l’EAC, de par sa nature, est une organisation qui regroupe des Etats de l’Afrique de l’Est (Comme le nom l’indique), mais aussi, parce que, dit-il, la majorité de pays membres de cette organisation sont des envieux du Congo et qui contribuent à sa déstabilisation. Tout ce cauchemar de guerre, de faim, et autres méfaits actuels prendrait fin, d’après le candidat malheureux, si et seulement si ‘’l’on n’avait pas volé le résultat de l’élection présidentielle en 2018 pour donner à quelqu’un qui n’a pas été élu par le peuple’’. Pour rappel, ce résultat lui attribuait 62 pourcentages selon l’Eglise catholique et selon plusieurs autres organisations privées. C’est pour cela qu’il a appelé la population congolaise à la vigilance pour que ce qui s’est passé lors des précédentes élections n’ait pas lieu. «Ne permettez pas que le mauvais jeu de 2018 où on vous a volé vous peuple le vrai résultat. Cette fois-ci, soyez prudent », a conclu Martin Fayulu. Fidel Songo