All Section

All Stories

Kinshasa : le Festival Africain du Mariage annonce sa 3ème édition du 15 au 16 septembre 2023


Après novembre 2020 et juillet 2022, la plateforme événementielle « Festival Africain du Mariage » organise sa 3ème édition, du 15 au 16 septembre prochain, au Pullman Grand Hôtel, à Kinshasa/Gombe. Placée sous le thème « Mariage, entre Tradition et Modernité », la présente édition traite des situations de conflits observées entre les cultures africaines et occidentales sur la notion du mariage.
Outre la cérémonie d’ouverture qui débutera dès 9 heures du premier jour, au Salon Congo, il est aussi prévu la tenue des Panels, des ateliers, d’une Soirée Célibataires et d’une grande Soirée de gala.
L’accès aux Panels est gratuit. Ces derniers sont à six à savoir :
1. Us et Coutumes Africains dont le thème s’intitule : « Préservation de l’identité culturelle du mariage en Afrique : influence de la modernité et rôle des médias »
2. Hommes qui évoque la question de l’: « épanouissement du couple et participation financière au budget du foyer »
3. Mariage & Stéréotype qui traite du sujet de la : « Promotion de l’inclusivité des différences dans le mariage »
4. Santé & Famille qui aborde l’angle : « Parlons planification familiale, régimes matrimoniaux, succession et relation de famille à distance »
5. Femmes qui débat sur : « Zoom sur la jeune fille et sa vision du mariage à l’ère des réseaux sociaux »
6. PME, Business et Finances qui se penche sur la : « Gestion des finances dans le foyer et les opportunités entrepreneuriales dans l’industrie du mariage ».
Hormis les panels, le programme prévoit neuf ateliers ci-après : Photos & vidéos, Musique, Décoration, Service-traiteur, Maquillage et coiffure, Stylisme, Textile, Wedding Planner et Composition des vœux. Tout comme les panels, l’accès est aussi gratuit.
Néanmoins, les soirées Célibataires et de Gala qui se dérouleront respectivement le premier et le second jour de l’événement, au Salon Congo du Pullman Grand Hôtel seront payantes. Cela est dû aux avantages et différentes surprises réservés aux participants.
Zoom sur le Festival Africain du Mariage
Initié par Madame Celly Ndiang, congolaise de la diaspora, le Festival Africain du Mariage est d’abord une vision, puis une structure visant, d’une part, la valorisation des valeurs culturelles du mariage en Afrique.
Et de l’autre, l’organisation d’un réseau d’affaires des professionnels œuvrant dans l’industrie du mariage par la constitution d’un annuaire facilitant la mise en relation entre l’offre et la demande.
John Ngoyi

 

Kinshasa : le Festival Africain du Mariage annonce sa 3ème édition du 15 au 16 septembre 2023

Média : Didier Cheriz représente la RDC à Shining stars Africa Awards 2023 à Johannesburg

Didier Cheriz, mieux connu au nom de ‘‘Papa Fraise’’, va défendre la République Démocratique du Congo à la soirée « Shinning Stars Africa Awards 2023 » à Johannesburg en Afrique du sud où il est nominé dans quatre catégories. Le jeune présentateur congolais est classé dans les catégories suivantes : Meilleure personnalité Télé et radio ; Meilleure personnalité média de l’année ; Meilleur influenceur des médias sociaux ; Meilleure personnalité masculine télé de l’année 2023 en Afrique.
Les informations à notre possession renseignent que plusieurs vedettes de média africains sont en lice pour ce prestigieux trophée de Shinning Stars Africa Awards 2023 qui honore les grandes réalisations et célèbre les talents des présentateurs télé et radio dans le continent.
La cérémonie solennelle de remise des prix et médailles d’honneur aux lauréats aura le 2 septembre prochain au Cotton Lounge à Johannesburg.
Celui que les téléspectateurs et auditeurs appellent affectueusement ‘‘Papa Fraise’’ pour sa douceur et son charisme est le seul journaliste congolais à être nominé à cette compétition internationale.
Plus de 10 ans de carrière professionnelle à succès, Didier Cheriz est un présentateur aguerri qui a fait ses preuves dans le paysage médiatique en RDC.
Il continue à défendre son art avec brio, pleine de passion et surtout dans l’excellence. Son travail est vivement apprécié par le public et salué par les responsables de la chaîne de télévision ‘‘Digital Congo’’, émettant depuis Kinshasa où il est resté fidèle malgré les vents et marées.
Didier Cheriz fait également partie des nouvelles générations de journalistes qui ont beaucoup d’influences auprès des jeunes dans les réseaux sociaux.
Très cultivé, dynamique, éloquent et ouvert d’esprit, le célèbre journaliste est aussi opérateur culturel. Il dirige aussi plusieurs autres projets dans le cadre de la promotion des artistes musiciens et de l'émergence de potentialité féminines.
Donc, Papa Fraise mérite les soutiens de toute la nation, avec l'espoir de remporter quelques trophées au cours de la 1ère édition de la Soirée Shinning Stars Africa Awards 2023 dont le verdict sera connu le 2 septembre au pays de Mandela.
Bonne chance!
Jordache Diala

 

Média : Didier Cheriz représente la RDC à Shining stars Africa Awards 2023 à Johannesburg

A la découverte de la gravure traditionnelle chinoise

À tous ses visiteurs, la Chine n'offre pas que le luxe et son hospitalité légendaire. Bien plus, elle présente une diversité culturelle impressionnante. La gravure des sceaux, dont il est question ici concrètement, en est une preuve suffisante.
Quid?
D'emblée, il faut vite noter que la gravure des sceaux est un art traditionnel chinois. Elle a été inscrite, officiellement, sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité en 2009.
Une reconnaissance due notamment à son influence répandue au niveau de l'Extrême-Orient.
D'après Li Zhe, professeur à Xi Jingzhai, par le passé, ou mieux durant les dynasties Shang (de 1600 à 1046 av. JC), la gravure servait à la production des signes distinctifs du pouvoir en Chine.
« L'art de couper les sceaux est profond et large, montrant le charme des anciens caractères et de la culture chinoise », a-t-il révélé, ce mercredi 23 août, aux professionnels des médias en formation, depuis près d'un mois, à Pékin, capitale de la République populaire de Chine, sous les auspices du CIPCC( Chinese international presse communication center).
"L’art de la gravure des sceaux est préservé notamment au sein de la Société des graveurs de sceaux de Xiling (province de Zhejiang, centre), fondée il y a un siècle, et d’une centaine d’autres institutions spécialisées. Le dessin est d’abord tracé sur papier, puis gravé à l’envers dans la pierre à l’aide d’un couteau. L’art de la gravure exige, outre la maîtrise de la calligraphie traditionnelle, une grande virtuosité, l’artiste ne disposant que d’un espace minuscule, où chaque courbe, chaque épaisseur de trait compte. Les motifs, très divers, sont le fruit de l’imagination et de la culture de l’artiste. Instrument de calligraphie et de peinture, le sceau est une œuvre d’art à lui seul. Il exprime les conceptions de toute une culture sur l’homme et la nature. Aujourd’hui, les sceaux continuent à être utilisés dans les documents officiels et la correspondance privée*, renseigne sur cette gravure traditionnelle chinoise qui, d'après l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la Science et la Culture), reste de plus en plus pratiquée par des professionnels, y compris les amateurs, même si la connaissance des caractères complexes se raréfie.
Gloire Mfemfere
Envoyé spécial à Pekin

A la découverte de la gravure traditionnelle chinoise

Dans l’ouvrage « conflits et guerres au Congo des grands-lacs » : Le professeur Jean Kambayi démontre combien la RDC est dans une colonisation économique

Depuis 1965, c’est plus de 60 ans aujourd’hui qu’il s’observe un climat de guerre et d’insécurité en République Démocratique du Congo, semant peur et désolation dans les cœurs de la population. Cette observation faite par Jean KAMBAYI BWATSHIA, dans son ouvrage intitulé : « conflits et guerres au Congo des grands-lacs », retrace en long et en large le quotidien long et difficile du parcours d’un peuple vivant avec une somme des sentiments négatifs retenus prêt à exploser, un peuple qui jusqu’à ce jour cris alerte. Ce peuple, bien connu, c’est le peuple congolais.
L’auteur ouvre par l’affirmation selon laquelle, les péripéties sur les conflits et guerres de ce peuple restent énormes. Il pense que le problème majeur réside à la réponde de cette question : est-ce le peuple le problème ou soit le pays ? Jean Kambayi reconnait que ce peuple, nombreux soit-il mélangé des personnes venues d’ailleurs pendant l’époque coloniale ou après qui se sont installées et aujourd’hui porte la nationalité congolaise. Il se demande, aussi, dans ce même ouvrage, si et seulement si cela reste jusqu’ici la vraie raison qui justifie tout ce qu’il vit actuellement.
Pour lui, ce mélange des peuples se frottant aux congolais, et qui a réussi à porter les couleurs de la République, ne devrait nullement être appelés congolais.
« Les puissances mondiales rodent depuis plus d’un siècle comme des vautours gloutons autours de multiple richesses que possède le Congo-Kinshasa. Elles se rassemblent pour établir des stratégies sur la manière à exploiter une richesse qui n’est pas la leur. Les questionnements restent abondants sur la vrai nature de leur présence dans le pays, bien que disant voulant aider, cache t-ils d’autres intensions visant à s’enrichir en minerais et autres ressources de ce pays ? Sa Sainteté le Pape François lors de sa visite apostolique en RDC a déclaré « La RDC n’est pas une mine à extorquer ou un pays à dévaliser », s’exprime l’auteur.
Il poursuit en disant, par ailleurs que, les auteurs semeurs de trouble aujourd’hui dans la partie Est de la RDC sont aussi certains fils et filles du pays qui par vengeance tribale sème la terreur et la frayeur dans le cœur de leurs frères du même pays, victimes des injustes sociales.
Il réfléchi, en suite que d’une part comme d’une autre, il faut comprendre que la RDC, un si grand pays très riche qui a neuf voisins, ne peut qu’être convoitée et être confrontée à des sérieux problèmes. « Son emplacement est la raison de son malheur ? Sa richesse souterraine est certainement sujet de convoitise extérieure la base de tout ce conflit et guerre durant plusieurs décennies à ce jour. Les yeux du monde entier sont tournés vers ce pays à la potentialité inégalable en termes de ressources et aussi elle est une aide climatique », conclu l’auteur.
Sinon, Jean Kambayi est de ceux qui estiment que la République Démocratique du Congo est victime d’une colonisation économique. Néanmoins, il reconnait, quand bien même ces velléités, que le peuple congolais est décidé « à ne plus souffrir de ce cycle infernal d’insécurité et se dit prêt et debout pour tout affronter, tout, quoi qu’il en coûte pour arriver à arrêter ces guerres et conflits qui sévissent depuis plusieurs années ».
Grâce Bonebana

Dans l’ouvrage « conflits et guerres au Congo des grands-lacs » : Le professeur Jean Kambayi démontre combien la RDC est dans une colonisation économique

Nouvelle parution chez vos libraires : Pasu Lundula revient et signe l’ouvrage « LE CHRISTIANISME sans cagoule »

Après « Les Collabos », « Fanon l’Insoumis », « Lumumba profané », « Kasavubu. Le vendu », « Congo-Belgique. Entente impossible », « Tshombe. La honte de l’Afrique », « Tshisekedi. Est-ce l’homme qu’il faut ? » et tant d’autres livres de référence, le libre-penseur, chercheur émérite, Pasu Lundula éventre le boa en vue d’extirper et mettre à nu le christianisme. Comme de coutume, une série d’interrogations sont énumérées dans la quatrième de couverture : « Le christianisme est-il la voie du salut éternel ? Est-il une religion fraternelle ? Qu’a-t-il apporté à l’homme de couleur ? Jésus est-il le Sauveur de l’Humanité ? Pourquoi le péché originel est-il un gros point d’interrogation ? La Bible est-elle la parole de Dieu ? Qu’est-ce que le Vatican ? … »
Cet ouvrage de près de 350 pages a une bibliographie riche. Tel un vieux « rat » des bibliothèques, l’auteur a rongé plusieurs livres tels que « L’Essence du Christianisme » de Ludwig Feuebarch, « Les Inventions du Christianisme » de René Remond, entretien avec Marc Leboucher, « Jean-Paul II » écrit par Bernard Lecompte. La table de matières est alléchante avec des chapitres non sans controverse : Trois papes au scalpel (Jean-Paul II, Benoît XVI, François) ; Les charlatans (Branham, Abd-Ru-Shin, Moon, Bonnke) ; La haine des Noirs ; La prêtraille nègre (Malula, Youlou, Tchidimbo, Muzoxera ; Monsengwo ; Tutu ; Ambongo. On a achevé de l’imprimer en août 2023.
« LE CHRISTIANISME sans cagoule » comporte trois préfaces (2014, 2020, 2023). Dans cette troisième édition, Pasu Lundula a mis en exergue le témoignage de celui qui est allé plus loin, que les autres, dans l’intensité de l’expression du sentiment éprouvé, en l’occurrence, Ray Sendwe. « Je tiens à vous remercier pour le livre Le Christianisme sans cagoule qui m’a éveillé voire délivré », a écrit ce lecteur. L’écrivain résume ces quelques mots en un seul : « Pathétique ».
Dès l’entame du premier chapitre, « Le procès », Pasu Lundula récidive dans les tirs à boulets rouges en ces termes : « Le Vatican est le berceau du suprématisme blanc : il reste englué dans ses préjugés idiots sur les Noirs qu’il a toujours considérés, non pas à l’image de Dieu, mais du Satan. Le Blanc a toutes les raisons du monde pour être chrétien car le christianisme est le palladium de la race blanche à l’époque. Le christianisme est le socle du suprématisme blanc », lance-t-il. Dans les paragraphes suivants, l’auteur va encore plus loin en arguant que le Vatican est un Etat repu qui a des actions qui s’élèvent à des milliards de dollars dans les multinationales comme Shell, General Motors, General Electric et a massivement investi chez les Rothschild.
Selon Pasu Lundula, l’Eglise catholique est une multinationale plus puissante et plus dangereuse, pour les pays d’indépendance récente, que toutes les multinationales réunies. Sans langue de bois, cet écrivain affirme que la doctrine chrétienne a été l’arme idéologique du colonialisme, et qu’elle est la soupape de sécurité du néocolonialisme ; sa mainmise sur l’éducation, dans les pays en développement où l’Eglise chrétienne est prédominante, lui a permis de dompter l’esprit des autochtones.
Lundula peint dans un tableau sombre les trois récents papes qui se sont succédé au Vatican. Quoique qu’il reconnaisse, néanmoins, que François a suscité un immense espoir chez les catholiques par sa résolution de réformer le Vatican et de dépoussiérer l’Eglise en épousant les grandes questions de notre temps, comme la répartition des richesses, l’équité et la justice, la modernité, le rôle et la place de la femme, la nature du mariage, etc. Il revient aussi sur la récente visite du Souverain pontife au pays de Lumumba. C’est un livre très intéressant.
Pasu Lundula dit que William Marion Branham est un charlatan. « Sa doctrine, qui dérive du pentecôtisme, inspire les néoconservateurs yankees, les Bush et leur clique, cette bande des fous enragés qui ont plongé l’Humanité dans l’effroi par leur délire messianique. », écrit-il à la page 118. Des propos très durs. L’écrivain cite trois autres charlatans dont Moon et Bonnke. Dans la foulée, il donne un coup de projecteur sur la prêtraille nègre qui a pondu en 1956, au moment où des secousses indépendantistes secouaient l’Afrique, un document qui fit grand bruit : Les Prêtres noirs s’interrogent.
Pasu Lundula crie dans cet ouvrage, de toutes ses fibres, son horreur du christianisme. Dans son dernier mot, il s’interroge à nouveau comme suit : « Qu’apporte le christianisme à l’homme de couleur ? Non, mille fois non, le christianisme n’est pas la grande école de la fraternité humaine ; il n’est ni une religion fraternelle ni une religion d’égalité non plus : il est au service exclusif de la race blanche ; n’a-t-il pas proclamé solennellement, de Saint Augustin à Pie X en passant par Bossuet, le principe de l’inégalité de droit divin ? Cet axiome reste le fondement même de la religion chrétienne. Le reste, c’est du taratata. » Il invite ses lecteurs à retenir ces deux cruelles évidences : 1. L’humanisme chrétien est une hypocrisie qui sent mauvais ; 2. Le christianisme est une doctrine du mal. A chacun de juger.
James Mpunga Yende

Nouvelle parution chez vos libraires : Pasu Lundula revient et signe l’ouvrage « LE CHRISTIANISME sans cagoule »

Après son expertise aux Jeux de la Francophonie, Éric Nice désigné Directeur artistique de la célébration 40 ans de carrière musicale de Reddy Amisi

Le savoir ne ment jamais. Lorsqu'on connaît, on connaît.  Et on en est fière. Comme a dit la légende Koffi Olomide: "koyeba mosala esala ka elengi moko boye". C'est le cas d'Éric Nice Diba, Directeur artistique des 9ème Jeux de la Francophonie à Kinshasa. Ce jeune congolais est un expert en scénographie et un génie en événementiel. Sa dernière touche magique a été expérimentée pendant ces Jeux dont il fait partie des artisans du succès en RDC. 

Considéré comme un héros dans l'ombre, Eric Nice a fait ses preuves dans la mission qui lui a été confiée par le Comité national des Jeux de la Francophonie. Car, il a parfaitement joué son rôle de directeur artistique de cet événement sportif et culturel de grande envergure qui vient de redorer l’image de la RD.Congo sur l’échiquier international.

Aux côtés du Directeur national Isidore Kwanza, Nice Eric DIBA a mis toute son intelligence artistique pour la réussite de cet évènement planétaire dont l'organisation congolaise a mis tout le monde d'accord. Il faut apprécier l’homme à son époque, dit-on.

Après son apport considérable aux Jeux de la Francophonie, Eric Nice DIBA est encore sollicité par le chanteur Reddy Amisi Bailo

 Canto pour gérer la direction artistique de série de spectacles marquant la célébration de ses 40 ans de carrière musicale.

Une fois de plus, il va s’occuper de la scénographie, scénario et va surtout s’assurer de la qualité et de la réussite du projet dans le fond comme dans la forme.

Comme aux Jeux de la Francophonie, Nice va apporter son expertise dans l’ensemble de l’organisation des festivités qui commencent déjà ce week-end au Couloir Madiakoko, à Matonge.   

Il sera question de s’assurer que Reddy Amisi et ses musiciens disposent tous les éléments artistiques et techniques pour mieux s’exprimer sur scène.

Pour nombreux observateurs avertis confirment que le patron du groupe La ‘‘Casa do canto’’ a fait un choix judicieux en travaillant avec Nice, qui est un professionnel réputé en matière d’organisation de scène dans la sphère de l’évènementiel en RDC.

Cela prouve que Bailo Canto tient à la réussite de la célébration du quarantième anniversaire de sa vie musicale.  

En bon disciple de l’art d’Orphée, Reddy Amisi veut rendre l’ascenseur aux mélomanes qui l’ont soutenu depuis quatre décennies et ont fait de lui une véritable icône de la Rumba congolaise.

Zoom sur Eric Nice

Pour ceux qui ne le savent pas, il faut retenir que Nice est un génie et un magnifique créateur de bandes originales, musiques de films et jingles publicitaires. Mais avant, il est artiste polyvalent : auteur-compositeur et chanteur actif. Ses performances scéniques hors normes ont permis qu’il puisse collaborer avec plusieurs grands noms de la scène musicale à Kinshasa, en Afrique et tant d’agences de communication, évènementiel ainsi que des organisations institutionnelles en RDC et à l’étranger. Notamment : ‘‘Optimum communication’’, ‘‘Pygma’’, ‘’Cmct FCB’’, ‘‘Ocean Ogilvy’’, ‘‘Ginger Picture’’, ‘‘Ibiscube paris’’, ‘‘To sala film RDC’’,’’ Real Art’’, ‘‘D-Way’’, ‘‘Rochas Event’, ‘‘The Bee’’, ‘’Bibomba record’’, ‘‘FIRE’’, ‘‘FESTILEY’’, Gouvernorat de Kinshasa, la marque Castel Beer.

Patron des studios « Credo Création », Éric Nice inspire confiance et influence certains amateurs d’Arts et de culture.  Très innovateur et ouvert d’esprit, cet esclave du travail vit entre studio, events, spectacles, plateaux de tournage et représentations dans différents pays d’Afrique et dans le monde.

Jordache Diala

Après son expertise aux Jeux de la Francophonie, Éric Nice désigné Directeur artistique de la célébration 40 ans de carrière musicale de Reddy Amisi

Avec son thème « Jazz et démocratie » , Que veut Paul Le perc pour la 7ème édition du festival Kinshasa Jazz ?

Paul Ngoy Le perc, precurseur du jazz en RDC

 

Le festival Kinshasa Jazz poursuit son bonhomme de chemin. Après le succès récolté lors de sa 6ème édition, ce projet initié par le célèbre percussionniste et jazzman congolais, Paul Ngoy alias ‘‘Le Perc’’, s’apprête à recevoir encore les amoureux de la musique Jazz à Kinshasa.

Comme chaque saison, Kinshasa Jazz est caractérisé toujours par une thématique qui permet aux mélomanes de décortiquer ce courant musical partant de son origine, son influence et surtout son apport dans l’histoire de l’humanité. « Jazz et démocratie » est le thème retenu pour la 7ème Edition de Festival qui va se dérouler du 8 au 9 septembre 2023 sur la Rue du Jazz, en plein centre-ville dans la commune de la Gombe.

Très intéressante, cette thématique suscite déjà plusieurs questionnements dans le chef des pensées des observateurs avertis dont certains sont impatients pour engager le débat avec le promoteur du festival afin de tirer le verre du nez.

En attendant la conférence de presse, Paul Ngoy, en qualité du précurseur de cette musique en RDC, a toutefois, essayé de donner quelques éclaircissements sur base de l’approche choisie pour le thème. « C'est parce que ça coïncide avec l'année électorale en RDC. Et aussi, j'étais inspiré par Wynton Marsellis qui avait fait un disque pendant le confinement qui expliquait le rapport qui a entre le Jazz et la démocratie.  Si je reprends les termes de Wynton Marsallis, il dit le Jazz est une parfaite métaphore de la démocratie. C'est plusieurs artistes qui jouent, chacun intervient à son tour mais ensemble on crée une œuvre commune. Et la démocratie, c'est aussi le vivre ensemble. Et dans notre pays, on a besoin de ça. Que la démocratie ne soit pas seulement un nom, République démocratique du Congo mais que ce soit vraiment du vécu. Et à travers cette édition du Jazz festival, nous allons profiter pour parler du Jazz qui a pu rassembler les gens dans une période difficile aux États Unis et pourquoi pas au Congo, grâce au Jazz, que les gens se mettent ensemble », a-t-il expliqué.

Et de souligner : « Parce que le Jazz est né à l'époque de la ségrégation aux États Unis et qu'elle ait permis de rassembler les couleurs, nous allons rassembler toutes les couches sociales pour célébrer la musique et consolider la paix ».

Comme à chacune des éditions, Kinshasa Jazz accueille des artistes venant de tous les horizons. "Nous aurons des artistes qui vont venir des pays étrangers notamment, nous aurons une chanteuse belge d'origine sicilienne qui s'appelle Constanza Guzman et nous aurons aussi Anna Paulina de la Suède", a annoncé le géniteur de l’orchestre J’affroz.

Toutefois, la grande des fans est que le Festival fait son comeback sur la Rue du Jazz, qui est considéré comme sa terre d’origine où il avait trouvé ses racines légendaires, après plus 3 ans d’absence.

Crée en 2017, le projet Kinshasa Jazz est une tribune qui programme uniquement les artistes pratiquant la musique Jazz. Au-delà de la partie évènementiel et artistique scénique, l'idée du festival est de faire découvrir au public kinois le jazz, un genre musical né aux Etats Unis d'Amérique, dans toute sa dimension. Il organise aussi des ateliers et autres conférences entre les initiés autour du jazz et ses principes.

Jordache Diala

Avec son thème « Jazz et démocratie » , Que veut Paul Le perc pour la 7ème édition du festival Kinshasa Jazz ?

Du 18 au 27 août 2024 à l’espace Food Arena : Kinshasa abrite la 3ème édition du festival Congo Food Week contre la faim en RDC

La promotion de l’art culinaire fait partie de politique adéquate pour booster l’entrepreneuriat dans le secteur de la restauration et aussi pour lutter contre la faim en République Démocratique du Congo. C’est dans cet esprit que Congolicious Fondation organise la 3ème édition du Festival Congo Food Week, qui ouvre ses portes à la population du 18 au 27 2023, à l’espace Food Arena, sur le boulevard du 30 Juin, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa.  

Dans un entretien accordé à la Presse, Manassé Mbala, Chargé de communication du projet, a fait savoir que Congo Food Week est un festival culinaire qui lutte contre la faim en RDC. Désormais, ce festival est organisé chaque année par ‘‘Congolicious Fondation’’ pour collecter des fonds afin de venir en aide aux personnes touchées par la faim. « Les bénéfices du Congo Food Week seront destinés dans les actions de lutte contre la faim et tous ses contours en République Démocratique du Congo. C’est ça notre objectif principal », a-t-il souligné.

Place à la promotion de l’entrepreneuriat dans le secteur culinaire

Pour les organisateurs, cette troisième édition se penche automatiquement sur l’entrepreneuriat dans le but d’accompagner les entrepreneurs congolais qui ont des projets innovants et viables dans le secteur de la restauration.

« L’organisation met en avant les acteurs congolais du secteur alimentaire. Ce festival ouvre à la population un nouvel accès à la culture Congolaise plus précisément dans le secteur culinaire et fait rayonner leur dynamisme à faire changer les choses pour le bien-être de tous », a indiqué le responsable de communication du Festival.

Et d’ajouter : «« Notre mission est de vendre une image positive de la République démocratique du Congo dans le secteur culinaire et de l’entreprenariat. La vision est de voir des nouveaux restaurants détenus par les Congolais émerger à Kinshasa. Notre festival met en exergue le concept de ces entrepreneurs sur toutes les plateformes digitales. Cette politique leur donnera l’occasion de présenter leurs projets en présentiel au grand public durant la semaine de l’évènement proprement dit. Congo Food Week aspire à devenir la vitrine des chefs, restaurants, artisans et producteurs alimentaires congolais ». 

En termes d’activités, le festival prévoit plusieurs activités qui se résument autour d’un programme alléchant afin de permettre au public de découvrir encore la quintessence de ce projet. 

« Ce programme commence par le food court pour le renforcement des restaurateurs nationaux. Il est prévu également des expositions et découvertes des spécialités, ventes et dégustation des menus et autres produits du terroir, des conférences sur la nutrition, des ateliers interactifs. Il y a aussi du live cooking avec des chefs congolais, dans un espace attrayant sur les thématiques culinaires, avec les enjeux de société et d’ambiance festive », a annoncé Manassé Mbala.

Un festival fédérateur pour le bien-être

Ce festival culinaire vise à s’inscrire parmi les initiatives fédératrices de solidarité et de bien-être de toute la population de la RDC.

Pour ce faire, la Fondation sensibilise également la population sur l’existence de la malnutrition, de l’insécurité alimentaire et sur la collecte des Fonds pour mener le combat contre la faim, qui constitue un grand fléau pour le pays.

« L’idéal est de se positionner comme le premier festival culinaire du pays », a conclu la voix autorisée de Congo Food Week, invitant le public à venir nombreux pour découvrir l’art culinaire congolais dans toute sa diversité.

Il faut noter que l’édition 2022 du festival Congo Food Week a connu un succès attrayant et époustouflant qui renseigne un bilan positif avec 10 ateliers, 20 restaurateurs et producteurs locaux, plus de 2000 festivaliers pendant six jours des activités. La saison a été sanctionnée par un geste d’assistance alimentaire apporté à plus de 1200 déplacés dans le Nord-Kivu, plus spécifiquement dans le site des déplacés de Kanyarutchiya.

Jordache Diala

 Du 18 au 27 août 2024 à l’espace Food Arena : Kinshasa abrite la 3ème édition du festival Congo Food Week contre la faim en RDC

A travers la Culture, les arts et les sports en RDC, Malafi Niamba lance le projet « Mwindeur Crossroads » pour l’engagement citoyen des jeunes

La culture, les arts, les sports et les loisirs, vecteurs de l’engagement citoyen pour la jeunesse en République Démocratique du Congo est le thème d’une conférence organisé par la Maison Mwindeur, dans la commune de N’djili à Kinshasa.

Pour son initiateur, cette conférence s’inscrit dans le cadre d’activation du projet « Mwindeurs Crossroads » qui est un carrefour d’apprentissage et de partage sur les différents métiers du secteur culturel pour le développement communautaire durable. ‘‘La culture, les arts et le sport sont des secteurs d’activités qui boostent les jeunes à être citoyens responsables’’, a précisé son Malafi Niamba, Entrepreneur culturel et Promoteur de la ‘‘Maison Mwindeurs, au cours de son exposé.

Il a signifié que cette thématique trouve tout son l'intérêt et toute son essence dans la mesure où elle permet de renforcer et valoriser le potentiel de la jeunesse congolaise dans ces trois domaines.

« La culture, les arts, le sport et les loisirs, vecteurs d’engagement citoyen permettent de révéler une conscience culturelle et sociale de jeunes préoccupés et mobilisés, autour des questions environnementales, de genre et de droits humains », a-t-il souligné. 

Et de poursuivre : « le projet Mwindeus Croossroads se présente comme une aubaine pour apprendre et encadrer les jeunes artistes et femmes, en leur faisant bénéficier des différentes formations, entre autres : les langues et civilisation ; la Communication et marketing ainsi que la Création artistique et technique ; ainsi que d’autres disciplines sportives. Notre souci est de renforcer en capacités les acteurs socio-culturels et accompagner la promotion de la culture comme vecteur de changement pour le développement des communautés ».

Pour les organisateurs, l’objectif de ce projet thème est d’offrir aux jeunes une perspective d’avenir en termes d’épanouissement socio-culturel.  

« Le développement du secteur socio-culturel constitue un enjeu majeur à la cohésion sociale et à l’épanouissement du jeune. Le secteur contribue à repositionner le jeune en tant que force positive et acteur du changement », a martelé Malafi Niamba.

Et d’ajouter : « N’djili est la commune pilote pour démarrer ce projet Mwindeus Croossroads qui vient d’être à ce jour lancé et qui va prendre fin le 19 septembre 2025 ».

Une centaine des participants (vieux et jeunes) ont assisté aux exposés du panel qui a été composé des experts en entrepreneuriat socioculturel et sportif venus de Kinshasa et de Brazzaville.

Jordache DIALA

A travers la Culture, les arts et les sports en RDC, Malafi Niamba lance le projet « Mwindeur Crossroads » pour l’engagement citoyen des jeunes

Culture : le festival pour la promotion de l’art culinaire annoncé du 18 au 27 août à Kinshasa

La troisième édition du festival pour la promotion de l’art culinaire, « Festival Congo Food Week » aura bel et bien lieu du 18 au 27 août à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo. Ces assises se veulent un cadre de lutte contre la faim et d’accompagner les entrepreneurs congolais qui ont des projets innovants et viables dans le secteur de la restauration.

«Le Festival Congo Food Week est une initiative qui vise à lutter contre la faim en République démocratique du Congo. Elle va se dérouler pendant une semaine à l’espace Food Aréna, sur le boulevard du 30 Juin, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa. Ses retombées financières seront affectées à une organisation spécialisée dans la lutte contre le problème de malnutrition », a indiqué Manassé Mbala, responsable de communication dudit Festival, avant toutefois d’ajouter : « L’événement est non seulement un rendez-vous des gourmands mais aussi une rencontre des philanthropes. Il ouvre à la population un nouvel accès à la culture Congolaise plus précisément dans le secteur culinaire et fait rayonner leur dynamisme à faire changer les choses pour le bien-être de tous».

A l’en croire, la troisième édition de ce festival se penche sur l’entrepreneuriat dans une optique divertissante et engagée. Le but étant celui d’accompagner les entrepreneurs congolais qui ont des projets innovants et viables dans le secteur de la restauration. Congo Food week aspire à devenir la vitrine des chefs, restaurants des artisans et producteurs alimentaires congolais.

Par ailleurs, cette activité est aussi une occasion primordiale de vendre une image positive de la République démocratique du Congo dans le secteur culinaire et de l’entreprenariat. « La vision est de voir de nouveaux restaurants détenus par les Congolais émerger à Kinshasa. Le festival Congo Food Week met en exergue le concept de ces entrepreneurs sur toutes les plateformes digitales. Cette politique leur donnera l’occasion de présenter leurs projets en présentiel au grand public durant la semaine de l’évènement proprement dit », a signifié Manassé Mbala.

Au menu, plusieurs activités sont prévues lors de cet événement, entre autres : le Food court pour le renforcement des restaurateurs nationaux ; des expositions et découvertes des spécialités ; vente et dégustation des menus et autres produits du terroir ; des conférences sur la nutrition ainsi que des ateliers interactifs.

Signalons que la dernière édition du festival Congo Food Week a été organisée en 2022. Elle a connu 10 ateliers avec la participation de 20 restaurateurs et producteurs locaux et plus de 2000 festivaliers pendant six jours des activités. Elle a été sanctionnée par un geste d’assistance alimentaire apporté à plus de 1200 déplacés de Kanyarutchiya dans le Nord-Kivu.

Ronsard Malumalu

Culture : le festival pour la promotion de l’art culinaire annoncé du 18 au 27 août à Kinshasa

Kinshasa : Elyse Mupa encourage les femmes à s’imprégner dans les arts, sports et cultures

La ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, regorge beaucoup de talents artistiques et culturels. Cependant, de nombreux talents sont perdus par manque d’encadrement et accompagnement. C’est dans ce contexte que le projet "Mwindeurs crossroads" a été lancé par quatre différentes structures notamment, la SADEK Kinshasa, représentée par Elyse Mupa. Cette dernière a laissé entendre que ce projet se veut un cadre idéal pour pousser les jeunes congolais aux arts culturels. Ainsi, elle a invité les femmes à aimer les arts, les sports et les cultures.
Prenant la parole en présence de Malafi Niamba, Elyse Mupa représentante de la SADEK Kinshasa, l’une des structures qui ont lancé le présent projet, a indiqué que, l'art et la culture jouent dans toute société un rôle particulier. Et dans ses efforts, ils visent à réduire la pauvreté et les inégalités. «Il s’avère qu’aujourd’hui, les gens négligent un peu la culture, les arts et les sports. Ils ne se donnent plus assez, mais ceux qui se donnent n’ont pas de projet concret ; ils veulent seulement à l’international mais après cela, ils n’ont aucune suite favorable. C’est dans ce contexte que nous avions voulu d’abord les motiver, encourager à aimer l’art culturel mais aussi à s’imprégner du projet », a-t-elle signalé, avant toutefois d’ajouter que, l’art et la culture sont des instruments au service de la liberté d’expression, de la promotion de la paix et du développement durable.
Par la suite, Elyse Mupa, a signalé que ce projet est basé sur 19 formations qui seront organisées dans le district de la Tshangu, singulièrement dans la commune de N’djili. A l’en croire, cette occasion se veut aussi un cadre de faire comprendre aux différentes personnes qui vont prendre part à cette formation, l’importance de l’art culturel : « Par rapport à notre structure, nous savons très bien qu’aujourd’hui dans l’art culturel ce sont plus les hommes qui se lancent plus que les femmes. Ainsi, nous avons voulu encourager les femmes à aimer les arts, les sports et les cultures », a fait savoir Elyse Mupa.
En gros, le projet "Mwindeurs crossroads" est un réseau de quatre structures, dont il a ouvert ses rideaux depuis samedi 12 août 2023, et ira jusqu’au 19 septembre 2025. Il a pour objectif primordial d’organiser un cadre d'apprentissage et partage sur les différents métiers du secteur culturel pour le développement communautaire, où les jeunes artistes et femmes de la commune de N'djili bénéficient d'une série de 19 formations sur les langues de civilisations étrangères, l'administration et gestion de projets communautaires, communication marketing ainsi que la créativité artistique.
Ronsard Malumalu

 

Kinshasa : Elyse Mupa encourage les femmes à s’imprégner dans les arts, sports et cultures

Sous-catégories

Image

Download Our Mobile App

Image
Image