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Culture : Vova Théâtre présente "Les morts ne peuvent mourir" !

Dans le cadre de sa rentrée culturelle Vova Théâtre, une structure théâtrale de la place, s'est fait le plaisir de présenter une lecture théâtrale dénommée "Les morts ne peuvent mourir" de Merdi Mukore, le samedi 23 septembre dernier, à l'espace Plateforme Contemporaine, au quartier Beau-Marché - dans la commune de Barumbu. Une lecture qui a été finement exécutée par Salomon Okitango, Melissa Lupola et Aaron Lukamba qui, du reste, est le fondateur de Vova Théâtre.

Il était question, dans cette œuvre, de l'histoire d'un Chef politique, ex. président d'un pays, qui nourrissait l'ambition de revenir aux affaires, peu importe le prix qu'il pourrait en coûter. Une œuvre au travers de laquelle ces artistes ont soulevé beaucoup de problématiques qui se rapportent à la culture des processus électoraux dans les pays d'Afrique subsaharienne. Une thématique qui devrait pousser d'aucuns à davantage réfléchir sur comment améliorer la culture électorale dans nos pays.

Il y a lieu, par ailleurs, de souligner que Vova Théâtre est une structure théâtrale créée par Aaron Lukamba, acteur - artiste comédien et dramaturge congolais, qui est basée à Kinshasa. De son nom Vova qui veut dire "parler" et Théâtre "représentation", cette structure, à l'instar des instances de palabre africain, s'est donnée la vocation d'être un cadre qui fait écho lorsque se présente la nécessité de tabler - régler ou dénoncer des problèmes sociétaux en vue d'une résolution de ces derniers. Aaron Lukamba, Président de la structure, a promis, lors d'une interview, qu'un autre projet était en cours de préparation dans les cuisines de Vova Théâtre, et que ce dernier pourrait être dévoilé d'ici le mois de décembre prochain. Une initiative qui, de plus bel, place l'art face à ses responsabilités sociétales.

Peter Ngoyi

 

 

Culture : Vova Théâtre présente "Les morts ne peuvent mourir" !

En marge de la célébration de ses 89 ans d’âge, Culture : Jeannot Bombenga met certains matériels de son art à la disposition du musée de la Rumba !

L’artiste Musicien Jeannot Bombenga remettra, au cours d’une cérémonie prévue le 28 septembre 2023, une partie de ses matériels au musée de la Rumba. Une manière pour l’artiste de célébrer autrement ses 89 ans de naissance et d’offrir à des générations futures les instruments musicaux historiques qui ont construit sa carrière d’artiste.
D’après un de ses collaborateurs, cette action qui sera posée par l’artiste est une occasion pour que les jeunes talents et d’autres désireux se souviennent non seulement de lui mais aussi des personnages ayant marqué l’histoire de la Rumba à travers les instruments.
Ainsi, tout comme Simaro Lutumba avait remis au président Joseph Kabila sa guitare pour marquer la fin de sa carrière, Bombenga deviendra le deuxième artiste musicien en vie à offrir ses biens artistiques à des étrangers.
Jeannot Bombenga Wewando aka Jeannot Bombenga fut un auteur-compositeur, arrangeur, producteur et excellent vocaliste et guitariste. C’est lui qui a popularisé le ‘’mongo’’, une des langues congolaises peu utilisée dans la Rumba congolaise.
Né en 1934, Jeannot Bombenga a débuté sa carrière à l’âge de 23 ans, soit en 1957 sur un bateau de l’Otraco dont il était agent. C’est en pleine navigation vers Kisangani qu’il interprétait les œuvres de Joseph Kabasele « Kallé Jeff ». Une situation qui va permettre aux deux hommes de se lier d’amitié.
C’est en 1959 qu’il va entamer une carrière professionnelle en créant son groupe dénommé ‘’ Vox-Africa ‘’en collaboration avec Franklin Boukaka venu de Brazzaville. Malgré cela, son succès ne durera que le temps d’un feu de paille.
Raison pour laquelle il va intégrer en 1963 l’orchestre African-Jazz de Grand Kallé après le départ de Nico Kassanda, Roger Izeidi et Pascal Tabu Rochereau.
Cependant, en 1968, Jeannot Bombenga quitte son mentor Joseph Kabasélé pour voler de ses propres ailes en solo au sein de son orchestre Vox Africa.
Un orchestre qui a ouvert ses portes à plusieurs autres artistes parmi lesquels Sam Mangwana (1967), Ntesa Nzitani Dalienst (1967-1968), Marcel Loko Massengo Djeskain (jusqu’en 1970), Antoine Nedule Monswe Papa Noël (jusqu’en 1968), ou Souzy Kasseya (1968-1973).
En 1969, Franklin Boukaka abandonne son orchestre Cercul-Jazz de Brazzaville pour rejoindre de nouveau Bombenga et le Vox- Africa.
Parmi les œuvres phonographiques qui ont fait sa notoriété, on peut citer ‘’Mado ‘’, Bébé 68 et autres ‘’ Lolango ‘’, chantée en Mongo.
Selon les musicographes Jeannot Bombenga a boosté considérablement la rumba congolaise en y injectant du rock et en revisitant des classiques de la musique congolaise. Telles est sa contribution dans la musique congolaise.
Nelly Somba

 

En marge de la célébration de ses 89 ans d’âge, Culture : Jeannot Bombenga met certains matériels de son art à la disposition du musée de la Rumba !

Ouvert au Palais du peuple ; La 7ème édition du CINEF consacrée à l’industrialisation du cinéma congolais

C’est le 17 septembre dernier en la salle des spectacles du Palais du peuple que la 7ème édition du Festival cinéma au féminin (CINEF) a ouvert officiellement ses portes au public. Il faut noter que le CINEF 2023 est consacrée à l’industrialisation du cinéma congolais, a déclaré la présidente de cet événement. Cette thématique fera l’objet de différentes rencontres et débats, a souligné son initiatrice et Président durant les 5 jours du festival.
«La 7ème édition du Festival du cinéma au féminin (CINEF) vise à fédérer nos forces pour le développement économique du cinéma congolais, afin de contribuer à la promotion de l’autonomisation de la femme. J’aimerais de prime à bord, saluer votre présence ici au palais du peuple à la cérémonie d’ouverture de la 7ème édition du CINEF qui se penche sur «L’industrialisation du cinéma congolais’’», a déclaré Clarisse Muvuba.
Et d’ajouter : «Comme lors de l’édition précédente, nous nous sommes fixés comme objectif cette année, de fédérer nos forces, pour le développement économique du cinéma de la République démocratique du Congo, à travers ‘’CINEF’’ qui est un véritable cadre de partages, de réflexions et de bonnes valeurs».
Mme Muvuba, ensemble avec tous les professionnels du secteur, compte relever les défis de leur métier. «Dans un contexte de convivialité, nous voulons, à travers cette 7ème édition du festival cinéma au féminin, donner le ton du renouveau à travers différentes opportunités qui découleront».
A cet effet, la présidente a invité les festivaliers à une très bonne évasion. «Pour cette 7ème édition, la sélection est au goût multiculturel, 36 films ont été sélectionnés et 3 séries congolaises. Les projections sont prévues en trois sites notamment, le Palais du peuple, le Centre Wallonie Bruxelles et la place commerciale ‘’7ème rue Limete’’. Tous en sections compétitives dont cinq (5) longs métrages, six (6) documentaires, douze (12) courts métrages et huit (8) films en cinéma d’animation et sept (7) autres en compétition nationale », a indiqué l’oratrice.
SIRA ouvre le bal du festival
Parmi les films programmés, il sera projeté le film « SIRA », primé au « FESPACO 2023 » de la réalisatrice et cinéaste burkinabè Appoline Traoré, invitée d’honneur à ce festival qui a fait une rétrospective à l’une de ses œuvres pour ouvrir le bal.
Le CINEF a pour mission de mettre en avant-plan le travail des femmes actrices, réalisatrices, productrices, scénaristes, monteuses et autres. Ce festival penche aussi sur des questions liées à la condition des femmes dans l’industrie cinématographique.
J. Diala

 

Ouvert au Palais du peuple ; La 7ème édition du CINEF consacrée à l’industrialisation du cinéma congolais

Nommé représentant du festival SICA en RDC : Le Congolais Randy Kalay explique sa mission !

*Juriste de formation, Randy Kalay alias ‘‘Energie renouvelable’’ est un expert en Droit de la propriété intellectuelle et un passionné de la culture. Jeune et dynamique, ce compatriote a été désigné pour représenter le festival Stars d’intégration culturelle africaine (SICA) dont la 17ème édition s’annonce fracassante au Cameroun. C’est pour la première fois que le comité organisateur dudit festival recourt à une expertise congolaise en la matière depuis sa création en 2001.
Au cours d’une interview accordée au quotidien Kinois La Prospérité, Randy Kalay a signifié son rôle et la mission qui l’attendent pour ses nouvelles fonctions au niveau continental.
«Après avoir étudié mon dossier et analysé mes prouesses managériales dans le domaine de la culture, le comité organisateur de ce festival panafricain a porté son choix sur ma personne pour représenter les SICA à Kinshasa. J’ai reçu officiellement ma lettre de notification signée par son Président, Monsieur Alli Wassi. Ma mission est de servir de relais de sensibilisation entre les artistes, les présentateurs live, les groupes musicaux traditionnels congolais », a déclaré l’expert congolais en culture et en propriété intellectuelle, Randy Kalay.
Et d’ajouter : « Le comité organisateur du festival des SICA m’a également mandaté d’organiser la sélection des nominés au niveau de la RDC pour l’édition 2023. Il me revient aussi la tâche de motiver les potentiels candidats congolais à s’inscrire à la phase sélective. J’imagine déjà comment attirer la prochaine édition à Kinshasa, en 2024 ».
Répondant à une question sur l’objectif de ce festival, Randy Kalay a révélé que SICA a été créé en 2001 au Bénin. Il est réputé comme un grand festival nomade panafricain dans le continent. Son objectif ultime est de valoriser le métier de Maître des Cérémonies ou Présentateur Live, promouvoir les clips vidéo ainsi que les musiques traditionnelles.
Grâce à une panoplie de stratégies mises en place, a-t-il souligné, cette initiative favorise l’intégration culturelle africaine et se révèle un marché musical important qui rassemble des managers et producteurs venus de partout pour dénicher des talents africains mis en évidence.
Les objectifs des SICA
La promotion de la culture africaine et l’enracinement du dialogue interculturel pour consolider la paix durable en Afrique et dans le reste du monde. Le festival des SICA est un cadre d’expression culturelle artistique et de réseautage entre les artistes musiciens et les présentateurs live. Il promeut la musique traditionnelle en lui trouvant une raison pour devenir mondiale et rafler un grand nombre d’auditeurs. C’est aussi une occasion qui est donnée aux Africains afin de s’approprier de leurs identités culturelles.
Signalons que la saison 2023 du Festival SICA va se déroulera du 16 au 26 novembre à Yaoundé au Cameroun.
Jordache Diala

 

Nommé représentant du festival SICA en RDC : Le Congolais Randy Kalay explique sa mission !

La Grande rentrée littéraire de Kinshasa : une totale réussite pour le plaisir des amoureux de la littérature

C’est sous la houlette de la bibliothèque du centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa que s’est déroulée du 15 au 17 septembre 2023, au rond-point Étienne Tshisekedi, (ex rond-point Huileries), la 7eme édition de la Grande rentrée littéraire de Kinshasa. Ces assises ont réuni autour d’une même table pendant trois jours, les amoureux des belles lettres, librairies, éditeurs et auteurs. Ce forum avait pour objectif de promouvoir la littérature congolaise sous toutes ses formes et d’encourager le partage ainsi que l’échange autour des œuvres littéraires des auteurs congolais.
Déjà au premier jour, le go a été donné par le panel sur « la poésie congolaise aujourd’hui : Cris, angoisse, passion, Révoltes et peur » qui a mis au-devant de la scène, la poétesse KingLi, auteure du fameux « Révoltes », le poète Hervey Ngoma, Joseph archip et Ben Kamanda.
Après un spectacle à couper le souffle du trio, Benjamin Masiya, Fernando Kusenza et Obed Bossa du groupe Tetra qui laisse la place au panel sur la littérature féminine, avec comme thème « Écrire au féminin » qui a fait intervenir, l’écrivaine poétesse Eugène Mpongo, Elisabeth Mweya Tol’Ande, Élodie Ngalaka et Muriel. Ce deuxième panel a vu l’intervention de 4 femmes des lettres : les poétesses, Eugénie Mpongo, Elisabeth Mweya Tol’Ande et des auteures, Élodie Ngalaka et Muriel Munga sous la modération de Elfia Elese, écrivaine présidente de Felco (Femmes des lettres du Congo).
Le troisième panel enchainé sans interlude a réuni autour du thème : « l’engagement littéraire : Écrire pour écrire ou écrire pour une cause ? », le doyen Vincent Lombume auteur du roman Parole de Perroquet, Jean-Marie Mbowa avec Ndombolo, l’homme qui n’avait pas d’oreilles ; Christian Gombo avec ses carnets satiriques et Elder Junior Nsenga qui a présenté le récit intitulé « Les indignées sexuelles ». Tenant compte de leur thématique du jour, l’auteur septantenaire de « Parole de perroquet », a indiqué que « nous n’avons pas le droit d’écrire si nous écrivons le mal, mais écrivons dans l’idée de saisir le beau et le bien car, une âme qui s’élève, élève le monde ». Pour sa part, l’auteur des fables de Christian Gombo et de « Maladies textuellement transmissibles » a estimé qu’il écrivait pour dénoncer l’hypocrisie collective de notre société. Et Elder Junior Mbowa de conclure que « Écrire nous aide à nous connecter à notre propre conscience afin de recréer le monde autour de nous ».
Lesdites assises ont tiré leurs rideaux le dimanche 17 septembre dernier, par la présentation de la revue littéraire « Regard’ici » des éditions AndyBooks. Par la suite, un atelier d’écriture sur les genres littéraires tenu par le club Nfumu Buk, et un échange-débat autour du livre : « la congolexicomatisation », du savant Eddy Malu ont clôturé la journée.
En gros, c’était du bon spectacle pendant les jours de la 7eme édition de la Grande rentrée littéraire. Toutes les tables rondes se sont déroulées sous un soleil rouge et un air poussiéreux reliquat de la saison sèche, avec des intervenants pertinents et aguerris. Notons que, cette grande messe littéraire de Kinshasa a été une totale réussite pour le plaisir des amoureux de la littérature.
Ronsard Malumalu

La Grande rentrée littéraire de Kinshasa : une totale réussite pour le plaisir des amoureux de la littérature

Théâtre & narration : 15 jeunes artistes congolais primés par les compagnies Marconte et Zoukouyanyan !


Placé sur ‘’ les approches méthodiques et techniques de la marionnette et du conte’’, l’atelier de renforcement des capacités sur le théâtre et la narration tenu à Kinshasa s’est clôturé avec grand succès. Pour l’occasion, la compagnie théâtrale de Marconte et la compagnie Zoukouyanyan, organisatrices de l’évènement ont décerné des prix de mérite aux 15 jeunes artistes congolais qui se sont distingués au cours de ces assises.
Ces séances de travail se sont déroulées pendant quatre jours, soit du samedi 2 au mercredi 6 septembre 2023 à Kinshasa. ‘’Ndaku ya la vie est belle’’, était le centre des spectacles exploités. Les jeunes qui ont participé à ces formations sont venus de l’intérieur et de tous les coins de la RD-Congo. Durant ces assises, les participants ont appris la méthodologie de l’histoire, existant dans le temps et dans l’espace, mais également l’approche méthodologique sur la narration, la technique de la prise de parole en public et de la théâtralisation.
Chaque artiste a eu à conter une histoire extra-communication, qui a transmis deux types de message : ce qui est dit et ce qui est communiqué. Et, cela avait capté l’attention des spectateurs. Il s’agissait des contes ci-après : le serpent et le crapaud, les trois sourds, d’où vient la mort ?, les trois frères, les trois bœufs, etc.
Par ailleurs, Sunda Konde, dit S. Konde, artiste conteur, marionnettiste, metteur en scène et Directeur technique de la compagnie théâtre de Marconte, a rappelé le sens et signification du terme ‘’Marconte’’ qui, selon lui, est un terme composé de deux concepts à savoir, marionnette et conte. « Le but de cet atelier de renforcement des capacités est de promouvoir l’art, qui est un peu à l’oubli surtout en Afrique centrale, du côté marionnette et du côté conte », a-t-il signifié.
Pour lui, cette initiative a été mise en œuvre pour pérenniser l’art de la parole et puis, de préparer une génération de façon à leur communiquer les aspects notionnels sur le conte et d’être capable de le conter devant le public.
Pour David Memour, conteur, metteur en scène, Directeur Général de la compagnie Zoukouyanyan, de la Guyane et formateur de la masterclass, ce cadre est une formation réussie, « car les jeunes ont produit tout ce qu’ils avaient reçu lors de ces séances ». Il à l’instant promis aux artistes de la compagnie théâtre de Marconte qu’ils pourront revenir à Guyane pour travailler dans des écoles pour proposer leur savoir-faire dans le domaine de marionnette.
Hénoc Akano

Théâtre & narration : 15 jeunes artistes congolais primés par les compagnies Marconte et Zoukouyanyan !

Etumba one style Afro 3ème Edition : ‘’Tatem dance’’ sacré nouveau champion

La finale du tournoi d’afro dance ‘’Etumba one style’’, dans sa troisième Edition, a rendu son verdict : le groupe Tatem dance est sacré champion, après près d’un mois de compétition. A l’annonce des résultats, samedi dernier, en la salle du centre culturel zoo, ils ont laissé éclater leur joie.
«On était concentré et soudé. On s’est fait plaisir sur scène malgré la pression et l’envie de gagner. Je savais que le travail fourni depuis tous ces jours allait payer ; malgré les difficultés », s’est exprimé José Manema, le responsable du groupe Tatem dance.
Sur les trente groupes ayant participé à ce concours, deux ont été primés à savoir : Tatem dance et les Kamites, à l’issue d’une finale de douze. Ils ont reçu respectivement les cagnottes de 1.200.000Fc et de 500.000Fc.
Cette troisième édition d’ « Etumba one style Afro », a porté sur le thème : « Afro danse pour la sécurité et la paix », ainsi, les douze groupes se sont exprimés pendant environ 3 minutes chacun, à tour de rôle, et les membres du jury, en plus des votes du public, ont proclamé les vainqueurs en tenant compte de l’originalité du récit, du son, décor et prestance.
‘’Etumba one style Afro’’, faut-il rappeler, est un concours de danse nationale dédié à l’afro danse en RDC. C’est aussi et surtout une vitrine artistique qui est offerte aux danseurs talentueux pour se faire connaitre du grand public.
Pour cette édition, l’accent particulier a été mis sur la participation des femmes, a relevé Rita Mangindula, la coordonnatrice du tournoi qui n’a pas toutefois caché sa satisfaction, après un déroulement à la hauteur de ce rendez-vous.
«Pour cette édition, nous avons demandé à tous les participants d’insérer au moins cinq filles dans leurs groupes. Le but est d’offrir l’espace à toutes les femmes danseuses qui ont du mal à prouver leurs talents », a-t-elle poursuivi.
Par ailleurs, elle promet une prochaine édition très différente des autres car, à l’en croire, plusieurs reformes se pointent à l’horizon.
Christian Musungayi

Etumba one style Afro 3ème Edition : ‘’Tatem dance’’ sacré nouveau champion

Kinshasa : le Festival Africain du Mariage annonce sa 3ème édition du 15 au 16 septembre 2023


Après novembre 2020 et juillet 2022, la plateforme événementielle « Festival Africain du Mariage » organise sa 3ème édition, du 15 au 16 septembre prochain, au Pullman Grand Hôtel, à Kinshasa/Gombe. Placée sous le thème « Mariage, entre Tradition et Modernité », la présente édition traite des situations de conflits observées entre les cultures africaines et occidentales sur la notion du mariage.
Outre la cérémonie d’ouverture qui débutera dès 9 heures du premier jour, au Salon Congo, il est aussi prévu la tenue des Panels, des ateliers, d’une Soirée Célibataires et d’une grande Soirée de gala.
L’accès aux Panels est gratuit. Ces derniers sont à six à savoir :
1. Us et Coutumes Africains dont le thème s’intitule : « Préservation de l’identité culturelle du mariage en Afrique : influence de la modernité et rôle des médias »
2. Hommes qui évoque la question de l’: « épanouissement du couple et participation financière au budget du foyer »
3. Mariage & Stéréotype qui traite du sujet de la : « Promotion de l’inclusivité des différences dans le mariage »
4. Santé & Famille qui aborde l’angle : « Parlons planification familiale, régimes matrimoniaux, succession et relation de famille à distance »
5. Femmes qui débat sur : « Zoom sur la jeune fille et sa vision du mariage à l’ère des réseaux sociaux »
6. PME, Business et Finances qui se penche sur la : « Gestion des finances dans le foyer et les opportunités entrepreneuriales dans l’industrie du mariage ».
Hormis les panels, le programme prévoit neuf ateliers ci-après : Photos & vidéos, Musique, Décoration, Service-traiteur, Maquillage et coiffure, Stylisme, Textile, Wedding Planner et Composition des vœux. Tout comme les panels, l’accès est aussi gratuit.
Néanmoins, les soirées Célibataires et de Gala qui se dérouleront respectivement le premier et le second jour de l’événement, au Salon Congo du Pullman Grand Hôtel seront payantes. Cela est dû aux avantages et différentes surprises réservés aux participants.
Zoom sur le Festival Africain du Mariage
Initié par Madame Celly Ndiang, congolaise de la diaspora, le Festival Africain du Mariage est d’abord une vision, puis une structure visant, d’une part, la valorisation des valeurs culturelles du mariage en Afrique.
Et de l’autre, l’organisation d’un réseau d’affaires des professionnels œuvrant dans l’industrie du mariage par la constitution d’un annuaire facilitant la mise en relation entre l’offre et la demande.
John Ngoyi

 

Kinshasa : le Festival Africain du Mariage annonce sa 3ème édition du 15 au 16 septembre 2023

Média : Didier Cheriz représente la RDC à Shining stars Africa Awards 2023 à Johannesburg

Didier Cheriz, mieux connu au nom de ‘‘Papa Fraise’’, va défendre la République Démocratique du Congo à la soirée « Shinning Stars Africa Awards 2023 » à Johannesburg en Afrique du sud où il est nominé dans quatre catégories. Le jeune présentateur congolais est classé dans les catégories suivantes : Meilleure personnalité Télé et radio ; Meilleure personnalité média de l’année ; Meilleur influenceur des médias sociaux ; Meilleure personnalité masculine télé de l’année 2023 en Afrique.
Les informations à notre possession renseignent que plusieurs vedettes de média africains sont en lice pour ce prestigieux trophée de Shinning Stars Africa Awards 2023 qui honore les grandes réalisations et célèbre les talents des présentateurs télé et radio dans le continent.
La cérémonie solennelle de remise des prix et médailles d’honneur aux lauréats aura le 2 septembre prochain au Cotton Lounge à Johannesburg.
Celui que les téléspectateurs et auditeurs appellent affectueusement ‘‘Papa Fraise’’ pour sa douceur et son charisme est le seul journaliste congolais à être nominé à cette compétition internationale.
Plus de 10 ans de carrière professionnelle à succès, Didier Cheriz est un présentateur aguerri qui a fait ses preuves dans le paysage médiatique en RDC.
Il continue à défendre son art avec brio, pleine de passion et surtout dans l’excellence. Son travail est vivement apprécié par le public et salué par les responsables de la chaîne de télévision ‘‘Digital Congo’’, émettant depuis Kinshasa où il est resté fidèle malgré les vents et marées.
Didier Cheriz fait également partie des nouvelles générations de journalistes qui ont beaucoup d’influences auprès des jeunes dans les réseaux sociaux.
Très cultivé, dynamique, éloquent et ouvert d’esprit, le célèbre journaliste est aussi opérateur culturel. Il dirige aussi plusieurs autres projets dans le cadre de la promotion des artistes musiciens et de l'émergence de potentialité féminines.
Donc, Papa Fraise mérite les soutiens de toute la nation, avec l'espoir de remporter quelques trophées au cours de la 1ère édition de la Soirée Shinning Stars Africa Awards 2023 dont le verdict sera connu le 2 septembre au pays de Mandela.
Bonne chance!
Jordache Diala

 

Média : Didier Cheriz représente la RDC à Shining stars Africa Awards 2023 à Johannesburg

A la découverte de la gravure traditionnelle chinoise

À tous ses visiteurs, la Chine n'offre pas que le luxe et son hospitalité légendaire. Bien plus, elle présente une diversité culturelle impressionnante. La gravure des sceaux, dont il est question ici concrètement, en est une preuve suffisante.
Quid?
D'emblée, il faut vite noter que la gravure des sceaux est un art traditionnel chinois. Elle a été inscrite, officiellement, sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité en 2009.
Une reconnaissance due notamment à son influence répandue au niveau de l'Extrême-Orient.
D'après Li Zhe, professeur à Xi Jingzhai, par le passé, ou mieux durant les dynasties Shang (de 1600 à 1046 av. JC), la gravure servait à la production des signes distinctifs du pouvoir en Chine.
« L'art de couper les sceaux est profond et large, montrant le charme des anciens caractères et de la culture chinoise », a-t-il révélé, ce mercredi 23 août, aux professionnels des médias en formation, depuis près d'un mois, à Pékin, capitale de la République populaire de Chine, sous les auspices du CIPCC( Chinese international presse communication center).
"L’art de la gravure des sceaux est préservé notamment au sein de la Société des graveurs de sceaux de Xiling (province de Zhejiang, centre), fondée il y a un siècle, et d’une centaine d’autres institutions spécialisées. Le dessin est d’abord tracé sur papier, puis gravé à l’envers dans la pierre à l’aide d’un couteau. L’art de la gravure exige, outre la maîtrise de la calligraphie traditionnelle, une grande virtuosité, l’artiste ne disposant que d’un espace minuscule, où chaque courbe, chaque épaisseur de trait compte. Les motifs, très divers, sont le fruit de l’imagination et de la culture de l’artiste. Instrument de calligraphie et de peinture, le sceau est une œuvre d’art à lui seul. Il exprime les conceptions de toute une culture sur l’homme et la nature. Aujourd’hui, les sceaux continuent à être utilisés dans les documents officiels et la correspondance privée*, renseigne sur cette gravure traditionnelle chinoise qui, d'après l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la Science et la Culture), reste de plus en plus pratiquée par des professionnels, y compris les amateurs, même si la connaissance des caractères complexes se raréfie.
Gloire Mfemfere
Envoyé spécial à Pekin

A la découverte de la gravure traditionnelle chinoise

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