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Ce 17 août à l’Athénée de la Gombe : La chanteuse Solina affronte le public au Festival ‘‘Grande grilladerie’’ de Kinshasa

 

L’artiste musicienne Solina ‘‘Popée nationale de la République démocratique du Congo  a été sélectionnée pour une prestation scénique prévue samedi  17 août  au festival "Grande grilladerie Kinshasa, la capitale, a annoncé la chanteuse mardi au cours d'un entretien.

 « J'invite mes fanatiques de Kinshasa, en particulier et les amoureux de la musique urbaine en général, à venir nombreux pour célébrer ensemble la 2ème édition de la fête des grillades de Kinshasa au rythme de mon nouveau tube "Papa ya bana''. Venez rejoindrez votre artiste SOLINA  à l’Athénée de la Gombe (...).Je suis déjà contente de me retrouver avec vous mes chéries,  belles filles, n'oubliez pas aussi d'amener vos Papa ya bana », a déclaré la chanteuse Solina alias Poupée nationale.

Et d'ajouter : « les garçons ne manquez pas aussi le rendez-vous  car je ferai de vous aussi mes ‘‘papas ya bana’’ pour savourer nos différentes formes de plats de cuisine congolaise et autres spécialités qui vous attendent. On va manger et danser avec des nouveaux sons et spectacles inédits hip pop.  Plusieurs surprises vous attendent ».

Il sied de noter que la Grande grilladerie de Kinshasa est un festival gastronomique qui donne l’occasion aux Congolais de déguster leurs propres mets, mais aussi permettre à ceux qui ont choisi le Congo comme deuxième patrie de venir se régaler avec des plats frais des autres différents pays notamment des plats Français, Camerounais, Sénégalais, Nigérians, Ivoiriens et autres...

Solina, une chanteuse polyvalente au service de l’humanité

Née à Munich en Allemagne d’un père allemand et d’une mère germano-congolaise, Solina est une artiste polyvalente qui joue toutes sortes de musique, notamment la rumba, r&b, le jazz, soukous, pop et folk traditionnel d’Afrique.

Ces chansons sont réalisées dans les rythmes urbains - afro-beat qui est son style de prédilection. Âgée d’une vingtaine d'années, elle a un don spécifique en matière d’écriture des chansons et composition des mélodies. Curieusement, ses chants sont inspirés et renferment toujours un message particulier.

Solina fait partie de l’école de ceux qui pensent qu’au-delà l’ambiance, la musique est un vecteur pour l’éducation de tout un peuple.

« Je fais de la musique pour apporter un message d’espoir et de joie. Au-delà du succès qui peut suivre, l’idéal est pour moi d’apporter un changement à travers ma musique. Je chante les réalités de la société et du monde. Face à la crise climatique mondiale, je ne manque pas aussi de chanter pour la protection de l’environnement », a fait savoir la Poupée nationale.

Celle que les congolais appellent affectueusement ‘‘Muana Mboka’’ regorge en elle une potentialité artistique énorme que les fans ont découvert dans ses trois premières chansons, à savoir : ‘‘Bébé ça va’’, "Telema bouger’’ et ‘‘Papa ya bana’’ sur le marché des musiques.

JD

Ce 17 août à l’Athénée de la Gombe : La chanteuse Solina affronte le public au Festival ‘‘Grande grilladerie’’ de Kinshasa

Festival ‘‘Kinshasa Mboka ya Masano’’, Mode : l’identité interculturelle au cœur du combat des stylistes en RDC !

L’identité interculturelle à travers la mode et le textile, en République Démocratique du Congo a été au centre de la troisième édition de la conférence du festival ‘‘Kinshasa Mboka ya Masano’’ (KMM) au Musée National pour trouver des solutions valorisant la culture congolaise.

«L’identité interculturelle,  demeure un combat des stylistes  engagés pour trouver ensemble des solutions qui peuvent permettre au secteur de la mode d’éclore en vue de valoriser la culture congolaise en interne comme en externe», a déclaré Mme Lydia Nsambayi, initiatrice de ce festival qui réunit les chercheurs et les artistes de la mode.

«Cette conférence doctorale et scientifique revêt une importance capitale car elle nous offre l’opportunité de réunir les meilleurs esprits scientifiques, universitaires, et une expertise autour des enjeux et défis de notre ville de Kinshasa, cette cité dynamique et bouillonnante, qui ne cesse de nous émerveiller par sa vitalité et sa richesse culturelle», a-t-elle fait savoir.

Les réalités de Kinshasa ont été évoquées lors de cette conférence dans le but d’envisager des pistes concrètes pour son épanouissement, et imaginer la construction plus verte, de cette ville plus inclusive et plus prospère à travers la mode.

Au cours de ces assises l’entrepreneuriat et la communication étaient au cœur de ce moment interactif où l’esprit critique et la culture du débat ont été les moteurs du partage des connaissances.

Selon M. Bercky Kitumu, Prof. à l’Université des sciences de l’information et de la communication (UNISIC), le premier produit à vendre auprès du public c’est l’entrepreneur de la mode.

«Le but pour les professionnels de la mode est de savoir comment communiquer pour vendre et non sensibiliser la population pour qu’elle change leur mode vestimentaire. Le combat devrait être celui d’une communication marketing, comment arriver réellement à faire vendre nos vêtements. Pour ce faire, trois étapes de la communication doivent être en corrélation notamment l’étape cognitive, affective et conative », a-t-il dit

Toujours dans le cadre de la communication marketing, Aline Kimputu a, par ailleurs, ajouté qu’on choisit les canaux de transmission du message selon sa cible. Pour elle, il est donc important d’identifier sa cible au préalable pour communiquer efficacement avec un message qui est à la fois clair, cohérent et intact.

Deux stylistes des ateliers de confection des vêtements à Kinshasa à savoir, Mady Mbwaya, créatrice de la marque Mwinda et Noëlla Budjamabe Mosaka, initiatrice de Maison Moseka ont pris part à cette conférence pour partager leur expérience. Le défilé de mode a marqué la fin de cette conférence.

JDL

Festival ‘‘Kinshasa Mboka ya Masano’’, Mode : l’identité interculturelle au cœur du combat des stylistes en RDC !

A partir de ce 1er août 2024, “Un Plus à la Pensée Universelle” : l’arrivée du livre du journaliste Maghene Deba  en librairie confirmée

*A  partir de ce 1er  août 2024, “Un plus à la pensée universelle” du journaliste Maghene Deba arrive dans les rayons des magasins de livres à Kinshasa et, puis, très bientôt,  dans plusieurs autres villes de la RD.  Congo.  Avant la fin de l’année 2024, Maghene Deba prévoit d’organiser un Book Tour à travers les onze provinces de la RD Congo selon la configuration d’avant 2016 et prendre part aux cafés littéraires à Kinshasa pour y parler de son ouvrage.

Après de premiers accords entre l’auteur et cinq libraires dans la capitale congolaise - Tom William’s Lapidus, Maison du Savoir, Librairie de la Halle, Librairie Livres des Grands Lacs et Librairie de Rotana Hôtel, ces derniers pourront, désormais, distribuer ce premier livre auto-édité de l’auteur.

Juin 2024, il avait d’abord fait l’annonce de la parution de son livre sur ses comptes sociaux officiels et, depuis plusieurs jours maintenant, ce recueil de proverbes, maximes, pensées et réflexions se vend sur commande-livraison au pays et à l’étranger.

 “Un plus à la pensée universelle” est un volume de 85 pages en deux parties : les proverbes, au nombre de 130, composent la première partie tandis que la seconde se compose des maximes, pensées et réflexions, au nombre de 60.

Cette nomenclature a évolué au cours de la quinzaine d’années que la rédaction a duré, de 2008 à 2024.

Car, initialement, il s’agissait uniquement d’un livre des proverbes, c’est-à-dire, des énoncés relativement courts farcis de philosophie avec une explication à côté, pour chacune d’elles.

Mais, n’ayant pas réussi à trouver une formulation concise et bien sentie pour chacune de ses idées, l’auteur a ajouté une seconde catégorie qui regroupe alors les maximes, les pensées et réflexions.

Ici, il s’agit des idées plus ou moins détaillées, une fois pour toutes. Ainsi, quand on lit le proverbe : “Ceux qui portent des cicatrices ont vaincu leurs plaies”, à côté, il y a l’explication : “Tous les combats de la vie laissent des marques visibles ou invisibles.

Mais, chaque marque révèle une épreuve à laquelle on n’a pas succombé” tandis qu’il n’y a aucune explication qui accompagne la maxime :  “Chaque fois que vous faites l’impasse sur les conséquences/implications futures de vos actes, vous faites l’impasse sur la vie de vos enfants ou celle des leurs”.

Avant la fin de l’année 2024, Maghene Deba prévoit d’organiser un Book Tour à travers les onze provinces de la RD Congo selon la configuration d’avant 2016 et prendre part aux cafés littéraires à Kinshasa pour y parler de son ouvrage.

Qui est Maghene Deba ?

(Auteur) Maghene Deba est un journaliste indépendant et consultant en relations publiques basé à Kinshasa.

Il a notamment, collaboré ou collabore encore avec SciDev.net, VOA Afrique, CGTN Français.

Depuis 2020, il a écrit et réalisé quatre documentaires sous la bannière de sa maison de production, Maghene Médias SARLU, créée cette année-là et qui est orientée vers la production des documentaires.

La Pros.

 

A partir de ce 1er août 2024, “Un Plus à la Pensée Universelle” : l’arrivée du livre du journaliste Maghene Deba  en librairie confirmée

Promotion de l’art et de la culture congolais : Olivier Gene annonce la première édition de Festi Gola

Dans le but de promouvoir l’art et la culture congolais, Fy One way prod organise un méga festival en partenariat avec l’artiste musicien Ferré Gola dit « jésus des nuances », du vendredi 2 au dimanche 3 août 2024 au stade Tata Raphaël de Kinshasa. Annonce faite par M. Olivier Gene, directeur de Fy One way prod, lors d’une  conférence de presse tenue le samedi 13 juillet dernier.

50 ans après qu’il a accueilli le combat du siècle opposant Mohamed Ali à George Foreman pour le titre de champion du monde poids lourd de boxe, le stade Tata Raphaël de la Capitale congolaise va abriter durant trois jours, la première édition de la solennité de Festi Gola initié par Fy One way production, en collaboration avec le musicien Hervé Gola, allias Ferre Gola. Le directeur de cette maison de production a fait savoir à l’opinion que, cet événement ne vise pas la promotion de l’artiste, mais plutôt de la culture congolaise.

‘’ Ferré Gola organise avec nous et nous aide. On fait un festival avec lui. Ce n’est pas un concert de Ferré Gola. On est pas centré sur lui, on n’est centré sur la culture’’,  précisé Olivier Gene.

Cette initiative rentre dans le cadre de la découverte et de l’élévation des talents congolais cachés. Sur ce, cette cérémonie se veut la grande première pour une nation à vocation culturelle de haute qualité de l’histoire de la RDC. Elle comportera 70 emplacements sectionnés en 5 bandes  consacrées chacune à une thématique littéraire et poésie, arts visuel et graphique, gastronomie congolaise, rumba congolaise, et la danse traditionnelle.

Fan de la culture congolaise, Fy One way production s’engage à propulser l’art congolais ainsi que ses artisans, dans le souci de l’exporter comme une richesse dans les coins et recoins de l’horizon. C’est ainsi que, l’accès à cette dernière sera libre pour faciliter à tout amoureux de l’art et de la culture d’y prendre part, et les organisateurs ont mis en place les stratégies efficaces pour la réussite de cette première édition tant sur le plan sécuritaire qu’organisationnel. Il sied de signaler également que plusieurs artistes de marques prendront part à ce festival.

Aimé Kimbungu

Promotion de l’art et de la culture congolais : Olivier Gene annonce la première édition de Festi Gola

Chef de Division Provinciale de la Culture de Tanganyika : Célestin Nduba Kaniki félicite Yolande Elebe pour sa nomination au sein du Gouvernement Suminwa

Message de félicitations adresse à la Ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, Son Excellence Madame Yolande Elebe pour sa nomination au sein du Gouvernement Suminwa

 

Yolande Elebe, Ministre de la Culture, Arts et Patrimoin

Célestin Nduba Kaniki, Chef de Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine du Tanganyika

 

Au nom de la Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine du Tanganyika et au mien propre, à l’occasion de votre nomination au sein du Gouvernement SUMINWA en qualité de Ministre Nationale à la Culture, Arts et Patrimoine, je tiens à vous présenter mes cordiales et sincères félicitations.

En outre, je vous en formule mes vœux de prospérité, de longévité et d’un mandat fructueux.

La Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine du Tanganyika espère qu’avec votre avènement à la tête de ce Ministère, certaines difficultés parmi tant d’autres rencontrées par notre Division, telles qu’énumérées, ci-dessous, seront résolues.

Il s’agit, entre autres,  de :

  • Manque de bureaux appropriés pour la Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine ;
  • Manque des mobiliers et des kits informatiques pour la Division ;
  • L’absence des salles de spectacles de l’Etat au Chef-lieu de la Province et dans les 6 territoires de la Province ;
  • L’absence d’un centre d’archivage provincial et de représentation du journal officiel ;
  • L’absence des bibliothèques au Chef-lieu de la Province et dans les 6 territoires ;
  • L’absence d’une école et/ou d’une académie de Beaux-Arts en Province ;
  • La non mécanisation de 68 Agents sous statut depuis 2018 ;
  • Le retard d’admission sous statut de 43 Agents (nouvelles unités éparpillées) à travers la Province.

Que l’Eternel Dieu Tout Puissant vous bénisse !

Le Chef de Division Provinciale de la Culture,

Arts et Patrimoine du Tanganyika

Célestin  Nduba Kaniki  

 

Retraçant l'histoire coloniale du Congo, Kinshasa : la pièce théâtrale ‘’Congo Jazz band’’ présentée au public !

Les amoureux de l’art dramatique ont passé des moments émouvants et d’immense découverte, à l’Institut français de Kinshasa, à la Gombe, à l’occasion de la présentation de Congo Jazz band, une pièce de théâtre qui retrace profondément l’histoire coloniale de la RD. Congo. L’Ambassadeur de la République française en poste à Kinshasa a, personnellement, participé à cette présentation qui s’est déroulée sous une atmosphère détendue.

Œuvre du dramaturge français d'origine algérienne Mohamed Kacimi, Congo jazz band est une véritable merveille qui se veut pédagogique. Elle revisite l’histoire de la RDC, en tant que propriété privée du Roi des Belges, avant 1908, jusqu’à remonter à l’assassinat de Patrice Emery Lumumba, au lendemain de l’indépendance du pays.

Lors de la cérémonie de présentation, il a été démontré par le metteur en scène congolais David-Minor Ilunga et sa troupe théâtrale « théâtre du fleuve », le rôle que peut jouer la musique particulièrement la rumba et le jazz dans la mémoire africaine. Il s'agit notamment comme moyen de résistance culturelle et de préservation de celle-ci.

« C’était passionnant et émouvant ! », telle est l'une de réaction entendue, émanant d’un jeune spectateur à la fin du spectacle. Sur place, enfants, parents, activistes culturels ont manifesté un réel enthousiasme pour cette pièce déjà présentée en France où elle a été aussi écrite, il y a 5 ans.

Un silence absolu ponctué de fous rires a caractérisé l’activité, mais aussi des discussions entre public les acteurs. Une première étape du travail qui intéresse et amène à se poser des questions, alors qu'il ne s'agit pas encore du spectacle proprement dit.

David-Minor Ilunga, le metteur en scène de la pièce, a expliqué que l'intégralité du travail sera présentée entre les mois de septembre et octobre à Kinshasa. Mais, dans l’entre-temps, le travail va se poursuivre entre juillet et août au centre Wallonie Bruxelles.

« Moi personnellement, j’ai toujours eu envie de raconter l'histoire de mon pays. C'est ce qui m'intéresse de plus en plus dans ma démarche artistique. Le seul problème est que, parfois, on a toujours pas de conditions à la fois psychologiques et physiques d'écrire sa propre histoire, c'est toujours bien quand quelqu'un d'autre s'en empare, et donc c'est qui m'a intéressé dans cette pièce c'est de voir Mohamed s'en emparer et parler de ce qui nous concerne, et qu'effectivement plusieurs ne connaissent pas », a déclaré David Minor Ilunga.

Donc, a-t-il renchéri, on pallie un peu à un déficit historique, pas parce que les congolais n’ont pas mais parce que beaucoup ne lisent pas, combien de personnes ont lu par exemple, le livre du professeur Ndaywel Isidore.

«Pour le citoyen lambda, c'est toujours important de lui apporter les connaissances qu'il n'avait pas », a-t-il conclu.

Pour sa part, l'auteur de la pièce théâtrale Mohamed Kacimi, est revenu sur les motivations réelles du choix porté sur l’histoire de la RD. Congo pour réaliser son œuvre, lui qui, pourtant, n’est pas congolais.

« J’ai écrit ce texte parce que je pense que c'est important que la colonisation soit au centre du débat de la jeunesse », a t-il déclaré. Selon lui, en tout cas, l'histoire coloniale au Congo est la plus intéressante qui puisse exister en Afrique.

Christian Musungayi

Retraçant l'histoire coloniale du Congo, Kinshasa : la pièce théâtrale ‘’Congo Jazz band’’ présentée au public !

Une fille biologique de Papa Wemba : Orphée Shungu embrasse la musique avec ‘‘Ma scène’’ son premier single !

(La chanteuse Orphée Shungu Wembadio)

La chanteuse Orphée Shungu Wembadio, fille de Papa Wemba, Roi de la Rumba Congolaise, vient de sortir ce 27 juin 2024, sur le marché des musiques son tout premier single intitulé ‘‘Ma scène’’ pour se lancer officiellement dans la carrière musicale, a-t-on appris jeudi d’un communiqué.

«Orphée Shungu entame sa carrière musicale professionnelle à partir de ce jeudi 27 juin 2024 avec un single intitulé “Ma scène”. Cette œuvre de haute qualité artistique est disponible dans toutes les plateformes digitales de vente de musique. Ce premier single est une déclaration d’amour qu’Orphée fait à la musique. C’est elle qui l’a sauvée, consolée et édifiée dans ses moments de doute. Et depuis sa tendre enfance, elle savait que c’était l’endroit où comme son père, elle allait se sentir vivante, mais la vie et ses aléas les ont éloignés », confirme la même source.

Sur le plan artistique, ‘‘Ma scène’’ est une chanson Rn’b aux accents Pop et Soul à travers laquelle la jeune chanteuse célèbre ses retrouvailles avec l’art des sons.  « Alors laissez-vous emporter par cette mélodie et ce texte qui vous rappelleront peut-être à vous aussi qui vous êtes vraiment ce qui vous rend heureux dans cette vie. La chanteuse est déterminée à réussir et s’apprête à conquérir le milieu avec un style unique, fusionnant habilement R&B, pop, néo-soul et afro-beat », a indiqué le communiqué

Et d’ajouter : « son premier fleuron artistique permet aux mélomanes de découvrir  sa véritable voix et voie. C’est-à-dire son timbre vocal et aussi son destin ».

Pour le communiqué, les compositions d’Orphée Shungu ne se contentent pas de divertir  mais elles racontent des histoires.

« Ses chansons touchent des thèmes universels tels que l’amour, l’acceptation de soi et les épreuves nécessaires pour s’épanouir. L’artiste incarne une renaissance libératrice, une femme courageuse, pleine d’espoir et d’envie, prête à partager son récit avec le monde à travers son art ».

Par ailleurs, le communiqué a également rappelé les ambitions d’une artiste engagée et prête à conquérir les cœurs et les esprits avec son authenticité et son histoire captivante. « Restez à l’écoute, car son ascension musicale promet d’être aussi exceptionnelle que son parcours hors du commun », a-t-on conclu.

Musique dans les veines !

Née le 14 septembre en Bretagne en France, Orphée Shungu Wembadio a vite développé sa passion dans l’art depuis sa tendre enfance dans la maison familiale. Son père, Papa Wemba sans le vouloir l’a initié indirectement à travers ses mélodies et lui a offert sa première scène à l’Olympia de Paris à l’âge de 6 ans.

Au-delà de son père biologique, elle a été également inspirée par d’autres grandes stars planétaires de la musique telles qu’Alicia Keys, Stevie Wonder et Etta James. A 12 ans, elle plonge dès son plus jeune âge dans l’univers envoûtant de la musique. La  jeune chanteuse façonne son adolescence au rythme de ces légendes et cultive secrètement le rêve de suivre leurs pas. Armée de son baccalauréat, elle s’envole vers Bordeaux pour poursuivre des études en communication, où elle y décroche son master.

Cependant, son destin est chamboulé lorsque son père meurt subitement sur scène, le 24 avril 2016 durant le Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) à Abidjan, en Côte d’Ivoire. C’est à son enterrement à Kinshasa (Congo RDC) que ses yeux s’ouvrent sur son histoire et son identité profonde.

Son retour en France a provoqué un déclic pour s’engager de plein pied dans la musique jusqu’à éditer son premier single « Ma scène » qui confirme un destin devin.

Talenteuse et optimiste, Orphée Shungu compte évidemment du soutien des fanatiques de son défunt père et de l’orchestre Viva-la- Musica. Grâce à sa voix captivante et ses potentialités artistiques, la fille biologique de Jules Shungu Wembadio et Marie Rose Luzolo Amazone croit à faire une carrière émergente pour plaire aux amoureux de la bonne musique et aussi pour défendre le nom de son père qui restera une légende de la Rumba congolaise.

Jordache Diala

Une fille biologique de Papa Wemba : Orphée Shungu embrasse la musique avec ‘‘Ma scène’’ son premier single !

 ‘‘La volonté politique en RDC’’ : Un ouvrage du Professeur Nweze Mabamba José baptisé par le Professeur Emile Bongeli

   

Le livre  « La volonté politique en République Démocratique du Congo » du Professeur Nweze Mabamba José a été verni mercredi 19 juin dernier à la Bibliothèque Wallonie Bruxelles de Kinshasa par le Professeur Emile Bongeli.

La République Démocratique du Congo, après 64 ans d’indépendance, malgré le nombre d’années, les dirigeants passés, les lois votées, les décisions prises, bref les types des politiques utilisés ont juste participé au sous-développement du pays. L’auteur par ce livre invite les uns et les autres à découvrir l’importance de l’intelligence et appelle à revoir le système pour le développement de la RDC.   

Aujourd’hui, le modèle politique qui a été imposé par l’occident, est inadapté à nos réalités ou à nos spécificités. «Il nous appartient de réfléchir et de faire des propositions sur le nouveau modèle approprié», a indiqué l’auteur dudit ouvrage avant d’ajouter : «Tel système politique pour tel environnement politique».

L’auteur définit l’intelligence comme une capacité de transformer les choses, avec laquelle nous pouvons créer un système politique adapté à nos valeurs et spécificités.

L’auteur veut conscientiser les lecteurs ou les jeunes à avoir l’amour de la lecture et la volonté d’apprendre pour agir selon les normes apprises  et de participer au développement de la République Démocratique du Congo.

«Le petit livre en volume mais un livre très costaud par son contenu et très pertinent par le thème qu’il exploite, question de vie ou de mort pour la République Démocratique du Congo. Je vous souhaite plein succès, que ce livre puise en produire plusieurs autres réflexions de ce genre pour que vous puissiez assurer l’avenir de ce pays qui est menacé physiquement et surtout intellectuellement. Je vous souhaite bon vent et à l’auteur de continuer à produire des œuvres qui soient utiles pour les congolais ». C’est par ces mots du Professeur Emile Bongeli que le livre a été baptisé.

Nalvy Mpata  

 

 ‘‘La volonté politique en RDC’’ : Un ouvrage du Professeur Nweze Mabamba José baptisé par le Professeur Emile Bongeli

RDC : 11ème festival international de théâtre à Kinshasa

Le Tarmac des Auteurs, à l’initiative du comédien Israël Tshipamba, est un théâtre situé dans la commune de Ngaliema, précisément à Kintambo, un quartier populaire de la Capitale, sur l’avenue Uélé 6 bis. Il vise à renforcer et à professionnaliser le secteur théâtral kinois en créant un répertoire textuel d’œuvres écrites par des artistes de la République démocratique du Congo. Ce 11ème festival international qui a eu lieu à Kinshasa a duré 8 jours, soit du 05 au 12 juin dernier. Israël Tshipamba a créé ce petit théâtre en plein air avec 90 places assises avec une scène de 35 m² et un bar-container, au cœur de la cité. Cette association vise à rendre les arts de la scène et les textes d’auteurs contemporains accessibles à tous. Il travaille en ce sens aux travers des actions de formation, de diffusion, de création et de sensibilisation.

L’une des activités principales du Tarmac des Auteurs est l’organisation des ateliers d’écriture théâtrale qui ont donné lieu en 2011, à un recueil d’œuvres congolaises édité par Lansman. Programme 2017-2021 : Africalia soutient le renforcement de la gestion associative, administrative et financière ; les formations en théâtre et les ateliers d’écriture ainsi que la mise en marche des productions théâtrales.

Programme 2022-2026 : Africalia accompagne et soutient la structure dans (1) le renforcement de la gouvernance associative et la mise en réseau des acteurs culturels, (2) le plaidoyer, (3) la professionnalisation des compétences, (4) la production d’œuvres culturelles et artistiques de qualité, (5) une plus large diffusion des œuvres et enfin (6) la capacité à générer des revenus.

Une façon de se détendre et de valoriser la culture africaine. Cette activité récréative qui a débuté à 20h30’ s’est achevée à 00h. Elle a réuni plusieurs invités venus de différents coins de la capitale congolaise.

Jackson Mutamba

 

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