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Il désiste en faveur du N°20, Présidentielle 2023 : Noël Tshiani appelle les congolais à offrir un second mandat à Félix Tshisekedi

Noël Tshiani a annoncé son désistement en faveur du candidat n°20, Félix Tshisekedi, à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023. C’était lors d’une conférence organisée samedi 16 décembre 2023. Il devient, ainsi, le troisième candidat président à se rallier à Félix Tshisekedi, après Joëlle Bile et Patrice Majondo. Pour le candidat malheureux de 2018, Félix Tshisekedi est le candidat qui maîtrise le mieux la politique.

Le candidat n°19 a justifié son choix de rejoindre le président sortant et candidat à sa propre succession, par le fait que leurs programmes présentent de nombreuses similitudes, affirmant n’avoir pas voulu se précipiter pour se prononcer au sujet de son ralliement. ‘’ Je me suis dit qu’il fallait se désister, mais à un moment donné. Si je l’avais fait dès le départ, je n’aurais pas su ce que pensait la population. J’ai pris conscience qu’il faut que nous nous mettions ensemble, qu’on mette de côté nos intérêts privés, pour offrir au peuple congolais les solutions réelles aux défis auxquels il fait face tous les jours ’’, a-t-il déclaré. Et de poursuivre : ‘‘Moi, je suis souverainiste, indépendantiste, je poursuis la même idéologie que Patrice Emery Lumumba. Par conséquent, entre les deux camps, le choix était clair. J’ai choisi le camp de mes frères et sœurs congolais d’origine, qui veulent que le Congo continue à être un pays souverain’’.

Par ailleurs, dans son speech, Noël Tshiani a demandé aux autorités congolaises de suspendre leur participation à l’EAC, de se retirer de cette communauté. Il voudrait que le Kenya soit considéré comme pays ennemi au même titre que le Rwanda. ‘’ Pour que le Kenya permette aux rebelles d’aller là-bas, de circuler librement et de faire une déclaration qui attaque la RDC et qui met en péril la sécurité du peuple congolais, j’estime que le Kenya a perdu la crédibilité en tant que pays partenaire. Nous devons le traiter au même titre qu’un pays ennemi comme le Rwanda’’, a-t-il expliqué.  

Le nouvel allié du chef de l’Etat a fait quelques propositions de réformes. Ainsi, il pense que la CENI devrait être un organe au sein du ministère de l’Intérieur au lieu qu’elle soit une institution composée des personnes venues de partout, où tout le monde a un agenda caché. Pour les partis politiques, la délimitation de leur nombre à 3 ou 4, car ne voyant pas la différence existant entre les 900 que compte le pays actuellement. Il a poursuivi, en décriant l’implication de l’église dans la gestion de l’Etat, qui se comporterait comme un parti d’opposition. ‘’

Nathan Mundele

 

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Limiter les dégâts des bavures dans les réseaux sociaux : Les médias appelés à s’approprier la loi portant code Numérique pour une vulgarisation générale des textes

Les professionnels des médias et des jeunes étudiantes en journalisme ayant participé à la journée de réflexion sur les mécanismes de prévention des violences numériques à l'égard des femmes et des jeunes filles ont invité mercredi 13 décembre 2023, l'ensemble de la corporation à s'approprier de la loi portant code Numérique pour une vulgarisation générale des textes pouvant limiter les dégâts des bavures dans les réseaux sociaux.

Les participants ont recommandé au ministère du Numérique de mettre en place des mesures d’application de la loi portant code numérique afin de  garantir une meilleure protection; d’amplifier les campagnes de sensibilisation nationale visant à informer le public sur les violences numériques, leurs conséquences et les mesures de prévention ;d’organiser une campagne de vulgarisation de la loi portant code numérique à travers toute la République et encourager les victimes à dénoncer les abus subis; de mettre en place des points focaux protection contre les violences numériques au niveau de la base, maison communale par exemple, favorisant la dénonciation ;de mettre en place un programme d’éducation numérique.

Aux CSAC, d’amplifier le contrôle des différents médias en ligne afin de prévenir et protéger contre les violences numériques.

Aux professionnels des médias,  de promouvoir l’éducation numérique à travers des animations des émissions pour sensibiliser la population à l’utilisation responsable du numérique ;d’organiser des campagnes de vulgarisation de la loi portant code numérique à travers les médias ;de mettre en place des mécanismes internes de protection et favorisant la dénonciation de toutes formes de répression des violences numériques à l'égard des femmes journalistes de leur organe de presse.

Aux partenaires techniques et financiers, d’appuyer la vulgarisation de la loi portant code numérique; de mettre en place et appuyer les mécanismes de soutien et d'assistance des femmes et jeunes filles victimes de violences numériques.  

Ces recommandations ont été formulées à l’issue de la journée de réflexion des professionnels des médias et étudiants en communication organisée par JEMAH Association et ACOFEPE (Association des femmes congolaises)  dans le cadre du projet  “ Voix et Leadership des Femmes (VLF)” financé par les Affaires mondiales Canada et mis en œuvre par le Centre Carter.

A l’ère où les nouvelles technologies de l’information sont devenues incontournables et les réseaux sociaux, les violences numériques sont devenues une menace croissante pour les femmes et les jeunes filles. Elles sont souvent victimes de harcèlement, de cyberintimidation, de chantage, de piratage, de vol d'identité et d'autres formes de violence en ligne. Et ce, en raison de leur identité de genre ou de leur statut socioéconomique. 

Les violences numériques engendrent des conséquences graves sur la santé mentale, la sécurité et la dignité des femmes et des jeunes filles, ainsi que sur leur participation à la vie publique et politique.

Or,  la loi  du 13 mars portant Code Numérique a déjà été promulguée par le président de la République, Félix Tshisekedi, champion de la masculinité positive.

Le Code du numérique entend prévenir et poursuivre les délits numériques tout en protégeant les données personnelles. 

L’article 360 de ladite  loi dispose que : « Quiconque initie ou relaie une fausse information contre une personne par les biais des réseaux sociaux, des systèmes informatiques, des réseaux de communication électronique de ou de toute forme de support électronique, est puni d’une servitude pénale de un à six mois et d’une amende de cinq cent mille à un million de francs congolais ou de l’une de ses peines seulement ». 

Amara Chukwu

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Processus électoral , RDC : la CENI demande l’appui logistique des Nations Unies

C’est sur ordre du Gouvernement congolais, étant donné la détermination de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), à conduire le processus électoral jusqu’à son terme, que le Représentant permanent de la RDC, l’Ambassadeur Zénon Mukongo Ngay, a écrit à José Javier De la Gaaca Lopez Domininguez, Président du Conseil de sécurité des Nations unies, le 12 décembre 2023 à New York.

Dans la lettre y relative N°132.61/RDCONU/AS/873/23, Zénon Mukongo a justifié la démarche congolaise par la conditionnalité de mener à terme ledit processus électoral. ‘’ Pour y parvenir’’, y lit-on, ‘’ elle doit finaliser, dans le délai, l’acheminement du matériel électoral et des équipements électoraux vers les sites à accès difficiles et permettre ainsi l’organisation des élections sur toute l’étendue du territoire national le même jour (20 décembre 2023)’’.

‘’Raison pour laquelle’’ poursuit la lettre, ‘’ tout en remerciant les Nations unies de leur appui au processus électoral dans l’acheminement de matériel électoral dans les provinces de l’Ituri ainsi que du Nord et Sud-Kivu, le Gouvernement saurait gré au Conseil de sécurité de bien vouloir autoriser la Monusco à étendre cet appui logistique dans d’autres provinces de la République démocratique du Congo.

Zénon Mukongo a, par ailleurs, sollicité l’implication du président du Conseil de sécurité des Nations unies pour faire circuler cette lettre comme document du Conseil de sécurité. ‘’ Je vous saurai gré de bien vouloir faire circuler ladite lettre comme document du Conseil de sécurité’’ lui a-t-il demandé, non sans le prier de croire en l’assurance de sa parfaite considération.

Samy Bosongo

Processus électoral , RDC : la CENI demande l’appui logistique des Nations Unies
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RDC : la SNEL redonne le sourire à la population de Gbadolite

*Une lueur d’espoir brille à Gbadolite alors que la Société nationale d’électricité (SNEL) annonçait, le rétablissement de l’électricité dans la ville,  après une période d’obscurité due à l’arrêt de la centrale hydraulique de Mobayi-Mbongo. La population locale a été privée de courant, depuis lundi 4 décembre 2023 en raison de problèmes liés notamment, à l’infiltration des eaux de la rivière Ubangi.

La bonne nouvelle a été confirmée par les équipes dévouées de la SNEL qui ont travaillé sans relâche pour remettre en service la centrale. La cause de l’interruption a été identifiée comme l’effondrement du mur séparant la première phase du barrage de la deuxième, provoquant l’infiltration des eaux de la rivière Ubangi dans la salle de commande. Cet incident a entraîné l’arrêt du générateur pour permettre l’évacuation des eaux inondant la salle de commande.

Le Directeur provincial de la SNEL, Ir Maurice, a souligné que la centrale, en service depuis 1989 avec trois machines initiales et des perspectives d’expansion, a réussi à éviter l’inondation malgré la crue de la rivière Ubangi et les infiltrations d’eau massives. La turbine a été remise en service avec succès le samedi 16 décembre 2023, marquant ainsi la fin de la période sombre pour Gbadolite.

Pendant la période de maintenance, afin de ne pas pénaliser davantage la population, la SNEL a activé ses deux groupes de secours situés dans la ville pour fournir de l’électricité à une partie de la population, en fonction de la puissance de ces groupes.

Cette mesure temporaire a permis d’atténuer les inconvénients en attendant la réhabilitation de la deuxième phase de la centrale de Mobayi-Mbongo perturbée par les eaux de la rivière.

Avec la remise en service de la deuxième phase et de deux groupes initialement hors service, la centrale hydraulique est désormais en mesure de desservir les villes de Businga, Gemena, Lisala et Bumba. La résilience démontrée par les équipes de la SNEL témoigne de leur engagement envers la population et souligne l’importance cruciale de maintenir et de réhabiliter les infrastructures pour garantir un approvisionnement électrique fiable.

La ville de Gbadolite peut enfin respirer un soupir de soulagement alors que les lumières scintillent à nouveau, mettant fin à une période d’incertitude et de désagrément.

La SNEL continue à  travailler pour renforcer la résilience de ses installations et assurer un service électrique stable pour l’ensemble de la population congolaise.

A la tête de la Direction Générale à Kinshasa, Fabrice Lusinde s’investit pleinement dans la concrétisation de son projet d’électrification de la RDC.

En homme de terrain, il demeure constamment aux côtés de ses équipes, œuvrant sans relâche pour apporter des solutions adaptées à l’ensemble de la population congolaise.

La Pros

RDC : la SNEL redonne le sourire à la population de Gbadolite
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RDC : Franck Diongo dénonce un plan de son élimination physique!

Dimanche, 17 décembre 2023-Opposant radical, Franck Diongo a délié sa langue 24 heures après sa séquestration par les forces du progrès, groupement membre de l’Udps. Droit dans ses bottes, le président du Mouvement Lumumbiste Progressiste dénonce un plan de son élimination physique . A la Demiap, dit-il, ‘‘on m’avait injecté des produits contre ma volonté à l’absence de ma famille, de mon médecin et de mes avocats dans la cellule’’.

Il s’est révélé, a-t-il dévoilé, après tous les examens effectués en Europe, qu’il y a des signes d’empoisonnement suite à des piqûres et injections de la DEMIAP. 

«Après l’assassinat de Chérubin Okende, Roselyne Mbombo qui est la cousine directe de Monsieur Tshisekedi Tshilombo a publié sur les réseaux sociaux que Franck Diongo abiki na Liwa (Franck Diongo est sauvé de la Mort). Elle dit avoir lu quelque part. Cela démontre qu’ils en ont parlé dans leur famille pour mon élimination physique », dénonce ce proche de Moïse Katumbi.

Pour Diongo, Félix Tshisekedi ne supporte pas de le voir aux côtés de Moïse Katumbi.

«A Muanda, avec Katumbi, dans un meeting, on nous a tirés à balles réelles. On a eu la vie sauve grâce à Dieu et avec la vigilance de nos policiers et gardes qui ont assuré notre sécurité. Les forces du progrès avaient reçu mission de nous éliminer physiquement et ils le disaient clairement. Ils se sont ramenés avec des couteaux, machettes, ferrailles, Cocktail Molotov, chevrons, bars de fer, et autres éléments tranchant, à tel point que pour atteindre leur objectif, ils ont même mis du feu pour nous calciner», a-t-il relaté.

Et de poursuivre : «Ils ont pillé et incendié l’église là où on était retranché comme lieu de refuge. Miraculeusement, je me suis échappé pour me retrouver dans la maison du pasteur dans la même concession».

Plus de 300 assaillants à la trousse de Diongo…

Selon l’opposant, le nombre des assaillants est évalué à plus de 300 personnes alors qu’il n’avait que 5 policiers.

«Pendant que j’étais assiégé, un grand nombre de la force du progrès était dans la résidence. Ils ont détruit mes véhicules, saccagés tous mes biens. Cela démontre le caractère planifié et organisé de cet assassinat raté. Dieu a été de notre côté. Cette situation n’a rien avoir avec l’affaire des photos ou affiches de la campagne électorale. Il s’agit là d’un plan déjà tracé depuis très longtemps contre ma personne physique. Pour l’UDPS et Félix Tshisekedi, le fait que Franck Diongo soutienne Katumbi, va amener le régime à perdre le pouvoir», a-t-il argué.

Le président du MLP estime qu’il est un élément nuisible pour le régime de Tshisekedi «qui tient à m’abattre physiquement».

La Force du progrès, une milice de l’UDPS ?

«A Ngaliema, les Forces du Progrès qui sont une milice de l’UDPS se comportent comme un service public de l’État en matière de sécurité. Ils ont leurs cachots, ils arrêtent les militaires et policiers et ils perçoivent des taxes. Ils font la loi, des jugements et même des condamnations. Pire, ils fixent des amendes avant d’être libérés. Et ce, aux yeux et au su de tout le monde. Ils se comportent comme des gens qui ont un terrain conquis. Ils arrêtent même des motos et taxis. Tous les services de l’État sont inefficaces », dénonce-t-il.

A lui de poursuivre : «C’est le cas de ce qui m’est arrivé hier. Toutes les interventions sollicitées n’ont pas répondu favorablement pendant plus de 4 heures. Ils m’ont dit ouvertement qu’aucune personne n’interviendra. J’ai été contraint de céder à la demande de donner une déclaration qu’ils ont demandé pour sauver des vies d’abord de ceux qui m’ont accueilli notamment le Pasteur, sa femme et ses enfants. Il s’agit là d’une intelligence stratégique pour sortir de cette situation et non d’une conviction personnelle. C’est à cause du soutien à Katumbi que l’UDPS cherche à nuire à Franck Diongo. ils ont difficile à digérer le fait que je soutienne Moïse Katumbi et non Fatshi ».

Franck Diongo a profité de l’occasion pour rappeler qu’il y a peu, les forces du progrès s’étaient également attaquées aux militants de Fayulu et il n’y a eu aucune intervention.

«J’ai même appelé Peter Kazadi pour dénoncer le fait que ces forces se livrent à la destruction de mes affiches, mais il n’y a eu aucune réaction. Politiquement, Fatshi sait que ma présence aux côtés de Moïse Katumbi est une menace contre lui et son régime », a-t-il dit avec regret.

Rappelons que Franck Diongo avait été séquestré pendant plusieurs heures par les forces du progrès le vendredi 15 décembre dernier.

ITK

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Consultation des observateurs électoraux Le président de la CNDH s’entretient  avec  la CENCO

En prévision des élections prévues le 20 décembre 2023, Paul Nsapu Mukulu, président de la Commission nationale des droits de l'homme, CNDH, s’est entretenu  le  mardi 12 décembre 2023 avec Mgr Donatien Nshole,  secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo, CENCO. La rencontre s’est tenue au centre interdiocésain catholique de Kinshasa, dans la commune de la Gombe.

A l’issue des échanges, le président de la CNDH a laissé entendre que cette tournée est  à la fois sociale et diplomatique pour  la structure, en tant qu’institution d'appui à la démocratie.

A l’en croire, la  démarche  consiste  en la consultation des acteurs impliqués dans le processus de préparation de l'organisation des élections autour, bien sûr, du pouvoir organisationnel qui est la Commission électorale nationale indépendante, CENI.

Et la rencontre avec  Mgr N’shole  était l’occasion  de faire savoir  aux acteurs impliqués dans ce processus la mission de la CNDH en cette période.  Pour l’occasion, la CNDH va  déployer  ses moniteurs en matière des droits de l'homme sur terrain et intensifier  son monitoring sur les questions des élections pour encadrer ce processus électoral ", a-t-il déclaré.

Paul Nsapu a  expliqué que la CNDH, à travers ses moniteurs, va apercevoir  les comportements des acteurs impliqués dans le processus électoral. Il s’agit entre autres des candidats indépendants, des formations politiques, des observateurs électoraux de la société civile, des confessions religieuses et autres.

" Nous allons également regarder du côté du pouvoir organisationnel, la CENI, si elle applique correctement les prescrits au regard des instruments internationaux, des dispositions de notre constitution et de la loi électorale par rapport à la promotion des élections libres, transparentes et démocratiques ", a-t-il martelé, tout en soulignant que’’ ces acteurs feront l'objet du monitoring de la CNDH, y compris la population électrice’’.

Pour le président de la CNDH, son institution est prête et très avancée sur le terrain, en faisant son travail habituel.

Se penchant  sur la question des élections, le secrétaire général de la CENCO,  a pour sa part  invité cette institution d'appui à la démocratie à attirer l'attention de la CENI sur le respect des droits des élections.

" Je crois qu'autour des élections, l'homme congolais a plusieurs droits. Il a droit au vote; il doit voter, il a droit que son vote soit reconnu; vérité des urnes, et il a droit à certaines informations du point de vue légal ", a relevé Mgr Nshole.

Il a profité de l'occasion pour donner quelques conseils au président de la CNDH. "Mieux vaut prévenir que guérir", a-t-il dit.

Il a  également relevé qu'il y a ceux qui se demandent s'il y aura des élections ou pas?

" La plus grande inquiétude pour ces électeurs, c'est la capacité de déploiement des matériels dans les bureaux de vote du pays", a-t-il relayé ces inquiétudes des électeurs congolais.

Pour lui, il faut éviter que le jour du vote certains bureaux ne s'ouvrent pas parce que les matériels ne sont pas arrivés. Selon lui, de cette manière, ‘’on aura empiété sur le droit de vote de ceux qui s'étaient enrôlés dans  ces bureaux ", a averti Mgr Nshole.

Pour le secrétaire général de la CENCO, la CNDH doit faire  œuvre utile d'attirer l'attention de son institution sœur sur certains droits des élections.

Nelly Somba

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Application d’éveil citoyen : ‘‘FATSHIVAR’’ retrace les réalisations de Félix Tshisekedi

L’équipe de campagne électorale du candidat Félix Tshisekedi a annoncé, lundi 11 décembre dernier à Kinshasa, la mise en place de la plateforme «Fatshivar». Cette application retrace les actions et réalisations du Président Félix Tshisekedi dans différents secteurs de la vie à travers tous les territoires de la République. C’est aussi un moyen qui permet de vulgariser son bilan.

Initiative du Professeur Jody Ngongo, il s’est dit inspiré de la rhétorique sportive qui veut que, « lorsqu’il y a un doute sur une action, on fasse appel à des preuves tangibles pour permettre à l’arbitre, de prendre une décision avisée ». Il a signalé aussi que cette plateforme FATSHIVAR, est une structure qui se présente sous forme d’un site web et une application qui regroupe toutes les actions du candidat numéro 20 à la présidence. «Ce projet ne va pas seulement s’arrêter pour la campagne électorale mais il restera pour l’avenir même si le candidat numéro 20 n’est pas réélu», a-t-il indiqué.

Pour sa part, Myoto Liyolo, directrice de communication de l’équipe de campagne du candidat Félix-Antoine Tshisekedi, a souligné le bien-fondé de l’application qui répond, selon elle, au besoin d’information de citoyens congolais et vulgarise le bilan du Chef de l’Etat, candidat à sa propre succession.

«Nous sommes-là pour accompagner le lancement de l’application dénommée « FATSHIVAR »  qui est une application d’éveil citoyen qui reprend en image géo-localisée toutes les actions et réalisations du Président de la République dans différents domaines de la vie du pays et à travers tous les territoires de la République», a-t-elle dit.

Et de poursuivre : «La plateforme n’a pas été lancée auparavant car le site a été une initiative privée et lorsque nous l’avons audité et discuté avec le créateur, nous nous sommes rendu compte de sa grande valeur pour combattre la désinformation qui circule en vitesse gravée en ce moment dans les réseaux sociaux et souvent à la radio et à la télé », a expliqué Myoto Liyolo. Tout en appelant la population congolaise à  s’en approprier ladite application.

Par la suite, elle a précisé que FATSHIVAR sera un outil entre les mains des chevaliers de la plume, des communicateurs politiques ainsi que de tout citoyen en quête d’informations détaillées et certifiées sur la marche de la RDC impulsée par Felix Tshisekedi.

Ronsard Malumalu

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Intelligence économique en RDC, Grand Inga : La Firme tire la sonnette d’alarme !

Le Cabinet d’études La Firme, spécialisé notamment, en management des services publics en République démocratique du Congo, s’inscrit, désormais, dans une démarche patriotique visant à apporter son expertise pour l’amélioration des conditions de vie des populations congolaises, telles que disséminées sur l’ensemble du territoire national, en termes des stratégies et orientations diverses pouvant faciliter la mise en œuvre des projets de grande envergure.  Après de multiples recherches menées, à Kinshasa comme en provinces voire à l’étranger, au niveau des pays aux économies puissantes, ce cabinet attire l’attention des dirigeants congolais, principalement celle du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, sur la nécessité d’appliquer ‘’l’intelligence économique’’, qui n’est rien d’autre que, en des termes simples, la capacité, dans tout pays qui se veut émergent, de capitaliser les différents atouts en vue de produire des richesses ou autres services susceptibles de soulager la population. Au niveau de la RDC, de façon concrète et réaliste, La Firme appelle à la relance du Projet Grand Inga, un vaste projet laissé dans les tiroirs, pourtant capable de mettre fin à l’obscurité en RDC. D’après un expert du Cabinet qui s’est confié récemment à La Prospérité, le Projet Grand Inga peut permettre d’alimenter non seulement tout le territoire congolais, mais aussi certains pays de la région, qui pourraient ainsi payer des royalties à l’Etat congolais.

Selon cet expert, la mise en œuvre du Projet Grand Inga va, à coup sûr, permettre à la République démocratique du Congo de se conformer à la transition énergétique, en produisant suffisamment de l’hydrogène, en tant que pays-solution climatiquement parlant.

«  Nous avons laissé au niveau du Cabinet ce segment là de l’intelligence économique. Nous allons continuer à réfléchir sur les aspects de la vie économique pour pouvoir apporter notre contribution. A titre d’exemple, on a échangé sur la manière dont le Gouvernement a conduit le Projet Inga jusqu’à ce jour, un projet qui dans un environnement de transition énergétique, offre des opportunités d’ampleur… C’est une décision qu’il faut prendre le plus tôt possible », a-t-il affirmé.

La Firme, comme indiqué précédemment, est un cabinet d’études spécialisé en management des grands projets. Basé à Kinshasa, précisément sur le boulevard du 30 juin à l’immeuble Sanash, en face de la Chancellerie des Ordres nationaux, ce Cabinet travaille de manière transversale sur tous les domaines grâce, notamment aux profils de ses différents membres qui disposent d’une expérience avérée dans les différents domaines : droit public, droit privé, économie, finances publiques, droits des affaires et autres.

La Pros.

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