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Victoria Nuland encourage la diplomatie en lieu et place de la guerre


La sous-secrétaire d’Etat par intérim des Etats-Unis, Victoria Nuland, a encouragé l’engagement des dirigeants de la région des Grands-Lacs à poursuivre leur médiation dans les processus de Luanda et de Nairobi.
Au terme d’une visite effectuée en République Démocratique du Congo du 2 au 3 août dont l’objectif était de rencontrer les hauts responsables du gouvernement congolais afin de discuter du soutien des Etats-Unis à des élections libres et équitables, la paix et la sécurité dans l’est de la RDC, de l’aide humanitaire, de la prospérité économique et des institutions libres et économiques, Victoria Nuland a, au travers d’un message à la presse du 18 août, estimé que la meilleure solution à la crise de l’est de la RDC est la diplomatie tout en condamnant « sans réserve » les discours de haine contre les populations minoritaires, y compris les rwandophones. Au sujet des élections, elle a encouragé l’organisation des élections libres et équitables.
Message à la presse
La sous-secrétaire d'État par intérim des États-Unis, Victoria Nuland, a effectué une visite en République démocratique du Congo (RDC) du 2 au 3 août pour rencontrer de hauts responsables du gouvernement afin de discuter du soutien des États-Unis à des élections libres et équitables ; de la paix et la sécurité dans l'est de la RDC ; de l’aide humanitaire; de la prospérité économique; et des institutions démocratiques et de la gouvernance. Au cours de sa visite, elle a réaffirmé que les États-Unis et la RDC entretiennent une relation solide et de longue date, ancrée dans des valeurs partagées et un intérêt commun à soutenir des solutions durables pour un monde plus vert et plus prospère. Elle a souligné l'engagement des États-Unis à travailler ensemble pour aider à réaliser le potentiel de la RDC en tant que solution au changement climatique et comme pilier de stabilité et de prospérité économique dans la région.
La sous-secrétaire Nuland a clairement indiqué que des élections libres et équitables, tenues pacifiquement, à temps et avec des processus électoraux inclusifs et transparents, renforceront la consolidation démocratique de la RDC et répondront aux revendications des citoyens pour un gouvernement responsable et représentatif. Elle a déploré le bilan humain de la crise dans l'est de la RDC et condamné les attaques brutales contre les civils. Elle a affirmé que la meilleure solution à la crise dans l'est de la RDC est diplomatique et a exprimé son appréciation pour l'engagement des dirigeants régionaux à travers leur médiation dans les processus de Luanda et de Nairobi. Ces efforts ont généré une feuille de route pour des progrès rapides vers une solution diplomatique et durable. Elle a condamné sans réserve les discours de haine contre les populations minoritaires, y compris les rwandophones.
La sous-secrétaire Nuland a annoncé une aide humanitaire supplémentaire de 48 millions de dollars pour aider les personnes les plus vulnérables à l'exploitation et aux abus. Ce financement porte l'aide humanitaire américaine totale à près de 486 millions de dollars pour l’exercice financier en cours. Les États-Unis saluent et soutiennent l'intensification de l'aide humanitaire à l'échelle du système dans l'est de la RDC, reconnaissent les partenaires congolais et internationaux travaillant dans l'est de la RDC et encouragent les autres à faire davantage.
La Pros.

 

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Élections 2023 : la CENI sollicite une facilitation d'accès au tarmac aéroportuaire de son personnel et de ses engins


La CENI sollicite une facilitation d'accès au tarmac aéroportuaire de son personnel et de ses engins pour la réception, le déchargement et le déploiement du matériel électoral. Le Questeur Adjoint de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Mme Sylvie Birembano Balume, a représenté le Président Denis Kadima Kazadi (empêché), à une séance de travail, présidée par le Ministre des Transports, des Voies de communication et du Désenclavement, Me Marc Ekila, à l'immeuble du gouvernement. Mme Sylvie Birembano était accompagnée des experts de la CENI chargés des opérations et de la logistique.
À cette rencontre, étaient conviés les responsables de l'Autorité de l'Aviation civile congolaise (AAC), de la Régie des voies aériennes (RVA), de la Société des chemins de fer du Congo (SNCC), de Congo Airways ainsi que les opérateurs privés des vols commerciaux et cargos comme Serve Air ou encore CAA pour les vols commerciaux.
La problématique sur la question de facilitation d'accès au tarmac et autres sites aéroportuaires durant les opérations de réception, de déchargement et du déploiement du matériel électoral dans les différents entrepôts de la CENI à travers toute l'étendue du pays était au menu de la séance de travail.
En faisant la restitution de cet échange, le Questeur adjoint de la CENI a relevé les points essentiels : " la question de la mobilité du personnel et du matériel de la CENI préoccupe le Président Denis Kadima Kazadi. Raison pour laquelle il a saisi le Ministre des Transports pour solliciter une facilitation d'accès au tarmac de notre personnel et nos engins parce que la CENI va réceptionner à partir du mois de septembre un lot important des matériels électoraux. Cela constituera une grande quincaillerie que nous allons manipuler, c'est-à-dire réceptionner, décharger et déployer dans nos entrepôts principaux et secondaires jusqu'aux différents sites de vote".
Avant de renchérir : « Le Ministre a jugé nécessaire d'associer les transporteurs ainsi que les compagnies aériennes pour qu'on puisse harmoniser nos vues. Et en sortant de cette réunion, nous sommes satisfaits parce que tout le monde a compris la préoccupation de la CENI étant donné que nous aurons les matériels sensibles que nous ne devons pas exposer aux intempéries une fois réceptionnés ».
En somme, le Ministre des Transports s'est montré réceptif en montrant la priorité de la mission de la CENI qui consiste à organiser les élections transparentes, crédibles et inclusives pour l'intérêt supérieur de la nation.
MB

 

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"Franck Ngyke Kangundu, le journaliste qui a lourdement payé le prix de la liberté de la Presse"

Franck Ngyke Kangundu, né le 28 juin 1953 à Kinzambi, dans l'ancienne province de Bandundu, en République démocratique du Congo, était un journaliste passionné et dévoué. Chef de rubrique politique au sein du Groupe de presse LA RÉFÉRENCE Plus, il a consacré sa vie à informer et à sensibiliser le public sur des questions politiques cruciales de son pays.
Malheureusement, le destin tragique de Franck Ngyke Kangundu a basculé dans la nuit du 2 au 3 novembre 2005. Il a été assassiné en présence de ses cinq enfants, Djoudjou, Francine, Grâce, Olive et Landrine. Franck a reçu une balle mortelle à la poitrine, tandis que sa femme Hélène MPAKA avait été tuée en recevant trois balles au niveau de l'abdomen.
Cet acte odieux a privé la société congolaise d'un talentueux journaliste et a laissé une cicatrice profonde dans le cœur de sa famille.
Aujourd'hui, la troisième fille de Franck Ngyke Kangundu, Grâce Israëlla Kangundu, poursuit le combat de ses parents en tant que journaliste et militante des droits de la femme et de la jeune fille.
Elle se bat pour que ses parents soient reconnus par le gouvernement congolais au rang des Martyrs de la liberté de la Presse.
Grâce est également membre actif du groupe de plaidoyer "Justice Pour Franck Ngyke Kangundu", qui milite pour la construction d'une stèle commémorative dédiée à la liberté de la Presse. Cette stèle sera érigée sur une place symbolique où seront immortalisés les noms de tous les journalistes assassinés pendant l'exercice de leur métier.
Le travail et l'héritage de Franck Ngyke Kangundu continuent de briller à travers la détermination de sa fille Grâce et de tous ceux qui se battent pour la liberté de la presse en République démocratique du Congo.
En honorant sa mémoire, nous rappelons l'importance cruciale du journalisme indépendant et de la défense des droits fondamentaux dans une société démocratique.
Grâce Ngyke Kangundu

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Le phénomène fille-mère dans la commune de Ngaliema : A Mbinza Delvaux au quartier Lalou : nécessité d’encadrer ces filles sans ressources


Etre mère est une grande responsabilité qui demande beaucoup de maturité, de maîtrise de soi et beaucoup de moyens pour s’assumer. Mais tous ces critères paraissent pas importants pour les jeunes filles de Lalou.
Un enfant est un être sacré c’est pourquoi il est souvent demander de planifier avant d’envisager avoir un enfant. Aujourd’hui être mère n’est plus pris au sérieux pour certaine fille. Les jeunes filles aujourd’hui acceptent de devenir mère en sachant qu’elles ne sauront pas assurer la survie de leurs enfants. Conséquence : le taux élevé des enfants de la rue dans la ville de Kinshasa.
Les jeunes filles se lancent dans des relations amoureuses peu rassurantes et sans avenir. Dès qu’elles tombent sur des garçons qui leur donnent 5000 ou 10000 franc congolais par jour elles pensent automatiquement trouver l’homme idéal et n’hésitent plus à se donner entièrement à ces hommes. Et pourtant, la plupart de ces hommes sont des motards, des taximan. Pour les filles de Lalou ce qui fait qu’on trouve des filles de 15-20 ans ou encore 20-25 ans devenir des mères chez les parents.
Pour la plupart des cas de ces filles élèvent seules leurs enfants parce que, très souvent, ces garçons prennent la fuite ou refusent de prendre leur responsabilité de père, et l’éducation de l’enfant et surtout sa vie est mise en danger .Pendant ce temps il y’a des couples responsables mariés pendant des années qui n’arrivent pas à concevoir.
Les jeunes filles doivent prendre conscience, savoir assumer les conséquences de leurs actes, faire preuve de maturité, d’intelligence, de sagesse et surtout se valoriser.
Lesline Kapinga

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Trois cas déjà confirmés à Kinshasa : Monkeypox : le Dr Robert Shongo appelle la population à ne pas paniquer et à respecter scrupuleusement les mesures barrières



Trois cas des personnes atteintes de Monkeypox sont signalés à Kinshasa. Le Docteur Robert Shongo, responsable du Programme de lutte contre le Monkeypox et les fièvres hémorragiques virales en RDC, l’a confirmé au cours du point presse tenu vendredi dernier à l’Institut national de recherches biomédicales (INRB) à Kinshasa-Gombe. Le médecin a appelé la population kinoise, et tous les congolais en particulier, à ne pas céder à la panique, contrairement à tout ce qui se raconte mais, plutôt, à observer, comme il se doit, les mesures sanitaires recommandées.
Dr Shongo a, en outre, rassuré que la prise en charge de cette maladie est effective et inconditionnée par tous. Sinon, cette maladie autrefois appelée ‘’variole du singe’’ est transmise principalement par le contact direct : avec l’animal malade, avec la personne malade. Une femme enceinte malade de Monkeypox peut transmettre le virus au fœtus, a expliqué le médecin, qui détaillait les circonstances de contamination de la maladie.
Comment reconnaitre en cas de contamination ?
Plusieurs signes peuvent indiquer l’infection de ce virus. Chez les humains, cela se manifeste par une forte fièvre d’apparition brutale, des éruptions cutanées, des lésions remplies de liquide ou de plies qui finissent par se dessécher et former des croûtes au niveau des paumes de mains et des plantes de pied, qui peuvent même se généraliser sur tout le corps.
Comment éviter ?
Pour éviter toute infection de la maladie, le médecin a conseillé de : « se laver régulièrement et correctement les mains à l’eau propre et au savon, ou à la cendre ; éviter tout contact non protégé avec des animaux malades ou morts ; éviter tout contact physique et sexuel avec une personne qui présente les signes de Monkeypox ou tout autre excrétion ou liquide provenant des personnes malades (sang, urines, salive, selles, vomissures, sueur, spermes...) ; éviter la manipulation et la consommation de la viande d’un animal malade ou mort naturellement ; bien cuire la viande avant de la consommer ; éviter de manipuler les cadavres des personnes mortes suspectes de Mpox mais les enterrer de manière digne et sécurisée ; éviter d’abattre et de vendre les animaux malades ou suspects », a-t-il recommandé, comme mesures préventives.
Le médecin a par ailleurs accentué que les personnes à haut risque d’être contaminées par ce virus sont celles qui entrent en contact direct avec les animaux comme les chasseurs, les fermiers, les éleveurs, les vendeurs ou batteurs des animaux, les cuisiniers etc.
Que faire ?
En effet, les spécialistes en la matière suggèrent de se rendre immédiatement au centre de santé le plus proche soit appeler gratuitement le service call center 42502, lorsqu’une personne présente des signes énumérés. Ce, en vue de lutter efficacement contre cette maladie. Pour les animaux, il est recommandé d’appeler un vétérinaire le plus proche.
Fidel Songo

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Après sa sortie officielle : Kinshasa : la 2ème conférence de ‘‘L’Académie du bon sens’’ confirmée pour le 17 octobre prochain


Le sénateur, écrivain et Président du Conseil d’administration du CADICEC, Didier Mumengi, a annoncé vendredi 25 août 2023, à la salle Père Boka du CEPAS, la tenue de la deuxième conférence de ‘‘L’Académique du bon sens’’ pour le 17 octobre 2023. C’était à l’occasion de la sortie officielle de l’Académie du bon sens.
L’Académie du bon sens, est une école d’initiation pratique à la citoyenneté agile et éthique, au service de l’intelligence sociétale congolaise.
«Nous allons commencer le 17 octobre 2023, avec ces questions majeures, ces questions fondamentales : Qui sommes-nous ? Pourquoi nous nous appelons ‘’bantou’’ ? Ils viennent d’où ces bantous ? Quel était notre premier ancêtre, de qui nous tenons ce nom bantou ? Comment faire la démonstration que la traite négrière et la colonisation sont les incidents de l’histoire qui ont quelque part vidé le sens humain de l’homme congolais et que maintenant nous devons prendre la résolution de la restaurer, de la réhabilité. Parce que, le 30 juin 1960, nous ne sommes pas donné l’importunité de nous arrêter et de purger tout ce que la traite négrière et de la colonisation ont placé dans nos profondeurs, ont paralysé nos virtualités créatrices », fait savoir Didier Mumengi.
Pour lui, chaque séance formative ou sensibilisatrice de l’académie du bon sens, requiert une inscription préalable et se saisit d’une problématique sociétale précise pour expérimenter d’abord, une technique ad hoc de résolution pratique et holistique de tous les problèmes du secteur et ensuite, les principes d’éthique ainsi que les règles de déontologie y relatifs. Selon lui, l’académie du bon sens va tenir des séances sur les moustiques et la malaria qui deviennent des maladies endémiques dont la solution n’est peut être pas d’acheter des insecticides et des moustiquaires, mais de proposer des actions simples. «Les moustiques sont des témoins de la saleté qui nous environnent, les moustiques nous disent en nous piquant, attention vous êtes sales, votre rue est sale. D’où, il est important de trouver une solution », fait-il noter.
Il sied de rappeler que, l’académie du bon sens en un mot, se donne pour ambition de promouvoir le retour à une meilleure normalité et de travailler à l’essor d’une réelle intelligente décisionnelle collective, au travers ses axes d’actions : sensibiliser, initier et former les jeunes-acteurs de demain, mais aussi les acteurs publics d’aujourd’hui à un agir éthique, civique et patriotique dans toutes les situations ; proposer des formations pratiques en intelligence décisionnelle pour améliorer la capacité de résolution de problèmes des acteurs publics : transformer les volontés citoyennes, les mandats et les engagements publics ainsi que toute responsabilité d’Etat en dynamiques décisionnelles précises, rapides, réalisables et chaque fois salutaires ; exhorter et aider les partis ou regroupements politiques à se doter impérativement d’un code de militantisme cognitif, scientifique et civique ainsi que d’un guide de conduite citoyenne vertueuse des militants ; sensibiliser les administrations publiques - de la rue au sommet de l’Etat, les entreprises privées et les organisations associatives à la nécessité de se prémunir d’une charte de comportement agile et éthique au travail et sensibiliser l’Etat et l’aide à soumettre le monde du travail public, privé et associatif à l’impératif de la responsabilité des organisations.
Hénoc Akano

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Des œuvres d’art ‘‘médicamenteuses’’, pour guérir la planète

*Revaloriser les médicaments périmés, c’est possible ! Surtout quand l’écologie s’en mêle. Christine Warrand l’a fait, en créant des œuvres d’art ‘‘médicamenteuses’’. A travers une exposition qui s’est tenue à l’hôpital du Valdor, à Liège (Belgique), du 26 mai au 25 août, cette artiste liégeoise a inspiré le public.
Familière avec les médicaments auxquels les circonstances de la vie l’ont exposée, Christine Warrand s’en révolte. Sans tension, mais non sans passion : une passion qui met l’art au service de la préservation de l’environnement. Christine fait usage des médicaments périmés pour créer des peintures originales.
L’art au service de l’environnement
Dans cet environnement ‘‘hospitalier’’ du Valdor, des patients de l’hôpital ont retrouvé le sourire. Et les œuvres exposées permettent surtout réfléchir quant à l’impact des médicaments sur l’environnement. En effet, selon une étude internationale dirigée par l’Université d’York au Royaume-Uni (2022), les résidus des médicaments sont des facteurs de pollution à plusieurs niveaux.
Des visiteurs et plusieurs curieux ont été très contents d'avoir ce genre d'exposition qui leur rappelle la nécessité de ‘‘récupérer pour upcycler’’. Certains n’hésitent pas de s’acheter une œuvre d’art qui leur plaît. Les fonds récoltés seront affectés à Fonds de la Recherche Scientifique à travers Télévie.
Et ensuite
Quand l’art et l’environnement se rencontrent, une créativité sans frontière s’en dégage. Une autre exposition est en vue très prochainement, cette fois-ci à Bruxelles. Une occasion pour poursuivre la réflexion en vue d’une prise de conscience face à ces pilules qui risquent de rendre malade notre planète, en polluant notamment nos rivières.
Prosper Mbumba
Journaliste indépendant (en séjour à Liège)

Des œuvres d’art ‘‘médicamenteuses’’, pour guérir la planète
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