En République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, tous les membres de l’OEC ont célébré, avec pompe, le 77ème anniversaire de la fondation (06/06/1946) de leur organisation;
- Ils ont visité les statues et les portraits rayonnants des Généralissimes KIM IL SUNG (1912-1994) et KIM JONG IL (1942-2011), érigés partout dans le Pays, pour y déposer leurs corbeilles ou bouquets ou gerbes de fleurs multicolores avant de s’incliner respectueusement.
- La conférence des éléments les plus actifs de belles actions des enfants et l’assemblée générale de l’OEC ont eu lieu dans le cadre des comités de l’Union de la Jeunesse Patriotique Socialiste (UJPS) de province, de ville et d’arrondissement et au niveau des organisations de l’UJPS et de l’OEC de chaque école primaire et secondaire.
- Les membres de l’OEC de toutes les régions du Pays ont passé leur jour agréable, en assistant aux spectacles par détachement et participant aux compétitions sportives et ludiques.
Les cadres responsables du Parti du Travail de Corée (PTC, parti au pouvoir, créé en 1945, NDLR) et de l’organisme du Pouvoir populaire de province, de ville et d’arrondissement ont visité les écoles pour féliciter les membres de l’OEC en fête.
① 04-06/06/2023
Se sont déroulées les Compétitions Sportives d’Ecoles Révolutionnaires-2023.
Y ont participé les joueurs sélectionnés de l’Ecole Révolutionnaire de Mankyong-dae (où se trouve le village natal de KIM IL SUNG, NDLR), de l’Ecole Révolutionnaire KANG Pan Sok (la Mère de KIM IL SUNG, NDLR), de l’Ecole Révolutionnaire de Nampho (Ville-Province au bord de la Mer de l’Ouest de Corée, NDLR) et de l’Ecole Révolutionnaire Saenal (ou aube ou nouveau jour, NDLR), temples d’éducation des enfants des Martyrs révolutionnaires et centres de formation des éléments d’élite de réserve dignes de confiance de la Révolution coréenne.
Y ont assisté les cadres du Comité Central (CC) du PTC, de l’UJPS et des organismes des forces armées, le personnel enseignant et administratif et les élèves desdites 4 écoles révolutionnaires.
Les compétitions sont divisées en 14 disciplines, entre autres football, basket-ball, volley-ball, tennis de table, traction à la corde, tir, natation, course de relais, etc. Se sont classées 1ères;
- l’Ecole Révolutionnaire de Mankyong-dae, dans les épreuves masculines
- l’Ecole Révolutionnaire KANG Pan Sok, dans celles féminines.
② Le Jour-J (6 juin)
- La remise des lance-fusées -
Les élèves du Pays entier avaient mené, avec enthousiasme, leur Mouvement d’Actions Méritoires pour se procurer des lance-fusées Sonyon-ho (ou dédiés par les enfants) à offrir à l’Armée Populaire de Corée. La cérémonie de remise de lance-fusées a eu lieu sur l’esplanade du Palais des Enfants de Mankyong-dae (le plus grand centre d’éducation extrascolaire pour enfants du Pays, érigé en 1989 et réaménagé en 2015, NDLR). Y ont pris part;
- KIM Su Kil, Secrétaire-en-chef du Comité de la Ville Pyongyang du PTC
- RI Tu Song, Chef de département du CC du PTC
- les permanents de l’UJPS
- les soldats et officiers de l’APC
- les élèves, notamment les participants à la Course de Relais de la lettre de serment de fidélité à l’adresse de KIM JONG UN.
MUN Chol, Président du CC de l’UJPS, a fait son discours de circonstance dans lequel il a;
- dit notamment: Se procurer des armes et équipements portant le nom Sonyon-ho pour les offrir aux postes de défense nationale constitue une précieuse tradition de l’OEC avec sa glorieuse histoire de plus de 70 ans.
- insisté sur la nécessité, pour tous les élèves, de se préparer en talents dotés de riches connaissances, d’une noble morale et d’une robustesse physique.
Le certificat de remise de lance-fusées a été transmis à un officier de l’APC. Puis, on a écouté les interventions. A l’issue de la cérémonie, les lance-fusées sont partis pour les unités de l’APC sous les acclamations enthousiastes des élèves.
- La représentation artistique -
La représentation artistique des enfants intitulée «Notre Soleil bienfaiteur» s’est jouée au Palais des Enfants de Mankyong-dae. Y ont assisté;
- RI Tu Song, Chef de département du CC du PTC
- MUN Chol, Président du CC de l’UJPS
- les permanents de l’UJPS
- les élèves de l’Ecole Révolutionnaire de Mankyong-dae et de celle KANG Pan Sok
- les élèves, notamment les participants à la Course de Relais de la lettre de serment de fidélité à l’adresse de KIM JONG UN.
Commencé par le prélude «Giron du Soleil», le spectacle comprenait les numéros variés, entre autres, ensemble vocal avec accompagnement au kaya-gum (instrument à cordes fabriqué au 6ème siècle, NDLR) avec solo, solo masculin et chœur, ensemble vocal féminin, gymno-chorégraphie, etc.;
- Animés d’un sentiment de vénération sans bornes envers KIM IL SUNG et KIM JONG IL, les jeunes artistes ont chanté à la louange de ces 2 grands Hommes qui avaient consacré toute leur vie pour la fondation d’une organisation révolutionnaire des enfants de Juché (idéologie directrice éternelle créée par KIM IL SUNG en 1930 coïncidant avec le début de la Résistance antijaponaise, NDLR) et la formation des membres de l’OEC en fils et filles dignes de la Patrie.
- Le spectacle a reflété, dans ses œuvres, le sentiment de vénération envers KIM JONG UN qui prodigue une affection et une sollicitude immenses à la nouvelle génération en considérant le travail pour le bien de la postérité comme la tâche la plus importante du PTC et de l’Etat.
Tous les numéros de ces petits talents ont été, vivement, applaudis par les spectateurs.
All Stories
Le bloc de l’opposition de quatre candidats présidents de la République doit se frotter les mains après les révélations de l’ancien premier ministre Augustin Matata Ponyo. Allié de Moïse Katumbi, Martin Fayulu et Delly Sessanga, le leader du Leadership et Gouvernance (LGD) affirme sur son compte twitter que le pistolet de type Jericho attribué faussement à Salomon Kalonda, appartenait plutôt à son garde du corps.
Un élément nouveau devant être pris en compte par les services de renseignements militaires dans le dossier judiciaire du conseiller spécial de Moïse Katumbi, en détention à la Demiap depuis près de 11 jours. Pour Matata : “Le pistolet Jericho attribué faussement à M. Salomon Kalonda, collaborateur de Moïse Katumbi, appartenait plutôt à mon garde du corps qui l’avait reçu en bonne et due forme de la Police depuis que j’étais Premier ministre. Arme perdue le 25 mai le jour du sit-in”.
Accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat, incitation des militaires à commettre des actes contraires à la loi et détention illégale d’armes, Salomon Idi attend être transféré devant son juge naturel.
Katumbi parle de honte aux manipulateurs et menteurs
C’est l’occasion pour le chairman de Ensemble pour la République de rebondir en parlant de honte après la révélation de Matata Ponyo. Prenant partie pour son proche collaborateur, il écrit sur son compte tweeter : “Honte aux manipulateurs et aux menteurs ! L’arme attribuée à Salomon Kalonda appartient en réalité au garde du corps de Mapon Matata qui l’avait perdue. Son numéro d’enregistrement l’atteste. La vérité est têtue. Elle finit toujours pas triompher”.
Pour rappel, Salomon SK Della a été appréhendé, le mardi 30 mai dernier, à l’aéroport international de N’djili par le renseignement militaire. Au cours d’une conférence de presse, lundi 5 juin dernier, l’état-major des renseignements militaires a dévoilé les raisons de l’arrestation du conseiller spécial de Moïse Katumbi.
Le Colonel Kangoli Ngoli, avait fait savoir que Salomon Kalonda est poursuivi pour détention illégale d’arme à feu et de munitions de guerre, atteinte à la sûreté de l’État et incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline.
«Devant les magistrats, la personne suspecte est présumée innocente. Donc, jusqu’à la preuve du contraire, il est présumé innocent. Mais, nous avons des faits pour lesquels il est poursuivi. Nous le poursuivons pour incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline, nous le poursuivons également pour détention illégale d’arme et des munitions de guerre et nous le poursuivons pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État. Voilà les trois chefs d’accusation que nous avons mis à la charge de monsieur Salomon », avait-t-il indiqué.
Par ailleurs, cet officier des FARDC avait affirmé que ce proche collaborateur de l’ancien gouverneur du Katanga entretiendrait des contacts avec le M23 et les officiels rwandais dans le but de renverser le régime en place en RDC.
L’interpellation de Salomon est intervenue alors qu’il s’apprêtait à regagner Lubumbashi avec Moïse Katumbi et toute l’équipe du parti Ensemble pour la République après un séjour d’un mois à Kinshasa où des manifestations de l’opposition avaient été organisées.
Emma Muntu
C’est dans une correspondance du lundi 5 juin dernier adressée au speaker de la chambre basse du Parlement que les femmes réunies au sein du Réseau des Femmes Parlementaires, ont exprimé leur indignation. Victimes de la violence et de l’injure facile, ces femmes qui ont opté pour la politique à l’hémicycle ont dénoncé ce comportement abject en ces termes : «La participation des femmes à la vie politique en RDC semble ces derniers temps devoir se faire au prix de l’acceptation des violences sous diverses formes : violences physiques, télévisuelles, médiatiques, attaque physique et violence psychologique dans le but de restreindre la présence des femmes dans l’espace public. Ainsi, des incidents à répétition ayant frappé diverses femmes politiques ou citoyennes ordinaires en RDC, un des derniers incidents est l’attaque du bureau de la députée Jaynet Kabila».
Les élues du peuple à l’Assemblée nationale citent dans leur courrier les cas de «l’Honorable Mushobekwa, exclue du parlement, Madame Ifoku, candidate malheureuse des élections présidentielles de 2018, insultée pour avoir proposé un schéma politique de sortie de crise en faveur d’un camp politique, Honorable Dominique Munongo Inamizi, menacée et traitée de tous les noms pour la liberté d’expression, Honorable Jeanine Mabunda, injuriée par les extrémistes de certains partis politiques, des jeunes filles tabassées au Maniema par les miliciens extrémistes, l'honorable Jaynet Kabila dont le bureau a été attaqué, la Vice-Ministre de l’EPST, Aminata Namasia, critiquée dans les médias, les femmes malmenées à l’Est du pays, au Kasaï, au Grand Katanga,… ».
Pour ce faire, «Elles appellent à la retenue de tous les acteurs politiques » et « sollicitent de Christophe Mboso Nkodia, de Modeste Bahati Lukwebo et de Mireille Masangu Bibi Muloko, que l’art. 25 du Règlement d’Ordre Intérieur de l’A.N. soit respecté afin que la participation des femmes en politique puisse être garantie en RDC ainsi qu’une attitude proactive de condamnation de tous les actes visant à incommoder ou à intimider les femmes faisant de la politique »
Prenant fait et cause des femmes d’une façon générale, aux ONG des droits de la femme, en particulier et aux Commissions des Sages et du Genre de l’Assemblée nationale, ledit Réseau souhaite des enquêtes et clarté sur ces incidents à répétition.
Les copies de cette lettre ont été réservées au Président du Sénat, au Vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, au ministre des Droits Humains, à la ministre du Genre, Famille et Enfant ainsi qu’à la ministre de la Justice et Garde des Sceaux. Ce courrier du Réseau des femmes parlementaires a été signé par les honorables Magguy Rwakabuba en qualité de vice-présidente et Dominique Munongo Inamizi en tant que rapporteure.
Emma Muntu
En marge de son passage en RDC, le Secrétaire Général adjoint des Nations Unies aux opérations de Paix, Jean-Pierre Lacroix, a tenu une conférence de presse ce 7 juin 2023, pour évoquer les dispositions mises en place en vue du départ progressif de la Monusco d’ici le 31 décembre 2023. Tenant compte du contexte du processus électoral, il a évoqué la situation sécuritaire des Provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, sur laquelle il a exprimé les préoccupations et les craintes de la mission, avec des pistes de solution afin de ne pas laisser un vide sécuritaire.
Pour ce qui concerne les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu notamment, les zones affectées par le M23, Jean-Pierre Lacroix s’est étalé sur les similitudes et les différences de chaque région. En termes de similitude, il a précisé que plusieurs civils sont protégés par la MONUSCO, et qu’il faut tenir compte, dans un processus de départ sans laisser un grand vide.
A l’entendre, la présence importante de la MONUSCO joue un rôle dans la défense de Goma, et dans d’autres sites en bonne intelligence avec les forces congolaises et avec d’autres forces dont la Communauté Est Africaine.
«Nous avons beaucoup travaillé pour nous engager à soutenir le projet de pré-cantonnement des éléments du M23. Il a été question dans nos discussions avec les autorités. Nous avons aussi discuté de ces questions avec les autorités angolaises, avec lesquelles je me suis entretenu à Luanda», a-t-il expliqué.
Dans le cadre de cette transition et de ce processus évoqué, Jean-Pierre Lacroix a indiqué qu’ils devront soumettre un rapport aux Etats Membres du Conseil de sécurité. Mais aussi de faire le constat ainsi que des recommandations sur ce qui pourrait être l’évolution du mandat de la Monusco de la phase qui va s’ouvrir, pour faire avancer dans cette transition.
Continuer à travailler avec les autorités afin que le processus de montée en puissance de l’Etat Congolais permette de réduire leur présence, telle est l’une des démarches entreprises par la mission afin de conduire de manière responsable leur retrait pour qu’il n’y ait pas un vide qui serait fatale aux populations.
Sur le processus électoral, il a estimé qu’il est essentiel que celui-ci se déroule dans la sérénité car, il a été remarqué des violences intervenues lors des récentes manifestations. Au regard de cela, il y a une préoccupation de la part de beaucoup d’interlocuteurs quant aux discours de haine, au discours xénophobe, au discours misogyne, au discours de confrontation ethnique.
De ce fait, il a mis l’accent sur l’arrêt de ces discours, et à ce climat de négativité car cela doit être pris au sérieux, d’autant plus que les Nations Unies ont une responsabilité particulière pour contribuer à la lutte contre ces phénomènes.
Niclette Ngoie
‘’Opportunité pour un leadership fort, responsable et transformationnel’’, tel était le thème de la conférence débat tenue, samedi 3 juin 2023, dans la salle Fatima dans la Commune de la Gombe. Au cours de cette rencontre organisée par le parti congolais pour la Bonne Gouvernance, PCBG, Israël Musimwa Bisharhwa, président du parti, a annoncé son soutien à une éventuelle candidature du Dr Dénis Mukwege.
D’après lui, à la tête de ce pays, on a besoin d’une personne comme Dénis Mukwege. C’est-à-dire, ‘’une personne qui incarne l’amour, la paix, la bonté, le pardon, la réconciliation, la justice’’.
Israël Musimwa est également revenu sur le processus électoral en cours dans le pays. Pour lui, ce processus était déjà mal parti. C’est-à-dire, depuis la nomination du président de la Ceni. Car, selon lui, avec la nomination des personnes de la même tribu que le Président de la République, les élections ne pourront pas être crédibles et cela apportera toujours des contestations. C’est ainsi qu’il a exigé aux autorités compétentes de corriger d’abord dans ce sens. Il s’agit, pour lui, de débarquer le président de la CENI ainsi le président de la Cour constitutionnelle et cela, dans le délai. Et la nouvelle équipe aura la lourde tâche, d’après lui, de corriger l’actuel fichier électoral, en proposant un fichier électoral convenable, a-t-il affirmé. En cas de glissement, il propose que le président Tshisekedi passe les commandes au président du sénat Bahati Lukwebo, qui devra organiser les élections dans les trois mois à venir.
Créé le 21 avril 2005 à Bukavu par certains leaders issus de la société Civile de la RDC, le Parti Congolais pour la Bonne Gouvernance est l’expression politique de la lutte longtemps menée par le peuple congolais à travers la Société Civile, pour un Etat de droit.
Le PCBG prône notamment, une société tolérante et participative, une société civile forte et partenaire des pouvoirs publics, en reconnaissant à chaque citoyen un rôle d’acteur principal dans le secteur privé d’une part, et, d’autre part, en lui faisant jouer, au-delà des élections, un rôle de participant actif dans les choix démocratiques.
Nelly Somba
Le 6 juin a eu lieu la conférence de presse de la 3e édition de l'Exposition économique et commerciale sino-africaine. La 3e édition de l'Exposition économique et commerciale sino-africaine, coparrainée par le ministère du Commerce de la République populaire de Chine et le gouvernement populaire provincial du Hunan, se tiendra à Changsha, du Hunan, du 29 juin au 2 juillet. Au cours de l'exposition, l'indice commercial sino-africain sera publié pour la première fois en faisant autorité, fournissant un "baromètre" aux entreprises pour mener à bien la coopération économique et commerciale avec l'Afrique à travers un système d'évaluation numérique et scientifique.
Le principal hall d'exposition couvre une surface de 100 000 mètres carrés, soit une augmentation de près de 30 000 mètres carrés par rapport à l'édition précédente. Environ 1 100 exposants, 8 000 acheteurs et visiteurs professionnels y participeront, et le nombre de visiteurs dépassera le seuil de 100 000. Implantées dans le parc de démonstration pour la promotion de l'innovation dans le cadre de la coopération économique et commerciale sino-africaine, les sous-salles d'exposition disposent d'un total de 4 zones, dont le pavillon permanent hors ligne de l'Exposition économique et commerciale sino-africaine, la zone du regroupement des produits d'exportation du Hunan, le Parc industriel numérique des échanges économiques et commerciaux sino-africaines ainsi que le centre commercial du café d'Afrique.
Lors de l'exposition, auront lieu la cérémonie d'ouverture et le Forum de coopération économique et commerciale sino-africaine. Le "Rapport sur les relations économiques et commerciales sino-africaines " et l'Indice commercial sino-africain seront publiés sur place, et plus de 40 activités différentes seront organisées, avec les thèmes couvrant les infrastructures vertes, la quarantaine douanière, la médecine et la santé, les produits agricoles et alimentaires, l'industrie légère et le textile, les parcs industriels, les femmes et les jeunes, l'enseignement professionnel et d'autres domaines de coopération.
Jusqu'au 5 juin, 50 pays africains et 8 organisations internationales se sont inscrits pour participer à la 3e édition de l'Exposition économique et commerciale sino-africaine. Le nombre total de participants devrait dépasser les 10 000 personnes, dont environ 800 étrangers. À l'heure actuelle, l'exposition a décompté 145 projets de coopération qui seront signés et négociés au cours de l'exposition, pour une valeur de plus de 10 milliards de dollars américains.
(Source : cctv.com / Photo : VCG)
Véritable coup de balai dans l’armée rwandaise alors que le Rwanda se trouve en conflit ouvert avec la République démocratique du Congo après son appui avéré au M23. Le Président rwandais, Paul Kagame, a révoqué de l’armée 116 gradés et a résilié les contrats de service de 112 autres gradés. Selon un communiqué de presse des forces de défense du Rwanda (RDF), le général-major Alex Kagame, fils du Président Paul Kagame a été nommé commandant des forces rwandaises déployées au Mozambique contre le terrorisme. Tandis que le colonel Regis Gatarayiha prend la direction des renseignements militaires et Jean Bosco Ntibatura a été désigné Directeur général de la Sécurité intérieure au National Intelligence and Security Service, NISS.
Entretemps, 14 officiers de haut rang dont le général major Aloys Muganga et le général de Brigade Francis Mutiganda ont été démis de leurs fonctions. «Le licenciement et la résiliation des contrats de service prennent effet immédiatement», note ledit communiqué, sans donner des détails sur les raisons de ces révocations et résiliations de contrats.
Ce remue-ménage survient après le changement intervenu dans le gouvernement. Le Président rwandais a, précédemment, nommé Marizamunda Juvenal au poste de ministre de la Défense, en remplacement du général de division Albert Murasira. Le nouveau ministre était Directeur général du Service correctionnel du Rwanda (RCS) avant sa nomination. Il y a été remplacé à ce service par le général de brigade Evariste Murenzi.
Par ailleurs, le Chef de l’Etat rwandais a nommé le général de corps d’armée Mubarakh Muganga en qualité de chef d’état-major des forces de défense du Rwanda (RDF), en remplacement du général Jean Bosco Kazura.
Emma Muntu
Garant de la nation et Garant du bon fonctionnement des Institutions, le Président de la République, Félix Tshisekedi, c’est de lui qu’il s’agit, a présidé ce jeudi 8 juin 2023, dans la salle de Congrès du Palais du Peuple, la cérémonie de prestation de serment de quatre haut magistrats de la Cour Constitutionnelle. Il s’agit du Procureur Général près la Cour Constitutionnelle, Jean-Paul Mukolo Nkokesha, Ndaka Matandombi, Bonane Biakwajiri et Mme Claire Masiala Kaza. Cette dernière est la première femme à occuper ce haut rang dans la magistrature.
De ce fait, ces premiers avocats généraux au Parquet près la Cour Constitutionnelle ont, conformément à la Constitution du pays et avant leur entrée en fonction, été présentés à la Nation, devant le Chef de l’Etat, l’Assemblée nationale, le Sénat et le Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette cérémonie s’est déroulée dans une belle ambiance. Ces juges vont devoir servir la Nation congolaise en veillant et appliquant la loi comme il se doit. La loi organique n°13/026 du 15 octobre 2013 portant organisation et fonctionnement de la Cour Constitutionnelle institue un Parquet Général près la Cour Constitutionnelle. Il exerce les attributions qui lui sont dévolues par la présente Loi organique. Il est placé sous l’autorité du Procureur Général près la Cour Constitutionnelle. Il est assisté d’un ou de plusieurs Premiers Avocats Généraux et d’un ou de plusieurs Avocats Généraux. Ils sont nommés, conformément au statut des magistrats, par le Président de la République, pour un mandat de trois ans renouvelable une seule fois, parmi les magistrats de l’ordre judiciaire ou administratif ayant au moins quinze ans d’expérience, sur proposition du Conseil Supérieur de la Magistrature. Ils sont soumis au statut des membres de la Cour Constitutionnelle.
Concernant le 1er Juge, le Procureur Général près la Cour Constitutionnelle Jean-Paul Mukolo, il est originaire de la ville de Tshikapa. Né le 8 septembre 1960, il est marié et père de 8 enfants. En fonction depuis le 7 février 2020, son mandat a été renouvelé par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi.
La Pros.
*Décidément, une date reste marquée dans les agendas. Le 25 juin 2023, la CENI, selon le calendrier qu’elle avait publié, il y a plusieurs mois, va convoquer le corps électoral et procéder, dès le jour suivant, à l’ouverture des Bureaux de Réception et Traitement des candidatures. Normalement, les Etats-Majors des Partis Politiques aussi bien de l’Union sacrée que de l’ensemble de la classe politique, sont appelés à compulser les dossiers des candidats à engager dans la course aux législatives nationales et provinciales. Puis, le moment venu, vers le mois de septembre prochain, ce sera la tour, pour la même CENI, de la convocation de l’électorat pour les empoignades finales autour de la Présidentielle, telle que prévue, le 20 décembre 2023. De telle sorte que le 24 janvier 2024, le nouvel élu entre en fonction, conformément à la Constitution et aux lois de la RD. Congo. Ainsi, l’équipe Kadima aura-t-elle fini avec la première phase des élections, avant de se lancer, plus tard, dans un nouveau cycle des joutes visant, in fine, la recomposition, à la fois, du Sénat et des Gouvernorats de Provinces.
Mais, qui sont prêts à répondre à ce rendez-vous ? Quels sont les Partis, Plateformes ou Regroupements Politiques qui s’y préparent ? Si, à l’Union sacrée, l’heure est au rappel des troupes pour y aller, il n’en est pas du tout le cas du côté des Opposants au régime actuel ainsi qu’à ses dirigeants.
Là où Adolphe Muzito, Leader de Nouvel Elan, dénonce les chiffres et appelle à rectifier le tir en ce qui concerne le fichier électoral ayant conduit à l’examen et à l’adoption de la Loi portant répartition des sièges, les autres Opposants, eux, sont à l’extrême.
Tenez ! Le Groupe de quatre constitué de Katumbi, Fayulu, Matata et Sesanga cherche, plutôt, à remettre les clepsydres à zéro. Comme au FCC, ce Groupe-là qui a même annoncé son meeting, le 17 juin 2023 et une nouvelle marche, le 21 juin 2023, exige, par contre, la recomposition de la CENI et de la Cour Constitutionnelle, tout en réclament la révision de la Loi électorale adoptée au Parlement et promulguée en 2022.
Et, au comble de tout, si une telle brèche était ouverte, elle déboucherait, à coup sûr, sur un glissement dont seul un dialogue ex ante, tenterait de sauver les meubles.
Or, à ce jour, le schéma de la CENI, du moins tel qu’elle le présente, dans son almanach, démontre, si besoin en était encore, toute la volonté d’en découdre avec les élections 2023 dans les délais, nonobstant quelques écueils liés notamment, à l’insécurité dans une partie du territoire ainsi que la plupart de préalables techniques. L’affaire du consensus tant sollicité ne semble pas, visiblement, faire partie des préoccupations, ni des missions de la CENI.
Que va-t-il se passer ?
Deux tendances vont en arriver aux prises. L’une, celle de l’Union sacrée ira aux élections. Tandis que l’autre, la deuxième, boycottera ces élections et rejettera, comme il faut s’y attendre, les résultats.
Ce jour-là, en effet, cette deuxième tendance ‘’radicalisée’’ ne s’offusquera nullement à jeter en pâture et le bébé et, même, l’eau de bain.
D’où, cette fois-là, une autre perspective de dialogue ex post s’ouvrirait pour voir comme gérer le lourd contentieux électoral et gouverner le pays.
A moins que chemin faisant, l’on retrouve une nouvelle piste neutre qui conduirait à retarder les élections 2023 et instituer une transition, comme l’avait déjà si bien suggéré Marie-José Ifoku.
LPM
Dans le deuxième épisode de "Citations Classiques par Xi Jinping", Mme Patricia Castro Obando, professeur à l'Université pontificale catholique du Pérou, et Jia Jiabin, présentateur de CGTN se rendent au Centre du numéro vert 12345 de Beijing pour connaître la gouvernance urbaine de Beijing. « Le peuple est au centre de tous les efforts et de toutes les politiques de l'État. » Voici une idée partagée de Mme Patricia Castro Obando. Regardez la vidéo complète pour connaître la pensée axée sur le peuple qui a une influence durable dans la culture chinoise. https://francais.cgtn.com/news/2023-06-03/1664935727741558786/index.html
Dans le deuxième épisode de "Citations Classiques par Xi Jinping", Mme Patricia Castro Obando, professeur à l'Université pontificale catholique du Pérou, et Jia Jiabin, présentateur de CGTN se rendent au Centre du numéro vert 12345 de Beijing pour connaître la gouvernance urbaine guidée par les demandes des habitants de Beijing, une mégapole possédant plus de 20 millions d'habitants. 343 quartiers et cantons des 16 arrondissements de Beijing, 65 services municipaux et 49 entreprises et établissements d'intérêt public qui assument des missions de service public sont tous connectés à la plateforme de services 12345. La démocratie populaire intégrale est ainsi incarnée dans le processus de gouvernance urbaine. Regardez la vidéo complète pour découvrir la pratique d'administration urbaine de Beijing qui est centrée sur le peuple. https://francais.cgtn.com/news/2023-06-03/1664935727741558786/index.html
Le Pape François, 86 ans, a été opéré d’une hernie abdominale sous anesthésie générale ce mercredi 7 juin à Rome, sur fond de préoccupations régulières autour de sa santé. L’intervention terminée, le pontife « va bien » et « a plaisanté ».
Après plusieurs alertes sur sa santé, le pape François, 86 ans, a été opéré d’une hernie abdominale sous anesthésie générale ce mercredi 7 juin 2023 à Rome. L’opération s’est terminée « sans complications » au bout de trois heures, annonce le Vatican, peu après 18 h.
Le pontife « va bien » et « a plaisanté » après l’intervention, a ajouté son chirurgien en conférence de presse à Rome. Cette opération « bénigne », n’entraînera pas de séquelles et Jorge Bergoglio ne souffre pas d’autre pathologie, a précisé le professeur Sergio Alfieri.
Cette intervention, organisée les jours précédents par l’équipe médicale qui assiste Le Saint-Père, était « devenue nécessaire » en raison des symptômes « douloureux et en voie d’aggravation » du pontife, selon le directeur du service de presse du Vatican, Matteo Bruni.
Audiences annulées jusqu’au 18 juin
L’intervention chirurgicale demandera toutefois « plusieurs jours » d’hospitalisation du pape, a ajouté ce dernier, relayé par l’AFP. Ses audiences ont d’ailleurs été annulées « par mesure de précaution » jusqu’au 18 juin.
Pour le reste, l’exercice du ministère papal reprendra, « même si c’est depuis un lit d’hôpital », a expliqué aux journalistes de l’AFP, le cardinal Pietro Parolin, aussi secrétaire d’Etat et numéro 2 du Saint-Siège. « En cas de dossiers urgents, ils lui seront portés à l’hôpital Gemelli».
(Avec Ouest-France/AFP)
Les notables de Debonhomme, dans la commune de Matete, dans leur préoccupation d’évaluer la vérité sur les défis, enjeux et perspectives de la loi Tshiani (de père et de mère), ont organisé le dimanche dernier, une conférence à l’espace Debonstop où ils ont invité l’auteur de ladite loi, le professeur Noël Tshiani Muadiamvita pour leur parler en long et en large de son initiative.
Ce rendez-vous a connu beaucoup de révélations. Après le discours des organisateurs, entre autres, Nadine Natumu, Joska Kanyinda ainsi que Mano Ntayingi, Noël Tshiani a expliqué à cette population l’importance de sa loi.
Se remettant à la presse, Noël Tshiani est revenu sur la raison de cette rencontre. «J’étais invité par nos compatriotes de Debonhomme pour partager avec eux le contenu de la proposition de la loi Tshiani, de père et de mère. Nous avons fait la présentation, les gens ont posé des questions. Donc, il s’agit d’une démarche pour sensibiliser la population aux enjeux et aux défis », a-t-il déclaré.
Et de poursuivre : « Le message que je voudrais donner à toute la population qui n’a pas été ici, c’est de chercher à s’informer, à connaitre exactement de quoi il s’agit. Il ne faut pas se laisser manipuler par des détracteurs qui propagent de fausses informations sur la loi. Cette loi, elle est salvatrice pour la République Démocratique du Congo. C’est en réalité la deuxième indépendance de la RDC. Si nous ne faisons pas passer cette loi, ce pays va se retrouver dans des mains des gens qui sont hostiles à notre pays et qui vont mettre fin à la souveraineté nationale, à l’intégrité territoriale et par conséquent, nous redeviendrons, nous congolais, des esclaves de notre propre pays. Nous devons tout faire pour éviter que cela n’arrive, pour que ce Congo, reste dans les mains des autochtones, des propriétaires de la terre. Ce n’est pas pour rien que les gens comme le Patrice Emery Lumumba, Simon Kimbangu, sont morts. Ils sont morts pour que nous ayons la souveraineté nationale et la liberté. On ne doit pas compromettre donc ces acquis-là. Nous devons faire en sorte que le pays continue à exister, tel que nous l’avons aujourd’hui pour que nous puissions nous consacrer désormais aux efforts de développement ».
Pour sa part, l’un des organisateurs, le notable Mano Ntayingi, s’est dit satisfait de ce qui est ressorti de ce rendez-vous. «Il était important de pouvoir faire une sensibilisation de la population. Nous remercions très sincèrement le professeur pour avoir répondu à cette invitation, pour venir parler avec la population, pour calmer les gens qui avaient peur et le convaincre afin de comprendre les motifs et les fondements de cette nouvelle loi. Pas de contrainte, toute la population était très contente… les mots étaient justes. Les questions étaient très bien posées et il a rassuré les uns et les autres par rapport à la pertinence de la loi et à l’intégration de la loi sans discrimination », a-t-il lancé.
Israël Mpoyi