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Nouvelle présidente nationale de la Ligue des femmes , MSC/ Mont-Amba : Florence Kitsitsikisa réserve un accueil délirant à Frida Munshy


C’est avec enthousiasme et détermination que j’ai pris les rênes de la Ligue des Femmes du MSC, dit-elle à l’entame de son mot. Accompagnée par une équipe dynamique et créative pour la redynamisation du MSC, notre cher Parti, poursuit Frida Munshy lors de sa visite d’itinérance des Fédérations dans la ville province de Kinshasa. Trois objectifs sont inscrits à son agenda d’itinérance dans toutes les structures de la Ligue des Femmes de Kinshasa afin de fédérer les esprits et renforcer les ambitions de prétendantes à tous les niveaux : Redynamiser la femme et faire d’elle un programme politique. Elle a évidemment remercié l’Autorité Morale du MSC pour le choix et tous les membres de son bureau pour un excellent travail réalisé pour hisser le MSC au haut niveau en RDC. Elle a souligné que la force du MSC dépend également de ses membres, surtout les femmes que vous êtes. ‘’ Sans vous les mamans, rien de tout cela ne sera possible pour les échéances électorales à venir ; nous devons nous lever pour porter haut la victoire de Félix Antoine Tshisekedi à son deuxième mandat.’’
La dynamique présidente de l’inter fédération du MSC à Mont-Amba, Mme Florence Kitsitsikisa a organisé un accueil délirant à la nouvelle présidente nationale de la Ligue des femmes du MSC, le week-end dernier à Lemba.
La cérémonie de présentation de Mama Frida Munshy, nommée à la tête de ce grand piller du MSC de l’Honorable Laurent Batumona, a été portée à cœur joie par les femmes de Mont-Amba. Elle a été accompagnée par Edouard Kabukapwa, le Secrétaire Général du MSC ; de Daniel Mbuya, Président provincial du MSC ville de Kinshasa ainsi que des milliers de Cadres et sympathisants du MSC. Frida Munshy est en tournée dans les fédérations de Kinshasa et particulièrement les ligues des femmes dans le cadre de redynamisation de ces structures de base, en prévision des élections à venir.
La visite de Frida Munshy à Mont-Amba s’inscrit dans le cadre de stimuler la participation des femmes à l’élection présidentielle, afin d’amorcer un dynamisme qui va permettre aux femmes du Mouvement de Solidarité pour le Changement, de jouer véritablement leur rôle. Elle devra également permettre de contribuer à une meilleure prise en compte des préoccupations des femmes selon la vision du MSC de Laurent Batumona, l’Autorité Morale.
Une femme leader transforme l’inactivité en un nouveau départ des femmes MSC
Grace à son dynamisme, elle a présenté une nouvelle image de la Ligue Nationale des femmes du MSC. Elle a suscité une admiration par sa façon intelligente de présenter son agenda de travail sur les enjeux politiques de l’heure. Frida Munshy a marqué la vie de nombreuses personnes depuis sa nomination à la tête de cette structure importante du MSC, il y a quelques semaines. ‘’Je veux aider les femmes du MSC à oublier les problèmes qu’elles ont connus pour qu’elles puissent démarrer une nouvelle aspiration’’, a fait savoir l’honorable Frida Munshy.
Selon elle, cette activité s’inscrit surtout dans le cadre d’une démonstration des forces de mobilisation de chaque leader du Parti dans sa circonscription en tant que responsable tel qu’elle avait déclaré lors de la cérémonie de son investiture le 3 juin 2023.
Elle a, dans son mot de circonstance, rassuré que le train des élections tend vers le terminus dans quelques mois. ‘’Pas question de vous faire distraire par les oiseaux de mauvais augures dans cette bataille électorale de 2023’’.
Une mission de redynamisation
L’honorable Frida Munshy a expliqué son agenda qui consiste à redynamiser le Parti dans toutes les provinces de la RDC. Cette mission a montré son impact à Kinshasa où elle est en train de se réaliser.
S’adressant aux prétendantes candidates à la députation tant nationale que provinciale, elle a démontré une stratégie très importante d’être en bon terme avec tout le monde de sa circonscription électorale. Abordant effectivement l’aspect du candidat présidentiel à la magistrature suprême : ‘’Moi et le MSC de l’honorable Laurent Batumona nous n’avons qu’un candidat unique à ce poste : c’est Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à l’élection présidentielle de 2023, afin d’atteindre notre but de lui offrir une majorité confortable au Parlement’’.
Il faut noter qu’à cette circonstance, le Secrétaire général du MSC a soutenu que la mission de la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC est de conscientiser les femmes et faire un appel de troupes pour une victoire écrasante du MSC du Chairman Laurent Batumona.
La Pros.

 

Nouvelle présidente nationale de la Ligue des femmes , MSC/ Mont-Amba : Florence Kitsitsikisa réserve un accueil délirant à Frida Munshy
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Processus électoral, RDC : l’opposition républicaine s’inscrit en faux contre toute initiative visant à retarder la tenue des élections dans le délai

La posture de l’opposition républicaine est claire ; ‘’Pas question de céder à toutes formes de velléités provenant de qui que ce soit dont l’objectif vise à retarder le processus électoral’’. C’est ce qu’a dit Constant Mutamba, coordonnateur de la plateforme de l’opposition DYPRO, au cours d’une conférence de presse tenue samedi 1er juillet 2023 à Kinshasa. En effet, il a insisté sur le fait que la Commission électorale nationale indépendante ne puisse pas arrêter son train qui mène vers des élections dans le délai tel que exigé par la constitution du pays.
Quoi qu’il advienne, l’opposition républicaine précise qu’elle va lésiner sur aucun effort pour que les élections se tiennent en décembre 2023. «Nous n’allons pas concéder, encore moins accepter une seule seconde de glissement du calendrier électoral et nous sommes catégoriques à ce sujet et c’est pour cela que nous avons consenti le sacrifice et accepté de dépêcher nos délégués à la CENI», a avancé le coordonnateur de la DYRO.
Cependant, l’opposition républicaine met en garde tout congolais qui osera, cette fois-ci, de mettre des crocs-en-jambe au train qui mène vers les élections selon la date prévue par la loi du pays. « Nous mettons en garde tous les compatriotes qui développent des velléités, des manigances tendant à retarder le processus électoral actuel », prévient-il.
Tout en saluant la démarche entreprise par la CENI, celle de consulter les opposants politiques, la DYPRO souligne que lesdites consultations doivent concerner toute l’opposition dans son ensemble, y compris l’opposition républicaine. Qu’à cela ne tienne, l’opposition républicaine souligne qu’‘’en dépit de tout subterfuge, la CENI doit organiser des électorales le 20 décembre 2023. Dépassé ce délai, nous serons obliger de nous prendre en charge. L’opposition républicaine va se prendre en charge en donnant un mot d’ordre à la population congolaise», a dit Constant Mutamba.
Contrairement aux autres qui exigent un autre audit du fichier électoral, l’opposition républicaine considère que l’actuel fichier déjà audité constitue une phase majeure du processus et une avancée significative opérée par la CENI. «Avec l’évolution du processus tel que peint, il n’y a plus lieu d’ergoter autour des aléas externes qui puissent retarder le processus électoral », martèle cette plateforme de l’opposition.
Pour finir, la DYPRO affirme être prête à aller aux urnes avec n’importe quels adversaires. Elle indique avoir validé au moins 450 candidatures pour les législatives nationales et provinciales, et annonce de dévoiler d’ici peu le nom de son candidat commun à l’élection présidentielle.
Fidel Songo

Processus électoral, RDC : l’opposition républicaine s’inscrit en faux contre toute initiative visant à retarder la tenue des élections dans le délai
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Processus électoral : le Pprd zappe Kadima


Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (Pprd) est bien conscient de l’option qu’il a prise de demander à ses partisans de ne pas s’enrôler. Cependant, après cette décision de boycott, il faut peaufiner de stratégie pour se maintenir en tant que force de résistance et de l’opposition face aux enjeux électoraux prochains. Tout se passe à huis clos. Surtout que le groupe autour du sénateur à vie s’est sensiblement restreint, les autres ayant pris la tangente.
C’est dans ces conditions que le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) appelle à rencontrer les leaders de l'opposition. La réaction du secrétaire permanent adjoint, Ferdinand Kambere, ne s’est pas fait attendre. Il a déclaré, pour ce, « Justement, c'est ça la folie de la Ceni. C'est elle qui est contestée et donc n'a pas qualité d'inviter l'opposition qui désapprouve sa légitimité ».
Et d'ajouter : «L'article 10 de la loi sur la composition de la CENI étant violée par l'Assemblée nationale, la CENI est en train de semer du désordre pour créer une crise par la volonté de ce régime. Avant de s’interroger : « Comment une institution contestée peut-elle inviter les partenaires au processus électoral ? ».
Kabila poursuit ses consultations à Kingakati
L’autorité morale du FCC poursuit ses consultations avec les membres de sa famille politique dans sa ferme de Kingakati. Dimanche dernier, Joseph Kabila Kabange a réuni les sénateurs et députés de sa formation politique.
Il y a deux semaines, le prédécesseur de Tshisekedi avait également échangé avec un échantillon de hauts cadres. C’est après ces consultations qu’il a promis de s’adresser au peuple congolais. Car, pour lui, il ne s’est jamais retiré de la scène politique, malgré son absence constatée depuis plusieurs mois.
Certaines sources affirment que Kabila s’adressera à nation le 30 juin. Il est attendu, au 63ème anniversaire de l’indépendance, trois adresses au peuple congolais. Hormis, Kabila, Félix Tshisekedi devra intervenir probablement le 29 juin la nuit avant Fayulu le 30 juin.
Pour rappel, lors de la cérémonie de convocation de l'électorat, le président de la Ceni, Denis Kadima, a annoncé que cette institution d'appui à la démocratie va rencontrer les leaders de l'opposition afin d'explorer des solutions pour rendre le processus électoral en cours plus inclusif.
Emma Muntu

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UDPS : Augustin Kabuya dénonce ‘’des messes noires’’ dites contre le régime de Félix Tshisekedi


C’était un Augustin Kabuya à bout des nerfs. Ce mardi 27 juin 2023, au cours d’une causerie morale tenue au siège du parti situé dans la commune de Limete, le Secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social a répondu, une bonne fois pour toutes, aux accusations faites contre son parti et, même, contre le régime de Félix Tshisekedi. D’un révère de main, le gestionnaire du parti au pouvoir rejette tout préjugé malencontreux que ‘’les fossoyeurs’’ du pays veulent attribuer au régime, tout en dénonçant, d’un ton ferme, des ‘’messes noires’’ qui se célèbrent pour déstabiliser le Président de la République et son régime.
Comme pour répondre aux derniers propos du porte-parole de la CENCO, et revenant sur le discours du Président de la République à Mbuji-Mayi, Augustin Kabuya enlève toute sorte de confusion et souligne que, ni le Président de la République, ni l’UDPS son parti, encore moins l’assemble du gouvernement n’a des problèmes particuliers avec l’Eglise catholique, ‘’au cas où certains pourraient penser le contraire’’. Il rappelle que depuis la nuit des temps, l’Eglise a toujours été un bon partenaire de l’Etat.
Néanmoins, Kabuya dit avoir constaté ‘’avec amertume’’, une sorte de conciliabule entre certaines têtes de l’Eglise catholique avec des personnes soupçonnées de vouloir « renverser » le pouvoir en place des manières indues. Il a cité ici le nom de Monseigneur Donatien NShole, porte-parole de la Conférence épiscopale nationale congolaise, d’être de mèche avec notamment l’opposant Moïse Katumbi.
«Un individu qui se dit candidat, et bien avant même le début de la campagne, toi un grand homme de Dieu à qui nous avons beaucoup de respect tu commences à faire la propagande d’une personne qui se dit être candidat. C’est honteux. Je parle ici de katumbi qui a dit qu’il est candidat à l’élection présidentielle, mais à notre grande surprise, nous constatons déjà sa campagne qui est en train d’être faite par un prélat catholique. Comment-est ce que les serviteurs de Dieu, nos pères spirituels peuvent-ils se ridiculiser jusqu’à ce point. Ce n’est pas bien. Je demande à Moïse Katumbi de laisser tranquille les serviteurs de Dieu », a déclaré Augustin Kabuya.
Malédiction !
Pour finir, Augustin Kabuya a prédit la malédiction à Moïse Katumbi, qu’il accuse d’avoir soudoyé les serviteurs de Dieu pour ses intérêts politiques. « Moïse Katumbi sera maudit jusqu’à la troisième génération pour tout ce qu’il est en train de faire maintenant », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’UDPS est revenu sur les accusations faites contre son parti selon lesquelles l’UDPS entretient toute une milice. Pour le surnommé AK47, ce n’est pas vrai. « Mgr Donatien Nshole a dit que l’UDPS entretient une milice. Demandez-lui, lorsqu’il venait ici de temps à autres alors que nous étions encore dans l’opposition, a-t-il vu une quelconque milice ? Et pourquoi devrions-nous en avoir maintenant que nous sommes au pouvoir ?», s’est-il demandé.
Fidel Songo

 

 

UDPS : Augustin Kabuya dénonce ‘’des messes noires’’ dites contre le régime de Félix Tshisekedi
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Lwanzo lua Mikuba : Sama Lukonde représenté par Valérie Mukasa, son Conseiller principal

L'Association socio-culturelle Lwanzo lua Mikuba a désormais un nouveau comité exécutif national. La cérémonie d'investiture de ce nouveau comité est intervenue le weekend dernier, à Lubumbashi, Chef-lieu de la Province du Haut-Katanga. Jean Michel Sama Lukonde, le Premier Ministre, a été représenté à cette importante cérémonie, par son Conseiller principal, Valérie Mukasa.
L'association socio-culturelle Lwanzo lua Mikuba regroupe les fils et filles des provinces du Haut-Katanga et du Lualaba notamment, ceux des territoires de Kambove, Kasenga, Lubudi, Mitwaba et Mutshatsha.
Les autorités traditionnelles de cet espace socioculturel Lwanzo lua Mikuba, les notables et autres personnalités politiques dont le Gouverneur du Haut-Katanga ont pris part à cette cérémonie.
Notons que le nouveau comité exécutif national de Lwanzo lua Mikuba est dirigé par le Docteur Kapia. Avant de procéder à la passation des pouvoirs, le Président sortant a dressé un bilan reluisant de son mandat à la tête de cette association. Il s'agit notamment de la création d'un cabinet médical pour offrir les soins de santé aux membres de la communauté, un projet qui a donné de l'emploi aux jeunes de l'espace.
Au nom du Premier Ministre, le Conseiller principal Valérie Mukasa a remis une enveloppe au nouveau comité, à titre de soutien aux activités de l'association socio-culturelle Lwanzo lua Mikuba.
« Je ne suis qu'un délégué, un envoyé. Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, m'a chargé de venir à cette cérémonie et de remettre cette enveloppe à notre Président », a laissé entendre Maître Valérie Mukasa.
Signalons que c'est dans une ambiance bon enfant que s'est déroulée cette cérémonie.
(Avec la Cellule de communication de la Primature)

 

Lwanzo lua Mikuba : Sama Lukonde représenté par Valérie Mukasa, son Conseiller principal
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Les militants de l'UDPS accusent Georges Mawine de "cession d'une carrière minière à 15 millions de dollars "

*L'étau se resserre davantage autour de Georges Mawine, ancien ministre des mines dans la province du Haut-Katanga. Quelques jours après son limogeage au poste de ministre, Mawine serait au centre d'un grand scandale. Georges Mawine, alors à l'époque ministre des mines, est accusé d'avoir cédé d'une manière illégale, une carrière minière sur la route Likasi derrière " CMCO".

Dans une déclaration faite ce mardi 27 juin, les militants du parti présidentiel dont le surnommé " Général Fantôme", révèlent que Georges Mawine aurait réussi une telle démarche, avec la complicité du Directeur Général de la Gécamines, M. Ntambwe.
D'après les mêmes sources, c'est au coup de 15 millions de dollars américains que les remblais de la Gécamines auraient été vendus par Mawine.
En novembre 2022, la coopérative minière du Katanga était montée au créneau pour accuser Georges Mawine de s'être approprié la carrière de Sokoroshe et d'avoir placé des militaires sur ce site situé sur la route Likasi pour ses intérêts mesquins.
Après ces accusations, les militants de l'UDPS s’étaient, à leur tour, soulevés pour dénoncer la cession d'une autre carrière par le même Mawine.
Ces soulèvements avaient débouché sur l’arrestation d'un militant de l'UDPS qui avait été libéré par la suite, après plusieurs manifestations au parquet de Lubumbashi.
Au centre de plusieurs polémiques suite aux " bavures" commises à la tête du ministère des mines notamment, l’enrichissement illicite, les constructions anarchiques et autres, ces révélations enfoncent encore davantage le nouvel allié de Dany Banza, Ambassadeur itinérant du chef de l'Etat.
J.E/CP

Les militants de l'UDPS accusent Georges Mawine de "cession d'une carrière minière à 15 millions de dollars "
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L’AFDC promet à son tour de traduire Matata Ponyo en justice

La réaction de l'Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) ne s’est pas fait attendre après une plainte initiée par l’ancien premier ministre Matata Ponyo à l’encontre du speaker de la chambre haute du Parlement, Modeste Bahati Lukwebo. Pour l’AFDC, le bureau du Sénat n'a fait qu'appliquer les dispositions de la Constitution et du Règlement Intérieur du Sénat. Ce, avant de se dire surprise de constater les provocations, insultes et attaques personnelles à l'endroit du président du Sénat allant jusqu'à intenter un procès infondé et sans cause contre ce dernier.
Dans une déclaration samedi 24 juin dernier au siège de l’AFDC situé sur l'avenue de la libération, le secrétaire général, Guy-Richard Malongo indique :"Ce que l'opinion nationale et internationale doit savoir c'est que Matata Ponyo ne veut pas que la vérité soit connue sur sa responsabilité dans la débâcle de Bukangalonzo surtout qu'il se présente comme meilleur gestionnaire de la République. Il craint fortement que cela ne soit contredit par ses présumés détournements. D'où la multiplication des entraves à la justice, le recours à des intimidations et aux tentatives de corruption" dit l'AFDC.
Et de poursuivre : "Le sénateur Matata Ponyo tient à se victimiser et à politiser un dossier purement judiciaire. Tout le monde sait qu'en date du 05/07/2021 lorsque ses immunités avaient été levées, MatataPonyo n'avait pas encore créé son parti politique tout comme il n'était pas candidat déclaré à la présidence de la République. Monsieur Matata Ponyo doit savoir que l'article 180 du code pénal qu'il évoque dans sa fuite en avant ne s'applique qu'aux fonctionnaires de l'Etat. Le Sénateur Matata Ponyo doit cesser de distraire l'opinion et de récuser toute personne".
Cette formation politique membre de l'Union sacrée de la nation met en garde Augustin Matata Ponyo et souhaite que le procès de l'ancien premier ministre soit télévisé pour que l'opinion soit fixée de la vraie identité de Matata Ponyo en ce qui concerne la gestion de la chose publique.
"L'AFDC prévient que pour toutes les imputations dommageables et fausses accusations de Monsieur Matata à l'égard de l'honorable Président du Sénat et Autorité Morale de l'AFDC, Modeste Bahati Lukwebo, va saisir la justice en vue de corriger définitivement Monsieur Matata Ponyo qui se croit être un Congolais spécial non justiciable et n'ayant de compte à rendre à personne pour sa gestion calamiteuse", indique le parti de Modeste Bahati Lukwebo.
Pour conclure :"L'AFDC souhaite que son procès soit public afin que la vérité soit connue sur la destination des centaines des millions de dollars américains tels que révélés dans le rapport de l'inspection Générale des Finances".
Le procureur général près la cour de cassation qui affirme disposer de nouveaux éléments, veut, une fois encore, entendre Augustin Matata. Ce denier croit dur comme fer que c’est le speaker du Sénat qui se trouve être à la manœuvre. L’AFDC n’est pas prête à voir la réputation de son Autorité morale jetée en pâture par l’ancien premier ministre Matata. Il s'agit pour ce dernier des démarches judiciaires irrégulières menées contre lui par le Procureur général près la Cour constitutionnel qu’il accuse, du reste, en complicité avec le bureau du Sénat.
Emma Muntu

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Martin Fayulu et son groupe pour des élections non voleuses des voix et basées sur un bon fichier électoral

Le meeting de 4 partis de l’opposition congolaise : Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, Ensemble pour la République, Leadership et Gouvernance pour le Développement et Envol, a été une réussite totale, hier dimanche 25 juin sur la place Sainte Thérèse à N’djili. Cela, en dépit de l’unique présence de Martin Fayulu, les trois autres : Moïse Katumbi, Augustin Matata Ponyo et Delly Sesanga, ayant brillé par leur absence, représentée par leurs Secrétaires Généraux respectifs : Dieudonné Bolengetenge, Flanklin Tshiamala et Maître Nicolas Lenga.
Il était question pour eux de faire l’état des lieux de la Nation au regard du climat socio-politico-sécuritaire qui prévaut à l’heure actuelle en République Démocratique du Congo.
Martin Fayulu, qui a été la voix la plus attendue, vu l’absence de trois autres, a dû parler de leur position vis-à-vis de tant attendues élections du mois de décembre prochain. Participeront-ils ou ne participeront-ils pas ?
‘’Nous ne boycottons pas les élections, mais voulons plutôt des élections transparentes basées sur un bon fichier électoral et non voleuses des voix. Pas de bon fichier, pas d’élections’’, a-t-il tiré les choses au clair. Ce désormais aigle de l’opposition a en plus déploré ces cartes d’électeur en ‘’cartons’’ qu’il dit fabriquées à l’emporte-pièce par la CENI ainsi que l’absence jusqu’ici de l’affichage mural des listes des électeurs issues de l’enrôlement. A l’en croire, cela aurait aidé à résoudre en premier lieu le contentieux des listes. Et foi sur ses propos, il n’est pas bon qu’on aille aux élections selon les caprices de l’autorité de la CENI qu’il qualifie, selon lui, être un expert en fraude électoral. ‘’Toutefois, nous acceptons son appel naguère lancée aux partis politiques pour la définition des règles du jeu’’, a-t-il mis un peu d’eau dans sa salive, avant de constater que le refus ou l’inexistence des concertations entre parties prenantes démontre à suffisance que le processus électoral est mal entamé.
Martin Fayulu révèle que plus de10 millions des coordonnées dans le fichier électoral appartiennent à des personnes inexistantes, ainsi voulu par la CENI de sorte que, au jour du vote, avec les machines qu’ils se sont permis de distribuer à certains de leurs complices, ces derniers envoient les résultats directement à partir de chez eux. Ce qui fera que la majorité des votes se retrouvent ce jour-là nuls et non avenus.
Le Groupe de 4 sont contre ce qu’ils appellent la recommission du vol électoral qui a eu lieu en 2018 et disent non à l’installation au pouvoir de ceux qui ne seront pas cette fois-ci élus à partir des bureaux de vote.
Pour Dieudonné Bolengetenge, Secrétaire Général d’Ensemble pour la République, qu’il y ait élections ou pas, le régime en place doit déguerpir.
C’est ce qui justifie les propos du Maître Jean-Pierre Odudu Menga, Rapporteur de la Jeunesse Tshangu d’Ensemble, qui a lâché un grand niet au glissement qui se profile à l’horizon.
Franklin Tshiamala, Secrétaire Général de LGD, a, quant à lui, déploré la naissance durant le régime en place, des Brigades de Sécurité, telles que ’’Armées Rouges’’, Forces du Progrès et autres, qui sont venues en plus exacerber le phénomène Kuluna à Kinshasa où tout le monde est à l’heure actuelle en alerte vis-à-vis des Mobondo qui sont en train de rôder tout autour, cherchant qui massacrer.
Maître Nicolas Lenga de l’Envol s’est dit en colère contre cette insécurité qui prévaut à l’heure actuelle à Kinshasa qu’il constate plus grave que celle qui prévalait à l’époque de Bouda et ‘’Wallas’’. Il a en même temps révoqué en question la hausse des prix de biens et de services sur les marchés à l’échelle de la République Démocratique du Congo. L’Envol dans son ensemble s’inscrit en faux contre tous ces faux procès ainsi que toutes ces fausses perquisitions qui se produisent ces derniers temps en vue de fausses élections.
Saint-Germain Ebengo

Martin Fayulu et son groupe pour des élections non voleuses des voix et basées sur un bon fichier électoral
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N’djili: l’Opposition condition sa volonté d’aller aux élections par la révision du fichier

Le rendez-vous a enfin eu lieu. Au terrain ‘’Sainte Thérèse’’, Martin Fayulu, président de l’ECIDé, et les représentants de ses 3 compères, à savoir Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga étaient face à la population de Kinshasa, pour le compte de leur meeting. Des milliers de personnes ont répondu présents à cette invitation du bloc de l’opposition. Comme il fallait s’y attendre, le quatuor a encore une fois fixé l’opinion sur sa position vis-à-vis des élections qui se pointent déjà à l’horizon.
Le bloc de l’opposition a une fois de plus réitéré sa volonté et sa détermination d’aller aux élections en 2023. Mais à cela, une seule chose conditionne maintenant sa participation à ce jeu démocratique. Martin Fayulu, qui l’a si bien souligné lors du meeting, a précisé que l’opposition ne peut en aucun cas refuser d’aller aux urnes. Il précise que le mot ‘’boycott’’ ne fait pas partie de leur vocabulaire, mais qu’il y a une seule condition qui peut faire à ce qu’elle (opposition) ne puisse pas participer aux élections. C’est le refus par la CENI d’auditer le fichier électoral.
« Comme j’avais dit dernièrement, nous ne boycottons pas les élections, mais nous voulons de bonnes élections. Le mot ‘’boycott’’ ne fait pas partie de notre vocabulaire, mais il faut que le fichier soit audité », a dit le président de l’ECIDé. Il insinue qu’il trouve à l’intérieur du fichier, des déchets que le régime veut s’en servir pour triquer les élections.
Appel de la CENI
« Nous acceptons l’appel de Kadima, je l’ai suivi, mais c’est à nous de fixer les règles du jeu… Kadima veut inviter maintenant tous les partis politiques. Si le fichier n’est pas bon, je vous dis que personne n’accepte ces élections ici au pays », a-t-il ajouté.
Martin Fayulu n’entend pas laisser un seul moment à l’actuel président après la date de 23 janvier 2024. Il précise que lors de sa dernière tournée en Amérique et en Europe, il a pris en témoins certains dirigeants des pays de ces continents sur cet état de chose. « Le 23 janvier 2024 à minuit, Tshisekedi doit partir. Je l’ai dit aux Américains, aux français, que je n’accepterai pas des élections selon Kadima. Nous allons nous assoir sur une même table, et nous allons fixer les règles du jeu. Sinon, pas d’élections », a rappelé M. Fayulu.
30 juin, devant la nation…
Tout en fustigeant la mauvaise interprétation de ses propos lors de sa conférence de presse tenue pas longtemps à Faden House par certains médias, Martin Fayulu annonce de s’adresser à la population congolaise le 30 juin 2023, afin de fixer l’opinion sur certaines choses. « Le 30 juin, je vais m’adresser à la nation pour donner l’état de la nation », a-t-il fini.
Il y a lieu de préciser que Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga n’étaient pas présents à ce meeting. Ils ont été représentés par leurs secrétaires généraux à savoir respectivement ; Dieudonné Bolengetenge (Ensemble pour la République), Franklin Tshiamala (LGD) et Nicolas Lenge (Evol).
Fidel Songo

N’djili: l’Opposition condition sa volonté d’aller aux élections par la révision du fichier
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