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Lançant officiellement son parti politique depuis Kananga, AFCD : Christian Tshibangu fixe l’horizon vers des actions communes en faveur des Congolais

D’aucuns affirmeraient que, de la masse engloutissant, il s’est enfin résolu d’en sortir. Dans ce tout nouvel personnage qu’il incarnera, désormais, au sein dans la classe politique congolaise en pleine régénération, Christian Tshibangu Mory détermine son rôle qui se fonde, essentiellement, sur la volonté commune d’œuvrer pour le développement de la RD. Congo et l’amélioration des conditions de vie de sa population. C’est ainsi qu’embrasé par cette flamme patriotique, il a lancé officiellement, le samedi 15 juillet dernier, à Kananga, Chef-lieu de la province du Kasaï Central, l’Alliance des Forces pour le Changement et la Démocratie, « AFCD », son parti politique qui s’aligne, à titre de rappel, derrière la vision du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Redorer le Kasaï Central
Devant les siens, Christian Tshibangu, originaire du Kasaï Central, a signifié, en marge de la sortie de son parti politique, qu’une nouvelle ère, placée sous les signes du changement et de la victoire de la jeunesse congolaise, en général, et celle de Kananga, en particulier, venait de commencer. Conscient des souffrances de sa génération et convaincu de défendre avec dignité les intérêts de ses semblables vivant dans cette partie du pays, il a rappelé l’intérêt de mettre à profit leurs différents potentiels dans l’élan du labeur et de la relance socioéconomique du Kasaï Central, jadis destinée à devenir la Capitale du Congo, mais mourant sous le regard impuissant de sa jeunesse en manque d'ambition.
«C'est ainsi que moi votre frère Christian Tshibangu Mory, fils du terroir, je lance un appel à tous les jeunes de ma province, filles et garçons pour nous mettre debout ensemble afin de relever les défis majeurs auxquels sont exposés notre population. Ceci ne peut se faire que par une volonté commune axée sur une projection de développement», a déclaré le Président National de l’AFCD.
Engagement solennel
«Je n'ai pas attendu d'être d'abord Ministre ou Député pour pouvoir me lever et dire non à l'instrumentalisation de la jeunesse dans les rues pour des causes politiques liées aux intérêts individuels dans lesquels la jeunesse ne se retrouve pas. Je prends donc l'engagement solennel devant Dieu et nos ancêtres que je vais servir la ville et les intérêts des jeunes de Kananga ainsi que toute la population de ma province d'origine avec brio et panache afin que vous soyez fiers d'avoir un de vos enfants qui porte haut la voix des sans voix », s’est-il adressé, lors du meeting tenue au Terrain Pie du Collège Pie X, emplacement choisi pour ladite manifestation.
Et ce, avant de renchérir en ces termes : « Vous avez devant vous, votre fils, votre grand frère et votre petit frère au nom de Christian Tshibangu Mory. Un jeune très déterminé à apporter le changement de paradigmes tant attendu et je demande votre bénédiction pour être bien préparé aux combats rigoureux à venir. Notre parti, votre parti, l'Alliance des Forces pour le Changement et la Démocratie (AFCD), est un véritable patrimoine du Kasaï-Central. C’est votre enfant, portez haut ses couleurs et nous en partagerons tous les dividendes ».
Tournée avant le meeting
Il ya lieu d’indiquer que, peu avant son atterrissage au terrain Pie, Christian Tshibangu était accueilli, à sa descente d’avion en provenance de Kinshasa, par une délégation des cadres de son parti politique, à l’aéroport de Kananga.
Quittant de là, il s’est directement rendu, lors d’une campagne motorisée, vers le siège de l’Hôtel de Ville de Kananga où il y a rencontré les autorités politico-administratives de cette circonscription.
Au terme de son intervention devant les administrés de Kananga, un live concert fut livré par la célèbre chanteuse Rebo Tchulo, au grand plaisir de la population.
John Ngoyi

 

Allocution de Christian Tshibangu Mory, Président National de l'Alliance des Forces pour le Changement et la Démocratie (AFCD), en marge de la sortie officielle de son parti politique
(Kananga, le 15 juillet 2023)
Tout d'abord, je remercie l'Eternel Dieu Tout-Puissant, maître de temps et circonstances, celui qui a permis à ce qu'on se réunisse ici aujourd'hui.
Deuxièmement de tout cœur, je remercie le Kanangaises et Kanangais pour l'accueil chaleureux que vous avez réservé à ma personne et à toute la délégation qui m'accompagne.
Mes sentiments de gratitude s'adressent aussi à tous les membres, partisans et sympathisants de l'AFCD ici présents et d'ailleurs pour l'amour que vous témoigner pour notre parti.
Aujourd'hui c'est le début d'une nouvelle ère, l'ère du changement, une victoire pour la jeunesse congolaise en général, mais particulièrement cette victoire est dédiée à nous jeunes Kanangais. Parce que c'est lui qui est à la tête de ce grand parti est un jeune comme vous, qui connaît la vraie souffrance de sa génération et qui pourra défendre avec dignité les intérêts liés à cette génération.
Vous remarquerez qu'il n y a pas que des jeunes derrière moi. Il y a aussi des grands cadres de mon parti qui, avec leurs expériences, se sont disponibiliser à accompagner la jeunesse dans la conquête de l'espace politique pour impulser une nouvelle dynamique de gouvernance dans notre pays.
Le Kasaï Central a besoin de vous, de moi, de tous ses jeunes ici et ailleurs de par le monde pour se relooker et porter sa belle robe du passé, cette province qui était destinée à devenir la Capitale du Congo, se meurt par manque d'ambition de sa jeunesse.
C'est ainsi que moi votre frère Christian Tshibangu Mory, fils du terroir, je lance un appel à tous les jeunes de ma province, filles et garçons pour nous mettre debout ensemble afin de relever les défis majeurs auxquels sont exposés notre population. Ceci ne peut se faire que par une volonté commune axée sur une projection de développement.
Chers frères, chères sœurs.
Je n'ai pas attendu d'être d'abord Ministre ou Député pour pouvoir me lever et dire non à l'instrumentalisation de la jeunesse dans les rues pour des causes politiques liées aux intérêts individuels dans lesquels la jeunesse ne se retrouve pas.
Je prends donc l'engagement solennel devant Dieu et nos ancêtres que je vais servir la ville et les intérêts des jeunes de Kananga ainsi que toute la population de ma province d'origine avec brio et panache afin que vous soyez fiers d'avoir un de vos enfants qui porte haut la voix des sans voix.
Vous avez devant vous, votre fils, votre grand frère et votre petit frère au nom de Christian Tshibangu Mory. Un jeune très déterminé à apporter le changement de paradigmes tant attendu et je demande votre bénédiction pour être bien préparé aux combats rigoureux à venir.
Notre parti, votre parti, l'Alliance des Forces pour le Changement et la Démocratie (AFCD), est un véritable patrimoine du Kasaï-Central. C’est votre enfant, portez haut ses couleurs et nous en partagerons tous les dividendes.
Que vive la ville de Kananga,
Que vive le Kasaï Central,
Que vive la République Démocratie du Congo !
TSHIBANGU MORY Christian
Président National

 

Lançant officiellement son parti politique depuis Kananga, AFCD : Christian Tshibangu fixe l’horizon vers des actions communes en faveur des Congolais
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Vive condamnation du parti Envol, Violence politique : Delly Sesanga pris pour cible à Kananga

A l’approche des élections, le climat délétère marqué par une certaine intolérance s’incruste dans le quotidien d’une catégorie de Congolais. Ce n’est pas pour rien que les trois présidentiables, à savoir Delly Sesanga, Moïse Katumbi et Matata Ponyo ont appelé à la sécurisation de tous candidats par les casques bleus de la Monusco.
Delly Sesanga en a fait les frais samedi 29 juillet à Kananga. Dans une vidéo devenue virale sur la toile, le président du parti politique Envol, Delly Sesanga a été touché par un projectile à la tête alors que son cortège était en train de traverser les rues de Kananga. Des incidents d'une rare violence. Candidat déclaré à la présidentielle de 2023, il a également renouvelé sa candidature à la députation nationale dans sa circonscription électorale de Luiza dans la province du Kasaï Central.

Vive condamnation du parti Envol, Violence politique : Delly Sesanga pris pour cible à Kananga
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L’ECIDE en marche samedi 29 juillet prochain

Le parti Engagement pour la Citoyenneté et le Développement confirme pour ce samedi 29 juillet de la semaine en cours, sa marche dite de mobilisation d’éveil citoyen, avec au premier plan son Commandant en Chef, allusion faite à Martin Fayulu. Entre temps, ses militants sont en pleine campagne dite de mobilisation citoyenne et d’activation de l’article 64.
Son lancement a eu lieu samedi 22 juillet de la semaine qui vient de se clôturer, à travers respectivement tous les quatre districts de la ville de Kinshasa. Il s’agit pour ces militants de l’ECIDE, toutes fédérations confondues, en vertu du dit article, de contrer toutes manœuvres du régime en place qu’ils ont remarqué avoir déjà planté le décor d’une tricherie électorale hors pair.
Mike Iseme, Secrétaire Exécutif de sa Fédération de Funa, l’a confirmé durant le meeting du dit lancement en leur siège de Kasa-vubu, sur le boulevard Triomphal.
‘’Pas d’élection sans fichier électoral fiable’’, voilà ce qui constitue le mot d’ordre de cette tant attendue marche qui partira du Quartier III à Masina jusqu’au Quartier I à N’djili, précisément au terrain Bouddha où Martin Fayulu va prononcer son discours durant lequel il va expliquer la quintessence de leur démarche.
A en croire Mike Iseme, l’ECIDE ne boycotte pas les élections, mais plutôt il veut les soumettre à la mise en place d’un fichier électoral ré-audité et nettoyé par un organisme fiable et indépendant, en présence de toutes les parties prenantes.
D’ailleurs, en guise de preuve, Mike Iseme, qui livre cette information, est lui-même candidat à la députation nationale, pour le compte du district de la Funa.
Comme son Commandant en Chef, le Secrétaire Exécutif ECIDE/Funa s’inscrit en faux vis-à-vis du fichier électoral dans sa version actuelle qu’il dit être un travail bâclé.
A l’en croire, l’état du climat actuel en République Démocratique du Congo, caractérisé, entre autres, par l’intensification de la guerre à l’Est, le phénomène Mobondo, et les enlèvements ‘’précoces’’ à travers les rues de Kinshasa, a pour cause principale le braquage électoral de 2018.
Pour Mike Iseme, plus question, cette fois-ci, des élections à ‘’la compromis africaine’’. Dans sa définition du concept, il met à découvert tous ces trois cycles électoraux que le pays a déjà connus et qu’il dit avoir été caractérisés par la nomination des députés sous couvert de ce qu’il qualifie de ‘’parodie électorale’’. X tend donc vers 4 jours pour la tant attendue marche !
Saint-Germain Ebengo

 

L’ECIDE en marche samedi 29 juillet prochain
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Jusqu’à sa marche du 29 juillet prochain : L’Ecidé en pleine campagne d’activation de l’article 64

En prévision de la tant attendue marche du 29 juillet, dite ‘’marche de mobilisation d’éveil citoyen, avec au premier plan celui qui est désormais connu comme le Commandant du peuple, allusion faite à Martin Fayulu, il s’organise au sein de l’ECIDE, Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, une campagne à l’échelle nationale dite de mobilisation citoyenne et d’activation de l’article 64.
Le lancement de ladite campagne a eu lieu samedi 22 juillet de la semaine qui vient de se clôturer, à travers respectivement tous les quatre districts de la ville de Kinshasa. Il s’agit pour les militants de l’ECIDE, toutes fédérations confondues, en vertu dudit article, de contrer toutes manœuvres du régime en place qu’ils constatent avoir déjà planté le décor de la tricherie électorale.
Mike Iseme, Secrétaire Exécutif de sa Fédération de Funa, l’a confirmé durant le meeting du dit lancement en leur siège de Kasa-vubu, sur le boulevard Triomphal.
‘’Pas d’élection sans fichier électoral fiable’’, voilà ce qui constitue le mot d’ordre en vogue ces derniers jours au sein de l’ECIDE.
La tant attendue marche du samedi 29 juillet partira du Quartier III à Masina jusqu’au Quartier I à N’djili, précisément au terrain Bouddha où Martin Fayulu a en vue la prononciation d’un discours d’explication de la quintessence de leur démarche.
‘’Nous ne boycottons pas les élections, mais nous les soumettons plutôt à un fichier ré-audité et nettoyé par un organisme fiable et indépendant, en présence de toutes les parties prenantes’’, un tirage au clair signé Mike Iseme, lui-même, en guise de preuve, candidat à la députation nationale, pour le compte du district de la Funa.
Comme son Commandant en Chef, Mike Iseme s’inscrit en faux vis-à-vis du fichier électoral dans sa version actuelle qu’il qualifie de bâclé, de son premier à son dernier papier.
A l’en croire, la situation actuelle : l’intensification de la guerre à l’Est, le phénomène Mobondo, les enlèvements ‘’précoces’’ et autres choses semblables, fait suite au braquage électoral de 2018.
Pour Mike Iseme, plus question, cette fois-ci, des élections à ‘’la compromis africaine’’. Par-là, il veut parler de ces genres d’élections caractérisées, entre autres, par la nomination des députés sous couvert de ce qu’il a dénommé ‘’parodie électorale’’.
Saint-Germain Ebengo

 

Jusqu’à sa marche du 29 juillet prochain : L’Ecidé en pleine campagne d’activation de l’article 64
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Elections 2023, RDC : l’ECIDé de Martin Fayulu dans la rue ce samedi pour exiger un nouvel audit du fichier électoral

Lui et sa formation politique sont restés dans leur décision. Pas d’élections en République démocratique du Congo, aujourd’hui comme demain sans un autre audit du fichier électoral supervisé par un organisme international crédible et qui mettra alors toutes les parties prenantes d’accord. Il s’agit ici de Martin Fayulu, candidat président à prochaine élection et son parti politique Engagement pour la citoyenneté et le développement, en abrégé ECIDé. C’est pour cela, d’ailleurs, que le secrétaire général du parti Devos Kitoko a, dans une correspondance, confirmé la tenue d’une marche de boycott du processus électoral en cours qui exclut les désidératas des opposants, ce samedi 22 juillet.
« Pas d’élections en RDC sans un fichier électoral fiable»
Mercredi dernier, au cours d’un échange avec cadres et membres de son parti, Devos Kitoko a annoncé le début de la campagne « Pas d’élections en RDC sans un fichier électoral fiable », dont la première action sur terrain est la marche de boycott qui aura lieu ce samedi à Kinshasa.
Le parti a d’ores et déjà posé des préalables avant de participer aux scrutins de 2023 dont la date de la tenue prévu est le 20 décembre prochain. Parmi les préalables, l’ECIDé, tout comme Lamuka, voulait la recomposition des institutions telles que la Commission électorale nationale indépendante (CENI), la Cour Constitutionnelle. Chemin faisant, il s’est beaucoup plus appesanti sur le fichier électoral dont son audit devient aujourd’hui impérieux, même si un autre organisme sud-africain a fait le même travail.
Tout seul !
Martin Fayulu et ses trois compères de l’opposition, à savoir Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga s’opposent farouchement à l’audit fait par les sud-africains et disent n’avoir pas confiance. Ce qui déterminait l’objet de leur lutte commune.
Par ailleurs, Martin Fayulu commence à faire piètre figure et évolue en solo. Depuis sa décision de boycotter les élections avec le fichier en place sans un autre audit, l’ancien coordonnateur de Lamuka se voit ‘’snober’’ par ses colistiers qui, eux, décident maintenant d’aller aux urnes avec ou sans un autre audit du fichier électoral.
Sinon, Fayulu et l’ECIDé, même Lamuka, sa plateforme politique restent dans leur position de boycott du processus et, faut-il le rappeler, promettent de mener des actions de grande envergure sur terrain, conformément à l’article 64 de la constitution, jusqu’à obtenir gain de cause.


Fidel Songo

Elections 2023, RDC : l’ECIDé de Martin Fayulu dans la rue ce samedi pour exiger un nouvel audit du fichier électoral
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Katumbi, Matata et Sesanga exigent la protection de la Monusco

Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga prennent le devant au nom de tous les présidentiables pour 2023. Après l’effroi créé par l’assassinat odieux de Chérubin Okende, trois leaders du bloc de Lubumbashi qui se sont abstenus d’associer le leader de l’Ecidé dans leur initiative, ont, dans un communiqué de presse publié vendredi 14 juillet dernier, exigé la sécurisation de tous les candidats président de la République par la Monusco. Comme tous les autres présidentiables, Martin Fayulu en bénéficiera s’il décide finalement d’entrer en lice.
Dans ledit document, le trio, après le décès du quatuor, a commencé par dénoncer avec la dernière énergie l’assassinat de Chérubin Okende. Pour eux, la sécurisation de tous les candidats président de la République par la Monusco permettrait d’éviter à d’autres d’être la proie du régime Tshisekedi.
Moïse Katumbi et ses pairs de l’opposition dénoncent «La tyrannie sanguinaire» mise en place par le régime Tshisekedi. Pour eux, «la terreur» et «l’oppression» de la présente équipe gouvernementale prennent, de plus en plus, place dans la société à quelques pas des élections.
Par ailleurs, cette opposition précise que Chérubin Okende était invité par Mr Lumu Mbaya Sylvain, juge de la Cour Constitutionnelle, invitation qui occasionna son enlèvement et sa mort. Elle exige une enquête indépendante dans le souci de rétablir les faits.
En outre, Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga notent la «détérioration» du climat sécuritaire sur toute l’étendue de la République et appellent tous les militants de l’opposition et les agents de la société civile à plus de vigilance. Cependant les leaders politiques de l’opposition demandent à leurs sympathisants de rester déterminer dans la lutte pour le changement en RDC.
«Les restrictions de l’espace politique, la recrudescence des assassinats et des violations des droits de l’opposition pendant cette période ne sont pas fortuites et traduisent l’orientation politique du régime en la matière », ont-ils dénoncé avant d’ajouter : « Aucune pression de quelque sorte que ce soit ne pourra nous faire renoncer au changement que nous appelons de nos vœux pour le bien de la République Démocratique du Congo et de son peuple afin que notre pays embrasse enfin la voie de la souveraineté populaire, du développement pour tous et de la justice sociale ».
Et de conclure en dénonçant «l’instrumentalisation» de la justice et des services de sécurité à des fins politiques comme des moyens les empêchant d’exercer leurs activités pré-électorales et électorales en toute sécurité.
Enquête
Ensemble pour la République enfonce le clou pour qualifie la mort de Chérubin Okende d’un assassinat politique et exige une enquête indépendante. Le parti de Moïse Katumbi a réagi quelques heures après la découverte du corps sans vie de son ancien porte-parole.
Dans un communiqué, ce parti de Moïse Katumbi a condamné « l’assassinat » de Chérubin Okende et l’a considéré comme un acte de sabotage politique et exige une enquête indépendante.
«Ce crime est un assassinat politique. Nous exigeons une enquête indépendante pour identifier les auteurs et les commanditaires de ce crime d’Etat qui ressemble en tous points à l’affaire Chebeya. Nous n’acceptons jamais que notre pays devienne une jungle où l’on assassine impunément. Soit le pouvoir contrôle tout, alors il en est commanditaire de ce crime, soit il ne contrôle rien alors il est dangereux », lit-on dans ce communiqué.
Ensemble pour la République rattache l’assassinat de son cadre, à «l’acharnement» du pouvoir à son encontre, suite aux événements passés, dont l’interdiction de son président de se rendre au Kongo Central et au Kwilu, mais également à «l’enlèvement » du député Mike Mukebayi.
De son côté, le gouvernement congolais a également condamné cet acte et a annoncé l’ouverture d’une enquête.
Emma Muntu

 

Katumbi, Matata et Sesanga exigent la protection de la Monusco
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Tanganyika : retour en force de madame Julie Ngungwa Mwayuma

M. Dieudonné Mulonda Kasaka, Président Fédéral ai de l’UDPS–Tshisekedi lors de la lecture de la déclaration

Les Présidents Fédéraux des Partis Politiques membres de l’Union Sacrée de la Nation au Tanganyika
Les Présidents Fédéraux des Partis Politiques membres de l’Union Sacrée de la Nation au Tanganyika ont présenté le lundi 11 juillet 2023, leurs remerciements contenus dans une déclaration politique, au Président de la République et Chef de l’Etat Congolais, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et au Président de la Cour Constitutionnelle, à la suite de la réhabilitation de Mme Julie Ngungwa Mwayuma, dans ses fonctions de Gouverneur de la Province du Tanganyika,
Cette déclaration a été lue et déposée au Ministre Provincial de l’intérieur et Sécurité du Tanganyika, SE M. Dieudonné Mulonda Kasaka, par le Président Fédéral ai de l’UDPS – Tshisekedi, Fédération Urbaine de Kalemie et Secrétaire Exécutif Provincial de l’Union Sacrée de la Nation Tanganyika, camarade Bonheur Makelele Ibocwa.
Pour sa part, Mulonda Kasaka, Ministre Provincial de l’Intérieur et Sécurité du Tanganyika, une territoriale chevronnée les a remerciés et rassurés du retour à Kalemie, de Mme le Gouverneur de Province, dans tout prochain jour. Par ailleurs, en date du 13 juillet 2023, la délégation de l’Union Sacrée de la Nation/ Tanganyika conduite par le Coordonnateur Provincial, M. Christian Kitungwa Muteba, a eu des échanges fructueux avec celle de la Présidence de la République venue pour évaluer l’état de lieux et les faisabilités relative aux préparatifs d’accueil du Chef de l’Etat à Kalemie pour la tenue de la 10ème Conférence des Gouverneurs qui aura lieu au Chef-lieu de la Province du Tanganyika.
Jonas K. Bonghatt
« REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
PROVINCE DU TANGANYIKA
UNION SACREE DE LA NATION/TANGANYIKA
Nous, Présidents fédéraux des Partis Politiques membres de l’Union Sacrée de la Nation, dans la Province du Tanganyika, adressons nos sincères remerciements :
1. Au Président de la République, Chef de l’Etat, Garant du bon fonctionnement des Institutions de la République Démocratique du Congo, pour avoir prôné l’Etat de Droit dans le dossier à tout le peuple Congolais sans discrimination aucune ;
2. Au Président de la Cour Constitutionnelle d’avoir dit le droit dans le dossier qui opposait Son Excellence Madame le Gouverneur de Province, Julie Ngungwa Mwayuma avec l’Assemblée Provinciale du Tanganyika.
L’arrêt rendu par cette haute juridiction de la République Démocratique du Congo a fait preuve de la matérialisation de la vision du Chef de l’Etat, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ;
3. A Son Excellence Madame le Gouverneur Julie Ngungwa Mwayuma, nos sincères félicitations pour votre réhabilitation dans vos fonctions les plus légitimes : « Gouverneur de Province du Tanganyika » par ce biais, nous vous souhaitons la bienvenue chez nous au Tanganyika ;
4. Ainsi, nous mettons en garde tous ceux qui marcheront en contrecourant avec son Excellence Madame le Gouverneur Julie Ngungwa Mwayuma ; qui incarne la vision du Chef de l’Etat dans la Province du Tanganyika, ils nous trouveront debout sur leur chemin et par la même occasion nous lançons un appel à tous ceux qui se prétendent soutenir le Président de la République de se ranger derrière son Excellence Madame le Gouverneur Julie Ngungwa Mwayuma, la seule représentante du Chef de l’Etat dans la Province. Car, s’opposait à l’autorité provinciale c’est s’opposer au Chef de l’Etat.
QUE VIVE LE CHEF DE L’ETAT, SON EXCELLENCE FELIX ANTOINE TSHILOMBO !
QUE VIVE L’ETAT DE DROIT !
QUE VIVE LA PROVINCE DU TANGANYIKA !
QUE VIVE L’UNION SACREE !
QUE VIVE SON EXCELLENCE MADAME JULIE NGUNGWA MWAYUMA !
Nous vous remercions ».

 

Tanganyika : retour en force de madame Julie Ngungwa Mwayuma
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Kinshasa : Martin Fayulu annonce des actions de rue à Kinshasa

Rien de nouveau sous le soleil. Lors de grands sommets à travers le monde, divers groupes arrivent sur les lieux pour manifester. Le parti politique ECIDE de Martin Fayulu veut sans doute tenter le même exploit en annonçant des manifestations citoyennes dans la ville de Kinshasa pour exiger la fiabilité du fichier électoral publié par la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ce, alors que les premières délégations de pays francophones séjournent déjà dans la capitale de la RDC.
C’est le secrétaire général de l’Ecide, Devos kitoko, au cours d'une conférence de presse organisée, mercredi 19 juillet, qui a rendu publique cette annonce avant d’indiquer qu’il n'y aura pas d'élections en République Démocratique du Congo tant qu'il n'y aura pas un fichier électoral fiable. C’est l’occasion pour ce cadre du parti de Martin Fayulu d’appeler les militants dudit parti à se mobiliser pour ce rendez-vous.
C’est dans ce même registre que Martin Fayulu, par son compte tweet, a réaffirmé, le même jour, sa position du retrait du processus électoral et de son exigence liée à l’audit externe du fichier électoral par un cabinet international. Il s’est interrogé sur le nombre exact des électeurs dans le fichier de la CENI en se demandant : «Rien ne reste secret éternellement. Que M. Denis Kadima de la CENI nous dise, combien d’électeurs se trouvent dans son fichier : 43.955.181, 50.000.000 ou 55.000.000»?
Et « le président élu » de renchérir que si le pouvoir en place était sûr de sa force, il devrait soutenir la démarche et encourager un audit externe du fichier électoral par un organisme réputé qui publiera ses conclusions.
«Nous sommes sûrs de notre force, nous demandons simplement un match fair-play», lance-t-il avant d’inviter le président de la CENI, Denis Kadima dans le débat. Et de conclure qu’il ne voit pas d’un bon œil le fichier électoral, qui selon lui, prépare une fraude électorale en faveur de l’actuel président de la République démocratique du Congo.
Kadima imperturbable
7 jours supplémentaire, du 16 au 23 juillet, ont été accordés aux candidats à la députation nationale de déposer leurs dossiers aux bureaux de réception et de traitement des candidatures ouverts depuis le 25 juin dernier. Le président de la CENI a visité mardi 18 juillet dernier deux Bureaux de Réception et Traitement des Candidatures (BRTC) situés dans les antennes de Ndjili et Kalamu à Kinshasa.
Il a fait savoir après le constat du faible engouement des candidats à l'élection des députés nationaux malgré la prolongation de 7 jours accordés aux partis et regroupements politiques : "Le personnel de la CENI est en place et bien organisé et nous attendons que les candidats viennent présenter leurs dossiers. Je constate avec surprise que les candidats ne se présentent pas en masse alors que la date limite est déjà dépassée. Nous avons prolongé pour leur accorder du temps et il me semble qu’il y en a qui pensent qu’il y aura un système de jetons et qu’ils pourront passer plus tard. C’est un effort que nous avons fait, cela signifie que nous allons devoir travailler beaucoup plus pour récupérer les jours qu’on leur a accordés".
Kadima insiste qu’il n’y aura pas une deuxième prolongation. "Le délai que nous avons accordé pour que tout le monde qui était en retard pour des raisons d’ordre logistique et organisationnel puisse se présenter durant c’est celui-ci. Il n’y aura pas une autre prolongation", a-t-il martelé.
Et de rassurer que la CENI a mis en place les dispositions nécessaires pour que les candidats n’aient pas à faire trop d’acrobaties en ce qui concerne les démarches administratives.
Emma Muntu

 

 

Kinshasa : Martin Fayulu annonce des actions de rue à Kinshasa
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