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UDPS : Augustin Kabuya dénonce ‘’des messes noires’’ dites contre le régime de Félix Tshisekedi


C’était un Augustin Kabuya à bout des nerfs. Ce mardi 27 juin 2023, au cours d’une causerie morale tenue au siège du parti situé dans la commune de Limete, le Secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social a répondu, une bonne fois pour toutes, aux accusations faites contre son parti et, même, contre le régime de Félix Tshisekedi. D’un révère de main, le gestionnaire du parti au pouvoir rejette tout préjugé malencontreux que ‘’les fossoyeurs’’ du pays veulent attribuer au régime, tout en dénonçant, d’un ton ferme, des ‘’messes noires’’ qui se célèbrent pour déstabiliser le Président de la République et son régime.
Comme pour répondre aux derniers propos du porte-parole de la CENCO, et revenant sur le discours du Président de la République à Mbuji-Mayi, Augustin Kabuya enlève toute sorte de confusion et souligne que, ni le Président de la République, ni l’UDPS son parti, encore moins l’assemble du gouvernement n’a des problèmes particuliers avec l’Eglise catholique, ‘’au cas où certains pourraient penser le contraire’’. Il rappelle que depuis la nuit des temps, l’Eglise a toujours été un bon partenaire de l’Etat.
Néanmoins, Kabuya dit avoir constaté ‘’avec amertume’’, une sorte de conciliabule entre certaines têtes de l’Eglise catholique avec des personnes soupçonnées de vouloir « renverser » le pouvoir en place des manières indues. Il a cité ici le nom de Monseigneur Donatien NShole, porte-parole de la Conférence épiscopale nationale congolaise, d’être de mèche avec notamment l’opposant Moïse Katumbi.
«Un individu qui se dit candidat, et bien avant même le début de la campagne, toi un grand homme de Dieu à qui nous avons beaucoup de respect tu commences à faire la propagande d’une personne qui se dit être candidat. C’est honteux. Je parle ici de katumbi qui a dit qu’il est candidat à l’élection présidentielle, mais à notre grande surprise, nous constatons déjà sa campagne qui est en train d’être faite par un prélat catholique. Comment-est ce que les serviteurs de Dieu, nos pères spirituels peuvent-ils se ridiculiser jusqu’à ce point. Ce n’est pas bien. Je demande à Moïse Katumbi de laisser tranquille les serviteurs de Dieu », a déclaré Augustin Kabuya.
Malédiction !
Pour finir, Augustin Kabuya a prédit la malédiction à Moïse Katumbi, qu’il accuse d’avoir soudoyé les serviteurs de Dieu pour ses intérêts politiques. « Moïse Katumbi sera maudit jusqu’à la troisième génération pour tout ce qu’il est en train de faire maintenant », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’UDPS est revenu sur les accusations faites contre son parti selon lesquelles l’UDPS entretient toute une milice. Pour le surnommé AK47, ce n’est pas vrai. « Mgr Donatien Nshole a dit que l’UDPS entretient une milice. Demandez-lui, lorsqu’il venait ici de temps à autres alors que nous étions encore dans l’opposition, a-t-il vu une quelconque milice ? Et pourquoi devrions-nous en avoir maintenant que nous sommes au pouvoir ?», s’est-il demandé.
Fidel Songo

 

 

UDPS : Augustin Kabuya dénonce ‘’des messes noires’’ dites contre le régime de Félix Tshisekedi
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Lwanzo lua Mikuba : Sama Lukonde représenté par Valérie Mukasa, son Conseiller principal

L'Association socio-culturelle Lwanzo lua Mikuba a désormais un nouveau comité exécutif national. La cérémonie d'investiture de ce nouveau comité est intervenue le weekend dernier, à Lubumbashi, Chef-lieu de la Province du Haut-Katanga. Jean Michel Sama Lukonde, le Premier Ministre, a été représenté à cette importante cérémonie, par son Conseiller principal, Valérie Mukasa.
L'association socio-culturelle Lwanzo lua Mikuba regroupe les fils et filles des provinces du Haut-Katanga et du Lualaba notamment, ceux des territoires de Kambove, Kasenga, Lubudi, Mitwaba et Mutshatsha.
Les autorités traditionnelles de cet espace socioculturel Lwanzo lua Mikuba, les notables et autres personnalités politiques dont le Gouverneur du Haut-Katanga ont pris part à cette cérémonie.
Notons que le nouveau comité exécutif national de Lwanzo lua Mikuba est dirigé par le Docteur Kapia. Avant de procéder à la passation des pouvoirs, le Président sortant a dressé un bilan reluisant de son mandat à la tête de cette association. Il s'agit notamment de la création d'un cabinet médical pour offrir les soins de santé aux membres de la communauté, un projet qui a donné de l'emploi aux jeunes de l'espace.
Au nom du Premier Ministre, le Conseiller principal Valérie Mukasa a remis une enveloppe au nouveau comité, à titre de soutien aux activités de l'association socio-culturelle Lwanzo lua Mikuba.
« Je ne suis qu'un délégué, un envoyé. Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, m'a chargé de venir à cette cérémonie et de remettre cette enveloppe à notre Président », a laissé entendre Maître Valérie Mukasa.
Signalons que c'est dans une ambiance bon enfant que s'est déroulée cette cérémonie.
(Avec la Cellule de communication de la Primature)

 

Lwanzo lua Mikuba : Sama Lukonde représenté par Valérie Mukasa, son Conseiller principal
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Les militants de l'UDPS accusent Georges Mawine de "cession d'une carrière minière à 15 millions de dollars "

*L'étau se resserre davantage autour de Georges Mawine, ancien ministre des mines dans la province du Haut-Katanga. Quelques jours après son limogeage au poste de ministre, Mawine serait au centre d'un grand scandale. Georges Mawine, alors à l'époque ministre des mines, est accusé d'avoir cédé d'une manière illégale, une carrière minière sur la route Likasi derrière " CMCO".

Dans une déclaration faite ce mardi 27 juin, les militants du parti présidentiel dont le surnommé " Général Fantôme", révèlent que Georges Mawine aurait réussi une telle démarche, avec la complicité du Directeur Général de la Gécamines, M. Ntambwe.
D'après les mêmes sources, c'est au coup de 15 millions de dollars américains que les remblais de la Gécamines auraient été vendus par Mawine.
En novembre 2022, la coopérative minière du Katanga était montée au créneau pour accuser Georges Mawine de s'être approprié la carrière de Sokoroshe et d'avoir placé des militaires sur ce site situé sur la route Likasi pour ses intérêts mesquins.
Après ces accusations, les militants de l'UDPS s’étaient, à leur tour, soulevés pour dénoncer la cession d'une autre carrière par le même Mawine.
Ces soulèvements avaient débouché sur l’arrestation d'un militant de l'UDPS qui avait été libéré par la suite, après plusieurs manifestations au parquet de Lubumbashi.
Au centre de plusieurs polémiques suite aux " bavures" commises à la tête du ministère des mines notamment, l’enrichissement illicite, les constructions anarchiques et autres, ces révélations enfoncent encore davantage le nouvel allié de Dany Banza, Ambassadeur itinérant du chef de l'Etat.
J.E/CP

Les militants de l'UDPS accusent Georges Mawine de "cession d'une carrière minière à 15 millions de dollars "
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L’AFDC promet à son tour de traduire Matata Ponyo en justice

La réaction de l'Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) ne s’est pas fait attendre après une plainte initiée par l’ancien premier ministre Matata Ponyo à l’encontre du speaker de la chambre haute du Parlement, Modeste Bahati Lukwebo. Pour l’AFDC, le bureau du Sénat n'a fait qu'appliquer les dispositions de la Constitution et du Règlement Intérieur du Sénat. Ce, avant de se dire surprise de constater les provocations, insultes et attaques personnelles à l'endroit du président du Sénat allant jusqu'à intenter un procès infondé et sans cause contre ce dernier.
Dans une déclaration samedi 24 juin dernier au siège de l’AFDC situé sur l'avenue de la libération, le secrétaire général, Guy-Richard Malongo indique :"Ce que l'opinion nationale et internationale doit savoir c'est que Matata Ponyo ne veut pas que la vérité soit connue sur sa responsabilité dans la débâcle de Bukangalonzo surtout qu'il se présente comme meilleur gestionnaire de la République. Il craint fortement que cela ne soit contredit par ses présumés détournements. D'où la multiplication des entraves à la justice, le recours à des intimidations et aux tentatives de corruption" dit l'AFDC.
Et de poursuivre : "Le sénateur Matata Ponyo tient à se victimiser et à politiser un dossier purement judiciaire. Tout le monde sait qu'en date du 05/07/2021 lorsque ses immunités avaient été levées, MatataPonyo n'avait pas encore créé son parti politique tout comme il n'était pas candidat déclaré à la présidence de la République. Monsieur Matata Ponyo doit savoir que l'article 180 du code pénal qu'il évoque dans sa fuite en avant ne s'applique qu'aux fonctionnaires de l'Etat. Le Sénateur Matata Ponyo doit cesser de distraire l'opinion et de récuser toute personne".
Cette formation politique membre de l'Union sacrée de la nation met en garde Augustin Matata Ponyo et souhaite que le procès de l'ancien premier ministre soit télévisé pour que l'opinion soit fixée de la vraie identité de Matata Ponyo en ce qui concerne la gestion de la chose publique.
"L'AFDC prévient que pour toutes les imputations dommageables et fausses accusations de Monsieur Matata à l'égard de l'honorable Président du Sénat et Autorité Morale de l'AFDC, Modeste Bahati Lukwebo, va saisir la justice en vue de corriger définitivement Monsieur Matata Ponyo qui se croit être un Congolais spécial non justiciable et n'ayant de compte à rendre à personne pour sa gestion calamiteuse", indique le parti de Modeste Bahati Lukwebo.
Pour conclure :"L'AFDC souhaite que son procès soit public afin que la vérité soit connue sur la destination des centaines des millions de dollars américains tels que révélés dans le rapport de l'inspection Générale des Finances".
Le procureur général près la cour de cassation qui affirme disposer de nouveaux éléments, veut, une fois encore, entendre Augustin Matata. Ce denier croit dur comme fer que c’est le speaker du Sénat qui se trouve être à la manœuvre. L’AFDC n’est pas prête à voir la réputation de son Autorité morale jetée en pâture par l’ancien premier ministre Matata. Il s'agit pour ce dernier des démarches judiciaires irrégulières menées contre lui par le Procureur général près la Cour constitutionnel qu’il accuse, du reste, en complicité avec le bureau du Sénat.
Emma Muntu

L’AFDC promet à son tour de traduire Matata Ponyo en justice
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Martin Fayulu et son groupe pour des élections non voleuses des voix et basées sur un bon fichier électoral

Le meeting de 4 partis de l’opposition congolaise : Engagement pour la Citoyenneté et le Développement, Ensemble pour la République, Leadership et Gouvernance pour le Développement et Envol, a été une réussite totale, hier dimanche 25 juin sur la place Sainte Thérèse à N’djili. Cela, en dépit de l’unique présence de Martin Fayulu, les trois autres : Moïse Katumbi, Augustin Matata Ponyo et Delly Sesanga, ayant brillé par leur absence, représentée par leurs Secrétaires Généraux respectifs : Dieudonné Bolengetenge, Flanklin Tshiamala et Maître Nicolas Lenga.
Il était question pour eux de faire l’état des lieux de la Nation au regard du climat socio-politico-sécuritaire qui prévaut à l’heure actuelle en République Démocratique du Congo.
Martin Fayulu, qui a été la voix la plus attendue, vu l’absence de trois autres, a dû parler de leur position vis-à-vis de tant attendues élections du mois de décembre prochain. Participeront-ils ou ne participeront-ils pas ?
‘’Nous ne boycottons pas les élections, mais voulons plutôt des élections transparentes basées sur un bon fichier électoral et non voleuses des voix. Pas de bon fichier, pas d’élections’’, a-t-il tiré les choses au clair. Ce désormais aigle de l’opposition a en plus déploré ces cartes d’électeur en ‘’cartons’’ qu’il dit fabriquées à l’emporte-pièce par la CENI ainsi que l’absence jusqu’ici de l’affichage mural des listes des électeurs issues de l’enrôlement. A l’en croire, cela aurait aidé à résoudre en premier lieu le contentieux des listes. Et foi sur ses propos, il n’est pas bon qu’on aille aux élections selon les caprices de l’autorité de la CENI qu’il qualifie, selon lui, être un expert en fraude électoral. ‘’Toutefois, nous acceptons son appel naguère lancée aux partis politiques pour la définition des règles du jeu’’, a-t-il mis un peu d’eau dans sa salive, avant de constater que le refus ou l’inexistence des concertations entre parties prenantes démontre à suffisance que le processus électoral est mal entamé.
Martin Fayulu révèle que plus de10 millions des coordonnées dans le fichier électoral appartiennent à des personnes inexistantes, ainsi voulu par la CENI de sorte que, au jour du vote, avec les machines qu’ils se sont permis de distribuer à certains de leurs complices, ces derniers envoient les résultats directement à partir de chez eux. Ce qui fera que la majorité des votes se retrouvent ce jour-là nuls et non avenus.
Le Groupe de 4 sont contre ce qu’ils appellent la recommission du vol électoral qui a eu lieu en 2018 et disent non à l’installation au pouvoir de ceux qui ne seront pas cette fois-ci élus à partir des bureaux de vote.
Pour Dieudonné Bolengetenge, Secrétaire Général d’Ensemble pour la République, qu’il y ait élections ou pas, le régime en place doit déguerpir.
C’est ce qui justifie les propos du Maître Jean-Pierre Odudu Menga, Rapporteur de la Jeunesse Tshangu d’Ensemble, qui a lâché un grand niet au glissement qui se profile à l’horizon.
Franklin Tshiamala, Secrétaire Général de LGD, a, quant à lui, déploré la naissance durant le régime en place, des Brigades de Sécurité, telles que ’’Armées Rouges’’, Forces du Progrès et autres, qui sont venues en plus exacerber le phénomène Kuluna à Kinshasa où tout le monde est à l’heure actuelle en alerte vis-à-vis des Mobondo qui sont en train de rôder tout autour, cherchant qui massacrer.
Maître Nicolas Lenga de l’Envol s’est dit en colère contre cette insécurité qui prévaut à l’heure actuelle à Kinshasa qu’il constate plus grave que celle qui prévalait à l’époque de Bouda et ‘’Wallas’’. Il a en même temps révoqué en question la hausse des prix de biens et de services sur les marchés à l’échelle de la République Démocratique du Congo. L’Envol dans son ensemble s’inscrit en faux contre tous ces faux procès ainsi que toutes ces fausses perquisitions qui se produisent ces derniers temps en vue de fausses élections.
Saint-Germain Ebengo

Martin Fayulu et son groupe pour des élections non voleuses des voix et basées sur un bon fichier électoral
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N’djili: l’Opposition condition sa volonté d’aller aux élections par la révision du fichier

Le rendez-vous a enfin eu lieu. Au terrain ‘’Sainte Thérèse’’, Martin Fayulu, président de l’ECIDé, et les représentants de ses 3 compères, à savoir Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga étaient face à la population de Kinshasa, pour le compte de leur meeting. Des milliers de personnes ont répondu présents à cette invitation du bloc de l’opposition. Comme il fallait s’y attendre, le quatuor a encore une fois fixé l’opinion sur sa position vis-à-vis des élections qui se pointent déjà à l’horizon.
Le bloc de l’opposition a une fois de plus réitéré sa volonté et sa détermination d’aller aux élections en 2023. Mais à cela, une seule chose conditionne maintenant sa participation à ce jeu démocratique. Martin Fayulu, qui l’a si bien souligné lors du meeting, a précisé que l’opposition ne peut en aucun cas refuser d’aller aux urnes. Il précise que le mot ‘’boycott’’ ne fait pas partie de leur vocabulaire, mais qu’il y a une seule condition qui peut faire à ce qu’elle (opposition) ne puisse pas participer aux élections. C’est le refus par la CENI d’auditer le fichier électoral.
« Comme j’avais dit dernièrement, nous ne boycottons pas les élections, mais nous voulons de bonnes élections. Le mot ‘’boycott’’ ne fait pas partie de notre vocabulaire, mais il faut que le fichier soit audité », a dit le président de l’ECIDé. Il insinue qu’il trouve à l’intérieur du fichier, des déchets que le régime veut s’en servir pour triquer les élections.
Appel de la CENI
« Nous acceptons l’appel de Kadima, je l’ai suivi, mais c’est à nous de fixer les règles du jeu… Kadima veut inviter maintenant tous les partis politiques. Si le fichier n’est pas bon, je vous dis que personne n’accepte ces élections ici au pays », a-t-il ajouté.
Martin Fayulu n’entend pas laisser un seul moment à l’actuel président après la date de 23 janvier 2024. Il précise que lors de sa dernière tournée en Amérique et en Europe, il a pris en témoins certains dirigeants des pays de ces continents sur cet état de chose. « Le 23 janvier 2024 à minuit, Tshisekedi doit partir. Je l’ai dit aux Américains, aux français, que je n’accepterai pas des élections selon Kadima. Nous allons nous assoir sur une même table, et nous allons fixer les règles du jeu. Sinon, pas d’élections », a rappelé M. Fayulu.
30 juin, devant la nation…
Tout en fustigeant la mauvaise interprétation de ses propos lors de sa conférence de presse tenue pas longtemps à Faden House par certains médias, Martin Fayulu annonce de s’adresser à la population congolaise le 30 juin 2023, afin de fixer l’opinion sur certaines choses. « Le 30 juin, je vais m’adresser à la nation pour donner l’état de la nation », a-t-il fini.
Il y a lieu de préciser que Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga n’étaient pas présents à ce meeting. Ils ont été représentés par leurs secrétaires généraux à savoir respectivement ; Dieudonné Bolengetenge (Ensemble pour la République), Franklin Tshiamala (LGD) et Nicolas Lenge (Evol).
Fidel Songo

N’djili: l’Opposition condition sa volonté d’aller aux élections par la révision du fichier
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Jean-Marc Kabund : la ligue des Jeunes de l’Ach exige la libération immédiate et sans condition

La ligue des Jeunes de l’Alliance pour le changement (A.CH) de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean Marc Kabund, a déposé jeudi 23 juin 2023, un mémo à la Cour de Cassation, pour exiger la libération ’’sans condition’’ de son autorité morale. La délégation était conduite par le président de cette composition, Parfait Zola.
Tout a commencé par un sit-in devant cette juridiction, avant de rencontrer le procureur général à qui le mémorandum a été remis.
«L’Alliance pour le Changement observe, avec consternation, la démission systémique, dans notre pays, des instances politiques habilitées à trouver des voies de la raison dans l’affaire concernant l’Honorable Jean-Marc Kabund-A-Kabund, l’impuissance ahurissante des instances judiciaires à imposer le respect de la Loi ainsi que l’exécution des décisions de justice…», peut-on lire dans le mémo.
Selon le Président de la Ligue des Jeunes, «cette manifestation se veut un énième appel à l’exécution de l’Ordonnance d’assignation à résidence surveillée, rendue par la Cour de Cassation en date du 12 août 2022, conformément à l’article 72 alinéa 2 et 3 de la Loi n°13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la Cour de Cassation, qui continue scandaleusement de connaître une obstruction. Pourtant selon la procédure, il revient au Procureur Général le devoir d’exécuter cette décision de justice pour cette affaire ».
Appel à la libération !
Par ailleurs, la Ligue des Jeunes appelle le Procureur Général à la libération sans condition de leur Président. «Monsieur le Procureur Général, veuillez exécuter l’assignation à résidence surveillée de l’Honorable Jean-Marc Kabund-A-Kabund et ensuite mettez définitivement fin aux poursuites judiciaires à sa charge, car par son point de presse du 18 juillet 2022, notre Président National avait dénoncé des faits évidents devant vous permettre de l’approcher à priori comme un potentiel renseignant et non comme un infracteur hasardeux », explique la ligue.
A la fin, les jeunes de l’Ach ont promis d’utiliser tous les moyens légaux pour obtenir la libération du président de leur parti « arrêté injustement ».
Grâce Daro

 

Jean-Marc Kabund : la ligue des Jeunes de l’Ach exige la libération immédiate et sans condition
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Fichier électoral : CALCC, MILAPRO, Lucha, Filimbi et Congolais debout pour un audit externe au sens propre du terme


Me Dan Idima, Point focal des Congolais debout à Kikwit

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Monsieur Mino Bopomi de Filimbi
*Les laïcs catholiques et protestants (Calcc et Milapro), en convenance avec les organisations et acteurs de la société civile et mouvements citoyens, dont la Lucha, Filimbi et Congolais débout, ont organisé du 23 au 24 juin dernier, dans la salle Henri-Léon du Centre d’Etudes pour l’Action Sociale, CEPAS en sigle, un séminaire sur les prochaines élections en République Démocratique du Congo. Il s’était agi, pour eux, de faire appel, primo : à la mobilisation de la population congolaise toute entière en vue d’une organisation apaisée, crédible, inclusive et transparente des élections de 2023 qui s’annoncent très prochaines ; deuxio : au pouvoir étatique et à la CENI pour que soit convoqué dans un délai très bref, un audit au vrai sens du terme du fichier électoral.
C’est ce qu’a confirmé Monsieur Mino Bopomi, durant sa brève interview. A l’en croire, la population congolaise doit s’approprier l’article 64, alinéa premier de la Constitution en vigueur pour ne pas laisser que le régime actuel organise des élections truquées.
‘’Tout congolais a le droit, pourquoi pas le devoir, de faire échec à quiconque ou à un groupe d’individus qui tenterai(en)t d’exercer le pouvoir en contradiction avec les attentes du peuple’’, a-t-il ‘’libellé’’ l’article sus-évoqué.
Même son de cloche de la part de Monsieur Jeef Pambi, président de Milapro, Ministère des laïcs protestants de la RDC qui, en plus, a manifesté sa colère contre le fait de constater au sein de la Société civile, une aile pour le pouvoir et une autre aile pour l’Opposition.
Le Comité laïc catholique de coordination, le Ministère des laïcs protestants de la RDC, les militants de la Lutte pour le changement ainsi que ceux de Filimbi, sans oublier ceux de Congolais débout, se déclarent neutres et disent non au glissement qu’ils voient se profiler à l’horizon.
Ils déplorent de manière absolue le climat sécuritaire actuel marqué par l’explosion de conflits violents à travers le pays, la prolifération de milices affiliées aux partis politiques dont les Forces du progrès, la Brigade spéciale de l’UDPS, l’occupation des localités par des armées étrangères et des groupes armés.
Me Dan Idima contre les élections pour des raisons de complaisance au respect du calendrier
Me Dan Idima, présent à ce séminaire, en sa qualité de point focal des Congolais debout au niveau de Kikwit et chargé de formation, a eu, durant son alerte aux autorités politico-administratives, en premier lieu déploré la façon cavalière et non respectueuse de la loi dont ont été désignés les membres tant de la CENI que ceux de la Cour constitutionnelle.
Comme tout congolais qui se respecte, Me Dan se dit préoccupé au plus haut point par la situation qui prévaut à l’heure actuelle en République Démocratique du Congo, notamment le processus électoral en cours qu’il dit entaché de plusieurs irrégularités.
‘’Ce fichier électoral n’a pas jusqu’ici fait l’objet d’un audit externe au sens propre du terme’’, reconfirmation du Maître qui veut que soit mis de la ‘’propreté’’ dans ce fichier. Ce disciple de Sindiki Dokolo s’inscrit, pendant ce temps, en faux contre la malice du régime en place qui tente d’organiser les élections pour de simples raisons de complaisance au respect du délai, en faisant fi de leur caractère apaisé, crédible, démocratique, inclusive et transparente.
‘’Le peuple ne veut plus revivre les répercussions des élections de 2006, 2011 et 2018’’, parole de colère de Maître Dan qui ajoute, poing sur la table : ‘’Il faut désigner des gens qui résulteront de la volonté populaire des congolais’’.
Les laïcs catholiques et protestants, de concert avec les organisations et acteurs de la Société civile et mouvements citoyens ont dit beaucoup d’autres choses à consulter dans leur déclaration générale qui suit la signature.
Saint-Germain Ebengo

 

Fichier électoral : CALCC, MILAPRO, Lucha, Filimbi et Congolais debout pour un audit externe au sens propre du terme
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MLP : Jean-Louis Esomba appelle à l’implication des organisations internationales et des droits de l’homme

La ligue des jeunes du Mouvement Lumumbiste Progressiste, MLP, de Franck Diongo, a tenu une conférence de presse, ce mercredi 21 juin 2023, pour condamner l’action portée contre leur président national. A cette occasion, le Secrétaire National en charge de la jeunesse du parti, M. Jean-Louis Esomba, a crevé l’abcès pour désapprouver ce qu’il estime anarchique et antinomique aux règles de la démocratie. Ainsi, il en a appelé à l’implication des organisations des droits de l’homme, la MONUSCO ainsi que les ambassadeurs des pays étrangers accrédités en RDC, pour retrouver Franck Diongo.
Selon lui, le régime actuel au pouvoir est à la base de l’enlèvement de leur président national, Franck Diongo. « Le régime en place a envoyé ses services policiers, militaires de la Garde Républicaine à la trousse de l’honorable Franck Diongo qu’ils ont filé au retour des funérailles de Feu Dr. Kabamba, membre de l’UDPS et de la famille présidentielle et procédé à son enlèvement dans une brutalité inouïe», a-t-il laissé entendre.
Selon lui, les membres de la famille biologique, politique ainsi que les avocats de Diongo ont entrepris plusieurs démarches dans le souci de le retrouver afin d’entrer en contact avec lui, mais ces démarches jusque-là se révèlent sans succès. Il estime que l’acte contre leur autorité morale viole les dispositions des articles 17, 18 et 19 de la constitution et des conventions internationales dûment ratifiées par la RD Congo sur les droits civils et politiques.
Il a été ahuri de remarquer que le même régime qui a autorisé le port d’arme à Franck Diongo, semble méconnaître cette autorisation, alors que selon lui, cela a été dûment signée par le régime au pouvoir.
Par ailleurs, il a souligné que toutes les allégations contre leur président national sont fausses, y compris le dossier Salomon Kalonda.
Pour conclure, Jean-Louis Esomba, Secrétaire national en charge de la jeunesse du MLP, a exigé la libération sans condition de son Président national.
Hénoc Akano

 

MLP : Jean-Louis Esomba appelle à l’implication des organisations internationales et des droits de l’homme
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Franck Diongo : le MLP exige la libération immédiate et sans condition !

Le Mouvement Lumumbiste Progressiste, MLP, a tenu mercredi 21 juin 2023, une conférence de presse au cours de laquelle il a été question de fixer l’opinion sur ‘’l’enlèvement’’ de son Leader et Président National, Franck Diongo Shamba. Au cours de cet échange, le Comité Exécutif National du parti a exigé la libération ‘’sans condition’’ de son président arrêté depuis le mardi 20 juin 2023.
Dans sa déclaration, le MLP a fustigé et condamné ‘’avec la dernière énergie’’ ce comportement qu’il a qualifié ‘’ d’anachronique et antinomique’’ aux règles de la démocratie. Le comité du parti a tenu à préciser que ‘’l’enlèvement’’ de son leader n’a rien à voir avec le dossier Salomon Kalonda, conseiller de Moïse Katumbi, contrairement aux fausses allégations qui circulent dans certains médias et sur les réseaux sociaux. Selon Me John Omehata, l’un des avocats de Franck Diongo, le dossier auquel on veut mêler son client ne le concerne pas, ni de près ni de loin. Il explique que le code judiciaire militaire en vigueur depuis 2002 a déjà donné le mécanisme pour appeler une personne citée en justice.
«Pour entendre quelqu’un cité dans un procès, il faut une citation à témoin à charge ou à décharge. Donc, on ne peut pas arrêter une personne, si on ne lui a pas lancé une invitation au préalable. Cette allégation est un faux-fouillant. Donc, il n’a rien avoir avec le procès Salomon», a enrichi l’avocat.
En ce qui concerne l’arme trouvée dans la voiture du Député Honoraire, Maître John Omehata a laissé entendre que l’honorable FrancK Diongo est un légaliste. Donc, dit-il, il ne peut pas faire quoi que ce soit sans respecter la loi, d’autant plus que le port d’arme est obligatoire dans le pays à condition d’en demander l’autorisation. C’est ainsi qu’il a présenté, devant la presse, tous les documents qui attestent la demande d’autorisation de permis de port d’arme appartenant à son client.
Par ailleurs, le MLP s’est dit consterné par le mode opératoire des policiers et militaires de la Garde Républicaine, qui ont emmené à la découverte de l’arme. «Comment peut-on concevoir dans un Etat de droit que des hommes en arme se livrent à l’enlèvement d’un responsable, Député honoraire de surcroit, et à la perquisition de son véhicule en son absence, sans aucun document officiel, du reste assimilé à une résidence privée inviolable, et prétendre trouver l’arme sans témoin, ni lui opposer contradictoirement les éléments y recueillis», s’étonne le parti.
Enlèvement politique !
Paul René Lohata, Secrétaire Général du parti, accuse le régime en place d’avoir enlevé leur leader politique. Il pense que ce qui arrive est tout simplement un acharnement contre un opposant au régime et un candidat à la Présidentielle 2023.
D’après le Secrétaire Général, cet acharnement contre leur leader arrive parce que le parti a pris la décision de se retirer des relations qu’il tissait avec le Président de la République et de revenir dans l’opposition. A son avis, si le parti a décidé de cette séparation, c’était suite au constat fait selon lequel il y avait une certaine déviation dans le chef de l’actuel régime, «Car, il n’arrive pas à gérer conformément aux attentes de la population».
Par ailleurs, le MLP exige «La libération sans condition de son Président et rejette tout ce que les sbires imputeraient à son leader sans que ce dernier n’y soit personnellement associé ou représenté par l’un de ses Avocats ou tout au moins par ses gardes présents lors de son enlèvement ».
C’est ainsi qu’il a fait appel à la communauté internationale, la société civile, aux associations et les combattants du parti à s’impliquer pour trouver le lieu où est gardé ‘’clandestinement’’ l’Honorable FRANCK DIONGO, « à ce jour privé de tout contact, de la nourriture et de ses médicaments lui prescrits par son médecin traitant depuis sa dernière arrestation du régime passé», et demande à la population de rester vigilante et mobilisée pour «barrer la route à toute forme de dictature d’où qu’elle vienne».
Le parti a promis, enfin, d’utiliser des méthodes démocratiques, c’est-à-dire, la mobilisation, les marches, des sit-in afin d’obtenir la libération de leur leader.
Nelly Somba

 

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