Le bâtonnier Cyprien Mbere Moba, Directeur général de TRANSCO, a procédé officiellement ce samedi 1er avril 2023, au lancement de deux nouvelles lignes de TRANSCO à Kinshasa. Il s’agit de la ligne 32, Cecomaf – Zando et la ligne 33, Cecomaf – Gambela. La cérémonie a vu sa ténue à l’arrêt Terre Jaune sur la route Cecomaf, dans la commune de Kimbanseke. C'est sous une ambiance chaleureuse, que la cérémonie a été accueillie par la population de ce coin de la capitale. Flory Bwatuka, Directeur général adjoint ainsi que Johnny Boyela, directeur d'exploitation TRANSCO ainsi que le représentant du bourgmestre de la commune de Kimbanseke étaient également de la partie. Prenant la parole, le bâtonnier Cyprien Mbere a, de prime à bord, rendu hommage au Président de la République, Félix Tshisekedi notamment, pour sa vision qui, selon lui, ne cesse de contribuer au bien-être des populations congolaises. « Ce que nous sommes en train de réaliser comme travail, c'est dans l'optique de soutenir la vision du président de la République. Sa vision qui veut à ce que tout le monde dans son secteur d'activité puisse poser des bons actes, tendant à la pacification ainsi qu'à l'avancement du pays», a-t-il fait remarquer. Et d’ajouter, « Mon adjoint et moi, on s'est mis d'accord après longue discussion et concertation, en vue de lancer de nouvelles lignes au bénéfice de la population », souligne-t-il. Il a profité de cette occasion pour appeler les populations environnantes à ne ménager aucun effort, pour la protection des bus TRANSCO, qui sont des biens publics. Pour sa part, le Directeur d'exploitation de TRANSCO, M. Johnny Boyela a martelé sur l'importance d'assurer la sécurité des bus de cet établissement public des transports au Congo. Au vue de cette cérémonie, au nom du bourgmestre de la commune de Kimbanseke, son représentant s'est réjoui de l'accomplissement de ce travail de dur labeur abattu par l'équipe dirigeante de TRANSCO, pour le lancement de deux nouvelles lignes dans sa juridiction. Par ailleurs il sied de noter qu’après le lancement des lignes KINGASANI-MONGATA, MATADI-MOANDA, MATADI-LUFU, la direction générale de TRANSCO, par l'entremise de son responsable numéro un, annonce le lancement d'une énième ligne à Kinshasa : BARÉ-ZANDO. Et de rappeler que le prix d'une course pour la ligne 32 (CECOMAF-ZANDO) et pour la ligne 33 (CECOMAF-GAMBELA) revient à seulement 500 FC. Israël Mpoyi
Constitué du Président John Pytha Mulunda, du Vice-Président Trésor Mujinga Katanga et du Secrétaire Hussein Kitenge, le Bureau Permanent Syndical (Bps) de la Sicomines S.A. s'en remet en toute confiance au Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour la résolution de multiples problèmes auxquels est confrontée la joint-venture SINO-CONGOLAISE. Dans un mémorandum lui adressé, le 23 mars 2023 et pour lequel sont mis en copie plusieurs officiels notamment : le Premier Ministre, les Ministres des Finances, des Mines et de l'Emploi, Travail et Prévoyance Sociale; le Directeur Général de l'Apcsc, le Gouverneur de la Province du Lualaba, les Directeurs Généraux de la Dgrad, de la Dge, de la Gécamines et de la Sicomines, en plus du Directeur Provincial de la Cnss, le Bureau syndical permanent sollicite la levée des saisies des comptes bancaires de la Sicomines… Dans ce même mémorandum, le Bsp commence par présenter l'entreprise de droit congolais avec ses 3.000 travailleurs liés par contrat, ses 4.000 agents sous-traitants, soit, en prenant une moyenne de 5 membres de famille à charge, « environ 35.000 personnes directement ou indirectement dépendantes » de la firme. Qualifiant à juste titre celle-ci de « bon modèle de la coopération Sino-congolaise », le Bureau relève que « la société Sicomines SA a accordé des opportunités précieuses d'emploi aux jeunes congolais (...) jadis sans expérience professionnelle et rejetés par d'autres sociétés, faute de ladite expérience ». Ces jeunes, poursuit-il, sont fiers « de faire partie de cette société qui constitue », soutient-il, leur « principale source de revenus » et qui, en plus, leur « a tout appris grâce à un parfait programme de formation basé sur le transfert des connaissances et des compétences », allusion faite aux programmes de formation du personnel assurés à la fois en RDC et en Chine. Aussi, le Bps met-il l'accent sur la politique sociale ayant permis aux agents d'accéder à plusieurs avantages : paiement régulier des salaires et rémunérations, allocation d'une prime annuelle de performance, prise en charge médicale, allocation des frais de scolarité, allocation d'une prime spéciale pour la célébration de l'indépendance et une autre pour les fêtes de fin d'année. En plus, en exécution de son cahier des charges, Sicomines est constamment à l'écoute des communautés environnantes locales. D'où, la construction et l'équipement d'un complexe scolaire, d'un hôpital moderne au quartier Kapata, des routes, des fontaines d'eau, l’électrification des villages, etc.
« Depuis, le projet Sicomines SA a, d'une manière tangible, amélioré notre vie sociale », note le Bureau syndical permanent qui trouve dans la crédibilité de l’employeur et dans la stabilité de l’emploi la raison leur ayant permis d’accéder auprès des banques locales des crédits à la consommation, permettant à chacun de réaliser ses projets individuels. Au nom du principe sacré : « le Peuple d’abord » Or, ces efforts d'amélioration du quotidien des agents sont hypothéqués par des mesures prises par certaines entités qui exercent les pouvoirs publics. Le Bps l'exprime en ces termes : « Toutefois, il s'observe depuis septembre 2022, des « audits » fréquents que connaît cette société, ce qui nous met parfois dans des difficultés de faire face à nos engagements ». Et l’une de ces difficultés, sinon la première, est le blocage des comptes bancaires. «Oui, les conséquences du blocage des comptes bancaires de notre société sont visibles : il s'agit principalement de la grève potentielle à cause du retard de paiement de salaire avant le 26 mars et le risque d'un congé technique avec comme conséquences l'incapacité de chaque travailleur à subvenir aux besoins primaires de sa famille et le retour à la case de départ localisée dans une vie misérable », alerte le Bps qui déclare, en plus et pire : « De plus le mal que nous travailleurs essayons de voir de loin : c'est aussi le risque de la paralysie de toute la chaîne de production et l'approvisionnement par manque de réactifs et des consommables, l'incapacité financière de la société à payer ses fournisseurs et ses partenaires sociaux ». Aussi, demande-t-il au Chef de l'État, tant que faire se peut, de vouloir bien user de ses prérogatives constitutionnelles en vue de favoriser le déblocage des comptes de la Sicomines saisis par l’administration fiscale. Car, en plus de subvenir aux charges d’exploitation et aux charges sociales, les agents espèrent « recevoir une rémunération régulière et mener une vie décente et paisible ». Il est évident que le Bureau Permanent Syndical a fait le bon choix de frapper à la bonne porte, et tous les espoirs escomptés vont se concrétiser au nom du principe sacré « Le Peuple D’abord ». Une entreprise, c’est comme un Etat ou une famille. Elle n’a de sens qu’au travers de la présence humaine. La Pros.
Constitué du Président John Pytha Mulunda, du Vice-Président Trésor Mujinga Katanga et du Secrétaire Hussein Kitenge, le Bureau Permanent Syndical (Bps) de la Sicomines S.A. s'en remet en toute confiance au Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour la résolution de multiples problèmes auxquels est confrontée la joint-venture SINO-CONGOLAISE. Dans un mémorandum lui adressé, le 23 mars 2023 et pour lequel sont mis en copie plusieurs officiels notamment : le Premier Ministre, les Ministres des Finances, des Mines et de l'Emploi, Travail et Prévoyance Sociale; le Directeur Général de l'Apcsc, le Gouverneur de la Province du Lualaba, les Directeurs Généraux de la Dgrad, de la Dge, de la Gécamines et de la Sicomines, en plus du Directeur Provincial de la Cnss, le Bureau syndical permanent sollicite la levée des saisies des comptes bancaires de la Sicomines… Dans ce même mémorandum, le Bsp commence par présenter l'entreprise de droit congolais avec ses 3.000 travailleurs liés par contrat, ses 4.000 agents sous-traitants, soit, en prenant une moyenne de 5 membres de famille à charge, « environ 35.000 personnes directement ou indirectement dépendantes » de la firme. Qualifiant à juste titre celle-ci de « bon modèle de la coopération Sino-congolaise », le Bureau relève que « la société Sicomines SA a accordé des opportunités précieuses d'emploi aux jeunes congolais (...) jadis sans expérience professionnelle et rejetés par d'autres sociétés, faute de ladite expérience ». Ces jeunes, poursuit-il, sont fiers « de faire partie de cette société qui constitue », soutient-il, leur « principale source de revenus » et qui, en plus, leur « a tout appris grâce à un parfait programme de formation basé sur le transfert des connaissances et des compétences », allusion faite aux programmes de formation du personnel assurés à la fois en RDC et en Chine. Aussi, le Bps met-il l'accent sur la politique sociale ayant permis aux agents d'accéder à plusieurs avantages : paiement régulier des salaires et rémunérations, allocation d'une prime annuelle de performance, prise en charge médicale, allocation des frais de scolarité, allocation d'une prime spéciale pour la célébration de l'indépendance et une autre pour les fêtes de fin d'année. En plus, en exécution de son cahier des charges, Sicomines est constamment à l'écoute des communautés environnantes locales. D'où, la construction et l'équipement d'un complexe scolaire, d'un hôpital moderne au quartier Kapata, des routes, des fontaines d'eau, l’électrification des villages, etc.
« Depuis, le projet Sicomines SA a, d'une manière tangible, amélioré notre vie sociale », note le Bureau syndical permanent qui trouve dans la crédibilité de l’employeur et dans la stabilité de l’emploi la raison leur ayant permis d’accéder auprès des banques locales des crédits à la consommation, permettant à chacun de réaliser ses projets individuels. Au nom du principe sacré : « le Peuple d’abord » Or, ces efforts d'amélioration du quotidien des agents sont hypothéqués par des mesures prises par certaines entités qui exercent les pouvoirs publics. Le Bps l'exprime en ces termes : « Toutefois, il s'observe depuis septembre 2022, des « audits » fréquents que connaît cette société, ce qui nous met parfois dans des difficultés de faire face à nos engagements ». Et l’une de ces difficultés, sinon la première, est le blocage des comptes bancaires. «Oui, les conséquences du blocage des comptes bancaires de notre société sont visibles : il s'agit principalement de la grève potentielle à cause du retard de paiement de salaire avant le 26 mars et le risque d'un congé technique avec comme conséquences l'incapacité de chaque travailleur à subvenir aux besoins primaires de sa famille et le retour à la case de départ localisée dans une vie misérable », alerte le Bps qui déclare, en plus et pire : « De plus le mal que nous travailleurs essayons de voir de loin : c'est aussi le risque de la paralysie de toute la chaîne de production et l'approvisionnement par manque de réactifs et des consommables, l'incapacité financière de la société à payer ses fournisseurs et ses partenaires sociaux ». Aussi, demande-t-il au Chef de l'État, tant que faire se peut, de vouloir bien user de ses prérogatives constitutionnelles en vue de favoriser le déblocage des comptes de la Sicomines saisis par l’administration fiscale. Car, en plus de subvenir aux charges d’exploitation et aux charges sociales, les agents espèrent « recevoir une rémunération régulière et mener une vie décente et paisible ». Il est évident que le Bureau Permanent Syndical a fait le bon choix de frapper à la bonne porte, et tous les espoirs escomptés vont se concrétiser au nom du principe sacré « Le Peuple D’abord ». Une entreprise, c’est comme un Etat ou une famille. Elle n’a de sens qu’au travers de la présence humaine. La Pros.
Créée en mars 2022, à l’occasion de l'an un de son existence, La Fondation Mère des Opprimés (FOMOP) dirigée par madame Tirsa Bawayila et à l'occasion de la clôture du mois de mars dédié à la Femme, cette structure de bienfaisance a rendu visite le week-end dernier aux personnes vivant avec handicap (PVH) du centre FIRA, situé sur l'avenue Lusambu, dans la commune de Kintambo à Kinshasa. En effet, c'est fut une surprise agréable pour ces démunis, qui ont été servis avec un lot important de vivres et non-vivres aux mains propres de cette dame qui lutte jour et nuit pour la cause des faibles, accompagnée de son équipe. Les bénéficiaires ont salué et remercié le geste posé par la FOMOP et ont également fait part à celle-ci de quelques soucis quotidiens auxquels ils sont confrontés. "Nous sommes ravis de vous accueillir dans cet endroit, et nous disons un grand merci pour votre générosité de bien vouloir penser à nous. Que Dieu bénisse votre fondation, vos membres, vos partenaires et surtout à vous, madame Tirsa pour cette initiative louable. Nous sommes convaincus que ces présents ne vont certainement pas terminer nos soucis, mais ce qui compte le plus, c'est le cœur. Vous l'aviez fait avec amour, encore une fois merci à FOMOP. Si Dieu fait grâce, la prochaine fois, pensez à nous, en revoyant nos installations hygiéniques", a déclaré un bénéficiaire. Pour Tirsa Bawayila, c'était l'occasion de rendre gloire à Dieu. À l'en croire, en dépit des difficultés et autres obstacles, en une année grâce également aux différents partenaires notamment, la société Marsavco, cette Fondation a redonné le sourire aux veuves, aux orphelins et plusieurs personnes vulnérables à Kinshasa. "Mars 2022, mars 2023, une année après. Nous disons merci à Dieu, à tous ceux qui ont cru en nous. Là, je pense à nos partenaires en général, et en particulier, à la société Marsavco, autrement dit la gamme du maître, qui nous a non seulement fait confiance, mais aussi accompagné dans cette lourde responsabilité que moi personnellement, mon équipe et les membres de FOMOP, avions décidé d'assumer. Une année d'existence, ça se fête bien sûr, mais nous avons préféré la célébrer de cette manière, cela nous comble de joie de voir des personnes démunies sourire. Je profite de cette occasion pour lancer un appel aux personnes de bonne foi de venir nous accompagner, les portes de la FOMOP sont ouvertes à tous ", a indiqué La Fondatrice Tirsa. En outre, toujours dans le cadre des activités liées à une année d'existence de la FOMOP, une projection d'images des activités de cette Fondation depuis sa création jusqu'à ce jour est prévue au Centre Wallonie Bruxelles à Kinshasa dans les tout prochains jours. Raphaël Mansangu
La Vice-présidente de la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH), Me Joëlle Mbamba Kona, a clôturé, jeudi 30 mars 2023, la session de février 2023, en l'absence du Président Paul NsapuMukulu en mission à Genève, en Suisse. La cérémonie s'est déroulée au siège de cette institution d'appui à la démocratie dans la commune de la Gombe, à Kinshasa. 7 Commissaires sur les 9 ont pris part à la plénière, notamment les 3 membres du Bureau; outre la Vice-présidente, le Rapporteur et la Rapporteure adjointe. Le Rapporteur de la CNDH, le Professeur Dieudonné KalindyeByanjira, a, conformément à l'ordre du jour, invité le Président Paul Nsapua prononcer un mot depuis Genève, où il participe au 52ème Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies. Avec la délégation gouvernementale, Paul Nsapu a pris part au dialogue interactif sur la RDC. Outre les félicitations et encouragements adressés aux membres du Bureau, aux autres Commissaires, ainsi qu'aux cadres et agents de la CNDH, le Président Paul Nsapu leur a demandé à doubler les efforts pour réaliser un travail de qualité, afin de satisfaire le peuple qui attend beaucoup d'eux. « Ici à Genève, de nombreuses personnalités, présentes aux travaux, se battent pour arracher une rencontre avec le Président de la CNDH-RDC, invité, à tout moment, à présenter la vraie version de la situation des droits de l'homme dans le pays », a martelé le Président de la CNDH, dans son mot pendant la plénière de la clôture de cette session. Le Rapporteur de la CNDH est aussi intervenu pour procéder à la lecture du Rapport synthèse des matières alignées pendant la Session de février, alors que le Rapport détaillé sera débattu en Session extraordinaire prévue au mois d'avril prochain. Les points relevés dans ce rapport étaient entre autres, le recrutement des cadres et agents de la CNDH, les missions effectuées par les responsables et autres cadres de cette institution, l'état des lieux de la CNDH, le rapport annuel 2022 relatif aux activités de cette institution citoyenne, qui sera adopté au cours de la Session extraordinaire prévue au mois d'avril 2023. « Concernant l'état des lieux qui est en cours, le Président de la CNDH a visité dernièrement le siège national. Il a palpé du doigt l'état des infrastructures, du personnel, des finances et de la coopération avec les partenaires », a relevé le Rapporteur Kalindye. Dans son mot, la Vice-présidente a indiqué : « J'ai clôturé cette session en l'absence du Président en mission à Genève. Suivant le Règlement intérieur de la CNDH, lorsqu'il est absent, c'est le Vice-président qui assume l'intérim. Nous avons eu le rapport de la Session de février en 7 points inscrits à l'ordre du jour, lu par le Rapporteur, et le mot de la Vice-président pour la clôture. Pour finir, la providence a fait qu'une femme clôture cette session à la fin de ce mois dédié à la femme ». (La Pros. avec QOL.cd)
Les princes de l’Eglise catholique du Congo vent debout contre la Loi Tshiani, déposée par le député Nsingi Pululu et alignée récemment dans le calendrier de cette session de mars au niveau de l’Assemblée nationale. Au nom de la Conférence épiscopale nationale du Congo, Monseigneur Donatien Nshole a brisé l’omerta, le mercredi dernier, pour alerter sur cette initiative qui, d’après ses fermes convictions, menace et énerve la cohésion nationale et le vivre ensemble des congolais alors que ça brûle dans l’Est du pays, devenu aujourd’hui le théâtre des massacres des populations. Le chapelain du Pape craint que cette proposition de loi engendre la haine et, même, le mépris entre le peuple congolais. Pour lui, le patriotisme n’est pas corollaire à la question de la nationalité telle que soulignée dans la proposition de loi Tshiani. Il en appelle à la sagesse des élus du peuple pour sortir le pays de l’impasse qui saute yeux. « Cette loi est dangereuse à plusieurs titres. Elle menace la paix sociale parce que les personnes victimes de cette loi, ce sont des personnes portées par les communautés qui les reconnaissent comme étant les leurs. Cette loi est dangereuse même pour ceux qui sont au pouvoir parce que ça risque d’être une bombe contre eux-mêmes… Ce pays est devenu ce qu’il est aujourd’hui à cause des congolais de père et de mère. Le sang de Mamadou Ndala est en train de crier contre cette loi là. Mamadou Ndala, c’est un qui a versé son sang, il n’était pas congolais de père et de mère. Les congolais connaissent qui est qui, qui fait quoi. Alors, à eux de juger. Je ne pense que ce parlement aura un tel degré de légèreté », a-t-il déclaré. Même son de cloche chez le Cardinal Ambongo, qui attire l’attention de tous et de chacun sur les priorités essentielles du pays. Au cours d’une liturgie à laquelle il a pris part en début de semaine courant, il a exprimée toute son indignation après que l’Assemblée nationale a aligné cette initiative parlementaire. Gloire Mfemfere
‘’Il n’y aura ni négociation ni dialogue par ce moment en RDC’’, a déclaré l’honorable Laurent Batumona. Les élections en RDC, a-t-il confirmé, se tiendront en 2023. Une réponse de l’élu de la Funa aux multiples questions de la population de la Commune de Makala et aussi de nombreuses préoccupations du peuple congolais suite aux propos de détracteurs, qu’ils soient de l’opposition ou de l’étranger. C’était lors de sa visite dominicale à Makala, le Dimanche 19 mars 2023. A l’occasion, les mamans fidèles de l’Eglise catholique Sainte Claire de Makala se sont souvenues des bienfaits de l’honorable Laurent Batumona pour la population de cette municipalité et lui ont demandé de construire une Salle qui sera un monument pour lui, pour des générations futures. Il a présenté, séance tenante, un fils du terroir, en la personne de Jules Mukumbi, nommé par ordonnance présidentielle bourgmestre de la Commune de Matete. "Je confirme la tenue des élections le 20 décembre 2023 selon le calendrier arrêté par la commission électorale nationale indépendante. Qu’on ne vous trompe pas. Pour la présidentielle, c’est Félix Tshisekedi le candidat du MSC. Toutes les dispositions sont prises par le gouvernement et la Ceni qui organise les élections pour que nous ayons des élections plus apaisé", a affirmé l’Honorable Laurent Batumona devant les mamans de l’Eglise Ste Claire. Il a fait cette communication devant environ 500 femmes représentant les couches socioculturelles et politiques de la commune de Makala à Kinshasa. L’honorable Laurent Batumona a aussi affirmé le soutien du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), à la candidature de Félix Tshisekedi aux échéances électorales de 2023. ‘’Il n’y aura ni dialogue ni négociation. Il ne faut pas suivre la distraction des politiciens ; préparez-vous sérieusement aux élections’’. A cette rencontre, la situation de l’insécurité de kuluna a été soulevée par les mamans de Makala : ‘’Nous ne pouvons plus sortir à cinq heures pour aller à nos débrouilles, même les jeunes gens ont du mal de sortir aux bonnes heures à cause de kuluna qui sème l’insécurité. La police est complice et nous savons comment elle coopère avec les kuluna’’, s’est plaint une fille de la commune de Makala. Pour l’honorable Batumona, nous allons mener une démarche pour l’augmentation des effectifs dans les sous commissariats et le changement des policiers, pour assurer la sécurité et freiner l’élan du banditisme urbain. S’adressant à la population de Makala sur leur préoccupation concernant les infrastructures routières, il a, à cette occasion, confirmé la poursuite des travaux d’une série de projets entamés sur la ville jusqu’à leur aboutissement à partir du mois de mai prochain lors de l’inauguration de l’avenue Kikwit qui va relier la commune de Makala au camp Luka où un pont a été jeté sur financement du gouvernement sous l’impulsion du président de la République Félix Tshisekedi. Il a rappelé les travaux de réhabilitation de la route Elengesa qu’il avait entamé avec ses propres moyens pour permettre aux habitants de de Makala puissent circuler paisiblement avant que le financement de la Francophonie puisse venir achever les travaux. L’essentiel étant de noter que Kinshasa négocie un nouveau tournant décisif avec le Président Félix Tshisekedi : routes, écoles, hôpitaux et infrastructures sont en pleine construction à travers les 145 territoires. L’espoir est donc permis. La Pros.
A l’occasion de la clôture de la semaine du leadership au féminin organisée, du 22 au 28 mars 2023, par la coordination estudiantine de l’Institut facultaire des sciences de l’Information et de la communication, Patience Mashini, Cheffe des travaux, a appelé les étudiantes au pragmatisme, à toujours viser le meilleur et à aimer le sacrifice dans le travail pour se distinguer dans la société. Outre la clôture de la semaine riche en connaissance, c’était la commémoration de la naissance du professeur Malembe qui a totalisé 78 ans d’âge. Dans sa prise de Parole, la femme au parcours élogieux s’est exprimée en ces termes : «J’ai étudié dans un auditoire de plus de 450 étudiants avec 6 distinctions seulement, et j’étais la seule femme», a-t-elle révélé. Selon elle, cela était le fruit des encouragements de son professeur Jean-Richard Kambayi Bwatshia. Pourquoi ? Parce que le professeur me disait toujours, travaille pour distinguer et je l’ai fait, vous pouvez aussi le faire», a-t-elle lancé. Dans la même logique, Madame Mashini Patience les a conseillé à faire une étude de soi sur les forces et faiblesses, en anglais le SWOT (strengt, weakness, treats, and opportunity), qui se traduit par force, faiblesse, menace et opportunité. «Vous devez connaitre vos points forts et faibles, c’est comme ça qu’on se distingue dans la société. Dis-toi, je suis fort à telle et telle chose et non à telle autre, connaitre les contraintes et les opportunités que t’offre le monde extérieur. Les formations, adhésion dans les associations», a martelé l’oratrice. La journée s’est clôturée par la remise d’un trophée au recteur Jean-Richard Kambayi Bwatshia pour son dévouement à soutenir les activités estudiantines et la bonne gestion de l’institut. Le tout s’est clôturé par une photo de famille. Michel Onoseke
Tout a été mis en œuvre pour sauver ces nouveau-nés. Un avion médicalisé affrété par le gouvernement central via le ministre de l'Intégration régionale, Didier Mazenga, a été mis à la disposition des bébés siamois de sexe masculin, venus du Kwilu. Les prières de tous les croyants ont accompagné ces deux anges. Mais hélas, les voies du Seigneur sont insondables. Les deux bébés sont morts lundi 27 mars à la clinique Ngaliema à Kinshasa où ils étaient internés. La tentative de les séparer par une intervention chirurgicale, n’a pas abouti. Selon le médecin directeur de la clinique Ngaliema, Roger Kongo, qui livre l’information, le cas de ces siamois était plus complexe du fait des malformations cardiaques. «Ils sont morts alors qu’ils étaient encore en observation avant leur opération», a indiqué le médecin directeur de ladite clinique. Selon une première évaluation de l'équipe médicale sur place à Misay, ces deux enfants respiraient et avaient un battement de cœur. A l’aéroport national de Bandundu-ville, Dr Jean-Pierre Basake, chef de Division provinciale de la santé du Kwilu explique: «Les réanimateurs sont arrivés, ils ont évalué comme nous que les enfants sont accolés en thoraco-abdominal, ils respirent, les deux cœurs battent, parfois en synchrol ou un peu en déphasage. Il y a un qu’on a nommé J1, Jumeau 1 qui est vraiment normal jusqu’à même la saturation acceptable, mais l’autre, nommé J2, le jumeau 2, est en saturation de temps en temps ». Ces nouveau-nés siamois sont partis à Kinshasa accompagnés de leurs deux parents, et du Dr Augustin Anetubuna, médecin responsable du centre de santé de Misay, dans la zone de santé de Kikongo, dans le territoire de Bagata. Emma Muntu
Le Directeur général de la société TransAcademia, Georges Ongelo, a dévoilé l’application ‘’TransAcademia’’ le lundi 27 mars 2023, au cours d’une conférence organisée par la coordination estudiantine de l’Institut Facultaire des Sciences de l’information et de la Communication IFASIC, dans l’espace Professeur Malembe au sein dudit institut, pour permettre aux étudiants de créer leurs comptes, s’abonner, contrôler et assurer leurs mobilités. Intervenant pour débattre autour du thème : «L’éducation numérique pour l’épanouissement des femmes et filles en RDC», le numéro un du transAcademia n’a pas gardé secret la création de son application qui, selon lui, est une innovation numérique et est purement congolaise. ‘’TransAcademia’’, a indiqué M. Ongelo, est téléchargeable sur Playstore pour établir une communication numérique entre les étudiants et l’entreprise qu’il dirige. Cela, pour répondre à la question de paiement des frais d’abonnement qui s’élève à 375 FC la course. «Nous avons une application transAcademia, téléchargeable sur playstore, vous êtes appelés à créer un compte en mettant les informations vous concernant, qui doivent être identiques à celles de votre université. Parce l’université nous donne aussi les informations et cela pour raison d’exclusivité. Seuls les étudiants auront accès à bord de bus», a-t-il précisé. Parlant de l’importance de l’application, il renseigne qu’il y a la possibilité de contrôler l’utilisation des frais des courses à travers cette application. «Elle peut aussi vous localiser par Géolocalisation le lieu où est bloqué le bus en cas d’embouteillage. Vous pouvez accéder au bord de bus grâce à l’application sur votre téléphone en donnant votre code qui sera aussi dans l’application en cas de perte se votre carte et on continu de la développer», a-t-il déclaré. Le DG de TransAcademia a signifié que tout étudiant sera en possession d’une carte de TransAcademia portant son identité et le nom de son université, une fois qu’il s’enregistre. À la question de savoir la conséquence en cas de perte de la carte, il réagit : «La carte est valide pour une année académique, parce que, à chaque année vos données changent, la promotion change et consort. En cas de perte, vous pouvez accéder au bord de bus grâce à l’application sur votre téléphone en donnant votre code qui sera aussi dans l’application, en attendant une nouvelle carte de l’année en cours». Chutant dans son intervention, il a demandé aux étudiants de télécharger l’application et à s’identifier pour l’abonnement. Signalons que cette activité s’inscrit en marge du cinquantenaire de l’Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication IFASIC et de la clôture du mois de mars dédié à la femme. Michel Onoseke
Les Amis de Socrates Mubengaie savent honorer les mamans. Comme chaque année, le mois de mars consacré à la promotion des droits de la femme est une occasion que saisissent les hommes bien éduqués et sensibles d’écouter la femme et célébrer ses nombreux bienfaits dans la société. C’est dans cette logique que l’asbl ‘’les Amis de Socrates Mubengaie’’, chapeautée par son initiateur qui porte le même nom, a bien compris l’importance de la gent féminine. En ce troisième mois de l’année 2023, les membres de cette structure sociale ont effectué une descente au quartier Ndjili Kilambo dans la commune de Mont-Ngafula où ils ont communié avec les femmes. Accueilli en triomphe à son arrivée, l’autorité morale de « ASM » et sa compagne Madame Grâce Mubengaie, sans oublier les membres de cette asbl, ont marché sur une longue distance sous les ovations du public qui les attendait depuis les petites heures matinales. Visiblement, c’était un moment de joie, ponctué par des chants d’allégresse et de bienvenue. Dans le mot de bienvenue, les mamans de Ndjili Kilambo dont la joie était débordante et palpable ont expliqué en détail les défis auxquels elles font face dans leur vie quotidienne. Ces difficultés sont d’ordre socio-économique mais également socio-culturel. Elles ont souhaité acquérir un centre d’alphabétisation fonctionnel qui pourrait faciliter la formation professionnelle d’un certain nombre d’activités génératrices de revenus afin de diminuer tant soit peu la misère dans cette communauté, ont-elles conclu. Attentif, réceptif et sensible à la douleur sociale de « ses mamans », Maître Socrates Mubengaie, autorité morale de l’ASM dit avoir tout entendu et noté au fond de son cœur. L’heure n’est pas au discours ni à des promesses fallacieuses, a-t-il ajouté. Le centre d’alphabétisation fonctionnel a particulièrement retenu son attention ainsi que la mutuelle de santé, aussi demandé par les mamans de Ndjili Kilambo. Si Mont-Ngafula compte beaucoup de quartiers, son choix ce jour s’est porté sur Ndjili Kilambo pour être à l’écoute. Ouvrant sa gibecière, le Joker de la République a distribué des pagnes à toutes les mamans présentes dans une grande réjouissance. Il a promis de revenir très prochainement afin de soulager les mamans suivant leur requête sociale. C’est par un pas de danse que tout s’est terminé lors de cette rencontre, la première du genre et certainement pas la dernière. MB
Le Président de la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH), Paul Nsapu Mukulu, a participé, ce mercredi 22 mars 2023, à l'atelier « Légitimation de la Loi portant protection et responsabilité du défenseur des droits de l'homme (DDH) » avec les Sénateurs, au Centre Carter, à Kinshasa. Une rencontre initiée par les organisations de la société civile notamment la Voix des Sans Voix (VSV), le SOS IJM et le Service international pour les droits de l'homme (SIDH), dont des Sénateurs et Députés nationaux, ainsi que certains acteurs de la société civile ont pris part. Union des forces et des stratégies Lors de ces assises, Paul Nsapu a signifié qu’« il sera donc question pour les organisateurs de mettre en place des stratégies efficaces avec les sénateurs dans le but d'en faire un suivi régulier en mettant en place un plan de plaidoyer global et inclusif par des actions orientées vers les parlementaires et le ministère des droits humains, en collaboration avec les partenaires techniques et financiers ». Il a, en outre, souligné que: « La CNDH demeure intéressée et engagée dans ce processus et attend dans la même logique que celle-ci, réunisse une délégation des parlementaires (Députés et Sénateurs), des représentants du Gouvernement et des institutions publiques (Ministères de la Justice, Droits humains et services publics), des défenseurs des droits humains et des représentants des missions diplomatiques pour engager un débat public, et favoriser les échanges sur ce plaidoyer législatif essentiel et prioritaire en matière des droits humains, d'une part, et d'autre part, pour constituer une équipe forte de suivi pour le plaidoyer législatif en RDC ». Pour lui, « il sera aussi question de mettre en œuvre l'utilisation de nos carnets d'adresse parlementaires et diplomatiques pour cette fin. J'en appelle donc à l'union des forces et des stratégies ». Responsabilités Le Président de la Commission permanente des Droits de l’Homme de l'Assemblée nationale, le Député Simon Pierre Yananio, est intervenu pour relever que ce projet de loi déjà adopté au niveau de la Chambre basse a été faite de manière à protéger les défenseurs des droits de l'homme, mais aussi de les mettre devant leurs responsabilités. « La vision pour la RDC est de faire des droits de l'homme une priorité pour les actions engagées au niveau de l'Etat et au niveau des associations », a précisé le Député National Simon Pierre Yananio. C'est ainsi qu'il a plaidé auprès des sénateurs, présents à l'atelier, de faire d'urgence pour examiner ce projet de loi au niveau du Sénat, et l'envoyer au Président de la République pour sa promulgation. Plaidoyer Un plaidoyer approuvé par le Président de la Commission Politique, Administrative et Juridique (PAJ) du Sénat, le Sénateur Jean Bakomito. Ce dernier a pris l'engagement, ensemble avec les autres Sénateurs présents à la rencontre, pour la plupart membres de cette commission PAJ, de travailler pour que ce projet de loi soit inscrit au cours de session, pour son examen au Sénat. Le coordonnateur de SOS IJM Justin Bahirwe, la représentante du SIDH, Mme Adélaïde, ainsi que le représentant du directeur du Bureau conjoint des Nations Unies pour les Droits de l'Homme, Hamidou Ngapnah, et le Directeur exécutif de la VSV, Ronstin Manketa ont tous plaidé en faveur du vote de la proposition de loi portant protection et responsabilité du défenseur des droits de l'homme au Sénat en RDC, au cours de sa session de mars 2023 récemment ouverte. LP/Cellule de communication CNDH
Ça y est ! La communauté baha’ie de la République Démocratique du Congo a inauguré la Maison d’adoration nationale ce samedi 25 mars 2023, dans la périphérie de la ville de Kinshasa, au cartier SICOTRA de la commune de la N’sele. Cette cérémonie d’inauguration a connu la participation de plus de deux mille personnes de toutes catégories sociales. Des représentants étatiques, de la société civile, parmi lesquels une diversité de confessions religieuses ayant un grand encrage dans la société congolaise, sans oublier la communauté baha’ie venue de tous les coins de la RDC et d’une trentaine de pays de cinq continents ainsi que des hommes, femmes, enfants, jeunes et vieux ; des milieux urbain et rural, ils étaient les premiers à offrir des louanges au bon Dieu, dans ce magnifique cadre de la Maison d’Adoration Nationale. Cette cérémonie a été marquée par trois temps forts. L’adresse de l’Assemblée Spirituelle Nationale des Baha’is de la RDC, le message de la Maison Universelle de Justice, institution suprême de la communauté mondiale baha’ie et le service dévotionnel offert au sein de la maison d’adoration. Tout en décrivant succinctement la portée de la foi mondiale baha’ie, le premier temps fort a constitué un survol de l’historique de la communauté baha’ie en RDC et celle du processus ayant conduit à l’érection de la Maison d’Adoration Nationale de la RDC. Mot du Coordonnateur national Le Coordonnateur de l’Assemblée spirituelle nationale des Baha’is en RDC, Lem’s Kamwanya, a signifié que l’érection de la Maison d’adoration est la concrétisation d’une recommandation spirituelle de Baha’u’llah. « En effet, sa sainteté Baha’u’llah, en tant que messager de Dieu pour notre époque, a apporté de nouveaux enseignements spirituels révélés des lois et des Ordonnances. Parmi elles, celle enjoignant aux hommes de multiplier des maisons d’adoration comme lieux par excellence de la louange et de la glorification de Dieu», renseigne-t-il. Et de renchérir : «La Maison d’adoration, telle que nous la voyons ici devant nous, en tant qu’une des ordonnances divines, ne peut pas être considérée comme un bâtiment ordinaire ou comme tout autre lieu du culte que nous avons l’habitude de fréquenter. Il s’agit d’un édifice particulier, spécialement chargé en potentialités spirituelles». Un temple, un phare de lumière Quant au deuxième temps fort, lu par Mme Melanie Bangala, du Corps continental des Conseillers de la foi baha’ie, c’est un message d’encouragement à la communauté baha’ie de la RDC, pour les efforts fournis dans la propagation des enseignements de Baha’u’llah durant les sept dernières décennies. Un accent particulier a également été porté sur le rôle transformateur que devrait jouer la Maison d’Adoration Nationale à Kinshasa et en RDC de manière générale. «Que votre première maison d’adoration soit un phare de lumière. Que ses murs résonnent les mélodies des paroles de Dieu ; qu’elle inspire les actes nés d’une foi véritable ; qu’elle offre la paix et la tranquillité à chaque âme qui y entre et qu’elle diffuse la lumière de la félicité universelle sur toute la ville de Kinshasa et sur toute la nation de la République démocratique du Congo », a-t-elle dit. Pour ce qui est du troisième temps fort, il sied de retenir l’atmosphère paisible dans lequel on s’immerge dans la maison d’adoration. Avec des chants de méditatif entonnés en chœur ainsi que les prières dites dans différentes langues et la lecture des extraits des écritures saintes tirés du Coran, des Evangiles et du kitab-i-Aqdas, le livre saint baha’i. Ouverture à tout le monde Les maisons d’adoration bahá’íes sont ouvertes à tous pour venir prier, méditer et se ressourcer. Les programmes proposés consistent en des prières et des lectures choisies dans les textes saints de toutes les religions. Le chant choral y est également pratiqué. Il n’y a ni sermons, ni rituels, ni clergé officiant dans ces maisons d’adoration. Les prochaines maisons d’adoration seront érigées à l’échelle nationale ou locale, là où deux aspects essentiels et indissociables de la vie bahá’íe sont développés : l’adoration et le service. Ces édifices, entièrement consacrés au souvenir de Dieu, créent en effet une interaction dynamique entre l’adoration et les actions de service entreprises en vue d’améliorer les conditions spirituelles, sociales et matérielles de la société. De ce fait, des équipements sociaux, médicaux, éducatifs, humanitaires et scientifiques sont construits autour des maisons d’adoration pour développer le bien-être collectif. Zoom sur la foi baha’ie La foi bahá’íe est une religion mondiale et indépendante. Son histoire débute en Perse en 1844. Son fondateur est Bahá’u’lláh(1817-1892) – nom persan qui signifie la « Gloire de Dieu » –, un noble persan qui a proclamé être le porteur d’une nouvelle révélation, un nouveau message divin, dont la finalité est d’établir l’unité des peuples de la terre. Au cœur de son message se trouve la conviction que l’humanité forme une seule et même famille et que le moment est venu pour elle de s’unir en une société mondiale. Ceci implique une transformation des individus et des relations qui structurent la société. Dans les aspects spirituels et matériels de leurs vies, les bahá’ís s’efforcent de mettre en pratique les enseignements de Bahá’u’lláh, tels que :– l’âme rationnelle n’a ni sexe, ni race, ni ethnie, ni classe, ce qui rend inadmissible toute forme de préjugés ; – Dieu est un, au-delà des diversités culturelles et des interprétations humaines et toutes les religions du monde sont les expressions successives d’une seule et même foi ; – la religion et la science sont deux systèmes complémentaires de connaissance et de progrès pour la civilisation. Après 180 ans d’existence, la foi bahá’íe compte plus de six millions de croyants appartenant à plus de 2 100 groupes ethniques, et répartis dans plus de 235 pays et territoires dépendants, ce qui en fait la deuxième religion géographiquement la plus répandue après le christianisme. Ses écrits sont traduits dans plus de 800 langues. MB
L’un des grands combattants qui ont avec bravoure lutté pour la démocratie en République démocratique du Congo, nationaliste, Constant Mbala est un congolais né à Kinshasa. Après ses études à l’étranger, l’homme est revenu pour contribuer à l’émergence du pays. Actuellement, il est à la tête d’une ASBL dénommée ‘’Tshangu En Avant”, laquelle met en avant le développement de Tshangu, de la ville de Kinshasa, et de la RDC en général. Il a fait de son ASBL une structure qui facilite le contact direct avec la population à travers des activités de terrain sous le nom “RENCONTRE AVEC LA BASE”. En décembre prochain, il annonce sa candidature à la députation nationale et provinciale dans la circonscription électorale de Tshangu. Une fois élu, Constant Mbala prévoit d’accomplir fidèlement son devoir de représentant du peuple au sein du parlement, avec des initiatives qui mettent en exergue le bien-être de la population. Dans son méga projet dévoilé tout récemment, il promet de rester toujours aux côtés de sa base à Tshangu et être accessible à tout moment à la différence des autres, même après son élection. Ci-dessous, retrouvez l’illustration de son projet durant son mandat. PROJET N° 1 • Proposition d’une résolution sur la construction de l’aéroport de n’djili qu’on va dénommer aéroport international patrice Emery Lumumba. • Avec des restaurants, des hôtels, des parkings, etc.… • Ceci va développer Tshangu, Kinshasa, et la RDC. • Avantage de créer l’emploie pour les résidants de Tshangu et des kinois. PROJET N° 2 • Proposition de loi portant financement de Congo Airways • Achats de deux nouveaux avions chaque année pour faire du Congo le centre d’Afrique. • Avantage de décentraliser le pays et de créer les emplois. PROJET N° 3 • Soutien total à la gratuité d’enseignement et a la réforme de notre système éducatif. PROJET N° 4 • Proposition de loi sur la création d’un task-force du sport congolais chargé du contrôle et de l’évolution du sport au Congo. PROJET N° 5 • Proposition de loi sur la création d’un task-force culturel au Congo chargé du control et de l’évolution de la culture congolaise (music et autres) PROJET N° 6 • Désenclavement des entrées de Tshangu en militant pour la mise en place des systèmes de signalisation et ouvrir les entrées comme Petro-Congo afin de permettre la fluidité de la circulation PROJET N° 7 • Création d’une académie des sports pour les jeunes de Tshangu Qui est-il réellement ? Né à Kinshasa, Constant Mbala est un enfant de Tshangu. Il a résidé au Quartier Télévision, au Quartier Imbali, et au Quartier Sans-Fil à Masina. Il a aussi résidé au quartier 8 à Ndjili sur le Boulevard Lumumba. Baptisé Chrétien, il est membre de l’Église Francophone l’Ache de l’Éternel. Après la maternelle faite au Collège Malula à Limete, Primaire à l’EP I Bambous, Secondaire: (1-4) à Institut LISANGA (Mgr BOKELEALE) à Gombe, il a décroché son diplôme d’Etat à l’Institut CBCO Sona Bata au Kongo Central. Détenteurs de plusieurs diplômes académiques, Constant Mbala est passé par l’École Nationale des Finances (Informatique des Finances), George Washington University à Washington DC aux Etats-Unis et Fédération Américaine de Football (soccer) où il rafle un diplôme d’entraîneur de football senior. La Pros.