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Kinshasa : les femmes maraîchères de Masina, Kimbanseke, Lemba, N’djili et Mikonga ciblées pour un projet de la culture des champignons comestibles

Femme main dans la main pour le développement Intégrale (FMMDI) et Fondation Challenge Futura, deux organisations non gouvernementales, respectivement de la République Démocratique du Congo et du Congo-Brazzaville veulent mettre au point à Kinshasa un projet de la culture d'une variété de champignons comestibles en faveur des femmes maraîchères de quelques localités agro-pastorales de la capitale de la RDC.
Dénommé « Femmes, Myciculture et Développement », ce projet va être lancé incessamment et devrait aider à accroître notamment la santé des personnes vulnérables.
Les responsables de ces deux organisations discutent depuis ce mardi 09 Mai à Brazzaville sur les derniers détails administratifs avant le démarrage des activités et ce, après qu'ils aient regroupé à Kinshasa le week-end dernier, les bénéficiaires à qui, ils ont expliqué les péripéties de cette initiative agricole.
Il était question à l'étape de Kinshasa d'identifier les besoins spécifiques, le niveau de vulnérabilité, de fragilité et de pauvreté de ces femmes maraîchères au cours des échanges interactifs, à en croire Nathalie Kambala Luse, directrice-pays de l'ONG Femmes main dans la main pour le développement intégral FMMDI.
Durant le projet, indique-t-on, les femmes maraîchères bénéficiaires identifiées dans les coopératives à Nzenze landu à Masina, Kimbanseke, Ndjili, Mikonga et Lemba devront être formées, bénéficieront des semences et de l'accompagnement en vue de produire les champignons de qualité.
Van Frédéric Tshilanda

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Demba : des prévenus emprisonnés sans procès faute de magistrat

*Des justiciables arrêtés puis tenus en détention sans procès ni décision de justice. Cela se passe dans la prison de Demba au Kasaï Central où les personnes présumées être en conflit avec la loi passent plusieurs jours, voire des mois, détenus dans cette maison carcérale territoriale située à près de 65 km de la ville de Kananga, sans être fixées sur leur sort.
La situation date d’il y a plus de deux ans et serait consécutive à l’absence de magistrat dans cette entité qui relève du parquet de grande instance de Tshimbulu.
La société civile locale qui s’inquiète du sort réservé à l’état de droit relève également l’absence des infrastructures comme une autre difficulté qui jonche le fonctionnement de la justice dans cette partie du pays.
« Le cachot du commissariat territorial de la police nationale congolaise où sont censés être détenus préventivement les prévenus pendant les enquêtes policières (phase pré-juridictionnelle ) est complètement délabré comme l’est également la prison de Demba où sont envoyés les présumés infracteurs » ,souligne Marcel Masanka Kabalu, Coordonnateur de la Nouvelle société civile congolaise à Demba qui craint le pire pour le personnel administratif du commissariat de cette entité, logé également dans un bâtiment vétuste.
« Après la délocalisation du cachot du commissariat territorial de la PNC/Demba vers la prison de ce territoire compte tenu de son état vétuste, les OPJ et agents du bureau du commissariat restent encore y travailler malgré les risques possibles d’écroulement des murs. Plutôt que de venir déplorer les morts, le gouvernement et ses partenaires doivent construire, dès à présent, de nouvelles infrastructures car, qu’il s’agisse du cachot où de la prison, tout est en état d’effacement “, alerte-t-il
Le coordonnateur territorial de la Nouvelle société civile évoque l’urgence et la nécessité d’affecter un magistrat à Demba pour fixer sur les sorts des personnes inculpées.
Pour Marcel Masanka, « incarcérer sans procès est contraire à l’état de droit ».
Van Frédéric Tshilanda à Kananga

Demba : des prévenus emprisonnés sans procès faute de magistrat
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Vient de paraître : ‘‘Noir est le Dieu d’Israël’’ de l’écrivain et penseur libre Léonard Daro

L’ouvrage ‘’Noir est le Dieu d’Israël’’ vient de paraître aux éditions Croix du Salut. Œuvre de l’écrivain Léonard Daro, ce livre coiffe quelques belles histoires racontées dans la bible et explore des découvertes scientifiques. Contrairement aux légendes et à tous les récits scientifiques, Léonard Daro pense que tous les personnages bibliques, y compris Jésus-Christ, étaient des noirs. L’ouvrage est disponible en ligne à moindre coût. Il suffit de taper ‘’Noir est le Dieu d’Israël’’ sur Google pour suivre toutes les procédures.
Il soutient également que les Egyptiens antiques ainsi que les constructeurs des pyramides étaient des noirs. Cela est prouvé, entre autres, par l'historien grec Hérodote qui, cinq siècles avant Jésus-Christ, affirmait que les Egyptiens avaient la peau noire et les cheveux crépus et par le savant Sénégalais Cheikh Anta Diop qui, par les traces de mélanine trouvées sur les momies égyptiennes, a pu confirmer que les Egyptiens antiques étaient effectivement des nègres.
De là, l'auteur a remonté l'histoire jusqu'aux origines des Egyptiens dont l'ancêtre commun, selon la Bible, était Misraim, petit-fils de Noé. ‘’Puisque Misraim était noir, cela veut dire que Cham, son père, Noé, son grand père, et tous leurs ascendants jusqu'à Adam l'étaient aussi. Cela veut dire également que ses frères: Canaan, Cusch et Put étaient indéniablement comme lui. Or, Cusch étant l'ancêtre commun des Ethiopiens et Soudanais, Put l'ancêtre commun des Libyens et Canaan celui de Mésopotamiens, il va de soi que tous ces peuples avaient en commun, à l'époque, leurs caractéristiques négroïdes.
A sa sortie de l'arche, Noé avait trois fils: Cham, dont nous venons de parler ci-dessus, Sem et Japhet. Puisqu'on dit de Japhet qu'il était albinos, Sem devait être naturellement noir comme son père. Or, Sem est l'ancêtre d'Abraham, ancêtre commun de tous les Juifs dont parle la Bible. Et l'auteur de conclure que les personnages comme Isaac, Jacob, Moïse, David, Salomon, ainsi de suite, jusqu'à Jésus-Christ étaient tout simplement noirs’’, soutient l’auteur.
Par ailleurs, l'auteur relève que la Bible nous renvoie sans cesse à l'homme noir par des comparaisons à peine perceptibles. Par exemple, lorsqu'elle compare les cheveux des gens à de la laine. La laine n'étant rien d'autre que les poils de mouton, il devient facile de comprendre que cette comparaison renvoyait plutôt aux cheveux crépus dont parlait Hérodote. De même, la Bible compare la couleur des gens et même des anges à de l‘airain. Or l'airain est synonyme de bronze. Et le bronze est le métal utilisé pour la fabrication des statues comme celle de Patrice Emery Lumumba à Limete et celle de Laurent Désiré Kabila devant le Palais de la Nation. Il n'y a qu'à observer la couleur de ces statuts pour comprendre à quoi faisaient allusion les rédacteurs de la Bible.
Enfin, l'auteur relève que la Bible a, à plusieurs reprises, préféré se référer aux Egyptiens pour éviter de souligner le caractère négroïde de ses héros. Tel est le cas de Joseph et du peuple hébreux en Egypte (Gn 50: 11), de Moïse (Ex 2:16-19) et de l'apôtre Paul (Ac 21:36-37). Comme nous savons maintenant que les Egyptiens étaient noirs de peau, nous pouvons affirmer aujourd'hui que tous ces gens étaient de peau noire.
Notons que la publication de ce livre a bouleversé l'opinion occidentale, au point que le Président russe, Vladimir Poutine, n'a pas hésité à enfoncer le clou en dévoilant lui-même les vieilles images de l'église catholique orthodoxe montrant un Jésus tout noir.
Grâce Daro

 

Vient de paraître : ‘‘Noir est le Dieu d’Israël’’ de l’écrivain et penseur libre Léonard Daro
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UPN : Raphaël Bukasa prêche l’importance de la certification internationale aux étudiants

A l’occasion d’une conférence organisée par le département de ‘’Math Info’’, en collaboration avec la coordination estudiantine et l’union des délégués départementaux de l’Université Pédagogique Nationale, UPN, vendredi 5 mai 2023, Raphaël Bukusa, intervenant sur le thème ‘’Maximisation des chances d’embauche et montée en promotion par les certifications internationales’’, a démontré, avec des mots justes, l’importance d’une certification internationale dans l’embauche et la promotion dans les milieux professionnels aux étudiants. Il leur a demandé de poursuivre les démarches pour l’obtention d’une certification internationale dans divers domaines de leurs formations, outre leurs diplômes universitaires, pour maximiser leurs chances d’embauche sur le marché d’emploi et la promotion dans le milieu du travail.
Ç’aura été une conférence riche en enseignements pour les étudiants de diverses facultés et départements de la colline fertile de Kinshasa. M. Bukasa a également expliqué la concurrence qui bat record sur le terrain de recherche d’emploi dont une formation supplémentaire, suivie d’une certification internationale parait salvatrice.
«Dans le marché du travail chaque année, l’UPN n’est pas la seule université à larguer plusieurs licenciés. L’UPC, l’UNIKIN lancent aussi les leurs. Alors, il faudrait une grande différence des compétences et cela n’est possible que si l’on a un certificat international sur un métier, surtout sur le besoin réel de l’entreprise et cela permettra à l’étudiant de trouver du travail, au-delà de ce qu’on appelle le circuit aujourd’hui», a-t-il soulevé.
De renchérir : « J’invite les étudiants à ce qu’ils se jettent là-dedans, à pouvoir se lancer dans cette aventure qui ne pourra être que payant parce qu’il n’y a aucune personne qui s’est certifiée et qui n’a pas vu les fruits de ce certificat-là. C’est les éléments qui marquent la différence des compétences et permet à l’étudiant d’attraper facilement le travail au-delà de ce qu’on appelle le circuit. Ce n’est pas tout le monde qui est frère, sœur à un tel. Et avec ces certifications internationales, vous avez plus de chances d’attraper le travail », a-t-il rassuré.
Michel Onoseke

UPN : Raphaël Bukasa prêche l’importance de la certification internationale aux étudiants
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Kinshasa : Marcel Kanku Ntalaja largue un nouvel ouvrage scientifique sur le marché

Le professeur associé Marcel Kanku Ntalaja a publié, le jeudi 27 avril 2023, à l’espace Malembe de l’Institut facultaire des sciences de l’information et de la communication IFASIC), un nouvel ouvrage scientifique intitulé "Santé publique et communication pour une transformation sociale".
Cet ouvrage scientifique contient 150 pages au moins et il est divisé en trois chapitres. Le premier chapitre porte sur les précisions épistémologiques, c’est un chapitre qui prend en charge la clarification de concepts essentiels de la santé. Le deuxième chapitre porte sur les compétences de la communication, tandis que le troisième chapitre s’est appesanti sur certaines attitudes.
Devant le recteur de l’IFASIC, Jean Richard Kambayi, le corps académique et les étudiants, la professeure ordinaire et le doyen à la faculté des Sciences de l’information, Espérance Bayedila a précisé que cette œuvre a été écrite dans l’objectif de répondre aux principales questions de la population congolaise ayant un rapport avec la dégradation du système sanitaire en République Démocratique du Congo.
Dans son exposé, Marcel Kanku Ntalaja a fait savoir qu’en RD-Congo, le système sanitaire s’est dégradé, l’accès aux soins de santé primaire n’est pas à la portée de tous. Les maladies jadis éradiquées ont refait surface, fragilisant ainsi la sécurité du système sanitaire. Pour faire face à toutes ces endémies, il a été créé un Programme National de Communication pour la Promotion de la Santé PNCPS), un des remèdes efficaces pour informer sur le mode de transmission et de prévention contre les différentes pathologies.
Le géniteur de cette œuvre a estimé ceci : «Nous avons souvent des structures qui s’occupent de la communication pour la santé, on n’a même tout un programme à la promotion de santé. Mais, malheureusement, les communicateurs en santé ne sont pas très outillées». D’après lui, aujourd’hui, l’information de santé fait face à des rumeurs ; au lieu d’agir, l’information de santé réagit. Pour pallier à tout cela, il faut que les communicateurs de la santé soient d’abord, informer et puis, aller informer. «Dans ma conclusion, j’ai dit : le travail de communicateurs de santé consiste en deux temps, s’informer et aller informer. C’est lorsqu’on est bien informé qu’on peut maintenant porter le message pouvant amener la population à adopter les différentes recommandations. En effet, la communication en santé ne vise qu’un seul objectif, le changement de comportement et de la mentalité », a-t-il clarifié.
Rappelons que Marcel Kanku est docteur en sciences et techniques de l’information de l’IFASIC/Kinshasa-RDC et auteur de quelques articles scientifiques notamment, Vulgariser sans être vulgarisé ; Communication dans le sport ; Pratique du journalisme en RDC.
Hénoc Akano

 

Kinshasa : Marcel Kanku Ntalaja largue un nouvel ouvrage scientifique sur le marché
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Kinshasa : Charles Mbutamuntu satisfait et réconforté du déroulement des assises

Le Ministre Provincial en charge de l'Éducation de la Ville de Kinshasa, Charles Mbutamuntu Lungwa, est sorti heureux et satisfait du bon déroulement de la première journée des épreuves hors session de l’Examen d’Etat édition 2022-2023. C’était à l’occasion du lancement officiel de ces examens, procédé par la Vice-Ministre de l’Enseignement Primaire secondaire et technique (EPST), Aminata Namasia, le lundi 8 mai 2023 au Complexe scolaire Marie Immaculée, dans la province éducationnelle de Plateau situé dans la commune de N’sele.
Tel que prévu dans le calendrier scolaire 2022-2023, les épreuves hors session de l’Examen d’Etat ont été bel et bien lancées par la Vice-Ministre de l’Enseignement Primaire secondaire et technique (EPST), Aminata Namasia, qui a valablement représenté le Ministre de l’EPST en mission, à Londres où il participe au Forum Mondial sur l’Éducation, représentant le Gouvernement congolais. Accompagnée de l’Inspecteur Général de l’EPST, Monsieur Jacques ODIA ainsi que le Directeur de cabinet adjoint du Ministre, Daniel Ebondo, la Vice-Ministre de l’EPST, a avant de remettre symboliquement des items de la dissertation aux finalistes, elle a visité des locaux d’examens.
Après un accueil chaleureux réservé à la Vice-Ministre de l’ESPT par les élèves récipiendaires, le Ministre provincial en charge de l’Education de la Ville de Kinshasa, Charles Mbutamuntu, se dit satisfait et réconforté de voir que la Vice- Ministre procède au lancement officiel de ces épreuves à Kinshasa. «Nous sommes réconfortés que vous soyez déplacée personnellement pour lancer à Kinshasa ces épreuves dans un contexte particulier, surtout dans la province éducationnelle du plateau où nos enfants ont connu quelques perturbations suite aux conflits qui dérangent leur scolarité. Voilà pourquoi, nous sommes très honorés et satisfaits de votre présence», a-t-il exprimé.
Dans la foulée, le numéro 1 de l’éducation dans la ville-province de Kinshasa, a indiqué que sa province a présenté un grand nombre de participant, soit 140. 800 finalistes pour cette édition de l’Examen d’Etat.
Par la suite, Aminata Namasia a signalé que 985 497 candidats sont inscrits à la dissertation pour l’édition 2022-2023, contre 918 620 pour la précédente édition. Elle en a aussi précisé que, pour la fin du cycle des humanités 43,6% des filles sont inscrites, une chose qu’elle encourage. Ainsi, ces candidats sont repartis dans 2 827 centres disséminés sur toute l’étendue de la République.
Ronsard Malumalu

Kinshasa : Charles Mbutamuntu satisfait et réconforté du déroulement des assises
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TRANSCO : Cyprien Mbere inaugure officiellement la cantine sociale

C’est dans le but de répondre aux besoins de première nécessité des agents et cadres de Transco que le Directeur Général de cette Société, M. Cyprien Mbere Moba, a procédé, vendredi 28 avril 2023, à l’inauguration officielle de la cantine sociale. C’est au dépôt II, à la 18ème rue Limete, que la cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs membres du personnel de cet établissement public.
Plaçant un mot à cette occasion, Cyprien Mbere a précisé que cette action s’aligne dans la perspective de répondre aux besoins fondamentaux des Cadres et Agents œuvrant dans cet établissement.
Attendant diversifier les produits, le numéro un de TRANSCO a fait savoir que seuls les sacs de Riz et de semoule sont disponibles pour tout le personnel de TRANSCO.
Pour sa part, le président de la délégation syndicale, M. Guelord Mwambayi avec son équipe, a rendu hommage au DG Cyprien Mbere pour les innovations qu’il ne cesse d’apporter pour l’émergence de cet établissement.
Quant à eux, les agents ont saisi l’occasion pour rendre hommage au Chef de l’Etat pour son choix porté sur la modeste personne de Cyprien Mbere à la tête de TRANSCO, qui ne cesse de les surprendre et de les émerveiller depuis son avènement.
Cette cantine sociale de TRANSCO met en vente un sac de Riz de 25kg à 42.000fc, au lieu de 55.000fc. Et un sac de Semoule 25kg, revient à 44.000fc au lieu de 58.000fc.
Israël Mpoyi

TRANSCO : Cyprien Mbere inaugure officiellement la cantine sociale
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Coopération internationale : Cadres et agents des Structures Standards dans un sit-in devant le bâtiment du Secrétariat général

« Trop c’est trop. Seize mois d’attente sans être notifié et mis en service. C’en est fini », rétorquent les cadres et agents ayant réussi au concours de la deuxième vague en 2016 et affectés au Secrétariat général de la Coopération internationale, suivant l’arrêté ministériel n°008 CCAB.VPM/FP-MA-ISP/JPL/2022 du 27 Janvier 2022 du VPM Fonction Publique Jean-Pierre Lihau.
Et ce, en conformité du Décret n°15/043 du 28 décembre 2015, portant fixation du Cadre Organique des Structures Standards à Compétences horizontales communes à toutes les administrations centrales des Ministères, Institutions et services publics.
D’après ces cadres et agents de carrière de service public de l’Etat, ils subissent injustement les caprices d’un Secrétaire général qui a l’intention délibérée d’anéantir leurs carrières au profit des intérêts égoïstes et mesquins.
Pour la cause noble de ses affiliés, le président national du Syndicat « Transparence et Justice Sociale TJS », M. Henri- Paul Kana Kana déclare être déterminé d’aller jusqu’au bout de la logique, en usant de toutes les voies légales afin que ces fonctionnaires de l’Etat en chômage depuis seize (16 mois) obtiennent gain de cause.
Il faut noter que dans le lot, il y a des directeurs chefs de service, des Chefs de division, des Chefs de Bureau ainsi que des Attachés d’administration 1ère classe qui sont venus des provinces mais, qui ne peuvent rien bénéficier de leurs anciennes administrations qui les a coupés de tous les avantages sociaux qu’ils avaient auparavant.
C’est pour dire que tout en étant parents, ils mènent une vie des clochards (sans subsides) dans cette ville-province de Kinshasa.
Aux dernières nouvelles, ces infortunés fonctionnaires de l’Etat auraient été reçus par le Secrétaire général à la Coopération Internationale qui a promis de les notifier et les mettre en service dès cette semaine du 8 mai, rapporte le syndicat TJS.
Ayant été floué à maintes reprises, ils attendent maintenir la pression jusqu’à ce que le SG à la Coopération Internationale passe à l’acte, a lâché un des manifestants.
E.M

Coopération internationale : Cadres et agents des Structures Standards dans un sit-in devant le bâtiment du Secrétariat général
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