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Sommet Chine-Afrique : quelles retombées pour la RDC ?

(Par Eric Kamba, Analyste de la Géopolitique, Coordonnateur de CADA)

Les rideaux se sont fermés sur la grand-messe Chine-Afrique qui a eu lieu à Beijing du 4 au 6 septembre derniers.  L’heure est au bilan de ce haut Sommet dénommé FOCAC (Forum sur la Coopération Sino-Africaine) qui a accueilli une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement africains et dont le mot d’ordre du président hôte, Xi Jinping, résonne encore fort : « Modernisation du Sud global et écrire un nouveau chapitre dans la construction d’une communauté d’avenir ».   Cinquante milliards de dollars de nouveaux investissements sur les trois prochaines années pour le développement des infrastructures, l’agriculture et les énergies vertes du continent, telle est la grande annonce à Beijing.  Quelles retombées pour la RDC qui s’avère un Etat-clé du fait de ses importantes ressources et dont le Président Félix Tshisekedi a été le premier à être reçu, en bilatérale, par le numéro un chinois dans ce partenariat renforcé avec l’empire du milieu ?

Tenu à Beijing du 4 au 06 septembre, le neuvième Sommet du Forum sur la Coopération Sino-Africaine a vécu. Plus de 40 chefs d’Etat et de gouvernement du continent ont fait le déplacement de la Chine et rencontré le président Xi Jinping pour discuter du renforcement des relations économiques entre les deux parties : le continent et l’empire du milieu.

A l’occasion, Pékin a établi ou renforcé des partenariats stratégiques avec tous les pays avec lesquels il a des liens diplomatiques. Au total, une trentaine de pays s’y sont exercés.

Lors de ce Sommet, les réunions et les accords ont tourné autour des thèmes de l’industrialisation, des progrès agricoles, de la sécurité et de la coopération dans le cadre de l’initiative chinoise « la Ceinture et la Route », un projet massif visant à relier plusieurs continents à la Chine par des infrastructures physiques. Et Pékin compte ainsi bâtir avec l’Afrique une communauté d’avenir et le mot d’ordre de Xi Jinping est désormais : la modernisation du Sud global.

Point de doute, la Chine, à travers son président, compte poursuivre son influence croissante sur le continent africain dans un face-à-face silencieux avec les pays occidentaux.

Souhaitant écouler, entre autres, ses technologies vertes en Afrique, elle espère que ses investissements croissants en Afrique encourageront les dirigeants à absorber davantage de produits chinois. Comme pour dire, s'attirer les faveurs de l'Afrique l'aide dans son ascension vers le statut de «superpuissance mondiale ».

Il va donc sans dire qu’en exerçant une influence dans les pays en développement, l’empire du milieu est en mesure de contrecarrer la portée des États-Unis et de l’Europe, en particulier sur un continent si riche en matières premières dont il utilise pour fabriquer les produits qu’elle expédie dans le monde entier.

Une relation sur un respect mutuel et des projets concrets

Pékin reste « sans égal » dans son soutien économique à l’Afrique par rapport à aucun autre pays, et espère pouvoir utiliser cette position pour « exercer une influence diplomatique aux Nations Unies. 50 milliards de dollars de nouveaux financements pour le continent, c’est la grande annonce de Beijing, sont mis sur la table pour les trois prochaines années. 

Cette somme rondelette va permettre de développer les infrastructures, l’agriculture et les énergies vertes du continent.

Cependant, des inquiétudes, quant à la dette, demeurent. Les partenaires africains de la Chine n’ont pas mâché leurs mots pour la mise en place de meilleures conditions commerciales avec cette dernière, espérant un meilleur accès des produits agricoles et manufacturés africains aux marchés chinois. 

Leur attrait à coopérer avec la Chine réside dans l’accès à des solutions de financement potentielles qui peuvent aider à alléger les dettes économiques écrasantes que beaucoup connaissent. Présent au sommet, Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, a déclaré que « l'accès insuffisant des pays africains à l'allégement de la dette et aux ressources limitées était une recette pour les troubles sociaux ».

Toutefois, Pékin reste disposé à prêter des sommes importantes aux pays africains. Et, au cours des 20 dernières années, note le journal New York Times, « un projet d'infrastructure sur cinq en Afrique a été financé par la Chine ». C’est pourquoi, les dirigeants africains sont si désireux de se rencontrer et de se montrer réceptifs au Président Xi Jinping, lors du sommet, malgré certaines promesses non tenues dans le passé.

La relation entre la Chine et l’Afrique, souligne-t-on, se base sur un respect mutuel et des projets concrets.

Et, une particularité : l’empire du milieu s’engage à respecter les choix politiques faits par les Etats africains sur la base de leurs spécificités, à ne pas s’immiscer dans leurs affaires intérieures et à ne pas assortir de conditions son aide.

RDC : qu’attendre de ce Sommet ?

Le 9ème Sommet du FOCAC a mis en exergue la relation croissante entre la Chine et la RDC. Et le président congolais Félix Tshisekedi a été le premier président africain, sur la douzaine reçue, à conférer en bilatérale avec l’hôte chinois. Cela dénote de l’importance que revêt la RDC qui s’avère un acteur-clé pour la Chine du fait de ses ressources dont elle a besoin.

Des différents mémorandum d’entente ont été signés entre les entreprises chinoises, tel est l’accord portant sur l’accroissement de la puissance énergétique en RDC entre le ministre congolais des Ressources hydrauliques et le géant chinois du secteur de l’énergie renouvelable.

L’agriculture n’était pas en reste en vue de la production des produits vivriers tels que, notamment, le manioc, le riz et le maïs. Les hommes d’affaires congolais, ainsi que certains gouverneurs de province ont exploré les domaines qui peuvent faire l’objet de coopération entre les deux pays.

Mais, un équilibre devra être trouvé pour que tous ces accords profitent à l’Etat congolais, à son peuple et à son environnement.

Le grand problème qui plombe le développement de la RDC reste l’instabilité dans sa partie orientale due à la guerre que le Rwanda lui mène depuis trente ans avec des dommages considérables en termes de vie humaine, non sans compter plusieurs millions des déplacés.

Et, la question qui reste posée est celle de savoir comment la relation croissante avec la Chine peut générer des mécanismes à même de créer les conditions qui puissent mettre un terme à cette tragédie de l’Est qui n’a que trop duré et non se limiter à considérer le Congo comme un réservoir d’approvisionnement des matières premières dont l’on a besoin.

Sommet Chine-Afrique : quelles retombées pour la RDC ?

Est-il possible de diriger l'Université Pédagogique Nationale (UPN) ?

(Par le Professeur Patience Kabamba)

L'université pédagogique nationale est la seconde grande institution tertiaire de la ville de Kinshasa avec près de 40.000 étudiants et un millier de professeurs. De toutes les universités de la RDC, l'UPN a sans doute le meilleur corps professoral dont une université peut rêver. Les professeurs de l'UPN proviennent des différentes horizons et des meilleures universités dans le monde : nous avons des anciens étudiants de France, de la Belgique, d’Allemagne, d'Italie, de la Grande Bretagne, du Canada, des États-Unis d'Amérique, du Japon, de la Chine, du Mexique, du Congo, du Sénégal, du Benin, du Kenya, d'Afrique du Sud, etc. La plupart des professeurs de l'UPN sont très brillants individuellement. Leurs cours sont souvent au-dessus de la moyenne. La question qui me vient à l'esprit est de savoir :

Si le pays regorge d'autant de talents, comment se fait-il qu'il va mal, qu'il ne soit pas très organisé pour participer au progrès du monde avec toutes les richesses naturelles et humaines dont il est béni ? Le Congo a près de 100 millions d'habitants, même si le dernier recensement sérieux date de 1984. 10 % de la population congolaise, soit 10 millions de Congolais, vivent à l'extérieur du pays. Ce pourcentage serait repris élevé si les jeunes Congolais avaient l'opportunité de quitter le pays. En effet, le pays va tellement mal que la seule option qui se présente aux personnes intelligentes est de le quitter. Le Congo est un pays de plusieurs paradoxes. Je vais en citer quelques-uns. Un pays potentiellement riche, mais où les habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit avec moins de 2 dollars par jour. Le Congo a une prison construite à l'époque coloniale pour abriter 1500 détenus ; aujourd'hui, la fameuse prison de Makala héberge 12.000 détenus. Des massacres des prisonniers venaient d'avoir lieu en toute impunité et banalisation de la vie humaine, comme l'ont fait remarqué les évêques catholiques de la conférence épiscopale du Congo, la CENCO. Un autre paradoxe consiste à avoir dans son territoire le lac le plus poissonneux du monde, le lac Tanganyika, et à continuer à importer du poisson de l'étranger alors que ses propres poisons meurent de vieillesse dans le lac. Aujourd'hui, je voudrai plancher sur le paradoxe qui consiste à avoir beaucoup d'intellectuels dans le pays sans être capable d'organiser la vie nationale de manière décente. Dans le présent MDW, je voudrais aborder une des raisons pour lesquelles une institution tertiaire comme l'UPN n'arrive pas à s'organiser pour tirer profit de son potentiel académique.

Un des problèmes de l'UPN

Je suis engagé à l'UPN depuis décembre 2017. La décision de mon engagement était signée par le Recteur Kimwanga Pèlerin et ma notification par le professeur Kabamba Kabata.

Aujourd'hui, je suis dans ma 7e année à l'UPN et l'université est à son quatrième comité de gestion. En 7 années, j'ai connu 4 recteurs et quatre comités de gestion différents. Chaque comité de gestion fait en moyenne 1,75 année de course. Le mandat électoral des députés nationaux est de 5 ans. Le présupposé derrière cela est qu'en 5 ans, il est concevable de mettre en place un processus de changement ou de poser les bases pour un changement substantiel qui pourrait prendre plusieurs années, sans doute. Si le comité de gestion de l’UPN ne reste que pendant 1,75 année en moyenne, comment peut-on attendre des changements ?. Les chances d'un changement substantiel sont extrêmement limitées à cause de la durée d'un comité de gestion de l'UPN. Je pense que les prochains recteurs devraient exiger de rester au moins cinq années avant d'accepter le défi de diriger l'UPN. Le manque de transparence dans le processus d'assignement et la mauvaise compréhension de ses responsabilités montrent que les personnes sélectionnées pour faire partie d'un comité de gestion ne posent pas souvent la question de leur chance de succès dans une pareille aventure. Il y a deux choses qui manquent dans la vie professionnelle des Congolais : a) refuser une nomination  lorsqu'on sait que les conditions de réussite seront difficiles et b) démissionner lorsqu'on se rend compte que l'on ne peut pas travailler dans une atmosphère anxiogène. Les conditions politiques pour devenir un bon recteur de l'UPN sont entre autres l'exigence de rester au minimum 5 ans pour pouvoir donner toute sa mesure au travail de recteur. Le temps permet d'apprécier les avancés ou la régression de l'institution que l'on dirige. Sans le temps, on se précipitera à empocher le rapidement possible les fonds de la caisse en prévision de quitter son poste suite aux changements intempestifs auxquels nous sommes habitués. Une seconde condition politique pour accepter le poste de Recteur à l'UPN est d'avoir la liberté de démissionner lorsqu'on se rend compte que l'on ne peut plus rien contrôler.

La démission est un mot extrêmement rare dans l'arène politique du Congo. Une troisième condition politique pour bien diriger l'UPN, en plus des deux citées aussi haut, c'est la transparence sur le nombre des étudiants et du staff de l'UPN. À une époque, il y a eu des embauches tous azimuts, au point que ceux qui étaient engagés à l'UPN se retrouvaient sans salaire pendant plusieurs années, car le rythme d'embauche ne suivait pas celui de l'augmentation de la masse salariale. Une transparence de la part du comité de gestion vis-à-vis des professeurs, des scientifiques et des administratifs est une condition sine qua non pour réussir son mandat à la tête de l'UPN. Un recteur comme d'ailleurs tout membre du comité de gestion est un « primus inter pares » pour les professeurs. Le premier parmi les égaux. Il n'est ni plus ni moins, il est l'égal d'un professeur. Cet état d’esprit devrait conduire le comité de gestion à être plus transparent et à se considérer comme des égaux vis-à-vis de ses collègues professeurs et des scientifiques qui sont des professeurs en devenir. Les administratifs sont la pierre sans laquelle l'édifice unpennienne ne tiendrait pas. Les relations de transparence envers ces corps académiques, scientifiques et administratifs demeurent la condition principale pour réussir son mandat de recteur de l'UPN.

Pour clore, je voudrais étendre la remarque ci-dessus au sujet de l'UPN à tout l’enseignement tertiaire de la République démocratique du Congo. Le secteur de l'enseignement tertiaire partage les tares de toute la République. Les universités participent de la folie des dépenses inutiles sans trop réfléchir au devenir des enfants qui nous sont confiés.. Nous avons applaudit le décaissement des funds par le ministre des finances pour le centre financier sans un débat au Sénat ni à l'Assemblée. Cet édifice a englouti, sans convaincre, une bagatelle de près de 500 millions de dollars américains. Pourquoi tout cela ? Est-ce vraiment la priorité ? Dans la même veine, je pense qu'il est temps de restructurer l'enseignement universitaire en RDC. Le moment des fusions est arrivé pour profiter davantage du corps académique que nous avons et surtout pour que l'on mette de côté suffisamment de ressources pour mieux prendre soin de l'éducation de nos enfants. Je verrai par exemple l'ISP/Gombe fusionner avec l'UPN pour qu'ensemble, les deux institutions, qui n'en feront qu'une seule, puissent se focaliser à la fois sur la recherche et sur l'enseignement. Sous un même comité de gestion, l'UPN augmenterait ses ressources pour la recherche et l'ISP/Gombe se focalisera sur le développement de l’enseignement. La fusion permettra d'épargner des ressources et de mieux les dispatcher pour la recherche et pour l'enseignement. Le pays va mal parce que ses intellectuels vont mal et n'arrivent pas à s'organiser pour mieux tirer avantage des individualités exceptionnelles dont regorgent nos universités.

Enfin, mon point de vue au sujet de l'université congolaise est que l'on devait tout simplement fermer toutes les universités. Pour le moment, nous n'avons pas besoin d'universités. En réformant l'enseignement secondaire, il sera concevable de produire des individus très utiles au pays à leur sortie de l'école secondaire. La formation des infirmières pourrait se rallonger jusqu'à leur apprendre des petites et grandes chirurgies ; les électriciens, plombiers et maçons et architectes sortiront de nos écoles secondaires. Les cours de droits seront introduits au niveau du secondaire et des conseillers juridiques sortiront du secondaire pour prendre en charge la justice du pays. Les universités seront donc fermées et disparaitront. Dès la fin de l'école secondaire, les Congolais doivent être capables de diriger leur pays. Il est temps de sauver l'économie congolaise contre les économistes congolais ; de sauver la justice congolaise contre les juristes congolais et de protéger la santé des Congolais contre les médecins congolais, souvent mal formés dans les facultés de médecine qui foisonnent dans le pays ; de protéger l'histoire congolaise contre les historiens congolais. Abat l'université dans sa configuration présente !

Est-il possible de diriger l'Université Pédagogique Nationale (UPN) ?

RDC : Guerre entre le Ministre de la justice et les Magistrats congolais !

 (Par Me Jean Bosco Badibanga, Avocat Indépendant et Analyse d'un  révolutionnaire panafricain)

 

La guerre entre Constant Mutamba, ministre de la justice et le collectif des magistrats congolais, est semblable à celle qui a vécu entre Jésus-Christ de Nazareth et le collectif des scribes, des pharisiens et des sadducéens, qui lui reprochaient instamment d'avoir violé la loi de Moïse à travers ses enseignements teintés de populisme. Ces détracteurs du Seigneur Jésus-Christ se faisaient passer pour gardiens de la loi de Moïse à laquelle tous les juifs devaient obéir. Ils avaient réussi à se construire une notoriété et une influence traditionnelle sur le peuple du fait de la maîtrise du contenu de la fameuse loi de Moïse, pas parce qu'ils aimaient sincèrement Moïse, mais parce qu'ils étaient devenus capables de tirer indûment les bénéfices personnels des faiblesses de cette loi. A cause de cela ils disposaient du pouvoir d'arrêter, juger ou de faire juger, de lapider ou de faire lapider les récalcitrants à la loi mosaïque. Christ avait-il violé la loi de Moïse ? Non. Il a déclaré ne l'avoir jamais abolie mais il l'a plutôt accomplie en y introduisant une loi spirituelle supérieure dans l'humanité. 

Aujourd'hui, à l'instar du Messie  Jésus le Christ, le ministre Mutamba est accusé au quotidien par les magistrats congolais au motif de violer les lois du pays à travers ses sorties médiatiques populistes et ses circulaires qui n'ont pas force de loi. 

Autant le Christ était conscient que le collectif de ses accusateurs baignaient eux-mêmes dans l'injustice et les antivaleurs et ne pratiquaient pas ce qu'ils exigeaient aux juifs, ce qui leur valut les qualificatifs de "race de vipère et des hypocrites", autant le peuple congolais est conscient aujourd'hui que la justice est malade et qu'il est nécessaire d'y infliger un thérapie appropriée.

Ayant lui-même compris que notre Justice était menacée constamment par les faiblesses criantes des magistrats, le Chef de l'Etat a désigné Mutamba comme un des réformateurs de la justice congolaise. Jusqu'à quand ne comprendront ils pas leur Chef est derrière ce jeune ministre de 36 ans et que s'il devait choisir la continuité d'une justice malade, il aurait nommé une autre marionnette comme ministre de la justice en lieu et place de celui qui a finalement réussi à transformer la majorité de nos magistrats en communicateurs sur les réseaux sociaux. 

Quoi qu'il en soit, le salut du peuple restera à jamais la loi suprême (salus patria suprema lex). Pour autant que Mutamba est capable d'essuyer les larmes du peuple congolais souvent avili par une justice à double vitesse, le bonheur et le salut de ce peuple constituent les mobiles sacrés devant justifier l'illégalité de ses actes. Faut-il que le peuple congolais continue à gémir à cause de la fameuse légalité? ou bien qu'il se réjouisse collectivement grâce à l'illégalité qui piétinerait les intérêts partisans de quelques citoyens avides du bonheur individuel ?

Bien plus, qui a déjà entendu les pleurs de ce peuple et compati à son malheur lorsqu' il crie à l'illégalité et à l'injustice des magistrats : 

- qui arrêtent injustement pour faire plaisir aux nantis et aux amis?

- qui rendent sciemment des jugements approximatifs à l'avantage de ceux qui n'ont pas eu raison?

- qui violent très souvent les délais légaux de prononcer, attendant les visites clandestines suivies des promesses ou  des remises des enveloppes ?

- qui refusent de rendre justice à la veuve et à l'indigent au profit des meilleurs offrants?

- qui perçoivent les amendes transactionnelles et les cautions au détriment du trésor public ?

- qui se convertissent souvent en Avocats, s'accaparant de leurs clients à qui ils promettent protection, en posant les actes des Avocats moyennant les honoraires?

- cette liste n'est pas exhaustive. 

Aux derniers jours, le Christ vous dira : "malheur à vous hypocrites, race de vipère, vous avez prétendu maîtriser la loi de Moïse que vous avez su appliquer uniquement aux autres, en vous en protégeant mutuellement. Malheur à vous, car je ne vous ai jamais connus". 

Kinshasa, le 08 Septembre 2024. 

Me Jean Bosco Badibanga

 Avocat Congolais et chercheur indépendant

RDC : Guerre entre le Ministre de la justice et les Magistrats congolais !

Libérer la justice congolaise des mains de tous les groupes maffieux , Mouvement pour le Renouveau : Clément Kanku exige des sanctions sévères contre les magistrats véreux !

Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Leader du Mouvement pour le Renouveau

‘’Il est temps de libérer notre justice des mains de tous ces groupes maffieux qui l'ont prise en otage, en engageant des réformes courageuses et en infligeant des sanctions exemplaires à l'égard de toutes les brebis galeuses à l'instar de Mzee Laurent-Désiré Kabila qui n'avait pas hésité d'en révoquer un grand nombre, en son temps.

Le mal étant profond, une thérapie de choc s'impose et nous soutenons toute initiative allant dans ce sens-là’’, soutient, dans un communiqué de presse, le Mouvement pour le Renouveau, parti de l’Honorable Kanku Bukasa wa Tshibuabua.  ‘’La vie humaine étant sacrée, nous exigeons des enquêtes sérieuses pour établir des responsabilités et présentons nos condoléances aux familles éprouvées.

Nous recommandons, une fois de plus, au gouvernement d'améliorer les conditions de vie des prisonniers par une bonne prise en charge et de construire des infrastructures appropriées’’, précise le même communiqué.

La Pros.

Mouvement pour le Renouveau

COMMUNIQUÉ N°MR/SG/04/2024

Le Mouvement pour le Renouveau, MR en single, a suivi avec beaucoup de regrets les événements malheureux survenus au Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (prison central de Makala) causant des pertes énormes en vies humaines.

Ces événements viennent, une fois de plus, révéler, d’une part, les mauvaises conditions d'incarcération des détenus et, d’autre part, le dysfonctionnement d'un système judiciaire malade suite au comportement malhonnête de certains responsables qui abusent de leurs autorités pour instrumentaliser la justice à des fins personnelles.

Certains se permettant même de priver à beaucoup de nos compatriotes leurs libertés de façon cavalière, aggravant ainsi les conditions d'incarcération des prisonniers en surnombre dans différents établissements pénitenciers.

Il est temps de libérer notre justice des mains de tous ces groupes maffieux qui l'ont prise en otage, en engageant des réformes courageuses et en infligeant des sanctions exemplaires à l'égard de toutes les brebis galeuses à l'instar de Mzee Laurent-Désiré Kabila qui n'avait pas hésité d'en révoquer un grand nombre, en son temps.

Le mal étant profond, une thérapie de choc s'impose et nous soutenons toute initiative allant dans ce sens-là. 

La vie humaine étant sacrée, nous exigeons des enquêtes sérieuses pour établir des responsabilités et présentons nos condoléances aux familles éprouvées.

Nous recommandons, une fois de plus, au gouvernement d'améliorer les conditions de vie des prisonniers par une bonne prise en charge et de construire des infrastructures appropriées.

Fait à Kinshasa, le 04 septembre 2024

Valentin Kabengele

Secrétaire Général

 

Libérer la justice congolaise des mains de tous les groupes maffieux , Mouvement pour le Renouveau : Clément Kanku exige des sanctions sévères contre les magistrats véreux !

La Cour Constitutionnelle a proclamé les résultats définitifs de 2024 mais, Me Kalala Muena Mpala réhabilite d’abord Pacho Panda et Jean Goubald dans leurs mandats à l’Assemblée provinciale de Kinshasa

(RPP 005 Conseil d’Etat)  

(Par Me Kalala Muena Mpala)

En lisant la publication critique du RPP 005 devant le Conseil d’Etat, on y a découvert la pertinence des critiques de ce juriste de cassation.

Une décision judiciaire n’engage le Magistrat Suprême que si et seulement si tout juge était resté sous l’autorité de toute loi destinée à régir soit la compétence territoriale soit la qualité de l’avocat qui comparaît devant une des hautes juridictions alignées à l’article 223 de la Constitution.

Tous ces avocats dont les noms et qualité apparaissent, devant le Conseil d’Etat doivent avoir fait acté, sur le PV d’audience, leurs qualité, mandat et enfin les couleurs de leur épitoge comme le fait Maître KALALA MUENA MPALA à chacune de ses comparutions devant toutes les juridictions de la RDC et même devant le Conseil National de l’ordre.

Il y insiste sur le respect strict des articles 71 et 73 de la loi du barreau que les avocats et les magistrats violent en admettant des qualités, couleurs et formes de mandat inappropriées.

Ce sont les mêmes tares procédurales qui sont observées aussi devant la Cour Constitutionnelle avec des conséquences juridiques allant jusqu’à la nullité de la décision judiciaire au frontispice de laquelle doit figurer les identités du Magistrat Suprême pour certifier que, sous serment, les Officiers du Ministère Public et les juges étaient restés sous l’autorité de la seule loi en vigueur applicable pour accepter les avocats, représenter les parties.

Il s’agit, pour tout juge sous serment, de la compétence territoriale de l’avocat, son habillement et la forme légale de son mandat devant la haute juridiction qui a proclamé ou invalidé le Député National, provincial ou le Sénateur et le gouverneur.

Messieurs et Dames les avocats qui, comme celui qui avait signé la requête contre Patcho PANDA et Jean KALALA  ont violé leur loi, de l’article 103 à 111, et la loi organique en son article 105 al. 2.

Le Conseil d’Etat doit, dans ses Arrêts, viser aussi la loi du barreau, la procédure de 1982 à ses articles 2 à 27, et les dispositions transitoires et abrogatoires de sa loi organique d’octobre 2016.

En 2024, il a reçu les requêtes signées et déposées au greffe du Conseil d’Etat par des avocats à la Cour d’Appel alors que les articles 14, 29, 38, 51 et 103 à 111 limitent ces avocats dans les ressorts de serments ou d’inscription complémentaire.

Après cet Arrêt, ceux qui ont suivi présentent les mêmes tares procédurales : usurpateurs, les avocats à la Cour d’Appel ont été admis à y représenter les parties alors que c’est le monopole des avocats près la Cour Suprême de Justice. Il n’y a que les Défenseurs judiciaires qui se respectent et respectent les avocats inscrits au petit tableau sous leur authentique qualité d’avocat au barreau près la Cour Suprême de Justice.

Quand le Magistrat Suprême dit que la justice ne fonctionne pas comme il faut, c’est certainement cet aspect du respect de la Constitution, de toutes les lois signées par le Magistrat Suprême y compris la loi du barreau à ses articles 103 à 111.

Le Magistrat Suprême ledit tout haut ; le Conseil Supérieur de la Magistrature doit ouvrir des dossiers contre les hauts magistrats qui violent leurs serments en admettant devant eux les avocats de fond et les parties.      

KALALA MUENA MPALA

  • Avec robe professionnelle et qualité conformes aux articles 7, 71 et 111 de la loi du barreau.
  • Chercheur judiciaire, légaliste et indépendant.
  • Eco-garde de la dénomination authentique de son barreau de cassation ainsi que des procédures spécifiques devant les hautes juridictions alignées à l’article 223 de la Constitution et du Règlement de procédure devant la CCJA tous les délais des Avis, des Jugements et Arrêts.
La Cour Constitutionnelle a proclamé les résultats définitifs de 2024 mais, Me Kalala Muena Mpala réhabilite d’abord Pacho Panda et Jean Goubald dans leurs mandats à l’Assemblée provinciale de Kinshasa

Elections Présidentielles du mardi  5 novembre/2024 aux USA, Lutte contre les antivaleurs, le mensonge et la manipulation politicienne dans la campagne électorale américaine

 L’HONNETETE, LA JUSTICE, LA VERITE, LA CULTURE DE L’EXCELLENCE, DE L’INTEGRITE, DE LA MERITOCRATIE BREF LES VALEURS MORALES ET REPUBLICAINES DOIVENT ETRE SAUVEGARDEES ET ETRE PLACES AU DESSUS DES ENJEUX ET DES CALCULS POLITIQUES, POLITICIENS, ELECTORALISTES, EGOÏSTES ET PARTISANS AFIN D’EVITER DES DISCOURS DE LA HAINE, DU RACISME, DU MENSONGE, DE LA TROMPERIE, DE LA RUSE, DE LA FOURBERIE, DE L’ESCROQUERIE MORALE, INTELLECTUELLE ET POLITIQUE, DE LA DIABOLISATION ET DES COMPORTEMENTS DE MANIPULATIONS DES ELECTEURS AMERICAINS SUCCEPTIBLES D’ENTRAINER ET DE CONDUIRE A DES CONTESTATIONS ELECTORALES COMME CE FUT LE CAS DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES DE 2020.

C’est vraiment regrettable, déplorable, et c’est vraiment une très grande honte, fourberie, escroquerie morale et intellectuelle une véritable tricherie, une malhonnêteté, une manipulation politicienne et électoraliste et une véritable escroquerie électorale sans précédent et sans commentaire dans l’histoire des élections présidentielles aux Etats – Unis d’Amérique de continuer de soutenir ouvertement et tout haut à travers les média et les réseaux sociaux les arguments, les idées, les hérésies, les contre – vérités, le mensonge et la thèse selon laquelle ou de dire ouvertement et tout haut et cela sans aucun gène, ni honte que la candidate démocrate KAMALA HARRIS à l’élection présidentielle américaine du Mardi le 05/Novembre/2024 est noire, or dans la vérité tels n’est pas le cas, KAMALA HARRIS est de couleur blanche pour ne pas dire métisse de par sa morphologie et sa physionomie et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là -  dessus.

Il est à noter que la couleur noire de la peau d’un homme ou d’une femme américaine soit – ils ou pas reste noire et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là -  dessus.

Il est aussi à noter que la couleur blanche de la peau d’un homme ou d’une femme américaine soit – ils ou pas reste blanche et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là - dessus.

Et enfin Il est aussi à noter que la couleur métisse de la peau d’un homme ou d’une femme américaine soit – ils ou pas issue d’une hybridation ou du métissage ou encore mieux de l’union entre un noir et une blanche vice – versa reste métisse et c’est clair comme de l’eau pure et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là - dessus.

La personne métisse issue du brassage ou de l’hybridation ou encore de l’union entre un blanc et une noire et inversement est hybride et intermédiaire et n’est ni blanc, ni noir et ce sont des notions fondamentales et élémentaires de base de la Biologie apprises depuis très longtemps et à enseigner calmement et ouvertement et en toute simplicité et à rappeler tout haut au peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre.

Toutes ces notions élémentaires de l’hérédité nous les avions apprises il ya plus de 30 ans à l’école secondaire et ne peuvent être contestés ou déformés aujourd’hui par le Parti Démocrate Américains ou une frange parti des démocrates américains ou encore des leaders très influents éternels et omni présents du Parti Démocrate Américains pour faire croire et avaler aux Citoyens américains et particulièrement les Afro - américains ou les Noirs américains ou encore la Communauté noire américaine vivant très longtemps aux Etats – Unis qui représente à coup sur treize pourcent (13%) de l’électorat américain des mensonges, des hérésies, des contre- vérités comme quoi, la candidate Démocrate KAMALA HARRIS est noire, les noirs américains votent toujours démocrates, tels n’est malheureusement pas toujours le cas et tout cela dans le seul but des calculs politiques et électorales afin d’attirer la confiance, les voix et vote de l’électorat noire américain qui représente treize (13%) de l’électorat global américain et qui peut changer le cours des événements et de vote lors de l’élection présidentielle américaine du Mardi le 05/Novembre /2024.

Cette façon de dire, de déclarer publiquement à travers la Presse américaine , à travers les réseaux sociaux et de faire les choses et de se comporter, cette façon délibérée de déformer et de tordre intentionnellement la vérité pour des bénéfices et profits ou dividendes purement politiques et électoralistes, gène considérablement et indispose beaucoup les Noirs d’Afrique qui ne sont pas restés indifférents et qui suivent de très prêts et dans les moindres détails le processus, le déroulement et le développement de la campagne électorale présidentillielle américaine, c’est pourquoi, pour des raisons purement humanitaires et de non-assistance en personne en danger et pour des raisons géostratégiques, pour des motifs de conscience pure, les Noirs d’Afrique s’invitent désormais dans la campagne électorale américaine afin de sensibiliser, de conscientiser et de moraliser les noirs américains, les afro - américains et la communauté noire vivant depuis très longtemps aux Etats – Unis d’Amérique de ne pas se laisser faire et de se laisser distraire et séduire par des discours, par la tentation et par les sollicitations du Parti Démocrate Américains ou de certains leaders très puissants, omni présents et éternels du Parti démocrate américain et de certains média américains et des réseaux sociaux qui osent dire que les noirs américains votent toujours démocrate ou du côté démocrate et que la Candidate démocrate KAMALA HARRIS à l’élection présidentielle américaine du Mardi 05/Novembre/2024 est noire et par conséquent et en conclusion du syllogisme philosophique, les Noirs américains ou les Afro - américains ou la Communauté noire vivant depuis longtemps au Etats – Unis voteront Démocrate ou une Démocrate, donc KAMALA HARRIS puisqu’elle est noire. Vraiment si tels est vraiment le cas, quelle hérésie, quel sophisme et faux raisonnement.

Le fait pour le citoyen américain qu’il soit noir ou blanc ou métissé de voter durant les élections américaines sur base des considérations de la peau ou de la race ou de la richesse est une forme du racisme, c’est du racisme et ce sont ces antivaleurs longtemps décriés que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE à travers sa Branche Internationale, Planétaire et Mondiale à savoir : LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE ne cessent jamais et ne cesseront jamais de dénoncer et de condamner ouvertement et énergiquement ce genre d’antivaleurs en RDC, en Afrique et partout à travers le monde.

Il est à noter qu’un métissé issue de l’union entre un blanc et une noire et vice versa est un hybride selon la théorie de l’hérédité, n’est pas noir, mais il est plus blanc de par la couleur de sa peau et tout le monde scientifique ou pas s’accordent pour dire ouvertement ainsi soit t – il et cela de par sa morphologie et sa physionomie et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là -  dessus.

C’est pourquoi, aujourd’hui, nous devons briser ce mythe, ces hérésies dangereuses, cette tradition et ce discours de la honte, du mensonge, de la corruption et de l’escroquerie morales et intellectuelles, de la manipulation politique et électorale qui serait développé par le Parti Démocrate, par certains leaders politiques très influents omniprésents et éternels du parti Démocrate Américain ainsi que la Presse américaine et les réseaux sociaux comme quoi, les noirs d’Amérique, les Afro – Américains ou la Communauté noire vivant depuis très longtemps aux Etats – Unis ne votent généralement et toujours que du côté démocrate et que le vote des noirs ou des Afro – Américains et l’électorat noire américain est automatiquement acquis, d’ipso facto et sans commentaire et sans contredit à la cause du Parti Démocrate Américain, si tels est vraiment le cas, si les faits seraient avérés, alors c’est vraiment très dangereux, c’est vraiment de la tromperie, de la ruse, de la fraude, de la fourberie, du mensonge, de la distraction, des hérésies, de la pure farce et du théâtre de chez nous et pour ne pas dire de la tragi – comédie, de la mise en scène sans précédent, de la manipulation politique et politicienne du Parti Démocrate Américain et de certains leaders politiques très influents omniprésents et éternels du parti Démocrate Américain ainsi que de la Presse américaine et des réseaux sociaux qui sont des antivaleurs que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE à travers sa Branche Internationale, Planétaire et Mondiale à savoir : LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE fortement spécialisé dans des réflexions et dans des études géostratégiques et des questions de la Défense, de la sauvegarde, de la surveillance, de la protection et de la promotion des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales, de la Démocratie, de l’Etat de droit, de la bonne Gouvernance, de la Paix, Sécurité et Stabilité Internationale et Mondiale, de la géopolitique, de la Géostratégie, de l’environnement, du développement durable et Intégral, du mieux-être social, des élections, du Commerce International, de la Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication et du numérique et de l’Intelligence artificielle, de la lutte contre le réchauffement climatique, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre le racisme, de la lutte contre le terrorisme International, de la lutte contre l’impunité et du détournement des deniers publics, de la lutte contre le blanchissement des capitaux, de la lutte contre l’Antisémitisme, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre l’Islamophobie, de la lutte contre la Russophobie ,de la lutte contre la Sinophobie et autres ne peuvent pas accepter, tolérer, supporter, admettre et condamne tout haut, sans ambages et sans commentaire et sans complaisance, vigoureusement et énergiquement en RDC, en Afrique et partout à travers le monde.

Alors, de ce fait, cette façon délibérée et intentionnelle de présenter les choses, d’agir et de torde la vérité n’est pas bonne si ce n’est que pour des raisons purement politiques et des calculs électoralistes afin d’attirer par la tromperie, la ruse, le mensonge, la fourberie, la tricherie, la manipulation politicienne et électorale les treize pourcent (13%) de l’électorat noir américain qui peut facilement changer la donne et le cours des événements durant l’élection présidentielle américaine du Mardi 05/Novembre/2024 en faveur de la candidate KAMALA HARRIS. 

C’est pourquoi, si tels est vraiment le cas , si les fait sont avérés et sans commentaires, alors cette façon de faire les choses et d’agir doit immédiatement s’arrêter au plus vite aux Etats – Unis d’Amérique d’autant plus que ca n’honore pas la grande nation américaine, championne et modèle de la démocratie mondiale, de l’Etat de Droit et de la Bonne Gouvernance politique et cela au nom de la justice, de la vérité, de l’honnêteté et de l’équité, d’autant plus que les ténèbres ( à savoir : le mensonge, le discours de la haine et de l’exclusion, le discours raciste et séparatiste, la ségrégation, la fraude électorale, la tromperie, la ruse, la fourberie, la tricherie, la manipulation politicienne et électorale) ne régneront pas toujours aux Etats – Unis d’Amérique autours des élections présidentielles (Esaïe 8 : 1-23).

C’est pourquoi, le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC,EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE à travers sa Branche Internationale, Planétaire et Mondiale à savoir : LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE fortement spécialisé dans des réflexions et dans des études géostratégiques et des questions de la Défense, de la sauvegarde, de la surveillance, de la protection et de la promotion des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales, de la Démocratie, de l’Etat de droit, de la bonne Gouvernance, de la Paix, Sécurité et Stabilité Internationale et Mondiale, de la géopolitique, de la Géostratégie, de l’environnement, du développement durable et Intégral, du mieux-être social, des élections, du Commerce International, de la Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication et du numérique et de l’Intelligence artificielle, de la lutte contre le réchauffement climatique, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre le racisme, de la lutte contre le terrorisme International, de la lutte contre l’impunité et du détournement des deniers publics, de la lutte contre le blanchissement des capitaux, de la lutte contre l’Antisémitisme, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre l’Islamophobie, de la lutte contre la Russophobie ,de la lutte contre la Sinophobie et autres à travers son programme spécialisé et permanant d’EDUCATION CIVIQUE, DE SENSIBILISATION, DE CONSCIENTISATION ET DE MORALISATION DES PEUPLES PARTOUT A TRAVERS LE MONDE attirent ouvertement l’attention des Noirs américains ou des Afro - américains ou de la Communauté noire vivant depuis longtemps au Etats – Unis, d’être très vigilants et très éveillés, de ne pas se laisser distraire, berner et tromper facilement par de genres des discours qu’ils proviennent soit du Parti Démocrate Américain, ou de ses leaders politiques très influents, omniprésents et éternels ou encore de la Presse américaine ou en plus des réseaux sociaux et le jour de l’élection présidentielle américaine du Mardi le 05/Novembre/2024 qu’ils doivent désormais voter sur base de la voix de leurs consciences personnelles et individuelles et non voter sur base des sentiments négatifs, de zèle amers, des émotions et des mots d’ordre du Parti démocrate Américain ou de certains leaders politiques démocrates très influents, omniprésents et éternels, ce qui sera une erreur stratégique grave, fatale, impardonnable, inexcusable et très regrettable pour eux, pour leurs vies, pour leurs enfants, pour leurs postérité et pour leurs consciences qui resteront longtemps troubles et très agitées et n’auront que leurs deux yeux pour pleurer mais de voter pour un candidat président des Etats – Unis seulement sur base de son programme de la campagne électorale, sur base de son projet de société qui doit inclure la défense des droits et des intérêts majeurs et stratégiques des Afro – américains et de la Communauté noire d’Amérique face au racisme, à la discrimination, aux injustices sociale, à la criminalités, à la sécurité des personnes et de leurs biens, à l’homosexualité, au coût de la vie, au chômage, à la santé, à l’éducation, au pouvoir d’achat, à l’inflation galopante, à la récession de l’économie américaine ainsi que d’autres questions stratégiques qui tracassent les Afro- Américains liés au logement, au chômage et autres et qui tracassent aussi l’ensemble du peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre.

A titre de rappel, selon les us et coutumes américaines des conventions américaines républicaines et démocrates qui représentent la fin et l’aboutissement d’un long processus des élections primaires organisées dans tous les 52 Etats Américains et le candidat vainqueur est officiellement  investi à la convention Démocrate ou Républicaine, ce qui le confère une légitimité incontestable parc qu’il a été élu aux élections primaires directes par la majorité des membres du parti Démocrate ou Républicain, accepté par la majorité des membres du parti de manière à devenir officiellement le candidat valable du Parti aux élections présidentielles, tels malheureusement n’a pas été le cas de la Candidate KAMALA HARRIS qui n’est pas passé officiellement par cette épreuve de baptême de feu des primaires démocrates bien qu’à quatre (4) Mois des élections présidentielles le Parti Démocrate pouvait encore bel et bien organiser les élections primaires pour se choisir un candidat valable de son choix, élu par les membres du Parti démocrate, et qui serait investi  par la Convention démocrate, et qui serait accepté et soutenu par tous au lendemain de l’éviction et du retrait forcé du Candidat Joe Biden à cause de la pression de certains hommes forts, les influents et les plus considérés du Parti Démocrate qui l’ont tous contrait malgré lui et contre sa volonté et ses attentes à se retirer de la course à la présidence afin de propulser à sa pace la Vice – Présidente KAMALA HARRIS sans passer par les élections primaires américaines.

James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU

ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS

Président – Fondateur et Président Exécutif International

du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL

Grand Défenseur des Droits de l’Homme

Journaliste Manager et Professionnel

Char du Feu, Char d’Israël et sa Cavalerie

Le Vaillant Héros et le Grand Lion

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Elections Présidentielles du mardi  5 novembre/2024 aux USA, Lutte contre les antivaleurs, le mensonge et la manipulation politicienne dans la campagne électorale américaine

L’UDPS à la Croisée des Chemins : Un Appel Urgent à la Réconciliation et à l’Unité

(Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza, MPA, Vice- Président Fédéral en Charge de la Politique et de la Diplomatie, Fédération Des Etats-Unis d’Amérique)

 

Introduction

L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) se trouve à un carrefour déterminant de son histoire, il devient impératif de réaffirmer les valeurs fondamentales qui ont construit l’essence même de ce grand parti.

La crise interne actuelle, caractérisée par une absence de vision stratégique claire et une gestion chaotique, met en péril l’intégrité et l’efficacité de l’UDPS, menaçant ainsi sa capacité à jouer un rôle prépondérant dans la politique de la République Démocratique du Congo (RDC).

Les récentes accusations portées contre le secrétaire général, Augustin Kabuya, révèlent une série de défaillances de gouvernance qui aggravent la crise. La critique répétée de Kabuya concernant le manque de cohérence dans la direction et le manque de leadership exemplaire au sein de ses équipes expose des lacunes profondes dans la gestion du parti. Ces tensions mettent en lumière des déficits critiques dans le leadership et la stratégie, entravant non seulement la stabilité interne de l’UDPS, mais aussi son rôle stratégique au sein du paysage politique national.

Dans ce climat de méfiance croissante et de division exacerbée, les factions rivales au sein du parti ne se contentent pas de remettre en question la direction actuelle ; elles sapent également la cohésion nécessaire pour formuler des politiques efficaces et maintenir un soutien populaire crucial.

 La fragmentation croissante menace de détourner l’attention des véritables enjeux politiques, compromettant la capacité du parti à assumer ses responsabilités dans le processus démocratique de la RDC.

Face à cette situation alarmante, il devient vital pour les membres de l’UDPS de réévaluer leur engagement envers les principes fondateurs du parti. Une réconciliation authentique et une unité retrouvée sont non seulement nécessaires pour restaurer la crédibilité et l’intégrité du parti, mais également pour garantir sa pertinence et son efficacité dans l’arène politique nationale.

C’est à ce prix que l’UDPS pourra continuer à jouer son rôle de leader dans le développement démocratique et social de la République Démocratique du Congo.

1. Constat de la Situation

L'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) se trouve actuellement en proie à une crise interne profonde et complexe, mettant en péril le bon fonctionnement de ses institutions et sa cohésion. Cette crise est marquée par une fracture notable entre plusieurs factions rivales, chacune affichant une loyauté distincte envers le président Félix Tshisekedi. Cette division interne accentue les tensions et perturbe gravement la dynamique du parti.

Les factions rivales au sein de l’UDPS sont caractérisées par des conflits de pouvoir exacerbés et une méfiance généralisée. Les membres du parti se trouvent dans des positions antagonistes, avec des alliances opportunistes qui aggravent la situation.

Ces luttes de pouvoir ne se limitent pas aux arènes privées ; elles sont également manifestées à travers des manœuvres politiques subtiles, incluant des stratégies de dénigrement et de manipulation.

 En public, cependant, certains membres prétendent à une unité qui est de plus en plus fragile en réalité. Cette hypocrisie masque une réalité complexe où les divisions internes sapent les bases mêmes de la gouvernance et du leadership au sein du parti.

Ce climat de discordance entraîne des répercussions graves sur la capacité du parti à fonctionner de manière cohérente et efficace. Les querelles internes empêchent la formulation de politiques constructives et nuisent à la présentation d'initiatives claires et convaincantes à l’électorat. La direction actuelle du parti, en proie à ces conflits, est incapable de naviguer au-delà de ces obstacles et d’élaborer une stratégie unifiée pour l’avenir.

Cette situation a conduit l’UDPS à une position de vulnérabilité accrue. Le soutien populaire, jadis solide, est en déclin, et la crédibilité du parti s’effrite. La capacité de l’UDPS à maintenir son influence politique pendant et après le mandat de Félix Tshisekedi est gravement compromise.

 Le parti, qui a longtemps été un pilier du développement politique en RDC, se trouve désormais à risque de perdre son rôle de leadership.

L’aspect le plus alarmant de cette crise est la tendance croissante de certains membres à perpétuer la division, même au sein des institutions. Paradoxalement, ces individus agissent publiquement comme si tout allait bien, dissimulant les véritables fractures internes sous un vernis d’unité de façade. Cette hypocrisie non seulement érode la confiance en la direction du parti mais empêche également de traiter les problèmes de manière constructive et transparente.

Pour que l’UDPS puisse retrouver sa force et son intégrité, il est crucial que chaque membre reconnaisse la gravité de la situation et fasse preuve d’un engagement sincère envers la réconciliation et l’unité. La capacité du parti à surmonter cette crise est essentielle pour préserver son rôle crucial dans le développement politique et social de la République Démocratique du Congo. Il est impératif que les membres cessent de masquer les véritables problèmes sous des apparences trompeuses et se consacrent à résoudre les conflits internes pour restaurer la cohésion et la crédibilité du parti.

2. Conséquences sur la Conservation du Pouvoir

La crise interne de l'UDPS entraîne des répercussions significatives sur sa capacité à conserver le pouvoir après le mandat de Félix Tshisekedi. La fragmentation actuelle du parti affaiblit considérablement sa capacité à présenter un front uni, essentiel pour capitaliser sur les succès et les acquis réalisés pendant le mandat présidentiel. Un parti divisé est moins capable de maintenir une stratégie cohérente et de mobiliser un soutien populaire essentiel lors des prochaines élections.

Historiquement, les partis politiques confrontés à des crises internes sévères ont souvent rencontré des difficultés lors des périodes électorales, notamment en raison de l’émergence de divisions internes qui nuisent à l’efficacité de la campagne.

Cette situation engendre des erreurs stratégiques, une perte de soutien populaire, et un manque de ressources nécessaires pour une campagne électorale réussie. Pour l’UDPS, résoudre ces conflits internes est une condition sine qua non pour éviter une érosion de sa position dominante sur la scène politique de la RDC.

La fragmentation du parti pourrait également permettre à des adversaires politiques de capitaliser sur ces faiblesses internes, en exploitant les divisions pour renforcer leur propre position et gagner en influence.

3. Gestion des Ambitions et Accusations Mutuelles : Vers une Réconciliation Urgente au sein de l’UDPS

La crise interne au sein de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a atteint un niveau critique, exacerbée par des ambitions divergentes et des accusations réciproques qui minent gravement la cohésion du parti.

La lutte pour les positions de pouvoir, alimentée par des ambitions personnelles incontrôlées, a non seulement intensifié les tensions au sein du parti mais a aussi conduit à une fragmentation désastreuse de ses structures. Ces rivalités exacerbées ont engendré un climat d'accusations mutuelles et de méfiance, compromettant ainsi le fonctionnement harmonieux du parti.

La situation est aggravée par un regard complice, voire indifférent, de la part de l'autorité morale du parti et des cadres influents. Ce soutien tacite ou passif à ces divisions internes a permis à la crise de se développer sans véritable opposition ou intervention corrective. Le manque d’action décisive pour adresser les conflits internes a laissé le parti vulnérable, fragilisant ses institutions à tous les niveaux.

Pour éviter une détérioration supplémentaire de cette crise, il est impératif que les membres de l’UDPS se mobilisent en faveur d’une réconciliation sincère et d’une consolidation interne. La reconstruction du parti doit commencer par une réaffirmation claire des valeurs fondamentales qui ont historiquement soutenu l’UDPS. Il est crucial de mettre de côté les ambitions personnelles au profit des intérêts collectifs et de l’avenir du parti.

Un processus de réconciliation efficace devrait inclure plusieurs éléments clés. Premièrement, un dialogue constructif entre les factions rivales doit être instauré, avec l’aide de médiateurs neutres pour faciliter la communication et la compréhension mutuelle. La mise en œuvre de mécanismes de décision démocratiques au sein du parti est essentielle pour restaurer la confiance et promouvoir une véritable unité.

De plus, l’établissement d’accords temporaires de partage du pouvoir et de responsabilités pourrait offrir une solution pour équilibrer les intérêts divergents tout en préservant la cohésion du parti.

Ces accords doivent être conçus pour garantir une représentation équitable de toutes les factions tout en évitant des déséquilibres qui pourraient raviver les tensions.

Parallèlement, il est nécessaire de mettre en place des formations spécifiques en gestion des conflits pour les membres du parti. Ces formations, accompagnées de sessions de sensibilisation sur les principes de respect mutuel et de coopération, joueront un rôle crucial dans la résolution des tensions et la restauration d’un climat de respect et de collaboration.

Ces démarches visent non seulement à surmonter les conflits internes immédiats mais aussi à préparer le parti pour une transition politique efficace et à maintenir son influence sur la scène politique nationale.

En somme, il est impératif que l’UDPS prenne des mesures audacieuses pour surmonter cette crise. L’avenir du parti et son rôle dans le développement politique de la République Démocratique du Congo dépendent de sa capacité à adresser ces défis internes avec sérieux et détermination.

La réconciliation et la consolidation interne sont les clés pour restaurer la force et l’intégrité de l’UDPS, garantissant ainsi sa pertinence et son efficacité dans les années à venir.

4. Conclusion

L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) s’est toujours imposée comme le bastion de la démocratie et du progrès en République Démocratique du Congo. Aujourd’hui, alors que le parti se trouve à un tournant décisif, il est impératif que chaque membre et cadre fasse preuve de la même détermination qui a forgé notre histoire. Les conflits internes persistants ne sont pas une simple crise organisationnelle ; ils menacent l’intégrité du parti et l’avenir politique de notre nation.

Chaque jour qui passe sans une résolution claire de ces disputes accroît la division et fragilise la position stratégique de l’UDPS. Il ne suffit pas de déplorer la situation ; il est urgent d’agir.

Nous devons nous mobiliser collectivement pour restaurer l’unité, réaffirmer nos principes fondateurs et mettre en œuvre une gouvernance transparente et inclusive.

 La réconciliation n’est pas une option, mais une nécessité impérieuse pour éviter une crise inutile qui sacrifierait non seulement l’avenir du parti, mais aussi celui du peuple congolais.

L’heure est à l’action déterminée. Nous devons transcender nos différends personnels et travailler ensemble pour réinventer notre parti, pour que l’UDPS puisse continuer à jouer son rôle crucial dans le développement de la RDC.

Cette crise interne est un test de notre engagement envers les valeurs que nous avons défendues avec tant de courage. Le succès de notre démarche de réconciliation sera non seulement déterminant pour la survie du parti, mais aussi pour la stabilité et le progrès de notre pays dans les années à venir.

 Ne laissons pas le destin de notre parti et de notre nation entre les mains de quelques-uns. Agissons maintenant, pour un avenir politique stable et prospère pour la République Démocratique du Congo.

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L’UDPS à la Croisée des Chemins : Un Appel Urgent à la Réconciliation et à l’Unité
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