Aujourd'hui, le MDW se concentrera sur un événement mondial qui s'est déroulé à quelques kilomètres de chez moi, en Pennsylvanie. Les actes de violence politique de ce type reviennent en Amérique. Effectivement, les présidents des États-Unis Abraham Lincoln (1865) et John F Kennedy (1963) ont été assassinés. Le Ministre de Justice de JFK, Robert F Kennedy (1968) a été tué pendant sa campagne. Ronald Reagan (1981) avait réussi à échapper à une tentative de meurtre. Donald Trump (13 juillet 2024) a réussi à s'échapper de quelques millimètres près des balles d'un tireur aujourd'hui. Afin de rendre cet assassinat plus compréhensible, je vais aborder la critique des faits tels qu'ils sont rapportés et les interrogations légitimes qu'ils soulèvent, puis les causes lointaines de cette tentative d'assassinat de Trump et les perspectives qu'elle ouvre.
Le service de sécurité devait surveiller l'endroit où le tireur s'est installé. Une faute grave a donc été commise par ce service qui s'est révélé soit incompétent, soit complice. Du point de vue technique des protections des personnalités politiques, certaines interrogations restent insolubles. La question essentielle est de savoir pourquoi, étant donné que le tireur a été découvert au moins vingt minutes avant qu'il ne commence à tirer, Trump n'a pas été extirpé de la tribune. Comment est-ce qu'on n'a pas demandé à Trump de mettre fin à son meeting ? S'agit-il d'un oubli ou d'une incompétence ? Dans des vidéos, on peut observer clairement le jeune homme de vingt ans, Thomas Matthew Crooks, qui monte sur le toit avec une arme. Les policiers étaient prévenus, mais rien n'avait été entrepris pour dissuader celui qui allait tirer sur Trump. On peut affirmer sans aucun doute que le service chargé de la protection de Trump a soit fait preuve d'une incompétence involontaire, soit affiché une complicité. Les voix vont s’élever pour dénoncer une théorie des complots. Je réponds que ce ne sont pas les complots qui font l’histoire, mais c’est l'histoire qui fait les complots. L'Histoire regorge de complots. L'histoire est riche en intrigues. César est effectivement mort par un complot à Rome.
Revenons à la tentative de meurtre de Trump.
Nous sommes en présence d'une forme performative diachronique du langage, à mon avis. Dans son ouvrage intitulé "Quand dire c'est Faire", le linguiste britannique John Langshaw Austin évoque deux catégories d'énoncés : le constatif et le performatif. L'énoncé constatif est celui dont la véracité peut être jugée par le simple fait de constater, par l'observation. Quand je mentionne « il fait beau », tout le monde peut le remarquer. L'énoncé performatif est celui qui met en pratique ses paroles. Voici quelques illustrations des phrases performatives : Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Dès lors, le baptisé passe de la condition de païen à celle de chrétien. Quand le maire de la ville vous engage en mariage, il vous annonce : vous devenez à présent mari et femme. Cette parole vous fait passer de l'état civil de célibataire à celui de marié, tout comme lorsque l'évêque pose ses mains sur la tête du diacre en prononçant des paroles d'ordination, le diacre devient prêtre. Il s'agit d'expressions performatives. Quand la fatwa de l'ayatollah Ali Khamenei contre l'écrivain Salman Rushdie est prononcée, il est l'objet d'une attaque de tout musulman. L'Imam a une parole performative qui vous transforme immédiatement en victime de la fatwa islamique.
En ce qui concerne Trump, il est important de souligner qu'il est un fervent adepte des paroles qui incitent à la violence. Trump n'est pas un enfant de Cœur. Selon la compilation du magazine USA Today, en 30 ans, il a été impliqué dans 4095 affaires judiciaires. Les unes sont sérieuses, tandis que les autres sont farfelues et frivoles. Il est indéniable que Trump a parfois ou fréquemment des paroles violentes, mais comme on dit, deux maux ne font pas un bien. Les autres étaient également violents envers Trump. La semaine précédant la tentative d'assassinat de Trump, le Président Biden faisait part à une foule de supporters que Trump devrait faire face à une "bulles eye", l'œil du fusil. Cela signifie être tué. Depuis, il s'en est excusé. Il a affirmé qu'il avait commis une erreur en parlant ainsi. Le 28 juin 2024, le président Biden a prononcé le discours suivant en s'adressant à ses supporters :
“Trump représente une réelle menace pour notre pays, une menace pour notre liberté. Il représente un danger pour notre démocratie. Il représente une véritable menace pour l'ensemble de l'Amérique, c'est un individu cruel et malveillant - un jeune dictateur qui, s'il est élu, peut-être n'y aura jamais d'autres élections.”
Il est fréquent d'entendre le même refrain chez les Démocrates : Trump représente un danger fondamental pour la démocratie américaine. Trump incarne un nouvel Hitler.
Quand je l'entends, ne suis-je pas moralement légitimé d'éliminer ce danger? Si vous rencontrez Hitler sur votre route et que vous pouvez le tuer, ne serait-il pas moralement légitime de lui tirer une balle dans la tête? Plus récemment, un musulman a menacé la vie de Salman Rushdie. Il respectait la Fatwa. Les déclarations des démocrates concernant la personnalité de Trump ressemblent à une fatwa islamique, avec une performativité diachronique, qui se prolonge dans le temps.
Les paroles agressives qui ont construit Trump comme un Hitler contemporain prononcées par les démocrates afin de se maintenir au pouvoir ont donné à monsieur Thomas Matthew Crooks une légitimité morale pour commettre ce qui, dans sa conscience, ne serait pas une faute grave, car il aurait libéré le monde d'un Hitler odieux. Je ne comprends pas les politiciens qui ont contacté Trump pour lui exprimer leur compassion alors qu'ils l'ont traité de nouveau Hitler (qui a tué près de 6 millions de Juifs). Les politiciens ont appelé au meurtre de leur rival Trump, ce dernier a survécu ; les mêmes politiciens lui assure d’enquêter sur cette tentative d'assassinat et lui présentent des vœux de guérison. On élimine ce que l’on a qualifié de menace existentielle d’une part, et d’autre part on cherche à faire la lumière sur les raisons de cet attentat. Le monde politique est l'univers le plus étrange. Nous souhaitons à notre rivale une chose et son opposé. Non, en réalité, chacun est conscient que Trump est un père de famille qui a fait des avancées économiques dans la société américaines dans le domaine de la construction. Quand on le présente comme un Frankenstein à abattre, on sait qu'il s'agit d'un jeu politique pour attirer les suffrages. Cela explique la schizophrénie dont les hommes politiques américains font preuve en réaction à la tentative d'assassinat de Trump. On oublie qu’il peut y avoir une personne qui ne saisisse pas cette duplicité et qui va ouvrir le feu pour rester logique aux fatwa des politiciens sur Trump.
Une révolution philosophique s’avère aujourd’hui plus que nécessaire pour amener l’élite congolaise à abandonner les principes qui l’ont déconstruite.
La corruption, l’avidité, la primauté de l’intérêt personnel sur l’intérêt général, le manque d’amour du prochain, l’impunité, le goût du lucre, l’enrichissement sans cause ainsi que l’ensemble des valeurs éthiques désapprises sont autant des racines de ce cancer qui colonise tout le corps social de la République démocratique du Congo.
Voilà pourquoi, l’oncologue qui doit aider à guérir ce cancer doit concevoir une thérapie de choc : commencer par une éducation qui doit arriver à formater, à modeler, à initier le citoyen congolais à tout un univers des valeurs métaphysiques avant de procéder à l’ablation avec des scalpels acérés des parties sérieusement attaquées par l’affectation (le cancer).
Mais, la sempiternelle question reste celle de savoir si nous, Congolais, avons des ressources morales suffisantes pour châtier ceux de nos fils délinquants. Cette question est d’autant justifiée par ce que nous voyons actuellement. Lorsque l’occasion se présente de pouvoir sanctionner les gestionnaires indélicats des deniers publics, notre justice devient brusquement molle.
Mais, en fait, que vaut une société où la sanction est l’exception et l’impunité la règle ?
Lorsque l’on remonte à l’origine latine du mot corruption, on trouve qu’il signifie « décomposition, putréfaction, détérioration ». Une société où règne la corruption est une société en décomposition, en putréfaction. C’est une société pourrie, altérée, arriérée.
La corruption est devenue comme un sport national dans notre pays. Mais c’est l’élite qui en porte le chapeau. Elle qui, ontologiquement, est appelée à conduire, à guider le peuple.
Littéralement versée à la course de l’enrichissement sans cause, cette élite est devenue aujourd’hui l’hydre à sept têtes. Aussitôt qu’une tête est coupée, que l’autre surgit immédiatement, de sorte que la fin du combat n’apparaît jamais.
NIETSCHE disait que «Celui qui lutte contre les monstres doit éviter de devenir lui-même un monstre».
Cette élite qui devait conduire le peuple vers la lumière est devenue aujourd’hui le bourreau de ce même peuple : elle lui vole sans vergogne les richesses nationales qui devaient contribuer à sa prospérité matérielle.
Pendant les élections cette même élite s’est tournée, l’argent pour corrompre en mains, vers ce même peuple pour lui demander des suffrages afin de conquérir le pouvoir politique pour accéder encore à la source de l’argent facile.
Cette élite, une fois au pouvoir, oublie vite cette vérité séculaire que le Pape François nous a rappelée lors de sa visite à Kinshasa que « Le Pouvoir n’a de sens que s’il devient Service ».
Le pouvoir doit être au service de l’intérêt général. Et non au service de la famille ou des amis.
Et comme le singe reste toujours un singe fut-il habillé de pourpre, ainsi que le disaient les Grecs, cette élite complètement dévoyée, s’est encore illustrée par des actes de corruption et de détournements des deniers publics après les dernières élections.
Un jeans troué restera toujours un habit troué même si on l’a acheté chez Chanel !
Voilà pourquoi, nous préconisons une révolution philosophique qui nous permettra de redéfinir le type d’homme que nous souhaitons avoir en RD Congo. Il nous faudra aussi concevoir de nouveaux paradigmes pour Construire une nouvelle citoyenneté, pas celle qui se résume en une simple dénomination d’un ministère.
Il faut que les gens bons, ceux qui jouissent d’une pudeur morale ne se tiennent pas à l’écart comme ils le font présentement. Car leur silence est le meilleur allié de la perversité des gens nuisibles.
Les Congolais doivent cesser de s’enfermer dans des visions lénifiantes, doloristes et émotionnelles prêchées par des pasteurs inconscients et intéressés.
Ils doivent aussi et surtout abandonner des postures sclérosantes et écrasantes de victimes et qui font d’eux des attentistes d’un bonheur illusoire nourri par des promesses qui ne se réaliseront jamais.
Qu’ils retiennent qu’Il n’y a rien de noble et de grand qui s’obtient sans efforts et sans sacrifices dans cette Création !
La corruption et la concussion sont structurées en République Démocratique du Congo à travers des réseaux mafieux, capables d’autoprotection, de résistance et d’absorption d’une lutte de faible intensité. C’est des organisations dont le fonctionnement intègre la livraison de certains de leurs membres à la justice pour couvrir les grands manitous et empêcher de creuser en profondeur.
Des mesures prises pour s’attaquer à une fièvre de la justice malade, ne tenant pas compte du système de prédation mise en place, n’apporteront rien de consistant. Le réseau d’acquisition et de vente des maisons de l’Etat engage, pour son succès, des avocats, des magistrats, des membres du gouvernement, des agents des affaires foncières, des hommes d’affaires, des journalistes, des militaires, des parlementaires…
A la manière d’une association des malfaiteurs, des rôles sont exécutés, parfois de manière isolée et sans une connexion entre eux ou avec le tireur des ficèles. L’avocat, dont l’appétit du gain facile et rapide domine son serment, se trouve des arguments pour accepter une cause injuste, peut ne pas en connaître le bénéficiaire final. Le greffier, payé pour fabriquer ou falsifier un jugement, peut en ignorer l’utilisation finale. La corruption, l’inconscience et le manque de sérieux dans son travail permettent de relier les divers acteurs de la mafia. Chacun profite de sa position sociale, de sa fonction d’Etat, de son grade, de ses moyens d’influence sociale, de son ascendance ou de la faiblesse de l’autre pour abuser ou exploiter une situation en sa faveur. Le congolais est devenu le loup pour le congolais. Seulement, l’état de fonctionnement de l’Etat est tel que les infracteurs économiquement puissants trouvent des facilités d’opérer et une protection, y compris lorsqu’ils sont en prison ou en liberté provisoire.
Pire encore, c’est le congolais politicien de la race léopoldienne des prédateurs : roublards, escrocs, condescendants, prêts à tuer pour son intérêt et sans compassion envers les victimes de leur cruauté. Ce qui n’est pas une fatalité. Nous pouvons changer l’ordre des choses et construire un système de gouvernance fondé sur le respect de la vie et la foi dans le travail honnête et bien fait, ainsi que sur le souci de l’honneur, de la réussite par le mérite, de l’effort personnel et collectif et de la satisfaction dans le bien fait à l’autre ou à la communauté.
Le type d’action populaire du Ministre d’Etat Constant Mutamba aidera à solutionner des cas et à nourrir, pour un temps, l’espoir de la population de guérir la justice. Mais, cette manière d’agir court le grand risque d’être un remède inefficace si elle ne s’accompagne d’une action structurée et bien réfléchie de nature à détruire un système mafieux, dont les racines sont dans le mental du grand nombre des gouvernants et des gouvernés, qui pensent vivre ou survivre par la prédation.
Lorsque la corruption et l’impunité sont consacrées à travers des lois taillées sur mesure, le seul courage politique salutaire à démontrer est celui d’insuffler un esprit nouveau permettant la renaissance de l’ordre juridique.
En assurant légalement une sorte d’impunité en faveur d’un ancien Président de la République, ce dernier entraine dans son privilège légal de citoyen exceptionnel un grand nombre de personnes qui ont participé à ses crimes.
Quelques cas de ceux qui ont le privilège de joindre le ministre peuvent être traités. Il y en aura combien, alors que le fléau est national, sur 2.345.410 Km², sur une plus grande partie inaccessible et presqu’en dehors de la modernité ?! Il faut une lutte permettant aux institutions de fonctionner pour répondre directement au besoin, au lieu de laisser la solution à un leadership singulier et éphémère. On ne peut avoir un résultat fiable et durable contre des épidémies du genre injustice, corruption et concussion en les laissant entre les mains du ministre de la justice sans une volonté de leur éradication largement partagée entre le parlement, le pouvoir exécutif, le pouvoir judiciaire et la société civile.
L’administration publique, qui dispose d’un personnel qualifié pour enregistrer les doléances des administrés et pour rendre les services dont la population a besoin, devra fonctionner et laisser le personnel politique faire son travail de conception des politiques publiques, d’élaborations des textes juridiques, de programmation des actions, d’orientation de la société, de mise en œuvre des politiques et d’application des principes. Ce dysfonctionnement de tout le monde qui fait tout pour montrer l’efficacité sur terrain est le signe de crise du système de gouvernance.
Chaque fois que le Président de la République ou un ministre doit se trouver sur un chantier pour que les travaux se fassent ou reprennent, il est clair que la chaîne de commandement est en panne. Un maillon de la chaine de gouvernance n’a pas fonctionné. Le système de gouvernance doit fonctionner pour que chaque acteur soit à sa place, y travaille, rende compte et soit sanctionné ou écarté lorsqu’il devient un blocage ou un danger pour l’intérêt général. N’allons-nous pas perdre beaucoup d’énergie dans des gesticulations et harangues spectaculaires sans toucher le fond des problèmes ?! Il faut oser des réformes audacieuses et courageuses pour toucher la racine du mal, même lorsqu’elles doivent exiger une nouvelle Constitution, de nouvelles lois et d’autres acteurs appropriés.
QUELQUES PROPOSITIONS A INTEGRER DANS LA REFORME DE LA JUSTICE CONGOLAISE POUR LES BESOINS DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ET LA CONCUSSION SONT SUR LE PLAN DES TEXTES JURIDIQUES.
L’ASSURANCE D’UNE JUSTICE INDEPENDANTE PAR LA DOTATION DU POUVOIR JUDICIAIRE D’UN BUDGET PROPRE, élaboré par les magistrats en fonction des besoins du Pouvoir judiciaire, envoyé au Parlement pour insertion dans le budget général, défendu au Parlement et exécuté par le Président du Conseil supérieur de la Magistrature.
Un tel budget devra donner à chaque magistrat une meilleure qualité de vie, le mettant à l’abri de la pauvreté et dans les meilleures conditions de travail. Le Gouvernement ne devra surtout pas intervenir dans l’exécution du budget du Pouvoir judiciaire pour respecter son indépendance. Mais l’exécution de ce budget devra être soumise au contrôle juridictionnel de la Cour des comptes et administratif de l’Inspection Générale des Finances.
2. LA PARTICIPATION DE LA POPULATION A LA DESIGNATION DES MAGISTRATS POUR JUSTIFIER CETTE JUSTICE RENDUE AU NOM DU PEUPLE par : - l’affichage de la liste des candidats magistrats en vue d’éventuelle opposition, comme cela se fait pour les avocats. - L’examen des dossiers des candidats par une commission ad hoc constituée des représentants du Conseil supérieur de la magistrature, du Parlement, de la Présidence de la République, du Ministère de la Justice, du Barreau et de la société civile, avant la nomination par le Président de la République.
3. LA REDEFINITION DU CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE POUR LE CORRESPONDRE AVEC LA JUSTICE RENDUE AU NOM DU PEUPLE en intégrant dans cette structure, avec voix consultative, les représentants des avocats, de la société civile et du personnel judiciaire.
4. LA SUPPRESSION DES PRIVILEGES DE POURSUITE DONT JOUISSENT UN ANCIEN PRESIDENT DE LA PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, UN ANCIEN PREMIER MINISTRE ET LES PARLEMENTAIRES, de manière à restreindre le cercle de l’impunité des gouvernants.
5. LA PENALISATION DE L’ABSTENTION DE DENONCIATION AVEREE D’UNE INFRACTION GRAVE, notamment dans les cas du crime de sang, de la trahison, de l’espionnage, du détournement public, de la fraude économique, de faux en écriture. Une disposition qui devra s’accompagner du système de protection et d’encouragement du dénonciateur.
6. LA CONDAMNATION AU PAIEMENT DES DOMMAGES ET INTERETS DU MAGISTRAT RECONNU COUPABLE DE DOL, DE CONCUSSION OU DE DENI DE JUSTICE SUR PRISE A PARTIE. Le magistrat devra réparer personnellement sa faute et laisser l’Etat congolais venir uniquement en garantie de paiement.
7. L’INSTAURATION D’UN REGIME DE SANCTION ET D’INDEMNISATION CONTRE TOUT RETARD VOLONTAIRE, NON JUSTIFIEE OU ABUSIF DANS LA DELIVRANCE D’UN ACTE ADMINISTRATIF OU JUDICIAIRE en adaptant et élargissant le champ d’application de l’article 150 g du Code pénal, livre II, apparemment tombé en désuétude : « … tout fonctionnaire public, officier public, toute personne chargée d'un service public qui s'abstiendra volontairement de faire, dans les délais impartis par la loi ou par les règlements, un acte de sa fonction ou de son emploi qui lui a été demandé régulièrement, sera puni d'une servitude pénale de six mois ….
Il en est de même lorsqu'il s'abstient volontairement de faire un acte de sa fonction ou de son emploi pour lequel aucun délai n'a été préétabli et qui lui a été demandé régulièrement, si ce retard est manifestement exagéré ».
8. LA REFORME DU BARREAU EN :
a) Incluant dans la formation de l’Avocat stagiaire un passage d’un an au Parquet et au Centre de documentation du Ministère de la Justice pour lui permettre d’avoir une meilleure maîtrise de l’appareil judiciaire et de la jurisprudence. Ce qui peut permettre aussi de régler la question de carence des magistrats du Parquet.
b) Créant une fédération des barreaux, dont le rôle essentiel sera d’harmoniser les règles de la profession d’Avocat.
c) Rendant obligatoire la formation continue, pour chaque Avocat, par la participation à des conférences, des séminaires de formations, des cours d’approfondissement. Un nombre d’heures/an de formation sera déterminée, à défaut duquel une action disciplinaire est engagée.
d) Organisant la responsabilité civile de l’Avocat pour ses fautes professionnelles et la couverture de ses risques par une assurance obligatoire.
9. L’OBLIGATION POUR TOUT MAGISTRAT DE PUBLIER OU DE SUIVRE UN NOMBRE D’HEURES DETERMINEES DE FORMATION pour obtenir une promotion.
10.LA POURSUITE EN JUSTICE POUR REBELLION DE TOUT MAGISTRAT QUI REFUSE DE REJOINDRE SON LIEU D’AFFECTATION. L’installation des tribunaux devra s’accompagner d’autres services : police, prisons, inspecteurs judiciaires, barreaux, logements…C’est une grande opportunité de créer des emplois à l’intérieur du pays.
11.LA REFORME DU PROGRAMME DES COURS DE LA FACULTE DE DROIT, afin d’assurer la collaboration entre l’Université et l’appareil judiciaire et d’intégrer les notions et exercices nécessaires à la lutte contre la criminalité économique et à la formation de la conscience du magistrat et de l’avocat.
Pour conclure, la bonne santé de la justice congolaise passe par la volonté politique que devront partager toutes les institutions publiques pour commencer par une révolution législative et un programme de formation scientifique et morale des acteurs judiciaires.
La justice congolaise malade ne peut guérir que par la renaissance de l’Etat congolais, entrainant celle de la justice.
La Kombolisation est en marche.
Bamuangayi Kalukuimbi Ghislain
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Position officielle de la population du grand Equateur et du Ciegs RDC- Afrique : Ong de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et obligations des citoyens et de développement rapide, durable et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde face aux revendications pertinentes de la dite population du grand Equateur qui réclament absolument, indiscutablement et incontestablement le poste de président du Sénat durant le deuxième mandat politique du Chef de l’Etat et Président de la Republique Democratique du Congo.
Rappelant encore une fois de plus les alinéas 4 et 5 du Préambule de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui disposent en ces termes nous citons : « Considérant que l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, par leurs multiples vicissitudes sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays » et « affirmant notre détermination à sauvegarder et à consolider l’indépendance et l’unité nationales dans le respect de nos diversités et de nos particularités positives ».
Encore une fois de plus rappelant clairement le contenu global des articles 11, 12, 13, 22, 23 et 27 relatif aux Droits Civils et politiques en République Démocratique du Congo que voici et qui disposent en ces termes nous citons :
Article 11 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Toutefois, la jouissance des droits politiques est reconnue aux seuls Congolais, sauf exceptions établies par la loi.
Article 12 : Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois.
Article 13 : Aucun Congolais ne peut, en matière d'éducation et d'accès aux fonctions publiques ni en aucune autre matière, faire l'objet d'une mesure discriminatoire, qu'elle résulte de la loi ou d'un acte de l'exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, à une ethnie, à une tribu, à une minorité culturelle ou linguistique.
Article 22 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Toute personne a le droit de manifester sa religion ou ses convictions, seule ou en groupe, tant en public qu'en privé, par le culte, l'enseignement, les pratiques, l'accomplissement des rites et l'état de vie religieuse, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public, des bonnes mœurs et des droits d'autrui. La loi fixe les modalités d'exercice de ces libertés.
Article 23 : Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit implique la liberté d'exprimer ses opinions ou ses convictions, notamment par la parole, l'écrit et l'image, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public et des bonnes mœurs.
Article 27 : Tout Congolais a le droit d'adresser individuellement ou collectivement une pétition à l'autorité publique qui y répond dans les trois mois. Nul ne peut faire l'objet d'incrimination, sous quelque forme que ce soit, pour avoir pris pareille initiative.
Rappelant encore une fois de plus le fait que l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo tels que mentionné ci - haut interdit formellement et clairement toute forme d’injustice et de discrimination possibles en République Démocratique du Congo de quelle nature que ce soit, d’où qu’elles viennent et d’où qu’elles se produisent.
Soucieux de garantir et de préserver la paix sociale, la cohésion nationale, la sécurité, la stabilité ainsi que l’unité nationale de la République Démocratique du Congo.
Insistant sur le fait que pour ne pas discriminer, marginaliser, frustrer, omettre, bannir et exclure totalement et complètement et encore une fois de plus comme ce fut le cas durant le premier mandat du Chef de l’Etat et Président de la République, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone ou le Grand Equateur dans la gestion représentative, égalitaire, équitable et équilibrée et la direction de l’une des quatre Institutions politiques les plus en vue en RDC durant le deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo.
Rappelant encore une fois de plus clairement le fait que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur n’accepte pas et n’acceptera pas encore toute forme d’injustice possible et sans précédent et d’où qu’elle vienne, d’exclusion, d’omission, de bannissement du Grand Equateur ou de la zone ou l’espace linguistique lingala phone en RDC dans le gestion égalitaire, équitable et équilibrée et dans la direction représentative de l’une des quatre Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, ce qui est totalement inacceptable, injuste, injustifié, discriminatoire, indescriptible, insupportable, inadmissible et intolérable en République Démocratique du Congo.
C’est depuis un certain temps que la population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE font le monitoring et suivent de très près, dans les moindres détails et avec beaucoup d’attention soutenue à la radio, à la télévision, à la presse écrite et dans les réseaux sociaux les multiples déclarations politiques des uns et des autres, le débat houilleux et passionné autour de l’occupation du Poste du Président du Sénat durant le deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo et remercient sincèrement toute autre personne sans exception et exclusion de l’espace ou la zone linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur pour sa vigilance, son attention et son sens élevé du patriotisme, de la paix, de la cohésion et de l’unité nationales, gages de la prospérité et du développement rapide, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo.
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent avec beaucoup d’attention que toute autre personne sans exception et exclusion du Grand Equateur et de la zone ou l’espace linguistique lingala phone en République Démocratique du Congo refuse comme les autres personnes de voir injustement le Grand Equateur ou l’espace ou la zone linguistique lingala phone d’être encore cette fois ici durant le deuxième mandat du Président de la République banni, omis, méprisé, discriminé injustement et écarté de la gestion égalitaire, équitable et équilibrée et de la direction représentative d’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC et ne cautionnera pas et n’acceptera pas encore une fois de plus être d’injustement victime des mesures discriminatoires dans la distribution des postes de responsabilités en RDC et de ce fait continue de réclamer comme le reste de la population et l’ensemble forces vives du Grand Equateur le poste du Président du Senat durant le deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo.
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent que pour des raisons purement géostratégiques, la géopolitique représentative et l'équilibre linguistique doivent être désormais scrupuleusement respectés, sauvegardées et publiquement soutenues en République Démocratique du Congo pour ne pas donner l'avantage aux mêmes personnes, aux mêmes contrées, aux mêmes provinces, aux mêmes régions et zones ou espaces linguistiques en République Démocratique du Congo et continuer de gérer indéfiniment et sans fin et d’occuper la tète des Quatre (4) Institutions les plus en vue de la République Démocratique du Congo.
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE n’acceptent pas un seul jour et n’accepteront plus jamais toute forme d’injustice, de mépris, de bannissement, d’omission, de marginalisation et de discrimination vis-à-vis de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur d’où d’elle viennent et de quelque manière qu’elles se produisent ainsi que vis-à-vis de la dite population résidente dans la zone ou espace linguistique lingala phone en RDC. Plus jamais ca en République Démocratique du Congo.
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent que dans le cadre de la géostratégie et de la géopolitique représentative en RDC, se souviendront que lorsque le Président de la République Démocratique du Congo avait initié et créée l’Union Sacré de la Nation, il avait mis en place un Présidium très représentatif composé des quatre (4) espaces ou zones linguistiques à savoir : la zone ou espace linguistique Tshiluba phone, la zone ou espace linguistique Kikongo phone, la zone ou espace linguistique Swahili phone et enfin la zone ou espace linguistique Lingala phone et durant son premier mandat passé à la tête de la RDC, toutes les zones ou espaces linguistiques qui devraient logiquement en toute impartialité et en toute vérité participer activement de façon égalitaire, représentative, équitable et équilibrée dans la gestion égalitaire du pays en dirigeant ne fut ce qu’une Institution politique parmi les quatre (4) les plus en vue de la RDC ont étés servis et le constat fait était très amer et que toutes les autres zones ou espaces linguistiques de la RDC avaient été servis dans le cadre de ce partage des responsabilités au sein de la République sauf la zone ou espace linguistique Lingala phone qui était discriminé injustement, omis, méprisé, banni et écarté de la gestion égalitaire, équitable et équilibrée de l’une des Institutions politiques les plus en vue de la République Démocratique du Congo.
De ce fait, la Présidence de la République Démocratique du Congo durant le premier mandat du Chef de l’Etat était dirigée par un ressortissant de l’espace ou zone linguistique Tshiluba phone en occurrence Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, la Présidence du Sénat était dirigée par un ressortissant de la zone ou de l’espace linguistique swahili en occurrence l’Honorable Modeste BAHATI LUKWEBO, la Présidence de l’Assemblée Nationale était dirigée par un ressortissant de la zone ou de l’espace linguistique Kikongo en occurrence l’Honorable Christophe MBOSO KODIA PWANGA, le Gouvernement de la République coordonné par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement était dirigé encore une fois par un ressortissant de la zone et de l’espace linguistique Swahili en occurrence son Excellence SAMA LUKONDE.
Donc concrètement et ce faisant, la population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent que durant le premier mandat du Président de la République Démocratique du Congo, si nous faisons le bilan, l’évaluation et les statistiques, la zone ou l’espace linguistique swahili phone avait occupé successivement deux postes clés de la République à savoir : la Présidence du Sénat et le Poste du Premier Ministre, la zone ou l’espace linguistique Kikongo phone avait occupé un poste clé de la République à savoir : l’Assemblée Nationale, la zone ou l’espace linguistique Tshiluba phone avait occupé un seul poste stratégique à savoir : la Présidence de la République Démocratique du Congo tandis que la zone ou l’espace linguistique Lingala phone n’avait pas occupé et dirigé même une seule institution politique de la République Démocratique du Congo et était complètement oublié, injustement discriminé, méprisé, ignorée, écartée et banni de la gestion égalitaire, équitable et équilibré et de la direction d’une Institution politique le plus en vue parmi les quatre (4) de la République Démocratique du Congo.
En plus, durant ce deuxième mandat du Chef de l’Etat, l’Institution Président de la République Démocratique du Congo est actuellement dirigée par un ressortissant de l’espace ou zone linguistique Tshiluba phone en occurrence Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, la Présidence de l’Assemblée Nationale est actuellement dirigée par un ressortissant de la zone ou de l’espace linguistique Swahili en occurrence l’Honorable Vital KAMHERE, le Gouvernement de la République coordonné par la Première Ministre, Chef du Gouvernement est actuellement dirigé par une ressortissante de la zone et de l’espace linguistique Kikongo en occurrence son Excellence Judith SUMINWA TULUKA, tans disque l’espace ou la zone linguistique Lingala phone représenté par le Grand Equateur et qui n’a pas encore dirigé une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC depuis le Premier mandat politique du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo jusqu'à ce jour attends avec impatience de diriger cette fois ici l’unique poste vacant qui reste de la Présidence du Sénat en RDC qui doit absolument, incontestablement et indiscutablement revenir à la zone ou espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur au nom de la géopolitique représentative et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques au sein des quatre (4) Institutions les plus en vue en RDC à savoir : l’Institution Président de la République, l’Institution Gouvernement de la République à travers le poste du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, l’Institution Parlement bicaméral avec le poste du Président de l’Assemblée Nationale et le Poste du Président du Sénat et aussi et cela de surcroit au nom et pour des raisons de la paix, la sécurité, la stabilité, le cohésion et l’unité nationales que la République Démocratique du Congo a grandement besoin en cette période cruciale et difficile de la guerre de rébellion et d’agression que notre pays est entrain de traverser à l’Est de la République Démocratique du Congo qui ne cesse de causer des graves préjudices moraux, matériels, financiers confondus inestimables et incommensurables à la population congolaise de l’Est du pays et à l’ensemble de la République ainsi que des dommages à la RDC, des familles entières déracinées et déplacées, des femmes abusivement violées, des enfants abusivement enrôlés dans l’armées par les groupes rebelles et les armées étrangères d’occupation selon tous les rapports des Experts des Nations unies, des multiples, flagrantes et systématiques violations des Droits de l’Homme et du Droit International et autres.
C’est pourquoi, vu tout ce qui précède, vu l’urgence et l’état de nécessité, la population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent que pour ne pas répéter les erreurs du passée comme l’avait clairement indique le Président de la République Démocratique du Congo le Samedi le 20 Janvier 2024 lors de la prestation de son serment constitutionnel à la magistrature suprême devant la nation Congolaise, il est souhaitable et recommandable que cette fois ici, durant son second mandat cette erreur qui consisterait de discriminer injustement, d’omettre, de bannir, d’écarter et de mépriser la zone ou l’espace lingala phone dans la gestion représentative, égalitaire, équitable et équilibré par la direction d’une Institution de la République parmi les quatre (4) les plus en vue de la République soit rapidement corrigée et prenne définitivement fin et s’arrête vite et sans plus tarder en République Démocratique du Congo et cela pour des raisons de la paix , de la sécurité, de la stabilité, de la cohésion et de l’unité nationales, gages de développement durable, intégral et harmonieux de la République Démocratique du Congo .
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent qu’Il existe quatre (4) zones ou espaces linguistiques en République Démocratique du Congo à savoir : la zone ou l’espace linguistique Tshiluba phone, la zone ou l’espace linguistique Kikongo phone, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone et enfin la zone ou l’espace linguistique Swahili phone et en outre, il existe aussi quatre (4) postes des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC à savoir : le Président de la République, le Gouvernement dirigé par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Président de l’Assemblée Nationale et le Président du Sénat que nous voulons bien voir chaque zone ou espace linguistique à travers son représentant occuper et diriger chacune de ses institutions politiques et cela dans le cadre de la géopolitique représentative et pour de raisons de la paix, de la cohésion nationale, de la sécurité et de la stabilité de la Rd Congo et pour éviter toute forme de discrimination, d’injustice, de mépris, de frustration et créer des mécontentements populaires d’une zone ou espace linguistique qui tout en se voyant écartée, discriminée injustement, omis, banni et marginalisé de la gestion représentative, égalitaire, équitable et équilibré de la République à travers la direction d’une Institution politique de la République et de ce fait ne participera pas à la gestion du pays à travers une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue de la République Démocratique du Congo.
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent que les Institutions de la République doivent être fortement représentatives, puissantes, performantes et efficaces afin d'équilibrer aussi les zones et les espaces linguistiques qui sont une réalité géopolitique, représentative, sociologique et socioculturelle à ne pas négliger dans la gestion et de garantir la gouvernance politique en RDC au risque de créer des frustrations et des mécontentements populaires de part et d'autre.
C'est pourquoi, la population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent que pour des raisons de la paix sociale, de la cohésion sociale, de la sécurité, de la justice et de la stabilité de la RDC, il est désormais souhaitable et recommandable que la géopolitique représentative et la géostratégie soient respectées et appliquées et que toutes les provinces ainsi que les zones et les espaces linguistiques du pays doivent être représentés au sein d’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue de la République Démocratique du Congo à travers les (4) quatre postes politiques à savoir : le Président de la République, le Gouvernement dirigé par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Président de l’Assemblée Nationale et enfin le Président du Sénat.
La population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent aussi que les équilibres politiques selon les quatre (4) zones ou espaces linguistiques doivent absolument, indiscutablement et incontestablement être respectées en RDC dans la gouvernance politique ainsi que la représentativité linguistique et cela de façon égalitaire, équitable et équilibrée en fonction des zones ou des espaces linguistiques en République Démocratique du Congo au sein des quatre postes des Quatre (4) Institutions politiques de la RDC à savoir : le Président de la République, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Président de l’Assemblée Nationale et enfin le Président du Sénat et cela nous le répétons encore une fois de plus pour ne pas frustrer et discriminer injustement, bannir, marginaliser une zone ou espace linguistique et au risque de le voir être écarté de la direction d’une des Quatre (4) Institutions citées ci – haut et susciter des mécontentements populaires en RDC, ce qui malheureusement ne sera pas une très bonne chose en République Démocratique du Congo et pourrait compromettre la paix, la sécurité, la stabilité, la cohésion et l’unité nationale du pays en cette période difficile et cruciale de la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, vu tout ce qui précède, la population du Grand Equateur et LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET OBLIGATIONS DES CITOYENS ET DE DEVELOPPEMENT RAPIDE, DURABLE ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE considèrent, demandent et recommandent au Chef de l’Etat Congolais et Président de la République Démocratique du Congo, Garant du bon fonctionnement de toutes les Institutions politiques de la République conformément à l’article 69 de la Constitution de la République Démocratique du Congo d’agir rapidement, en toute diligence et sans plus tarder afin de mettre définitivement fin à cette forme d’injustice, de mépris, de discrimination, de confusion possibles et de bannissement total de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur dans la gestion égalitaire, équitable, équilibré d’une Institution politique parmi les (4) quatre les plus en vue en RDC et de faire de sorte que la Présidence du Senat durant son deuxième mandat revienne absolument, indiscutablement et incontestablement à la zone et l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur, ce qui garantira en toute évidence la paix sociale, la cohésion nationale, la sécurité et la stabilité de la République Démocratique du Congo ainsi que de toutes ses Institutions Politiques durant son deuxième mandat à la Magistrature Suprême et à la tète de la République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, pour terminer et conclure cette réflexion importante et pertinente, la population du Grand Equateur ou de la zone ou l’espace linguistique lingala phone ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE et ASBL à travers ses trois vastes programmes géostratégiques, spéciaux et permanents à savoir : LA SOCIETE CIVILE DE LA RECOMPOSITION ET RESTRUCTURATION DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO en sigle LA SOCIRECO et LE CAUCUS DU GRAND EQUATEUR POUR LE MIEUX ETRE SOCIAL ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO et aussi de L’ETAT DE DROIT ET LA JUSTICE SOCIALE DISTRIBUTIVE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO lancent encore une fois de plus et pour la nième fois un S.O.S et un appel urgent au Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en sa qualité de Garant du bon fonctionnement de toutes les Institutions, des pouvoirs publics ainsi que de la continuité de l’Etat en République Démocratique du Congo d’agir rapidement en fonction de ses prérogatives constitutionnelles tels que les disposent clairement l’article 69 de la Constitution de la République Démocratique du Congo afin de trancher et d’arbitrer définitivement et de résoudre rapidement, efficacement et durablement cette crise et cette situation inquiétante, alarmante et embarrassante qui continue de faire couler beaucoup des larmes, d’encres et de salive et des grincements de dents et créée de la confusion, de la contradiction et de la cacophonie en République Démocratique du Congo à travers plusieurs déclarations politiques à la radio, à la télévision, à la presse écrite et dans les réseaux sociaux et cela dans le cadre de la géopolitique représentative en RDC et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques entre les différentes zones ou espaces linguistiques congolais afin que le Grand Equateur occupe définitivement durant son second mandat politique le Poste du Président du Sénat en RDC et cela pour des raisons de la paix sociale, de l’unité nationale, de la cohésion nationale, de la concorde et de l’harmonie, mais aussi pour corriger définitivement toute forme d’injustice et de discrimination vis-à-vis du Grand Equateur ou de la zone ou espace linguistique Lingala Phone durant son deuxième mandat et nous le répétons encore une fois de plus et tout cela nous le répétons encore une fois de plus pour faire correctement les choses et pour ne pas rééditer, recopier et répéter les erreurs du passé comme l’avait clairement et publiquement déclaré le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en présence de tous lors de la cérémonie de sa prestation de serment constitutionnel de son deuxième mandat politique à la tète de la RDC stade des Martyrs de la Pentecôte le 20 Janvier 2024 en présence de tous. Et nous croyons fermement à la bonne volonté du Chef de l’Etat et Président de la République ainsi que ses capacités spirituelles, morales, physiques, matérielles, politiques, diplomatiques, managériales, géopolitiques et géostratégiques et autres de le faire et de faire correctement et rapidement les choses en RDC et de résoudre définitivement et durablement cette crise et cette situation alarmante, embarrassante, confusionnelle et très inquiétante au Congo-Démocratique. Et ce justice sera définitivement faite au Grand Equateur ou à la zone ou espace linguistique lingala phone durant son second mandat à la magistrature suprême et à la tête de la République Démocratique du Congo.
James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU
ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Président – Fondateur et Président Exécutif International
Paul Kagame, l’a emporté à la soviétique à la présidentielle organisée dans son pays ce 15 juillet. Pis encore, avec 99, 18 %, il bat le record de tous ses scores réalisés jusque-là : 98,79 % en 2017, 93,08 en 2010 et 95 % en 2003. Ce qui n’est nullement synonyme de popularité et de confiance, mais plutôt de dictature, de manque de concurrence, de noyautage de l’espace politique et de musellement de l’opposition légitime et crédible. Embarrassés, ses soutiens occidentaux (USA, Royaume Uni et France), sur fond de la trêve humanitaire décrétée et prolongée dans le conflit à l’Est de la RDC, tardent à le féliciter contrairement à une poignée des présidents africains.
Quel est l’impact de ces élections rwandaises sur la situation en RDC ?
Aucun. Cependant, avec leurs atours et forme «démocratique», elles constituent, bien que sans enjeu, une onction pour légitimer davantage le dictateur et roi rwandais, habillé aux richesses de la RDC.
La parodie ou le simulacre des élections a tenu ses promesses au Rwanda ce 15 juillet. Sans enjeu et programmées, ces élections ont vu Paul Kagame se succéder à lui-même à la soviétique, l’emportant ainsi avec 99,18 % pendant que ses deux challengers faire-valoir, Frank Habineza (opposant) et Philippe Mpayimana (indépendant) s’en tirent respectivement 0,53 et 0,32 %.
Comme d’habitude, son parti, le FPR, a aussi signé son hégémonie aux législatives en raflant 69 %, sans compter que trente autres sièges sur les quatre-vingts que compte l’Assemblée nationale seront pourvus par des gens désignés provenant des rangs du régime. D’autre part, avec 99, 18 %, Paul Kagame, qui tient à s’identifier au peuple rwandais, bat le record de tous ses scores réalisés jusque-là : 98,79 % en 2017, 93,08 en 2010 et 95 % en 2003. Ce qui n’est nullement synonyme de popularité et de confiance, mais plutôt de dictature, de manque de concurrence, de noyautage de l’espace politique et de musellement de l’opposition légitime et crédible.
Une poignée des présidents africains, notamment l’Ougandais Museveni, le Kényan Ruto et le roi Mohamed VI du Maroc, ont félicité, aussitôt après les résultats provisoires annoncés, le maître de Kigali. Jusque-là, ses grands soutiens occidentaux, à savoir les Américains, les Britanniques et les Français tardent à le féliciter.
Peut-être qu’ils attendent le faire après la proclamation des résultats définitifs le 27 juillet. De toutes les façons, ils sont embarrassés pour un allié qui exclut l’opposition critique des élections, qui excelle dans une gouvernance dictatoriale impitoyable qui s’étend même aux opposants à l’étranger, sans la moindre tolérance pour les droits de l’homme et qui déstabilise un pays voisin, la RDC, à qui il impose, sous l’œil complice de la communauté internationale, une guerre injuste depuis trente ans sur fond d’un pillage systématique de ses ressources et d’une crise humanitaire innommable avec plus sept millions de déplacés internes.
Contrairement aux élections en RDC où les projecteurs de l’Occident sont braqués à travers leurs missions d’observation électorale, sans noter des déclarations tonitruantes des personnalités politiques de premier rang, le silence est total. Aucune mission d’observation électorale, soit-elle de l’Union européenne, ne s’est bousculée aux portillons du Rwanda pour donner un point de vue par la suite. Personne d’entre les dirigeants occidentaux ne se hasarde à émettre des doutes sur l’organisation desdites élections, ni sur leurs résultats.
Bref, personne n’ose donc contester ce simulacre d’élections avec des atours et forme quelque peu «démocratique» constituant une onction pour légitimer davantage le pouvoir autocratique du dictateur et roi rwandais s’habillant aux richesses du Congo. En effet, dit Erik Kennes, Paul Kagame est devenu, de par son armée, un instrument important pour certains aspects de la politique de l’ONU, des Etats-Unis et de l’Union européenne dans la région, notamment la lutte contre les mouvements islamistes dans la province de Cabo Delgado au Mozambique, ou la livraison des troupes pour les missions de l’ONU en République Centrafricaine et au Soudan du Sud. Aussi intervient-il dans la guerre à l’Est de la RDC comme un proxy de différentes firmes et différents pays occidentaux. Voilà pourquoi il n’y a aucune sanction qui tombe sur Kigali, malgré les condamnations de ses crimes économiques, de guerre et contre l’humanité au Congo.
Pas d’impact avec la situation en RDC.
Au Congo, la politique d’expansion du régime Kagame reste la même avant comme après ces élections du 15 juillet dont il est sorti vainqueur. Le contraire aurait étonné ; lesdites élections étant programmées. Elles ne sont autre chose qu’une onction pour plus de légitimité. Cependant, la lecture reste difficile à faire entre leur tenue et la trêve humanitaire décrétée par les Américains dans le conflit à l’Est du Congo dix jours avant, consécutivement à la chute de la cité de Kanyabayonga, dans le grand Nord de la province du Nord-Kivu. Laquelle trêve est prolongée de deux semaines aussitôt après la tenue desdites élections.
Une question alors : si les Etats-Unis sont capables de décréter la trêve humanitaire, pourquoi pas ne peuvent-ils pas carrément mettre fin à cette guerre qui n’en finit pas ? Mais, aussi paradoxal que cela puisse paraître, les Américains laissent entendre que les Rwandais en sont maintenant au-delà du simple soutien au M23, mais ils exigent cependant des négociations entre la RDC et son agresseur.
Les anciens parlementaires suggèrent l’adoption d’une proposition de loi portant création d’une commission paritaire parlement et gouvernement en charge de fixation des indemnités des parlementaires et des membres du gouvernement central. Ils l’ont dit dans une déclaration faite samedi 13 juillet 2024 au Palais du Peuple, par le biais de leur Président, Jérome Lumuna Ndubu Jérôme, Avocat de Profession, Commissaire du Peuple, Conférencier, Conseiller de la République, Sénateur, Vice-Ministre de l’ intérieur et de la Sécurité du Territoire, Vice- Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Chef du Parti DP-RDC, dignitaire d’ Etat pour être Chevalier de l’ Ordre national du Léopard et Ecrivain auteur de l’ ouvrage « pouvoir Constituant en RDC de 1960 à nos jours » trouvable à la Bibliothèque nationale qui en éclaire le bien- fondé comme suit :
DE LA DEFINITION
La Commission Paritaire Parlement et gouvernement est une structure étatique en charge de fixation des indemnités des parlementaires allant du Premier Ministre Chef du gouvernement aux Vice-Ministres membres du gouvernement central.
DE L’EXISTENCE
Cette Stricture a existé dans notre pays et avait été consacrée par l’Acte Constitutionnel de Transition du 19 avril 1994 en son article 73.
Article 73 : Les conseillers de le République ont droit à une indemnité équitable qui leur assure l’indépendance et une sortie Honorable. Cette indemnité est fixée par une Commission paritaire composée des membres du Haut Conseil de la République- Parlement de Transition et du gouvernement.
DE LA FIXATION DES INDMNITES DES PARLEMENTS ET DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT
La Commission susmentionnée avait fixé les indemnités des Parlements et des membres du gouvernement comme suit : « DECISION PORTANT FIXATION DES INDEMNITES DES CONSEILLERS DE LA REPUBLIQUE ET DES MEMBRES DU GOUVERMENTS »
La commission Paritaire HC.R-PT et gouvernement ;
Vu l’acte constitutionnel de la Transition HCR-PT et gouvernement en son article 73 ;
Considérant les circonstances du moment caractérisées d’ une part par une baisse sensible du pouvoir d’achat et d’autre par une forte diminution des recettes de l’Etat ;
Considérant le rapport de la sous-Commission chargée d’harmoniser la hauteur des indemnités des conseilleurs de la République et des Membres du gouvernement, rapport adopté par la Commission à la séance du 16/05/ 1997 au Palais de la Nation ;
DECIDE
Article 1er : Les indemnités des conseillers de la République et de Membres du gouvernement sont fixées de la manière suivante :
NZ. 100.000.000 Pour le Conseiller de la République
NZ 133.000.000 Pour le 2eme Secrétaire Rapporteur du H.CR-PT et Vice-Ministre
NZ 200.000.000 Pour le premier Sectaire Rapporteur du H.C.R-PT et le Ministre
NZ 250.000.000 Pour le 2eme Vice- Président du H.C.R-PT ;
NZ 300.000.000 Pour le 1er Vice-Président du HCR-PT et le Vice-Premier Ministre ;
NZ 400.000.000 Pour le 1er Ministre ;
NZ 433.000.000 Pour le Président du H.C.R-PT
Article 2 : Les arriérés dus aux Conseillers de la République, pour le mois de Janvier, Mars et Avril sont payés au même moment que les indemnités fixées ci-haut.
Fait à Kinshasa, le 16 mai 1997
Pour la délégation du gouvernement
Kasereka Kasaï
Ministre de Finance
1er Rapporteur de la Commission Paritaire
Pour la Délégation du HCR-PT
Kabimbi Ngoy
2eme Vice-Président du H.CR-PT
Président de la Commission Paritaire
de l’allongement mutatis mutandis aux membres des Assemblées Provinciales, des conseils Municipaux et Urbains, des Gouverneurs, Vice-gouverneurs, Maires Bourgmestres
La logique juridique et politique voudrait que la Commission paritaire soit de mise mutatis mutandis aux membres des Assemblées et des gouvernements provinciaux et locaux.
Il devra en être de même en ce qui concerne la loi portant régime spécial de sécurité sociale pour les Parlementaires.
La loi électorale en vigueur dans notre pays en forme une illustration éloquente, car elle régit les élections présidentielles, législatives nationales, législatives provinciales, sénatoriales, des gouverneurs et Vice- gouverneurs ; municipales, Urbains et locales
Nous devons élaborer des lois globales et totales en cas de besoin
E. RAPPEL
Les membres de la Commission Paritaire H.C.R-PT et gouvernement précité continuent de réclamer jusqu’ à nos jours leurs indemnités impayées depuis 1997 auprès du trésor public/DGDP quoi que ces créances aient été bel et bien certifiées par une Commission y afférente.
Le montant global s’élève à 942.565.500 dollar
F. CONCLUSIONS
Le pays se construit brique sur brique ; et non de table rase à table rase.
Autrement dit il faut lier le passé au présent. Et le présent à l’ avenir.
Lier le bois au bois comme l’on dit
S’agissant d’une même matière, le législateur doit élaborer une loi totale allant du sommet à la base.
Et inversement. Car il s’agit de la rémunération des gouvernants.
En vertu du principe de la continuité de l’Etat et des services publics, les gouvernements Suminwa dit selon nous : ‘’gouvernement des différences’’ est tenu de payer la dette intérieure laissée par les gouvernements précédents. Sinon ‘’l’ opinion risque de conclure que ‘’ après le gouvernementSuminwa égal avant le gouvernement Suminwa ‘’ et ce, si le les antivaleurs d’autan décriées persistent.
Que dire de ce reportage sur les prisonniers de Luzumu ?
▪De l’avis des prisonniers eux-mêmes, leurs conditions carcérales ne sont pas à plaindre: « ils mangent bien et sont bien logés », témoigne l’un des prisonniers !
▪Les prisonniers ont des activités sportives, ce qui leur permet de se maintenir en bonne condition physique.
▪À entendre certains de ces prisonniers, les peines en matière de viols sont très sévères: certains d’entre eux ont fait plus de cinq ans en prison et n’ont eu aucune possibilité de bénéficier d’une remise de peines.
▪L’équipe de reportage a promené ses caméras partout, dans l’enceinte de la prison : je n’ai malheureusement pas vu des centres de formation ou des salles de classes ou des bibliothèques qui auraient permis aux prisonniers de se recycler, de mettre à jour leurs connaissances et compétences ou d’apprendre un nouveau métier.
▪Cinq ans, c’est un temps suffisant pour apprendre une nouvelle profession et même pour compléter un cycle d’enseignement universitaire.
▪Le but de la prison n’est pas seulement de faire payer à ceux qui violent les lois du pays. La prison a également pour but de rééduquer les «déviants», les «délinquants» et de les aider à réintégrer efficacement la société, après avoir purgé leurs peines. Ce n’est pas par hasard que la prison centrale de Makala s’appelle «centre pénitentiaire de rééducation»!
▪Je félicite les autorités pénitentiaires de notre pays pour les efforts qui ont été faits et qui sont en cours pour améliorer les conditions de détention des prisonniers. Je les exhorte à poursuivre ces efforts et à continuer à traiter les prisonniers comme des êtres humains ayant des droits.
▪J’attire cependant l’attention des autorités, en particulier les Ministres en charge de la Justice, de l’Education Nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et Universitaire sur l’urgente nécessité de mettre en place un programme d’éducation et de formation dans les centres pénitentiaires du pays pour qu’au sortir des prisons, nos prisonniers deviennent des « citoyennes et des citoyens nouveaux » prêts à contribuer de nouveau au développement de leurs communautés respectives…
Le MDW d'aujourd'hui traite de la question du prétendu déclin cognitif du président américain Joseph Biden. Pourquoi est-ce important pour nous ? Je voudrais commenter cet épisode et le comparer à ce qui pourrait se produire dans d’autres pays. En fait, les États-Unis sont une démocratie libérale, aux côtés du Japon, du Royaume-Uni et de la Slovénie. Je crois fermement que le Parti démocrate américain trouvera une solution soit en maintenant le président Biden dans la course à la présidentielle, soit en le remplaçant par un autre candidat. La solution à ce problème dans une démocratie libérale est probablement différente de celle qu’on trouverait dans une dictature ou une autocratie. En Algérie, le président Bouteflika est resté assis sur son fauteuil malgré une maladie débilitante. Idem pour l'ancien président gabonais Ali Bongo, grièvement atteint par les séquelles d’un arrêt cardiaque. Les deux cas ont été résolus par des coups d’État, Bouteflika et Bongo étant chassés du pouvoir. Dans une dictature, le problème du président américain Biden aurait été résolu de cette manière. Heureusement, les États-Unis sont une démocratie qui résout les problèmes de manière démocratique, aussi difficiles soient-ils.
Dans une démocratie libérale, tous les processus décisionnels doivent être démocratiques. On parle parfois de démocratie procédurale, une démocratie qui ne se limite pas au vote par les urnes, mais qui résout de manière démocratique tous les problèmes qui se posent dans la société. Comme je l’ai écrit plus haut, la démocratie libérale américaine ne doit pas nécessairement être comparée à une dictature autoritaire. Elle doit, en revanche, être associée à sa version lockéenne.
«Le but de la loi est de préserver et d'étendre la liberté. La liberté signifie « disposer de sa propre personne, de ses actions, et de tous ses biens selon son entendement, dans les limites de ces lois, selon… Liberté de désobéir » »
La condition politique de cette autonomie réside dans l'organisation économique de la nation.
Comme Hart (2024) l'a bien compris, l'objectif principal de Locke était de construire l'infrastructure du commerce mondial, les moyens de communication et d'échange, dans le but de stabiliser les mots et les échanges, de l'argent. Il voulait affronter les criminels économiques, et les criminels sémantiques. L’Etat a réussi à garder les faussaires en détention, mais sans jamais rien dire ce qu'il pense faire des politiques qui ne disent pas toujours ce qu’ils pensent.
Tous les deux sapent la confiance dans la société civile.
Ce n’est que dans une perspective rétrospective, gâchée par le capitalisme ultérieur, qu’il est possible de décrire ce projet politique qui masque les inégalités de classe à travers la rhétorique de la démocratie libérale. Les inégalités en Amérique sont donc entretenues par la loi, et plus particulièrement par les lois du marché.
Dans la démocratie libérale américaine, avec la dictature du dollar et du Pentagone, tous les prolétaires sont enfermés dans un silence des cimetières. Ils ont désertés la gauche classique qui est devenue meconnaissable dans l'ordre de la marchandise. Pour mieux comprendre l’état de la démocratie libérale aux États-Unis, les résultats des dernières élections législatives françaises sont très utiles. L'aile gauche, qui vient de remporter les élections législatives françaises, est composée en grande partie de citadins et d'immigrés. L'ensemble du prolétariat français a quitté la gauche et s'est réfugié à l'Assemblée nationale de Marine Lepen. Pour l’essentiel, le prolétariat américain s’est réfugié auprès de M. Trump.
Aux États-Unis, la lutte de classe radicale est éclipsée par les luttes contre le racisme, l’homophobie, le scepticisme face au changement climatique, le coronavirus, le LGBTisme, et bien d’autres encore. En d’autres termes, dans l’Amérique moderne, la gauche s’est associée à Hollywood pour devenir la gauche du capital, et la droite est aussi la droite du capital. L’une est identique à l’autre. Le débat électoral se concentre donc sur les perceptions et les personnalités (Trump contre Biden), mais jamais sur le capitalisme abrutissant qui produit un prolétariat de plus en plus nombreux et de plus en plus appauvri. Aujourd’hui, 39 pourcent d’ Américains doivent sauter des repas pour payer leur loyer. De nombreux Américains vendent leur plasma sanguin pour survivre. 70 pourcent des Américains vivent dans une anxiété économique chronique. La majorité des Américains vivent « de chèque en chèque ». Certaines personnes que je connais occupent deux, voire trois emplois pour gagner leur vie. C’est ce que me montre mes observations d ‘anthropologue. À moins que je devienne orwellien et que je me dise de ne pas croire ce que je vois, je pense que la situation actuelle est pire que par le passé.
Selon un sondage, 72 démocrates souhaitent la démission de Biden. La plupart des donateurs démocrates sont devenus réticents à ouvrir leur portefeuille. Des amis très proches lui demandent de partir pour laisser la place à d'autres. Lui-même ne le voit pas de cette façon. Il veut rester et a juré de vaincre Trump à nouveau. En fait, le dernier débat, couplé aux chutes et aux saluts du vent répétés, a amené les Américains à croire que le président souffrait d’une certaine forme de neurodégénérescence. Et comme l’âge est une voie à sens unique, il est peu probable que les choses s’améliorent pour Biden de sitôt. Dans une entrevue avec un journaliste de CBS, on lui a demandé s’il porterait les conséquences d’une victoire de Trump. Biden a refusé de répondre à la question, affirmant seulement que cela n’arriverait pas. Les divisions au sein de l’électorat américain sont si grandes que les démocrates pensent que les électeurs qui votent pour Trump ne sont que des idiots pathétiques. C’est pourquoi les médias américains a majorité démocrate ont délibérément caché les déficiences cognitives de Biden à la majorité des Américains. La haine mutuelle est si profonde que certains prétendent qu’ils préféreraient voter pour un cadavre plutôt que pour le candidat Trump. Les troubles cognitifs de M. Biden, devenus évidents lors de son débat avec M. Trump, ont donné à chacun l'occasion d'évaluer son niveau de sénilité. Cependant, l'équation de la démission de Biden n'est pas simple mais complexe. Si Biden décide de démissionner aujourd’hui, la vice-présidente Kamala Harris devrait prendre sa place. Le problème est qu’elle est encore plus impopulaire que Biden. Si le Parti démocrate décide de remplacer Biden par un autre candidat que Kamala Harris, cela posera un défi majeur aux communautés africaines. De plus, le nouveau candidat n’aura pas accès gratuitement aux 200 millions de dollars de fonds de campagne reçus par Biden. Harris ne recevrait ce montant que si Biden se retirait de la course et qu’elle prenait le relais. Quelqu’un qui aurait l'âge de Biden, souffrant d’une probable neurodégénérescence, et surtout avec un travail aussi stressant que celui de la présidence américaine, il est peu probable qu'il soit capable de conduire une voiture, et encore moins de conduire un pays, en particulier l'un des plus puissants au monde.
Les téléprompteurs trompent les gens en corrigeant les erreurs de mémoire, mais contrairement aux aides auditives sophistiquées que vous pouvez mettre dans votre oreille et emporter partout avec vous, les téléprompteurs ne peuvent pas être emportés partout avec vous, notamment pour les entretiens, les débats ou les conversations téléphoniques. Ma conclusion est que le président Biden doit céder la place à un autre candidat capable d’exprimer clairement et avec force la manière dont le Parti démocrate veut lutter contre l’inflation qui a conduit à la déshumanisation et à la prolétarisation de nombreux Américains. À mon humble avis, l’horizon politique devrait nous conduire à l’instauration d’une social-démocratie plutôt que d’une démocratie libérale.
Le report sempiternel des élections des sénateurs, gouverneurs, vice-gouverneurs, des membres des assemblées provinciales de Masimanimba et Yakoma est une tache sombre dans l’histoire politique de la Rdc et une marque d’amateurisme dans le chef du personnel de la Commission électorale nationale indépendante(Céni) se délectant des délices du torpillage en règle des dates des élections. C’est gravissime que la dite Céni devient le problème aujourd’hui quand elle n’arrive plus à boucler le cycle électoral en arrêtant un calendrier définitif dont la planification demeure la résultante du régime financier déterminé de commun accord avec le Gouvernement.
Comme les animateurs de cette institution semblent franchir déjà la ligne rouge, et que les habitants de la province du Kwilu et du Nord Ubangi ressentent aujourd’hui plus de la rancoeur contre la céni qui entretient la chicane, il faut que cesse cette méthode des bras ballants de Felix Tshisekedi et de Judith Tuluka Suminwa s’illustrant dans le manque de culot, dans l’incapacité de prendre d’eux-mêmes des initiatives dans l’éthique de responsabilité.
Cependant la grandeur des élections célébrées par les récents élus , en d’autres termes par la consécration constitutionnelle ne doit pas non plus éclipser rapidement les déceptions des habitants de Masimanimba et Yakoma qui réclament l’organisation imminente des élections pour leurs députés nationaux, sénateurs, gouverneurs et vice-gouverneurs. Dans la pratique il s’agit d’une régression et conformément à la loi électorale no 17/013 du 24 décembre 2017 modifiant la Loi n°06/006 du 09 Mars 2006 portant organisation des élections présidentielle, législatives, provinciales, urbaines, municipales et locales dans son article 129, la Céni porte une lourde responsabilité et devra répondre de ses actes si l’affaire est renvoyée devant une juridiction. En effet l’impression qui s’en dégage est que Kadima et ses collaborateurs de la Céni se jouent des électeurs de Masimanimba et de Yakoma, qu’ils se jouent de la nation congolaise en enfreignant la loi électorale en son article 129 et en ajournant sempiternellement de dates des élections dans les provinces du Kwilu et du Nord Ubangi. Il faut impérativement mettre fin à cette défaillance de visibilité politique et présenter un calendrier définitif sous peine de faire perdurer les élections spoliées et confisquées aux populations de ces deux provinces. Cette exigence passe évidemment sur le choix des dates précises avant la fin du mois de juillet afin de relever ce défi d’une Céni engluée dans un dysfonctionnement conduisant à des situations saugrenues. Cela ne s’est jamais vu quand on organise des élections à géométrie variable.
Aujourd’hui on peut objectiver l’appréciation sur la Céni : nul n’ignore que les sociétés démocratiques tirent leur légitimité des élections de leurs acteurs par les populations locales. Malheureusement notre démocratie est traversée par une crise de confiance dans le report sine die de certaines élections. Face à cette défiance, le président Félix Tshisekedi et la première ministre Judith Tuluka Suminwa doivent se mettre au diapason des initiatives visant à octroyer urgemment un budget adhoc à la Céni afin d’organiser les élections dans un avenir proche . C’est une façon de permettre le fonctionnement plénier des institutions républicaines avec tous les candidats élus.
Citoyens de Masimanimba et de Yakoma, renforcez vos capacités de résilience et que votre confiance citoyenne envers ces élections ne soit pas encore érodée. Il est interdit de croire que «ALEA JACTA EST», d’autres initiatives peuvent être inscrites dans vos agendas afin de déclencher des mobilisations numériques de masse pour faire entendre vos voix, il y a plus à gagner qu’à perdre, c’est vaincre que rien. Notre affaire à Tous : que vous ne soyez plus à la remorque des provinces qui ont déjà leurs sénateurs, gouverneurs et vice-gouverneurs.