Le démantèlement de l'USAID annoncé par Trump : un drame mondial immédiat, humanitaire et géopolitique
Au lendemain de la chute de l’URSS et la fin de la ‘Guerre froide », le monde vit dans l’illusion suivante : tous les pays n’ont plus qu’un seul objectif, leur propre perfectionnement marchand et démocratique. L’Afrique dispose pour cela de quatre leviers : 1) l’Aide Au Développement 2) l’Aide humanitaire 3) les programmes de type AGOA 4) L’endettement. Ces quatre leviers, qui sont les symptômes d’une « mondialisation heureuse », s’avèrent, au fil des années, depuis les indépendances, totalement inefficaces pour industrialiser l’Afrique, créer des emplois et sortir le continent de la pauvreté. Il faut soigner et nourrir l’Afrique : on répond « aide humanitaire » ; il faut exporter les produits africains vers les Etats-Unis, on répond AGOA. L’Afrique renonce à toute bonne gouvernance économique, elle se contente de vivre de l’exportation de ses matières premières brutes (minerais, énergies fossiles, produits agricoles), de l’Aide au Développement, des programmes de type AGOA et de l’endettement.
L’Afrique entre dans une nouvelle ère
Trump ne regarde pas l’Afrique avec les yeux du vieux monde. D’ailleurs, il ne s’intéresse pas à l’Afrique, mais aux richesses minières dont regorge le sous-sol des Etats africains. Il applique une « diplomatie transactionnelle », proposant aux Etats africains, dans le cadre d’accords bilatéraux, un soutien en échange de l’exploitation de leurs ressources minières.
Lorsqu’il s’est rendu, le 3 avril 2025, en République démocratique du Congo (RDC), le conseiller spécial de Donald Trump pour l’Afrique, Massad Farès Boulos, n’est pas venu apporter le soutien des Etats-Unis au président congolais Félix Tshisekedi, ni parler de paix dans les provinces de l’Est du pays, encore moins d’aide humanitaire. Massad Farès Boulos est venu mettre en œuvre la « diplomatie transactionnelle » trumpienne : aide à la sécurité contre contrats miniers, la RDC disposant d’importantes réserves de terres rares et de minerais. Trump fait peu de cas des institutions multilatérales. Il se projette hors de tous les enjeux multilatéraux de développement et d’aide humanitaire. Seules les perspectives économiques, dans le cadre des accords bilatéraux signés par les Etats-Unis avec chaque Etat africain, l’intéressent.
La vraie tragédie pour l’Afrique : le démantèlement de l’USAID
Le mur des droits de douane et la remise en cause de l’AGOA constituent certes une difficulté pour l’Afrique, mais elle peut être surmontée, pour deux raisons : 1) beaucoup de pays africains qui ne satisfont pas aux critères d’éligibilité de l’AGOA n’ont pas accès au marché américain 2) les États-Unis ne sont que la troisième destination des produits industriels africains, après l’Union européenne et le commerce intra-africain. Quant à la « diplomatie transactionnelle », chaque Etat africain peut en tirer des avantages, s’il sait mettre en place des partenariats gagnant-gagnant. La véritable tragédie pour l’Afrique est le démantèlement de l’Agence américaine pour le développement (USAID). Beaucoup de pays africains verront 100 % des fonds qui leur sont habituellement alloués supprimés. Les pays qui, en volume, perdront le plus sont la RDC, l’Éthiopie, l’Afrique du Sud et l’Ouganda.
Une Contribution à lire comme un message d’alerte mobilisateur
L’objectif de cette Chronique est de délivrer à l’attention de l’Afrique un message clair et mobilisateur. Les conséquences immédiates des droits de douane imposés par Trump à une vingtaine d’Etats africains, dont certains figurent parmi les plus pauvres du monde, auront un impact négatif sur des économies nationales déjà fragiles et qui éprouvent des difficultés pour se financer : insuffisance des recettes fiscales, réticences des bailleurs de fonds, accès difficile aux marchés financiers, alors que les besoins de financement, face aux urgences nouvelles, sont de plus en plus importants. Le mur des droits de douane construit par Trump ne se traduira pas par le total effondrement des économies africaines, car les flux commerciaux de l’Afrique avec les États-Unis restent relativement modestes. Il sera cependant nécessaire de quantifier plus précisément l’impact par secteur et par pays. Avec le départ de l'USAID, la véritable tragédie pour l’Afrique encore peu intégrée dans le commerce mondial est plus humanitaire qu'économique.
Trump n’agit pas par solidarité ou géopolitique traditionnelle, mais pour corriger, à travers les « deals » de la « diplomatie transactionnelle », les déficits commerciaux bilatéraux que subissent les Etats-Unis. Lord Palmerston, que je cite souvent, nous propose la meilleure définition de la Realpolitik. Dans le Discours prononcé en 1848 à la Chambre des Communes du Royaume-Uni, Palmerston déclare : « L’Angleterre n’a pas d’amis ou d’ennemis permanents ; elle n’a que des intérêts permanents et ces intérêts sont la seule obligation que nous devons suivre. »
Les leviers concrets dont disposent les pays africains pour défendre leurs intérêts peuvent-ils être mis en œuvre dans un temps court ? Quel pays africain va acheter le cacao ivoirien, le cuivre et le cobalt de la RDC ? Quelles alternatives crédibles à l’AGOA ? Quels mécanismes de négociation intra-africains ? Comment sortir de la malédiction des richesses du sous-sol africain ? Les réponses à ces questions et l'efficacité de ces réponses ne peuvent s’inscrire que dans un temps long, alors que le temps presse. Les perspectives de développement intégré de l’Afrique, telles qu’elles apparaissent avec le projet de la ZLECAf, sont encore trop lointaines.
Les limites de la « diplomatie transactionnelle » de Trump
Trump, élu dans un pays démocratique, dispose d’un temps court. Les autocrates disposent d’un temps long, voire d’un pouvoir éternel comme en Russie, en Chine, en Corée du Nord, en Iran. Trump a pleinement conscience de ce temps court, ce qui le conduit à multiplier les prises de décisions brutales. Son premier mandat a montré que Trump se désintéresse très vite des questions complexes.
On se souvient du « deal » espéré de dénucléarisation de Pyongyang, resté sans lendemain, Il fait aujourd’hui la même promesse sur la situation en Ukraine, à Gaza ou sur le nucléaire iranien, sans résultat. La diplomatie trumpienne, brutale, grossière et humiliante, n’est qu’oratoire. Elle montre ses limites face à des puissances décomplexées dirigées par des autocrates qui disposent d’un temps long.
Le désordre provoqué par Trump, au point d’éloigner les Etats-Unis de leurs alliés traditionnels, doit conduire l’Afrique à s’engager sur la voie de la bonne gouvernance économique avec, comme seules boussoles, le développement et la défense de ses intérêts. Lorsque Trump n’impose pas de droits de douane sur les exportations des minerais africains, c’est à nouveau le piège des économies de la rente qui risque de se refermer sur l’Afrique.
Le cas de la RDC
On peut croire que la RDC sera peu impactée par le mur des droits de douane construit par Trump, car l’exportation des minerais congolais ne sera pas taxée. En réalité, il faut prendre en compte une situation globale qui intègre l’économie, la sécurité aux frontières dans l’Est du pays et l’aide humanitaire. Au plan économique, la République Démocratique du Congo montrait un certain dynamisme et des signes de résilience grâce à une coordination renforcée des politiques macroéconomique.
L’inflation restait contenue et la monnaie nationale relativement stable sur le marché parallèle.
Des signaux d’alerte sont venus mettre en évidence les fragilités de l’économie congolaise : 1) La montée de l’inflation 2) la chute des cours des matières premières 3) La guerre aux frontières de l’Est du pays 4) la fin de l’aide humanitaire.
La montée de l’inflation – Longtemps contenue, l’inflation atteint déjà 10,2 %, dépassant nettement l’objectif annuel de 7,8 %.
La chute des cours des matières premières - La croissance du PIB réel, qui avait atteint 7,9 % en 2024 (contre 8,6 % en 2023), repose essentiellement sur le dynamisme du secteur extractif (+15,5 %),moteur de l’économie congolaise. Le reste de l’économie (secteur non extractif) n’a progressé que de 3,2 %, révélant une dépendance structurelle aux industries minières. Or, le prix du cuivre, principal produit de recettes minières pour le budget du pays, a chuté brutalement de 11,34 % en une semaine, passant de 9.699 € à 8.600 € le 10 avril, ce qui menace directement les recettes publiques futures et accroît la vulnérabilité budgétaire du pays.
La guerre aux frontières de l’Est du pays –Cette guerre a deux conséquences : a) l’aggravation de la crise économique, ce qui entraîne à Bukavu et Goma la perte de recettes fiscales et érode, au plan national, la confiance des chefs d’entreprise b) l’augmentation de la solde des militaires, une nécessité absolue, ce qui représente un surcoût pour les finances publiques.
La fin de l’aide humanitaire - L’Afrique est le premier continent concerné par le démantèlement de l’USAID. La RDC fait partie des six pays africains pour lesquels l’aide des Etats-Unis constitue plus de la moitié de l’assistance étrangère perçue. Les budgets des ministères de la santé ou de l’éducation, ainsi que les mécanismes de prévention des famines et des crises climatiques, dépendent presque exclusivement des aides extérieures (principalement USAID et autres donateurs étrangers). Or, on assiste à un désengagement massif de tous les donateurs étrangers.
Mobilisation des recettes, maitrise du déficit, financement, programme de réforme budgétaire, tels sont les engagements de la RDC avec le FMI. Pourront-ils être respectés ? Le gouvernement, depuis l’élection de Félix Tshisekedi, se trouve dans l’obligation de réévaluer constamment les besoins budgétaires et de prévoir le calendrier et le contenu des lois de finances rectificatives, en lien avec l’impact des événements nationaux (guerre à l’Est du pays) et internationaux (élection de Trump) sur l’exécution du budget de l’Etat. Pour sortir de l’état de dépendance aux aides extérieures, la RDC doit ; 1) sortir de l’économie de la rente que représente l’écosystème minier, ce qui suppose la diversification de son économie 2) produire plus pour elle-même 2) participer plus activement au développement des échanges intra-africains 3) nouer des partenariats stratégiques « gagnant-gagnant » avec les multinationales qui viennent exploiter son sous-sol 4) se réorienter dès à présent vers d’autres puissances commerciales que les Etats-Unis ou la Chine.
Trump, le révélateur d’une situation que chacun connaît
Selon les chiffres de la Banque mondiale, près de 1.500 milliards de dollars d'aide publique au développement ont été donnés à l'Afrique subsaharienne depuis 1960. A titre de comparaison, le Plan Marshall, qui a permis à l'Europe de se reconstruire après la Seconde Guerre mondiale, a représenté, de 1948 à 1952, un prêt américain de 173 milliards de dollars actuels.
Malgré les milliards d’aide déversés sur l’Afrique on assiste à l’aggravation de la pauvreté sur le continent. Selon la Banque Mondiale (BM), 75% des personnes pauvres dans le monde vivent en Afrique pour atteindre les 90% en 2030, ce qui remet en cause l’efficacité de l’Aide Au Développement et de l’aide humanitaire.
L’Afrique ne peut pas se passer de l’aide humanitaire à mesure que s’accumulent les défis à relever dans les domaines de la santé et des crises alimentaires. Quant à l’aide au développement, qui se fait sous la forme de prêts, d’allégements ou de moratoires de dette publique, elle doit être repensée pour créer véritablement des points de croissance et réorganisée pour faire redescendre les richesses qu’elle produit jusqu’aux populations.
Trump n’est pas cause de l’aggravation de la pauvreté en Afrique, ni des crises alimentaires et sanitaires, ni du retard pris par le continent dans son développement. Il est le révélateur d’une situation que chacun connaît et que l’égoïsme des pays riches contribue à perpétuer.
Christian Gambotti
Agrégé de l’Université – Président du think tank Afrique & Partage – Président du CERAD (Centre d’Etudes et de Recherches sur l’Afrique de Demain) - Directeur général de l’Université de l’Atlantique (Abidjan) – Chroniqueur, essayiste, politologue. Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Références
L’USAID, qui emploie plus de 10 000 personnes dans plus de 120 pays, gère un budget de près de 43 milliards de dollars, ce qui représente 42% de l'aide humanitaire mondiale et à peine 1% du budget des États-Unis.
L’AGOA représente un intérêt économique certain pour de nombreux pays africains. La RDC a signé,, dans le cadre de l’AGOA, des accords économiques importants avec les Etats-Unis.
CADA (Congo Action pour la Diplomatie Agissante) a suivi avec une attention particulière le dernier développement de la situation sécuritaire, politique et diplomatique en RDC caractérisée par le retrait des troupes RDF-AFC-M23 de Walikale et la difficile quête de consolidation de leurs positions dans les autres zones sous leur contrôle aux Nord et Sud-Kivu, la clôture des consultations politiques initiées par le Président Félix Tshisekedi en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale, et la tournée, d’une part, de l’envoyé du Président américain Massad Boulos au Congo, au Rwanda, au Kenya et en Ouganda, et, d’autre part, par le balbutiement à Doha des négociations directes entre les délégués du gouvernement de Kinshasa et ceux de l’AFC-M23, précédées par la rencontre dans cette ville des présidents congolais et rwandais.
CADA émet les vœux de voir le Gouvernement congolais s’activer vivement, sur fond d’amélioration de la gouvernance, sur tous les fronts et exploiter minutieusement toute opportunité afin de faire bouger davantage les lignes dans la perspective du rétablissement de la paix et de la sécurité particulièrement dans la partie orientale du pays.
Mais en attendant une éclaircie, il s’observe un comeback avec fracas de l’ancien Président de la République Joseph Kabila dans l’arène politique où il se livre à une activité débordante affichant ouvertement ses intentions de se positionner comme le rempart de la paix dans la partie est du pays.
CADA trouve cependant - tout en lui reconnaissant le droit au chapitre sur toute situation en RDC en tant non seulement que citoyen, mais aussi et surtout en sa qualité d’ancien Président de la République, puis de Sénateur à vie – suspect le moment choisi pour ce faire qui ne l’épargne d’aucun soupçon. Lequel moment coïncide avec les revers que le Président rwandais Paul Kagame est en train de connaître sur le plan international au point de renvoyer au diable tous ceux qui l’ont soutenu jusque-là, et l’impasse politique de plus en plus grandissante dans laquelle baignent ses marionnettes de l’AFC-M23.
CADA note que, dans l’espace de 50 jours entre les mois de février et avril 2025, l’ancien Président Joseph a fait trois sorties médiatiques à travers lesquelles transpirent ses intentions :
1°. Le 23 février : Il se fait découvrir à travers une tribune dans le journal sud-africain Sunday Times. Sans exprimer la moindre compassion pour de milliers de gens victimes du carnage perpétré le 27 janvier 2025 par les RDF et leurs supplétifs de l’AFC-M23 pour la prise de la ville de Goma, puis celle de Bukavu deux semaines après (le 15 février), ni condamner le gouvernement de Kigali dont le rôle est connu dans cette entreprise funeste, il déclare que le M23 est une aspiration du peuple congolais, ses revendications sont légitimes, ce n’est pas un groupe anarchiste, ni un proxy rwandais.
Dénonçant le simulacre des élections de 2023, il s’en prend au Président Félix Tshisekedi qu’il rend aussi responsable de la détérioration de la situation à l’est de la RDC pour avoir joué un rôle dans l’intensification du conflit.
Ces troubles, à l’en croire, ne peuvent être imputés seulement aux avancées du M23 ou aux tensions entre Kinshasa et Kinshasa.
Par ailleurs, il demande le retrait des troupes sud-africaines de Goma.
2°. Le 03 mars : Il se produit à la télévision namibienne BBC où il charge à nouveau son successeur comme responsable de la crise que traverse la RDC et affirme être disponible pour servir cette dernière. Il préconise, tout en se prévalant de disposer de beaucoup d’énergie pour continuer à servir le Congo, le retrait de toutes les troupes étrangères qui ne feraient qu’aggraver une situation sécuritaire déjà fragile.
3°. Le 08 avril : Dans une lettre à Jeune Afrique, il annonce son retour en RDC sans délai et par la partie orientale. Il justifie sa décision par la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui le pays, le qualifiant de « hors contrôle ». L’heure est donc venue, soutient-il, de rentrer sans délai, compte tenu de la situation sécuritaire à travers tout le pays, ainsi que de la déliquescence qui gangrène tous les secteurs de la vie nationale.
Il résulte selon CADA que :
1°. L’ancien Président de la République Joseph Kabila a dévoilé solennellement sa collusion avec l’AFC-M23 en laquelle il reconnait une aspiration du peuple congolais.
Alors que cette coalition est reconnue être à la solde du Rwanda par la communauté internationale qui l’a souligné sans ambages, notamment, dans la résolution 2773 du Conseil de sécurité votée à l’unanimité de ses membres le 21 février 2025, il s’inscrit en faux contre cette évidence faisant savoir que cette coalition, dont les revendications sont légitimes, n’est ni un groupe anarchiste, ni un proxy rwandais ;
2°. L’ancien Président de la République Joseph Kabila, qui a endossé les revendications du M23 et choisi de se mettre en marge de la communauté, se porte ainsi au secours du Président Paul Kagame qui connaît des revers sur le plan international en voulant « congoliser » le conflit en RDC. Ses sorties médiatiques ne sont pas un hasard, mais relèvent plutôt d’une stratégie visant à couvrir le maître de Kigali, tout en accusant son successeur d’avoir une part de responsabilité dans ce qui arrive au pays, pensant ainsi semer le doute dans l’esprit des Congolais, dont la très grande majorité voue aux gémonies le Président rwandais ;
3°. L’ancien Président de la République Joseph Kabila s’investit dans la quête de trouver des béquilles diplomatiques au Président rwandais Paul Kagame, alors que celui-ci voit le soutien, dont il avait joui jusque-là de la part de la communauté internationale, se dérober sous ses pieds.
En plus de la résolution 2773 qui est le couronnement de la diplomatie agissante de la RDC et l’avalanche des sanctions infligées contre le régime de Kigali, il s’est retrouvé le 07 avril 2025, jour de la célébration du 31ème anniversaire du génocide rwandais, sous un jour inhabituel.
Il a fait une expérience amère parce qu’il a dit seul sa messe, sans ses soutiens occidentaux qui, fulminant de colère, n’ont pas fait le déplacement de Kigali. Pourtant, une année plus tôt, des grands dirigeants occidentaux, voire africains, avaient répondu avec engouement au rendez-vous. Très sonné, il en est arrivé, dans un moment de deuil et de recueillement généralement chargé d’émotion, à renvoyer au diable ses anciens souteneurs.
Tout un symbole signifiant que le fonds de commerce rwandais lié aux FDLR et à la discrimination des Tutsis au Congo est en train de fondre comme du beurre au soleil.
Aussi, le passage de l’envoyé spécial du Président américain Massad Boulos en RDC, en Ouganda, au Kenya et au Rwanda a rajouté au contexte.
4°. L’ancien Président de la République Joseph Kabila qui était sorti furtivement du pays en décembre 2023 par le Katanga sous prétexte d’aller faire ses recherches académiques n’a qu’à rentrer librement dans son pays sans ameuter le monde afin de faire bénéficier au peuple congolais des connaissances acquises.
5°. L’ancien Président de la République Joseph Kabila est conscient qu’il est indécent pour un ancien Président de la République de sortir de son pays de manière rocambolesque, de s’adonner à des actions subversives contre celui-ci à l’extérieur et d’espérer y retourner sous le silence et les acclamations des dirigeants en place. L’annonce de son retour sans délai en RDC par la partie orientale est soit un chantage envers le Gouvernement qui devrait ainsi tempérer les ardeurs à son endroit, soit une déclaration de positionnement eu égard aux négociations en cours ou d’autres qui se profilent à l’horizon, soit un acte de dissidence implicite, voire un choix assumé pour prendre la tête de la rébellion.
De ce qui précède, CADA note qu’il ne fait l’ombre d’aucun doute que l’ancien Président de la République Joseph Kabila a franchi la ligne rouge en endossant les revendications de l’AFC-M23 qui porte le sang du peuple congolais sur les mains, voulant faire avaler au monde la pilule amère d’une crise congolo-congolaise et en prenant le contre-pied de la communauté internationale pour relativiser le rôle du Président rwandais Paul Kagame dans la crise sécuritaire qui sévi à l’est de la RDC voici trente et un ans.
Par conséquent, il demande qu’il soit déchu de ses immunités pour complot contre l’Etat congolais et violation de la Loi n°18/021 du 26 juillet 2018 portant statuts des anciens Présidents de la République élus et fixant les avantages accordés aux anciens chefs des corps constitués.
Nous ne cesserons jamais de le répéter ouvertement, publiquement et tout haut en cette année nouvelle 2025, pour ne pas continuer de discriminer, marginaliser, frustrer, omettre, bannir et exclure totalement et complètement et encore une fois de plus durant le second mandat (de 2023 à 2028) comme ce fut le cas durant le premier mandat du Chef de l’Etat et Président de la République, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone ou le Grand Equateur dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC et ce au cours de ce deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo.
Rappelant encore une fois de plus, insistant et martelant clairement sur le fait que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur n’accepte pas et n’acceptera pas encore en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo toute forme d’injustice, de discrimination, de mépris total, d’exclusion, d’omission, de bannissement du Grand Equateur dans le gestion, l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo, ce qui est totalement inacceptable, injuste, injustifié, discriminatoire, indescriptible, insupportable, inadmissible et intolérable en République Démocratique du Congo.
Insistant clairement sur le fait que, le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE et ASBL depuis sa création en 2000 à toujours travaillé, lutté et milité en République Démocratique du Congo dans le cadre de son mandat, de sa mission, sa vison ainsi que ses objectifs stratégiques, opérationnels et prioritaires poursuivis en vue de la Recherche, la Défense, la Sauvegarde, la Surveillance, la Protection et la Promotion de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de la Paix et Sécurité Internationales, du Développement Durable et Intégral et du Mieux être Social et de la création et la construction d’un climat de confiance mutuelle et nationale entre congolais et congolaises sans exception et exclusion en RDC, de paix sociale, de cohésion nationale, du vivre ensemble, d’unité nationale, du patriotisme ou l’amour de la patrie Congolaise, du nationalisme ou l’amour de la nation Congolaise, bref pour implémenter les vertus ou les valeurs chrétiennes, morales et républicaines en RDC en vue du mieux être social du peuple Congolais sans exception et exclusion et du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral et de l’ensemble du peuple congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, libre et opprimé, jeune et vieux, riche et pauvre afin de préserver, de protéger, de garantir, de privilégier la culture de la paix sociale et de cultiver la paix sociale, l’intérêt supérieur de la nation congolaise, l’unité nationale, la concorde, l’harmonie, la solidarité entre les congolais et le mieux être social du peuple congolais et le développement rapide, efficace, harmonieux, durable et Intégral de la République Démocratique du Congo notre unique et chère patrie par le partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques dans la gestion, l’administration et la direction des quatre (4) Institutions politiques clés le plus en vue en RDC durant le deuxième mandat (de 2023 à 2025) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en tenant compte du Grand Equateur ou la zone ou l’espace linguistique lingala phone et cela dans le cadre de la géopolitique et conformément à l’article premier alinéa 8 de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui reconnait, garantit et consacre clairement la géopolitique en RDC par la reconnaissance des quatre (4) langues nationales parlés dans quatre (4) zones ou espaces linguistiques en RDC à savoir : le Kikongo, le lingala, le swahili et le tshiluba dont l’Etat en assure la promotion et la protection sans discrimination, sans préjudice des autres langues du pays qui font partie intégrale du patrimoine culturel congolais dont l’Etat assure aussi la protection.
Vu tout ce qui précède et en ce jour la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL prennent acte et bonne note de l’élection du Président du Sénat de la République Démocratique du Congo intervenue le Lundi 12/Août/2024 et s’interrogent encore une fois de plus sur la récompense du butin électoral ou la rétribution que devrait logiquement, en toute évidence et incontestablement obtenir et bénéficier la zone ou l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré et de la gestion, l’administration et la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en République Démocratique du Congo malgré la contribution très forte et contribution significative et le score électoral impressionnant et jamais obtenue ou réalisé par cet espace ou zone linguistique lingala phone aux dernières élections présidentielles du 20 Décembre 2023 à travers laquelle le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO avait été brillamment, terriblement et massivement élu sans appel, sans contredit et sans discussion avec quatre vingt treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés par la population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo et tout cela nous le répétons clairement et ouvertement malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième mandat politique à la tète de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo avec quatre vingt treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés ?
Soucieux de préserver et de garantir la paix sociale, la cohésion nationale, la sécurité, la stabilité ainsi que l’unité nationale de la République Démocratique du Congo, gages de développement rapide, efficace, harmonieux, durable et Intégral de notre cher et beau pays le Congo – Démocratique ou encore mieux le Congo - Kinshasa.
En plus, pour ne pas discriminer, marginaliser, frustrer, omettre, bannir et exclure totalement et complètement et encore une fois de plus durant le second mandat (de 2023 à 2028) comme ce fut le cas durant le premier mandat (de 2018 à 2023) du Chef de l’Etat et Président de la République, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone ou le Grand Equateur dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC au cours de ce deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo.
Rappelant encore une fois de plus, insistant et martelant clairement sur le fait que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur n’accepte pas et n’acceptera pas encore en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo toute forme d’injustice, de mépris, d’exclusion, d’omission, de bannissement du Grand Equateur dans le gestion, l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo, ce qui est totalement inacceptable, injuste, injustifié, discriminatoire, indescriptible, insupportable, inadmissible et intolérable en République Démocratique du Congo.
Rappelant le fait qu’à travers son ticket et sa décision prise autrefois par l’Union sacrée de la Nation de ne pas confier le poste du Président du Sénat de la République Démocratique du Congo à la zone ou à l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO ouvertement et clairement réclamée par tous contribuera t – elle vraiment et effectivement à renforcer la confiance mutuelle, la cohésion nationale, la paix sociale, à la sécurité, à la stabilité et à l’unité nationale en République Démocratique du Congo d’autant plus que le Grand Equateur représente actuellement plus ou moins dix pourcent (10%) soit environs 8 millions 500 miles habitants de la population totale de la République Démocratique du Congo qui du reste est estimée actuellement à 99 millions d’habitants selon les données et les recherches menées sur Google et qui avait massivement voté et élu massivement à quatre vingt treize (93%) le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO lors des dernières élections présidentielles du 20 Décembre 2023 en République Démocratique du Congo face à ses 26 adversaires politiques et s’estime actuellement être victime ou encore s’estime être injustement discriminée et écartée, négligée, omise, bannie dans la gestion égalitaire, équitable et équilibré et dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une quatre (4) des Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo durant le premier mandat (de 2019 à 2023) et le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée autrefois par tous et s’interroge si cet état de chose garantira et contribuera t - elle avec le temps et à la longue de créer un climat de confiance, de concorde, d’harmonie, de paix, de concorde, de sécurité, de stabilité politique, économique et sociale, gages de développement rapide, durable, efficace, harmonieux et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux être social du peuple congolais ou au contraire créera et installera t - elle et à coup sur un climat de méfiance totale, de ressentiment et de frustration de la part de la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo et cela malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième manat politique à la tète de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO avec quatre vingt treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés ?
La population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL continuent encore une fois de plus de s’interroger et d’attirer l’attention du peuple congolais sans exception et exclusion vivant en République Démocratique du Congo ou à l’étranger sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre que si jamais pareille chose se reproduisait encore un jour en 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo ne pourra t – elle ou pas en cette année 2025 et dans les années à venir d’une façon ou d’une autre avoir des très graves conséquences à la longue en rapport avec la consolidation de l’unité nationale, la concorde nationale, de la paix, de la sécurité, de la stabilité, du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux être social du peuple congolais ?
Rappelant les alinéas 4 et 5 du Préambule de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui disposent en ces termes nous citons : « Considérant que l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, par leurs multiples vicissitudes sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays » et « affirmant notre détermination à sauvegarder et à consolider l’indépendance et l’unité nationales dans le respect de nos diversités et de nos particularités positives ».
Rappelant clairement le contenu global des articles 11, 12, 13, 22, 23 et 27 relatif aux Droits Civils et politiques en République Démocratique du Congo que voici et qui disposent en ces termes nous citons :
Article 11 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Toutefois, la jouissance des droits politiques est reconnue aux seuls Congolais, sauf exceptions établies par la loi.
Article 12 : Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois.
Article 13 : Aucun Congolais ne peut, en matière d'éducation et d'accès aux fonctions publiques ni en aucune autre matière, faire l'objet d'une mesure discriminatoire, qu'elle résulte de la loi ou d'un acte de l'exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, à une ethnie, à une tribu, à une minorité culturelle ou linguistique.
Article 22 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Toute personne a le droit de manifester sa religion ou ses convictions, seule ou en groupe, tant en public qu'en privé, par le culte, l'enseignement, les pratiques, l'accomplissement des rites et l'état de vie religieuse, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public, des bonnes mœurs et des droits d'autrui. La loi fixe les modalités d'exercice de ces libertés.
Article 23 : Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit implique la liberté d'exprimer ses opinions ou ses convictions, notamment par la parole, l'écrit et l'image, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public et des bonnes mœurs.
Article 27 : Tout Congolais a le droit d'adresser individuellement ou collectivement une pétition à l'autorité publique qui y répond dans les trois mois. Nul ne peut faire l'objet d'incrimination, sous quelque forme que ce soit, pour avoir pris pareille initiative.
Rappelant que l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo tels que mentionné ci - haut interdit formellement et clairement toute forme d’injustice et de discrimination possibles en République Démocratique de quelle nature que ce soit, d’où qu’elles viennent et d’où qu’elles se produisent.
Soucieux préserver et de garantir la paix sociale, la cohésion nationale, la sécurité, la stabilité ainsi que l’unité nationale de la République Démocratique du Congo, gages de développement rapide, efficace, harmonieux, durable et Intégral de notre cher et beau pays le Congo – Démocratique ou encore mieux le Congo - Kinshasa.
Rappelant encore une fois le fait que pour ne pas continuer de discriminer, marginaliser, frustrer, omettre, bannir et exclure totalement et complètement et encore une fois de plus comme ce fut le cas durant le premier mandat (de 2018 à 2023) du Chef de l’Etat et Président de la République, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone ou le Grand Equateur dans la gestion égalitaire, équitable et équilibré et la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo.
Rappelant clairement et insistant sur le fait que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur n’accepte pas et n’acceptera pas encore en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo toute forme d’injustice, d’exclusion, d’omission, de bannissement du Grand Equateur dans le gestion et dans la direction de l’une des quatre Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo, ce qui est totalement inacceptable, injuste, injustifié, discriminatoire, indescriptible, insupportable, inadmissible et intolérable en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, vu tout ce qui précède, en ce jour, la population du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile Congolaise et ASBL de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et de mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde ET ASBL lancent un S.O.S et appel urgent au peuple congolais sans exception et exclusion dénommé : préservons, protégeons, privilégions l’unité nationale chèrement acquise en RDC, privilégions la cohésion nationale, la culture de la paix sociale en République Démocratique du Congo et cultivons dans nos esprits le respect de la Constitution et des Lois de la République Démocratique du Congo, le respect des équilibres des zones ou des espaces linguistiques et géographiques et la géopolitique représentative au sein de quatre (4) institutions politiques clés les plus en vue en RDC, privilégions la culture de la paix, la concorde, l’harmonie, l’amour du prochain et l’amour de la patrie en RDC en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo, privilégions l’intérêt supérieur du peuple congolais et de la nation congolaise dans la justice, sans discrimination, dans la vérité et dans l’équité sans exception et exclusion ainsi que la solidarité entre les congolais, le mieux être social du peuple congolais et le développement rapide, durable, harmonieux et intégral de la République Démocratique de Congo dans nos esprits, dans nos pensées, dans nos actes, dans nos comportements quotidiens et dans nos agissements quotidiens au regard du partage égalitaire, équitable et équilibré du pouvoirs politiques et des responsabilités au sein des Institutions politiques, administratives, des entités, de l’Administration publique, des Ambassades, chancelleries et Missions diplomatiques et de Coopération, des Entreprises Publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, des Services publics, des Etablissements publics, des provinces, de la petite territoriale et autres en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo ou encore et aussi durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo son Excellence Félix ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO et cela dans le cadre de la géopolitique représentative et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités dans la gestion et la direction des quatre (4) institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo.
Insistant sur le fait que la population du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et de mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL qui depuis sa création en 2000 à toujours travaillé, lutté et milité et continue encore de travailler et de lutter et de militer en République Démocratique du Congo dans le cadre de son mandat, de sa mission, sa vison ainsi que ses objectifs stratégiques, opérationnels et prioritaires poursuivis en vue de la Recherche, la Défense, la Sauvegarde, la Surveillance, la Protection et la Promotion de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de la Paix et Sécurité Internationales, du Développement Durable et Intégral et du Mieux être Social et aussi de la création et la construction d’un climat de confiance mutuelle et nationale entre les congolais sans exception et exclusion en RDC, de paix sociale, de cohésion nationale, du vivre ensemble, d’unité nationale, du patriotisme ou l’amour de la patrie Congolaise, du nationalisme ou l’amour de la nation Congolaise, bref pour implémenter les vertus ou les valeurs chrétiennes et morales en RDC en vue du mieux être social du peuple Congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, libre et opprimé, jeune et vieux et le développement durable et intégral et de l’ensemble du peuple congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, libre et opprimé, jeune et vieux, riche et pauvre afin de préserver, de protéger, de privilégier la culture de la paix sociale et de cultiver la paix sociale, l’intérêt supérieur de la nation congolaise, l’unité nationale, la concorde, l’harmonie, la solidarité entre les congolais et le mieux être social du peuple congolais et le développement rapide, efficace, harmonieux, durable et Intégral de la République Démocratique du Congo notre unique et chère patrie par le partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques au sein des quatre (4) Institutions politiques le plus en vue en RDC en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo et cela dans le cadre de la géopolitique et conformément à l’article premier alinéa 8 de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui reconnait et consacre clairement la géopolitique en RDC par la reconnaissance des quatre (4) langues nationales parlés dans les quatre (4) zones ou espaces linguistiques en RDC à savoir : le Kikongo, le lingala, la swahili et le Tshiluba dont l’Etat en assure la promotion et la protection sans discrimination, sans préjudice des autres langues du pays qui font partie du patrimoine culturel congolais dont l’Etat Congolais assure aussi la protection.
C’est pourquoi, vu tout ce qui précède, vu l’urgence et l’état de nécessité, la population du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et de mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL à travers ses trois vastes programmes géostratégiques, spéciaux et permanents à savoir : la Société Civile de la Recomposition et Restructuration de la République Démocratique Du Congo en sigle LA SOCIRECO, le caucus du grand Equateur pour le mieux-être social et le développement durable et intégral en République Démocratique du Congo et l’Etat de droit et la justice sociale distributive en République Démocratique du Congo en ce jour, en appellent le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo de bien vouloir accepter en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo de faire respecter scrupuleusement la Constitution et les lois de la République Démocratique du Congo ainsi que la géopolitique représentative et les équilibres géographiques des zones ou des espaces linguistiques congolais conformément à l’article premier de la Constitution mais aussi d’accepter d’arbitrer et de trancher définitivement cette situation très inquiétante, très embarrassante et confusionnelle en sa qualité de Garant du bon fonctionnement des Institutions de la République tels que le dispose l’article 69 de la Constitution de la République afin qu’en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo ou encore durant son deuxième mandat (de 2023 à 2028) à la magistrature suprême et à la tète de la RDC qu’ absolument, indiscutablement et incontestablement le Grand Equateur ou à la zone ou espace linguistique lingala phone soit valablement représenté dans toutes les Institutions politiques clés de la République Démocratique du Congo, les Gouvernements national et provinciaux, la territoriale, les Ambassades et Missions diplomatiques et de Coopération, l’Administration publique, les Entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, les Etablissements publics de l’Etat Congolais, les Services Publics, les entités et autres et cela dans le cadre de la géopolitique représentative et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques au sein de Quatre (4) postes politiques ou de Quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo et ce conformément à l’article premier alinéa 8 de la Constitution de la République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, pour ne pas répéter les erreurs du passée comme l’avait clairement indiqué le Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO le Samedi le 20 Janvier 2024 lors de la prestation de son serment constitutionnel à la magistrature suprême devant la nation Congolaise et devant le monde entier au Stade des Martyrs de la Pentecôte à Kinshasa en République Démocratique du Congo, la population du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL considèrent qu’il est souhaitable et recommandable que cette fois ici, durant son second mandat (de 2023 à 2028) en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo que cette erreur de discriminer, de bannir, d’omettre, d’écarter la zone ou l’espace lingala phone dans la gestion égalitaire, équitable, équilibrée et représentative d’une Institution politique clé de la République soit rapidement corrigée et prenne définitivement fin, cesse immédiatement et s’arrête au plus vite et sans plus tarder et sans contredit en République Démocratique du Congo.
Etant donné que le Grand Equateur ou la zone ou l’espace linguistique Lingala phone avait été complètement et injustement discriminé, oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques dans la gestion et la direction de l’une de quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC durant le premier mandant (de 2018 à 2023) et aussi au regard du partage égalitaire, équitable et équilibré du pouvoirs politiques et des responsabilités au sein du Gouvernement de la République Démocratique du Congo, des Institutions politiques, administratives, des entités, de l’Administration publique, des Ambassades, chancelleries et Missions diplomatiques et de Coopération, des Entreprises Publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, des Services publics, des Etablissements publics, des Gouvernorats des provinces, de la petite territoriale et autres en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo et cela durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, vouloir répéter encore des tels actes en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo sera perçu comme étant ou parait être une véritable discrimination pure et simple et injustice flagrante sans précédent et sans commentaire, ce qui est inacceptable, inconcevable, intolérable, injustifiable, incompréhensible, indescriptible et inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
Cela étant, et nous ne cessons jamais de le répéter tout haut et ouvertement, afin de corriger rapidement, durablement et définitivement cette injustice et cette discrimination possibles en République Démocratique du Congo vis - à - vis de la zone ou l’Espace linguistique Lingala phone représenté par le Grand Equateur dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques et de la direction politique de l’une de quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo, la population du Grand Equateur de la zone ou espace linguistique lingala phone, les notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile Congolaise et ASBL du Grand Equateur attendent désormais obtenir sans aucun ménagement, sans contredit et sans tergiverser durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo le respect de la représentation et des équilibres régionales au sein des Institutions politiques clés et autres entités de la République Démocratique du Congo et cela ressort des études géostratégiques, des contacts, des échanges et des consultations directes à la base réalisés depuis très longtemps par le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL et ce faisant, cela contribuera à créer l’équilibre politique, géopolitique et géostratégique entre les Quatre (4) zones ou espaces linguistiques en République Démocratique du Congo qui seront représentés dans toutes les Quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC, en dirigeant pour chacune de zone ou espace linguistique une Institution politique clé parmi les quatre (4) les plus en vue en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo ou encore durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO et de surcroit cela contribuera à garantir, sauvegarder, consolider et renforcer la paix sociale, l’unité nationale, la cohésion nationale, l’harmonie, la sécurité et la stabilité politique et Institutionnelle ainsi que la bonne gouvernance politique de la République Démocratique du Congo en cette période cruciale et difficile de la guerre injuste et injustifiée de la rébellion et de l’agression que notre pays est entrain de traverser à l’Est de la République Démocratique du Congo qui ne cesse de causer des milliers et des milliers des morts ou des pertes en vies humaines, des graves préjudices moraux, matériels, financiers confondus inestimables et incommensurables à la population congolaise de l’Est du pays et à l’ensemble de la République ainsi que des dommages à la RDC, des familles entières déracinées et déplacées, des femmes abusivement violées, des enfants abusivement enrôlés dans l’Armée par les groupes armées rebelles et les armées étrangères d’occupation selon tous les rapports compilés et documentés des Experts des Nations unies, des multiples, flagrantes et systématiques violations des Droits de l’Homme et du Droit International et autres.
A titre de rappel, durant le premier mandat (de 2019 à 2023) du Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, sur les quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, le Poste du Président de la République a été occupé et dirigé par Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République issue des élections présidentielles du 31 Décembre 2018, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Tshiluba, le Poste du Président de l’Assemblée Nationale était occupé et dirigé par l’Honorable Christophe MBOSO KODIA, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Kikongo, le Poste du Président du Sénat était occupé et dirigé par l’Honorable Modeste BAHATI LUKWEBO, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Swahili et enfin le Poste du Premier Ministre, Chef du Gouvernement était occupé et dirigé par Son Excellence Jean Michel SAMA LUKONDE, appartenant encore une fois de plus et de trop à la zone ou l’espace linguistique Swahili, tans disque la zone linguistique ou l’espace linguistique Lingala phone avait été complètement discriminé, oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage de responsabilité dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC, ce qui parait être une véritable discrimination et injustice, inacceptable, inconcevable, intolérable, inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
Actuellement, dans le cadre du deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Président de la République Démocratique du Congo, au regard ou tenant compte de la géopolitique, de la nouvelle configuration politique et du partage des responsabilités au sein des quatre Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, le Poste du Président de la République est encore occupé et dirigé par Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République issue des élections présidentielles du 20 Décembre 2023, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Tshiluba, le Poste du Président de l’Assemblée Nationale est occupé et dirigé par l’Honorable Vital KAMHERE, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Swahili, le Poste de la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement est aussi occupé et dirigé par Son Excellence Judith SUMINWA TULUKA, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Kikongo, tans disque la Présidence du Sénat de la République Démocratique du Congo est dirigée par l’Honorable Jean Michel SAMA LUKONDE qui appartient encore à la zone ou espace linguistique Swahili, tans disque la zone linguistique ou l’espace linguistique Lingala phone est encore une fois de plus totalement et complètement discriminé, oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage de responsabilité dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC, ce qui parait être une véritable discrimination et injustice, inacceptable, inconcevable, intolérable, inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
Pour terminer et conclure cette réflexion importante et pertinente, la population du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et de mieux-être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL à travers ses trois vastes programmes géostratégiques, spéciaux et permanents tels que décris ci – haut à savoir : LA Société Civile De La Recomposition Et Restructuration De La République Démocratique du Congo, en sigle la SOCIRECO, le caucus du grand Equateur pour le mieux-être social et le développement durable et intégral en République Démocratique du Congo et l’état de droit et la justice sociale distributive en République Démocratique du Congo répètent, insistent, martèlent et lancent encore une fois de plus et pour la nième fois un S.O.S et un appel urgent au Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en sa qualité de Garant du bon fonctionnement de toutes les Institutions de la République, des pouvoirs publics ainsi que de la continuité de l’Etat en République Démocratique du Congo d’agir rapidement en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo en fonction de ses prérogatives constitutionnelles tels que les disposent clairement l’article 69 de la Constitution de la République Démocratique du Congo afin de faire respecter toujours et à jamais la Constitution et les Lois de la République Démocratique du Congo, la géopolitique représentative et le partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques ainsi que les équilibres géographiques entre les quatre (4) zones et espaces linguistiques en RDC et aussi de trancher et d’arbitrer définitivement et de résoudre rapidement et durablement cette crise et cette situation inquiétante, confusionnelle, alarmante et embarrassante qui continuent de faire couler beaucoup des larmes, d’encres et de salive et des grincements de dents et créée de la confusion, de la contradiction et de la cacophonie en République Démocratique du Congo et cela dans le cadre de la géopolitique représentative en RDC et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques entre les quatre (4) zones ou espaces linguistiques congolais au sein du Gouvernement de la République Démocratique du Congo, des Institutions politiques, administratives, des entités, de l’Administration publique, des Ambassades, chancelleries et Missions diplomatiques et de Coopération, des Entreprises Publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, des Services publics, des Etablissements publics, des provinces, de la petite territoriale et autres en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo et cela pour des raisons de la paix sociale, de l’unité nationale, de la cohésion nationale, de la concorde et de l’harmonie, mais aussi pour corriger définitivement l’injustice et la discrimination vis – à - vis du Grand Equateur et de la zone ou espace linguistique Lingala Phone en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo et aussi durant son deuxième mandat (de 2023 à 2028) à la magistrature suprême en République Démocratique du Congo et nous le répétons encore une fois de plus et tout cela pour corriger rapidement les choses et les erreurs du passé et désormais faire correctement les choses en République Démocratique du Congo afin de ne pas rééditer, recopier et répéter les erreurs du passé comme l’avait clairement et publiquement déclaré le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en présence de tous lors de la cérémonie de sa prestation de serment constitutionnel de son deuxième mandat politique à la tète de la RDC stade des Martyrs de la Pentecôte le 20 Janvier 2024 en présence de tous à Kinshasa en République Démocratique du Congo. Et nous croyons fermement à la bonne volonté du Chef de l’Etat et Président de la République ainsi que ses capacités spirituelles, morales, physiques, matérielles, politiques, diplomatiques, managériales, géopolitiques et géostratégiques et autres de le faire et de faire correctement et rapidement les choses en RDC et de résoudre définitivement et durablement cette crise et cette situation alarmante, embarrassante, confusionnelle et très inquiétante au Congo – Démocratique. Et cette justice sera définitivement faite au Grand Equateur ou à la zone ou espace linguistique lingala phone durant son second mandat (de 2023 à 2028) à la magistrature suprême et à la tête de la République Démocratique du Congo.
James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU
ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Président – Fondateur et Président Exécutif International
du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL
Le Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Le Char du Feu, le Char d’Israël et sa Cavalerie
Le Vaillant Héros et Grand Lion.
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Pour ne pas continuer de discriminer, marginaliser, frustrer, omettre, bannir et exclure totalement et complètement en cette année 2025 et durant les années avenir en République Démocratique du Congo et encore une fois de plus durant le second mandat comme ce fut le cas durant le premier mandat du Chef de l’Etat et Président de la République, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone ou le Grand Equateur dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC au cours de ce deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo.
Rappelant encore une fois de plus le fait que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur n’accepte pas et n’acceptera pas encore en cette année 2025 et dans les jours avenir en République Démocratique du Congo toute forme d’injustice, de discrimination, de mépris total, d’exclusion, d’omission, de bannissement du Grand Equateur dans le gestion, l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue au Congo – Démocratique. Ce qui est totalement inacceptable, injuste, injustifié, discriminatoire, indescriptible, insupportable, inadmissible, incompréhensible et intolérable en République Démocratique du Congo.
Insistant clairement sur le fait que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE et ASBL depuis sa création en 2000 a toujours travaillé, lutté et milité en République Démocratique du Congo dans le cadre de son mandat, de sa mission, sa vison ainsi que ses objectifs stratégiques, opérationnels et prioritaires poursuivis en vue de la Recherche, la Défense, la Sauvegarde, la Surveillance, la Protection et la Promotion de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de la Paix et Sécurité Internationales, du Développement Durable et Intégral et du Mieux-être Social et de la création et la construction d’un climat de confiance mutuelle et nationale entre congolais et congolaise sans exception et exclusion en RDC, de paix sociale, de cohésion nationale, du vivre ensemble, d’unité nationale, du patriotisme ou l’amour de la patrie Congolaise, du nationalisme ou l’amour de la nation Congolaise, bref pour implémenter les vertus ou les valeurs chrétiennes, morales et républicaines en RDC en vue du mieux-être social du peuple Congolais sans exception et exclusion et le développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de l’ensemble du peuple congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, libre et opprimé, jeune et vieux, riche et pauvre afin de préserver, de protéger, de garantir, de privilégier la culture de la paix sociale et de cultiver la paix sociale, l’intérêt supérieur de la nation congolaise, l’unité nationale, la concorde, l’harmonie, la solidarité entre les congolais et le mieux être social du peuple congolais et le développement rapide, efficace, harmonieux, durable et Intégral de la République Démocratique du Congo notre unique et chère patrie par le partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques dans la gestion, l’administration et la direction des quatre (4) Institutions politiques clés le plus en vue en RDC durant le deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo pour le Grand Equateur ou la zone ou l’espace linguistique lingala phone et cela dans le cadre de la géopolitique et conformément à l’article premier alinéa 8 de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui reconnait garantit et consacre clairement la géopolitique en RDC par la reconnaissance des quatre (4) langues nationales parlées dans quatre (4) zones ou espaces linguistiques en RDC à savoir : le Kikongo, le lingala, la swahili et le Tshiluba dont l’Etat en assure la promotion et la protection sans discrimination, sans préjudice des autres langues du pays qui font partie intégrale du patrimoine culturel congolais.
Vu tout ce qui précède et en ce jour la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL prennent acte et bonne note de l’élection du Président du Sénat de la République Démocratique du Congo intervenue le Lundi 12/Août/2024 et s’interrogent encore une fois de plus sur la récompense du butin électoral ou la rétribution que devrait logiquement, en toute évidence et incontestablement obtenir et bénéficier la zone ou l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré et de la gestion, l’administration et la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO malgré la contribution très forte et contribution significative et le score électoral impressionnant et jamais obtenue ou réalisé par cet espace ou zone linguistique lingala phone aux dernières élections présidentielles du 20 Décembre 2023 à travers laquelle le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO avait été brillamment, terriblement et massivement été élu sans appel, sans contredit et sans discussion avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés par la population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo et tout cela nous le répétons clairement et ouvertement malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième mandat politique à la tête de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés ?
Rappelant le contenu des alinéas 4 et 5 du Préambule de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui disposent en ces termes nous citons : « Considérant que l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, par leurs multiples vicissitudes sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays » et « affirmant notre détermination à sauvegarder et à consolider l’indépendance et l’unité nationale dans le respect de nos diversités et de nos particularités positives ».
Rappelant clairement le contenu global des articles 11, 12, 13, 22, 23 et 27 relatif aux Droits Civils et politiques en République Démocratique du Congo que voici et qui disposent en ces termes nous citons :
Article 11 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Toutefois, la jouissance des droits politiques est reconnue aux seuls Congolais, sauf exceptions établies par la loi.
Article 12 : Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois.
Article 13 : Aucun Congolais ne peut, en matière d'éducation et d'accès aux fonctions publiques ni en aucune autre matière, faire l'objet d'une mesure discriminatoire, qu'elle résulte de la loi ou d'un acte de l'exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, à une ethnie, à une tribu, à une minorité culturelle ou linguistique.
Article 22 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Toute personne a le droit de manifester sa religion ou ses convictions, seule ou en groupe, tant en public qu'en privé, par le culte, l'enseignement, les pratiques, l'accomplissement des rites et l'état de vie religieuse, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public, des bonnes mœurs et des droits d'autrui. La loi fixe les modalités d'exercice de ces libertés.
Article 23 : Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit implique la liberté d'exprimer ses opinions ou ses convictions, notamment par la parole, l'écrit et l'image, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public et des bonnes mœurs.
Article 27 : Tout Congolais a le droit d'adresser individuellement ou collectivement une pétition à l'autorité publique qui y répond dans les trois mois. Nul ne peut faire l'objet d'incrimination, sous quelque forme que ce soit, pour avoir pris pareille initiative.
Rappelant et insistant encore une fois de plus le fait que l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo tels que mentionné ci - haut qui interdit formellement et clairement toute forme d’injustice et de discrimination possibles en République Démocratique de quelle nature que ce soit, d’où qu’elles viennent et d’où qu’elles se produisent.
Soucieux de garantir la paix sociale, la cohésion nationale, la sécurité, la stabilité ainsi que l’unité nationale de la République Démocratique du Congo, gages de développement rapide, efficace, harmonieux, durable et Intégral de notre cher et beau pays le Congo – Démocratique ou encore mieux le Congo - Kinshasa.
Pour ne pas discriminer, marginaliser, frustrer, omettre, bannir et exclure totalement et complètement en cette année 2025 et les années avenir en République Démocratique du Congo et encore une fois de plus durant le second mandat comme ce fut le cas durant le premier mandat du Chef de l’Etat et Président de la République, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone ou le Grand Equateur dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre Institutions politiques les plus en vue en RDC.
Rappelant encore une fois de plus, insistant et martelant clairement sur le fait que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur n’accepte pas et n’acceptera pas encore durant cette année 2025 et les années avenir en République Démocratique du Congo toute forme d’injustice, de mépris, d’exclusion, d’omission, de bannissement du Grand Equateur dans le gestion, l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo, ce qui est totalement inacceptable, injuste, injustifié, discriminatoire, indescriptible, insupportable, inadmissible et intolérable en République Démocratique du Congo.
La population zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL s’interrogent encore une fois de plus pour savoir si la décision prise autrefois au sein de l’Union Sacrée de la Nation à travers son ticket de ne pas confier le poste du Président du Sénat de la République Démocratique du Congo durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée autrefois par tous à la zone ou l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur avait t – elle provoqué beaucoup des déceptions, des frustrations, des déboires, des mécontentements populaires, d’électrochocs dans les cœurs et les esprits de la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo ou encore était – elle une très bonne décision sage et murement réfléchie ou n’est-ce pas une mesure discriminatoire en violation flagrante de l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo de nature à bannir, à exclure, à marginaliser, à discriminer, à écarter la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré ainsi que du respect des équilibres et des représentabilités linguistiques, culturelles et régionales et de la gestion, la direction de l’une des Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo avec la possibilité de siéger à la réunion interinstitutionnelle où se décident et se prennent parfois les grandes orientations et les grandes décisions politiques de la République Démocratique du Congo et cela durant le premier mandat (de 2019 à 2023) et le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO ou encore pour mieux le dire et l’exprimer en des termes claires la décision prise autrefois par l’Union Sacrée de la Nation de ne pas confier le poste ou la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous avait t – elle effectivement oui ou non provoqué beaucoup des déceptions, des frustrations, des déboires, des mécontentements populaires ou encore contribuera t - elle ou pas à la longue à fragiliser ou à consolider la paix sociale, la cohésion nationale, l’unité nationale, la sécurité des personnes et de leurs biens, la stabilité en RDC, gages du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais et cela malgré le score électoral impressionnant obtenu durant la dernière élection présidentielle du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième mandat politique à la tête de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés de la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo ?
Désormais, il ne fait l’ombre d’aucun doute que la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo s’estime être encore être véritablement victime et injustement discriminée, écartée, totalement bannie dans le cadre de la géopolitique et des équilibres et du respect des zones et des espaces culturels et linguistiques du partage égalitaire, équitable et équilibré ainsi que du respect des équilibres et des représentabilités linguistiques, culturelles et régionales dans la gestion, l’administration et la direction de l’une des Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo en occurrence la présidence du Sénat réclamée clairement et ouvertement autrefois avec la possibilité de siéger à la réunion interinstitutionnelle où se décident et se prennent aussi parfois les grandes orientations et les grandes décisions politiques de la République Démocratique du Congo et cela durant le premier mandat (de 2019 à 2023) et le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous et qui ne pourraient pas avec le temps avoir à la longue des très graves conséquences sur le plan politique, géopolitique et géostratégique en République Démocratique du Congo de nature à fragiliser complètement la cohésion sociale et nationale et l’unité nationale gages de la paix sociale, la sécurité et la stabilité et le développement rapide, durable, efficace, harmonieux et intégral de la RDC ainsi que du mieux-être social du peuple congolais ?
La population zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL continuent vraiment de s’interroger et d’attirer l’attention du peuple congolais vivant en République Démocratique du Congo ou à l’étranger sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre que si jamais pareille chose se reproduisait encore un jour en République Démocratique du Congo en cette année 2025 et dans les années à venir ne pourra t – elle ou pas d’une façon ou d’une autre avoir des très graves conséquences à la longue en rapport avec la consolidation de l’unité nationale, de la paix, de la sécurité, de la stabilité, du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais ?
Rappelant le fait que l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo tels que mentionné ci - haut interdit formellement et clairement toute forme d’injustice et de discrimination possibles en République Démocratique de quelle nature que ce soit, d’où qu’elles viennent et d’où qu’elles se produisent.
Encore une fois de plus en ce jour en cette année 2025 et dans les années avenir dans le cadre du deuxième mandat à la tête du pays, nous pensons que le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en fonction de ses prérogatives constitutionnelles du garant de la bonne marche des toutes les Institutions de la République conformément à l’article 69 de la Constitution de la République est appelé de veiller à ce que cesse rapidement et immédiatement toute forme de discrimination et d’injustice vis - à - vis de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone en occurrence le Grand Equateur en RDC, ce qui évitera des clivages politiques, des contestations et des mécontentements populaires non seulement au sein de la population du Grand Equateur ou de la zone ou espace linguistique Lingala phone mais aussi en République Démocratique du Congo qui mettront à mal et pourront fragiliser l’unité nationale, la paix nationale, la cohésion nationale, la concorde nationale, l’harmonie et le mieux être social de tous sans exception et exclusion et le développement rapide, durable, efficace et intégral de la République Démocratique du Congo tant recherchée par tous.
De tout ce qui précède, vu l’urgence et l’état de nécessité, les notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile Congolaises et ASBL du Grand Equateur, la population de la zone ou de l’espace lingala phone du Grand Equateur et le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL s’inquiètent beaucoup du sort qui pourrait être réservé au Grand Equateur en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités, de la gestion égalitaire et de la direction de quatre (4) institutions politiques clés les plus en vue en RDC dans le cadre de la géopolitique représentative et de l’équilibré géographique et régionale en RDC, ne se laisseront pas faire et rouler facilement dans la farine durant le deuxième mandat politique du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo et n’acceptent pas et n’accepteront pas toute forme d’injustice et de discrimination en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo vis-à-vis de la zone ou de l’espace lingala phone représenté par le Grand Equateur et en appellent encore une fois de plus le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO d’accepter d’arbitrer, de trancher et de mettre définitivement fin à toute forme de confusion, de cacophonie, d’injustice et de discrimination possible vis – a - vis de la zone ou espace linguistique lingala phone et du Grand Equateur en en cette année 2025 et les années avenir en République Démocratique du Congo et cela dans toutes ses formes et ses dimensions en faisant respecter la géopolitique, la Constitution et les Lois de la République ainsi que la représentation géographique et régionale entre les quatre (4) zones ou espaces linguistiques en République Démocratique du Congo dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités et de gestion et de direction de quatre (4) institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo, nous le répétons bien en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo.
Le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL depuis sa création en l’an 2000 a toujours travaillé, lutté et milité en République Démocratique du Congo dans le cadre de sa mission, sa vison ainsi que ses objectifs stratégiques et prioritaires poursuivis en vue de la Recherche, la Défense, la Sauvegarde, la Surveillance, la Protection et la Promotion de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de la Paix et Sécurité Internationales, du Développement Durable et Intégral et du mieux-être Social et aussi dans la création et la construction d’un climat de confiance mutuelle et nationale en RDC, de la paix sociale, de la cohésion nationale, du vivre ensemble, d’unité nationale, du patriotisme ou l’amour de la patrie Congolaise, du nationalisme ou l’amour de la nation, bref pour implémenter les vertus ou les valeurs chrétiennes, morales et républicaines en RDC en vue du mieux-être social de tous sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, libre et opprimé, jeune et vieux et le développement durable et intégral que le pays et le peuple congolais a fortement et grandement besoin à l’heure actuelle de la guerre à l’est de la RDC qui n’a que trop durée depuis environs trois décennies et qui a déjà fait beaucoup des victimes innocentes, des morts, des familles entières déracinées et déplacées, des femmes violées, des enfants enrôlés dans l’armée de la rébellion ou pour mieux le dire par les groupes rebelles, l’insécurité généralisée et le pillage éhonté, honteux, scandaleux des ressources naturelles de la République Démocratique du Congo par les groupes rebelles ainsi que les pays voisins de la RDC comme l’attestent clairement ou pour mieux le dire selon tous les rapports des groupes d’experts des Nations Unies documentés, sans toutefois oublier des multiples, flagrantes et systématiques violations des droits de l’homme, du Droit International humanitaire dans ces zones de la guerre à l’est de la République Démocratique du Congo.
Etant donné que le Grand Equateur ou la zone ou l’espace linguistique Lingala phone avait été complètement oublié, omis, négligé, écarté et totalement banni du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités dans la gestion et la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC durant le premier mandat du Chef de l’Etat Président de la République Démocratique du Congo et durant son deuxième mandat et en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo, vouloir répéter encore des tels actes en RDC sera perçu comme étant ou parait être une véritable discrimination et injustice flagrante et sans précédent et sans commentaire, ce qui est inacceptable, inconcevable, intolérable, injustifiable, incompréhensible, indescriptible et inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représenté par le Grand Equateur, la population du Grand Equateur ou de la zone linguistique ou de l’espace linguistique lingala phone, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL.
Pour ne pas créer en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo des graves divisions inutiles, des frustrations, des contestations inutiles et des mécontentements populaires en République Démocratique du Congo et particulièrement au sein de la zone ou espèce linguistique Lingala phone qui malheureusement dans l’allure où vont les choses risque encore une fois de plus d’être discriminé, omis, écarté, banni totalement et complètement de la gestion égalitaire, équitable et équilibré et la direction représentative des Institutions, structures et entités de la République Démocratique du Congo et qui doivent revenir absolument au Grand Equateur ou à la zone ou espace linguistique Lingala phone dans le cadre de la géopolitique représentative en RDC d’autant plus que cette zone culturelle et espace linguistique ou le Grand Equateur n’a pas encore dirigé aucune des quatre (4) Institutions politiques clés de la République Démocratique du Congo les plus en vue en RDC depuis le premier mandat (de 2019 à 2023) et l’avènement au pouvoir de son Excellence Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo dans le cadre de la géopolitique sera et dans le cadre du deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République sera perçu et interprété clairement perçu comme étant une véritable injustice notoire à corriger rapidement en RDC, une véritable discrimination qui est inacceptable, inadmissible, intolérable, injustifiable, indescriptible, incompréhensible et insupportable au sein de la zone culturelle ou de l’espace linguistique Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
Pour des raisons de justice, d’équité, de préserver la paix sociale et l’unité nationale menacée au pays par la guerre à l’est de la RDC et sur l’ensemble du territoire congolais et pour des raisons de sécurité, de stabilité de la République Démocratique du Congo en vue du mieux-être social et le développement durable, rapide, harmonieux et intégral de la RDC , vouloir corriger rapidement cette discrimination et injustice vis – à - vis du Grand Equateur ou de la zone ou espace linguistique Lingala phone en RDC est une très bonne chose afin de ne pas refaire et rééditer les erreurs du passé en cette année 2025 et dans les années avenir en RDC comme l’avait clairement et publiquement déclaré le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en présence de tous lors de la cérémonie de sa prestation de serment constitutionnel pour son deuxième mandat politique à la tête de la RDC stade des Martyrs de la Pentecôte le 20 Janvier 2024 en présence de tous à Kinshasa en République Démocratique du Congo, paraitra la meilleure solution possible souhaitée, salutaire et souhaitable et la voie de la sagesse et de la prudence.
Considérant que la population du Grand Equateur ou de la zone linguistique ou de l’espace linguistique pour n’avoir pas encore géré ou dirigé une des Institutions politiques clés le plus en vue en République Démocratique du Congo depuis l’avènement au pouvoir politique à la tête de pays de Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO dès son premier mandant (de 2019 à 2023) jusqu’à ce jour de son deuxième mandat (de 2023 à 2028) à la magistrature suprême en RDC, c’est pourquoi, elle réclame sans ambages, sans tergiverser, sans compromis et sans compromission possibles en République Démocratique du Congo que le respect des équilibres géographiques régionales soient sauvegardées, préservées dans le cadre du partage juste, véridique, égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités à tous les niveaux en République Démocratique du Congo à savoir : au Gouvernement de la République, aux Gouvernorats, dans la Fonction Publique ou Administration Publique, dans les Entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, dans les Services Publiques, dans les Etablissements publics en RDC, dans la diplomatie congolaise etc.
C’est pourquoi, la population du Grand Equateur ou de la zone linguistique ou de l’espace linguistique lingala phone, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL réitèrent encore une fois de plus leur appels au Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO afin d’accepter d’arbitrer et de trancher définitivement dans le cadre de la géopolitique représentative et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilité, de la gestion et de la direction des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC pour que dans le cadre de son second mandat en RDC afin que certaines responsabilités de la République en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo reviennent sans contredit à la zone ou l’espace linguistique Lingala phone et que le Grand Equateur occupe clairement, sans doute, contredit, contestation et mécontentement populaire en République Démocratique du Congo, ce faisant, la justice sociale distributive sera faite à la zone ou à l’espace linguistique Lingala phone et le Grand Equateur en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, la population de la zone ou l’espace linguistique Lingala Phone du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL à travers ses trois vastes programmes géostratégiques, spéciaux et permanents à savoir : la société civile de la recomposition et restructuration de la République Démocratique du Congo en sigle la SOCIRCO, le caucus du grand Equateur pour le mieux-être social et le développement durable et intégral en République Démocratique du Congo et aussi l’état de droit et la justice sociale distributive en République Démocratique Du Congo lancent encore une fois de plus un S.O.S et un appel urgent en cette année 2025 et dans les années avenir en RDC au Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en sa qualité de Garant du bon fonctionnement de toutes les Institutions de la République Démocratique du Congo d’accepter d’agir rapidement en fonction de ses prérogatives constitutionnelles tels que les disposent clairement l’article 69 de la Constitution de la République Démocratique du Congo en cette année et dans les années avenir en RDC afin de trancher et d’arbitrer définitivement et de résoudre rapidement et durablement cette crise et cette situation inquiétante, alarmante et embarrassante qui ne cesse jamais de faire couler beaucoup des larmes, d’encres et de salive et des grincements de dents et créée de la confusion, de la contradiction et de la cacophonie en République Démocratique du Congo et cela dans le cadre de la géopolitique représentative en RDC et du partage équitable et équilibré des responsabilités politiques entre les différentes zones ou espaces linguistiques congolais afin qu’en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo que le Grand Equateur occupe l’une des Institutions politiques clés les plus en vue en RDC et dans les Institutions politiques, administratives en République Démocratique du Congo à savoir : au Gouvernement de ka République, aux Gouvernorats, dans la Fonction Publique ou Administration Publique, dans les Entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, dans les Services Publiques, dans les Etablissements publics en RDC, dans la diplomatie congolaise et cela pour des raisons de la paix sociale, de l’unité nationale, de la cohésion nationale, de la concorde et de l’harmonie, mais aussi pour corriger définitivement l’injustice et la discrimination vis – à - vis du Grand Equateur et de la zone ou espace linguistique Lingala Phone durant son premier mandat (de 2018 à 2023) et son deuxième mandat (de 2023 à 2028) et nous le répétons encore une fois de plus et faire correctement les choses et pour ne pas rééditer, recopier et répéter les erreurs du passé comme l’avait clairement et publiquement déclaré le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en présence de tous lors de la cérémonie de sa prestation de serment constitutionnel pour son deuxième mandat politique à la tête de la RDC stade des Martyrs de la Pentecôte le 20 Janvier 2024 en présence de tous à Kinshasa en République Démocratique du Congo.
Nous ne cesserons jamais de le dire ouvertement et d’insister que le Grand Equateur ou la zone ou l’espace linguistique Lingala phone avait été complètement oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage de responsabilité dans la gestion et la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC durant le premier (de 2018 à 2023) et deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, vouloir encore répéter des tels actes en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo sera perçu comme étant ou parait être une véritable discrimination et injustice flagrante et sans précédent et sans commentaire, ce qui est inacceptable, inconcevable, intolérable, injustifiable, indescriptible, incompréhensible et inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, vu tout ce qui précède, vu l’urgence et l’état de nécessité et durant ce second mandat du Chef de l’Etat et Président de la République nous ne cesserons plus jamais de le dire et d’insister que pour ne pas répéter comme toujours ou encore pour ne pas recopier et rééditer les erreurs du passé comme l’a clairement indiqué et déclaré le Chef de l’Etat et Président de la République Son Excellence Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO lors de la prestation de son serment constitutionnel à la magistrature suprême pour un deuxième mandat politique (de 2023 à 2028) à la tête de la République Démocratique du Congo le 20 Janvier 2024 devant tout le monde, devant la nation congolaise et devant le monde entier au stade des martyrs de la Pentecôte à Kinshasa en République Démocratique du Congo que la population de la zone ou l’espace linguistique Lingala Phone et du Grand Equateur ne cesseront jamais et toujours de réclamer tout haut que parmi les quatre (4) Institutions Politiques clés les plus en vue en RDC que l’une d’elle en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo soit attribué à la zone ou l’espace linguistique Lingala Phone représenté par le Grand Equateur et cela pour des raisons géopolitiques représentatives et pour corriger définitivement et durablement cette discrimination, cette injustice, ce bannissement total de l’espace ou zone linguistique Lingala phone dans la gestion égalitaire, équitable et équilibré et dans la direction politique de l’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, cela étant contribuera et renforcera la paix sociale, la cohésion nationale, l’unité nationale, la concorde, l’harmonie, la sécurité et le mieux être social entre congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé ainsi que le développement communautaire, rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo.
A travers cette réflexion et tribune, et nous ne cessons jamais encore mais encore de le répéter tout haut et ouvertement qu’afin de corriger rapidement, durablement et définitivement cette injustice et cette discrimination possible en République Démocratique du Congo en cette année 2025 et dans les années à venir en République Démocratique du Congo vis – à - vis de la zone ou l’Espace linguistique Lingala phone représenté par le Grand Equateur dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques et de la direction politique de l’une de quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC, la population du Grand Equateur de la zone ou espace linguistique lingala phone, les notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile Congolaise et ASBL du Grand Equateur attendent désormais en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo obtenir rapidement sans aucun ménagement, sans contredit et sans tergiverser des postes de responsabilités à tous les niveaux de la République Démocratique du Congo en allant des postes politiques dans le Gouvernement, de la République Démocratique du Congo, dans le Ambassades, chancelleries et Missions diplomatiques, dans l’administration publique, dans les Entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, dans les Services publics et les Etablissement publics et autres durant le deuxième mandat du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO et cela ressort des études géostratégiques, des contacts, des échanges et des consultations directes à la base réalisés depuis très longtemps par le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL et ce faisant, cela contribuera à créer l’équilibre politique, géopolitique et géostratégique entre les Quatre (4) zones ou espaces linguistiques en République Démocratique du Congo qui seront en cette année 2025 et dans les années avenir en RDC représentés dans toutes les Quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC en dirigeant pour chacune de zone ou espace linguistique une Institution politique clé parmi les quatre (4) les plus en vue en RDC et aussi en occupant des postes de responsabilités dans l’Administration Publique, dans les Entreprises Publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, dans les Services publics, dans les Etablissements publics de l’Etat Congolais, dans la diplomatie congolaise etc et cela durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO afin de contribuer à garantir, sauvegarder, consolider et renforcer la paix sociale, l’unité nationale, la cohésion nationale, l’harmonie, la sécurité et la stabilité politique et Institutionnelle ainsi que la bonne gouvernance politique de la République Démocratique du Congo en cette période cruciale et difficile de la guerre injuste et injustifiée de la rébellion et de l’agression que notre pays est en train de traverser à l’Est de la République Démocratique du Congo qui ne cesse de causer des graves préjudices moraux, matériels, financiers confondus inestimables et incommensurables à la population congolaise de l’Est du pays et à l’ensemble de la République ainsi que des dommages à la RDC, des familles entières déracinées et déplacées, des femmes abusivement violées, des enfants abusivement enrôlés dans l’Armée par les groupes armées rebelles et les armées étrangères d’occupation selon tous les rapports compilés et documentés des Experts des Nations unies, des multiples, flagrantes et systématiques violations des Droits de l’Homme et du Droit International et autres.
Pour terminer et conclure cette tribune et réflexion importante et pertinente, la population du Grand Equateur, les Notabilités du Grand Equateur, les Organisations de la Société Civile et ASBL de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL à travers ses trois vastes programmes géostratégiques, spéciaux et permanents tels que décris ci – haut à savoir : la societe civile de la recomposition et restructuration de la République Démocratique Du Congo en sigle la SOCIRECO, le caucus du grand Equateur pour le mieux-être social et le développement durable et intégral en République Démocratique du Congo et l’état de droit et la justice sociale distributive en République Démocratique Du Congo lancent encore une fois de plus un S.O.S et un appel urgent en cette année 2025 et dans les années avenir en RDC au Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo Son Excellence Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO en sa qualité de Garant du bon fonctionnement de toutes les Institutions de la République, des pouvoirs publics ainsi que de la continuité de l’Etat en République Démocratique du Congo d’agir rapidement en fonction de ses prérogatives constitutionnelles tels que les disposent clairement l’article 69 de la Constitution de la République Démocratique du Congo afin de faire respecter la Constitution et les Lois de la République Démocratique du Congo, la géopolitique représentative et le partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques ainsi que les équilibres géographiques et régionales entre les quatre (4) zones et espaces linguistiques en RDC et aussi d’accepter en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo de trancher et d’arbitrer définitivement et de résoudre rapidement et durablement cette crise et cette situation inquiétante, confusionnelle, alarmante et embarrassante qui commencent à faire couler beaucoup des larmes, d’encres et de salive et des grincements de dents et qui créée déjà de la confusion, de la contradiction et de la cacophonie en République Démocratique du Congo et cela dans le cadre de la géopolitique représentative en RDC et du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités politiques de quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC entre les quatre (4) zones ou espaces linguistiques congolais afin que le Grand Equateur occupe en cette année 2025 et durant les années à venir en République Démocratique du Congo ou encore durant son second mandat politique (de 2023 à 2028) les Postes des responsabilités politiques et des responsabilités à tous les niveaux de la République Démocratique du Congo en allant des postes politiques dans le Gouvernement, dans le Ambassades, les chancelleries et Missions diplomatiques, dans l’administration publique, dans les Entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais, dans les Services publics et les Etablissement publics et autres en RDC et cela pour des raisons de la paix sociale, de l’unité nationale, de la cohésion nationale, de la concorde et de l’harmonie, mais aussi pour corriger définitivement l’injustice et la discrimination vis – à - vis du Grand Equateur et de la zone ou espace linguistique Lingala Phone durant son deuxième mandat à la magistrature suprême en République Démocratique du Congo et nous le répétons encore une fois de plus et tout cela pour corriger rapidement les choses et les erreurs du passé et désormais faire correctement les choses en République Démocratique du Congo afin de ne pas rééditer, recopier et répéter les erreurs du passé comme l’avait clairement et publiquement déclaré le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo en présence de tous lors de la cérémonie de sa prestation de serment constitutionnel de son deuxième mandat politique à la tête de la RDC stade des Martyrs de la Pentecôte le 20 Janvier 2024 en présence de tous à Kinshasa en République Démocratique du Congo. Et en cette année 2025 et dans les années avenir en RDC, nous croyons fermement à la bonne volonté du Chef de l’Etat et Président de la République ainsi que ses capacités spirituelles, morales, physiques, matérielles, politiques, diplomatiques, managériales, géopolitiques et géostratégiques et autres de le faire et de faire correctement et rapidement les choses en RDC et de résoudre définitivement et durablement cette crise et cette situation alarmante, embarrassante, confusionnelle et très inquiétante au Congo – Démocratique. Et ce, justice sera définitivement faite au Grand Equateur ou à la zone ou espace linguistique lingala phone durant son second mandat (de 2023 à 2028) à la magistrature suprême et à la tête de la République Démocratique du Congo.
A titre de rappel, durant le premier mandat (de 2019 à 2023) du Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, sur les quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en République Démocratique du Congo, le Poste du Président de la République a été occupé et dirigé par Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République issue des élections présidentielles du 31 Décembre 2018, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Tshiluba, le Poste du Président de l’Assemblée Nationale était occupé et dirigé par l’Honorable Christophe MBOSO KODIA, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Kikongo, le Poste du Président du Sénat était occupé et dirigé par l’Honorable Modeste BAHATI LUKWEBO, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Swahili et enfin le Poste du Premier Ministre, Chef du Gouvernement était occupé et dirigé par Son Excellence Jean Michel SAMA LUKONDE, appartenant encore une fois de plus et de trop à la zone ou l’espace linguistique Swahili, tans disque la zone linguistique ou l’espace linguistique Lingala phone avait été complètement discriminé, oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage égalitaire, équitable et équilibré des responsabilités dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques clés les plus en vue en RDC, ce qui parait être une véritable discrimination et injustice, inacceptable, inconcevable, intolérable, inadmissible aux yeux de la population de la zone culturelle ou linguistique ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
Actuellement, dans le cadre du deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Président de la République Démocratique du Congo, au regard ou tenant compte de la géopolitique, de la nouvelle configuration politique et du partage des responsabilités au sein des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, le Poste du Président de la République est encore occupé et dirigé par Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République issue des élections présidentielles du 20 Décembre 2023, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Tshiluba, le Poste du Président de l’Assemblée Nationale est occupé et dirigé par l’Honorable Vital KAMHERE, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Swahili, le Poste de la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement est aussi occupé et dirigé par Son Excellence Judith SUMINWA TULUKA, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Kikongo, tans disque la Présidence du Sénat de la République Démocratique du Congo est dirigée par l’Honorable Jean Michel SAMA LUKONDE qui appartient encore à la zone ou espace linguistique Swahili, tans disque la zone linguistique ou l’espace linguistique Lingala phone est encore une fois de plus totalement et complètement discriminé, oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage égalitaire, équitable et équilibré de responsabilité dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en RDC, ce qui parait être une véritable discrimination et injustice, inacceptable, inconcevable, intolérable, inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU
ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Président – Fondateur et Président Exécutif International
Et Chercheur du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL
Le Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Le Char du Feu, le Char d’Israël et sa Cavalerie
Le Vaillant Héros et Grand Lion.
E – mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. , Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
(Par Dr David Menge, Conseiller Municipal Honoraire de la ville d’Ivry-sur-Seine, en France)
Dans un contexte où les élections de 2023 ont suscité de vives attentes et des espoirs de renouveau, il est essentiel de se pencher sur ceux qui, malgré leur élection, semblent avoir été laissés de côté dans l'exercice de leurs mandats. Qui sont ces élus, souvent qualifiés d'« oubliés », et comment leur situation impacte-t-elle la dynamique territoriale ? Cette analyse vise à explorer les défis auxquels ils font face, les raisons de leur lenteur dans l'action, et les conséquences sur les communautés qu'ils sont censés servir. En mettant en lumière ces enjeux, nous espérons susciter une réflexion sur la nécessité d'un engagement renouvelé et d'une responsabilité partagée pour un avenir meilleur.
Les élections générales de 2023 ont marqué une étape cruciale, permettant pour la première fois depuis l'adoption de la loi organique sur la décentralisation en 2008, l'élection des Conseils urbains et communaux dans les villes et les communes. Cependant, l'incapacité de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), dépourvue des ressources, à organiser les élections des exécutifs locaux issus de ces conseils élus entrave le bon fonctionnement des Entités Territoriales Décentralisées (ETD). Cette situation limite non seulement l'efficacité de leur action auprès des populations, mais soulève également des questions essentielles concernant la gouvernance locale. Les maires et les bourgmestres nommés continuent de gérer les villes et les communes, sous l'œil complaisant de l'administration étatique, ignorant les élections de décembre 2023.
Devons-nous attendre encore 15 ans pour élire les collèges exécutifs, comme ce fut le cas avec les Conseils urbains après la promulgation de la loi organique sur la décentralisation ? Cette question délicate pourrait amener les électeurs à se détourner de l'État en tant que décideur et organisateur des politiques publiques, en s'abstenant massivement lors des prochaines élections. L'État, qui établit les lois et règlements régissant le fonctionnement de notre société, doit s'emparer de ce dossier, surtout en cette période de pourparlers de paix, afin de rendre justice aux citoyens, véritables souverains.
Depuis que le Président de la République a comblé le vide démocratique en organisant, avec la CENI, les élections locales du 20 décembre 2023, les Congolais ont redécouvert l'importance de leurs territoires pour la cohésion nationale. Toutefois, il est surprenant de constater que, malgré ces avancées, des blocages politiques persistent et que les autorités locales nommées continuent de gouverner sans être contrôlées par les élus mandatés par la communauté depuis environ un an et demi.
Nous avons discuté de ce sujet avec de nombreux élus issus de diverses entités territoriales décentralisées à travers le pays. Ces derniers ont exprimé leur sentiment d'impuissance face au désintérêt manifeste des décideurs politiques pour les élections locales. « C’est un travail non achevé », ont-ils conclu, tout en se demandant si cela n’était pas tout simplement un gâchis politique ! Depuis près d'un an et demi, ils peinent à mettre en œuvre les politiques pour lesquelles ils ont été élus. Ils se demandent ce qu'ils pourront dire à leurs électeurs lors des prochaines élections si la situation ne s'améliore pas.
Lors du Conseil des ministres du 9 février 2024, le Président de la république a réaffirmé son engagement envers un programme de renforcement des capacités des ETD. Il s'était engagé à persuader l'exécutif de mettre en œuvre ce programme une fois les Assemblées territoriales installées, dans le but d'améliorer la gouvernance locale. Nous nous demandons pourquoi, plus d'un an plus tard, ce programme n'a pas été appliqué. Actuellement, le Gouvernement, déstabilisé par la guerre d'occupation initiée par le Rwanda, n'a plus les ressources financières nécessaires pour permettre à la CENI d'organiser les élections des exécutifs locaux. Tous les moyens sont dirigés vers le soutien de nos militaires qui luttent pour repousser l'ennemi rwandais et ses alliés du M23/AFC.
Cependant, l'histoire nous enseigne que les nations organisées ont su se renforcer pendant les périodes de guerre. Dans cette optique, je propose, en tant qu'élu local honoraire, une solution permettant aux élus locaux issus des élections de décembre 2023 de reprendre le flambeau et de conduire le développement des ETD.
En l'absence de ressources pour organiser les élections des exécutifs locaux par la CENI, je suggère que le Gouvernement prenne une mesure exceptionnelle. Il s'agirait de suspendre temporairement la loi organique sur la décentralisation et la loi électorale, permettant ainsi de contourner la CENI. Les conseils urbains et communaux pourraient organiser eux-mêmes ces élections, comme cela se pratique dans plusieurs pays, notamment en France.
Sous la supervision du Ministère en charge des ETD, les conseils urbains et communaux organiseraient les élections de manière transparente, et les présidents de ces conseils transmettraient les procès-verbaux des élections à l'autorité compétente pour validation. Cette proposition pourrait être testée rapidement dans les 24 communes de la ville de Kinshasa et étendue à d'autres provinces si les résultats sont concluants. Les élus locaux que j'ai consultés soutiennent cette idée et sont prêts à participer bénévolement à l'organisation du scrutin pour faire avancer la démocratie et permettre aux ETD d'être gouvernées efficacement et de progresser vers le développement local.
Pour faire face aux défis actuels, il est impératif que le Gouvernement prenne des mesures audacieuses pour surmonter les obstacles à la décentralisation. En permettant aux conseils urbains et communaux de prendre en main l'organisation des élections locales, nous pourrions non seulement revitaliser la démocratie locale, mais aussi renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions. Il est temps de transformer ces défis en opportunités et de tracer la voie vers un avenir où les ETD jouent pleinement leur rôle dans le développement de notre Nation.
(Par Jean Kambayi Bwatshia, Professeur Emérite et Recteur de l’UNISIC)
Dans la présente réflexion, j’entends parler de la « la tribu » et de l’« ethnie » comme les choses « fantomatiques» qui, dérangent l’éclosion d’un véritable Etat démocratique dans notre pays. Je parle aussi de la nation congolaise, comme nation à problème dans un contexte de nationalisme et de patriotisme. Et, je termine mon propos en vous disant que le Congo a besoin d’un nouveau leadership pour réussir le miracle congolais. 1. De la « tribu » et de l’ethnie
L’espace habitable africain est habité par de peuples disloqués, stockés vaille que vaille, et par la foi selon la volonté des nations colonisatrices. Il était impérieux, pour ces dernières, pour mieux connaître leurs nouveaux sujets de valoriser, d’une manière ou d’une autre, les spécificités de chaque groupe humain stocké. Après, on les appela des « tribus ».
En langage colonial, la tribu suppose être un groupe d’hommes, de femmes et d’enfants ayant une affinité linguistique, culturelle et une organisation sociale commune. C’est un groupe qui admet avoir une même origine et un même ancêtre commun réel ou mythique. Vivant sur un territoire politiquement propre et autonome, ce groupe s’est organisé en d’autres sous-groupes qu’on a appelés « clans ».
Dans l’ensemble, cette organisation sociale est caractérisée par une conscience parentale que les ethnologues, historiens, sociologues au service de la colonisation, ont appelée « conscience tribale ». On imagine qu’elle est extrêmement forte souvent obsessionnelle, identitaire et fêlée. Naturellement, la notion des clans, tribus n’axas la même connotation selon qu’on parle en langue congolaises ou en celle du colonisateur.
Donc, dès le départ, ces groupes vont entrer malgré eux, dans une autre identité, celle voulue par les nouveaux maitres. C’est cela la RDC d’aujourd’hui. Hélas ! On imagina aussi que plusieurs tribus pouvaient constituer une ethnie.
L’ensemble d’une telle stratification se considère comme héritier d’une même communauté historique et culturelle. Celle-ci se formule en termes de descendance commune partageant la volonté de la maintenir et de la défendre d’une façon ou d’une autre. Sans avoir nécessairement une expression politique, l’ethnie peut se subdiviser, se regrouper ou se réorganiser en définissant de nouvelles frontières sociales selon le processus d’amalgame, d’incorporation, de division ou de prolifération, en fonction des circonstances économiques ou politiques. Facilement détectable de l’extérieur, sa mesure dépend du degré de l’expression de la conscience ethnique groupale de ses membres. Dans la mentalité populaire africaine et surtout dans les milieux urbains, le langage ne voit pas d’inconvénient de parler d’ethnie alors qu’on veut signifier la tribu et vice versa. La doctrine coloniale, sa littérature et son enseignement ont mentalisé les concepts « tribu » et « ethnie » en termes de primitivité par opposition à « société civilisée. » L’histoire de ces termes, si l’on veut, remonte à l’antiquité gréco-romaine.
A l’époque, en effet, pour les Grecs, le vocable « ethnos » s’applique à l’origine, aux populations païennes vues comme des « nations au rabais et privées d’histoire ». Les Romains les appelaient les « barbares », c’est-à-dire ces étrangers sans organisation sociale fixe. Cette conception, atteignant la modernité contemporaine, a gardé la même teneur quand, dans le contexte darwinien, elle fut appliquée à tous les peuples du Congo.
Leur organisation socioéconomique et politique, disait-on, était assez lâche. La traite des Noirs, avec son arrogance raciste, a préféré s’en tenir au terme « tribu ». A partir de ce moment, les ethnologues, anthropologues, sociologues, historiens, coloniaux de tout bord et de tout genre, ces « spécialistes du Congo » spécialement, l’ont utilisé alors simplement, pour désigner n’importe quel groupe humain dont la culture, selon eux, « se présentait comme étrange et curieuse. » Alors, du terme « tribu » on a tiré l’adjectif « tribal » pour qualifier de « traditionnel » ou simplement tout individu, toute culture, toute histoire issue hors de « la civilisation » européenne. Et par opposition, on a créé le terme « détribalisé » pour l’appliquer à toute personne ou groupe de personnes qui ont reçu une instruction à l’occidentale et ont adopté le mode de vie européen. Ainsi, il était aisé de qualifier l’idéologie qui sous-tend la façon d’être tribal, de « tribalisme ».
La péjoration et la désapréciation gardent ici, tout leur contenu. A « tribu » aussi, a-t-on collé les notions complexes et ambigües de « dialecte » et de « patois » en lieu et place de « langue ». Hélas ! Ces « choses », au Congo sont historiques et collent à la peau des Congolais qui, malgré eux, doivent faire avec. Ici, l’identité dite est tribale et ethnique devenue une puissante conscience des « origines » des peuples dont il faut bien tenir compte tout en sachant que l’ethnicité devenue « ethnisme », et « tribalité » devenue « tribalisme », dérangent énormément le Congo dans sa marche citoyenne vers la démocratie.
Au lendemain de Berlin, le Congo se présente comme un continent écartelé, émietté... II ressemble à une « chose » monstrueuse, totalement bigarrée, hirsute et cacophonique, forgée expressément par l’impérialisme concurrent de la deuxième moitié du XIXème siècle. Il est réellement visible comme un gibier marqué par les coups de coutelas d’épaisseurs.
Les « pièces » ou les morceaux du territoire ainsi désagrégés et vaille que vaille organisés, étaient devenus des provinces, districts, territoires et secteurs. C’est clair, ces genres de portions tribalo-ethniques de territoire n’étaient ni homogènes, ni économiquement viables. Et pour montrer que cela était bon malgré tout, il fallait placer la colonie sous la force d’une main administrante coercitive et redoutable. Ça y est, les Congolais, ont trouvé leur nouvelle « patrie », le Congo belge.
2. Nation congolaise : nation à problème
Congo démantelé, convoité, Etat extraverti, conscience tribale aiguisée... est un phénomène qui rend difficile l’existence de la nation et complique davantage la problématique de la nationalité et de l’éclosion du nationalisme. Il est à la base de l’affaiblissement de maints efforts déployés par les leaders de bonne foi pour réaliser l’intégration nationale nécessaire et indispensable à l’exercice de la souveraineté.
La question est réellement sérieuse ; si l’être « politique tribal » ne devient pas l’être politique national » on continuera à se poser la question comme celle-ci : Quel Etat pour l‘Afrique ? Ainsi, me semble-t-il, vouloir ‘‘ faire l’expérience d’une irruption brutale et violente de la conception de l’Etat moderne dans la vie africaine, est une entreprise périlleuse non conforme à la réalité. C’est pourquoi, je dis que, tant que le Congo restera à son état de copie certifiée conforme non conforme aux Etats européens, ils ne peuvent que rester « Etat sans Etat ».
Tout cela est bien symptomatique ! Tout porte à croire que les Congolais, en choisissant la voie de l’indépendance, ont semblé n’être pas disposés à en assumer les conséquences. On doit rougir de honte. Nationalisme, indépendance, démocratie, patriotisme sont des termes qui, une fois appliqués chez un peuple, eom_pgrtu4çjoitrdçgnéquences. Il faut les enseigner dans un contexte passionnel et émotionnel ; il faut les exalter, sans cesse, pour les élever, il faut les défendre en termes de grandeur et de gloire en termes de destin commun. 3. De la patrie et de la nation
Je veux dans ce point montrer le fait que le concept de « patrie » de « patriotisme » ne pouvait venir à l’esprit des pères des indépendances. Si l’expression « mère-patrie » se rattache et s’identifie au « patrimoine » c’est-à-dire à l‘ensemble des biens reçus en héritage, biens légués par les aïeux, par exemple : terre, territoire, pays, valeur tradition, au Congo une telle conception est difficile à réaliser, car la terre, le territoire, le pays sont des créations d’autrui.
C’est avec raison que c’est l’esprit patriotique d’un peuple qui façonne son amour pour sa patrie. Un amour toujours renouvelé de génération en génération. Un amour pour son histoire, son peuple, ses langues, sa conformation naturelle ; un amour qui s’étend même jusqu’aux actions des citoyens et aux fruits de leurs génies.
Ainsi, tout danger qui menace ou menacerait le grand bien de la e patrie, devient-il une occasion de le mesurer ou de le vérifier. Le Congo doit rougir de honte quand ses leaders parlent de « ma Patrie... » Quand eux-mêmes patrimonialisent leurs pays ! Non, l’existence d’une Nation, avec son corollaire, la Patrie, est un plébiscite de tous les jours comme et l’existence de l’individu est une affirmation perpétuelle de vie. Une affirmation volontairement agissante de partager culturellement et collectivement le destin d’une communauté nationale est celle qui fait «exister » l’homme au monde. C’est par elle que naît la conscience nationale On et patriotique. On est donc, ici, très loin, de la conscience tribale et ethnique.
La nation, au concret, est un alibi identitaire accueillant qui fonde l’aspiration politique d’un peuple. Elle est l’âme, un principe spirituel, un a consentement toujours actuel et actualisé, un désir affiché de vivre ils ensemble. Elle est la conditionnalité de l’existence d’un Etat et du principe de nationalité. Le Congo, se débat encore dans les spectres de la lutte structurante entre le tribalisme, l’ethnisme et le nationalisme intégrateur. On ne dira jamais assez que le caractère polyethnique des populations congolaises réagit fortement sur la construction de l’identité nationale. Il est pratiquement impossible de construire la nation à partir de l’Etat. Une telle voie est dangereuse et conduit à des comportements aberrants et même contraires aux aspirations congolaises (unité nationale).
Les gestes de chauvinisme tribal attardé et de xénophobie ont élu domicile partout au Congo. C’est au nom de la « nation tribu » qu’on gouverne, qu’on chasse, qu’on expulse. Non ! Les Congolais doivent parvenir à créer un Congo - espace de liberté, de la cohabitation et de convivialité qui peut répondre mieux à cette notion de grande famille à laquelle, le Congolais est sensible. Je me demande s’il ne faut pas créer une « science congolaise » de l’Etat qu’on appellerait, par exemple, la « statologie congolaise ».
L’évolution du Congo indépendant a démontré qu’elle peut être qualifiée d’ambigüe, de fantôme, de déboussolée, en panne, mal partie, orpheline, écartelée, isolée du reste du monde, mosaïque de plus ou moins cinquante tribus... Quel drôle de puzzle ? Il s’agit pour moi de cet ensemble suspendu à un vide, formidable Léviathan tropical doté de toute la pesanteur perverse du colonialisme ; un ensemble habité jadis par des « citoyens », ces anciens « indigènes » qui, naturellement, sont loin de constituer une « société civile » forte, structurée et vigoureuse, prête, à faire contrepoids à la société politique néocoloniale et qui apparaît comme « une tête apoplectique ». Nous nous posons alors la question fondamentale de savoir, et aujourd’hui, qui doivent renverser l’équation? Comment doivent-ils le faire?
Réponse ! Les Congolais eux-mêmes; ceux-là mêmes qui se situeront ou qui se situent déjà dans la voie de l’unité nationale réelle et concrète; une unité pour le changement positif, qualificatif, quantificatif, compétitif, observable et mesurable pour les Congolais.
Quels sont ces Congolais qui opéreront ce genre de changement ? Réponse ! Ceux qui pensent déjà ou penseront à la constitution d’un nouveau leadership visionnaire prêt à quitter la conscience schizophrénique écartelée au carrefour de l’histoire.
4. Du leadership au Congo Oui le Congo a besoin d’un nouveau leadership.
Nous voulons dire aux leaders congolais de dire non au péché de la perversion; pour dire également en second lieu que le Congo a besoin des leaders crédibles pour dire en troisième lieu que les élites intellectuelles congolais doivent quitter leur être complice silencieux face à la mauvaise gouvernance de leurs gouvernements. Je veux vous dire, mes amis, que la RD. Congo est devenue superflue loin de la grandeur et de la dignité humaine. Nous voulons dire mêmement que les Congolais, dans leur indépendance sans liberté, se contentent d’être dans la dérive de la raison. Je souligne que l’anormal est devenu le normal qu’on acclame avec bonheur. On se dit avec désinvolture que « cela a été toujours ainsi ». On est esclave dans son propre pays. Est-ce normal quand on fonctionne selon un mode de production social tribaliste, claniste, ethniste? Est-ce normal quand toute la société vit ostensiblement dans la corruption, pillage, mauvaise gouvernance, tous ces défauts qui avilissent et pervertissent l’homme Congolais.
Vivant dans un système de misère généralisée, et d’extrême pauvreté, les Congolais se sentent réduits aujourd’hui au niveau de l’animalité. Tous vivent sous l’aiguillon de la faim qui les pousse dans la mendicité et la corruption qui ne disent pas leur nom. Non, le Congo et les Congolais méritent mieux que cela. Leur pays est bien grand, mais hélas, sans grandeur.
Sans provoquer qui que ce soit, le peuple veut des humbles crédibles. C’est-à-dire ces hommes qui ont compris les sens de grandeur mentale et de mental de grandeur au sens moral et éthique. Ces hommes capables de susciter avec les autres, leurs semblables, un Congo nouveau, plus profond, plus démocratique. Ces hommes capables de créer leurs capacités intrinsèques, un consensus autour d’eux pour l’émergence d’un Congo digne, capable d’être fier dans le concert des Nations.
Ces hommes seront ceux qui auront une vision claire du monde qui se mondialise de plus en plus. Une vision d’un Congo réellement unit se situant loin des nationalismes agressifs, anachroniques et décadents.
La notion de grandeur signifie ici beaucoup de choses, depuis la simple taille ou « grandeur mesurable » en passant par une « grandeur » caractérisée par l’étendue de l’influence, la puissance et le prestige politique, social, culturel, moral, spirituel et intellectuel pour atteindre le sens plus profond des mérites. Je dis que les Congolais attendent l’avènement de « l’événement nouveaux leaders ».
Ces derniers seront chargés des missions nobles et sacerdotales dans l’accomplissement de l’Etat congolais. Ils récusent les tripotages constitutionnels. Ils ne veulent plus succomber dans la tentation du mal que font miroiter leurs dictateurs. Les intellectuelles qui ne sont pas nécessairement des diplômés d’universités doivent comprendre qu’ils doivent cesser de s’abriter dans des carapaces du pouvoir sans pouvoir pour donner à ceux-ci des allures de modernité démocratique.
Le Congo a besoin de l’Elite intellectuelle c’est-à- dire, ces personnes qui ont émergé dans la société et qu’on peut classer dans la catégorie des meilleurs et des distingués selon les critères de valeur morale et de l’éthique.
Produit d’une société africaine déchirée par la colonisation et les dictatures, ces personnes doivent témoigner d’elle, loin de se laisser conduire comme de véritables « moutons de Panurge» prostitués se répandant en courbettes et en flatterie ignobles pour sauvegarder les espèces sonnantes, trébuchantes et des avantages précaires et douteux. L’élite congolaise aujourd’hui, a brumé son esprit critique.
De compromission en compromission, il y a risque qu’elle finisse comme une épave ou un fossile social ayant perdu même le peu de connaissances reçues aux études. Elle est devenue un zombie. Oui, «l’élite africaine» participe silencieusement à la perversion de la société. Ayant pactisé avec le mal radical qu’elle banalise, elle est devenue superflue et insensible à la misère qui accable le peuple. Le Congo, Mes amis, a besoin des prophètes. Ces gens de lumière qui émergent comme artisans de la restauration Congolais capables d’inventer une véritable éthique du futur. Et aussi capables de quitter l’imagination inférieure, fantaisiste, déréglée pour tendre vers une imagination supérieure, active et inventive. Le Congo est bien en panne ! « Il est émietté » « Il refuse le développement » «il est déraciné » « déboussolé » dans un monde si trouble où «la démocratie est déjà piégée ». On dirait que le Congo est ligoté « Le Congo meurt-il ?». Le miracle congolais aurait-il lieu sans les Congolais ? Et avec quels Congolais ?
Oui, le miracle congolais pourra avoir lieu si seulement les Congolais eux-mêmes commencent par comprendre que toute l’histoire de leur Etat postcolonial est l’œuvre d’une histoire : celle de la colonisation. Le miracle congolais pourra avoir lieu si seulement les Congolais eux-mêmes commencent par comprendre que la valeur de leurs ressources naturelles et humaines est proprement leur affaire. Le miracle congolais pourra se produire si seulement les Africains commencent par eux-mêmes, à j s’apercevoir qu’une indépendance politique n’a de valeur que mentale. Le miracle congolais peut se produire quand les Congolais eux-mêmes apprendront leur Congo en termes d’idée, pensée en fonction des exigences historiques de leur société; quand ils comprendront par eux-mêmes que l’Etat est d’abord un support politique au service du peuple, loin d’une personnalité forte soit-elle.
Enfin, le miracle congolais peut se produire le jour où les Congolais eux-mêmes s’empêcheront de concevoir les Etats en termes de féodalité suffisamment mécanique à la place des sociétés civiles, conscientes d’elles- mêmes et actrices du changement.
Le sommet de l’Etat n’est pas un lieu d’apprentissage d’exercice de responsabilité. II n’est pas non plus le lieu d’éclosion éventuelle de talents potentiels. Non ! Les plus hautes charges de l’Etat sont un lieu d’exercice de la maturité, de la sagesse et de talents confirmés.
Les élections de 2023 ont connu une victoire raz de marée de l’Union Sacrée de la Nation. Tous les postes de confiance, à quelques exceptions près, ont été confiés aux fidèles du Chef de l’Etat. Ces hommes, réputés comme tels, sont censés être des vecteurs de confiance et de crédibilité devraient prêcher par l’exemple avec à la clé l’efficacité d’action et l’exemption de soupçon à l’instar de la Femme de César.
Pour que la fidélité de ces hommes soit considérée comme une qualité, ceux-ci doivent être caractérisés par la droiture, la franchise, l’intégrité morale et la loyauté dans leur relation avec le Président. Aussi bien dans l’exécution des tâches et missions qui leurs sont confiées que dans le choix et l’appréciation de personnes appelées à accompagner le Président au cours de son mandat.
Et pourtant, dans le casting et dans le cadre des projets emblématiques comme le développement à partir des 145 Territoires, ces Hommes fidèles dits de confiance font, à tort ou à raison, l’objet de tous les soupçons ; monnayage et absence de sincérité dans leurs rapports avec le Président Tshisekedi.
Les conflits d’intérêt sur fond de délit d’initié ou de pratiques mafieuses, en raison de leurs statuts, ne font qu’accréditer une telle supputation.
En l’occurrence, l’incident lors du séjour d’itinérance du Président de la République à Kananga en est une illustration emblématique.
Dans cet ordre d’idées, émerge, depuis quelque temps, une controverse, dans la grande Province de l’Equateur, autour des fonds et des réalisations des ouvrages dans le cadre du développement à partir des 145 Territoires.
Sans entrer dans le fonds du problème, où il y a certainement à boire et à manger, cette situation déplorable est due soit à la méconnaissance par mauvaise foi soit à l’ignorance naïve. Hypothèse difficilement acceptable dans le chef de ceux qui sont censés connaître le mieux le Président Tshisekedi.
Ce qui ruine, non seulement, leur crédibilité dans l’opinion mais aussi celle du Président qu’ils sont censés servir.
Alors que la politique du développement à partir des 145 Territoires devrait revaloriser ces Entités et les acteurs socio-économiques locaux, malheureusement, ceux à la base de ce programme se sont mués comme par enchantement en acteurs socio-économiques au détriment des entreprises locales, annihilant ainsi la volonté affirmée du Président Tshisekedi de justice distributive.
Ce comportement préjudiciable, équivalent à un délit d’initié, occasionne inévitablement des conflits d’intérêts dans le chef de ceux qui deviennent ainsi par la force des choses juge et partie, au point d’exaspérer les populations concernées et les acteurs locaux qui ne savent à qui se vouer pour avoir des éclaircissements ou tout simplement la justice.
Ils affichent, sans vergogne et sans crainte, ce comportement indolent, convaincus que leur fidélité au Président Tshisekedi leur garantit l’impunité.
En tout cas, leur donne le privilège d’être à l’abri et au-dessus des lois grâce aux pieux mensonges débités à longueur de journée dans l’oreille du Président.
Et pourtant le cas d’un Directeur de Cabinet du Chef de l’Etat, trainé devant la justice, devrait leur servir de référence et d’alerte.
Ces personnages indélicats, sans foi ni loi, devraient être mis hors d’état de nuire pour la crédibilité du Président en tant que Garant de la Nation.
(Par Christian Gambotti, Président du Centre d’Etudes et de Recherches sur l’Afrique de Demain)
Le continent doit, de toute urgence, produire pour l’Afrique, développer les échanges commerciaux intra-africains et se réorienter vers d’autres puissances commerciales.
L’Afrique et la guerre commerciale planétaire engagée par Trump : la remise en cause de l’AGOA
Au début du mois de mars, alors qu’il justifiait, devant le Congrès, les coupes massives dans les programmes d’aide destinées aux nations en développement, Trump avait dit, à propos du Lesotho : un pays « dont personne n’a jamais entendu parler ». Pourtant, les exportations vers les Etats-Unis de ce petit pays d’Afrique australe, totalement enclavé dans l’Afrique du Sud, sont désormais frappées de droits de douane de 50%, les plus élevés pour une seule nation en Afrique (1). Le Lesotho, dont l’économie déjà fragile dépend de l’assistance étrangère et des exportations de vêtements vers le marché américain, pourra-t-il surmonter l’impact négatif de cette hausse vertigineuse des droits de douane ? Ces droits de douane dits « réciproques », qui frappent une vingtaine de pays africains, décidés de façon unilatérale par Trump, remettent en cause l’AGOA (2), l’accord commercial préférentiel avec les Etats-Unis. Quelques rares secteurs seront fortement impactés, mais le volume des relations commerciales avec Washington étant modeste, les effets de la hausse des droits de douane aux Etats-Unis devraient être limités pour le continent africain. La véritable inquiétude concerne la fin de l’aide humanitaire et du soutien à la stabilité, alors que nous assistons, partout en Afrique, à exacerbation des crises.
L’exemple de la RDC montre que Trump s’intéresse à l’Afrique à la manière de Trump
Pour être clair, Trump ne s’intéresse pas à l’Afrique. En revanche, il s’intéresse aux accords commerciaux qu’il peut signer avec chaque pays africain dans des relations bilatérales et selon le principe du « deal », c’est-à-dire le marché, l’arrangement, la transaction passée entre deux pays. Les relations entre les Etats-Unis et la République Démocratique du Congo (RDC) sont le meilleur exemple de la manière dont Trump voit les relations internationales : chaque année, les États-Unis importent 323 millions de dollars par an de la République Démocratique du Congo, mais ils n’exportent que 253 millions de dollars de biens manufacturés vers la RDC. Déficit commercial : 70 millions de dollars. Or, Trump ne regarde que le déficit commercial des Etats-Unis avec chaque pays. A cela s’ajoute le fait que les États-Unis sont le principal donateur bilatéral de la RDC, fournissant un soutien au développement, à la stabilité et une aide humanitaire. Avec Trump, il n’est pas question de multilatéralisme, de soutien au développement et à la stabilité, ni d’aide humanitaire. En revanche, selon le département d’Etat américain, les Etats-Unis sont prêts à discuter d’un partenariat sur les terres rares de la RDC, à l’image de celui en discussions avec l’Ukraine : un accord sur ces minerais (cobalt, lithium, etc.) en échange d’une aide à la sécurité contre les attaques du Rwanda et des rebelles du M23 dans l’Est du pays. De façon caricaturale, on pourrait dire que Donald Trump ne discute pas avec Félix Tshisekedi de géopolitique. Il laisse son Secrétaire d’Etat, Marco Rubio, et son conseiller principal pour l’Afrique, Massad Boulos, nouer un accord commercial avec le ministère des Mines congolais. Le 3 avril, Massad Boulos, conseiller principal pour l’Afrique du Président américain Donald Trump, a rencontré le président congolais Félix-Antoine Tshisekedi. On sait déjà que seuls les métaux stratégiques africains sont épargnés par ces taxes, ce qui exonère le cuivre et le cobalt de la RDC.
Mais, derrière la déclaration convenue de Massad Boulos, il faut décrypter la réalité de l’intérêt que Trump porte à la RDC : « Nous souhaitons une paix durable qui affirme l'intégrité territoriale et la souveraineté de la RDC, tout en posant les bases d'une économie régionale florissante. (…) Nous visons à stimuler les investissements du secteur privé américain en RDC, notamment dans le secteur minier, pour contribuer à la prospérité de nos deux pays. » S’agit-il d’un accord gagnant-gagnant, ce que semble proposer le « deal commercial » de type trumpien ou, à nouveau, d’un bradage des ressources minières du pays en échange d'une hypothétique protection sécuritaire américaine (3) ? Si l’on prend le cas de l’Ukraine, Trump ne parvient toujours pas à imposer un accord de paix à la Russie. Il est vrai que Poutine, l’un des bénéficiaires du partage du monde que prévoit Trump, n’est pas Kagamé, le président d’un petit pays africain. Trump pourra-t-il imposer à Kagamé « une paix durable qui affirme l'intégrité territoriale et la souveraineté de la RDC » dans l’Est du pays ?
Trump s’était désintéressé de l’Afrique lors de son premier mandat (2017-2021). La destination choisie pour ce premier déplacement sur le continent, mais surtout le programme dicté par la doctrine de l’« America first », indiquent l’importance accordée par le président Trump au dossier congolais. Il ne s’agit pas d’une soudaine compréhension de l’importance de l’Afrique dans le nouvel ordre mondial. Trump maintient la réduction drastique de l’aide au développement et de l’aide humanitaire en Afrique, ce qui aggrave l’instabilité politique du continent.
Merci Trump
L’Afrique ne doit pas s’étonner de la politique de Trump que résume le slogan MAGA (« Make America Great Again »), slogan utilisé par Ronald Reagan dans sa campagne électorale de 1979 et popularisé par Donald Trump à partir de 2016, lors des primaires du parti Républicain. Qui peut reprocher à Trump de vouloir rééquilibrer la balance commerciale des Etats-Unis et résorber le déficit abyssal de l’Etat fédéral ? Il le fait de façon brutale et unilatérale, sans vouloir distinguer entre alliés historiques et ennemis politiques des Etats-Unis. Pour Trump, la politique se réduit à l’économie. Depuis l’élection de Trump, le monde est entré dans une nouvelle ère, symbolisée par la scénarisation des dizaines de décrets signés à la hâte devant les télévisions. Le réveil est d’autant plus brutal que le langage de Trump ne s’encombre pas de la politesse hypocrite de la vieille diplomatie du vieux monde. C’est finalement une bonne chose. Les Etats africains doivent désormais ouvrir les yeux et appliquer la réciprocité avec les puissances étrangères et les multinationales qui veulent exploiter leur sol et leur sous-sol. Ce n’est pas une revanche d’un continent en développement sur les pays riches qu’il faut mettre en œuvre. L’Afrique doit créer les conditions qui vont permettre aux Etats africains de : 1) produire pour l’Afrique 2) développer les échanges intra-africains 3) nouer des partenariats stratégiques « gagnant-gagnant » 4) se réorienter vers d’autres puissances commerciales.
Les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts. Déjà, en 1848, dans son Discours à la Chambre des Communes du Royaume-Uni, Henry John Temple avait dit : « We have no eternal allies, and we have no perpetual enemies. Our interests are eternal and perpetual, and those interests it is our duty to follow. » (L’Angleterre n’a pas d’amis ou d’ennemis permanents ; elle n’a que des intérêts permanents et ces intérêts sont la seule obligation que nous devons suivre.)
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Une vingtaine de pays africains sont concernés par ces droits de douane dits « réciproques » : Lesotho: 50 %, Madagascar : 47 %, Maurice : 40 %, Botswana : 37 %, Libye :31 %, Afrique du Sud : 30 %, Algérie : 30 %, Tunisie : 28 %, etc. La Côte d’Ivoire voit son cacao frappé par une taxe de 21%.
AGOA : l'African Growth and Opportunity Act (AGOA), adopté en mai 2 000 par le Congrès des États-Unis et signée par le président Bill Clinton, prolongé en 2015 par Barack Obama, concerne 39 pays africains. L’AGOA constitue la « pierre angulaire » des relations commerciales entre les États-Unis et l'Afrique. Les conditions d’accès au programme de l’AGOA favorisent les Etats-Unis, même si ce programme constitue une aide pour soutenir les exportations des pays africains vers Etats-Unis.
Le catastrophique contrat commercial du siècle entre la RDC et les entreprises chinoises conclu en 2008 « minerais contre infrastructures », s’était traduit par un déséquilibre manifeste, les entreprises chinoises ayant généré 10 milliards de dollars américains de profits, la RDC n’ayant reçu, en retour, que 822 millions de dollars sous forme d'infrastructures.
Le Conseiller Principal Boulos et la Secrétaire d'Etat adjointe aux Affaires Africaines Corina Sanders se sont rendu en République Démocratique du Congo, ce 3 avril. A l’issue de son entretien avec le Président Felix Tshisekedi, le Conseiller Principal Boulos a émis son vœu de faire progresser les efforts en faveur d'une paix durable dans l'est de la République Démocratique du Congo et promouvoir les investissements du secteur privé américain dans la région. C’est ainsi que CADA, (Congo Action pour la Diplomatie Agissante) apprécie à juste titre l’Accord en gestation portant minerais contre la sécurité entre la RDC et les USA, dont les préliminaires ont déjà commencé et émet vivement le souhait de voir les Parties arriver à sa signature effective.
Il dénonce, de ce fait, tous les trouble-fêtes, principalement les Congolais qui se mettent en travers cette initiative et investissent Washington où ils arpentent les allées de la nouvelle administration américaines, payant rubis sur ongles des lobbyistes, pour étouffer dans l’œuf ce projet qui pourrait être bénéfique pour le Congo, pendant que, paradoxalement, ils s’abstiennent de dénoncer le pillage systématique desdits minerais depuis trente ans par le Rwanda et d’autres puissances, ni de stigmatiser des accords de partenariat du genre MOU signé par l’Union européenne et le Rwanda sur les matières stratégiques que ce dernier possède pas et passent sous silence l’accord dit du siècle avec la Chine dont le Gouvernement Félix Tshisekedi s’est fait fort de revisiter les termes afin de revoir à la hausse les profits de la RDC.
CADA note, tout en rappelant que cet accord s’inscrit sans doute dans la suite de ce qui avait été entamé et stoppé, notamment par la crise due au Covid-19, sous le premier mandat du Président Donald Trump avec la détermination de l’Ambassadeur américain d’alors, M. Hamer, que les motivations profondes de la guerre, qui sévit au Congo et qui n’en finit pas depuis trente, sont d’ordre économique.
Les minerais stratégiques et critiques que regorge en suffisance le sous-sol congolais sont ainsi l’objet de convoitise par ces temps de transition énergétique et numérique. Et grandes ou petites, les puissances du monde ont les yeux rivés sur le Congo et passent, le cas échéant, par des intermédiaires, c’est le cas du Rwanda, pour en jouir.
Par conséquent, au lieu de laisser cet ordre de choses servir de carburant pour l’insécurité en RDC, signer un accord avec une grande puissance, en l’occurrence les USA qui sont intéressés par les minerais du Congo pour lesquels ils s’investissent dans la réhabilitation du corridor de Lobito, paraît plus plausible.
Ce serait une manière de diminuer considérablement l’ardeur ou la nuisance de plusieurs intervenants illégaux à l’est (étrangers comme nationaux) dans l’exploitation des minerais, principalement les 3T (tantale, étain et tungstène) et l’or étant donné que la sécurité de la région sera un des paramètres fondamentaux qui va entrer en ligne de compte dans l’exploitation des minerais si jamais l’accord est conclu.
En effet, le contrat, dont question, vaut la peine. Ceci dans la mesure où le Congo éprouve encore beaucoup de peine pour se sécuriser et maîtriser le flux des minerais qui y sont extraits par des acteurs divers et qui s’évanouissent, par fraude et contrebande avec l’aide des pays voisins, singulièrement le Rwanda et l’Ouganda, en Asie, Europe et en Amérique du Nord.
Il s’avère donc, ainsi que souligné dans de nombreux rapports de l’ONU ainsi que de certaines ONG internationales, que le pillage des ressources naturelles congolaises, quels qu’en soient les moyens, est au centre des guerres qui ravagent le Congo.
De ce fait, l’exemple angolais avec l’anéantissement de l’UNITA, sur fond d’un accord économique, pourrait inspirer les autorités congolaises. Il en est de même du contrat à venir entre les USA et l’Ukraine. Donc, il est possible que les minerais riment avec la paix au lieu d’être une malédiction comme c’est le cas en RDC jusque-là. Mais, pas à n’importe quelles conditions.
CADA est donc d’avis que ce rêve peut se transformer en réalité, mieux se convertir en succès, pourvu que les Autorités congolaises fassent preuve d’un engagement, d’une détermination, et disposent d’un cahier de charges reprenant leurs desiderata. A cet effet, il recommande au Président de la République de :
1- Mettre sur pied une seule et véritable équipe pluridisciplinaire des négociateurs rompus composée des ministres sectoriels (Affaires étrangères, Mines, Commerce extérieur, Portefeuille, Finances) et des techniciens issus de la Gécamines et de SAKIMA, entreprises étatiques détentrices des gisements miniers, du Cadastre minier, de l’IGF (Inspection Générale des Finances) et autres experts si possible.
Ce qui éviterait des télescopages des délégations comme lors des contacts préliminaires ;
2- Associer les délégués des Entreprises minières opérant notamment à l’est du pays et détentrices des titres miniers parce qu’ils connaissent les problèmes de plusieurs ordres qui se posent par rapport à l’exploitation minière, les réformes réalisées ou à réaliser pour la maîtrise du flux des minerais sur le territoire national afin que le pays joue le rôle de premier plan dans la production de certains minerais, dont le coltan, ainsi que les stratégies mises en place par des pays voisins, en l’occurrence le Rwanda, pour attirer les minerais du Congo. En outre, ils peuvent donner des pistes de solutions pour une meilleure harmonisation avec des éventuels investisseurs américains à l’occasion de cet accord.
Ce qui pourrait éviter des couacs survenus avec l’accord avec les Qataris, à travers les entreprises Primeira Gold et Primeira Metal ;
3- Anticiper sur certaines exigences des partenaires américains, notamment l’assainissement du climat d’affaires, le bannissement de la corruption et l’administration judicieuse de la justice pour mettre à l’abri des investisseurs.
(Par Jean Joseph NGANDU NKONGOLO, Anthropobibliologue, Expert en Anthropobibliologie du Travai)
Hommage à Delphin Katembo alias Delcat Idengo
«C’est une règle générale : l’homme qui réussit le mieux dans la vie est celui qui détient la meilleure information». Benjamin Disraeli.
Chères lectrices, chers lecteurs ;
La première ministre de la République démocratique du Congo, Judith Suminwa, a lancé ce 1er mars 2025 la campagne nationale de mobilisation populaire face à l’agression rwandaise, dénommée « Congolais telema ». « Congolais telema » se veut ainsi une rationalité politique d’une lutte identitaire contre l’indignité et la honte imposées aux congolaises et les congolais sur leur propre sol par les rwandais.
Dorénavant, la réussite de » « congolais telema » dépend impérativement de la communication de combat, car, depuis 1996 l’invasion rwandaise n’a pas fait l’objet à l’interne d’une communication à la hauteur des exactions commises par les rwandais en République démocratique du Congo. La communication de combat fondée sur la conception militante, conflictuelle et constructive de Miguel Benasayag et Angélique del Ray (2007) était susceptible d’engager les congolaises et congolais dans une lutte identitaire purement congolaise.
Car, la communication de combat est celle qui accepte le langage de vérité et qui cherche à influencer l’autre, voire le convaincre à faire valoir ses convictions.
Cependant, l’absence d’un plan de communication de combat sur les mobiles et motifs de l’invasion rwandaise avec le concours et la complicité de certains hommes gaspillés de la RDC n’a pas permis au peuple congolais de jouer son rôle de souverain primaire pour participer activement à l’orientation du pays vers le progrès et le développement, rêves que ce peuple chérit depuis l’accession de la RDC à sa souveraineté nationale et internationale.
L’importance que revêt la communication de combat est aussi à comprendre à travers le postulat de Mabika Kalanda(1965) qui montre qu’ « une société organisée sur la base de la connaissance de la vérité a plus de chance de survivre et de mieux échapper à la disparition qu’une société dite naturelle ».
L’invasion rwandaise est une expression déterminante éhontée du Rwanda à dominer les congolaises et congolais qu’ils considèrent à tort inferieurs à eux. Cette domination rwandaise justifie la mésentente entre Laurent Désiré Kabila et les Tutsis du Rwanda que reprend en ces termes : « Nous devons résister à l’oppression et nous devons refuser d’être massacrés chez nous. La cause de ma mésentente avec les tutsis du Rwanda est qu’ils prennent le peuple congolais pour un peuple mineur et ils veulent nous imposer ce que nous devons faire chez nous. (…), ils veulent avoir le droit de piller l’or, le diamant et tous les minerais du Congo et par-dessus tout, le droit de nous exterminer. Je ne peux pas accepter cela et les congolais ne l’accepteront jamais » Charles Onana (2023 : 296) dans son livre intitulé Holocauste au Congo. L’Omerta de la Communauté internationale. La France complice ?
Ouvrons la parenthèse pour dire que l’accord du 23 mars 2009 qui est devenu aujourd’hui Mouvement du 23 mars découle du droit que s’est arrogé le Rwanda de piller l’or et les autres minerais de la RDC. Mais, comme l’avait déjà prédit Laurent Désiré Kabila, les congolais n’acceptent pas que le Rwanda via le M23 vienne les dominer, piller l’or et tous les autres minerais congolais tout en installant les administrations parallèles dans certaines entités de la RDC qu’il occupe illégalement.
C’est ici qu’il convient de rendre un hommage mérité à l’artiste musicien congolais Delphin Katembo alias Delicat Idengo tué le 13 fevrier 2025 à Goma par les troupes rwandaises et leurs supplétifs du M23/AFC pour sa chanson interrogeant la libération accompagnée des tueries des congolais, des viols des filles et des femmes congolaises et des pillages. Cette chanson devrait être jouée constamment en guise, d’un côté, d’hommage à son hauteur et, de l’autre, du refus de la domination rwandaise.
Comment alors le successeur de Laurent Désiré Kabila a-t-il accepté de signer un accord du 23 mars 2009 pour accorder indument au Rwanda les avantages et droits qu’avait refusés Laurent Désiré Kabila ? Est-ce pour confirmer les propos de Yoweri Museni qui avait déclaré à la délégation des ministres des affaires étrangères de la SADC, selon Charles Onana (2023 :296), que « la RDC a besoin d’un président faible. Laurent Désiré Kabila est trop fort. Il refuse tout ce qu’on lui dit de faire ». C’est ainsi qu’il convient de prendre au sérieux les présumées déclarations faites des temps en temps par le fils de Yoweri Museveni qui agit comme agissent les comédiens dans les cours des rois pour passer des messages non négligeables.
Curieusement, quand les congolais refusent d’être dominés par les rwandais et de faire piller les ressources de sol et sous congolais par ces derniers, Paul Kagame, par sa stratégie de « talk and fight » telle qu’énoncée par Pierre Péan (2010) dans son livre intitulé Les guerres secrètes des grandes puissances en Afrique, fait du Rwanda la fabrique des morcenais qu’on appelle par abus de mot rebelles pour réclamer les avantages et les droits que le Rwanda doit bénéficier au Congo Kinshasa. Ces mercenaires instaurent la terreur comme mode de gestion et d’administration des entités qu’ils occupent illégalement en République démocratique du Congo.
La seconde vérité subsidiaire à la première est la violation de la Charte de l’Organisation des nations Unies, le Droit International et l’Acte Constitutif de l’Union Africaine par le Rwanda qui est membre de l’ONU et de l’UA au même titre que la République démocratique du Congo.
La Charte de l’ONU, le droit international et l’Acte Constitutif de l’UA constituent la base documentaire pour le fonctionnement harmonieux des Etats Nations. La Charte de l’ONU, le droit international et l’Acte Constitutif de l’UA sont donc une réponse à un besoin managérial qui est la scrbalité que Budibangi Yambu(1996) définit comme « un état d’une société qui s’est engagée de manière irréversible, à quelque degré que ce soit, dans le processus où l’écrit est appelé de plus en plus à régir et ordonner la vie de la société et en assurer la pérennité
Si l’Union Africaine est restée complaisante, voire complice avec le Rwanda qui a violé l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo au mépris souverain de l’Acte Constitutif de l’UA, l’Organisation des Nations Unies a tenu au strict respect de sa charte violée par le Rwanda. C’était en sa réunion d’urgence du 21 février 2025 que le Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies a décidé, par la résolution 2773(2025), du retrait immédiat et sans conditions préalables, d’un côté, de la Force de Défense Rwandaise du territoire congolais et, de l’autre, du Mouvement du 23 mars 2009 des entités qu’il occupe.
La résolution 2773(2025) est donc l’accomplissement de la prédiction de Patrice Emery Lumumba sur la libération totale des congolais. En bon admirateur de l’héroïsme de Patrice Emery, Pierre Péan ci-haut cité revient sur la lettre de Patrice Emery Lumumba à Pauline, sa femme, dont l’extrait relatif à la prédiction de Lumumba sur l’accompagnement des congolais par les peuples libres et libérés du monde pour libérer les congolais est « (…) Nous ne sommes pas seuls, l’Afrique, l’Asie et les peuples libères et libérés de tous les coins du monde se trouveront toujours aux côtés des milliers de congolais qui n’abandonneront la lutte que le jour où il n’y aura plus de colonisateurs et leurs mercenaires dans notre pays.(…) ». Patrice Emery Lumumba reste un modelé congolais de lutte pour la liberté et l’indépendance. Dès lors, en luttant pour la liberté et l’indépendance des congolais et de la République démocratique du Congo, nous lui rendons un hommage mérité.
Par ailleurs, « congolais telema » se veut aussi un accomplissement d’une autre prédiction de Patrice Emery Lumumba évoquée dans sa lettre à Pauline ci-haut citée en ces termes, je cite : « je sais et je sens du fond de moi-même que tôt ou tard mon peuple se débarrassera de tous ses ennemis intérieurs et extérieurs, qu’il s’élèvera comme un seul homme pour dire non au colonialisme dégradant et honteux, et pour reprendre sa dignité sous un soleil pur », fin de citation. « Congolais telema » est donc le moment venu de se débarrasser des ennemis internes et externes des congolais et de la RDC. Mais, pour y parvenir, il faut une communication de combat et une intelligence locale
Dans sa publication scientifique intitulée « De l’accès des citoyens congolais aux comptes rendus des réunions du conseil des ministres comme condition de consolidation de la bonne gouvernance en RDC » parue aux cahiers africains des droits de l’homme et de la démocratie ainsi que du développement durable, NGANDU Nkongolo en sa qualité de chercheur et spécialiste en écrit et en communication écrite met en lumière la finalité de la communication telle que soutenue par Adler Jerome Mortimer et Charles Van Doren qui montrent que « we form a community to the extent that we can communicate, share common ideas and purposes. The good society, in large, must be an association of men made friends by intelligent communication ». Nous formons une communauté dans la mesure où nous pouvons communiquer, partager des idées et des objectifs communs. La bonne société doit, dans son ensemble, être une association des hommes devenus amis par la communication intelligente.
Dorénavant, l’insouciance, l’inconséquence et l’inconscience de certains congolais et congolaises vis-à-vis de l’agression rwandaise mettent en exergue le déficit communicationnel sur l’agression rwandaise. Il est inacceptable que les victimes saluent, félicitent ou accueillent volontairement ou par force leurs bourreaux comme l’on observe avec regret dans le discours certains congolais ou dans certaines entités géographiques de la RDC.
Ainsi donc « congolais telema » est un refus idéologique par excellence de l’agression rwandaise.
Déjà, pour faire face aux velléités expansionnistes rwandaises, par ma 45ème lettre sociale congolaise du 23 avril 2024, j’ai montré avec Pius Ngandu Nkashama, alors Professeur des langue et littérature françaises au département de Français de la Louisiana State University aux Etats Unis d’Amérique qu’ « aujourd’hui, la force des armes n’a plus un pouvoir contraignant sur les peuples. Ces derniers ont acquis par eux-mêmes, à travers leur propre intelligence, le refus d’inculquer aux peuples les notions d’êtres inferieurs ou primitifs ». L’intelligence qu’évoque cet intellectuel congolais de renommée internationale c’est l’intelligence locale.
Et, la communication de combat a aussi un rôle très important à jouer dans la formation et le développement de l’intelligence locale qui est le fer de lance de la conscience nationale.
Dans un pays où l’improvisation est devenue la règle d’or dans beaucoup de domaines de la vie nationale, il importe alors de mettre en place un plan de communication de combat pour généraliser les deux vérités ci-haut citées partout où il y a des congolaises et des congolais afin de développer et accroitre l’intelligence locale congolaise. Pareille tâche ne peut pas être laissée aux seuls soins des médias de l’oralité secondaire pour reprendre l’expression de Marie Soleil Frère (2000) qui met la radio, la télévision et le téléphone au banc des accusés comme des médias de manipulation. Car, la République démocratique du Congo ne se limite pas seulement à la seule Ville Province de Kinshasa ou aux chefs de lieux des Provinces de la République démocratique du Congo, mais bien plus aux villages où la radio, la télévision et le téléphone androïde ou IPhone sont encore un luxe pour la plupart des concitoyens appauvris. Même s’ils pouvaient en disposent, il leur serait difficile de les utiliser correctement à cause de l’électricité. D’où l’importance de la généralisation de la communication de combat l’écrit qui est l’instrument de la généralisation de la pensée comme l’a affirmé Joseph Ki-zerbo(1969) pour évitera la manipulation des congolais.