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Kinshasa : le Centre culturel le Zoo abrite la semaine du film congolais 

Le Centre culturel le Zoo,  situé dans la commune de Lingwala, au nord de la ville de Kinshasa, va abriter du 13 au 15 novembre la semaine du film congolais (Sefico), a annoncé Junior Kuyika, membre du comité organisateur. 

« Le Centre culturel congolais le Zoo,  va abriter du 13 au 15 novembre 2024 la semaine du film congolais (Sefico).  L’objectif de cette semaine du film congolais est de faire découvrir aux élèves de la capitale le cinéma congolais, ses réalisateurs, ses acteurs et ses différentes productions », a déclaré Junior Kuyika lors d’un échange. 

Déjà, a-t-il affirmé,  en prélude de la SEFICO, la Directrice Générale du Centre Culturel Congolais le Zoo, Madame Lufinku Bueki Tyty, a tenu une réunion préparatoire avec les responsables des différentes écoles de la ville de Kinshasa pour se mettre au même diapason et mettre à leur disposition les dispositifs pour ce divertissement sain. 

À part la projection des films, il est prévu, apprend-on, des Ateliers et activités pédagogiques qui permettront d' initier les élèves aux différentes étapes de la création d'un film (scénario, tournage, montage). Il y a aura également des Débats pour inviter des professionnels du cinéma congolais à animer des échanges sur l'histoire du cinéma congolais, ses enjeux et son avenir.

Il sied de noter que la Sefico veut mettre en valeur la culture congolaise à travers le cinéma, en abordant des thèmes variés tels que l'histoire, les traditions, les enjeux sociaux…

JD

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Projet "Toye kola" : Fally Ipupa soutient l’autonomisation des jeunes filles en RDC

Le projet "Toye kola" (Apprenons) du chanteur  Fally Ipupa de la République Démocratique du Congo a été lancé mercredi à l'institut national de préparation professionnelle (INNP) à  Kinshasa avec le soutien de l'ambassade du Canada, a-t-on appris d'une source administrative. 

«L'initiative est de la Fondation Fally Ipupa (FIF) en partenariat avec l'INPP et le soutien technique de l'Ambassade du Canada en RDC. Ce projet  vise à autonomiser les jeunes filles congolaises âgées de 13 à 25 ans en situation de vulnérabilité, afin de favoriser l’intégration sociale, professionnelle et économique », a précisé Eddy BADIATA,  Directeur de Marketing de Fally Ipupa. 

Et d'ajouter : « L’initiative cherche à développer les compétences techniques des filles  pour renforcer leur indépendance financière ».

Il faut noter que dans le cadre dudit projet  un appel à candidature a été lancé pour les jeunes kinoises afin de  bénéficier des bourses d'apprentissage annuel à  l'INPP.

« Les bénéficiaires de la bourse  "Toye kola " de la Fondation Fally Ipupa ont  remercié l'artiste pour sa générosité. 100 personnes vont étudier gratuitement grâce à  la bourse qui sera distribuée chaque année.  Félicitations aux Lauréats de cette première édition », a fait savoir le Directeur Marketing de l'artiste.

Et de poursuivre : « Cent bourses ont été attribuées aux jeunes filles sélectionnées, couvrant des domaines variés comme la restauration, la pâtisserie, la décoration, la Coupe et couture, l’esthétique, la peinture et l’électricité », a fait savoir le bureau de Fally Ipupa.

Pour Eddy Badiata, Fally Ipupa n'a pas manqué d'exprimer sa gratitude envers ses partenaires, notamment l’ambassade du Canada et l’INPP. 

« La star de la musique congolaise a manifesté sa confiance en ces jeunes filles pour devenir des leaders et des femmes indépendantes », a-t-il indiqué.

Une remise symbolique des kits a été faite par l’ambassadrice du Canada et le chanteur Fally Ipupa pour marquer le début de la formation, qui durera entre 1 et 4 mois selon les domaines.

Elgine Mokoko, l’une des bénéficiaires en pâtisserie, a salué cette opportunité et espère être capable de créer sa propre entreprise après cette formation.

J. Diala

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Kinshasa doit changer , UNPE/ONGD : ‘’UN ACADEMIA INT'L pour une formation certifiée des agents et cadres de la Capitale congolaise’’

Soucieux d'apporter sa contribution dans le développement durable en République Démocratique du Congo en générale et à Kinshasa en particulier, Dr ZIGABE Henri Isaac, Coordonnateur National de l'UNPE/ONGD, s'est entretenu le weekend dernier avec SEM la Ministre de l'Economie, des Finances et du Numérique de la ville province de Kinshasa dans le but non seulement de trouver des solutions institutionnelles, mais aussi et surtout pour le développement de Kinshasa dans plusieurs secteurs dont la formation des agents et cadres avec UN ACADEMIA INT'L.

Le Dr ZIGABE Henri Isaac croit au slogan de Daniel BUMBA, Gouverneur de la Ville province de Kinshasa intitulé : "Kinshasa ezo bonga", un programme qui donnera à la ville de Kinshasa sa nouvelle robe, celle d'une ville assainie, sécurisée et accessible par des routes très bien construite. Bref, qui permettra à ce que Kinshasa brille à nouveau après plusieurs années d’insalubrité et d’insécurité criante dans toutes les communes qui la composent.

SEM Yvette TEMBO se dit prête à maximiser les recettes et à les canaliser pour la réalisation de la vision du Chef de l'Etat et Président de la République, SEM Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Il faut la détermination, des compétences et le changement de mentalité pour atteindre un bon bilan.

LA CELLCOM/UNPE/ONGD

 

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Procédure d’ouverture et fonctionnement des pharmacies, Kinshasa : l’APROPHACO rejette le moratoire de Patricien Gongo !

L’Association des Propriétaires des Pharmacies de la République démocratique du Congo (APROPHACO) a déposé, la  semaine dernière, à l’Assemblée Nationale un mémorandum, sur la table de Vital Kamerhe, pour solliciter son accompagnement dans la mise en place d’un cadre de concertation avec le Ministre provincial de la Santé, Patricien Gongo, qui a donné un moratoire d’un mois aux pharmaciens de se conformer à la loi sur les conditions des autorisations d’ouverture et de fonctionnement des établissements pharmaceutiques à Kinshasa.

L’APROPHACO dit non dans son mémo au moratoire du Ministre provincial Patricien Gongo relatif à la loi coloniale sur les fonctionnements des pharmacies en RDC. Mais aussi, à la chasse à l’homme fait par le Ministre de façon indirecte.

«Il convient de relever que, n’eut été l’intervention d’un privé dans ce domaine, le pays serait en difficulté de répondre aux besoins de l’époque, et actuellement l’histoire s’est répétée en ce que, jusqu’à présent, les pharmacies publiques n’existent pas au pays. 97% des établissements pharmaceutiques actuellement sont détenues par les privés et arrivent à soulager la demande en médicament qui se fait ressentir dans les quartiers, communes et au travers toutes les villes du pays», a déclaré Daniel Kabeya, Coordonnateur de cette association.

Il y a lieu de rappeler que l’APROPHACO reste, cependant, ouverte au dialogue au sujet de la réglementation du secteur pharmaceutique en RD Congo. ‘’Nous demandons au président de l’Assemblée Nationale,  d’abord, de retirer la décision prise par le Ministre Provincial de la Santé, et que la structure qui nous gère puisse trouver un cadre de concertation pour voir dans quelle mesure nous devons-nous améliorer’’, a conclu le Coordonnateur de l’APROPHACO.

Signalons que selon M. Patricien Gongo, Ministre provincial de la santé de la ville de Kinshasa, soit vous vous conformez, vous vendez ou soit vous êtes hors-la-loi. Et, il ne tient qu’à faire respecter les textes en la matière et tient à mettre hors d’état de nuire les pharmaciens véreux, qui sont hors la loi. Car, martèle-t-il, la santé n’a pas de prix et c’est une solution pour la vie des Kinois.

Chimea Samy

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Les kinois déboussolés, Circulation alternée à Kinshasa : le Dispositif est à revoir !  

Quartier I, les avenues Nguma, Ecurie, Boulevard du 30 juin, pour ne citer que ces points chauds, Kinshasa était hier sens dessus sens dessous, avec l’expérimentation de la première journée du dispositif de la circulation alternée dans la Capitale de la République Démocratique du Congo. L’objectif recherché par les autorités à savoir, désengorger les 56 carrefours identifiés comme étant les plus problématiques pour la fluidité du trafic n’a manifestement pas été atteint. A la place, on a vécu plutôt de phénomène demi-terrain, hausse des tarifs des courses, rareté des taxis et taxis-bus. Une occasion pour les wewas de fixer n’importe quel tarif aux clients, pressés de rejoindre leurs lieux de travail.  Il y avait un monde fou dans les endroits ciblés. Les usages de la route qui n’étaient pas bien informés au sujet de cette opération, ont été recadrés par un important dispositif policier déployé partout que d’ordinaire. Pour une fois depuis plusieurs années, les kinois ont sérieusement longé les trottoirs de grandes artères ce lundi 28 octobre 2024. Un calvaire. Certains n’ont pas hésité de parler d’un fiasco sur toute la ligne de cette initiative. Le vrai problème de Kinshasa, pour les autres, c’est les transports des masses, trains particulièrement. 

Kinshasa, la Capitale de la République Démocratique du Congo, est confrontée à des embouteillages chroniques qui paralysent la mobilité urbaine. Pour remédier à cette situation, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports, Jean-Pierre Bemba, en collaboration avec le ministre provincial des Transports, Bob Amisso, a mis en place une série de mesures expérimentales visant à fluidifier le trafic.

Lors de la 18ème  Réunion du Conseil des Ministres, Jean-Pierre Bemba a présenté plusieurs initiatives clés. Parmi celles-ci, il y a notamment : la présence accrue de policiers qui seront déployés aux intersections stratégiques pour réguler le trafic et éviter les embouteillages ; certaines routes seront temporairement converties en sens unique en fonction de l’affluence des véhicules ; une étude est en cours pour mettre en place un système de circulation alternée, visant à réduire le nombre de véhicules sur les routes à des moments spécifiques.

Collaboration et efforts conjoints

Bob Amisso, lors de son interview sur Top Congo, a souligné l’importance de la collaboration entre les autorités provinciales et nationales. Il a mentionné que des efforts sont en cours pour numériser le service des transports, ce qui permettra de mieux gérer les données des véhicules en circulation. De plus, des mesures urgentes, telles que la réhabilitation du rail sur l’avenue Belgica, sont en cours pour améliorer la connectivité entre le centre-ville et les zones périphériques.

Revenant sur ces mesures, Valère Mfumukani un des responsables de la Commission nationale de prévention routière (CNPR), a rapporté que cette initiative vise principalement les artères à forte affluence automobile de la capitale.

‘’Le Gouverneur Daniel Bumba a présenté un plan de désengorgement de la ville au Vice-Premier Ministre chargé des Transports qui l’a ensuite soumis au Conseil des Ministres. Ce plan vise notamment, à renforcer la présence policière et militaire ainsi qu’à instaurer des routes alternées, communément appelées sens uniques.

Au niveau de Quartier 1, nous allons fermer l’entrée Apocalypse. Toutes les manœuvres des véhicules vont se réaliser au niveau de saut de mouton de Liberté. Pour la partie ouest, notamment sur l’avenue Nguma, de 5h à 10h, à partir de Météo, la circulation sera à sens unique. Mais à partir de 15h la circulation sera inversée à l’entrée Mont-Fleuri. Sur l’avenue du Tourisme, le tronçon après le Rond-point Lion sera rendu à sens unique le matin de 5h à 10h vers le Centre-ville.

Sur le Boulevard Mondjiba, nous avons récupéré la quatrième bande, que nous allons utiliser de 5h à 10h, de Kintambo Magasin jusqu’à la Gare centrale. Elle sera également à sens unique et à partir de 15h nous allons inverser la circulation’’, a-t-il indiqué.

L’objectif principal de ces mesures est de désengorger les 56 carrefours identifiés comme étant les plus problématiques pour la fluidité du trafic. En outre, la mise en place de ces initiatives vise à améliorer la qualité de vie des habitants de Kinshasa en réduisant le temps de trajet et en facilitant la mobilité urbaine.

Ces mesures expérimentales, bien que temporaires, représentent un pas important vers une solution durable aux problèmes de circulation à Kinshasa.

Nathan Mundele

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Cri de détresse à Jean-Pierre Bemba : Le Transport en commun à Kinshasa : un véritable calvaire quotidien

Entre les embouteillages monstres dans tous les recoins de la capitale congolaise et le coût en termes de monnaie à dépenser pour n’effectuer qu’une seule course dans la journée à Kinshasa devient de plus en plus pénible. Particulièrement, en ce qui concerne les tarifs de transports en commun, bien que le prix du carburant soit sensiblement revu à la baisse depuis plus de trois semaines, ce sont des chauffeurs de taxis et taxi-bus qui dictent la donne quant au prix, à leur bon sens.

La mobilité des kinois reposant pour la plus part sur le transport en commun, en utilisant entre autres les taxis ainsi que les taxi-bus, devient un véritable casse-tête quotidien. Que ce soit pour les travailleurs de bureau, les commerçants ou les élèves pour ne citer que ceux-là, arriver à l’heure à sa destination n’est possible que dans des conditions rudimentaires. Pour une course de l’UPN à Kintambo Magasin par exemple, le prix varie selon les heures et les humeurs des chauffeurs. De 5h00 à 7h00, c’est 1000 FC la course. A partir de 9h00, 2000 FC se récolte à l’entrée du bus pour arriver à Magasin et de là pour retourner à l’Upn, les chauffeurs supplient les clients de monter pour 1000 FC ou 1500 FC avant qu’il ne soit midi. Dès qu’il est midi passé jusqu’au soir, c’est plutôt entre 2000 FC et 3000 FC, voir au-delà pour le même trajet. Un constat malheureusement amer qui vient s’ajouter à la vie chère que mène une population d’un pays potentiellement riche avec un vécu difficile.

Alerte au VPM des Transports

Reconnaissant les efforts du Gouvernement central quant à la baisse effective du prix de carburant de 510 FC le litre à la pompe, la population kinoise lance cependant la sonnette d’alerte au Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports, Voies de communication et Désenclavement, Jean-Pierre Bemba, pour instruire un suivi stricte et rigoureux des services habilités sur terrain pour faire respecter la grille tarifaire des transports en commun. S’il en existe, il est impératif d’actualiser et d’infliger des sanctions aux récalcitrants.

Espérons que les mesures suggérées par le Ministre de tutelle, lors de la dix-huitième réunion ordinaire du Conseil des Ministres pour désengorger la ville, apporteront ses fruits. 

Bedie Ilengola

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