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‘’Mauvaise’’ gestion des immondices à Kinshasa : la population se plaint et dénonce !

Lancé le 19 octobre 2020, en présence du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi, Kin-Bopeto est un programme mis en place pour l’assainissement de la Ville-Province de Kinshasa. Il a été initié par le gouverneur de la ville Gentiny Ngobila Mbaka. Celui-ci se veut un projet programmé en vue de mettre fin à l’insalubrité régnant dans la capitale congolaise. Aujourd’hui, les kinois, premiers bénéficiaires du projet, se plaignent du non-changement de la situation environnementale dans la ville.
Ce projet évalué à plusieurs millions de dollars, se veut pour le maintien total de la propreté dans la ville de Kinshasa, en luttant notamment, contre les immondices et promouvoir un environnement sain. A la grande surprise de la population, une stagnation totale des travaux.
Dans les artères de Kinshasa, destinées à bénéficier des services de ce méga programme, rien ne va. Des poubelles publiques installées depuis le début de l’initiative, n’existent plus que dans le passé. Les passants, par manque d’endroits où mettre leurs déchets, les déposent à même la route.
Des allés de canalisations d’eau dans les routes débordent d’immondices. Les routes deviennent délaissées, mal entretenues ou, même, pas entretenues. Ce qui justifie la colère de la population, et l’émoi en voyant tels actes.
A quelques semaines de la fin de la saison sèche, des solutions drastiques sont impérativement importantes à être prises par les autorités de la ville, en vue d’éviter des dégâts.
Emmanuela Mapendo & Christine NShobole

 

‘’Mauvaise’’ gestion des immondices à Kinshasa : la population se plaint et dénonce !
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Exetat 2023 : la Publication des résultats ne fait pas que des heureux


Mardi 22 août, au lendemain de la publication des résultats de l’examen d’état, dans la commune de Selembao s’est soulevée une mutinerie à l’Institut Ngafani et l’ILS par des élèves n’ayant pas obtenu leurs diplômes. Deux sections ont battu le record d’échecs, c’est pour montrer leur colère et indignation qu’ils ont posé des actes de vandalisme dans leurs établissements plongeant ainsi les coins autour dans une insécurité.
Dans l’après-midi du lundi 21 août a eu lieu la publication des résultats de l’examen d’état passé en juin dernier par les élèves finalistes du cycle humanitaire. Il était question en cette date des résultats pour les écoles de Kin-Plateau et Funa. Les sons des sifflets, trompettes, klaxons et chants des jeunes diplômés ont retenti dans la ville-Province de Kinshasa durant toute la soirée, bon nombre était heureux d’avoir réussi et d’autres non, après avoir tapé le code leur permettant de vérifier leurs résultats n’ont malheureusement pas reçu d’information et cela fut le cas de toute une promotion en mécanique à l’institut Ngafani et 51 élèves/55 en électricité à l’ILS.
Tous très révoltés, ces élèves se sont ramenés le lendemain matin et ont caillasé leurs établissements scolaires, bâtons en mains et autres ils ont menacé le personnel et la population aux alentours, ce n’est qu’après une intervention de la police locale qu’ils ont pu se calmer. Un finaliste a déclaré ceci : «Chaque année, c’est seulement comme ça ici, les élèves des options techniques sont sacrifiés, c’est toujours ceux en scientifiques et littéraire qui réussissent tous et ce n’est pas normal nous en avons marre ! » L’acte posé par ces élèves est un cri d’alarme poussé à l’égard des autorités de ces deux établissements afin qu’ils puissent mieux gérer le déroulement des examens d’état ainsi ils n’auront plus à s’inquiéter de leur réussite.
Emmanuella Mapendo De Mutuza

 

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Kinshasa : le Festival Africain du Mariage annonce sa 3ème édition du 15 au 16 septembre 2023


Après novembre 2020 et juillet 2022, la plateforme événementielle « Festival Africain du Mariage » organise sa 3ème édition, du 15 au 16 septembre prochain, au Pullman Grand Hôtel, à Kinshasa/Gombe. Placée sous le thème « Mariage, entre Tradition et Modernité », la présente édition traite des situations de conflits observées entre les cultures africaines et occidentales sur la notion du mariage.
Outre la cérémonie d’ouverture qui débutera dès 9 heures du premier jour, au Salon Congo, il est aussi prévu la tenue des Panels, des ateliers, d’une Soirée Célibataires et d’une grande Soirée de gala.
L’accès aux Panels est gratuit. Ces derniers sont à six à savoir :
1. Us et Coutumes Africains dont le thème s’intitule : « Préservation de l’identité culturelle du mariage en Afrique : influence de la modernité et rôle des médias »
2. Hommes qui évoque la question de l’: « épanouissement du couple et participation financière au budget du foyer »
3. Mariage & Stéréotype qui traite du sujet de la : « Promotion de l’inclusivité des différences dans le mariage »
4. Santé & Famille qui aborde l’angle : « Parlons planification familiale, régimes matrimoniaux, succession et relation de famille à distance »
5. Femmes qui débat sur : « Zoom sur la jeune fille et sa vision du mariage à l’ère des réseaux sociaux »
6. PME, Business et Finances qui se penche sur la : « Gestion des finances dans le foyer et les opportunités entrepreneuriales dans l’industrie du mariage ».
Hormis les panels, le programme prévoit neuf ateliers ci-après : Photos & vidéos, Musique, Décoration, Service-traiteur, Maquillage et coiffure, Stylisme, Textile, Wedding Planner et Composition des vœux. Tout comme les panels, l’accès est aussi gratuit.
Néanmoins, les soirées Célibataires et de Gala qui se dérouleront respectivement le premier et le second jour de l’événement, au Salon Congo du Pullman Grand Hôtel seront payantes. Cela est dû aux avantages et différentes surprises réservés aux participants.
Zoom sur le Festival Africain du Mariage
Initié par Madame Celly Ndiang, congolaise de la diaspora, le Festival Africain du Mariage est d’abord une vision, puis une structure visant, d’une part, la valorisation des valeurs culturelles du mariage en Afrique.
Et de l’autre, l’organisation d’un réseau d’affaires des professionnels œuvrant dans l’industrie du mariage par la constitution d’un annuaire facilitant la mise en relation entre l’offre et la demande.
John Ngoyi

 

Kinshasa : le Festival Africain du Mariage annonce sa 3ème édition du 15 au 16 septembre 2023
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UPN : les étudiants saluent et louent la proposition


Après avoir constaté un accoutrement indécent de certains étudiants qui ternissent l’image des établissements supérieurs de la Ville-province de Kinshasa, les instituts supérieurs et universités envisagent de plus en plus à instaurer un model vestimentaire que doivent adopter les étudiants. Cette proposition est louée par les étudiants de l’Université pédagogique nationale. Toutefois, elle doit être équilibrée et devra respecter les droits et libertés individuels des étudiants, à en croire un échantillon d’étudiants de l’UPN.
Selon ces étudiants, le fait d’adopter un style vestimentaire décent n’est pas une chose mauvaise, car aujourd’hui l’image de plusieurs établissements supérieurs est ternie à cause d’un mauvais accoutrement de quelques-uns. Par ailleurs, ils estiment que l’adoption d’un code vestimentaire doit être équilibrée et devra respecter les droits et libertés individuels des étudiants. Ce code doit également être motivé par plusieurs raisons notamment : Maintenir un environnement professionnel, Promouvoir l’égalité. «Un code vestimentaire peut aider à maintenir un environnement professionnel et respectueux au sein de l’université. Il peut contribuer à créer une atmosphère propice à l’apprentissage et à la concentration en évitant les tenues inappropriées ou distrayantes. Ce code peut aider à promouvoir l’égalité, en évitant les discriminations basées sur l’apparence physique ou le style vestimentaire. En établissant également des normes claires, il peut garantir que tous les étudiants sont traités de manière équitable, indépendamment de leur statut socio-économique ou de leur style personnel », a signifié l’un des étudiants de l’UPN, avant toutefois de préciser qu’un code vestimentaire peut préparer les étudiants à la vie professionnelle en les habituant à se conformer, aux normes vestimentaires spécifiques. Cela peut les aider à développer aussi des compétences en matière de présentation personnelle et à se préparer aux attentes du monde du travail.
A les en croire, le code vestimentaire contribue à créer un environnement respectueux où chacun se sent à l’aise et en sécurité. Il renforce l’identité de l’université en créant une image cohérente et professionnelle.
Ketsia Mbala

UPN : les étudiants saluent et louent la proposition
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Mitendi : la population crie à la pénurie d’eau et de l’électricité

La population de la ville de Kinshasa, plus précisément celle de Mitendi se plaint quotidiennement des problèmes qui, même après plusieurs années, persistent. Fatiguée et déçue des promesses, les habitants de ce coin de la ville de Kinshasa sont pris à leur propre sort. En conséquence, l’insécurité est devenue familier à cette population.
Le problème persiste au sein de la population et ce genre de cas est souvent constaté dans certains quartiers reculés de la ville, ou l’état des routes empêche les autorités compétentes d’y accéder pour apporter des solutions.
« Depuis un moment, nous constatons que l’eau a cessé de jaillir du robinet, nous avons fait appel auprès de ceux qui peuvent résoudre le problème, mais sans suite… », a expliqué un résidant de Mitendi.
Incapable de supporter cette situation, la population s’est vue obligée de mobiliser des ressources nécessaires pour une création des forages et,
en même temps, d’en faire un moyen de commerce au lieu de se rendre sur des très longues distances à la recherche de l’eau potable.
Un autre cas délicat se rajoute, c’est celui des routes non aisées. Certaines routes de ce milieu sont devenues des poubelles et sont menacées par des érosions. Des voies sombres, sont des lieux habituels où se déroulent souvent des cas de viol, vol, crime etc. « Vers les années 2019, nous avons vécu une période de pillage, viol… sur la Nationale numéro 1, en allant vers le marché appelé Lufu, des lance-pierres venaient de deux côtés de la route », a dévoilé un responsable du quartier. Et d’ajouter : « durant la nuit, il est presqu’impossible de voir ce qui nous entoure », a-t-il conclu.
Ketsia Mbala

Mitendi : la population crie à la pénurie d’eau et de l’électricité
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Après cinq mois dans le noir : Bandundu-Ville éclairée, la population remercie la SNEL !


La Société Nationale d’Electricité, Snel, a remis en service, dimanche 27 août 2023, la sous-station électrique dite ‘’Aviation’’, dans la ville de Bandundu, chef-lieu de la province du Kwilu, éclairant plusieurs quartiers de cette ville privée d’électricité depuis cinq mois. Cette coupure pendant une si longue durée est due à une panne au niveau du transformateur, affirme la Snel.
Cette coupure d’électricité avait occasionné automatiquement la pénurie d’eau de la Régideso. Prospère Bakuku, directeur provincial de la Société Nationale d’Electricité dans cette ville, avait rassuré que les équipes étaient à pied d’œuvre pour résoudre ce problème. Il s’agissait donc, faut-il le rappeler, d’un transformateur qui était tombé en panne au niveau de la sous- station Aviation se trouvant à côté de la banque centrale. Monsieur le Directeur Provincial avait promis que la décantation de situation dans un bref délai qui était de dix jours.
Fatiguée de l’attente, la population avait dépêché une délégation à Kinshasa pour exposer le problème aux autorités de la SNEL.
«Nous sommes allés à Kinshasa contacter les autorités, et nous sommes revenus avec la bobine pour la réparation », avait réagi Monsieur Prospère Bakuku après qu’il a reçu la plainte de la population.
Foi sur les témoignages reçus, c’est l’actuel Directeur général de la SNEL, Monsieur Fabrice Lusinde, et son équipe qui ont réalisé des prouesses là- dessus.
A les en croire, au début, Monsieur le Directeur général avait envoyé le matériel nécessaire avec une équipe experte de techniciens pour pouvoir pallier à ce problème qui a élu domicile depuis le 15 juillet 2023. Ce matériel, faut-il l’attester, était réceptionné depuis le 25 juillet par l’équipe qui était présente à Bandundu et qui ont permis aux techniciens de la société affectés au sein de l’Atelier d’Electro Maintenance Industrielle, AEMI en sigle, engagés par la Société Nationale de l’Electricité, de s’activer corps et âmes pour résoudre ce tracassant problème.
Electricité rétablie, la RTNC a été alimentée en premier lieu, ce qui lui a permis de déclarer par la voie des ondes la fin des travaux de remise en service de la sous-station ‘’Aviation’’ ainsi que du réseau de la distribution associée à Bandundu. Après six semaines de travaux abattus par les équipes envoyées, la population a été, durant la nuit de dimanche 27 août, dans une totale joie de pouvoir revoir le courant à nouveau après un long temps de ténèbres ou, en termes clairs, après une longue période d’attente.
C’est avec un immense plaisir que la population de Bandundu-ville, vu le fruit du travail abattu, a remercié, avec de mots de bénédictions pleins les bouches, les techniciens de la SNEL pour le travail réalisé.
Princesse Yala

Après cinq mois dans le noir : Bandundu-Ville éclairée, la population remercie la SNEL !
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