Fondée par le Professeur Jean-Pierre Kayembe depuis 2017 en Afrique du Sud, avant d’être enregistrée en RDC en 2019, la Société Afri Oil and Cosmetics (S.A.S.) a une vision ambitieuse : valoriser les ressources naturelles congolaises en produisant des produits pharmaceutiques de haute qualité. Son engagement envers l’utilisation durable des plantes médicinales locales est essentiel pour assurer la sécurité et l’efficacité de ses produits.
L’industrie pharmaceutique est un secteur vital pour la santé et le bien-être des populations. En République démocratique du Congo (RDC), où les ressources naturelles abondent, l’implantation d’une entreprise pharmaceutique locale peut contribuer à la croissance économique et à l’autosuffisance médicale.
Les Divisions Clés de la Société
1. Division des Huileries
Au cœur de la production d’Afri Oil and Cosmetics (S.A.S.), la division des huileries se concentre sur la fabrication d’huiles de palme et de palmistes brutes. Ces huiles sont ensuite transformées physico-chimiquement pour produire des huiles végétales de cuisson, des margarines, du biodiesel et même des peintures à base d’huile. Pour atteindre ces objectifs, la société nécessite une plantation de palmiers à huile et des équipements d’extraction et de raffinage.
2. Division Cosmétique
La division cosmétique exploite les propriétés des huiles de palme et de palmiste pour fabriquer une gamme de produits cosmétiques et détergents liquides appelée “NGELISA”. Ces produits incluent des savons liquides, des désinfectants, des lotions, des parfums et des produits d’entretien. La technologie moderne permet également de produire ces articles sous forme liquide, en utilisant des produits chimiques commerciaux.
3. Division de Nettoyage et Service Après-Vente
Cette division offre des services de nettoyage et d’entretien grâce à un équipement polyvalent. Elle propose des lavages à pression, le nettoyage des vitres, l’hydro-sablage, le nettoyage de flottes de véhicules et d’avions, ainsi que l’entretien de maisons, bureaux, hôpitaux et écoles. La Société Afri Oil and Cosmetics (S.A.S.) s’engage à maintenir des normes élevées de propreté et d’hygiène.
Défis et Opportunités
Le courtage financier initial a conduit à la création d’Afri Oil and Cosmetics (S.A.S.). Le défi consiste à mobiliser les capitaux nécessaires pour l’expansion de l’entreprise. Cependant, les opportunités sont immenses : l’utilisation durable des ressources naturelles, la réduction de la dépendance vis-à-vis des fournisseurs étrangers et la contribution à l’économie locale.
Contrats Acquis et Clients Fidèles
La société a déjà établi des relations solides avec plusieurs clients, dont la SNEL SA RDC, l’UPN, l’ISC, la Société AMI-CONGO et d’autres grossistes et détaillants privés. Ces partenariats contribuent à la stabilité et à la croissance d’Afri Oil and Cosmetics (S.A.S.).
Besoin Financier et Partenariats
Pour atteindre ses objectifs, Afri Oil and Cosmetics (S.A.S.) a besoin d’un financement d’environ 200.000 USD. Ces fonds seront utilisés pour l’achat de matériel, de produits chimiques et d’emballages. La société est ouverte à des partenariats, qu’ils soient en nature ou en espèces. Un protocole d’accord peut être établi avec les partenaires intéressés.
Droit Ohada bafoué, désordre administratif, ingérence du ministère du portefeuille dans les affaires internes de Plantations et Huileries du Congo,... L’ASBL Toile d'Araignée (TA) tire une sonnette d'alarme et appelle l'Etat congolais à remettre de l’ordre avant que le pire n'advienne. Une crise causée et voulue, selon l’ASBL, par l’autorité de tutelle qui, poursuit-on, piétine les principes sacro-saints de nomination et de l’intégration d’un membre du Conseil d’Administration dans une Société d'Economie Mixte. En effet, suivant en principe le droit commun des sociétés commerciales, les Administrateurs dans les sociétés commerciales sont désignés par l’Assemblée générale ou le Conseil d’Administration, par cooptation, selon les cas sur propositions des actionnaires. Ce qui n’est pas le cas, selon TA qui appelle d’urgence le gouvernement congolais à se saisir du dossier pour le respect des textes légaux.
Au cours d’une conférence de presse tenue mardi 30 avril dernier à Kinshasa, Toile d'Araignée, à travers son coordonnateur national, M. Jérôme Sekana, a révélé des faits graves qui sous-tendent la déstabilisation de cette société, l’une des rares qui se démarquent et qui sauve l'honneur du Congo, et où l'on trouve plus de 10.000 congolais y travaillant.
Tout part, selon cette ASBL, de la décision “ en violation des textes légaux” de la ministre du portefeuille qui, coûte que coûte, voudrait imposer Mme Julia Lohonga Mamba à la présidence du Conseil d'Administration de la société. Et là, sans tenir compte du processus tracé notamment, par l’OHADA et les statuts.
Toile d'Araignée rappelle que l’article 419 alinéa 2 précise : « qu’en cours de vie sociale, les administrateurs sont DESIGNES (et non nommés) par l’Assemblée Générale ordinaire. Mais, en cas de vacance d’un administrateur à la suite de démission ou de décès, l’article 429 alinéa 1er dispose que le Conseil d’Administration peut DESIGNER, entre deux assemblées, de nouveaux administrateurs par le mécanisme de la COOPTATION puisqu’il faut la ratification ultérieure par Assemblée Générale ordinaire des actionnaires ».
Donc, suivant ces deux articles, poursuit l’association, le principe de la nomination des Administrateurs qui était en vigueur par le passé est abrogé. Seuls l’Assemblée Générale et le Conseil d’Administration, par cooptation, ont le pouvoir de désigner les Administrateurs, contrairement au procédé ‘‘brutal et dictatorial’’ de la ministre du portefeuille.
De l’avis de TA, le droit OHADA est venu assainir le climat des affaires et tempérer les ardeurs des Etats africains qui se comportaient en véritables souverains, en puissance publique même dans les rapports commerciaux. Suivant ainsi les principes tel qu’il se devait, Toile d'araignée estime bien qu’avec le droit OHADA, la Ministre du Portefeuille n’a désormais que le pouvoir de proposer et non plus de nommer les candidats Administrateurs, et qu’après, il y aura élection suivant les statuts de PHC S.A. qui a repris quelques articles de l’OHADA dans ses statuts.
En quelques années seulement, sous la bannière de la Directrice Générale, Mme Monique GIESKES, la Plantations et Huileries du Congo a atteint une production maximale de 80 mille tonnes. Un exploit pour cette société qui renaît des ses cendres après l’époque de Zaïre.
Déstabilisation du climat des affaires, risque de méfiance des investisseurs
Plantations et Huileries du Congo étant une société d'économie mixte, avec un plus grand inversement des privés estimé à plus de 200 millions de dollars américains. Avec la montée exponentielle de la productivité constatée sous la férule de l'actuelle Directrice Générale, la société a séduit d’autres investisseurs qui se disent prêts à mettre du paquet. Malheureusement, constate Toile d'Araignée, la crise du pouvoir et le désordre qui s’observe, favorisé par la ministre de tutelle risque d'éloigner ces investisseurs.
Confusion !
Par ailleurs, suivant les statuts, le Conseil d’Administration de la société PHC est composé de huit (8) Administrateurs dont 5 sont désignés par FERONIA, apporteur des capitaux frais et du financement, et 3 sont désignés par l’Etat Congolais, (cfr. Article 15.1 des statuts). Les Administrateurs, réunis en session, désignent parmi les Administrateurs venant de l’Etat, un administrateur comme Président du Conseil d’Administration. L’Etat congolais ne nomme ou ne désigne plus le Président du Conseil d’Administration. (cfr. Article 16 des statuts), rapporte TA.
Ce qui s’est passé…
Dans cette affaire, affirme TA, tout découle du “désordre” bien orchestré par la ministre de tutelle. «En date du 29 septembre 2023, M. Georges BUSE FALAY démissionne de sa qualité d’Administrateur et de son poste de PCA. Au lieu de se conformer aux statuts et à l’Acte uniforme OHADA, Mme la Ministre du Portefeuille va nommer, le 21 novembre 2023, un Président du Conseil d’Administration comme à l’époque avant l’adhésion de la RD Congo au droit OHADA. Et, le malaise part de là.
Réagissant à cette nomination, un Administrateur de l’Etat congolais rappelle à l’actionnaire de la catégorie B les dispositions de l’article 423 en relevant que cette nomination est faite en violation du droit OHADA et des statuts de la société PHC et risque d’hypothéquer l’avenir juridique de la société dans la mesure où tout acte que poserait la personne irrégulière désignée sera nul et de nul effet. Mme la Ministre a refusé les conseils lui prodigués et a imposé sa décision de nomination d’un PCA à la tête de PHC. Aussi, elle persiste dans l'erreur en cherchant à bloquer les comptes de PHC.
A la suite de l’incompréhension créée par la Ministre du Portefeuille, le Tribunal de Commerce de Kinshasa/Gombe a désigné, par son jugement rendu sous le RCE 8275, un mandataire ad hoc avec pour mission de convoquer et de présider le Conseil d’administration de la société PHC S.A et de permettre aux Administrateurs réunis en Conseil d’Administration, de statuer entre autres sur le dossier de la personne nommée par Mme la Ministre d’Etat, Ministre du Portefeuille.
Lors de la réunion tenue le 22 mars 2024 sous la Présidence du Mandataire ad hoc, le Conseil d’Administration a rejeté le dossier de la personne nommée par Mme la Ministre du Portefeuille. (PV du 22 mars 2024). A ce jour, Mme la Ministre du Portefeuille, nonobstant le fait qu’elle expédie les affaires courantes, ne veut pas respecter la décision du Conseil d’Administration et, les deux administrateurs de l’Etat viennent de convoquer encore une autre réunion du Conseil d’Administration pour statuer à nouveau sur une candidature déjà rejetée», révèle Toile d'Araignée.
Droit Ohada bafoué, désordre administratif, ingérence du ministère du portefeuille dans les affaires internes de Plantations et Huileries du Congo,... L’ASBL Toile d'Araignée (TA) tire une sonnette d'alarme et appelle l'Etat congolais à remettre de l’ordre avant que le pire n'advienne. Une crise causée et voulue, selon l’ASBL, par l’autorité de tutelle qui, poursuit-on, piétine les principes sacro-saints de nomination et de l’intégration d’un membre du Conseil d’Administration dans une Société d'Economie Mixte. En effet, suivant en principe le droit commun des sociétés commerciales, les Administrateurs dans les sociétés commerciales sont désignés par l’Assemblée générale ou le Conseil d’Administration, par cooptation, selon les cas sur propositions des actionnaires. Ce qui n’est pas le cas, selon TA qui appelle d’urgence le gouvernement congolais à se saisir du dossier pour le respect des textes légaux.
Au cours d’une conférence de presse tenue mardi 30 avril dernier à Kinshasa, Toile d'Araignée, à travers son coordonnateur national, M. Jérôme Sekana, a révélé des faits graves qui sous-tendent la déstabilisation de cette société, l’une des rares qui se démarquent et qui sauve l'honneur du Congo, et où l'on trouve plus de 10.000 congolais y travaillant.
Tout part, selon cette ASBL, de la décision “ en violation des textes légaux” de la ministre du portefeuille qui, coûte que coûte, voudrait imposer Mme Julia Lohonga Mamba à la présidence du Conseil d'Administration de la société. Et là, sans tenir compte du processus tracé notamment, par l’OHADA et les statuts.
Toile d'Araignée rappelle que l’article 419 alinéa 2 précise : « qu’en cours de vie sociale, les administrateurs sont DESIGNES (et non nommés) par l’Assemblée Générale ordinaire. Mais, en cas de vacance d’un administrateur à la suite de démission ou de décès, l’article 429 alinéa 1er dispose que le Conseil d’Administration peut DESIGNER, entre deux assemblées, de nouveaux administrateurs par le mécanisme de la COOPTATION puisqu’il faut la ratification ultérieure par Assemblée Générale ordinaire des actionnaires ».
Donc, suivant ces deux articles, poursuit l’association, le principe de la nomination des Administrateurs qui était en vigueur par le passé est abrogé. Seuls l’Assemblée Générale et le Conseil d’Administration, par cooptation, ont le pouvoir de désigner les Administrateurs, contrairement au procédé ‘‘brutal et dictatorial’’ de la ministre du portefeuille.
De l’avis de TA, le droit OHADA est venu assainir le climat des affaires et tempérer les ardeurs des Etats africains qui se comportaient en véritables souverains, en puissance publique même dans les rapports commerciaux. Suivant ainsi les principes tel qu’il se devait, Toile d'araignée estime bien qu’avec le droit OHADA, la Ministre du Portefeuille n’a désormais que le pouvoir de proposer et non plus de nommer les candidats Administrateurs, et qu’après, il y aura élection suivant les statuts de PHC S.A. qui a repris quelques articles de l’OHADA dans ses statuts.
En quelques années seulement, sous la bannière de la Directrice Générale, Mme Monique GIESKES, la Plantations et Huileries du Congo a atteint une production maximale de 80 mille tonnes. Un exploit pour cette société qui renaît des ses cendres après l’époque de Zaïre.
Déstabilisation du climat des affaires, risque de méfiance des investisseurs
Plantations et Huileries du Congo étant une société d'économie mixte, avec un plus grand inversement des privés estimé à plus de 200 millions de dollars américains. Avec la montée exponentielle de la productivité constatée sous la férule de l'actuelle Directrice Générale, la société a séduit d’autres investisseurs qui se disent prêts à mettre du paquet. Malheureusement, constate Toile d'Araignée, la crise du pouvoir et le désordre qui s’observe, favorisé par la ministre de tutelle risque d'éloigner ces investisseurs.
Confusion !
Par ailleurs, suivant les statuts, le Conseil d’Administration de la société PHC est composé de huit (8) Administrateurs dont 5 sont désignés par FERONIA, apporteur des capitaux frais et du financement, et 3 sont désignés par l’Etat Congolais, (cfr. Article 15.1 des statuts). Les Administrateurs, réunis en session, désignent parmi les Administrateurs venant de l’Etat, un administrateur comme Président du Conseil d’Administration. L’Etat congolais ne nomme ou ne désigne plus le Président du Conseil d’Administration. (cfr. Article 16 des statuts), rapporte TA.
Ce qui s’est passé…
Dans cette affaire, affirme TA, tout découle du “désordre” bien orchestré par la ministre de tutelle. «En date du 29 septembre 2023, M. Georges BUSE FALAY démissionne de sa qualité d’Administrateur et de son poste de PCA. Au lieu de se conformer aux statuts et à l’Acte uniforme OHADA, Mme la Ministre du Portefeuille va nommer, le 21 novembre 2023, un Président du Conseil d’Administration comme à l’époque avant l’adhésion de la RD Congo au droit OHADA. Et, le malaise part de là.
Réagissant à cette nomination, un Administrateur de l’Etat congolais rappelle à l’actionnaire de la catégorie B les dispositions de l’article 423 en relevant que cette nomination est faite en violation du droit OHADA et des statuts de la société PHC et risque d’hypothéquer l’avenir juridique de la société dans la mesure où tout acte que poserait la personne irrégulière désignée sera nul et de nul effet. Mme la Ministre a refusé les conseils lui prodigués et a imposé sa décision de nomination d’un PCA à la tête de PHC. Aussi, elle persiste dans l'erreur en cherchant à bloquer les comptes de PHC.
A la suite de l’incompréhension créée par la Ministre du Portefeuille, le Tribunal de Commerce de Kinshasa/Gombe a désigné, par son jugement rendu sous le RCE 8275, un mandataire ad hoc avec pour mission de convoquer et de présider le Conseil d’administration de la société PHC S.A et de permettre aux Administrateurs réunis en Conseil d’Administration, de statuer entre autres sur le dossier de la personne nommée par Mme la Ministre d’Etat, Ministre du Portefeuille.
Lors de la réunion tenue le 22 mars 2024 sous la Présidence du Mandataire ad hoc, le Conseil d’Administration a rejeté le dossier de la personne nommée par Mme la Ministre du Portefeuille. (PV du 22 mars 2024). A ce jour, Mme la Ministre du Portefeuille, nonobstant le fait qu’elle expédie les affaires courantes, ne veut pas respecter la décision du Conseil d’Administration et, les deux administrateurs de l’Etat viennent de convoquer encore une autre réunion du Conseil d’Administration pour statuer à nouveau sur une candidature déjà rejetée», révèle Toile d'Araignée.
Le retard pris par les autorités congolaises dans la formation du gouvernement et leur insensibilité flagrante face à la dégradation des conditions sociales des Congolais sont des sujets qui méritent une désapprobation sévère et sans compromis. Alors que le pays est confronté à des défis majeurs tels que la pauvreté, le chômage, l'inflation et la corruption, les dirigeants politiques congolais semblent plus préoccupés par leurs intérêts personnels et leurs querelles de pouvoir que par le bien-être de la population.
Le retard dans la formation du gouvernement est un exemple frappant de l'incompétence et de l'indifférence des autorités envers les préoccupations des citoyens.
Alors que les Congolais attendent des mesures concrètes pour améliorer leur quotidien et garantir un meilleur avenir pour leurs enfants, les politiciens semblent se perdre dans des négociations interminables et des manœuvres politiques stériles qui ne font que retarder davantage les décisions cruciales pour le pays.
En parallèle, la dégradation continue des conditions sociales des Congolais, exacerbée par la crise économique et les conséquences de la pandémie de Covid-19, est largement ignorée par les autorités, qui semblent incapables ou indifférentes à apporter des solutions rapides et efficaces pour soulager la souffrance de la population.
Il est temps que les dirigeants politiques congolais assument leurs responsabilités et agissent avec courage et détermination pour répondre aux besoins urgents de la population.
Il est inacceptable que les intérêts partisans et égoïstes prévalent sur l'intérêt général, laissant des millions de Congolais dans la précarité et la désespérance.
La société civile et les citoyens doivent rester vigilants et exiger des comptes aux autorités pour leur inaction et leur insensibilité face aux souffrances du peuple. Il est temps de mettre fin à cette culture de l'indifférence et de l'impunité qui gangrène la classe politique congolaise et de demander des actions concrètes et immédiates pour améliorer la situation sociale du pays et garantir un avenir plus juste et plus prospère pour tous les Congolais.
Dans le cadre d'une collaboration fructueuse entre l'Université Catholique du Congo (UCC) et le journal La Prospérité, des étudiants de Faculté de Communications sociales (FCS) en stage à la rédaction ont eu l'opportunité unique de participer à une séance de renforcement de capacité sur des sujets d'actualité et d'importance croissante: l'Identité Numérique (IN) et l'Intelligence Artificielle (IA). Cette session a été animée par Monsieur Patrice Piardon, expert reconnu dans le domaine, sur invitation de Monsieur Marcel Ngoyi Ngoyi Kyengi, fondateur du journal ce samedi sous-estimée. Avec un marché mondial de l'intelligence 20 Avril 2024 au sein de la Rédaction sis 33, Avenue de la Paix, quartier Mont Fleuri dans la Commune de Ngalema. L'importance de l'IA dans le monde moderne ne peut être artificielle évalué à 136 milliards de dollars et une croissance explosive prévue de 1400% sur les sept prochaines années, il est clair que l'IA façonne l'avenir de nombreuses professions, y compris le journalisme. En effet, 97 millions de personnes devraient travailler dans le domaine de l'IA d'ici 2025, soulignant l'urgence pour les étudiants de se familiariser avec cette technologie. L'impact de l'IA sur le journalisme est également significatif. Elle offre rapidité, simplification des procédures complexes, et permet une couverture en temps réel de l'actualité, renforçant ainsi le lien entre le public et les médias. Cependant, elle soulève aussi des questions éthiques et des défis, notamment en termes de responsabilité et de pluralité de l'information. La formation sur l'IN est tout aussi cruciale, car elle permet aux individus de comprendre comment sécuriser leur présence en ligne et gérer leur réputation numérique. Dans un monde où l'identité numérique devient aussi importante que l'identité physique, une telle connaissance est indispensable. Cette initiative de l'UCC et de La Prospérité illustre parfaitement l'engagement des institutions éducatives et des médias à préparer la nouvelle génération de professionnels aux défis et opportunités du numérique. Elle met en lumière la nécessité d'intégrer l'éducation à l'IA et à l'IN dans les programmes d'études pour s’assurer que les futurs journalistes soient non seulement compétents dans leur domaine, mais aussi équipés pour naviguer dans le paysage numérique en constante évolution. Monsieur Patrice Piardon exprime sa gratitude envers l'Éditeur Directeur Général du journal La Prospérité pour la confiance accordée. Il a été particulièrement satisfait du niveau élevé de compréhension et d'assimilation de ces 9 étudiant(e)s de la Faculté de Sciences Sociales de l'Université Catholique du Congo (UCC), ce qui reflète l'excellence de l'éducation dispensée par l'université et l'engagement des étudiants envers leur apprentissage. Cette confiance mutuelle entre le formateur et le journal est essentielle pour continuer à offrir des expériences éducatives enrichissantes et pratiques aux étudiants.
La Pros.
Une Nouvelle Vision pour la République Démocratique du Congo
La République Démocratique du Congo se tient à l'aube d'une transformation gouvernementale majeure, orchestrée par
*Désormais, le Député Provincial Levy Mbuta (4AC) va presider à la destinée de l’Assemblée Provinciale de Kinshasa. Il a été élu avec 23 voix sur 43 votants, président du bureau définitif de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, à l’issue des élections tenues samedi, dans l’hémicycle de cette institution législative.
«Après dépouillement des voix après élection à bulletin secret, le député provincial Lévi Mbuta de Kimbanseke s’en sort avec 23 voix sur 43 députés votants présents et est élu par conséquent président du bureau définitif de l’Assemblée provinciale de la ville de Kinshasa », a déclaré Louis-Gilbert Bompate, secrétaire de l’assemblée provinciale de Kinshasa et président de la commission chargé de ces élections.
Membre du regroupement politique «AAC », l’élu de Kimbanseke a été talonné par la députée Germaine Tshinyama du regroupement «ANB » et occupe ainsi la vice-présidence du bureau définitif. Quant au député provincial André Nkongolo de «l’AFDC », il a été élu rapporteur, alors que Clovis Samba du MLC occupe la fonction de rapporteur adjoint.
Le député provincial Socrates Mubengayi de l’UDPS/ Tshisekedi a pour sa part été élu questeur du bureau définitif de cet organe délibérant. 43 députés provinciaux sur 48 que compte l’Assemblée provinciale de Kinshasa ont pris part au scrutin qui était présidé par Daniel Iyeli, premier Secrétaire du Bureau d’âge.
Faire de l’APK une institution de proximité
Vue des députés provinciaux dans l’hémicycle
Prenant la parole à cette occasion, le président du bureau définitif de l’assemblée provinciale de Kinshasa a promis à la population de faire de cet organe délibérant une institution de proximité ouverte à tous pour recueillir «sans frontière aucune, les désidératas de l’électorat Kinois ».
«Maintenant que la compétition électorale est terminée, le bureau définitif qui vient d’être installé. Il restera ouvert à tous pour recevoir vos différentes observations », a dit Lévy Mbuta avant d’exprimer sa gratitude au bureau provisoire pour le travail à abattu durant la session inaugurale de la législature 2024- 2028.
Il a saisi la même occasion, pour rendre un hommage mérité au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, et aux membres du présidium de l’Union sacrée pour le choix porté sur sa modeste personne comme candidat au perchoir de l’assemblée provinciale de Kinshasa. Il n’a pas non manqué de remercier tous ses collègues députés provinciaux qui l’ont porté à la tête de cette institution.
Il a également annoncé que les membres du bureau définitif vont se concerter incessamment pour prendre des dispositions relatives à l’affichage, dans l’enceinte de l’APK, des candidatures pour l’élection des sénateurs.
Présidé par le député provincial Amous Mbokoso, ce bureau avait pour mission la vérification et la validation des mandats des députés provinciaux, la cooptation des candidats chefs coutumiers de la ville de Kinshasa à la députation provinciale, l’élaboration et l’adoption du Règlement intérieur de l’APK, sa transmission à la Cour constitutionnelle pour contrôle de conformité, ainsi que l’élection et l’installation du bureau définitif de l’APK.
L'humoriste congolais Herman Amisi sera seul en scène le 30 juin 2024 au Casino de Paris, une salle parisienne mythique de spectacle, située au 16, rue de Clichy dans le 9ᵉ arrondissement : une fierté pour l'humour congolais qui quitte enfin le ghetto.
En cette date qui commémore l'indépendance de la RD Congo, l'heure sera au bilan sur l'ordre qu'était "surveillez le fleuve".
Le créateur de ce slogan devenu mythique, qui se dit être passionné d'un humour engagé et constructif, se décide de prendre d'assaut l'Europe, après avoir rapidement conquis Kinshasa et une grande partie du continent africain. La dernière Coupe d'Afrique des nations (CAN), orhanisée en Côte d'Ivoire, a été pour lui un veritable tremplin, occasion à laquelle il a permis aux Africains de tout bord de lier l'utile à l'agreable. D'aucuns se souviendront encore longtemps de Toro toro, une chanson qu'il a faite à cette occasion, comme pour dire qu'il est polyvalent.
Un Léopard de l'humour!
Considérée à tort comme une capitale lingalaphone, Kinshasa est tombé facilement sous le charme de cet artiste natif de Lubumbashi. La République democratique du Congo, c'est le cas de le dire, a finalement trouvé un artiste humoriste francophone, à même de rivaliser avec les artistes ivoiriens de la trempe de Michel Gohou et Digneu Cravate, qui lui manquait. Très facilement, Herman Amisi s'est fait simultanément adopter par les Kinois, les Brazzavillois, les Abidjanais, sans oublier les Camerounais de Douala, Yaoundé et les Africains de la diaspora de manière générale.
Oui, il y a eu Mamane, de son vrai nom Mohamed Mustapha, et aujourd'hui il y a Herman Amisi.
La coopérative des agriculteurs du Congo : " Coagrico Sprl" organise une grande manifestation de la sortie officielle qui aura lieu, le lundi 03 juin 2024 à 10 heures, dans l'enceinte de l'échangeur de Limete.
De mi-mai 2024 à décembre 2026, les Editions OCM de Kinshasa vont organiser une action culturelle dénommée :
« Promotion du livre congolais, promotion du théâtre classique congolais »
En quoi consiste cette action ?
Et pourquoi l’organiser ?
Profitant de deux jubilés de l’auteur à savoir, le septantième anniversaire de l’écrivain cette année, et ses 50 ans d’écriture en 2026, les Editions OCM de Kinshasa ont décidé de mener une grande action culturelle au niveau national et international durant deux ans, de mai 2024 à décembre 2026.
Les éditions OCM de Kinshasa ont déjà publié une quinzaine de livres du dramaturge et metteur en scène bruxellois Cheik FITA.
Cette action a toute son importance car, en tant que Congolaise ou Congolais, si nous posons les questions suivantes autour de nous, nous risquons d’être désagréablement surpris.
1. Citez cinq écrivains congolais contemporains.
2. Combien de livres d’auteurs congolais avez-vous acheté et lus cette année ?
3. Quand avez-vous été pour la dernière fois, voir une pièce de théâtre d’auteur congolais dans une salle ?
Il est un fait :
Très peu d’écrivains congolais contemporains sont connus,
Très peu de livres d’auteurs congolais sont publiés et vendus,
Les éditions OCM ont prévu plusieurs actions culturelles :
Quant au théâtre classique congolais, il est desservi par un phénomène simple : A Kinshasa et dans différentes villes de la RD Congo, il n’existe pratiquement plus de salle de théâtre dans les normes.
Or, dans les grandes démocraties, le livre et le théâtre classique sont très présents dans la société.
Livres :
Coaching jeunes auteurs
Aide à l’édition
Edition
Promotion et ventes
Théâtre
Montage et présentations
Pour jeunes publics
Pour grand public
Les Editions OCM lancent un appel à tous les mécènes et sponsors potentiels de soutenir cette action.
A l’instant où l’Etat Congolais, le Comité de Direction de la MIBA S.A, ses agents et cadres, ainsi que les notables de l’espace Grand Kasaï s’activent pour la relance des activités de cette société, il s’avère qu’un nouveau préjudice s’invite au rendez-vous.
Selon des sources ayant requis l’anonymat, Jean Charles Okoto, Président du Conseil d’Administration de cette société, aurait conclu un accord avec un Monsieur nommé VERSCHOEREN, sujet Belge, dans une tentative d’accaparement d’une concession Miba S.A située le long de l’avenue Pumbu, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa. Cette situation, renchérissent ces sources, serait favorisée par la sentence rendue au terme d’un procès flou.
« Comment Monsieur le P.C.A. peut-il libérer le local au moment où Monsieur l’ADG est présent à Kin où il gère le quotidien de la société. Plus grave, sans tenir informer ce dernier, pourquoi l’autorité suprême de la MIBA va prendre possession avec son état-major, l’immeuble de la représentation située sur le Boulevard du 30 juin, tout en laissant la résidence Pumbu dans l’insécurité, en donnant l’occasion à cet opérateur économique de prendre possession de la résidence à l’issue d’un faux procès condamnant la Miba», déplorent les sources.
«Il est à la tête de l’entreprise pour ses intérêts obscurs à nuire à la société. Nous lançons un cri d’alarme aux autorités du pays et surtout, au Chef de l’Etat, le Garant du bon fonctionnement des institutions, de stopper l’hémorragie des actes posés par le PCA Jean Charles Okoto », insistent-elles.