Après des années de durs labeurs, les homes des étudiants de l’Université de Kinshasa, les mêmes qui ont accueilli, pas longtemps les athlètes compétiteurs des 9è jeux de la francophonie, sont enfin prêts à accueillir les étudiants.
Les travaux de ces logements pour étudiants ont débuté depuis 2020. Ces locaux construits depuis avant l’indépendance de la RDC, étaient invivables compte tenu de ses conditions sanitaires précaires. Depuis la construction de cette Alma Mater et des homes, aucun travail de rénovation n’a été réalisé.
Les étudiants vivaient dans chaque local au nombre surplus recommandé. Ces habitations étaient devenues aussi des lieux d’abri des non-étudiants et bandits, qui semaient un climat de peur et d’insécurité dans les alentours de l’Université. Le déguerpissement des étudiants en janvier 2020 était aussi pour résoudre ce problème d’intrusion au sein des homes et couper court à ces actes d’antivaleurs.
Ces édifices, commençant par le home du plateau, le homme 10, le home 20 et, enfin, le home 30, ont été réhabilités et répondent aux normes internationales. Maintenant, reste que les autorités de l’Enseignement universitaire et supérieur se décident pour que les étudiants regagnent leurs logis.
Toutefois, un seul problème dérange. C’est de savoir si le comité de gestion des homes et, les autorités universitaires de cette Alma Mater pourront s’impliquer comme il se doit pour disposer une politique de gestion qui épargne ces bijoux de tout danger de la part de qui que soit. A cette question, il y a de quoi beaucoup réfléchir.
Faradja Muderhwa Bernadette
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Pour marquer l’histoire de sa vie, la journaliste, chroniqueuse et influenceuse Ika de Jong Kibonge a organisé une cérémonie du vernissage de son ouvrage dénommé «témoignage» le samedi 26 août 2023 dans la salle Show Buzz, en présence de la Première Dame de la République Démocratique du Congo, Denise Nyakeru et d’autres grandes personnalités du pays en vue de partager son expérience sur les choses vécues.
Dans son ouvrage, l’écrivaine Ika de Jong a fait un autoportrait qui décrit l’histoire de sa vie, de ses expériences personnelle et professionnelle. Entre le rêve d’une petite fille qui était de devenir journaliste et son accomplissement. Ce livre regorge les défis, les difficultés qu’elle a eues à rencontrer dans son existence «Entre le rêve de petite fille qui était de devenir journaliste et son accomplissement, il y a eu beaucoup de péripéties, plusieurs défis ; que ce soit sur le plan sentimental, familial et même sanitaire du fait d’un cancer. En effet, c’est comme si pour que je devienne la Ika De Jong que Dieu attendait, il fallait que je traverse des épreuves rudes dans chaque domaine de ma vie », a déclaré Ika de Jong qui explique et motive à travers son livre que les difficultés dans la vie ne sont qu’un chemin qui amène vers la réussite, ces défis ne doivent pas être un blocage pour nous affaiblir, mais plutôt une raison pour nous pousser à atteindre notre objectif.
«Je vous amène dans mon passé, mon présent et mon futur, en vous partageant plusieurs épisodes de ma vie qui m’ont amené où je suis aujourd’hui», a-t-elle ajouté que la lecture de son ouvrage témoignage est la lecture de sa vie dans sa globalité. L’écrivaine à la plume facile a voulu partager son expérience personnelle afin de créer des vocations mais aussi attiré l’attention de ses lecteurs sur les difficultés que rencontrent les femmes dans leur réussite sociale.
«Mais, en dépit de toutes ces difficultés, rien ne pouvait entraver ma détermination et ma rage de vaincre. Après tout, j’avais de qui tenir : ma mère et ma grand-mère sont celles qui m’ont inculqué des valeurs de travail, de sérieux et de ténacité. Je ne recule donc devant rien quand il s’agit d’exercer ma passion et de rendre fiers ceux que j’aime », déclare-t-elle.
Eunice Maleka
En dépit de plusieurs années de somnolence, la SONECA, Société Nationale des Editeurs, Compositeurs et Auteurs, que d’aucuns croyaient être en liquidation, va totaliser le 6 décembre prochain, 54 ans d’existence. Voilà ce qui justifie sa grande cérémonie organisée le vendredi 25 août de la semaine qui vient de se clôturer, dans l’enceinte de l’amphithéâtre du ministère des Affaires Etrangères, à la Gombe.
Au cours de cette cérémonie, son Président du Conseil d’Administration, le célèbre artiste et éditeur Adios Alemba a, de concert avec sa Directrice Générale, madame Octavie Kembi, procédé à la remise des brevets à plus de mille inspecteurs de droit d’auteurs ainsi que des diplômes de mérite artistique à une centaine d’artistes, toutes catégories confondues.
A en croire M. le PCA, allusion faite à Adios Alemba, lors de son discours d’ouverture, ce moment a été pour lui une occasion mémorable annonciatrice du réveil de la SONECA. Ce patron de Gillette d’or, mieux connu par son tube ‘’mille sourires des années 81-82, s’est dit déterminé à porter haut l’étendard et la visibilité de la culture congolaise tant sur le plan national qu’à l’échelle globale, via à la fois son implantation à travers le monde et l’exploitation de nouvelles pistes de la technologie actuelle.
Adios Alemba a promis de continuer à lutter en faveur de la dignité de l’artiste congolais. Pour envisager d’y arriver, il a choisi de placer son déterminisme sur sa ténacité qui permettra à la source lumineuse de la culture et arts congolais d’être désormais réellement ramenée à la surface du sol de la République Démocratique du Congo, à l’heure actuelle connue à travers le monde pour sa vitalité musicale. C’est au travers, foi sur ses propos, de la rumba, aujourd’hui reconnue comme le patrimoine mondial de l’humanité. Pour lui, les artistes congolais devront désormais rentrer dans leurs droits.
Maman Anosandjo, comédien de son état, de son vrai nom ‘’Marius Bayolo’’, sous son aspect détravesti, a été parmi les heureux nominés dans la catégorie diplôme de mérite artistique. Il y avait parmi d’autres nominés de cette même catégorie, Jadot le Cambodgien, artiste chanteur, un ancien de Viva La Musica ; Assimba Bathy, dessinateur caricaturiste ; Godé Mbemba, alias Lofombo, vertueux guitariste, ancien de l’Empire Bakuba ; Djo El, artiste chanteur, ancien de Grand Zaïko Wawa ; Maître Bebin, cinéaste ; Louis Onema, arrangeur des sons ; Maman Jacquie Olanzo, danseuse ; Isaac Mundele, sculpteur à base d’objets de récupération (clous et consort) ; Kandungi Munzanzu, le concepteur du Franc congolais ; Paul Lufwa, sculpteur et fils de Feu Lufwa, auteur du Batteur de la Foire de Kinshasa ; Serge Manga, sculpteur, auteur de plusieurs œuvres, la liste est longue et non exhaustive. Dominique Mabua, ancien danseur de l’Empire Bakuba ; Papy Ndala, Manager et coach international sur le business et accompagnement des structures et organisations, et Henry Kasongo, pour ne citer que eux, ont été plutôt parmi ceux qui ont reçu les brevets d’inspecteurs de droits d’auteurs.
Dans sa joie de nominée, Maman Anosandjo, autrement dit la première dame d’Afrique, a eu des mots justes pour remercier dans un premier temps le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, pour avoir pris l’irréfragable décision de remettre la SONECA sur le chemin de ses droits, détournés durant plus de 12 ans par ses détracteurs, jusqu’à hauteur des millions de dollars. Elle a, en second lieu, dit ‘’merci’’ aux autorités de la SONECA, ci-haut évoquées, pour ne l’avoir pas jetée dans l’oubli en lui octroyant, au même titre que ses pairs, ce diplôme de mérite artistique.
La Première dame d’Afrique a déclaré sienne la lutte du PCA Adios Alemba déjà mise en marche en faveur du recouvrement des droits d’auteurs et droits voisins de tous les artistes congolais jusque-là abandonnés à leur triste sort par les différents régimes qui se sont succédé. C’est le cas, l’un des plus illustratifs, de Serge Manga (devenu aveugle), réalisateur de plusieurs œuvres : le Lion assis devant le Palais de Marbre, ‘’les Enfants de la rue rescolarisés érigés en face de Kin-Mazière, le Vieillard et le Jeune homme au rond-point Ngufu à Matete, le Monument de la Place de la Révolution à Bukavu, celui de la place des Armoiries à Brazzaville, la statue du Président Léon Mba à Libreville…
Dans la foulée, Adios Alemba a rassuré ses collègues artistes au sujet de la promesse du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, de faire désormais du droit d’auteur en République Démocratique du Congo, un droit de l’homme par excellence. Voilà ce qui justifie le tout premier diplôme de mérite artistique qu’il a pris soin de lui faire parvenir par l’entremise de son conseiller en la matière qui a été présent dans la salle.
A contrecourant de la tant vantée liquidation à laquelle ont longtemps fait allusion les artistes de ‘’l’autre société dont la raison sociale a l’air de contenir une coda qui n’est plus qu’un passage final d’un morceau de musique mal exécuté’’, Adios Alemba, sans vouloir en parler, a plutôt recouru aux mots dépourvus de toute équivoque pour évoquer plutôt l’homologation que la SONECA vient d’obtenir de la part du tribunal de commerce avec une durée de 99 ans selon le droit OHADA. Il s’agit donc cette fois-ci d’une SONECA qui ira de générations en générations et de renouvellements en renouvellements. Pour en parler de fond en comble et dans tous ses détails, le PCA Adios a promis pour très bientôt la tenue d’un point de presse dont la date et le lieu seront communiqués dans les tout prochains jours.
Ça sera donc la dissipation de la confusion à laquelle le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, avait demandé, il y a de cela plus d’une année, à la Ministre de Culture, Arts et Patrimoine, Catherine Furaha, de bien vouloir mettre fin.
Pour votre supplément d’information, retenez que SONECA, qui en RDC est un acronyme pour Société Nationale des Editeurs, Compositeurs et Auteurs, est, en langue portugaise, un mot à part entière avec comme traduction en français ‘’SOMNOLENCE’’ ou ‘’SONGE BREF’’.
Fini donc de la somnolence qui n’a que trop duré au sein de la SONECA que voici désormais en plein réveil de ses activités.
Saint-Germain Ebengo
La plateforme Nkelo Bantu a organisé ce jeudi 24 août 2023 un atelier intitulé ‘’Ingrédients pour un journalisme durable en RDC’’, à la grande salle de Silikin Village dans la commune de la Gombe. Cette rencontre a constitué une journée de partages d’expertise et de l’évocation d’actions pour l’optimisation et de la durabilité des médias congolais ainsi que de leur rentabilité.
Dans son approche introductive, M. Lars Tallerte, Fondateur et Président du Sustainable Journalism, a reconnu qu’il n’est pas facile de produire un journalisme de qualité, fondé sur des faits et de parvenir à faire des bénéfices.
Car, il ne s’agit pas uniquement des restrictions imposées par les gouvernements sur les sujets que les médias doivent traiter mais du fait que les modèles économiques des médias traditionnels, basés sur la publicité qui sont devenus obsolètes. Et, les encourager à ne pas gaspiller leurs ressources pour un contenu dont personne n’a besoin, de s’adapter à l’ère du numérique et d’identifier de manière spécifique leurs marchés.
Dans le même ordre, il a souligné les défis d’un faible revenu publicitaire, une diffusion et un intérêt limité, peu de capacité à résister aux pressions du gouvernement et des partenaires commerciaux et peu d’indépendance éditoriale.
Comme point de départ, il a suggéré à chaque média de comprendre son public, de savoir comment le public congolais définit l’information ainsi que le modèle économique du pays.
«Ne pensez pas que votre mission consiste uniquement à informer vos publics car nous sommes noyés dans l’information. Votre mission est celle de résoudre un problème pour vos publics cibles, et résolvez un problème pour votre utilisateur et celui-ci sera prêt à payer selon les tarifications de l’entreprise de presse», a-t-il insisté.
A son tour, M. Israël Mutala, Dg du média en ligne 7/7 a révélé les réalités de la diffusion des contenus selon la ligne éditoriale, de la gestion quotidienne d’une rédaction qui tient compte des ressources humaines, des finances, et la répartition des charges.
Sur ces propos, il a invité les chefs des médias à veiller sur le profil des journalistes à intégrer au sein de leur rédaction afin de produire un travail et un service de qualité dans le secteur.
Au terme de cette rencontre, en ce qui concerne les questions liées à l’émergence dans un paysage médiatique saturé, le Professeur Pierre N’sana a dispensé une master class sur la stratégie de contenu soutenable dans le respect de la déontologie journalistique.
Une stratégie selon laquelle, il a rappelé qu’il appartient à chaque média d’information de trouver l’équilibre entre la passion et la raison, entre la nécessité de séduire et l’obligation de convaincre.
Niclette Ngoie
Du mercredi 16 au samedi 19 août, il s’est tenu au sein de l’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne, précisément à son Assemblée Saint Palais située au numéro 34 de l’avenue Yangambi, au quartier Kimbangu, dans la commune de Kalamu, la conférence des délégués qui a eu lieu sous la supervision du révérend Apôtre Christ-Pain Kalombo, désormais devenu son Représentant Légal.
Ce grand rendez-vous, qui a été riche en enseignements bibliques, s’est clôturé samedi 26, après une pause ‘’ de 7 jours’’ qui est allée du 19 au 25 août. Elle a été sanctionnée, allusion faite à la conférence, par des résolutions riches en réformes à la base à la fois de la refondation, de la réorganisation et de la restructuration de l’Eglise qui entre déjà dans sa 26è année d’existence.
L’Apôtre Christ-Pain Kalombo, qui était jusque-là Coordonnateur, devient désormais Représentant Légal, avec un mandat à durée indéterminée et la jouissance d’une protection spéciale qui viendra en appui à la stabilité de l’Eglise. La coordination de l’Eglise est désormais devenue son bureau Exécutif constitué de 23 membres avec à sa tête son désormais Représentant Légal, l’Apôtre Christ-Pain Kalombo ci-haut évoqué. Quant à son siège national, ce dernier est désormais transféré à Kinshasa, au 53 de l’avenue Peti-Peti dans la commune de Ngiri-Ngiri. C’est là que s’établira désormais le cabinet du Représentant Légal qui sera constitué de 5 membres.
Pour sa croissance numérique l’EEVIC, entendez : Eglise Evangélique de la vision Chrétienne, est dans l’expectative de sa nouvelle branche évangélique de Pweto qui viendra s’ajouter aux trois branches évangéliques existantes, à savoir celle de Kinshasa, celle du Grand Kasaï et celle du Grand Katanga. Chaque branche évangélique sera désormais chapeautée par un évêque de branche. C’est à ce titre que le Pasteur Chrispin Bakalo Kalombo, qui a été l’hôte de cette grande conférence de délégués, en sa qualité de Pasteur numéro un de l’Assemblée Saint Palais ci-haut évoquée, devient désormais Evêque de la branche évangélique de Kinshasa, la reconnaissance du Représentant Légal, Apôtre Christ-Pain Kalombo, faisant foi. L’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne compte à cet effet s’étendre dans les territoires où elle n’est pas encore implantée jusqu’ici, avec comme point de liaison, en vue d’éviter les dérapages, l’uniformisation des cultes.
Chaque assemblée, en vue de sa croissance spirituelle, devra organiser dix groupes dits holistiques et dont les représentants se retrouveront selon une fréquence mensuelle autour d’un conducteur pour que soient traités en permanence et avec sérieux les problèmes de leurs fonctionnements respectifs.
Pour ce qui est de l’autosuffisance de l’Eglise, ils sont tous tombés d’accord sur l’idée de mettre en place les activités génératrices des revenus sous forme des travaux faits par l’Eglise pour elle-même ; il s’agit, entre autres, des travaux champêtres, de l’élevage, de la pisciculture…
Au regard des finances de l’Eglise, il a été forgé une clé de répartition des entrées, à savoir dîmes et offrandes. Au sujet de la dîme, le Représentant légal aura droit à 10% mensuel en provenance de toutes les assemblées, toutes branches confondues, pendant que les 90 % résiduels resteront entre les mains des Conducteurs respectifs. Pour ce qui est des offrandes, 10% serviront au Bureau Exécutif, 10% à la branche évangélique, 20% à l’Assemblée et 60% au Conducteur.
La Confidel, entendez : Conférence des délégués, a décidé que soient pris en charge mensuelle par les fidèles le logement du Représentant légal, sa restauration ainsi que sa mobilité.
Dans ce même ordre de choses, chaque Assemblée devra transmettre son rapport financier mensuel à sa branche d’appartenance qui transmettra au Bureau Exécutif. Pendant ce temps, l’administrateur en charge des finances gérera les comptes et transmettra les copies au Représentant légal.
A l’intention des serviteurs des territoires reculés en difficultés financières, il est prévu une caisse de péréquation qui permettra aux cotisants de venir de façon permanente à leur rescousse.
‘’Continuons à marcher d’un même pas à partir d’où nous voici arrivés’’, parole du Représentant Légal à ses co-serviteurs. ‘’Nous voulons qu’à partir de là où nous sommes arrivés nous puissions avancer avec Dieu ’’, a-t-il reconduit son affirmation avant de tirer parti de cette opportunité qui s’est offerte pour consacrer quatre nouveaux serviteurs qui œuvreront désormais au sein de l’EEVIC au regard de leurs nouveaux titres et qualités respectifs. Il y a parmi eux : Le Pasteur José Ntola, le diacre Cédric Loenge, la diaconesse Josée Mwa Mukendi ainsi que le frère Faustin Kalombo, en qualité de président du département ‘’ ’Papas vision’’.
Plusieurs autres choses ont été dites et faites et ce sont les pages qui nous font défaut pour les évoquer toutes en détails.
La deuxième conférence des délégués est prévue à Lubumbashi du 16 au 19 août 2024. D’ici-là les délégués, toutes branches confondues, se disent heureux d’avoir rehaussé de leurs présences cette première édition qui leur a permis d’avoir ajouté à leurs fois et vertus les 7 savoirs qui ont été parmi les éléments ayant servi de toile de fond aux enseignements reçus : savoir réfléchir, savoir concevoir, savoir initier, savoir conquérir, savoir se concentrer sur la vision et, enfin, savoir amener à bon port ce qu’on a entrepris.
St-Germain Ebengo
La question du respect du code vestimentaire dans les milieux universitaires reste jusqu’à ce jour une option qui partagent les étudiants. D’un côté elle est soutenue et approuvée et, de l’autre, elle est contestée. Ces avis ont été rendus aux reporters du journal La Prospérité lors de leur reportage avec les étudiants des différentes universités et instituts.
A en croire certains étudiants, il n’est pas admissible d’imposer des tenues pour accéder dans un milieu académique. « Ce n’est pas normal qu’à l’université, l’on exige un code vestimentaire, car l’université c’est l’univers avec diverses appréciations », a soutenu une étudiante.
Par contre, une frange soutient l’option de la restriction vestimentaire dans les Alma Mater. Pour cette catégorie, l’Université étant un lieu scientifique doit être considérée comme un temple sacré. «Les étudiants des universités publiques ont la tendance de trouver l’université comme un lieu de désordre et pourtant c’est un milieu de la science. Certains étudiants ont la tendance de critiquer d’autres universités à cause de leur code vestimentaire et pourtant, c’est l’université qui doit imposer le code vestimentaire aux étudiants. Il y en a d’autres étudiants qui disent qu’ils ne sont plus aux humanités pour qu’on leur impose un quelconque code vestimentaire par l’université », s’étonne un étudiant.
Bernadette Faradja & Ikoyi Aimerance
Le vendredi 25 août 2023, une tragédie est survenue à la cérémonie d’ouverture de la onzième édition des Jeux des Îles de l'Océan Indien qui se tiennent présentement à Madagascar du 25 août au 3 septembre 2023.
Une bousculade mortelle est survenue à l’un des portails d’entrée du stade Barea à Mahamasina et a fait 13 victimes dans un mouvement de foule.
Au nom du Comité National des IXès Jeux de la Francophonie (CNJF), nous offrons nos sincères condoléances à toutes les familles éprouvées et toutes nos sympathies au Comité d'organisation des Jeux des Îles (#COJI2023).
Nous rendons grâce à Dieu d’avoir protégé le public congolais qui était venu nombreux à la cérémonie de clôture des IXès Jeux de la Francophonie.
IKN
Didier Cheriz, mieux connu au nom de ‘‘Papa Fraise’’, va défendre la République Démocratique du Congo à la soirée « Shinning Stars Africa Awards 2023 » à Johannesburg en Afrique du sud où il est nominé dans quatre catégories. Le jeune présentateur congolais est classé dans les catégories suivantes : Meilleure personnalité Télé et radio ; Meilleure personnalité média de l’année ; Meilleur influenceur des médias sociaux ; Meilleure personnalité masculine télé de l’année 2023 en Afrique.
Les informations à notre possession renseignent que plusieurs vedettes de média africains sont en lice pour ce prestigieux trophée de Shinning Stars Africa Awards 2023 qui honore les grandes réalisations et célèbre les talents des présentateurs télé et radio dans le continent.
La cérémonie solennelle de remise des prix et médailles d’honneur aux lauréats aura le 2 septembre prochain au Cotton Lounge à Johannesburg.
Celui que les téléspectateurs et auditeurs appellent affectueusement ‘‘Papa Fraise’’ pour sa douceur et son charisme est le seul journaliste congolais à être nominé à cette compétition internationale.
Plus de 10 ans de carrière professionnelle à succès, Didier Cheriz est un présentateur aguerri qui a fait ses preuves dans le paysage médiatique en RDC.
Il continue à défendre son art avec brio, pleine de passion et surtout dans l’excellence. Son travail est vivement apprécié par le public et salué par les responsables de la chaîne de télévision ‘‘Digital Congo’’, émettant depuis Kinshasa où il est resté fidèle malgré les vents et marées.
Didier Cheriz fait également partie des nouvelles générations de journalistes qui ont beaucoup d’influences auprès des jeunes dans les réseaux sociaux.
Très cultivé, dynamique, éloquent et ouvert d’esprit, le célèbre journaliste est aussi opérateur culturel. Il dirige aussi plusieurs autres projets dans le cadre de la promotion des artistes musiciens et de l'émergence de potentialité féminines.
Donc, Papa Fraise mérite les soutiens de toute la nation, avec l'espoir de remporter quelques trophées au cours de la 1ère édition de la Soirée Shinning Stars Africa Awards 2023 dont le verdict sera connu le 2 septembre au pays de Mandela.
Bonne chance!
Jordache Diala
Ce séminaire est organisé par le BAC, Bureau d'Action et d'Éveil Culturels a l'Éducation, en partenariat avec la paroisse St Augustin/Lemba, la Commission Épiscopale de l'Éducation Chrétienne (CEEC) et la Coordination nationale des écoles conventionnées catholiques, en vue de combattre les antivaleurs qui gangrènent notre société.
jeudi 31 aout 2023, de 9 h à 16 h, au centre interdiocésain de la Cenco. Référence, Banque Centrale, Fonction publique et Affaires Étrangères. Invitation à tous les Ambassadeurs, aux enseignants des cours d’éducation à la vie et d’éducation civique et morale et aux responsables des institutions d'éducation à la vie.
Au cours de ce séminaire, il s'agira de concevoir et d'adopter une méthodologie, un langage, un discours et un vade mecum adapté et propre aux différentes sociales et professionnelles : enfants, jeunes, parents, écoliers, élèves, étudiants, enseignants, agents de l'ordre et de la sécurité ( particulièrement les policiers de roulage ), les transporteurs ( particulièrement les conducteurs des voitures - taxi et des motos ), les agents de santé ( médecins, infirmiers et ceux de l'administration ), les agents et cadres du secteur public et privé, les agents et cadres de la justice ( magistrats, juges, avocats, procureurs ...), militants acteurs et dirigeants politiques, les hommes et femmes de médias, les chrétiens, animateurs et organisateurs des Églises, les artistes écrivains, musiciens, comédiens, photographes, coiffeurs, la femme, l'homme, etc.
Que chaque participant (Ambassadeur, enseignant et autres), prépare et apporte ses pertinentes suggestions. Nous voudrions aussi élaborer un plaidoyer pour que les cours d'éducation à la vie et d'éducation civique et morale aient désormais la même pondération que ceux de français, de mathématique et d'option ; car dans l'homme le savoir - être doit primer sur le savoir - faire. Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. Et nous savons tous que le mal de notre pays est avant tout moral !
N.B : à cette occasion les Ambassadeurs qui n’ont pas encore retiré leurs Diplômes les recevront solennellement.
S.E Jean - Marie Ntatu - Mey
La Société nationale d’électricité a remis en service le dimanche 27 août, la sous-station électrique dite « Aviation » dans la ville de Bandundu, chef-lieu de la province du Kwilu, illuminant ainsi plusieurs quartiers de cette ville qui étaient sans électricité depuis février 2023 suite à une panne de transformateur.
La joie était perceptible en fin de soirée de cette journée dominicale dans ces quartiers où des jeunes ont carrément traîné dans la rue plus tard que d’habitude grâce à l’éclairage.
Plusieurs petites unités de production fermées, pour les unes, ou travaillant sur générateur, devraient reprendre du service normalement. Ce retour à la normale a été rendue possible par les orientations données par le Directeur Général Fabrice Lusinde. Des orientations qui avaient permis de disponibiliser des pièces de rechange qui ont été envoyées le 15 juillet afin de finaliser les travaux.
C’est depuis le 21 juillet qu’après les avoir réceptionnées, les techniciens de la société Ateliers d’Electro Maintenance Industrielle (AEMI) engagés par la SNEL s’activaient pour faire renouer Bandundu ville avec la civilisation grâce à l’électricité.
Le directeur provincial de la SNEL, Prospère Bakuku avait assuré au début des travaux que des quartiers de la ville de Bandundu privés du courant depuis cinq mois allaient être alimentés dans dix jours.
« Nous sommes allés à Kinshasa contacter les autorités, et nous sommes revenus avec la bobine pour la réparation », avait reconnu Prospère Bakuku, Directeur provincial de la SNEL pour le Kwilu.
Et tout en soulignant que la technique a ses aléas, le timing a été respecté.
La Pros.