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Ké-Mwil ou la royauté Bayansi : le Pouvoir féminin exercé par les hommes (Par Kentey Pini-Pini Nsasay, Professeur à l’Université de Bandundu)

L’occupation étrangère de l’Afrique, à travers ses pratiques iniques dont la traite, l’esclavage et ce qu’elle a elle-même désigné colonisation, a profondément bouleversé le système socio-politique ancestral. Si la plupart de nos royaumes ont disparu, et malgré l’insécurité généralisée, les Anciens ont su sauvegarder les acquis ancestraux millénaires. C’est le cas du Ké-Mwil des Bayansi. Selon les informations récoltées par J. Rezende et M. Kingata, Ta’Sar est le fondateur, le premier Roi des Bayansi. C’est lui qui les a rassemblés, leur a donné des lois, leur a appris l’agriculture et le système très organisé de gouvernement. J. F. Thiel et A. Müller le confirment et ajoutent que, d’après la tradition, ce sont les Bantiokar, les princesses, qui précédaient et qui choisissaient les différents lieux de campement et les hommes les suivaient (J. F. Thiel, 1972, p. 55 ; A. Müller, 1968, p. 22).

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Arrêt des travaux de lutte antiérosive au quartier Manenga dans la commune de Ngaliema, Site érosif réputé pour sa dangerosité à la base des malheurs des populations riveraines

L’arrêt de travaux lutte antiérosive depuis près de six mois, oblige la population de la commune de Ngaliema à amorcer sur le site de Manenga. Le manque de financement y serait à la base. Le ravin de Manenga figure parmi les sites érosifs les plus dangereux que compte la ville de Kinshasa. Pour éviter l’avancement des têtes d’érosion sur ce site, Theodore lokakoa, expert en environnement et conseiller du ministre provincial des travaux publics, conseille les et les autres à éviter le ruissellement sauvage des eaux en construisant notamment des bassins de rétention d’eau dans chaque parcelle..

Arrêt des travaux de lutte antiérosive au quartier Manenga dans la commune de Ngaliema, Site érosif réputé pour sa dangerosité à la base des malheurs des populations riveraines
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ONAPAC : Mimy Monga Numbi accorde l'audience aux Directeurs des provinces pour relever le défi de l'Ex-Ozacaf

En séjour à Kinshasa sur invitation de la hiérarchie, les directeurs des provinces de l'Office national des produits agricoles du Congo, ONAPAC en sigle, les chefs de secteurs comme on peut les appeler, viennent de s'entretenir avec Mme le DG de l'Onapac, Maître Mimy Monga Numbi accompagnée de Mme Kenedi Issakong Berthe, Directeur général adjoint.

ONAPAC : Mimy Monga Numbi accorde l'audience aux Directeurs des provinces pour relever le défi de l'Ex-Ozacaf
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Mweka en deuil : le Colonel Mikanda assassiné à Tshikapa !Mweka en deuil : le Colonel Mikanda assassiné à Tshikapa !Mweka en deuil : le Colonel Mikanda assassiné à Tshikapa !

La communauté Keté du Territoire de Mweka est en deuil, les criminels armés lui ont arraché l'un de ses dignes fils au nom de Mikanda Mingu Godefroid, Colonel dans la police congolaise. Selon les premières reconstructions des faits, le mercredi 23 août entre 2h:00 et 3h:00 du matin, les bandits ont visité les voisins du colonel, et ce dernier, alerté, serait sorti, accompagné de son fils de 17 ans, pour intervenir.

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A la découverte de la gravure traditionnelle chinoise

À tous ses visiteurs, la Chine n'offre pas que le luxe et son hospitalité légendaire. Bien plus, elle présente une diversité culturelle impressionnante. La gravure des sceaux, dont il est question ici concrètement, en est une preuve suffisante.
Quid?
D'emblée, il faut vite noter que la gravure des sceaux est un art traditionnel chinois. Elle a été inscrite, officiellement, sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité en 2009.
Une reconnaissance due notamment à son influence répandue au niveau de l'Extrême-Orient.
D'après Li Zhe, professeur à Xi Jingzhai, par le passé, ou mieux durant les dynasties Shang (de 1600 à 1046 av. JC), la gravure servait à la production des signes distinctifs du pouvoir en Chine.
« L'art de couper les sceaux est profond et large, montrant le charme des anciens caractères et de la culture chinoise », a-t-il révélé, ce mercredi 23 août, aux professionnels des médias en formation, depuis près d'un mois, à Pékin, capitale de la République populaire de Chine, sous les auspices du CIPCC( Chinese international presse communication center).
"L’art de la gravure des sceaux est préservé notamment au sein de la Société des graveurs de sceaux de Xiling (province de Zhejiang, centre), fondée il y a un siècle, et d’une centaine d’autres institutions spécialisées. Le dessin est d’abord tracé sur papier, puis gravé à l’envers dans la pierre à l’aide d’un couteau. L’art de la gravure exige, outre la maîtrise de la calligraphie traditionnelle, une grande virtuosité, l’artiste ne disposant que d’un espace minuscule, où chaque courbe, chaque épaisseur de trait compte. Les motifs, très divers, sont le fruit de l’imagination et de la culture de l’artiste. Instrument de calligraphie et de peinture, le sceau est une œuvre d’art à lui seul. Il exprime les conceptions de toute une culture sur l’homme et la nature. Aujourd’hui, les sceaux continuent à être utilisés dans les documents officiels et la correspondance privée*, renseigne sur cette gravure traditionnelle chinoise qui, d'après l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la Science et la Culture), reste de plus en plus pratiquée par des professionnels, y compris les amateurs, même si la connaissance des caractères complexes se raréfie.
Gloire Mfemfere
Envoyé spécial à Pekin

A la découverte de la gravure traditionnelle chinoise
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Dans l’ouvrage « conflits et guerres au Congo des grands-lacs » : Le professeur Jean Kambayi démontre combien la RDC est dans une colonisation économique

Depuis 1965, c’est plus de 60 ans aujourd’hui qu’il s’observe un climat de guerre et d’insécurité en République Démocratique du Congo, semant peur et désolation dans les cœurs de la population. Cette observation faite par Jean KAMBAYI BWATSHIA, dans son ouvrage intitulé : « conflits et guerres au Congo des grands-lacs », retrace en long et en large le quotidien long et difficile du parcours d’un peuple vivant avec une somme des sentiments négatifs retenus prêt à exploser, un peuple qui jusqu’à ce jour cris alerte. Ce peuple, bien connu, c’est le peuple congolais.
L’auteur ouvre par l’affirmation selon laquelle, les péripéties sur les conflits et guerres de ce peuple restent énormes. Il pense que le problème majeur réside à la réponde de cette question : est-ce le peuple le problème ou soit le pays ? Jean Kambayi reconnait que ce peuple, nombreux soit-il mélangé des personnes venues d’ailleurs pendant l’époque coloniale ou après qui se sont installées et aujourd’hui porte la nationalité congolaise. Il se demande, aussi, dans ce même ouvrage, si et seulement si cela reste jusqu’ici la vraie raison qui justifie tout ce qu’il vit actuellement.
Pour lui, ce mélange des peuples se frottant aux congolais, et qui a réussi à porter les couleurs de la République, ne devrait nullement être appelés congolais.
« Les puissances mondiales rodent depuis plus d’un siècle comme des vautours gloutons autours de multiple richesses que possède le Congo-Kinshasa. Elles se rassemblent pour établir des stratégies sur la manière à exploiter une richesse qui n’est pas la leur. Les questionnements restent abondants sur la vrai nature de leur présence dans le pays, bien que disant voulant aider, cache t-ils d’autres intensions visant à s’enrichir en minerais et autres ressources de ce pays ? Sa Sainteté le Pape François lors de sa visite apostolique en RDC a déclaré « La RDC n’est pas une mine à extorquer ou un pays à dévaliser », s’exprime l’auteur.
Il poursuit en disant, par ailleurs que, les auteurs semeurs de trouble aujourd’hui dans la partie Est de la RDC sont aussi certains fils et filles du pays qui par vengeance tribale sème la terreur et la frayeur dans le cœur de leurs frères du même pays, victimes des injustes sociales.
Il réfléchi, en suite que d’une part comme d’une autre, il faut comprendre que la RDC, un si grand pays très riche qui a neuf voisins, ne peut qu’être convoitée et être confrontée à des sérieux problèmes. « Son emplacement est la raison de son malheur ? Sa richesse souterraine est certainement sujet de convoitise extérieure la base de tout ce conflit et guerre durant plusieurs décennies à ce jour. Les yeux du monde entier sont tournés vers ce pays à la potentialité inégalable en termes de ressources et aussi elle est une aide climatique », conclu l’auteur.
Sinon, Jean Kambayi est de ceux qui estiment que la République Démocratique du Congo est victime d’une colonisation économique. Néanmoins, il reconnait, quand bien même ces velléités, que le peuple congolais est décidé « à ne plus souffrir de ce cycle infernal d’insécurité et se dit prêt et debout pour tout affronter, tout, quoi qu’il en coûte pour arriver à arrêter ces guerres et conflits qui sévissent depuis plusieurs années ».
Grâce Bonebana

Dans l’ouvrage « conflits et guerres au Congo des grands-lacs » : Le professeur Jean Kambayi démontre combien la RDC est dans une colonisation économique
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Nouvelle parution chez vos libraires : Pasu Lundula revient et signe l’ouvrage « LE CHRISTIANISME sans cagoule »

Après « Les Collabos », « Fanon l’Insoumis », « Lumumba profané », « Kasavubu. Le vendu », « Congo-Belgique. Entente impossible », « Tshombe. La honte de l’Afrique », « Tshisekedi. Est-ce l’homme qu’il faut ? » et tant d’autres livres de référence, le libre-penseur, chercheur émérite, Pasu Lundula éventre le boa en vue d’extirper et mettre à nu le christianisme. Comme de coutume, une série d’interrogations sont énumérées dans la quatrième de couverture : « Le christianisme est-il la voie du salut éternel ? Est-il une religion fraternelle ? Qu’a-t-il apporté à l’homme de couleur ? Jésus est-il le Sauveur de l’Humanité ? Pourquoi le péché originel est-il un gros point d’interrogation ? La Bible est-elle la parole de Dieu ? Qu’est-ce que le Vatican ? … »
Cet ouvrage de près de 350 pages a une bibliographie riche. Tel un vieux « rat » des bibliothèques, l’auteur a rongé plusieurs livres tels que « L’Essence du Christianisme » de Ludwig Feuebarch, « Les Inventions du Christianisme » de René Remond, entretien avec Marc Leboucher, « Jean-Paul II » écrit par Bernard Lecompte. La table de matières est alléchante avec des chapitres non sans controverse : Trois papes au scalpel (Jean-Paul II, Benoît XVI, François) ; Les charlatans (Branham, Abd-Ru-Shin, Moon, Bonnke) ; La haine des Noirs ; La prêtraille nègre (Malula, Youlou, Tchidimbo, Muzoxera ; Monsengwo ; Tutu ; Ambongo. On a achevé de l’imprimer en août 2023.
« LE CHRISTIANISME sans cagoule » comporte trois préfaces (2014, 2020, 2023). Dans cette troisième édition, Pasu Lundula a mis en exergue le témoignage de celui qui est allé plus loin, que les autres, dans l’intensité de l’expression du sentiment éprouvé, en l’occurrence, Ray Sendwe. « Je tiens à vous remercier pour le livre Le Christianisme sans cagoule qui m’a éveillé voire délivré », a écrit ce lecteur. L’écrivain résume ces quelques mots en un seul : « Pathétique ».
Dès l’entame du premier chapitre, « Le procès », Pasu Lundula récidive dans les tirs à boulets rouges en ces termes : « Le Vatican est le berceau du suprématisme blanc : il reste englué dans ses préjugés idiots sur les Noirs qu’il a toujours considérés, non pas à l’image de Dieu, mais du Satan. Le Blanc a toutes les raisons du monde pour être chrétien car le christianisme est le palladium de la race blanche à l’époque. Le christianisme est le socle du suprématisme blanc », lance-t-il. Dans les paragraphes suivants, l’auteur va encore plus loin en arguant que le Vatican est un Etat repu qui a des actions qui s’élèvent à des milliards de dollars dans les multinationales comme Shell, General Motors, General Electric et a massivement investi chez les Rothschild.
Selon Pasu Lundula, l’Eglise catholique est une multinationale plus puissante et plus dangereuse, pour les pays d’indépendance récente, que toutes les multinationales réunies. Sans langue de bois, cet écrivain affirme que la doctrine chrétienne a été l’arme idéologique du colonialisme, et qu’elle est la soupape de sécurité du néocolonialisme ; sa mainmise sur l’éducation, dans les pays en développement où l’Eglise chrétienne est prédominante, lui a permis de dompter l’esprit des autochtones.
Lundula peint dans un tableau sombre les trois récents papes qui se sont succédé au Vatican. Quoique qu’il reconnaisse, néanmoins, que François a suscité un immense espoir chez les catholiques par sa résolution de réformer le Vatican et de dépoussiérer l’Eglise en épousant les grandes questions de notre temps, comme la répartition des richesses, l’équité et la justice, la modernité, le rôle et la place de la femme, la nature du mariage, etc. Il revient aussi sur la récente visite du Souverain pontife au pays de Lumumba. C’est un livre très intéressant.
Pasu Lundula dit que William Marion Branham est un charlatan. « Sa doctrine, qui dérive du pentecôtisme, inspire les néoconservateurs yankees, les Bush et leur clique, cette bande des fous enragés qui ont plongé l’Humanité dans l’effroi par leur délire messianique. », écrit-il à la page 118. Des propos très durs. L’écrivain cite trois autres charlatans dont Moon et Bonnke. Dans la foulée, il donne un coup de projecteur sur la prêtraille nègre qui a pondu en 1956, au moment où des secousses indépendantistes secouaient l’Afrique, un document qui fit grand bruit : Les Prêtres noirs s’interrogent.
Pasu Lundula crie dans cet ouvrage, de toutes ses fibres, son horreur du christianisme. Dans son dernier mot, il s’interroge à nouveau comme suit : « Qu’apporte le christianisme à l’homme de couleur ? Non, mille fois non, le christianisme n’est pas la grande école de la fraternité humaine ; il n’est ni une religion fraternelle ni une religion d’égalité non plus : il est au service exclusif de la race blanche ; n’a-t-il pas proclamé solennellement, de Saint Augustin à Pie X en passant par Bossuet, le principe de l’inégalité de droit divin ? Cet axiome reste le fondement même de la religion chrétienne. Le reste, c’est du taratata. » Il invite ses lecteurs à retenir ces deux cruelles évidences : 1. L’humanisme chrétien est une hypocrisie qui sent mauvais ; 2. Le christianisme est une doctrine du mal. A chacun de juger.
James Mpunga Yende

Nouvelle parution chez vos libraires : Pasu Lundula revient et signe l’ouvrage « LE CHRISTIANISME sans cagoule »
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Après son expertise aux Jeux de la Francophonie, Éric Nice désigné Directeur artistique de la célébration 40 ans de carrière musicale de Reddy Amisi

Le savoir ne ment jamais. Lorsqu'on connaît, on connaît.  Et on en est fière. Comme a dit la légende Koffi Olomide: "koyeba mosala esala ka elengi moko boye". C'est le cas d'Éric Nice Diba, Directeur artistique des 9ème Jeux de la Francophonie à Kinshasa. Ce jeune congolais est un expert en scénographie et un génie en événementiel. Sa dernière touche magique a été expérimentée pendant ces Jeux dont il fait partie des artisans du succès en RDC. 

Considéré comme un héros dans l'ombre, Eric Nice a fait ses preuves dans la mission qui lui a été confiée par le Comité national des Jeux de la Francophonie. Car, il a parfaitement joué son rôle de directeur artistique de cet événement sportif et culturel de grande envergure qui vient de redorer l’image de la RD.Congo sur l’échiquier international.

Aux côtés du Directeur national Isidore Kwanza, Nice Eric DIBA a mis toute son intelligence artistique pour la réussite de cet évènement planétaire dont l'organisation congolaise a mis tout le monde d'accord. Il faut apprécier l’homme à son époque, dit-on.

Après son apport considérable aux Jeux de la Francophonie, Eric Nice DIBA est encore sollicité par le chanteur Reddy Amisi Bailo

 Canto pour gérer la direction artistique de série de spectacles marquant la célébration de ses 40 ans de carrière musicale.

Une fois de plus, il va s’occuper de la scénographie, scénario et va surtout s’assurer de la qualité et de la réussite du projet dans le fond comme dans la forme.

Comme aux Jeux de la Francophonie, Nice va apporter son expertise dans l’ensemble de l’organisation des festivités qui commencent déjà ce week-end au Couloir Madiakoko, à Matonge.   

Il sera question de s’assurer que Reddy Amisi et ses musiciens disposent tous les éléments artistiques et techniques pour mieux s’exprimer sur scène.

Pour nombreux observateurs avertis confirment que le patron du groupe La ‘‘Casa do canto’’ a fait un choix judicieux en travaillant avec Nice, qui est un professionnel réputé en matière d’organisation de scène dans la sphère de l’évènementiel en RDC.

Cela prouve que Bailo Canto tient à la réussite de la célébration du quarantième anniversaire de sa vie musicale.  

En bon disciple de l’art d’Orphée, Reddy Amisi veut rendre l’ascenseur aux mélomanes qui l’ont soutenu depuis quatre décennies et ont fait de lui une véritable icône de la Rumba congolaise.

Zoom sur Eric Nice

Pour ceux qui ne le savent pas, il faut retenir que Nice est un génie et un magnifique créateur de bandes originales, musiques de films et jingles publicitaires. Mais avant, il est artiste polyvalent : auteur-compositeur et chanteur actif. Ses performances scéniques hors normes ont permis qu’il puisse collaborer avec plusieurs grands noms de la scène musicale à Kinshasa, en Afrique et tant d’agences de communication, évènementiel ainsi que des organisations institutionnelles en RDC et à l’étranger. Notamment : ‘‘Optimum communication’’, ‘‘Pygma’’, ‘’Cmct FCB’’, ‘‘Ocean Ogilvy’’, ‘‘Ginger Picture’’, ‘‘Ibiscube paris’’, ‘‘To sala film RDC’’,’’ Real Art’’, ‘‘D-Way’’, ‘‘Rochas Event’, ‘‘The Bee’’, ‘’Bibomba record’’, ‘‘FIRE’’, ‘‘FESTILEY’’, Gouvernorat de Kinshasa, la marque Castel Beer.

Patron des studios « Credo Création », Éric Nice inspire confiance et influence certains amateurs d’Arts et de culture.  Très innovateur et ouvert d’esprit, cet esclave du travail vit entre studio, events, spectacles, plateaux de tournage et représentations dans différents pays d’Afrique et dans le monde.

Jordache Diala

Après son expertise aux Jeux de la Francophonie, Éric Nice désigné Directeur artistique de la célébration 40 ans de carrière musicale de Reddy Amisi
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