Au cours de la 8ème session ordinaire de la grande commission mixte, tenue récemment à Kinshasa, la République démocratique du Congo et l’Ouganda ont décidé de supprimer les droits de visa d’entrée sur leurs territoires respectifs, afin de favoriser la libre circulation des personnes, a-t-on appris auprès des sources officielles.
C’était aussi un cadre propice pour les deux parties d’aborder des questions sur les quatre sous-commissions classiques constituées, à savoir : Politique, diplomatie et gouvernance ; Economie, finances et infrastructures ; Socio-culturelle et, enfin, Défense et Sécurité.
«Parmi les résolutions de cette 8ème session ordinaire de la grande commission mixte entre la RDC et l’Ouganda, nous notons celle relative à la suppression des droits de visa, en vue de favoriser la libre circulation des personnes pour les biens communs de nos deux peuples qui n’ont que besoin des pains et de la paix», a signifié Antipas Mbusa Nyamwisi, Ministre d’Etat, Ministre de l’Intégration régionale.
Et d’ajouter : «Ce moment est très important tant pour les deux pays que pour notre région, parce que les raisons de se défier les uns les autres existent, mais nous devons fournir des efforts pour transformer tout cela en une force pour la reconstruction et le développement. C’est ce dont nos peuples ont besoin, car même le voyage d’un kilomètre commence par un premier pas».
Par ailleurs, les deux parties ont également examiné les questions liées notamment, à la sécurisation et la démarcation de leurs frontières communes, à la coopération militaire et sécuritaire, à la neutralisation des groupes armés hostiles aux deux pays, à la lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre, ainsi qu’au rapatriement des réfugiés et à l’administration publique. Sur ce, elles ont signé un mémorandum d’entente pour la mise en œuvre des décisions de la 7ème grande commission mixte sur la douane et le commerce. Elles ont, dans le même ordre d’idée, discuté des possibilités de coopération notamment, sur la lutte contre la corruption, le respect des droits humains, la justice, les échanges des prisonniers et le transport aérien.
Pour sa part, la cheffe de la délégation ougandaise, Mme Rebecca Kadaga, Premier vice-premier ministre des affaires de la communauté de l’Afrique de l’Est, a remercié le Gouvernement congolais et le Président Félix Tshisekedi pour les efforts dans la recherche de la paix et du développement dans les Grands Lacs.
Notons que la grande commission mixte RDC-Ouganda se tient tous les cinq ans de manière rotative entre les deux pays. Voilà ce qui justifie la tenue en octobre 2018 de sa 7è édition à Kampala ainsi que de sa 9è sous expectative en 2028 dans la même capitale ougandaise.
S'il existe des sociétés minières en République démocratique du Congo qui se soucient du bien-être de leurs agents, la Sino-congolaise des Mines en fait partie et peut même être considérée comme la première en la matière. La joint-venture sino-congolaise basée dans la ville de Kolwezi dans la province du Lualaba est en train de marquer les esprits de ses agents et de toute la population du Lualaba qui ne jure que par avoir une place en son sein.
La raison est que la Sicomines offre, non seulement des avantages sociaux à ses agents mais aussi, leur permet de s'épanouir sur le plan professionnel en garantissant des conditions de sécurité et de travail au-dessus de la moyenne.
Un environnement de travail sain et des mesures pour garantir la sécurité physique des agents
Dans le domaine de l'exploitation minière en RDC, la Sicomines est une entreprise qui propose à ses employés un cadre de travail respectant les normes environnementales exigées par les lois du pays. Bureaux administratifs, usines, mines, cantines, installations sanitaires, voies menant aux différentes installations, etc., tout est propre et bien entretenu au quotidien pour préserver la santé des travailleurs. « Ici chez nous c'est une entreprise où il y a une technologie de pointe, où les conditions hygiéniques sont respectées. Même certaines avenues qui relient les différents départements sont asphaltées. Donc il y a moins de poussières », explique monsieur Michel, chargé de recrutement au sein de la Sicomines.
Outre l'aspect sanitaire, la Sicomines tient également à la sécurité des agents, car celle-ci rime avec une bonne exploitation. Toutes les conditions sont réunies pour la sécurité des travailleurs dans le but notamment d'éviter des accidents de travail. « Premièrement nous voyons les conditions de travail par rapport à la sécurité puisqu'on ne peut pas travailler dans un milieu où les accidents sont permanents. Tout le monde va fuir. Historiquement parlant même ceux qui étaient en son temps quand la Gécamines était avec une méthode archaïque dans la mine souterraine les gens refusaient parce que chaque jour il y avait des morts. », renchérit M. Michel.
Pour ce faire, des équipements de protection individuelle sont mis à la disposition de chaque travailleur pour garantir sa sécurité et favoriser le bon déroulement du travail. « Les agents on leur donne les équipements adaptés et si vous voyez sur la ville de Kolwezi la Sicomines, je peux me vanter, par rapport aux tenues nous en avons. Vous allez voir ceux qui ont des tenues de couleur rouge, de couleur bleue, de couleur blanche, de couleur noire, il y en a. Donc par rapport aux tenues on donne comme on veut», soutient ce recruteur.
L'autre moyen de prévenir des accidents sur le lieu de travail à la Sicomines, c'est les consignes de sécurité. Celles-ci sont visibles à différents endroits représentant un danger pour les employés. Ce danger peut être lié à l'électricité (électrocution), à l'eau (noyade), etc.
Des avantages socio-économiques
Dans une ville de Kolwezi où le coût de la vie est élevé, la Sicomines a fait du social de ses employés une priorité. Outre les salaires qui sont revus à la hausse régulièrement, l'entreprise allège la tâche de ses agents en prenant en charge leurs transports, leurs soins médicaux et ceux de membres de leurs familles (femme et enfants) mais aussi la scolarité des enfants. Deux sacs de farine de maïs leur sont également remis chaque mois. Des avantages réunis dans ce qu'on appelle dans le milieu professionnel allocations familiales.
«Vraiment quant à moi, les conditions de travail à la Sicomines, au jour d'aujourd'hui un employé Sicomines ne peut pas être complexé devant les autres employés qui travaillent dans d'autres entreprises locales ici à Kolwezi. Surtout je vais signaler aussi un fait. Vous savez le coût de la vie dans la ville de Kolwezi est très élevé parce qu'avec le boom minier vous le savez ici à Kolwezi, nous avons connu la hausse des prix sur le marché, le loyer des maisons ce n'est pas une chose facile. C'était un casse-tête avant pour les employés de la Sicomines mais aujourd'hui, nous tenons ; nous nous sentons aussi à l'aise parmi tant d'autres entreprises minières qui se trouvent dans la province du Lualaba », témoigne Joseph Kasongo, intendant de sécurité à la Sicomines depuis maintenant 13 ans.
«Ça fait déjà 8 ans de service, c'est-à-dire que depuis 2015 nous avons commencé jusqu'en 2023. Chaque année il y a toujours un changement, il y a toujours une amélioration jusqu'aujourd'hui. Au début, on n'avait qu'un hôpital. Mais présentement là nous avons à peu près 3 hôpitaux. Parce qu'au début on était un peu nombreux ; là nous sommes tellement au-delà de 2500. Donc nous avons au moins trois hôpitaux là où on soigne nos agents. Ici à Kapata il y a un hôpital, un à la cité et un autre à Luilu. Les allocations familiales on les donne. D'ailleurs c'est chaque mois, on les a déjà insérés sur les bulletins. Donc chaque mois nous avons les allocations familiales », ajoute Moïse, chef de section au concentrateur.
A en croire le chargé de recrutement de la société, cette dernière envisage de passer de trois à quatre formations médicales pour la prise en charge médicale des agents dont le nombre est estimé à ce jour à au moins 3 000 personnes.
Formation professionnelle régulière
Conscient de l'importance d'avoir des travailleurs bien outillés sur le plan professionnel, la Sicomines investit également dans la formation de ses employés. Cette formation va de la langue de communication entre agents à la maîtrise de l'outil de travail. Les agents qui sont recrutés généralement sans aucune expérience professionnelle sont soumis à une période de formation ou d'intégration qui consiste à travailler aux côtés d'un chevronné pour apprendre le travail. Cette période dite d'intégration permet au nouvel agent de s'adapter à son environnement de travail mais aussi à acquérir des connaissances et compétences nécessaires à son poste d'affectation. Durant cette période d'intégration, l'agent est rémunéré et bénéficie de tous les avantages reconnus aux employés.
La formation à la Sicomines ne concerne pas seulement les nouveaux agents. Des séances de formation en guise de remise à niveau des travailleurs sont organisées chaque année. Ces formations qui se déroulaient auparavant en Chine ont été ramenées sur place à Kolwezi depuis la survenue de la pandémie de Covid-19 qui a occasionné la fermeture des frontières de plusieurs pays. Pour des formations techniques, l'entreprise a recours des fois à certaines institutions professionnelles de la ville de Kolwezi pour former ses agents. C'est notamment l'Institut national de préparation professionnelle (INPP).
« Il y a aussi une chose que j'apprécie chez les chinois, c'est la formation. Ils tiennent vraiment sur la formation professionnelle des employés. Dans notre entreprise il y a presque chaque fois des formations. Dans le domaine technique, selon la profession que vous exercez, il y a toujours des formations », se réjouit l'intendant à la sécurité Joseph Kasongo, un des agents ayant bénéficié des formations notamment en Chine.
«La Sicomines a formé à partir de 2019 les opérateurs de chariots élévateurs, les opérateurs des chaudières, des grillages, de chargeuses », souligne, pour sa part, Makasa Manda Socrate, opérateur à l'usine de production d'acide sulfurique depuis 2018 alors qu'il a été recruté trois ans plus tôt, soit en 2015, comme employé aux services généraux.
Par ailleurs, les agents Sicomines sont évalués régulièrement. Ceux qui se distinguent, selon les sections, sont honorés par l'employeur comme agents étoilés. Une cérémonie est organisée chaque année au cours de laquelle des prix leur sont remis en guise de récompense.
Conscient de l'importance du capital humain dans le développement d'une entreprise et l'optimisation de la production, la Sicomines continue à investir énormément dans le bien-être socio-professionnel de ses employés. Aujourd'hui, à Kolwezi comme dans toute la RDC, les travailleurs de la Sicomines n'ont rien à envier à d'autres sociétés. Dans leurs témoignages, les agents de la SCM encouragent, d'ailleurs, le gouvernement congolais ainsi que la population congolaise à continuer à faire confiance à la Sicomines qui fait la fierté de l'amitié sino-congolaise.
Ce mardi 17 Octobre 2023, le Maire de la ville de Goma a interdit la tenue d’une marche dite pacifique prévue aujourd’hui, mercredi 18 Octobre 2023, à l’initiative du Collectif des Victimes de l'Agression Rwandaise( CVAR-ONGDH).
«C'est un pari gagné ici à l'UPN, à travers la faculté d'Agronomie, qui se déclare partante et engagée. Les étudiants ont beaucoup apprécié. Et la prochaine étape, c'est naturellement les souscriptions, et puis la descente avec l'équipe de l'université de l'UPN à Songololo, conduite par la faculté d'agronomie». Tels sont les premiers mots de Patrick Onoya, lobbyiste et stratège en investissement, après la conférence-débat tenue le vendredi 13 octobre 2023 à l’Université pédagogique nationale (UPN). Il était question ici de présenter le projet ‘’Un hectare pour un étudiant’’ lancé dernièrement à l’Université de Kinshasa dont le but principal est de créer des emplois, lutter contre la faim et contribuer sensiblement à l’économie nationale.
*Après sa visite auprès des Caritas-Développement Lubumbashi, Bukavu, Uvira et Goma, le Secrétaire Exécutif de la Caritas Congo Asbl, Mr l’Abbé Edouard Makimba, et sa Délégation, ont poursuivi leur mission de solidarité et d’échanges au profit de celles de Kananga, Luiza et Luebo, dans la Province Ecclésiastique de Kananga. Au cours de cette mission, effectuée du 29 septembre au 6 octobre 2023, il a été accompagné de Messieurs André Mathunabo et Christian Nsangamina, respectivement Coordonnateurs Nationaux du Service de Promotion du Développement (SPD) et du Service de Promotion de la Solidarité et du Partage (SPSP).
Wina Lokondo est un congolais de père et de mère. Il a très longtemps observé comment les pygmées, qui sont eux aussi congolais de pères et de mères, en d’autres mots ‘’sang pour sang’’ congolais, sont en train d’être l’objet d’une ségrégation faciale qui fait d’eux de simple sous-hommes. N’étant pas disposé à s’en réjouir, ce défenseur de la cause du pygmée, sachant écrire et parler, ne s’est pas résigné à transiter par les pages de Congo Nouveau pour y coucher quelques mots de sa colère quant à ce, ‘’écrire, c’est parler’’, dit-on.
A travers ce papier long d’une page et demie, ce compatriote, non faiseur d’acception de personne et riche en intérêt pour les autres, s’engage à soumettre à toutes les autorités qui seront issues de prochaines élections une proposition dispositive devant mettre sous exigence, dans le cadre de la discrimination préférentielle, la cooptation obligatoire d’un ou de deux pygmée(s) comme député(s) provinciaux dans toutes les Assemblées des provinces où il existe une forte présence de communautés pygmées.
‘’L’instruction de niveau universitaire sera le premier critère pour la cooptation des candidats préalablement choisis par leurs associations’’, a-t-il mis un bémol déterminatif de l’émulation qu’ils doivent avoir vis-à-vis des bantous au regard de leurs cursus scolaires, mais aussi et surtout à la faculté qu’ils se doivent désormais de cultiver dans le sens que ça les aide à prendre à la fois conscience et connaissance de l’impact des études sur le reste de leur vie.
A en croire Monsieur Lokondo, les pygmées ont foulé aux pieds la nécessité d’entreprendre des hautes études dans la mesure où ils croient que ça ne va les amener nulle part, vu la ségrégation faciale dont ils sont victimes de la part des bantous.
‘’A quoi sert pour un jeune pygmée, d’entreprendre de longues études lorsqu’il sait que sa demande d’emploi et son CV seront ‘’réservataires’’ d’une fin de non-recevoir par le bantou directeur des ressources humaines’’, s’est-il questionné ?
Voilà ce qui justifie la place permanente du jeune pygmée parmi les pousse-pousseurs, les veilleurs de nuit, les creuseurs des puits, les balayeurs des rues, les ‘’chailleurs’’ des jus…
Monsieur Wina se plaint de voir les pygmées subir jusqu’ici l’apartheid et être considérés comme des citoyens de la seconde zone ou soit des parias dont les bantous ont juste besoin des mains qui doivent travailler pour eux ou des voix qui doivent les voter aux élections.
‘’L’égalité de respect mutuelle et tous les autres droits leur sont totalement privés et méconnus, notamment le droit d’accéder à toute charge publique ou aux hautes fonctions étatiques’’, déplore-t-il avant de poursuivre le fil de sa préoccupation :
‘’Aucun pygmée n’a jusqu’ici occupé une fonction de commandement ni dans l’administration civile ou militaire, ni dans une entreprise publique, encore moins dans une institution politique’’.
En termes clairs, Wina Lokondo veut coûte que coûte voir ces pygmées, qui sont par fausse politesse appelées peuple autochtone, occuper désormais des places dans les instances de prise de décisions.
Cynthia Bovery Bongo, une congolaise de 22 ans révolus, née sur le sol belge, précisément dans la ville de Braine, est parmi les 12 candidates finalistes à l’élection Miss Africa Belgium, un concours miss unique en son genre où la beauté n’occupe pas le plus haut point dans le jugement des valeurs y recherchées par l’organisateur. Il est question en premier lieu de la présentation par chaque candidate d’un projet en lien avec un pays d’Afrique, mais aussi de leur éloquence expositive.
A en croire Cynthia Bongo, la finaliste représentera l’association Muzuri Afrika dans son pays d’origine, cas de la RDC en ce qui la concerne, mais aussi dans d’autres pays d’Afrique, en vue de venir à la rescousse des femmes veuves au Cameroun, ou d’aider à la création des maisons d’hôtes au Sénégal ou dans d’autres pays de l’Afrique. L’heureuse gagnante sera donc ambassadrice de la culture africaine dans toute sa diversité. Elle sera durant un an la porte-parole belge de la ‘’dite’’ culture africaine, avec comme mission : celle de transmettre un message de paix et de solidarité entre les peuples en Belgique et à l’étranger. Elle sera financièrement soutenue par son pays d’origine pour l’aboutissement à bon port de son projet.
‘’Mon projet porte sur une aide professionnelle des jeunes femmes en République Démocratique du Congo. Il porte sur une aide professionnelle aux jeunes femmes via trois ‘’C’’ : la culture, la couture et la cuisine. J’aurai quatre minutes pour convaincre samedi prochain, allusion faite au samedi 14 octobre à 18 heures au Cirque Royal de Bruxelles’’, parole de Cynthia Bongo qui n’a pas manqué de remercier ses fans qui l’ont soutenue via SMS :
‘’J’ai reçu énormément de soutiens y compris de la ville de Braine et du bourgmestre Maxime Dave’’, a-t-elle reconnu.
Etudiante en Marketing, Cynthia Bongo avoue que ce concours miss intelligente est loin de bouleverser ses études, condition indispensable pour ses parents qui tiennent coûte que coûte à la voir les terminer en bonne et due forme.
Il faut dire que c’est avec trois associations que travaille cette ‘’petite’’ brainoise dans son projet : Makala, une association belge qui aide à l’émancipation professionnelle des femmes en République Démocratique du Congo, Fondation Bongo du Chef cuisinier congolais Victor Bongo, sans oublier Sadisa Beto.
Le concours Miss Africa Belgium, faut-il le souligner, a été créée en 2013 à Liège par l’entremise de l’asbl Safari des Anges, et il totalise à l’heure actuelle 10 ans d’existence, sous la présidence de Steffi Munday. Safari des Anges est une association sans but lucratif qui vient au secours des enfants défavorisés en Belgique et en Afrique et qui, à l’heure actuelle, a passé le relais du concours Miss Africa Belgium à une autre asbl, en l’occurrence : Muzuri Afrika ci-haut évoquée et qui lutte en faveur de l’émancipation des femmes afro-descendantes ainsi que de la prévention des maladies sexuellement transmissibles.
Samedi 14 octobre sous expectative, le jury donnera sur place son avis qui comptera pour 50% de voix. Les discours soutenus de jeunes filles, leur éloquence ainsi que la qualité de leurs projets respectifs.
La ville de Kinshasa a vibré, le 14 avril dernier, au rythme de la 5ème édition de la grande soirée de gala de mode organisée par la plateforme ‘‘Kinshasa Mboka ya Masano’’ (KMM) à l’hôtel Sultani River. Ainsi, KMM annonce la tenue du grand show de la 5ème édition d’ici décembre. Un rendez-vous qui sera précédé par des rencontres conférencières.
«Kinshasa Mboka ya Masano», cet évènement à fort impact culturel, met en vitrine la culture congolaise, en particulier l’expérience des stylistes congolais en promouvant leurs marques et leurs nouvelles collections.
«Kinshasa Mboka ya Masano » met en avant notamment, l’innovation dans la mode congolaise. Lors du défilé de mode du samedi dernier, un accent particulier a été mis sur les créations innovantes ou des modèles qui valorisent l’environnement. Entre autres, les 450 ethnies, les 450 cultures et leurs modes. Cela, pour mettre en lumière le travail des professionnels stylistes congolais.
En plus, Kinshasa Mboka ya Masano met connexion plusieurs personnes notamment, les amoureux de la culture et de la mode, les artistes, les opérateurs économiques, les entrepreneurs, les entreprises, les autorités, etc.
En outre, il offre un espace de partage d’expression et d’affichage au déroulement de cet inoubliable rendez-vous, tout en mettant en avant les différents secteurs culturels liés à la mode.
Organisé par la Fondation Young Molato Design, gérée par Mme Lydia Nsambayi Ntumba, «Kinshasa Mboka ya Masano» est l’unique festival de mode qui unit plus de 450 diversités vestimentaires des cultures et ethnies congolaises. Coming soon !
Mes remerciements les plus patriotiques s’adressent spécialement au Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Monsieur Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, pour le sacrifice qu’il endure avec son peuple qui a beaucoup souffert pour que le changement démocratique soit une réalité et lutte pour que la paix revienne sur toute l’étendue de notre pays.
Ces remerciements s’adressent également au Commandant du Collège des Hautes Etudes de Stratégie et de Défense, CHESD en sigle, pour la discipline et le sérieux qui y règne ;
Aux Professeurs internationaux et nationaux pour la qualité des matières qu’ils nous ont dispensé afin d’obtenir d’autres connaissances scientifiques d’excellence ;
Au Professeur Evariste Boshab pour ses remarques ;
Au Professeur Jean Hervé Mbelu Biosha pour ses orientations ;
Au Professeur Adolphe Lumanu Mulenda Bwana N’sefu pour son encadrement ;
Au Directeur Général du BCeCo Mabi Mulumba pour avoir planifié le Programme de Développement Local des 145 Territoires ;
Au Directeur Général de l’OVD, l’Ingénieur Victor Tumba Tshikela pour ses conseils dans le cadre d’infrastructures ;
Aux messieurs Sele Yalaghuli et Barnabé Muakadi Muamba pour leurs contributions dans le secteur fiscal dans le cadre des recettes ;
Aux ingénieurs du secteur agricole ainsi qu’aux experts du secteur de tourisme.
*Justicia Asbl salue l'annulation des décisions de déchéance à l'encontre des entreprises minières Boss Mining et Comide L'organisation de défense des droits de l'homme salue les mesures prises par le gouvernement congolais pour protéger l'intérêt communautaire