Dans le cadre du renforcement des relations diplomatiques entre la République démocratique du Congo (RDC) et la Corée du Sud, l'Ambassade de la République de Corée a organisé, avec succès, la 4ème édition du Forum des Jeunes à Kinshasa. Cet événement, soutenu par la Fondation Corée-Afrique, s'est déroulé les 4 et 5 octobre 2023 au Musée National de la RDC, en présence des élèves du Groupe Scolaire Aurore et du Complexe Scolaire Les Loupiots.
Plus de soixante élèves, accompagnés de leurs encadreurs, ont participé activement aux activités du Forum des Jeunes. Les deux journées ont débuté par une visite du musée, suivie d'un discours de l'Ambassadeur de la République de Corée, S.E.M. Cho Jaichel. Dans son mot de circonstance, l'Ambassadeur a souligné l'importance de l'ouverture au monde pour les jeunes et le rôle crucial qu'ils jouent dans le développement de leur pays.
Au cours des séances de jeux, les élèves ont été mis au défi de répondre à des questions sur la Corée en utilisant leurs connaissances générales et les informations fournies dans les vidéos projetées. De plus, les jeunes ont eu l'opportunité d'explorer la calligraphie de l'écriture coréenne ainsi que la pratique des instruments de musique traditionnels coréens. Ces activités ont suscité l'enthousiasme des élèves qui ont été récompensés pour leurs performances.
L'Ambassadeur Cho a également encouragé les élèves à tirer parti des différences culturelles entre les peuples et à développer leur curiosité pour enrichir leurs compétences et atteindre leurs rêves. Il a souligné le rôle important des jeunes dans le renforcement des liens diplomatiques entre la RDC et la Corée du Sud, soulignant le potentiel de la RDC et l'importance de la coopération entre les deux pays.
L'Ambassadeur a également mis en valeur la culture coréenne, soulignant l'importance de l'éducation et de la culture dans le développement de la Corée du Sud. Il a mentionné des exemples tels que la création de la première impression aux caractères métalliques et l'émergence de la K-Pop, des séries télé coréennes et du K-movie. Ces éléments culturels ont suscité un sentiment de fierté parmi les élèves congolais.
En conclusion de l'événement, les élèves ont reçu des cadeaux individuels en reconnaissance de leur participation active. Ils ont également eu l'occasion de prendre une photo de groupe avec l'Ambassadeur et ont quitté la salle polyvalente du Musée National de la RDC après avoir savouré les mets coréens qui leur ont été proposés.
Cette 4ème édition du Forum des Jeunes marque une étape importante dans le renforcement des liens diplomatiques entre la RDC et la Corée du Sud. En favorisant l'échange culturel et en encourageant les jeunes congolais à s'ouvrir au monde, cet événement contribue au développement du pays et à la consolidation des relations entre les deux gouvernements et peuples. L'Ambassade de la République de Corée continuera de soutenir les initiatives favorisant le développement et la prospérité de la RDC, tout en valorisant la rumba congolaise et d'autres aspects de la culture congolaise. Ensemble, ces efforts renforceront la coopération entre les deux pays et ouvriront de nouvelles opportunités pour les jeunes congolais.
Associé au Centre Hospitalier Monkole, l’Institut Supérieur en Sciences Infirmières, « ISSI » en sigle, met à la disposition du public sa large expertise prête à former la jeunesse congolaise et du monde à la spécialisation de poigne en Sciences Infirmières. En son sein, il est fixé un programme d’études classique systématisé en Licence et Master ainsi que des formations continues conditionnées et gratuites. Ce complexe scientifique se situe sur l’avenue Ngafani n°4804, dans la commune de Mont-Ngafula, à Kinshasa.
Programme classique
D’une part, il est repris une Licence en Sciences Infirmières qui cible principalement les diplômés d’Etat ou infirmières du niveau A2. Sa durée est de 4 ans de formation intense par des experts scientifiques.
De l’autre, il est prévu un Master en Administration des Programmes de Santé, d’une durée de 2 ans, et ciblant les infirmiers gradués avec 6 mois de préparatoire obligatoire, et licenciés en LMD sans besoin de préparatoire.
Formations continues
Pour ce qui est de la première, il s’agit d’une formation continue relative à la passerelle de conversion infirmière à sage-femme. D’une durée de 18 mois, elle cible les infirmières accoucheuses et infirmières graduées.
Ensuite, elle s’attelle sur des soins infirmiers en réanimation, ciblant les infirmiers travaillant en services de réanimation et/ou urgences, et couvrant d’une durée d’un an.
La troisième formation concerne l’hygiène hospitalière, ciblant les médecins, pharmaciens, infirmiers ayant une implication actuelle ou future dans la lutte contre les infections, et d’une durée de 6 mois.
Enfin, la quatrième et dernière formation continue en ligne traite de la question « Nurses e-learning », ciblant tout le monde, et d’une durée illimitée. Sa particularité est d’une participation totalement gratuite, tandis que les autres sont conditionnées.
Contacts
Téléphone : +243 811 917 722, +243 999 910 856.
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Dans le cadre de sa rentrée culturelle Vova Théâtre, une structure théâtrale de la place, s'est fait le plaisir de présenter une lecture théâtrale dénommée "Les morts ne peuvent mourir" de Merdi Mukore, le samedi 23 septembre dernier, à l'espace Plateforme Contemporaine, au quartier Beau-Marché - dans la commune de Barumbu. Une lecture qui a été finement exécutée par Salomon Okitango, Melissa Lupola et Aaron Lukamba qui, du reste, est le fondateur de Vova Théâtre.
Il était question, dans cette œuvre, de l'histoire d'un Chef politique, ex. président d'un pays, qui nourrissait l'ambition de revenir aux affaires, peu importe le prix qu'il pourrait en coûter. Une œuvre au travers de laquelle ces artistes ont soulevé beaucoup de problématiques qui se rapportent à la culture des processus électoraux dans les pays d'Afrique subsaharienne. Une thématique qui devrait pousser d'aucuns à davantage réfléchir sur comment améliorer la culture électorale dans nos pays.
Il y a lieu, par ailleurs, de souligner que Vova Théâtre est une structure théâtrale créée par Aaron Lukamba, acteur - artiste comédien et dramaturge congolais, qui est basée à Kinshasa. De son nom Vova qui veut dire "parler" et Théâtre "représentation", cette structure, à l'instar des instances de palabre africain, s'est donnée la vocation d'être un cadre qui fait écho lorsque se présente la nécessité de tabler - régler ou dénoncer des problèmes sociétaux en vue d'une résolution de ces derniers. Aaron Lukamba, Président de la structure, a promis, lors d'une interview, qu'un autre projet était en cours de préparation dans les cuisines de Vova Théâtre, et que ce dernier pourrait être dévoilé d'ici le mois de décembre prochain. Une initiative qui, de plus bel, place l'art face à ses responsabilités sociétales.
Mme Safia Ibrahim, Directeur de l’AFD et B. AUBERT, Ambassadeur de France en RDC
L’Agence Française de Développement (AFD) dispose désormais de ses propres installations en République Démocratique du Congo, indique un communiqué de l’Ambassade de France en RDC. La cérémonie officielle d’inauguration des locaux du Groupe AFD est intervenue le 2 septembre dernier à Kinshasa, en présence de quelques membres du gouvernement de la République, de nombreuses personnalités politiques et partenaires ainsi que de l’Ambassadeur de France en RDC, du Directeur Régional Afrique Centrale de l’AFD et de la Directrice de l’Agence en RDC.
Cet évènement a été marqué par quelques discours prononcés par les diplomates français et les autorités congolaises qui ont martelé sur l’impact de la coopération entre Paris et Kinshasa.
Pour la Directrice de l’Agence en RDC, c’est une grande fierté de voir les équipes évoluées dans un environnement de qualité.
«Cette acquisition est le témoignage de notre confiance dans le pays et dans ses institutions. Ces bureaux installés dans l’immeuble dénommé Park Tower permettent d’accueillir les agents de l’AFD et de Proparco. Notre filiale Expertise France est également installée dans cet immeuble », a déclaré Safia Ibrahim.
Et d’ajouter : «En réunissant sur le même site l’ensemble de nos instruments opérationnels, à la fois financiers et techniques, notre volonté est d’inscrire notre action dans la dynamique tournée vers les résultats aux bénéfices des plus fragiles conformément aux engagements entre les Présidents Félix Tshisekedi Tshilombo et Emmanuel Macron ».
De son côté, l’Ambassadeur de France en RDC a salué l’initiative de l’AFD qui renseigne l’engagement de son pays à accompagner le Congo-Kinshasa dans ses aspirations pour le développement.
«Je me réjouis de l’installation de notre opérateur financier et technique qu’est le Groupe AFD en RDC dans un environnement professionnel et accueillant dans l’intérêt de nos bénéficiaires congolais », a soutenu Bruno AUBERT.
Par ailleurs, le Ministre des Finances a pris la parole au nom du gouvernement congolais.
Pour Nicolas Kazadi, cette acquisition témoigne de l’excellente relation entre la RDC et la France via le Groupe AFD. «Elle démontre également le dynamisme et le chemin parcouru par le Groupe AFD depuis la signature le 6 décembre 2021 du protocole d’entente qui précise une mobilisation de 500 millions d’euros par l’AFD d’ici 2025 entre M. Rémy Rioux, Directeur Général de l’AFD, et moi-même, en présence de son excellence M. Félix Tshisekedi Tshilombo, Président de la République démocratique du Congo », a-t-il affirmé.
Il faut noter que le Groupe AFD accompagne la RDC depuis plusieurs décennies dans la mise en œuvre de ses programmes prioritaires de développement et a fortement accru son soutien suite à ce ‘‘protocole d’entente pour un partenariat stratégique en matière de croissance durable et inclusive’’. Le protocole fixe la trajectoire d’engagements financiers du groupe AFD en RDC.
Raison pour laquelle, l’AFD a formalisé en mai 2022 un accord d’établissement avec le Ministre des Finances de la RDC et a ouvert une cellule d’appui mutualisé (CAM) à Kinshasa début 2023.
Il s’agit d’un engagement signé entre l’AFD et le gouvernement congolais dans le but de contribuer au financement des secteurs prioritaires conjointement définis tels que l’énergie, l’éducation, les enjeux urbains, la santé, l’agriculture, l’autonomisation des femmes, le climat ou encore l’appui au secteur privé.
À ce jour, cet objectif est atteint à hauteur de 46% avec 232 M€ engagés depuis la signature du Protocole.
Pour accompagner cette croissance d’activité, l’AFD a fait l’acquisition de nouveaux locaux qui accueille déjà les équipes d’Expertise France et plusieurs Ambassades et bientôt la délégation de l’Union européenne. L’idéal est également de concrétiser l’approche groupe de l’AFD et sa stratégie partenariale.
Donc, cette acquisition témoigne de la volonté d’ancrage du Groupe AFD et sa confiance dans l’attractivité du Pays.
Ces bureaux accueillent les agents de l’AFD et de Proparco, Expertise France qui est également installée dans l’immeuble. Proparco, renseigne-t-on, est une filiale dédiée au financement du secteur privé qui intervient en RDC sur financements de l’AFD, de l’Union européenne et du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères.
Programmes prioritaires de développement
Pour rappel, les domaines prioritaires de coopération entre la République démocratique du Congo et l’AFD sont :
- l’amélioration de l’accès de la population aux services essentiels ;
- la valorisation du capital humain et la contribution pour un développement territorial et économique équitable;
- la protection et la valorisation du capital naturel ;
- la mise en place des jeunes et des femmes au cœur du développement du pays ;
- le renforcement des rôles, capacités et moyens des Institutions ;
Cette coopération a comme objectifs transversaux : la lutte contre les inégalités et les vulnérabilités du monde vivant ainsi que la promotion d’une trajectoire en adéquation avec l’Accord de Paris sur le climat.
Le centre d'apprentissage de langue New Hope College annonce l'ouverture de sa dernière session d'apprentissage d'anglais pour l'année 2023 en date du 23 octobre prochain, dans l'enceinte du complexe Silikin Village. Cela fait maintenant 4 ans que l'école de langues New Hope College enseigne la langue anglaise, avec à son actif des centaines d'apprenants au centre - plusieurs cadres et agents formés en entreprise ainsi que plusieurs personnes encadrées à domicile.
Des prestations sur mesure, ayant permis à cette école de formation en anglais à gravir les échelons et à se positionner comme l'une des meilleures dans ce domaine à Kinshasa, capitale congolaise.
Cet établissement est né à l'initiative de Christian Biaya K., Professeur d'anglais - Activiste social et environnemental et économiste, qui le dirige d'une main de fer. Entre les cours dispensés, le cadre de rencontre et de réseautage, et le programme d'échange du club d'anglais ouvert à tous, qui reçoit des experts de différents domaines pour s'entretenir avec les apprenants sous la grande thématique intitulée TellUsMore : New Hope College fait chaque jour ses preuves et continue d'accueillir de plus en plus d'apprenants de différents secteurs de la société.
Les inscriptions pour la prochaine session se font au travers du numéro +243 894 700 007, et elles sont gratuites moyennant le paiement des frais des cours qui s'élèvent à 160 dollars américains par niveau, dans un contexte où chaque niveau dure 8 semaines d'enseignement et d'entraînement.
Retrouvez le long de cet article, quelques visuels renseignant sur la prochaine session de formation et une série de témoignages partagés par des apprenants passés à New Hope College. Quand comptez-vous apprendre l’anglais ?
Directeur Général de l’Office des Routes, Jeanneau Kikangala a effectué une grande tournée d’inspection des travaux de construction, réhabilitation et modernisation entrepris, il y a peu, dans l’espace Grand Katanga. Tour à tour, il s’est rendu au site historique de l’assassinat du Héros National Patrice-Emery Lumumba dans le cadre de la construction d’une route reliant Lubumbashi-Shilatembo. Il a inspecté les travaux de réhabilitation en terre battue et d'entretien de la route Nationale n°35, avant de visiter les unités de la Direction Provinciale de l’Office des Routes/Haut-Katanga et réconforté son personnel. Pour finir, il a inspecté les chantiers en cours dans la province du Lualaba. Dans cet article, retour en détails sur cette tournée inscrite dans le cadre de la mission officielle du Chef de l’Etat dans cet espace et traduisant la matérialisation de sa vision dans ce secteur.
Calvaire conjugué au passé…
Au village de Shilatembo, le mercredi 4 octobre 2023, le DG Jeanneau Kikangala a salué le savoir-faire de la Direction Provinciale de l’Office des Routes qui a permis de gagner le pari de défricher la brousse en vue de la construction d'une route en terre battue sur l'axe allant de Lubumbashi à ce site historique. Un travail de qualité qui a gardé la route en l'état une année après les travaux.
Accompagné de l'Administrateur du site, du Directeur provincial du Haut-Katanga et du Directeur de chaussée, le Premier des génies civils a été satisfait de la qualité du travail abattu par les ingénieurs du bras droit du Gouvernement en matière d'infrastructures routières.
Car, outre la construction de la chaussée, l'office des Routes Haut-Katanga avait facilité la tâche au gouvernement pour rendre viable le lieu du martyre du premier héros national congolais.
Patriote inscrit dans la vision du Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui a ramené les reliques du tout premier Premier ministre congolais et lui a offert enfin des funérailles à la hauteur de son combat pour l'indépendance de la RDC, il a visité le site Lumumba et a suivi le récit des événements de la nuit funeste du 17 janvier 1961 de la bouche du petit fils du témoin oculaire de l'assassinat de Lumumba.
Concevoir, construire et entretenir les routes et autres ouvrages de génie civil telles sont les missions de l'Office des Routes, et son Directeur Général s'est réjoui de la qualité des travaux effectués dans le Haut-Katanga pour matérialiser la vision du Chef de l'Etat.
La Nationale n°35 en phase de réhabilitation
Longtemps restée dans un état de délabrement très avancé, la route nationale numéro 35 reliant la ville de Lubumbashi à la cité de Kasenga refait finalement peau neuve.
Ce travail a été abattu en un temps record grâce au dynamisme avéré du n°1 de l'Office des routes qui ne ménage aucun effort pour traduire en acte la vision clairvoyante du Président de la République, Chef de l'Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cet axe routier d'intérêt national et régional a vocation de faciliter des échanges commerciaux importants entre la RDC et la Zambie, en particulier pour la communauté Lushoise.
En marge de son séjour à Lubumbashi, le DG Jeanneau Kikangala a profité pour admirer le travail de titan qu'abat l'Office des Routes dans ce coin du pays. Longue de 94 km, cette route relie les territoires de Kasomeno, Kasenga et Chalwe.
Pour la circonstance, il s’est révélé visiblement très satisfait du travail réalisé sur terrain par l'Office des Routes qui ont permis au Chef de l'Etat, en provenance de Lubumbashi, d'atteindre le site de la cérémonie de lancement des travaux de construction du pont Chalwe sur la rivière Luapula.
Les travaux d'asphaltage dudit axe routier seront réalisés dans le cadre d'un contrat de concession signé entre la RDC et la société GED. Il s'agit des assurances données par le premier génie civil de l'Office des routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy à Lubumbashi.
En effet, le projet de construction de la route Kasomeno - Kasenga - Chalwe - Mwenda est une alternative à la sortie de la RDC par Kasumbalesa pour la Zambie. Il revêt, à ce titre, une importante capitale dans le cadre de la mise en œuvre de la vision du Président de la République qui place la question du désenclavement de la RDC au centre de sa politique.
Visite d’inspection et de réconfort
Lors de cette tournée, Jeanneau Kikanga a également visité toutes les unités de la Direction Provinciale 610 de l'Office des Routes Haut-Katanga. Son périple a débuté par le centre médical qui prend en charge la santé des agents et de leurs familles.
Ensuite, il s'est rendu au centre de formation de l'office des routes. Le Directeur Général s'est soigneusement entretenu avec le chef de centre qui lui a fait l'état des lieux du centre. Le numéro Un de l’Office, de son côté, a donné certaines orientations pour rendre très performant le centre et faire face aux défis de l'évolution technologique.
Le laboratoire national a été la troisième unité visitée. Le Numéro 1 de l'office des routes a apprécié l'infrastructure. Il a rappelé la responsabilité qui incombe aux laborantins quant à la durée de vie des routes sur base de leurs études. Toujours inscrit dans la vision du Chef de l'Etat qui milite pour l'égalité des genres, le DG de l’Office des Routes a salué et encouragé les femmes ingénieurs qui évoluent au sein de cette structure. Le centre matériel et la brigade ont été le point de chute de cette visite, pour le moins surprise et galvanisante pour le personnel des unités de l'office des routes Haut-Katanga.
A la Brigade, il a relevé aux gestionnaires les défis qui sont les leurs en mettant l'accent sur la mise à jour des connaissances au regard des défis qui attendent l'office des routes, un service qui fait partie des priorités du Chef de l'Etat qui prône le développement à la base.
Dans la foulée, il a réconforté le personnel de la Direction de l'Office des Routes Haut-Katanga. Il s'est dit satisfait du travail qu'abat le personnel de l'Office des Routes sur place. L'Office des Routes exécute en ce moment plusieurs projets dans la province du Haut-Katanga dans le cadre du programme de développement de 145 territoires dans son volet réhabilitation et construction des routes ainsi que des ponts modulaires.
Le premier génie civil de l'Office des routes Jeanneau Kikangala Ngoy a promis à la direction de l'Office des Routes Haut-Katanga l'arrivée des matériels nécessaires des travaux publics (génie civile), grâce notamment à l'appui du Gouvernement congolais, qui tient coûte que coûte à rendre palpables les traces indélébiles du premier quinquennat du chef de l’Etat Félix Tshisekedi.
« Le Gouvernement central est en train de nous équiper en matériels de génie civile que nous allons ensuite remettre aux différentes directions de l'Office des Routes à travers le pays », disait-il. Cela permettra aux différentes directions de l'Office des Routes de bien remplir leurs tâches.
Manager avisé et bon père de famille, le Numéro 1 a réuni les agents et cadres. Le DG Jeanneau Kikangala les a encouragé à bien cultiver l'esprit de qualité et d'excellence pour soutenir la vision du Chef de l'Etat.
Chantiers du Lualaba
Il était encore sur terrain dans la ville de Kolwezi, Chef-lieu de la province du Lualaba, jeudi 5 octobre dernier.
Il a débuté sa visite d'inspection des chantiers au quartier Lupundu dans la commune de Manika. La brigade 625 de l'Office des Routes Lualaba y effectue le traitement de l'érosion Lupundu. L'opinion publique garde encore le souvenir de cette érosion qui avait avalé toute une chaussée et menaçait d'engloutir beaucoup de maisons pendant la saison pluvieuse.
Aujourd'hui, grâce à la technicité de l'Office des Routes, les têtes d'érosion ont disparu et sont totalement remblayés au grand bonheur des riverains.
Ce travail intense débuté depuis le mois d'avril est à l'étape de la construction des drains. Et le Directeur Général de l'Office des Routes a encouragé la Gouverneure intérimaire à poursuivre le financement des travaux.
Homme de terrain, il s'est rendu sur l'avenue Dilolo dans la même commune où l'office des routes Lualaba pose de buses toujours pour combattre les têtes d'érosion.
Bien avant la visite des chantiers, il a visité le siège de la Direction Provinciale de l'Office des Routes Lualaba pour palper les réalités et les conditions de travail du personnel.
La vie d'un homme se mesure à l'impact qu'il laisse derrière lui." Cette citation résonne particulièrement en cette journée sombre où la RD. Congo se rassemble pour pleurer la disparition de Me Placide Yoko Yakembe, un grand homme dont la vie fut un témoignage éloquent de courage, d'intégrité et de dévouement envers son pays. Né en 1939 à Tshofa, dans le territoire de Lubao, province de Lomami, Me Yoko Yakembe a suivi une trajectoire académique exceptionnelle, obtenant plusieurs diplômes en droit et en relations internationales à l'Université de Paris et à l'Université de Dijon. Sa recherche perpétuelle du savoir et sa passion pour la justice l'ont amené à devenir l'un des avocats les plus respectés et influents du pays.
Sa carrière brillante a été jalonnée d'expériences professionnelles variées, allant de son rôle de consultant pour la réforme institutionnelle à son engagement dans l'enseignement supérieur en tant que professeur à la Faculté de Droit de l'Université de Kinshasa. Me Yoko Yakembe a également servi son pays dans plusieurs cabinets ministériels notamment, en tant que Ministre de la Justice et des Réformes Institutionnelles en 1991, laissant une marque indélébile dans l'histoire du Congo.
Mais, au-delà de ses accomplissements professionnels, c'est l'homme derrière le costume qui mérite d'être salué. Me Placide Yoko Yakembe était connu pour son humilité et sa simplicité, s'efforçant toujours de mettre les autres avant lui-même. Son dévouement envers la cause de la justice et de l'égalité était sans équivoque, et il était prêt à affronter toutes les difficultés pour défendre les principes auxquels il croyait ardemment.
Sa disparition laisse un vide profond dans le cœur de ses proches, mais son héritage continuera de briller à travers les nombreuses personnes qu'il a influencées positivement. "Un homme bon laisse une empreinte qui ne peut jamais être effacée", dit un proverbe congolais, et cela est particulièrement vrai pour Me Placide Yoko Yakembe.
Les obsèques de Me. Yoko Yakembe ont été un moment de recueillement et de commémoration de toute une vie dédiée au service du peuple congolais. La veillée mortuaire, tenue au Palais du Peuple, a été ponctuée de moments de témoignages poignants de la famille, des collègues et des amis du défunt. Les éloges ont afflué, chaque personne soulignant le caractère exceptionnel de Me Yoko Yakembe et la marque indélébile qu'il a laissée sur leur vie.
Lors de l'audience solennelle à la Cour d'Appel de Kinshasa/Gombe, les hommages rendus à Me Yoko Yakembe ont souligné son rôle en tant qu'avocat intrépide et défenseur des droits de l'homme. Sa connaissance juridique inégalée et sa passion pour la vérité ont fait de lui une figure respectée et admirée dans la communauté juridique congolaise.
La séance académique qui a suivi a permis à de nombreux étudiants et collègues de Me Yoko Yakembe de rendre hommage à un mentor et à un guide qui les a inspirés tout au long de leur parcours. Les hommages étaient empreints d'émotion, chacun soulignant l'impact durable que Me Yoko Yakembe a eu sur leur vie et leur carrière.
Enfin, la cérémonie parlementaire au Palais du Peuple a été un moment solennel où les différentes institutions de l'État ont rendu hommage à ce grand homme d'État qui a consacré sa vie au service de la nation congolaise. Les discours prononcés lors de cette occasion ont souligné l'importance de l'héritage de Me Yoko Yakembe et l'importance pour les générations futures de s'inspirer de son engagement indéfectible envers la justice et la démocratie.
Ainsi, nous disons adieux à Me Placide Yoko Yakembe, un homme dont la vie a été un exemple de dévouement, de principe et de compassion. Comme le dit un proverbe congolais, "la mort ne peut effacer les traces d'un grand homme". Son héritage restera vivant dans le cœur de tous les Congolais, et il continuera d'inspirer les générations futures à poursuivre le combat pour une République démocratique du Congo juste, équitable et prospère.
"Au-revoir, cher Placide Yoko Yakembe. Tu as combattu le bon combat, tu as terminé ta course, tu as gardé la foi. Que ton âme repose en paix."
TEXTES : Ezekiel 18, 25-28; Psaumes 24; Philippiens 2,1-11; Matthieu 21, 28-32 Méditation Mes frères, mes sœurs, Le dire ne suffit pas, il faut la volonté et les dispositions de s'y conformer, la décision d'obéir au Seigneur. Le Chrétien doit imiter le Christ en obéissant à Dieu tous les jours de sa vie. Pour cela, il faut chaque jour chercher à plaire au Seigneur, toujours progresser dans le bien, refuser tout mal et opter pour le bien. Celui qui cherche le bien et obéit au Seigneur sera sauvé et recevra la miséricorde de Dieu. Demandons la Grâce de la repentance et d'être à l'image du Christ qui chaque jour, a obéi au Père. Disposons-nous à marcher en présence du Seigneur dans la Lumière et dans la Vérité. Père Matthieu Ngongo Yezu
*La RD. Congo pleure aujourd'hui l'un des ses plus grands fils, le Grand Avocat Jean Placide Yoko Yakembe décédé ce samedi 30 septembre 2023 à l'âge de 84 ans. Sa vie d'exception témoigne en un mot comme en mille, sa volonté inébranlable à servir son pays et à défendre la justice et la dignité humaine qui, littéralement, auront été des valeurs ayant marqué chaque étape de son parcours professionnel et personnel.
Miteko Kapenga Stanis, l’Initiateur de la FOMIKAS La vision d'un homme selon le cœur de Dieu pour transformer sa communauté *Lubao, un territoire riche en potentiel et en ressources, a longtemps attendu un leader visionnaire pour stimuler son développement et réaliser son plein potentiel. Cet homme providentiel, Miteko Kapenga Stanis, se présente comme un choix divin, un David moderne, prêt à affronter les défis et à conduire sa communauté vers un avenir meilleur. La Fondation Miteko Kapenga Stanis, FOMIKAS en sigle, dirigée par cet homme d'exception qui incarne l'espoir et la détermination nécessaires pour transformer Lubao en un modèle de progrès et de prospérité. Inspiré par le principe biblique "apprends-moi à pêcher", il met ainsi l'accent tout particulier sur l'autonomisation des habitants de Lubao, en leur fournissant des outils et ressources nécessaires afin qu’ils deviennent rapidement des rapidement de leur propre développement. Son approche novatrice consiste, en effet, à encourager l'éducation, la formation professionnelle et l'entrepreneuriat local, afin de créer des opportunités économiques durables pour les habitants de Lubao. En s'appuyant sur les richesses naturelles de ce grand territoire, Miteko Kapenga Stanis vise, à l’en croire, à stimuler l'agriculture, l'industrie et le tourisme, en créant ainsi des emplois et améliorant les conditions de vie de la population. La vision de Miteko Kapenga Stanis pour Lubao s’inscrit dans celle du Président national de l'UDPS, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui reconnaît en lui, toutes les caractéristiques d’un partenaire précieux pour la mise en œuvre du projet de société de ce parti phare dans cette partie du pays. Cette collaboration témoigne, une fois de plus, la confiance accordée à Miteko Kapenga Stanis et la reconnaissance de son leadership exceptionnel. A travers ses actions concrètes et son engagement sans faille, il incarne les qualités d'un leader inspirant et charismatique. Son dévouement envers le peuple de Lubao est évident dans chaque initiative qu'il entreprend. Sa capacité à mobiliser et à unir les communautés autour d'un objectif commun est un exemple à suivre pour tous les leaders congolais. Il est bien plus qu'un simple homme politique. Il est un visionnaire, un bâtisseur et un catalyseur du développement pour Lubao. Grâce à sa fondation et à son leadership inspirant, il ouvre la voie à un avenir prometteur pour cette région autrefois négligée. Le Congo a besoin des leaders, tels que Miteko Kapenga Stanis, qui mettent le peuple au premier plan et œuvrent pour son changement positif et durable. Célestin Lubo