La conférence des délégués de l'église évangélique de la vision chrétienne (EEVIC) a touché à sa fin. A cet effet, le révérend apôtre Crispin Kalombo, le visionnaire de l'EEVIC, a félicité les délégués pour le travail abattu pendant les 25 ans d'existence de l'EEVIC. D'ailleurs, il a exhorté tous les participants de ce forum à ne pas se conformer au siècle présent mais, à vivre selon la volonté de Dieu. Selon lui, la volonté repose sur l’amour et de la paix en Christ.
"Je suis heureux comme Siméon’’. C'est comme si je pouvais dire, "Seigneur laisse-moi partir en paix". Parce que j'ai vu ton salut. Quand je vous vois, je vois l'église ressuscitée", a dit le serviteur de Dieu Crispin Kalombo.
Pour montrer sa joie envers ses fidèles, le visionnaire de l'EEVIC a rappelé aux conférenciers que, tous les efforts qu'ils ont conjugués pendant 25 ans, sont couronnés aujourd'hui. Il a cependant demandé à l'Assemblée de se mettre au travail et avant de les exhorter à ne pas se laisser distraire par de propos malveillants de ceux qu'ils ne veulent pas que cette communauté existe.
« Vous voyez les gens de Mbuji-mayi qui viennent de défiler ici, ils sont restés dans ce que le Seigneur a déclaré par le prophète Zacharie : ‘’On va frapper les pasteurs pour que les brebis se dispersent’’. Et de poursuivre : « Je veux dire à la conférence des délégués que nos amis là, qui ont demandé qu'on organise l'assemblée générale. Ce n'était pas mon idée ! Maintenant, j'accepte, ils ne veulent pas venir... ».
Enfin, Il a appelé tous les participants de ces assises à nouer de relations avec les frères et sœurs et de mener une vie qui plaît à Dieu pour que ce monde soit totalement changé. Pour terminer, Crispin Kalombo a enseigné les délégués à ne pas imiter le mal mais à surmonter le mal par le bien.
Le gouvernement central de la RDC a conjointement en parfaite collaboration avec l'exécutif provincial du Lualaba débloqués 320.000 USD, somme destinée à la construction du pont Ruuj qui s'est effondré depuis le mois d'avril dernier sur la nationale numéro 39, privant ainsi aux populations vulnérables du territoire de Kapanga de plusieurs biens commerciaux importés et à la ville de Kolwezi, les produits champêtres provenant dudit territoire. L'Office des Routes a été désigné par le pouvoir central pour exécuter les travaux de construction du pont sur la rivière Ruuj dans le territoire de Kapanga. Ces travaux qui ont commencé, il y a quelques jours, pourront prendre fin dans 21 jours, selon le Maître d'ouvrage : "l'Office des routes". Selon les informations parvenues à la rédaction de Bmnews.cd, ce pont a été jeté depuis des années. Il est normal qu'il se coupe. C'est depuis avril dernier, ce pont jeté sur la rivière qui sépare la ville de Kolwezi au territoire de Kapanga ruuj est tombé dans l'eau. Selon Richard Mukanz, le Secrétaire Rapporteur du Conseil territorial de la jeunesse de Kapanga, avait appelé les autorités centrales et provinciales à agir le plutôt que possible. Avant de préciser :" Nous souffrons aujourd'hui. Les populations vulnérables peinent à traverser la rivière suite à cette situation déplorable. Comment nos femmes et nos enfants peuvent manger du poisson fumé ? le riz importé ? Et, même, les produits importés qui viennent de l'Angola passent par Dilolo -Kokwezi puis Kapanga ? Actuellement, un savon sonas est payé à 3000 FC, la traversée d'une moto sur cette rivière se négocie à 10000fc. Aucun Député ne dit mot. C'est déplorable. Que les autorités agissent rapidement pour trouver une issue". C'est grâce notamment, au lobbying de plusieurs acteurs de la société civile, politiques et des différents mouvements qu'un plan aboutissant à l'exécution des travaux de réhabilitation du pont sur la rivière Ruuj ont été entamés. Il y a lieu de retenir que plusieurs ponts sur la nationale numéro 39 dans les territoires de Kapanga et Lubudi sont signalés en état de délabrement très avancé et d'autres sont coupés en deux, empêchant ainsi la circulation des produits vivriers et agricoles dans les milieux ruraux et urbains et, occasionnant, en même temps, une crise alimentaire et économique dans cette province. Christy Ilunga/CP
La pénurie d’eau, de l’électricité et des routes constituent des défis majeurs auxquels ne cesse de faire face la population kinoise. A cet effet, dans certains milieux visités par les reporters du quotidien La Prospérité, il n’y avait qu’un seul langage de la part de la population : celui de voir ce spectre qui rend si difficile la vie pouvoir prendre fin. D’après certaines personnes approchées à ce sujet, la carence de courant, l’eau et des routes pour une bonne circulation favorisent l’insécurité, tant la nuit que le jour et augmente, malheureusement, le phénomène « Kuluna» dans la capitale congolaise. Pour plusieurs, en ce qui concerne le problème d’électricité, la mauvaise installation des câbles électrique en est la cause. Ainsi constaté, ils demandent à la SNEL de ‘’revoir ses installations pour pouvoir alimenter les quartiers et communes comme il se doit’’. Pour ce qui est de la pénurie d’eau, en particulier les habitants de la commune de Mont-Ngafula, estimés comme les plus vulnérables, crient au secours des autorités. A les entendre, plusieurs quartiers de cette commune utilisent l’eau des pluies et des forages pour survivre. «Qui dit forage, dit électricité. Alors que chez nous ici, nous vivons sans l’électricité ; nous habitants nous nous retrouvons dépourvus d’eau, voilà la calamité », a indiqué un interviewé. Par ailleurs, pour ce qui est des routes, selon les personnes questionnées, le nombre ‘’insuffisant’’ des routes dûment bitumées est la cause première des embouteillages dans la ville de Kinshasa. Cependant, selon eux, le fait que plusieurs véhicules soient obligés de se retrouver sur le même chemin, sans le moindre respect du code de la route, crée des embouteillages. Ils mentionnent également la dégradation des routes comme l’une des causes des embouteillages qui du reste crée des accidents. La population propose, de ce fait, au gouvernement d’aménager des routes secondaires qui pourront permettre une bonne circulation. Grâce Mongo
A Selembao, l’une des 24 communes de la Ville-province de Kinshasa, la population vit dans le noir depuis un bon temps. Ce phénomène est dû au déficit de la fourniture du courant électrique stable. Là-bas, le courant part en intermittence. Face à cette situation déplorable, les résidants du quartier Ngafani, l’un des quartiers de cette commune, lèvent le ton pour lancer un cri d’alarme aux autorités de la SNEL, pour l’amélioration de ce dommage qui dérange dans ce coin. Durant quelques jours des jeux de la francophonie, une nette amélioration de l’électricité fut observée par les habitants du quartier Ngafani. Nombreux sont ceux qui pensent que, cette amélioration n’était que temporaire, vu la localisation de la commune d’avec certains sites des jeux. D’après différents témoignages de certains habitants du quartier, la SNEL venait d’installer, récemment dans des avenues, le système de « courant prépayé », les assurant qu’ils n’auront plus de problème de coupure d’électricité, aussi longtemps qu’ils seront en ordre de paiement de leurs factures et ne connaitront pas le délestage. Ce qui, à les en croire, n’est nullement le cas. Ces habitants pensent que cette raison avancée par la SNEL est une ‘’démagogie. Ils affirment qu’avec ce qu’ils vivent, c’est tout le contraire. « Installé sans avoir duré ce système de prépaiement, revoilà notre quartier reconduit dans l’ancienne habitude de manque d’électricité permanente », déplorait M. Ntondo, habitant du quartier Ngafani. Les avenues n’ayant pas bénéficié de ce système, selon eux, sont obligées d’avoir plus de deux lignes d’électricité pour avoir du courant ne serait-ce que 4 à 5 fois la semaine. En somme, le quartier Ngafani exige un suivi permanent de la part des autorités de la SNEL. Ils veulent à ce qu’il y’ait une gestion raisonnable sur la distribution régulière et constante de l’électricité. Emmanuella Mapendo De Mutuza
Le groupe hôtelier Hilton vient d'ouvrir, ce samedi à Kinshasa, son premier hôtel du même label. Il a été inauguré en fin de journée par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, en présence du premier Ministre Sama Lukonde, de son propriétaire Harish Jagtani et de plusieurs personnalités triées sur le volet. Situé au centre d'affaires de la commune de Gombe, Hilton Kinshasa compte 178 chambres dont 13 suites, 11 salles des réunions, 2 restaurants, 3 bars, 1 piscine et autres espaces répondant au standing international de cette prestigieuse chaîne d'hôtellerie. Propriété de l'homme d'affaires indien Harish Jagtani à travers son entreprise modern construction, l'hôtel Hilton Kinshasa offre à ses clients tout le confort et sécurité exigés par la marque, avec une vue panoramique du majestueux Fleuve Congo. « Nous célébrons aujourd'hui le développement économique de Kinshasa et l'ouverture de nouvelles opportunités pour les habitants et les visiteurs de cette ville magnifique », a déclaré devant le Chef de l'Etat, le Directeur général Marc Frère. Pour ce dernier, « l'ouverture de cet hôtel représente également un pas en avant pour notre économie et notre communauté ». Ce projet a créé plus de 350 emplois directs et 500 indirects, a précisé Monsieur Frère. L'équipe managériale considère cet hôtel de 14 étages comme le plus beau, le plus moderne et le plus sécurisé de la sous-région d'Afrique Centrale. L'hôtel Hilton Kinshasa vient s'ajouter à la série d'investissements de Monsieur Harish Jagtani en République Démocratique du Congo notamment la compagnie aérienne « Serv Air » spécialisée dans le cargo, « Suprême Automobile » dédié au montage des bus Mercedes Benz, l'hôpital HJ et la Fondation du même nom. (Avec la Cellule de communication de la Présidence)
La situation sécuritaire dans l’Est de la République démocratique du Congo, préoccupe, au plus haut point, la Société civile de la RDC. Dans sa récente réaction sur les assises tenues du 14 au 16 août dernier au Palais du Peuple, pour évaluer l’état de siège et sur fond de quoi dépendra l’avenir de cette mesure prise il y a deux ans par le Président de la République, la Société civile de la RDC s’inscrit en faux contre toute idée qui vise à abroger cette mesure ‘’salvatrice’’. Selon la société civile, annuler l’état de siège en cette période de guerre, serait une manière de tomber dans le piège de l’ennemi, qui pourrait considérer cela comme un aveu d’échec. La société civile souhaite que l’Etat congolais requalifie, plutôt de que d’annuler, l’état de siège afin de mettre dos au mur les ennemis de la RDC. Erreur grave ! En faisant allusion aux multiples révélations qui se dégrainent du procès du député national Edouard Mwangachuchu, sur la morosité de la situation sécuritaire dans le Nord-Kivu et l’Ituri, la société civile attire l’attention du Gouvernement congolais et pense qu’à ce stade, l’utilité de l’état de siège s’avère indispensable. En effet, tenant compte du contexte actuel, elle considère que prendre la décision d’annuler l’état de siège serait une ‘’erreur grave’’ de la part des autorités congolaises. «Nous pensons qu’il n’en sera pas question car avec la montée en puissance de nos forces armées, il est possible de peut-être requalifier cette mesure, pour permettre à notre armée de mener à bien son offensive contre un ennemi qui est déjà connu», a indiqué Christopher Ngoyi, coordonnateur national de la société civile de la RDC. En outre, pour l’instant, l’opinion attend la décision ultime du président de la République, qui doit se prononcer sur l’affaire. Au terme des assises qui ont eu lieu du 14 au 16 août au Palais du peuple, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présenté au Chef de l’Etat les propositions des parties prenantes à la table ronde. Une de ces trois solutions : maintien de l’état de siège, requalification de l’état de siège ou annulation de l’état de siège, est attendue de la bouche du Président de la République. Décrétée il y a environ deux ans et trois mois par le Président de la République lui-même, l’état de siège a pour but d’instaurer un climat de paix et de quiétudes dans la partie Est de la République, précisément dans la province du Nord-Kivu et de l’Ituri. Fidel Songo
*Du vendredi 11 au jeudi 17 août 2023, la Chine a marqué sa présence à Kinshasa au travers d'une Semaine Cinématographique reflétant, « fidèlement l'esprit chinois et les valeurs chinoises », a déclaré Zhao Bin, nouvel Ambassadeur de ce pays en République Démocratique du Congo. Cadre choisi à cet effet : salle Showbuzz, au pied du saut-de-mouton Place Socimat, jonction bd du 30 juin et avenue du colonel Mondjiba... Dans son mot de circonstance, le premier diplomate chinois en RDC a estimé que « Le cinéma est une plateforme importante d’échange culturel, une fenêtre pour présenter la culture d’un pays et un outil d’améliorer la compréhension mutuelle entre les peuples ». A son avis, « Un bon film peut avoir une répercussion dépassant les frontières et frapper la corde sensible dans les cœurs des personnes d’horizons culturels différents ». Aussi, a-t-il fait valoir que la sélection des films couvrait « des thèmes variés, représentatifs d’excellentes œuvres cinématographiques chinoises contemporaines », le but visé étant d’« approfondir la compréhension du peuple congolais à l’égard de la Chine et des chinois ». L'Ambassadeur Zhao Bin a placé ce programme dans deux cadres précis. Premier cadre, l'initiative lancée en mars 2023 par le Président de la République Populaire de Chine Xi Jinping « pour la Civilisation mondiale qui préconise le renforcement des échanges et de la coopération internationale en matière de sciences humaines, enrichir le contenu des échanges, élargir les canaux de coopération, promouvoir la compréhension mutuelle et l’affinité entre les peuples, en vue de promouvoir conjointement le développement et le progrès de la civilisation humaine ». Second cadre : la visite du Président congolais Félix-Antoine Tshisekedi en Chine en mai dernier. A cette occasion, a rappelé l'Ambassadeur Zhao Bin, « les deux parties ont publié une déclaration conjointe qui élève les relations entre la Chine et la RDC au rang d'un partenariat stratégique et d’une coopération globale, qui certainement, ne peut se réaliser sans un rapprochement davantage entre les peuples chinois et congolais ». Le diplomate chinois en a déduit des nouvelles opportunités offertes à la coopération culturelle sino-congolaise, avant de considérer que « la semaine du film chinois pourra modestement servir cette cause noble, et qu’au bout de cette semaine, le peuple congolais puisse mieux comprendre la Chine, se familiariser avec la Chine et aimer la Chine », ceci sur toute l'étendue du territoire congolais et, s'agissant particulièrement de la capitale, « contribuer à enrichir la vie culturelle à Kinshasa et renforcer la proximité et l’amitié entre les kinois et la communauté chinoise à Kinshasa ». En mot de la fin, il s'est déclaré « convaincu qu’avec les efforts conjoints de nos deux parties, la coopération culturelle entre la Chine et le Congo connaîtra un grand élan de développement et donnera une forte impulsion aux échanges et à l’inspiration mutuelles entre les deux civilisations, en vue de la construction d’une communauté de destin partagé de l’humanité ». Premier film alors projeté : « Terre errante ». Une fiction sur le changement climatique poussant les terriens à déplacer leur planète pour la sortir du système solaire. Le film présente une famille chinoise promouvant les valeurs essentielles de sa nation : esprit de sacrifice, travail, respect des aînés, sens d'engagement, courage... La Chine gagnante et triomphante Puissant outil de communication, le cinéma n'a pas d'équivalent dans la découverte du monde en restant calé dans son fauteuil ou allongé dans son lit. Que ce soit en salle, devant la télévision ou, comme c'est de plus en plus le cas, à partir du téléphone ou de l'ordinateur portable, on a le monde à sa portée. Le cinéma est un puissant moyen d'information et de formation. Pour convaincre le monde de sa présence, Pékin utilise évidemment ce moyen. Dans un pays comme la RDC où sa présence n'est pas suffisamment perçue, le cinéma est indiqué pour faire découvrir aux populations congolaises la Chine Millénaire aux plans historique, démographique, culturel et artistique et la Chine ultramoderne aux plans diplomatique, économique, scientifique et social. Juste un exemple : des 10 ponts les plus longs au monde, la Chine en aligne 7 dont la première, celui de Danyang-Kunshan, long de 165 km ; le deuxième, Viaduc de Changhua-Koahsiung(Taiwan), 157 km, le troisième, Cangde, avec ses 116 km, le 4ème, Tianjin, 114 km, le 5ème le pont de Weinan Weihe pour 80 km et le 7ème, Grand viaduc de Pékin, mesurant plus ou moins 50 km. En diffusion sur Canal Sat, l'émission « MEGASTRUCTURES » est en elle-même une véritable attraction en ce qu'elle présente la Chine gagnante et triomphante. Simon Mutombo/CP
La population du Nord-Kivu peut, désormais, pousser un ouf de soulagement et de satisfaction. Grâce au leadership efficace du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, un pont modulaire métallique de type Matière a été lancé par l'Office des routes, le dimanche 20 août 2023. Le pont Biena est situé précisément sur l’axe Butembo - Magurijipa sur la route provinciale 1034 au point kilométrique 63. Ce pont vient conjurer les difficultés de la population de cette partie du pays, dans le cadre du programme de développement des 145 territoires de la RD Congo, programme cher au Chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Tout dernièrement, plus précisément, le 20 août 2023, le pont Biena a été mis en service sous la férule du Directeur Général de l'Office des Routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, qui tient à voir tous les congolais circuler librement sur l’ensemble du territoire congolais et jouir du désenclavement avec comme conséquence, la croissance des activités commerciales sur toute l'étendue de la République, tel que voulu par le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Ce pont modulaire métallique de type matière mis en service fait partie du premier lot de 44 ponts livrés par cette firme française, conformément à l’Accord conclu entre la France, en marge de la toute récente visite du Président Emmanuel Macron à Kinshasa, et la RDC, représentée, dans ce dossier précis lié notamment aux infrastructures, par le Directeur Général de l’Office des Routes, le Professeur Jeanneau Kikangala. La Pros.
La parcelle de la maison communale de Kalamu est visée, depuis belle lurette, par une tentative de spoliation. Des individus avec à la tête une dame se faisant passer pour la propriétaire d'une partie de la parcelle abritant les bureaux de la municipalité de Kalamu, est allée sur le terrain pour déguerpir certains services de cette commune. Soutenue par des services de la police et du parquet qui l'accompagnaient, elle a réussi à ériger un mur pour délimiter la partie qu'elle réclame.