La Fondation Vodacom a procédé, ce vendredi 28 juillet 2023, au lancement des travaux de la classe numérique à l’Institut facultaire des Sciences de l’information et de la communication (IFASIC). En effet, cette action a inauguré le partenariat bénéfique qui commence entre la Vodacom et l’Ifasic.
En effet, depuis 2022, la Fondation Vodacom a initié un projet éducatif se consacrant à l’installation des classes numériques dans les écoles primaires ainsi que secondaires et humanitaires. Mais, cette année, la Fondation est revenue avec un autre projet qui vise à installer les classes numériques dans les instituts supérieurs et universitaires de la RDC. Sur ce, l’Ifasic a été choisi pour être le premier établissement universitaire qui a bénéficié de ce projet.
Sur place, dans son mot de bienvenue, le professeur Arthur Yenga Maombe, Secrétaire académique de cette Alma Mater, a exprimé la joie qui recouvre toutes les autorités académiques de l’IFASIC que de recevoir la plus haute représentation de la Fondation vodacom pour la réalisation du projet.
Il a signifié que cette étape est celle de «La mise en œuvre du protocole d’accord que nous avons signé il y a à peu près une année. C’est le fruit de rencontres, de discussions pour aboutir à ce partenariat stratégique. C’était notre demande auprès de la Fondation vodacom de nous accompagner, de nous appuyer en terme des infrastructures, en termes d’équipements, pour permettre à notre établissement d’obtenir la transition vers le numérique », a-t-il déclaré.
Le secrétaire académique de l’Ifasic a, en même temps, signalé que le numérique est un grand défi pour le secteur d’enseignement supérieur et universitaire et pour l’ensemble du système éducatif. «C’est heureux que dans cette transition, nous avons déjà juridiquement obtenu la mutation de l’Institut facultaire vers l’Université. C’est bon pour le prochain cinquantenaire d’années, nous soyons nous mêmes en pleine modernité pour modeler la communication », a-t-il fait savoir.
Prenant la parole à cette cérémonie, la Présidente de la Fondation Vodacom a, d’emblée, appelé les étudiants de l’IFASIC à rêver grand car, dit-elle, l’avenir de cet institut facultaire et de la RDC se trouve entre leurs mains. «Il y a dix ans, je faisais mon mémoire sur la télévision analogique et la télévision numérique, cette étude a cherché à établir la comparaison être la télévision numérique et celle dite numérique. Aujourd’hui, c’est moi, qui viens concrétiser le numérique ici dans une université, et je me dis que, les étudiants sont appelés à rêver grand. Il y a des choses qu’on ne faisait pas avant, nous dessinons le futur avec notre imagination, avec les idées que nous avons, c’est un magnifique pas que prône même le Chef de l’Etat », a démontré Roliane Yulu.
A l’en croire, la Fondation Vodacom annonce d’équiper une des salles de l’Ifasic par des ordinateurs .La salle choisie bénéficiera d’une connexion gratuite. Elle a souligné que ces travaux permettront à l’Ifasic d’offrir à ses étudiants de la filière Multimédia et même d’autres des compétences dont a besoin la RD-Congo « pour qu’elle ne soit pas au reste sur la numérisation aujourd’hui ».
Ainsi, elle a estimé qu’ « à travers cette plateforme, nous allons digitaliser le contenu de l’Ifasic. Nous allons aider les professeurs à y arriver, nous allons leur donner notre expertise mais encore au-delà de tout ça, nous allons permettre à ce que l’Ifasic puisse créer des classes existantes et de classes virtuelles ».
100 bourses mises à la disposition des étudiants brillants
«La Fondation Vodacom soutient les efforts de parents, surtout pour les élèves et les étudiants qui sont brillants qui n’ont pas les moyens nécessaires pour poursuivre leurs études. Nous offrons à ces étudiants des bourses. Pour cette année, nous allons offrir 100 bourses aux étudiants, mais on veut inclure des personnes vivant avec handicap».
Hénoc Akano
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De la musique à la gouverne du secteur culturel et artistique, tel est le « shift » que connait Didier Masela Ndudi depuis sa nomination, le 8 juillet dernier par Ordonnance Présidentielle, aux fonctions de Directeur Général adjoint au Fonds de Promotion Culturelle. En effet, dans l’après-midi du jeudi 27 juillet 2023, il accédait aux rênes de ses nouvelles responsabilités en succédant, conformément aux programmes protocolaires établis, aux prises des fonctions du Docteur Emmany Dioko et Barbara Kanam Mutund respectivement, Président du Conseil d’Administration et Directrice Générale de cette structure. Ce jour-là, il a réitéré sa détermination à œuvrer d’arrache-pied pour l’instauration du dialogue et de l’unité devant concourir au progrès de ladite structure. Rassurant de sa ferme volonté à réaliser des changements profonds pour le bien-être des agents et cadres du Fonds de Promotion Culturelle, Didier Masela a, dans la foulée, sensibilisé ses administrés à s’armer de courage, de détermination et d’esprit de sacrifice pour affronter et surmonter les défis de l’heure. In extenso, lisez l’intégralité de son mot de circonstance lu en présence de Barbara Kanam Mutund, Directrice Générale.
Ce mardi 1er août, a eu lieu, comme chaque année, la double célébration des fêtes des parents et des morts dans tous les quatre coins du territoire national de la Rd-Congo. A Kinshasa, le rendez-vous a été respecté. Au cimetière de la Gombe, par exemple, c’était de longues files. De partout, les gens sont venus pour assainir les sépulcres des leurs.
Depuis le matin, le cimetière était envahi par de nombreuses personnes venues pour la plupart en famille, se souvenir de bons moments et témoigner l’amour pour leurs parents ou proches disparus.
Les visiteurs ont été accueillis par des vendeurs ambulants des bouquets de fleurs, et autres objets pouvant orner les tombeaux. A l’intérieur de la concession du cimetière, la présence des services d’assainissement des tombes, peintre était remarquée.
Mais, c’était aussi un moment des retrouvailles de différentes familles venues pour la même raison. L’événement a donné l’occasion aux vendeurs ambulants de bouquets de fleurs et aux personnes de nettoyages de se faire de l’argent. Chaque service avait un prix selon les services rendus. Devant les tombes, quelques réactions des personnes trouvées sur place ont été enregistrées. «Notre père était un modèle, il réunissait la famille, c’était un baobab de la famille et je souhaite que ses petits-fils puissent suivre ses pas.», a expliqué un kinois.
«De son vivant, c’était lui qui prenait soin de moi, comme il est parti, c’est moi qui prend soin de lui», explique une jeune maman qui parlait de son papa. Et de poursuivre : «J’aime arranger la tombe de mon père moi-même, je suis la seule à répondre au rendez-vous de mon père, si l’endroit était sécurisé, je pouvais commencer à venir souvent et ne pas attendre que le 1 août pour arranger la tombe de mon père».
Plusieurs réactions dans ce sens ont été enregistrées. A l’entrée du cimetière, il est écrit,’’ j’étais aussi comme vous‘’, une phrase qui rappelle aux vivants que la mort est un passage obligé pour tout être vivant, selon les explications d’un des surveillants du cimetière.
Dan Kasongo
L’artiste musicien congolais, Ferré Gola, a annulé son concert prévu le vendredi 4 août 2023 à l’esplanade du palais du peuple, dans le cadre des Nuits de la Francophonie. L’annonce a été faite le jeudi 27 juillet 2023 sur le compte Instagram de l’artiste.
«Pour des raisons personnelles, l’artiste Ferre Gola avec beaucoup de regrets, décide de ne plus prester au rendez-vous prévu le 04 août 2023 à l’esplanade du palais du peuple pour les nuits de la francophonie à Kinshasa », peut-on lire sur son compte Instagram.
D’après les sources concordantes, cette annulation serait dû à une frustration de l’équipe de Ferre Gola, étant donné que son rival éternel Fally Ipupa, a été programmé pour prester à la cérémonie d’ouverture des IXièmes jeux de la Francophonie à côté de Bill Clinton Kalonji. Alors que Ferre Gola s’était pointé en premier au siège du Comité national des jeux de la Francophonie pour apporter sa voix et son soutien, il s’est vu classer sur le podium connexe à l’esplanade du Palais du peuple.
Outre Ferre Gola, "Jésus de nuance", plusieurs artistes musiciens congolais vont prester pendant les nuits de la francophonie notamment, Maitre Gims, JB Mpiana, Werrason, Heritier Watanabe et Fally Ipupa.
Il sied de rappeler que les neuvièmes jeux de la francophonie ouvrent leurs rideaux le vendredi 28 juillet à Kinshasa. Toutes les délégations des pays participants séjournent déjà dans la capitale congolaise. Le Gouvernement de la RDC, le comité national ainsi le comité international de ces jeux rassurent sur le bon déroulement de ces derniers, et invitent le public à venir assister gratuitement en ce premier jour de cette grande fête francophone, afin de montrer à la face du monde, l’hospitalité légendaire des Congolais qui vont accueillir, pendant plusieurs jours, des francophones venus des différents pays. Le président Félix Tshisekedi a annulé son voyage en Russie, afin de donner le go de ces jeux dans les prochaines heures. Il est, par ailleurs, représenté dans le pays de poutine, au deuxième sommet Russie-Afrique, par le Vice-premier Ministre, Ministre de la Défense, Jean Pierre Bemba.
Ronsard Malumalu
Charles Onana est un politologue et journaliste d’enquête franco-camerounais.
Son livre “Holocauste au Congo: l’homerta de la communauté internationale” est un ouvrage consacré à expliquer le début du génocide congolais et les causes ayant conduit à la situation actuelle de la RDC en général et de sa partie Est en particulier. Des Etats-Unis en passant par l’Europe, l’Ouganda et le Rwanda, l’auteur établit les responsabilités de chacun, sur base des documents et d’analyses.
Pour l’auteur, l’invasion de la RDC n’a pas commencé en 1997 mais quelques années plus tôt. En remontant au génocide rwandais de 1990, Charles Onana explique que l’enjeu n’était autre que l’exploitation minière du Zaïre. “L’idée principale était d’installer un dirigeant à la tête du Rwanda, qui serait en mesure d’envahir le Congo et de s’emparer de ses richesses au profit des entreprises minières occidentales et des intérêts privés anglo-américains soutenus par certains dirigeants occidentaux. (…) Pour réussir cette phase, une offensive militaire fut donc menée contre les populations rwandaises pour les contraindre à fuir vers le Congo. (…) ils vont présenter l’arrivée massive des refugiés au Zaïre comme conséquence directe du génocide au Rwanda ».
Paul Kagame a alors présenté ces refugiés comme génocidaires pour empêcher toute interrogation sur l’afflux massif de ceux-ci en RDC.
Après l’opération turquoise de la France dans la région, les Etats-Unis expriment le souhait d’envoyer des troupes au Rwanda pour aller porter secours aux refugiés qui se trouvent déjà au Zaïre, une idée “illogique”: “refuser l’intervention de l’ONU pour arrêter les massacres et le génocide au Rwanda mais laisser ensuite l’afflux de refugiés envahir le territoire zaïrois pour prétendre envoyer des troupes protéger ces mêmes refugiés que l’on considère à Washington et à Kigali comme génocidaires ne parait pas très cohérent”.
Cette mission humanitaire américaine presque clandestine car elle n’avait pas été soumise à l’appréciation du Conseil de sécurité de l’ONU était dénommée Support Hope et était un ordre direct du président américain Clinton.
Il s’exprima en ces mots pour rassurer le Congrès qui se questionnait: ‘‘nous n’avons pas l’intention de voir les forces armées américaines déployées au Rwanda impliquées dans des hostilités. Néanmoins, la majorité des quelques 200 soldats déployés sur le terrain seront affectés à la protection des troupes et à la sécurité de l’aéroport de Kigali(…)”, alors même qu’ils avaient déclaré qu’il n’y avait plus de danger à Kigali, s’étonne l’auteur.
Le gouvernement américain décida par la suite d’envoyer des troupes américaines à Goma ainsi que des logisticiens, psychologies…en appui à l’opération turquoise menée par la France.
Bien plus tard, le Maréchal Mobutu ne répondant manifestement plus aux attentes américaines avec notamment l’arrivée du démocrate Clinton à la Maison blanche, “une fois l’idée maitresse installée, il ne reste plus qu’à trouver celui qui acceptera de livrer le Congo-Zaïre à l’appétit des investisseurs étrangers”.
L’auteur explique qu’au mois d’août 1996, les populations de la région des hauts plateaux d’Uvira (Sud-Kivu) commencent à voir plusieurs personnes sillonner leur territoire affirmant être des techniciens venus en prospection pour préparer des projets de développement. Il s’agissait en fait de militaires de l’APR infiltrés sur le territoire du Zaïre; d’autres soldats rwandais pénètrent également au Zaïre au mois de septembre et le 18 octobre 1996 nait officiellement l’AFDL, abritant Tutsis rwandais, des Ougandais et des Angolais dans le but de renverser Mobutu.
Avec l’arrivée de Laurent-Désiré Kabila au pouvoir suite aux accords conclus avec ses alliés de circonstance, l’impunité a été volontairement organisée à travers l’infiltration ou l’intégration des criminels de guerre et des criminels contre l’humanité dans l’armée congolaise, comme l’explique l’auteur: ”le major tutsi rwandais, James Kabarebe prend dès son arrivée à Kinshasa, les commandes de l’armée congolaise en devenant chef d’Etat major, à cette occasion il nomme plusieurs Tutsis rwandais à des postes stratégiques au sein des forces terrestres, du renseignement militaire, des forces aériennes et même au sein de la marine(…)avant d’entrer dans l’armée congolaise, ces criminels ont essayé d’effacer les preuves de leurs crimes en incinérant les corps de leurs victimes, en creusant des fosses communes ou en jetant les corps dans le lac Kivu”.
En 1998, quelque temps après la victoire de Laurent-Désiré Kabila, celui-ci comprend que ses alliés de circonstance en veulent à sa vie, il s’agit des Américains et de Paul Kagame. Selon l’auteur, ils cherchaient un Congolais plus réceptif au diktat de Kigali et Kampala car Laurent-Désiré trouvait de plus en plus inacceptable l’injustice faite aux Congolais et à la RDC malheureusement pour lui le 16 janvier 2001, il fut assassiné dans des circonstances non encore élucidées jusque-là.
L’auteur décrit alors l’arrivée de Joseph Kabila “formé par l’Armée patriotique rwandaise de Paul Kagame, Joseph Kabila lui succède immédiatement avec l’aide de Paris et de Washington”.
En 2004, les Banyamulenge reprennent la guerre à Bukavu, au Sud-Kivu sous couvert du RCD conduit par Jules Mutebutsi soutenu par le Rwanda. Malgré la ferme résistance du général congolais Nabyolwa, celui-ci se heurte au gouverneur du Sud-Kivu Xavier Ciribanya qui lui propose de participer au coup d’Etat, chose que le général congolais refuse. Bien plus tard, la même proposition lui est faite par Azarias Ruberwa, à l’époque vice-président du pays.
Malgré les arrestations que le général congolais effectue dans le chef des rebelles, il se heurte au soutient des cadres de la Monuc aux rebelles et de la communauté international qui exerçait une pression sur le président pour la libération des rebelles.
Le général Nabyolwa sera attaqué mais sauvé de justesse par Joseph Kabila.
Dans la conclusion de son ouvrage, l’auteur rappelle que si le gouvernement congolais et la société civile ne se montrent pas plus incisifs et offensives sur la question de l’impunité, tous ces criminels resteront libres et continueront leurs actions criminelles afin d’écraser définitivement les Congolais dans leur pays.
Déborah Nitu
(Par Joseph Alfred Matondo, Economiste)
Dans le but d'améliorer les compétences de ses employés, cultiver des talents composés et internationaux mais aussi faciliter la collaboration entre ses agents congolais et chinois, la Sino-congolaise des mines, SICOMINES S.A., a initié l’atelier de formation et d'apprentissage des langues chinoise et française. Cet atelier a débuté en mars dernier avec les cours en langue chinoise.
Pour la première phase de la formation, les cours de langue chinoise ont été divisés en quatre (4) parties et chaque partie répartie en quatre (4) sessions, chacune comportant huit (8) cours. Les sujets traités ont principalement porté sur les expressions relatives aux normes des opérations de production sûres, les signaux d’alerte à la sécurité, l’identification des articles quotidiens, les salutations quotidiennes et autres.
Des enseignants de qualité ont été recrutés pour dispenser les différents cours. C'est notamment l'enseignante congolaise Harless, assistante de l’usine de concentration, qui a étudié en Chine et aime la langue et la culture chinoise. Bien avant de démarrer les cours, elle a rencontré le personnel de l'usine pour s'enquérir de leur volonté d'apprendre le chinois, puis a soigneusement préparé le matériel d'enseignement et élaboré le cours PPT avec le site réel.
Pendant la leçon, elle a soigneusement expliqué le matériel pédagogique et, par le biais de démonstrations vivantes et d'interactions intéressantes, expliqué la signification des expressions chinoises en chinois et en français, et a donné une leçon de chinois unique au personnel du site.
Au terme de la première étape de cette formation, les apprenants ont été soumis à un examen, du 10 au 15 mars 2023, dans le but de vérifier l’efficacité de la formation et d’améliorer les compétences professionnelles des agents. Cette évaluation qui s'est déroulée sous la forme de dialogues en chinois de la vie réelle, visait à permettre aux agents de s'exprimer correctement en chinois dans le cadre de leur travail et de communiquer sans obstacle. Elle a connu un taux de réussite de 87,74%.
Michel, agent au département des ressources humaines, qui a participé à la session d'apprentissage, a déclaré avoir acquis des compétences en langue chinoise qui lui ont permis d'apporter une nouvelle et une plus grande contribution au développement de l'entreprise.
Arrivé à la Sicomines S.A. en 2011, et témoin du développement de la société depuis le début de la phase I du Projet Minier jusqu'à la pleine production de la phase II, Michel a avoué avoir connu, peu avant la formation, des cas des malentendus et des plaisanteries qui ont été causés par la barrière langagière lorsqu'il travaillait avec des collègues chinois.
De l'atelier de formation en langue française
La formation en langue française a, quant à elle, été lancée le 21 juin dernier dans la concession de l'entreprise. Pour ce faire, la société a mis en place un groupe d’enseignants de langue chinoise composé des talents chinois francophones provenant de différents postes afin de développer conjointement des programmes de formation en langue française. Le but étant d'améliorer la qualité des compétences de l'ensemble du personnel, cultiver des talents composés et internationaux, améliorer la capacité d’utilisation du français et créer une forte atmosphère d'apprentissage du français.
Cette formation est destinée à l'ensemble des cadres de l’entreprise et basée sur l'application pratique de la compréhension orale, de l'expression orale et de la lecture en français, en utilisant comme matériel pédagogique des expressions courantes dans la vie quotidienne, de la production et du travail.
Comme pour la formation de la langue chinoise, des examens seront également organisés pour consolider les résultats de la formation de la langue française et établir un mécanisme à long terme pour améliorer efficacement le niveau de français du personnel et renforcer les compétences générales du personnel.
Par ailleurs, la Sicomines prévoit dans les prochaines étapes de combiner la formation en langue française avec l’atelier de formation en langue chinoise afin de poursuivre le développement d'une plateforme de formation, de promouvoir les compétences et la communication du personnel, d'améliorer la communication globale et la capacité de coordination de la main-d'œuvre, et de s'efforcer de constituer une équipe de talents internationaux de haute qualité dans le secteur minier, maîtrisant à la fois les connaissances professionnelles et les langues étrangères, afin de contribuer au développement de haute qualité de l'entreprise.
‘’Pérenniser davantage les chansons de Feu Alain Moloto’’ est l’objectif visé par le festival Alain Moloto, FAMO, dont la première édition interviendra le 6 août prochain à l’espace Moto na Moto dans la commune de Bandalungwa. L’annonce a été faite le lundi 24 juillet par Auguy Kabeya, Coordonnateur dudit festival.
Dans la matinée du 24 juillet 2023, un fait plutôt banal a pris des proportions étonnantes. Une jeep est entrée en légère collision avec une moto, suite à quoi les passagers de cette dernière sont tombés sur la chaussée. De la poche de l’un des passagers est alors tombé un sachet qui a laissé échapper du sang ; ce qui a alerté la population et, par la même occasion, les éléments de la Police Nationale Congolaise.
Après son entrée en fonction au commissariat provincial de la police de Kinshasa, Blaise Kilimbalimba, a pris une ferme décision portant interdiction des tracasseries policières, mesure qui a été saluée par la population kinoise. C’est ce qu’a constaté le jour La Prospérité au cours d’un micro trottoir ce lundi 24 juillet 2023 sur le boulevard Lumumba.
Samedi 22 juillet de la semaine qui vient de se clôturer, le groupe Saint Michel Archange de la Cathédrale Notre Dame du Congo a totalisé 5 ans, jour pour jour. Voilà ce qui justifie le sens de la conférence-débat qu’a organisée, dimanche 23, dans la salle paroissiale de ladite cathédrale, son président, le Docteur Joyce Mvulizi, autour du thème : la place des archanges Michel, Gabriel et Raphaël au sein de l’église catholique.