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Eglise de réveil à Kinshasa : Désordre social à la base de la prolifération des églises locales à Kinshasa

Les églises locales s’accroissent d’une manière démesurée dans la ville- province de Kinshasa. Tellement nombreuses qu’elles deviennent ingérables au point de créer un désordre au sein de différentes communautés.

Au cours d’une ronde effectuée dans divers secteurs, quartiers, communes de Kinshasa, il y a lieu d’affirmer que la République Démocratique du Congo est ancrée dans le christianisme. C’est la plus importante des religions, l’étendue de la ville congolaise compte des milliers d’églises de réveil un peu comme des partis politiques, « les temples » se multiplient aux 4 coins de la capitale dans toutes les communes et avenues. La Constitution consacre le caractère laïc de l’Etat congolais depuis 1974. Mais ce phénomène devient un véritable fléau de société.
L’église est une entité qui réunit des croyants pour prêcher la bonne nouvelle pour le salut du monde. Mais cette prolifération observée notamment où plusieurs assemblées de Dieu se chevauchent notamment dans le cas du Quartier sans / Fil, commune de Mont-Ngafula.
D’autres facteurs sont à prendre en compte. Selon M. Lubaki, chef du quartier de Mitendi, son entité est constituée de plus ou moins 15 avenues. Dans chacune d’elles, on y trouve de différentes cellules de prière. La création d’une église part de l’appel de Dieu pour les uns. Tandis que, pour d’autres, c’est pour faciliter le rapprochement avec les croyants. Il existe aussi celles-ci qui naissent souvent de dissidence. Dieu aime l’ordre et non le désordre. Cette multiplicité d’églises qui génère maintenant du désordre pour la plupart n’a rien de divinité. Elle se retrouve maintenant dans chaque coin de rue dans la ville de Kinshasa. Sur ce, il y a lieu de conclure que la quête du profit motive l’existence de plusieurs églises. Des facteurs pour mieux l’expliciter ce désordre : d’abord les problèmes socio-économiques, les difficultés liées à la vie, tenant compte de la situation actuelle de la RDC où l’emploi se fait rare, les gens en font une forme de business afin de répondre aux exigences personnelle et économique.
Selon certains croyants, cette prolifération est un moyen pour d’autre de se retrouver et de répondre à leur besoin économique. La liberté des religions, dans d’autres sociétés est réglementée mais en RDC, chacun est libre de choisir sa religion, la plupart de ces églises ne sont pas reconnue par l’Etat, elles sont sans enregistrement comme une ASBL.
La désorganisation de l’Etat est aussi à la base de ces problèmes parce que c’est la structure qui est censée imposer l’ordre dans ce secteur. Tenant compte du silence de l’Etat tout le monde faire ce qui le mieux pour lui. Conséquence : la multiplicité exagérée des églises dans les différents milieux de vie.
Parfaite Tshi-Nzita

 

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Kinshasa : la route de Matadi devenue le spectre des embouteillages monstrueux !

La route de Matadi fait face à un sérieux problème de circulation routière tous les jours. Cette route, la nationale N°1, est restée, depuis l’époque coloniale, la seule grande artère bitumée qui mène vers la province du Kongo Central.
Mais, depuis un temps, cette route connait d’énormes embouteillages, mettant en mal la bonne circulation de la population. Surtout dans sa partie comprise de l’entrée Météo et Lalu au quartier Binza Delvaux, et l’entrée de l’Université Pédagogique Nationale. L’arrêt Kindu au quartier Binza UPN, l’arrêt Wenze Badiadingi et le Rond-Point triangle, l’entrée camp PM à Matadi Kibala ne sont pas épargnés par ces bouchons.
Chaque jour, cette route est envahie par des véhicules, des motos qui avancent à pas de tortue. Certains conducteurs impatients roulent à sens inverse, des multiples bandes se forment et la situation se complique davantage. Plusieurs personnes arrivent à leurs lieux de travail avec un grand retard, même après avoir quitté leurs maisons un peu tôt.
Il existe également à côté de ce phénomène inquiétant, la présence des camions poids lourd transportant les marchandises en provenance du Kongo Central.
Se rendre à Matadi est devenu, actuellement, un véritable casse-tête pour les voyageurs qui sont obligés de se mettre en route en avance d’au moins 5h ou 6h pour ne pas s’embrouiller avec des embouteillages.
Au cours de notre descente effectuée au niveau de Matadi-Mayo, Wenze Badiadingi et Binza Delvaux, les conducteurs trouvés sur place ont indiqué que cette situation est due aux absences des routes secondaires. En dehors de ça, les conducteurs ajoutent que le manque de courtoisie routière est aussi à la base et le non-respect du code de la route.
« Il y a un manque de courtoisie totale entre les chauffeurs qui se bousculent pour se faufiler en essayant de se créer un chemin. Même les chauffeurs personnels entrent dans le même rythme », a affirmé un conducteur.
« Je crois que c’est plus un problème des chauffeurs que d’embouteillages, parce que ceux qui créent vraiment l’embouteillage ce sont les chauffeurs », a-t-il renchéri.
Tegra N’kudi

Kinshasa : la route de Matadi devenue le spectre des embouteillages monstrueux !
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Kinshasa : Elyse Mupa encourage les femmes à s’imprégner dans les arts, sports et cultures

La ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, regorge beaucoup de talents artistiques et culturels. Cependant, de nombreux talents sont perdus par manque d’encadrement et accompagnement. C’est dans ce contexte que le projet "Mwindeurs crossroads" a été lancé par quatre différentes structures notamment, la SADEK Kinshasa, représentée par Elyse Mupa. Cette dernière a laissé entendre que ce projet se veut un cadre idéal pour pousser les jeunes congolais aux arts culturels. Ainsi, elle a invité les femmes à aimer les arts, les sports et les cultures.
Prenant la parole en présence de Malafi Niamba, Elyse Mupa représentante de la SADEK Kinshasa, l’une des structures qui ont lancé le présent projet, a indiqué que, l'art et la culture jouent dans toute société un rôle particulier. Et dans ses efforts, ils visent à réduire la pauvreté et les inégalités. «Il s’avère qu’aujourd’hui, les gens négligent un peu la culture, les arts et les sports. Ils ne se donnent plus assez, mais ceux qui se donnent n’ont pas de projet concret ; ils veulent seulement à l’international mais après cela, ils n’ont aucune suite favorable. C’est dans ce contexte que nous avions voulu d’abord les motiver, encourager à aimer l’art culturel mais aussi à s’imprégner du projet », a-t-elle signalé, avant toutefois d’ajouter que, l’art et la culture sont des instruments au service de la liberté d’expression, de la promotion de la paix et du développement durable.
Par la suite, Elyse Mupa, a signalé que ce projet est basé sur 19 formations qui seront organisées dans le district de la Tshangu, singulièrement dans la commune de N’djili. A l’en croire, cette occasion se veut aussi un cadre de faire comprendre aux différentes personnes qui vont prendre part à cette formation, l’importance de l’art culturel : « Par rapport à notre structure, nous savons très bien qu’aujourd’hui dans l’art culturel ce sont plus les hommes qui se lancent plus que les femmes. Ainsi, nous avons voulu encourager les femmes à aimer les arts, les sports et les cultures », a fait savoir Elyse Mupa.
En gros, le projet "Mwindeurs crossroads" est un réseau de quatre structures, dont il a ouvert ses rideaux depuis samedi 12 août 2023, et ira jusqu’au 19 septembre 2025. Il a pour objectif primordial d’organiser un cadre d'apprentissage et partage sur les différents métiers du secteur culturel pour le développement communautaire, où les jeunes artistes et femmes de la commune de N'djili bénéficient d'une série de 19 formations sur les langues de civilisations étrangères, l'administration et gestion de projets communautaires, communication marketing ainsi que la créativité artistique.
Ronsard Malumalu

 

Kinshasa : Elyse Mupa encourage les femmes à s’imprégner dans les arts, sports et cultures
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Vente des Syllabus dans les universités , Un autre mécanisme qui ronge l’enseignement universitaire

Initialement instauré pour aider les étudiants à réviser les notes, à travailler et à être à la page par rapport aux leçons enseignées par les professeurs, le système de vente des syllabus ou tout autre fascicule de cours cesse de répondre au besoin pour lequel il est autorisé dans les universités. Selon les constats des observateurs, la vente de syllabus a facilité les mauvaises pratiques qui reposent sur l’omerta et le favoritisme en milieu universitaire.
Ce système pourtant décrié par certains parents, non pour le montent d’argent qu’ils doivent débourser pour acheter à leurs enfants le fascicule, mais au contraire, pour des dangers qu’ils remarquent et cherchent à éviter à tout prix, est vu par plusieurs comme instituteur de la fraude et la paresse.
Selon quelques personnes interviewées à ce propos, certains professeurs d’universités conditionnent la réussite des étudiants dans leurs cours par l’achat du syllabus. Ce qui, selon ces personnes, ronge petit à petit l’enseignement universitaire et le système éducatif en République démocratique du Congo.
Sinon, la vente des supports a été instituée pour faciliter les étudiants d’être à la page avec le professeur, lorsque ce dernier dispense son cours.
Dans d’autres universités, à l’exemple de l’Université catholique du Congo, les étudiants ne paient pas de syllabus de main à main de chez les enseignants. Selon certaines informations, l’université s’est arrangée et a inclus les frais y relatifs dans le montant à payer pour les frais académiques.
Ruth Maka

 

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26 août 2023 à Notre Dame de Fatima : Mgr Stanislas Lukumwena et Mgr Léonard Kasanda : le jubilé d’argent confirmé

Ce sera un jour nouveau, un jour d’allégresse, pour Mgr Stanislas Lukumwena Lumbala et Mgr Léonard Kasanda Lumembu qui totalisent, tous deux, 25 ans de vie Episcopale.
A cette occasion, puisqu’il y a de la place pour tout le monde dans la maison du Seigneur, tous les fidèles, les membres des familles ainsi que les amis et connaissances sont attendus à la Paroisse Notre Dame de Fatima, pour participer à cette célébration mémorable.
LPM

26 août 2023 à Notre Dame de Fatima : Mgr Stanislas Lukumwena et Mgr Léonard Kasanda : le jubilé d’argent confirmé
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L’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne en pleine conférence des délégués

L’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne, mieux connue via son sigle EEVIC, se trouve en pleine tenue de sa toute première assemblée générale dite Conférence des délégués, au siège de sa branche évangélique de Kinshasa, autrement dit Assemblée Saint Palais, situé au n°34 de l’avenue Yangambi, quartier Kimbangu, dans la commune de Kalamu, pour une durée de 4 jours, soit du 16 au 19 août de la semaine en cours.
A en croire le révérend Pasteur Encadreur Crispin Kalombo, lors de son mot de bienvenue en sa qualité de coordonnateur du comité organisateur de cette grande rencontre, cette dernière a lieu, référence faite à la conférence de Jérusalem dont il est largement question au chapitre 15 du livre des Actes des apôtres.
Dans son mot d’ouverture, le Révérend Apôtre Crispin Kalombo, qui en avait la charge, a parlé en premier lieu de la genèse de cette grande église qu’il a présentée comme ayant vu le jour un certain 6 août, aussitôt après la disparition de leur père spirituel, l’apôtre Nzengu Mualuje, il y a de cela 25 ans.
‘’25 ans se sont écoulés depuis qu’est née l’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne, et ce 6 août 2023 se trouve gravé dans les mémoires comme date de résurrection de cette œuvre très combattue ; ce qui fait un quart de siècle dominé par des tumultes de toutes sortes’’, a-t-il fait savoir avant de parler de cette conférence des délégués comme devant marquer la fin d’une période troublée afin d’inaugurer une nouvelle vague de restauration au regard de la promesse de Dieu faite à ce sujet : ‘’La gloire de cette maison sera plus grande que celle de la première’’.
Le Révérend Apôtre a, dans cet ordre d’idées, rendu grâce à Dieu pour la croissance numérique rapide de cette institution spirituelle qui a réussi à totaliser à l’heure actuelle environ 50 assemblées ouvertes et implantées les unes à Kinshasa, les autres au Kasaï et le reste au Katanga.
Toutes ces trois provinces, dites branches évangéliques selon le jargon de l’Eglise, ont été valablement représentées à cette grande rencontre pour, entre autres, réfléchir sur la vie de leur église, passer l’éponge sur les transgressions et les erreurs du passé, redéfinir la marche de l’Eglise, poser les jalons d’une foi sincère en Christ et, enfin, régler la conduite personnelle et collective comme base de paix et de fidélité à Dieu. Le tout, c’est pour la pose des bases solides d’une refondation pour une meilleure croissance de l’Eglise.
A en croire l’homme de Dieu, il est question durant ces assises de 4 jours de mettre fin à la dispute sur la doctrine chrétienne, allusion faite au chapitre 15 du livre des Actes des Apôtres ci-haut évoqué, dans lequel les Apôtres, anciens et frères venus de partout, donc délégués, se retrouvèrent pour discuter et aboutir à un compromis salutaire.
Déjà à partir d’aujourd’hui jusqu’au 20, les conférenciers se pencheront sur plusieurs thématiques des aspects divers de la vie de l’Eglise sans état d’âmes ni considérations humaines, en vue d’un nouvel élan pour un essor sans précédent de l’EEVIC.
Foi sur ses propos, le résultat des délégués apostoliques est l’expansion de l’Eglise ainsi que l’inauguration des voyages missionnaires, comme celui qui avait conduit Paul à Rome.
Avec sa vocation de s’implanter dans toutes les autres provinces restantes, surtout dans les deux Kivu et en Ituri, l’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne, via la bouche autorisée de son Révérend Apôtre, se dit déterminée à soutenir jusqu’au bout les efforts du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi pour mettre les agresseurs de la République Démocratique du Congo hors d’état de nuire afin que soit instaurée la paix dans l’Est du pays et sur toute l’étendue du territoire congolais.
L’EEVIC promet d’œuvrer toujours pour le développement de la RDC ainsi que pour le bien de sa communauté et de son peuple, avec une entière reconnaissance au Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi pour avoir officiellement confié la gestion du pays entre les mains de Dieu.
Pour le Révérend Apôtre, la haine tribale ne doit pas avoir de la place au sein d’un pays comme la République Démocratique du Congo.
‘’La corruption, le vol, les tueries, le mensonge, l’idolâtrie et autres choses semblables seront toujours l’objet de notre combat’’, a-t-il promis.
Après ces paroles d’ouverture, le Révérend Apôtre a tenu à dispenser à l’intention des conférenciers un enseignement dit apostolique durant lequel il les a appelés à sortir l’Eglise de l’état de paresse dans lequel ils l’ont abandonnée. Il les a priés à cet effet à adapter la vitesse de l’église à celle dans laquelle évolue la science.
‘’L’Eglise doit évoluer de manière à rattraper la vitesse du monde en faisant siennes toutes les innovations pour ne pas qu’elle paraisse traîner les pas’’, a-t-il souligné en s’appuyant sur le cas illustratif de la bible incorporée dans le téléphone et son apport non négligeable dans les prédications.
Pour aider son auditoire à mieux saisir la portée de son enseignement, l’homme de Dieu a réussi à inculquer dans leurs têtes, syllepse oblige, ce qu’il a pu intituler les 7 savoirs. Le temps ayant fait défaut, il s’est, pour cette première journée, limité à deux savoirs, à savoir : savoir réfléchir et savoir concevoir.
Pour parler du savoir réfléchir, il a, toutes affaires cessantes, recouru au verset 20 du chapitre 16 du livre des Proverbes qui stipule : ‘’celui qui réfléchit sur les choses trouve le bonheur et celui qui se confie en l’Eternel est heureux’’.
Ce qui n’est pas loin du verset de la lettre de Pierre qui ordonne : ‘’faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu et à la vertu la connaissance’’.
L’Apôtre Crispin Kalombo a dit beaucoup d’autres choses et ce sont les pages qui font défaut pour en parler toutes en détail.
Dans l’entretemps, les travaux en commission relatifs à ce long enseignement liminaire démarrent déjà aujourd’hui jeudi 17 sur le coup de 9 heures.
Saint-Germain Ebengo

 

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RDC : avec la prolifération des églises de réveil, Kinshasa devient ‘’le sanctuaire’’ du Christianisme

Kinshasa, Capitale de la République Démocratique du Congo, devient le véritable ‘’sanctuaire’’ qui regorge les plus d’églises de réveil. Dans presque chaque avenue, l’on retrouve des ‘’églisettes’’ qui se succèdent. Ce phénomène devient menaçant et la population décrie. A chaque heure de culte, tous les environs du périmètre où se trouve l’église sont mouvementés et vibrent, à coup sûr, sous le rythme de la mélodie de cantiques, au point de déranger et causer, du reste, le traumatisme à la population, au regard de la pollution sonore aggravée.
La multiplicité des églises fait ainsi référence à la présence de différentes dénominations et branches du christianisme, chacune ayant sa propre organisation, doctrine et ses pratiques.
Si pour certains, l’église est l’un des endroits qui ont pour rôle de former l’homme, tant sur le plan moral que spirituel, à Kinshasa, cela est loin d’être le cas dans la plupart de cas. Depuis quelques années, certaines personnes se servent de l’église et la considère comme solution à tout ce que l’homme peut connaitre comme difficulté.
L’église et/ou la spiritualité est considérée, pour beaucoup, comme une richesse, « car ça permet aux individus de trouver une communauté religieuse » qui correspond le mieux à leurs croyances ainsi qu’à leurs styles de vie. Cela favorise également la diversité théologique et encourage le libre choix de l’expression spirituelle.»
Beaucoup d’Eglises à Kinshasa ont été créées pour « répondre à l’inaptitude des églises mère ». D’autres, par contre, ont été créées, selon des observateurs, pour « exploiter la crédibilité des gens et se faire de l’argent ».
En somme, la perception de la multiplicité des églises dépend alors aux convictions et valeurs individuelles de chaque personne. Mais, l’Etat congolais, en tant que autorité, devrait règlementer et suivre à la lettre le processus de la création d’une église, en vue d’éviter ces désagréments.
Christine Mushota

 

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