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RPDC : vivre à Pyongyang en plein changement d’aspect

Pyongyang, Capitale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et Superpuissance politico-militaire, NDLR), est fière de sa Civilisation de 5.000 ans comme Capitale du 1er Etat de la Nation coréenne, Co-joson (ou Corée Antique) de 3.000 ans (début 30ème siècle av. JC - 108 av. JC) sur le vaste Territoire de l’Asie du Nord-Est, Puissance Orientale de l’époque. La Ville est en plein épanouissement sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC.
① Le Secteur du Mt. Taesong-san
L’Arrondissement Taesong de Pyongyang abrite le Parc de Loisirs de Taesong-san avec une superficie de 2.000ha. Les Généralissimes KIM IL SUNG (1912-1994) et KIM JONG IL (1942-2011) ont fait aménager un lieu de repos culturel d’envergure pour leur Peuple dans le Secteur du Mt. Taesong-san (haut de 270m, long de 9.284m, vieux de 140 millions d’années - ère jurassique - et connu pour ses nombreux vestiges et reliques du Royaume Co-guryo, le plus grand et le plus puissant de la Région fier de ses 1.000 ans d’existence ; 277 av. JC - 668 ap. JC, NDLR) pittoresque non loin du centre-Ville. Après la rénovation des parcs de loisirs de Pyongyang dans les années 2010 sous la direction énergique de KIM JONG UN, celui de Taesong-san reçoit, chaque jour, les visiteurs qui viennent passer leurs heures joyeuses et agréables. Ils ne savent où aller; Zoo Central? Jardin Botanique Central? Musée d’Histoire Naturelle? Parc d’Attractions de Taesong-san? Il faut beaucoup de temps pour en visiter tous;
- Au Zoo Central, les visiteurs font, en carrosse ou en voiture électrique, un tour dans l’enceinte en se faisant photographier en souvenir, ou assistent aux spectacles des animaux d’adresse et à l’autre des otaries, ce qui leur donne un plaisir particulier.
- Au Jardin Botanique Central, les gens ressentent un sentiment profond devant les milliers d’espèces de plantes.
- Au Musée d’Histoire Naturelle ayant l’esthétique architecturale particulière et la beauté moderne, les visiteurs, surtout les élèves et enfants, acquièrent les connaissances sur l’Espace, la Terre et l’évolution des êtres biologiques à travers les dizaines de milliers d’animaux empaillés, échantillons et maquettes, ainsi que les moyens de vulgarisation et d’éducation.
- Le Parc d’Attractions de Taesong-san attire l’attention générale. Les installations de toutes sortes, les lieux de repos aménagés partout dont les bords de lacs, les restaurants et les boutiques de boissons rafraîchissantes sont toujours bondés.
La Porte-Sud de la Forteresse du Mt. Taesong-san, le Temple Kwangbop-sa (bouddhiste; construit en 392, réhabilité en 1727, détruit complètement en 1952 par le bombardement aérien des USA provocateurs de la Guerre de Corée 1950-1953, remis en état original en 1990, NDLR) et d’autres vestiges et reliques racontent la longue histoire de la Nation coréenne.

② Le Métro de Pyongyang
Le Métro de Pyongyang est construit (en 1973 et élargi à travers les 4 étapes, NDLR) en création monumentale selon le grandiose dessein et sous la sage direction de KIM IL SUNG et KIM JONG IL. Ayant une excellente valeur esthétique et artistique, il;
- contribue, grandement, à la circulation urbaine (comme le transport en commun fréquenté en second lieu juste après le trolleybus, NDLR)
- a commencé à être rénové depuis les années 2010 où l’on a ouvert une période de grande prospérité dans le BTP, soit lors de la construction de la Cité Ryomyong (ou aube ou aurore) en 2017.
KIM JONG UN a examiné, en personne, nombre de projets de rénovation des stations du Métro.
Les murs et piliers des halls, des corridors et des escaliers roulants (longs de 100m pour assurer, au-dessous, la température idéale aux voyageurs pendant toutes les 4 saisons, NDLR) des Stations Kaeson (ou triomphe ou retour triomphal), Thong-il (ou réunification - de la Patrie divisée par les Puissances en 1945 -, NDLR) et Sung-ri (ou victoire) rénovées sont ornés de mosaïques murales, de sculptures et de gravures, de différents appareils d’éclairage, de photos de divers sujets, etc. Le Métro est, également, doté d’installations utiles au confort des voyageurs. Ainsi, ceux-ci sont unanimes à dire que le Métro reflète l’esprit dynamique de la Patrie. Ils restent confiants en l’avenir radieux du Pays.

 

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Kinshasa : LA VOICI attire l’attention de la CENI sur quelques aspects importants

La voie citoyenne, LA VOICI, une plate-forme de la Société civile, a présenté son rapport d’observation sur l’identification et enrôlement des électeurs effectué à Kinshasa entre le 24 décembre 2022 au 17 février 2023. Il s’agit d’un rapport qui décrie notamment, le manque d’éthique professionnelle dans le chef de certains agents et de l’hospitalité des policiers au niveau des centres d’inscription. La cérémonie s’est déroulée le vendredi 16 juin 2023 dans la salle de conférence de la commission nationale des droits de l’homme, CNDH, dans la commune de la Gombe, en présence René Kabala, directeur de cabinet de l’observatoire national de droit de l’homme.
Dieu-merci Batsino Ekole, président national de la plate-forme, a tout d’abord laissé entendre que la présentation de ce rapport n’est pas une manière de critiquer la CENI. ‘’Ici, nous ne venons pas critiquer ou jeter les pierres à la CENI. Mais, juste présenter le travail effectué par les observateurs tout en formulant des recommandations’’, a-t-il rassuré.
A cet effet, le président a affirmé que les observateurs ont rencontré plusieurs problèmes au niveau des centres d’inscription. Il s’agit de problèmes liés au manque d’éthique professionnelle pour certains agents et de l’hospitalité chez certains policiers des centres, le favoritisme surtout au moment de l’enrôlement de certains élus ou futur candidat, une situation qui a toujours créé d’incident ou des désordres…, a-t-il confirmé.
Pour lui, la CENI doit organiser des activités de renforcement des capacités sur l’éthique professionnelle et de l’hospitalité pour ceux qui sont affectés dans des centres d’inscription. Et au niveau de la police, le renforcement des capacités pour une police professionnelle et hospitalière dans des centres d’inscription. En ce qui concerne l’enrôlement en-soi, la structure propose la création d’une loi exclusive pour l’identification et l’enrôlement des électeurs avec des sanctions, en cas de violation. Mais, aussi, la nécessité d’ajouter quelques éléments de la police dans chaque centre pour équilibrer la sécurisation des opérations électorales dans les centres d’inscription et des bureaux de vote ainsi qu’aux antennes de la CENI.
Il a, par ailleurs, renseigné que la voie citoyenne avait réussi à obtenir de la CENI l’accréditation de 184 observateurs. Mais, par manque de partenaires d’appuis et des moyens, elle n’a déployé que 40 observateurs dont 18 femmes et 22 hommes.
Le président a de tout de même affirmé que le travail qui reste à faire est celle de l’organisation des activités de renforcement de capacités des observateurs électoraux , en vue de l’observation des dépôts et traitement des candidatures des députés nationaux qui vont bientôt débuter mais aussi les dépôts des candidatures des députés provinciaux en août et présidentielle en septembre.
Il a rappelé que la Voie Citoyenne est une organisation de la société civile qui est toujours proche de la population, engagée à observer les élections qui se déclarent crédibles, inclusives, apaisées, fiables. Donc, pour arriver à obtenir ce genre d’élection, il faut que la société civile soit aussi représentée par les observateurs électoraux reconnus par la CENI, a précisé Dieu-merci Batsino.
Du côté de René Kabala, directeur de cabinet de l’observatoire national de droit de l’homme, on a estimé que ce rapport est très important et sa présentation était une activité très importante.
Car, d’après lui, l’observation d’une élection détermine même le degré de transparence et d’intégrité. ‘Nous devons avoir beaucoup d’ONG de la société civile qui s’intéresse à l’observation du processus électoral en cours’’, a lancé le directeur de cabinet.
Pour lui, c’est de cette manière ‘’que le pays pourra avoir un processus électoral apaisé et qu’il n’y aura pas des violences après la publication des résultats parce que nous serons nous même témoins de ce qui s’est passé avant, pendant et après le processus électoral’’.
Car, ‘’ces recommandations vont nous permettre d’améliorer les autres étapes notamment, les dépôts de candidatures, le scrutin lui-même et d’autres étapes pour avoir un processus légitimé, transparent et crédible, a-t-il renchéri.
Nelly Somba

 

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‘‘La Référence Plus’’ pour un tirage au clair de la suite réservée au dossier Franck Ngyke

Dans l’objectif de tirer les choses au clair autour de la suite réservée au dossier relatif à l’assassinat de Franck Ngyke Kangundu, le journal La Référence Plus, organe médiatique au sein duquel a presté l’illustre disparu durant les derniers jours de sa vie, organise, de commun accord avec la famille biologique de ce dernier, une conférence de presse qui aura lieu jeudi 22 juin de la semaine en cours à son siège situé sur l’ex.24 Novembre à Lingwala.
Pour la petite histoire, cela fait 18 ans depuis que le reporter de La Référence Plus a été assassiné à bout portant au même moment que sa femme.
Les circonstances de ce double assassinat demeurent jusqu’ici obscures, peu importe le dossier que la famille Kangundu a introduit au tribunal, il y a de cela exactement 18 ans.
Le souci que soit ressuscité ce dossier, voilà ce qui justifie au plus haut point la raison d’être de la ‘’dite’’ conférence de presse attendu ce jeudi 22 juin au siège de La Référence Plus.
‘’Quel est le sort réservé à ce dossier du point de vue des enquêtes ?’’, voilà ce qui constitue la préoccupation centrale qui pourra servir de source d’inspirations au jeu des questions et réponses qui aura lieu entre les organisateurs et la cohorte de chevaliers de la plume qui seront ce jour-là présents à ce rendez-vous. D’ici là, une minute de silence oblige!
Saint-Germain Ebengo

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De nouveau un Congolais à la tête de la Congrégation des Scheutistes

Les missionnaires de la Congrégation du Cœur Immaculé de Marie (CICM - dits Pères Scheutistes) réunis en Chapitre général à Nemi (Italy) ont réélu, vendredi 16 juin 2023, le Révérend Père Charles Phukuta Khonde en qualité de Supérieur Général pour un second mandat de six ans.
La nouvelle a été rendue publique dans un message envoyé par le Père Matthieu Ndjeok, Secrétaire général, à tous les membres de la Congrégation : « C’est avec un cœur plein de joie et de gratitude que je vous annonce la réélection de Charles Phukuta Khonde comme Supérieur général de notre Congrégation par les Capitulaires du 16ème Chapitre général. Nous demandons à Dieu de l’aider à assumer cette grande responsabilité avec amour et courage pour le bien de l’Institut et de la mission qui nous a été confiée. Que le Sacré-Cœur de Jésus, que nous célébrons en ce jour, soit pour lui une source d’inspiration dans l’exercice de son ministère ».
Qui est le Père Charles Phukuta
Le Père Charles Phukuta est un natif de la République Démocratique du Congo, originaire du Mayombe (Kongo Central). Il a vu le jour à Boma le 24 décembre 1965. Il est membre de la Congrégation CICM depuis le 07 octobre 1990, date de sa première profession religieuse. Après ses études de Philosophie à Kinshasa, il a été envoyé comme missionnaire aux Etats-Unis en 1993. Il y a été ordonné prêtre le 08 mai 1999.
Il a travaillé comme vicaire à la paroisse Notre-Dame Reine des Anges à La Joya, au Texas, jusqu'en 2002. Il a ensuite commencé une nouvelle communauté CICM à Raleigh, en Caroline du Nord, et a été nommé curé de Saint Eugène à Wendell.
Le père Charles Phukuta a été nommé, en 2006, Secrétaire général de sa Congrégation, pour un mandat de six ans. Il repart aux Etats-Unis en 2012, aguerri par cette nouvelle expérience en administration. Celle-ci, s’ajoutant à son expérience pastorale, a fait de lui le favori de ses pairs. Ainsi sera-t-il élu, la même année (2012), Supérieur provincial des Etats-Unis. Après un mandat de trois ans, ses confrères lui accordent un second mandat, qu’il ne finira cependant pas. Il sera élu Supérieur Général lors du Chapitre général de 2017, le quinzième de l’histoire de cette famille religieuse. C’était le 16 juin 2017.
Il remplaçait ainsi le père Timothy Atkin (d’heureuse mémoire) de nationalité américaine, et devenait le deuxième Africain à la tête de cette Congrégation de droit pontifical. Le premier Africain était le père Edouard Tsimba, un autre originaire du Mayombe, qui a dirigé cette Congrégation internationale d’origine belge, de 2005 à 2011.
Le Révérend Père Charles Phukuta, ce Congolais de 57 ans révolus vient de mériter la confiance de toute sa Congrégation pour obtenir un second mandat. Il est le 19ème Supérieur général, mais le 3ème à obtenir un second mandat au cours des 161 années de l’histoire de la Congrégation des Pères de Scheut.
Le Chapitre général est une assemblée de délégués de toutes les provinces. Il est convoqué tous les six ans, constituant ainsi l’organe qui élit les membres du Gouvernement général (dont la résidence est à Rome) et formule les directives qui régissent la Congrégation. Commencé le 04, le Chapitre général en cours continue jusqu’au 30 juin.
Prosper Mbumba
Journaliste indépendant

 

De nouveau un Congolais à la tête de la Congrégation des Scheutistes
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A quelques mois de la tenue des élections en RD. Congo, Joseph Kabila réitère sa position et celle du FCC !

"Je n'ai jamais quitté la politique. J'ai laissé le temps au temps pour donner la parole aux autres. Le FCC n'est pas dans l'opposition. Ma famille politique avait la majorité parlementaire qui, malheureusement, certains d'entre eux ont choisi la voix de la corruption pour basculer la majorité dans un autre camp politique. Ils n'ont pas trahi le FCC ni moi, ils ont trahi leurs électeurs, ils ont trahi la Constitution et la République Démocratique du Congo".
C'est dans sa ferme de Kingakati sur le Mont Ndeke, que le Président de la République Honoraire et Autorité morale du Front Commun pour le Congo a réuni, ce vendredi 16 juin, les grandes figures de la représentation des partis politiques du FCC et les communicateurs de ladite plateforme.
Le Camarade Joseph Kabila Kabange a échangé sur les questions de l'heure et donner son point de vue sur la situation qui prévaut en République Démocratique du Congo.
"En janvier 2019, nous avons laissé le pays sans aucune armée étrangère sur notre sol, ni les éléments de M23 moins encore les miliciens Mobondo", a-t-il dit en luminaire. Le Patron du FCC s'inquiète de la situation sécuritaire qui prévaut en République Démocratique du Congo avec la présence des forces étrangères, à savoir : le contingent kenyan, l'armée ougandaise, l'armée sud-soudanaise, l'armée burundaise sur notre sol. La situation devient de plus en plus dramatique et parfois Kinshasa semble ignorer les atrocités que ne cessent de subir nos populations dans cette partie de la République.
De renchérir que pas plus tard que dans la nuit du 12 au 13 juin, plus de 50 personnes ont été tuées dont leur village incendié. Pareille situation, ne favorise ni la paix, ni les conditions d'organiser les élections inclusives, consensuelles et transparentes.
Face aux inquiétudes des uns et des autres quant à la participation du FCC au processus électoral, Joseph Kabila n'est pas allé par le dos de la cuillère : "depuis que nous avions levé l'option de respecter les préalables soulevés, à savoir : Une Cour constitutionnelle consensuelle suivant le respect de la Constitution; une Ceni consensuelle suivant le respect de la Constitution, qu'est ce qui a changé pour que le FCC change sa position et lève son option? Rien n'a changé! Par conséquent, c'est une dictature qui se renforce et qui s'installe au mépris de la loi qu'il faut à tout prix s'y opposer.
Qu'est-ce qui avait achoppé entre le FCC et le CACH?
Beaucoup d'eaux avaient coulé sous le pont. Plusieurs langues mensongères sont allées dans un sens comme dans un autre pour accuser Jeanine Mabunda et Alexis Thambwe Mwamba de manquer d'égard au Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi. Faux! A souligné l'homme de Kingakati. Voici la vraie version de fait qui avait été à la base de la rupture de cette coalition :
"Après les élections de décembre 2018, le FCC avait gagné incontestablement la majorité parlementaire et ce, pour toute une législature 2019-2023. C’est cela que dit et défend la Constitution de la République Démocratique du Congo. Malheureusement, en octobre 2020, lorsque les velléités de débauchage des élus nationaux du FCC à coût d’argent (corruption, palissade), ont commencé, j’avais réuni près de 400 élus du FCC (députés nationaux et sénateurs) ici à Kingakati pour leur donner deux instructions, à savoir : la résistance face à la dictature qui s’installait; la discipline, car il faut résister dans le respect des lois du pays, des engagements politiques et de la hiérarchie de sa famille politique (le FCC). Fort malheureusement, beaucoup d’élus du FCC se sont ignoblement vendus en se faisant acheter par l’argent et les palissades. Qu’ils sachent que ce n’est pas le FCC qu’ils ont trahi, mais leurs électeurs, la population congolaise, la République, leur dignité. Ils ont donc activement participé au coup d’Etat constitutionnel et institutionnel de décembre 2020. Ils en sont comptables à part entière". "Qu’il soit désormais clairement entendu que la rupture de la coalition FCC - CACH est intervenue non pas parce qu’il y avait dispute des postes ministériels et des responsabilités, mais parce qu’il y avait nomination illégale et anticonstitutionnelle de deux juges à la Cour constitutionnelle le 5 août 2020, nomination que le FCC avait rejeté parce que respectueux des lois de la République et de la Constitution. "Ces fameuses nominations fondamentalement illégales étaient intervenues à l’absence du Premier Ministre Sylvestre ILUNGA ILUNKAMBA, alors que ce dernier était piégé malignement et subtilement par la Présidence de la République. Il avait reçu un coup de fil de la Présidence pour lui dire qu'il va aller dans le Haut Katanga, en l’envoyant dans une prétendue mission à Lubumbashi..... Curieusement, en son absence et violant intentionnellement la Constitution, le Vice Premier Ministre, Ministre de l’intérieur Gilbert Kankonde, sous ordre de la Présidence de la République, avait apposé allègrement et illégalement un contreseing sur les ordonnances controversées des juges. Le Premier ministre Sylvestre Ilunkamba l’apprenait à sa descente d’avion à Lubumbashi n'avait pas du tout été content de cette manière frauduleuse d'agir de la Présidence de la République."
Le FCC avait vigoureusement protesté et avait de manière républicaine demandé que cela soit refait en respectant la Constitution. C’est malheureusement cet entêtement à vouloir torpiller la Constitution à tout prix auquel le FCC s’opposait, que certains ont qualifié de 'blocage'. Qui donc, dans ces circonstances, avait choisi de bloquer le bon fonctionnement des institutions?"
Y a-t-il des contacts de haut niveau ?
Pour ceux qui ont cru que Joseph Kabila avait abandonné la politique, même le FCC sa famille politique, la réponse est là : ‘‘Je n'ai jamais abandonné la politique et je ne l'abandonnerai jamais. J'ai la passion du Congo et qu'il fallait donner le temps au temps et laisser la parole aux autres. Il est temps de reprendre les choses en mains et ne pas laisser le Congo s'enfoncer davantage et surtout resister à cette dictature qui s'installe. Cependant, il faut noter que depuis le coup d’Etat constitutionnel et institutionnel, en décembre 2020, il n’y a jamais eu ni contact, ni relation, ni complicité latente entre le FCC et le pouvoir en place. Il est donc foncièrement FAUX d’affirmer qu’il existerait des contacts avec un pouvoir qui ne respecte pas les fondamentaux de la République : la Constitution et ses lois. À tous mes compatriotes Congolais qui pensent et estiment que j’ai quitté la politique parce que, depuis décembre 2020, je n’ai jamais tenu une réunion avec ma famille politique le FCC, ni pris la parole en tant qu’Ancien Président de la République, c’est FAUX. J’ai une seule passion: la RDC, mon Pays".
Dans la foulée, le Président de la République Honoraire attend s'adresser très bientôt à la population, donner sa lecture de la situation politique, sécuritaire, économique et sociale, 4 ans après l'alternance politique.
Depuis Kingakati, dans la banlieue kinoise
Pius Romain Rolland

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RDC : Jo Sekimonyo propose des sanctions économiques contre le Rwanda

Jo Sekimonyo Mutabazi, analyste économique et politique, est intervenu vendredi dernier sur les antennes de télé50 télévision à l’émission ‘’ça fait Débat, où il est revenu sur la guerre dans l’Est de la République démocratique du Congo. Pour mettre fin à cette barbarie parrainée par le Rwanda voisin, cet analyste politique propose des sanctions économiques, au-delà de toutes les sanctions diplomatiques. Il est partant pour des punitions économiques très sévères contre l’agresseur car, à l’en croire, cela aura d’impact même au niveau de ceux qui le soutiennent.
«Je suis pour la guerre économique, pour des sanctions fortes contre le Rwanda parce que la guerre militaire, on peut la faire entre deux pays, mais la guerre économique touche aussi les intérêts des gens qui supportent cette armée. Kagame dépense 160 millions de dollars pour son armée, on sait qu’il trouve cet argent à gauche et à droite », a-t-il soutenu.
«On sait que Kagame se cherche l’argent. Ce que nous devons faire, c’est de frapper là où il le trouve. Je peux dire seulement que tout citoyen congolais ne peut pas faire des business avec des citoyens rwandais ou avec une quelconque compagnie rwandaise. Si cela est fait, ça va toucher toute l’Afrique de l’Est et paralyser l’économie de l’agresseur », a proposé Jo Sekimonyo, et d’ajouter : « Vous devez savoir qu’entre Etats, il n’y a pas d’amis, mais il y a plutôt des intérêts qu’ils doivent défendre, il faut rendre cette guerre économique », souhaite-t-il.
Grâce Daro

RDC : Jo Sekimonyo propose des sanctions économiques contre le Rwanda
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Après le démenti musclé de la présidence et de la DGM, Enfin, Matata Ponyo à Bunia

L’ancien premier ministre Augustin Matata est arrivé depuis hier dimanche 18 juin à Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri soit, 24 heures après la première tentative. Au pied de l’avion, il a été accueilli par le maire de la ville. Des sources proches le chairman du Leadership et gouvernance pour le développement (LGD), Matata Ponyo est allé compatir avec les victimes de l’Ituri. Pour rappel, plus d’une quarantaine des personnes ont été tuées dans la nuit du 11 au 12 juin 2023 dans le site des déplacés de Lala dans le territoire de Djugu, en Ituri. Ce massacre est attribué aux miliciens de la Coopérative pour le développement du Congo (CODECO).
En attendant, la présidence de la République et la direction générale des migrations(DGM) ont, samedi 17 juin dernier, réagi aux accusations de l’ancien premier ministre Augustin Matata Ponyo.
Le porte-parole du chef de l’Etat, Tina Salama a, dans sa mise au point dans son compte tweeter, indiqué : « C’est avec regret que nous avions suivi les allégations de M. Matata contre la Présidence de la République. Il faut préciser que ces questions ne relèvent pas de la Présidence et il le sait pertinemment ».
Le porte-parole du chef de l’Etat appelle Matata Ponyo à trouver ses raisons de campagne ailleurs que d’utiliser le nom de la présidence de la République, pour se victimiser.
Les autorités de la Direction générale des migrations qui filtrent toutes les entrées et sorties des passagers notamment, à l’aéroport de Ndjili, ne sont pas allées dans le dos de la cuillère pour réaffirmer que : «La DGM n’a posé aucun acte pour empêcher à Matata Ponyo de voyager. Il s’est présenté en retard à l’aéroport et n’a pas voulu se plier aux formalités d’usage ».
Et d’ajouter : « Il n’y a aucune interdiction contre lui » avant de poursuivre : « s’il remplit les formalités mais, surtout s’il arrive à l’heure, il voyagera normalement ».
Enjeu électoral ?
Matata a été Premier ministre en République démocratique du Congo de 2012 à 2016 avant de se déclarer candidat à la prochaine élection présidentielle sous la bannière du LGD. Il a affirmé samedi 17 juin dernier qu’il était empêché de voyager, sur ordre de la Présidence de la République.
«Sans aucune norme professionnelle et sans aucun respect revenant à un parlementaire, la carte d’identité du sénateur a été saisie par les agents de la DGM », affirmait Augustin Matata sur Twitter. Il a enchainé dans un autre tweet que « le président du Sénat BAHATI et le procureur général Jean-Paul Mukolo, ont été instruits par la haute hiérarchie pour attendre la fin de la session ordinaire afin de permettre au Bureau du sénat de l’Union sacrée de lever mes immunités de manière illégale».
A quelque six mois des élections, l’opposition, représentée essentiellement par le quatuor, et l’Union sacrée ne se font pas de cadeau. Les deux plateformes se cherchent des occasions pour discréditer l’autre. C’est de bonne guerre dès lors que le processus électoral en République démocratique du Congo devient irréversible.
Emma Muntu

 

Après le démenti musclé de la présidence et de la DGM, Enfin, Matata Ponyo à Bunia
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En partenariat avec la Division des services vétérinaires (Dsv), Tanganyika : le projet intégré de croissance agricole dans les Grands Lacs (Picagel) en campagne de vaccination des bovins et des petits ruminants

Le ministre Provincial de l’Agriculture, Pêche et Elevage, SE M. Jerry Kabebe Makanta entouré par les organisateurs

Campagne de vaccination des bovins et des petits ruminants


Une photo sur le lancement de la campagne
C’était du mercredi 17 au mardi 23 mai 2023 que ces deux structures étatiques ont organisé un atelier de formation sur la vaccination des bovins et des petits ruminants dans la ville de Kalemie, Chef-lieu de la Province du Tanganyika, à l’intention des superviseurs et vaccinateurs en cette matière.
Cette activité a été menée par 4 experts venus de Kinshasa, entre autres, Dr Mafuala, Chef de Mission, Dr Vincent Mbonkela, Dr Kingombe et Dr Lubwa Ngoie pendant sept jours dans la salle des réunions du Projet Intégré de Croissance Agricole dans le Grand Lac, PICAGEL sigle.
Après le mot de bienvenue par Madame Brigitte Kapinga, Coordinatrice du PICAGEL, le Ministre Provincial en charge de l’Agriculture, Pêche et Elevage du Tanganyika, SE M. Jerry Kabebe Makanta a déclaré ouvert, les travaux dudit atelier.
L’atelier avait deux objectifs. L’objectif général et l’objectif spécifique : le premier était de former les supérieurs et vaccinateurs sur la vaccination des bovins contre la péripneumonie contagieuse des bovidés (PPCB), le charbon symptomatique, fièvre aphteuse, la dermatose nodulaire, la brucellose, la fièvre de la vallée du Rift et des petits ruminants (moutons et chèvres) contre la peste des petits ruminants (PPR) dans le Territoire de Kalemie. Et le deuxième consistait à sensibiliser les autorités, les leaders d’opinion et les éleveurs sur les opérations de vaccination ; à former les superviseurs et vaccinateurs et à mener la campagne de vaccination.
12 participants ont été formés parmi lesquels, nous avons enregistré la présence d’un coordonnateur, deux superviseurs, 8 vaccinateurs et un observateur dont le Chef de la Division Provinciale de Pêche et Elevage Tanganyika, Dr Kaut Mutomb Jean-Ghislain.
Il sied de signaler que les vaccinateurs issus de cette formation attendent actuellement les vaccins pour mener la campagne de vaccination.
Jonas K. Bonghatt

 

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OCC : Votez utile, Votez pour Christian Kaniki Kalanda, votre Charcom du DNOR !

Appel à la mobilisation générale
Chers votants,
Chers camarades.
Votez utile, Votez pour Christian Kaniki Kalanda, votre Charcom du DNOR. Car, il y va de votre vie professionnelle durant les 5 ans à venir.
N'hypothéquez pas votre avenir professionnel en votant pour les candidats délégués des syndicats dits jaunes, en sollicitant votre vote et ne disposant d'aucune expérience professionnelle durant tout ce temps passé au DNOR.
Vous les connaissez très bien. Nul n'est besoin de citer des noms pour le moment.
De ce qui précède, quelles sont les qualités que doit avoir un délégué syndical ?
Le rôle essentiel du délégué syndical consiste à présenter par écrit, soutenir, défendre en français devant l'employeur ou son représentant, les réclamations individuelles et les revendications collectives.
La fonction de délégué syndical exige une personne possédant certaines qualités de nature à faciliter l'accomplissement de ses tâches:
1. Il est indispensable qu'il soit bon militant syndical. A cet effet, il lui faut le contact facile avec les travailleurs du DNOR, un dynamisme entraînant l'action.
Il doit être explicatif, convainquant, accrocheur, battant. Ça, c'est Christian Kaniki Kalanda, votre Charcom.
2. Il lui faut ce qu'on appelle : ‘’intelligence de sa mission’’, c'est-à-dire, un esprit critique.
Il ne saurait, en effet, sans nuire à ses responsabilités, porter à la direction n'importe quelle réclamation ou revendication.
Il ne doit pas, en outre, être un mouchard à la solde de la direction, en contrepartie des avantages sociaux professionnels.
3. La tenue, son langage (libomi), sa manière de se présenter, son comportement au cours des entrevues et réunions sont importants.
4. Il doit être bon professionnel (Ko yeba mosala) ne donnant pas prise à des reproches, des insuffisances ou des incapacités.
Tout le contraire, c'est mon Challenger à la délégation syndicale, l'homme de paille du syndicat jaune, en est une illustration criante d'insuffisance et d'incapacité professionnel.
A son actif, en 15 ans de service au DNOR, aucun dossier initié, traité et/ou finalisé.
Il ne mérite pas votre vote.
Le 23 juin, je vote CSC,
‘’Je vote Christian Kaniki Kalanda Délégué syndical’’

 

 

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