All Section

All Stories

RDC : Rostel Tomandji donne les 5 points qui définissent le rôle de la jeunesse dans l’émancipation de l’Afrique

L’acteur culturel et planificateur d’événements, Rostel Tomandji a animé, ce mercredi 7 juin 2023, au centre culturel Andrée Blouin de Ngaliema à Kinshasa, une activité culturelle et scientifique portant sur le « Rôle de la jeunesse dans l’émancipation de l’Afrique ». Ce colloque est organisé par le centre culturel Andrée Blouin pour dynamiser et faire progresser le raisonnement et la réflexion de la jeunesse africaine, en général, et congolaise, en particulier, afin de lui permettre de faire une rupture épistémologique entre les données stéréotypes, figées pour l’amener au changement complet de la raison pure et orientée vers l’intelligibilité continue de l’analyse situationnelle, de l’observation, la concentration à l’action.
Dans son introduction, Rostel Tomandji a, avant tout, indiqué les cinq sections qui constituent son discours. Il s’agit de : La jeunesse africaine peut être une force motrice de l’innovation ? ; La jeunesse doit être engagée dans la transformation sociale ; le dynamisme économique ; la participation politique et enfin, l’éducation et le savoir-faire. Ensuite, il a fait savoir que ces cinq points composant son message, ont pour objectif de montrer clair et net que les jeunes africains en général, et congolais, en particulier, ont un rôle bien déterminé à jouer pour leur continent et pour leur pays.
Poursuivant linéairement sa pensée, il est arrivé à démontrer de bout à bout que les éléments unitaires de la première section donnent en même temps la définition qualitative et justifiable de la jeunesse africaine qui la considère comme une force et une innovation pour l’Afrique et pour la RD Congo.
Expliquant hautement et sérieusement le deuxième aspect de son sujet, cet acteur culturel et planificateur d’événements, a laissé entendre à l’assistance que les jeunes d’aujourd’hui héritent les problèmes d’hier. Et une fois que cette jeunesse est confrontée à ce sang de jeunes, cette mentalité lui permet à vouloir changer les choses.
A l’en croire, les jeunes africains ne doivent pas rester dans cet aspect de ceux qui se plaignent, de ceux qui entendent que les autres ou de ceux qui entendent que le changement puisse provenir des autres. Autrement dit, cette solution devra venir des autorités du pays, du continent ou des expatriés.
Pour ce qui est du dynamisme économique, l’orateur a indiqué qu’:«Aujourd’hui, nous remarquons qu’une majorité de jeunes entrepreneurs africains créent des petites et moyennes entreprises qui contribuent à la croissance économique du pays et du continent. Ces entreprises créées par la jeunesse africaine consciente tant soit peu à résorber le taux de chômage en Afrique et dans le Congo. En plus, il a procédé par définir le concept entrepreneur comme étant une personne qui apporte une solution à un problème trouvé dans la société. Ainsi, il dit : «On comprend que, plus qu’il y a des entrepreneurs en Afrique, plus qu’il y a des solutions aux problèmes identifiés en Afrique».
Dans la sphère de la participation de la jeunesse africaine à la politique, cet animateur s’est basé sur la participation de la jeunesse sénégalaise comme paradigme appuyant le développement d’un pays.
«Au Sénégal, les jeunes sont impliqués à la participation politique, à la vie politique de leur pays, tout simplement parce que les jeunes ont pris conscience de leur devoir et leur droit civique. Cette manière de voir les choses n’est pas partagée avec la politique congolaise qui, pour l’essentiel, est dominée par les vieux loups qui tienne la baraque. En dépit de tout de ça, il y a un groupe de jeunes dont les femmes qui embrassent la carrière politique », a-t-il fait savoir.
Au niveau de l’éducation et le savoir-faire, Rostel Tomandji a expliqué à l’assistance que l’éducation et le savoir-faire constituent l’ensemble de bases pour impulser le développement dans le Congo et en Afrique et, pour rivaliser avec les autres jeunes, générations, cultures et continents. Pour que les jeunes africains arrivent à cette dimension, il faut que la jeunesse d’aujourd’hui soit formé.
Notons cependant que cet échange d’idées et des connaissances approfondies et analytiques a donné lieu à une discussion scientifique et détaillée de tous les côtés. Tous les participants à ce colloque ont eu à glisser des idées constructives pour la RD Congo et pour l’Afrique, en général.
Hénoc Akano

RDC : Rostel Tomandji donne les 5 points qui définissent le rôle de la jeunesse dans l’émancipation de l’Afrique
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

ACAJ proteste et condamne : Les domiciles de Katumbi à Kinshasa et de Kalonda à Lubumbashi perquisitionnés

La double perquisition des résidences de Moïse Katumbi à Kinshasa, plus précisément au quartier GB, dans la commune de Kintambo et de Salomon Kalonda à Lubumbashi, ce jeudi 8 juin, a fait l’objet de plusieurs réactions. Un acte condamné par l’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) qui parle d’un acte qualifié d’illégal. Georges Kapiamba, responsable de cette Ong des droits de l’homme indique : «Les perquisitions que les agents de renseignements militaires conduisent actuellement dans les résidences de Moïse Katumbi en l’absence de ces derniers et de leurs mandataires spéciaux sont amplement irrégulières ”.
Pour sa part, Francis Kalombo, l’un des proches collaborateurs de Moïse Katumbi, visiblement sur le lieu, a indiqué que rien de suspect n’a été trouvé par le service. “ A vue d’œil, les renseignements militaires n’ont rien trouvé et rien emporté. Ils ont fouillé de fond en comble, le lit, les fauteuils, les coussins et les meubles. Ils sont partis les mains vides. L'honnêteté nous pousse à dire qu'ils n'ont rien trouvé", a-t-il déclaré avant d’ajouter que leur formation politique ne fait rien d’illégal.
Et de poursuivre : “ Nous sommes sereins. On ne fait rien de compromettant. Nous ne sommes qu’un parti politique en insistant : «Nos militants doivent rester serein".
Le parti de Katumbi condamne
Le parti politique de Moïse Katumbi a immédiatement réagi quelques heures après ces perquisitions. Dans une communication du secrétaire général Dieudonné Bolengetenge, Ensemble pour la République de Moïse Katumbi dénonce et condamne des “abus de plus et de trop” du régime en place et appelle la population à la résistance.
“Ensemble pour la République condamne et dénonce comme des abus de plus et de trop, les perquisitions effectuées en ce jour dans la résidence de son président national et dans celle de son collaborateur dont la détention arbitraire est en cours, comme un harcèlement qui ne vise qu’à museler l’opposition et voiler les insuffisances du pouvoir en place. Nous appelons le peuple souverain à résister à cette dérive dictatoriale qui prépare le lit de confrontation entre congolais alors que d'immenses défis sociaux et sécuritaires accablent déjà ce peuple, et que la cohésion nationale s'en trouve fortement menacée”, a-t-il dénoncé.
Par ailleurs, Ensemble pour la République considère cet acte comme un harcèlement politique orchestré à l’endroit de Moïse Katumbi et de sa famille politique par différents services de l’Etat. Cette opération s’est déroulée, insiste Dieudonné Bolengetenge, sans que le propriétaire de lieu n’ait été prévenu de cette action alors qu’il est même absent de Kinshasa.
Et de révéler : “Ce qui s’est passé chez lui est tout simplement innommable. Les agents ont bouclé une partie du quartier de sa résidence et évacué toute personne présente aux alentours, refusé l’accès aux avocats du propriétaire du lieu dont ils ont forcé les portes pour opérer leur forfait. Une perquisition et la fouille d’un lieu en vue d’y trouver les preuves d’une infraction”.
“Au terme de cette opération irrégulière et cavalière, rien d’anormal n’a été trouvé ou retenu. Le PV dressé à la main par les visiteurs comportait des vides entre les paragraphes, qui ont mis la puce à l’oreille de la personne trouvée dans les voisinages, et qu’on a pressée de signer. Faute de garantie d’obtenir une copie par devers elle, cette personne n’a pas signé”, a-t-il conclu.
Emma Muntu

ACAJ proteste et condamne : Les domiciles de Katumbi à Kinshasa et de Kalonda à Lubumbashi perquisitionnés
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Serment de Hauts magistrats nouvellement nommés, Cour constitutionnelle : Félix Tshisekedi prend acte !

L’heure du travail a sonné pour les hauts magistrats récemment nommés à la Cour constitutionnelle. Conformément à la loi organique N°13/026 du 15 octobre 2013, ils ont prêté serment hier, jeudi 8 juin 2023, devant le Président de la République, le Magistrat Suprême, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, au cours d’une cérémonie solennelle organisée au Palais du peuple, dans l’ex Saint Jean. Il s’agit de Mukolo Nkokesha, reconduit au poste de Procureur général, Ndaka Matandombi, Bonane Biakwajiri et Masiala Kaza, nommés tous trois avocats généraux.
Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, les présidents de deux Chambres sœurs du Parlement, Modeste Bahati et Christophe Mboso, ainsi que plusieurs personnalités de marque ont assisté à la cérémonie. La présence du Président de la République à cet évènement était une bonne façon pour lui de réaffirmer sa détermination et son engagement sans faille d’œuvrer en faveur de l’avènement d’un véritable Etat de droit en République démocratique du Congo durant son passage à la magistrature suprême. C’est dans cette démarche qu’il convient d’inscrire sa participation à plusieurs évènements à caractère judiciaire aussi bien à la Cour constitutionnelle, à la Cour de cassation qu’au Conseil d’Etat : rentrée judiciaire, prestation de serment et autres.
Il est bon de noter que la Cour constitutionnelle est une Institution issue de l’article 157 de la Constitution de la République. Neuf juges composent son ossature. Trois sont nommés par le Président de la République, trois issus du Parlement et trois autres choisis par le Conseil Supérieur de la Magistrature. Elle est dirigée, actuellement, par Dieudonné Kamuleta Badibanga, qui a remplacé à ce poste un autre Dieudonné, Kaluba.
La Pros.

 

Serment de Hauts magistrats nouvellement nommés, Cour constitutionnelle : Félix Tshisekedi prend acte !
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

RDC : Claude Ibalanky et le regroupement REPOP derrière la vision de Félix Tshisekedi

La salle haute du site Aqua Splash, 14è rue Poids Lourds à Limete, a servi de cadre, dimanche 11 juin, à la cérémonie de sortie officielle du nouveau regroupement politique Réveil Populaire, REPOP en sigle. La cérémonie a été marquée par plusieurs temps forts avec, à la plus haute échelle, l’allocution de son Président et Autorité morale : Claude Ibalanky Ekolomba. Dans son mot, l’homme a placé l’accent sur le sens de la naissance du Réveil Populaire qu’il a souligné avoir pour objectif de soutenir la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, d’amener le peuple congolais vers un Congo de ses rêves.
Pour sa brève définition, Réveil Populaire est un regroupement de quatre partis politiques qui se sont ainsi mis ensemble dans le but de porter avec victoire la candidature unique de Félix-Antoine Tshisekedi à l’élection présidentielle qui se pointe à l’horizon. Il y a parmi eux : Cause Commune, de Claude Ibalanky lui-même, APCN (Alliance pour un Congo Nouveau), UPRC et Les Congolais.
Sur le plan des organes de ce nouveau regroupement très prometteur, il y a lieu de souligner que, en plus de la Présidence qu’occupe Claude Ibalanky, il y a la Première Vice-présidence qui revient à l’UPRC, la Deuxième à la Cause Commune, la Troisième à l’APCN, sans oublier le Secrétariat Exécutif qui revient, lui, au parti Les Congolais de Serge Kimbuta, qui est en même temps attributaire attitré de ce rôle central au sein du Regroupement.
‘’Nous nous battrons becs et ongles dans les six mois à venir pour réussir notre pari de réélire notre joker, Félix-Antoine Tshisekedi’’, décision commune du Réveil Populaire rendue par Claude Ibalanky durant son allocution.
Voilà ce qui justifie le sens de l’élection qui a été organisée sur place à l’interne par la centrale électorale du REPOP et dont la lecture du Procès-verbal de dépouillement a désigné Félix-Antoine Tshisekedi comme leur choix unique au regard de l’élection présidentielle qui se profile à l’horizon.
A en croire le résultat des urnes à l’issue de cette élection primaire, Félix-Antoine Tshisekedi est élu au sein du REPOP, à 99, 96% de voix, lesquels ont fait de lui, acte électoral en appui, le candidat unique du Réveil Populaire.
Pour le confirmer, il s’en était suivi un moment de son investiture en tant que tel par l’Autorité morale et Président du REPOP, Claude Ibalanky qui a en plus évoqué les raisons ayant milité en faveur de ce choix. Parmi ces raisons : la preuve des acquis de son programme présidentiel qui vaut la peine d’être consolidé dans les 5 ans à venir, sa nationalité congolaise basée sur sa filiation biologique qui lui vaut son engagement patriotique contre la concrétisation du projet de balkanisation de la République Démocratique du Congo qu’il veut une et indivisible, cet engagement lui-même, et la liste n’est pas exhaustive. Pour Claude Ibalanky, le réveil de la République Démocratique du Congo, c’est ici et maintenant.
L’auteur du Réveil Populaire, faut-il le présenter ne serait-ce que de façon partielle, est un homme d’un riche parcours. Il a été Conseiller spécial de Félix-Antoine Tshisekedi, à l’époque où il était encore Président de l’UDPS. Il lui a servi plus tard d’Ambassadeur itinérant, aussitôt après qu’il fut devenu Chef de l’Etat. Il a en plus travaillé comme Coordonnateur du Mécanisme National de Suivi et a été Haut-Représentant du Mécanisme Régional de Suivi de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.
Saint-Germain Ebengo

 

RDC : Claude Ibalanky et le regroupement REPOP derrière la vision de Félix Tshisekedi
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

La RPDC et l’anniversaire de l’Organisation des Enfants de Corée (OEC)

En République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, tous les membres de l’OEC ont célébré, avec pompe, le 77ème anniversaire de la fondation (06/06/1946) de leur organisation;
- Ils ont visité les statues et les portraits rayonnants des Généralissimes KIM IL SUNG (1912-1994) et KIM JONG IL (1942-2011), érigés partout dans le Pays, pour y déposer leurs corbeilles ou bouquets ou gerbes de fleurs multicolores avant de s’incliner respectueusement.
- La conférence des éléments les plus actifs de belles actions des enfants et l’assemblée générale de l’OEC ont eu lieu dans le cadre des comités de l’Union de la Jeunesse Patriotique Socialiste (UJPS) de province, de ville et d’arrondissement et au niveau des organisations de l’UJPS et de l’OEC de chaque école primaire et secondaire.
- Les membres de l’OEC de toutes les régions du Pays ont passé leur jour agréable, en assistant aux spectacles par détachement et participant aux compétitions sportives et ludiques.
Les cadres responsables du Parti du Travail de Corée (PTC, parti au pouvoir, créé en 1945, NDLR) et de l’organisme du Pouvoir populaire de province, de ville et d’arrondissement ont visité les écoles pour féliciter les membres de l’OEC en fête.
① 04-06/06/2023
Se sont déroulées les Compétitions Sportives d’Ecoles Révolutionnaires-2023.
Y ont participé les joueurs sélectionnés de l’Ecole Révolutionnaire de Mankyong-dae (où se trouve le village natal de KIM IL SUNG, NDLR), de l’Ecole Révolutionnaire KANG Pan Sok (la Mère de KIM IL SUNG, NDLR), de l’Ecole Révolutionnaire de Nampho (Ville-Province au bord de la Mer de l’Ouest de Corée, NDLR) et de l’Ecole Révolutionnaire Saenal (ou aube ou nouveau jour, NDLR), temples d’éducation des enfants des Martyrs révolutionnaires et centres de formation des éléments d’élite de réserve dignes de confiance de la Révolution coréenne.
Y ont assisté les cadres du Comité Central (CC) du PTC, de l’UJPS et des organismes des forces armées, le personnel enseignant et administratif et les élèves desdites 4 écoles révolutionnaires.
Les compétitions sont divisées en 14 disciplines, entre autres football, basket-ball, volley-ball, tennis de table, traction à la corde, tir, natation, course de relais, etc. Se sont classées 1ères;
- l’Ecole Révolutionnaire de Mankyong-dae, dans les épreuves masculines
- l’Ecole Révolutionnaire KANG Pan Sok, dans celles féminines.
② Le Jour-J (6 juin)
- La remise des lance-fusées -
Les élèves du Pays entier avaient mené, avec enthousiasme, leur Mouvement d’Actions Méritoires pour se procurer des lance-fusées Sonyon-ho (ou dédiés par les enfants) à offrir à l’Armée Populaire de Corée. La cérémonie de remise de lance-fusées a eu lieu sur l’esplanade du Palais des Enfants de Mankyong-dae (le plus grand centre d’éducation extrascolaire pour enfants du Pays, érigé en 1989 et réaménagé en 2015, NDLR). Y ont pris part;
- KIM Su Kil, Secrétaire-en-chef du Comité de la Ville Pyongyang du PTC
- RI Tu Song, Chef de département du CC du PTC
- les permanents de l’UJPS
- les soldats et officiers de l’APC
- les élèves, notamment les participants à la Course de Relais de la lettre de serment de fidélité à l’adresse de KIM JONG UN.
MUN Chol, Président du CC de l’UJPS, a fait son discours de circonstance dans lequel il a;
- dit notamment: Se procurer des armes et équipements portant le nom Sonyon-ho pour les offrir aux postes de défense nationale constitue une précieuse tradition de l’OEC avec sa glorieuse histoire de plus de 70 ans.
- insisté sur la nécessité, pour tous les élèves, de se préparer en talents dotés de riches connaissances, d’une noble morale et d’une robustesse physique.
Le certificat de remise de lance-fusées a été transmis à un officier de l’APC. Puis, on a écouté les interventions. A l’issue de la cérémonie, les lance-fusées sont partis pour les unités de l’APC sous les acclamations enthousiastes des élèves.
- La représentation artistique -
La représentation artistique des enfants intitulée «Notre Soleil bienfaiteur» s’est jouée au Palais des Enfants de Mankyong-dae. Y ont assisté;
- RI Tu Song, Chef de département du CC du PTC
- MUN Chol, Président du CC de l’UJPS
- les permanents de l’UJPS
- les élèves de l’Ecole Révolutionnaire de Mankyong-dae et de celle KANG Pan Sok
- les élèves, notamment les participants à la Course de Relais de la lettre de serment de fidélité à l’adresse de KIM JONG UN.
Commencé par le prélude «Giron du Soleil», le spectacle comprenait les numéros variés, entre autres, ensemble vocal avec accompagnement au kaya-gum (instrument à cordes fabriqué au 6ème siècle, NDLR) avec solo, solo masculin et chœur, ensemble vocal féminin, gymno-chorégraphie, etc.;
- Animés d’un sentiment de vénération sans bornes envers KIM IL SUNG et KIM JONG IL, les jeunes artistes ont chanté à la louange de ces 2 grands Hommes qui avaient consacré toute leur vie pour la fondation d’une organisation révolutionnaire des enfants de Juché (idéologie directrice éternelle créée par KIM IL SUNG en 1930 coïncidant avec le début de la Résistance antijaponaise, NDLR) et la formation des membres de l’OEC en fils et filles dignes de la Patrie.
- Le spectacle a reflété, dans ses œuvres, le sentiment de vénération envers KIM JONG UN qui prodigue une affection et une sollicitude immenses à la nouvelle génération en considérant le travail pour le bien de la postérité comme la tâche la plus importante du PTC et de l’Etat.
Tous les numéros de ces petits talents ont été, vivement, applaudis par les spectateurs.

La RPDC et l’anniversaire de l’Organisation des Enfants de Corée (OEC)
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Moïse Katumbi parle de honte aux manipulateurs et menteurs : Matata révèle que l’arme attribuée à Salomon Kalonda appartient à son garde du corps depuis son passage à la Primature

Le bloc de l’opposition de quatre candidats présidents de la République doit se frotter les mains après les révélations de l’ancien premier ministre Augustin Matata Ponyo. Allié de Moïse Katumbi, Martin Fayulu et Delly Sessanga, le leader du Leadership et Gouvernance (LGD) affirme sur son compte twitter que le pistolet de type Jericho attribué faussement à Salomon Kalonda, appartenait plutôt à son garde du corps.
Un élément nouveau devant être pris en compte par les services de renseignements militaires dans le dossier judiciaire du conseiller spécial de Moïse Katumbi, en détention à la Demiap depuis près de 11 jours. Pour Matata : “Le pistolet Jericho attribué faussement à M. Salomon Kalonda, collaborateur de Moïse Katumbi, appartenait plutôt à mon garde du corps qui l’avait reçu en bonne et due forme de la Police depuis que j’étais Premier ministre. Arme perdue le 25 mai le jour du sit-in”.
Accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat, incitation des militaires à commettre des actes contraires à la loi et détention illégale d’armes, Salomon Idi attend être transféré devant son juge naturel.
Katumbi parle de honte aux manipulateurs et menteurs
C’est l’occasion pour le chairman de Ensemble pour la République de rebondir en parlant de honte après la révélation de Matata Ponyo. Prenant partie pour son proche collaborateur, il écrit sur son compte tweeter : “Honte aux manipulateurs et aux menteurs ! L’arme attribuée à Salomon Kalonda appartient en réalité au garde du corps de Mapon Matata qui l’avait perdue. Son numéro d’enregistrement l’atteste. La vérité est têtue. Elle finit toujours pas triompher”.
Pour rappel, Salomon SK Della a été appréhendé, le mardi 30 mai dernier, à l’aéroport international de N’djili par le renseignement militaire. Au cours d’une conférence de presse, lundi 5 juin dernier, l’état-major des renseignements militaires a dévoilé les raisons de l’arrestation du conseiller spécial de Moïse Katumbi.
Le Colonel Kangoli Ngoli, avait fait savoir que Salomon Kalonda est poursuivi pour détention illégale d’arme à feu et de munitions de guerre, atteinte à la sûreté de l’État et incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline.
«Devant les magistrats, la personne suspecte est présumée innocente. Donc, jusqu’à la preuve du contraire, il est présumé innocent. Mais, nous avons des faits pour lesquels il est poursuivi. Nous le poursuivons pour incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline, nous le poursuivons également pour détention illégale d’arme et des munitions de guerre et nous le poursuivons pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État. Voilà les trois chefs d’accusation que nous avons mis à la charge de monsieur Salomon », avait-t-il indiqué.
Par ailleurs, cet officier des FARDC avait affirmé que ce proche collaborateur de l’ancien gouverneur du Katanga entretiendrait des contacts avec le M23 et les officiels rwandais dans le but de renverser le régime en place en RDC.
L’interpellation de Salomon est intervenue alors qu’il s’apprêtait à regagner Lubumbashi avec Moïse Katumbi et toute l’équipe du parti Ensemble pour la République après un séjour d’un mois à Kinshasa où des manifestations de l’opposition avaient été organisées.
Emma Muntu

Moïse Katumbi parle de honte aux manipulateurs et menteurs : Matata révèle que l’arme attribuée à Salomon Kalonda appartient à son garde du corps depuis son passage à la Primature
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Assemblée nationale : ras-le-bol des femmes parlementaires qui sollicitent le soutien de Mboso

C’est dans une correspondance du lundi 5 juin dernier adressée au speaker de la chambre basse du Parlement que les femmes réunies au sein du Réseau des Femmes Parlementaires, ont exprimé leur indignation. Victimes de la violence et de l’injure facile, ces femmes qui ont opté pour la politique à l’hémicycle ont dénoncé ce comportement abject en ces termes : «La participation des femmes à la vie politique en RDC semble ces derniers temps devoir se faire au prix de l’acceptation des violences sous diverses formes : violences physiques, télévisuelles, médiatiques, attaque physique et violence psychologique dans le but de restreindre la présence des femmes dans l’espace public. Ainsi, des incidents à répétition ayant frappé diverses femmes politiques ou citoyennes ordinaires en RDC, un des derniers incidents est l’attaque du bureau de la députée Jaynet Kabila».
Les élues du peuple à l’Assemblée nationale citent dans leur courrier les cas de «l’Honorable Mushobekwa, exclue du parlement, Madame Ifoku, candidate malheureuse des élections présidentielles de 2018, insultée pour avoir proposé un schéma politique de sortie de crise en faveur d’un camp politique, Honorable Dominique Munongo Inamizi, menacée et traitée de tous les noms pour la liberté d’expression, Honorable Jeanine Mabunda, injuriée par les extrémistes de certains partis politiques, des jeunes filles tabassées au Maniema par les miliciens extrémistes, l'honorable Jaynet Kabila dont le bureau a été attaqué, la Vice-Ministre de l’EPST, Aminata Namasia, critiquée dans les médias, les femmes malmenées à l’Est du pays, au Kasaï, au Grand Katanga,… ».
Pour ce faire, «Elles appellent à la retenue de tous les acteurs politiques » et « sollicitent de Christophe Mboso Nkodia, de Modeste Bahati Lukwebo et de Mireille Masangu Bibi Muloko, que l’art. 25 du Règlement d’Ordre Intérieur de l’A.N. soit respecté afin que la participation des femmes en politique puisse être garantie en RDC ainsi qu’une attitude proactive de condamnation de tous les actes visant à incommoder ou à intimider les femmes faisant de la politique »
Prenant fait et cause des femmes d’une façon générale, aux ONG des droits de la femme, en particulier et aux Commissions des Sages et du Genre de l’Assemblée nationale, ledit Réseau souhaite des enquêtes et clarté sur ces incidents à répétition.
Les copies de cette lettre ont été réservées au Président du Sénat, au Vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, au ministre des Droits Humains, à la ministre du Genre, Famille et Enfant ainsi qu’à la ministre de la Justice et Garde des Sceaux. Ce courrier du Réseau des femmes parlementaires a été signé par les honorables Magguy Rwakabuba en qualité de vice-présidente et Dominique Munongo Inamizi en tant que rapporteure.
Emma Muntu

 

Assemblée nationale : ras-le-bol des femmes parlementaires qui sollicitent le soutien de Mboso
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

RDC: Jean-Pierre Lacroix soutient le retrait graduel de la Monusco

En marge de son passage en RDC, le Secrétaire Général adjoint des Nations Unies aux opérations de Paix, Jean-Pierre Lacroix, a tenu une conférence de presse ce 7 juin 2023, pour évoquer les dispositions mises en place en vue du départ progressif de la Monusco d’ici le 31 décembre 2023. Tenant compte du contexte du processus électoral, il a évoqué la situation sécuritaire des Provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, sur laquelle il a exprimé les préoccupations et les craintes de la mission, avec des pistes de solution afin de ne pas laisser un vide sécuritaire.
Pour ce qui concerne les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu notamment, les zones affectées par le M23, Jean-Pierre Lacroix s’est étalé sur les similitudes et les différences de chaque région. En termes de similitude, il a précisé que plusieurs civils sont protégés par la MONUSCO, et qu’il faut tenir compte, dans un processus de départ sans laisser un grand vide.
A l’entendre, la présence importante de la MONUSCO joue un rôle dans la défense de Goma, et dans d’autres sites en bonne intelligence avec les forces congolaises et avec d’autres forces dont la Communauté Est Africaine.
«Nous avons beaucoup travaillé pour nous engager à soutenir le projet de pré-cantonnement des éléments du M23. Il a été question dans nos discussions avec les autorités. Nous avons aussi discuté de ces questions avec les autorités angolaises, avec lesquelles je me suis entretenu à Luanda», a-t-il expliqué.
Dans le cadre de cette transition et de ce processus évoqué, Jean-Pierre Lacroix a indiqué qu’ils devront soumettre un rapport aux Etats Membres du Conseil de sécurité. Mais aussi de faire le constat ainsi que des recommandations sur ce qui pourrait être l’évolution du mandat de la Monusco de la phase qui va s’ouvrir, pour faire avancer dans cette transition.
Continuer à travailler avec les autorités afin que le processus de montée en puissance de l’Etat Congolais permette de réduire leur présence, telle est l’une des démarches entreprises par la mission afin de conduire de manière responsable leur retrait pour qu’il n’y ait pas un vide qui serait fatale aux populations.
Sur le processus électoral, il a estimé qu’il est essentiel que celui-ci se déroule dans la sérénité car, il a été remarqué des violences intervenues lors des récentes manifestations. Au regard de cela, il y a une préoccupation de la part de beaucoup d’interlocuteurs quant aux discours de haine, au discours xénophobe, au discours misogyne, au discours de confrontation ethnique.
De ce fait, il a mis l’accent sur l’arrêt de ces discours, et à ce climat de négativité car cela doit être pris au sérieux, d’autant plus que les Nations Unies ont une responsabilité particulière pour contribuer à la lutte contre ces phénomènes.
Niclette Ngoie

 

RDC: Jean-Pierre Lacroix soutient le retrait graduel de la Monusco
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

RDC : Israël Musimwa et le PCBG derrière le combat et la vision de Denis Mukwege

‘’Opportunité pour un leadership fort, responsable et transformationnel’’, tel était le thème de la conférence débat tenue, samedi 3 juin 2023, dans la salle Fatima dans la Commune de la Gombe. Au cours de cette rencontre organisée par le parti congolais pour la Bonne Gouvernance, PCBG, Israël Musimwa Bisharhwa, président du parti, a annoncé son soutien à une éventuelle candidature du Dr Dénis Mukwege.
D’après lui, à la tête de ce pays, on a besoin d’une personne comme Dénis Mukwege. C’est-à-dire, ‘’une personne qui incarne l’amour, la paix, la bonté, le pardon, la réconciliation, la justice’’.
Israël Musimwa est également revenu sur le processus électoral en cours dans le pays. Pour lui, ce processus était déjà mal parti. C’est-à-dire, depuis la nomination du président de la Ceni. Car, selon lui, avec la nomination des personnes de la même tribu que le Président de la République, les élections ne pourront pas être crédibles et cela apportera toujours des contestations. C’est ainsi qu’il a exigé aux autorités compétentes de corriger d’abord dans ce sens. Il s’agit, pour lui, de débarquer le président de la CENI ainsi le président de la Cour constitutionnelle et cela, dans le délai. Et la nouvelle équipe aura la lourde tâche, d’après lui, de corriger l’actuel fichier électoral, en proposant un fichier électoral convenable, a-t-il affirmé. En cas de glissement, il propose que le président Tshisekedi passe les commandes au président du sénat Bahati Lukwebo, qui devra organiser les élections dans les trois mois à venir.
Créé le 21 avril 2005 à Bukavu par certains leaders issus de la société Civile de la RDC, le Parti Congolais pour la Bonne Gouvernance est l’expression politique de la lutte longtemps menée par le peuple congolais à travers la Société Civile, pour un Etat de droit.
Le PCBG prône notamment, une société tolérante et participative, une société civile forte et partenaire des pouvoirs publics, en reconnaissant à chaque citoyen un rôle d’acteur principal dans le secteur privé d’une part, et, d’autre part, en lui faisant jouer, au-delà des élections, un rôle de participant actif dans les choix démocratiques.
Nelly Somba

 

RDC : Israël Musimwa et le PCBG derrière le combat et la vision de Denis Mukwege
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)
Image

Download Our Mobile App

Image
Image