Le Ministre d'Etat en charge de l'Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi et le Coordinateur du Mécanisme national de suivi des accords d'Adis-Abeba (MNS), Claude IBalanky Ben Baruch Ekolomba,
ont, évalué, ce lundi 17 avril 2024, le travail du MNS en faisant une projection sur les plans d'actions prioritaires qui ouvrent sur la 11 ème réunion de haut niveau du mécanisme régional de suivi prévue pour ce 6 mai 2023,à Bujumbura (Burundi).
Le sommet de Bujumbura sera notamment marqué par la cession du bâton de commandement par le Président en exercice du Mécanisme de l'Accord-cadre d'Adis-Abeba, Félix Tshisekedi à son homologue burundais, Evariste Ndayishimiye.
All Stories
Le Président rwandais Paul Kagame en tournée en Afrique de l’Ouest, a tenté une fois encore de tester l’attachement des Congolais à l’intégrité de leur territoire. Après les institutions publiques, c’est au tour des acteurs politiques toute tendance confondue de prendre la relève. Si le RCD, le CNDP sont parvenus à se glisser entre les mailles des institutions congolaises, le M23 aura eu le malheur de faire face à un régime issu de la passation pacifique du pouvoir de 2018.
Les Congolais à l’unisson ont condamné les velléités de balkanisation de leur territoire, le plus grand de la communauté de l’Afrique de l’Est par le plus petit de ladite communauté à savoir, le Rwanda.
Le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo, a, lors de la séance plénière de lundi 17 avril dernier, sensibilisé la classe politique sur la menace de balkanisation de la République démocratique du Congo, après les derniers propos tenus par le Président rwandais Paul Kagame.
À en croire le président de la Chambre Haute du Parlement, le pays est aujourd'hui en danger plus que jamais et que seule une prise de conscience collective et sincère pourrait déjouer n'importe quel « complot » contre la patrie. Et d’enchainer : « Le complot, ce n'est plus un secret. C'est connu. Mais maintenant il faut agir. Pour agir, nous devons tous être comme un seul homme. Et pour le faire, il va falloir mettre de côté les sentiments, les questions politiciennes, de repositionnement politique et tout ça ».
Le Ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya a été l’invité d’honneur au café juridique organisé, mercredi 19 avril 2023, dans la salle Monekoso, à l’Université de Kinshasa, par les jeunes étudiants de la faculté de droit, autour du thème la RDC dans le monde 2023. C’était en présence du Recteur, le Professeur Kayembe.
Le Porte-parole du gouvernement des warriors a fait, à l’intention des futurs juristes congolais, une analyse dense sur la guerre d’agression que continue d’imposer le Rwanda à la RDC.
En bon communicologue, l’homme a fait découvrir aux jeunes étudiants ce qui se passe à Kigali, qui continue de croire que la prospérité du Rwanda doit passer par l’instabilisation de la République Démocratique du Congo.
Voilà pourquoi, il continue à se servir du M23 comme son cheval de bataille pour arriver coûte que coûte à cette fin.
Le Forum des intellectuels congolais de l’étranger appelle le Président de la République, Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, en sa pleine qualité de garant de la nation, à ouvrir grandement l’œil sur le mandat de la force de l’EAC sur le sol congolais. Le Forum alerte que le modus operandi de cette force régionale pourrait engendrer, à la longue, un complot aux conséquences inestimables. Le FICE, qui s’indigne du report de la réunion prévue à Goma entre les ministres de défense de l’EAC, exhorte les congolais à rester vigilants face à une telle situation qui ne dit pas son nom. Dans une communication faite par son Président, mercredi 19 avril, ce forum des congolais de la diaspora invite-il les dirigeants congolais à prendre leurs responsabilités pour sauvegarder la souveraineté du pays.
«Une rencontre était prévue aujourd’hui entre les ministres des défenses des pays de l’Afrique de l’Est avec les autorités congolaises pour évaluer le mandat de la mission de force de l’Afrique de l’Est, venue intervenir dans notre pays. Cette réunion n’a pas eu lieu parce que les ministres des autres pays n’ont pas répondu à l’appel du gouvernement Congolais à Goma. Et les raisons de cette absence n’ont pas été données. Par contre, c’est l’intervention du ministre de la communication, qui nous montre que les choses ne sont pas au point fixe avec les forces de l’Afrique de l’Est. Voici comment il décrit cela sur la radio okapi : cette réunion devrait discuter de l’avenir de la force régionale parce qu’il y a des points sur lesquels la RDC n’est pas d’accord dans la manière dont les choses ont fonctionné. Evidemment, cette déclaration du ministre montre qu’il y a eu des problèmes dans l’exécution de cette mission », insiste le FICE, qui soutient que ‘’la situation à laquelle nous faisons face maintenant est que nous avons sur le sol congolais, la Monusco qui ne veut pas quitter le pays, les forces de l’Afrique de l’Est qui n’acceptent l’évaluation du ministère congolais, du Gouvernement Congolais, et qui s’absentent à une réunion tout simplement dans le but de ne pas entendre qu’on a plus besoin d’elle’’.
«Vous allez vous souvenir que nous les intellectuelles Congolais de l’étranger, nous avons déconseillé notre Gouvernement de ne pas accepter la venue de cette troupe sur le sol Congolais.
‘’Le monde a atteint le niveau de la marchandisation des données qui sont désormais l’or de demain’’, affirmation du Professeur Désiré-Cashmir Kolongele Eberande, Ministre congolais du Numérique. C’était lors du briefing conjoint relatif à la vulgarisation de l’ordonnance-loi portant code du Numérique, qu’il a tenu à l’intention de la presse, jeudi 13 du mois en cours, dans le studio de la RTNC, sous la facilitation de Patrick Muyaya, son homologue en charge de la Communication et Médias.
A en croire l’homme d’Etat congolais en charge du numérique, il est question d’engager la République Démocratique du Congo sur la voie de la transformation numérique de son administration publique et de tous les autres secteurs de la vie nationale tant publics que privés. Le résultat attendu est celui de faire du numérique le levier d’intégration de bonne gouvernance, de croissance économique et de progrès social.
Le Ministre en charge du numérique de la République Démocratique du Congo tient mordicus à régulariser son secteur en vue de sa règlementation selon les standards internationaux.
Par services ou activités numériques, Désiré-Cashmir Kolongele, fait allusion à ceux qui permettent à l’utilisateur ou au consommateur d’un système informatique ou d’un réseau de communication électronique, de créer, de traiter, de stocker ou de diffuser des données au moyen du dit système ou du dit réseau.
Me David Nonga, avocat au barreau de Kinshasa Gombe ne condamne pas mais juge inopportune la proposition de la loi sur l’interdiction de la consommation des animaux de compagnie. A l’en croire, cette initiative parlementaire ne répond pas aux attentes des congolais qui donnent la priorité aux défis sécuritaires à l’est du pays. Il l’a fait savoir au cours d’une interview accordée au journal La Prospérité le lundi 17 avril 2023.
Faisant objet de multiple débats depuis son annonce, la proposition de loi interdisant la consommation des animaux de compagnie, en particulier le chien, sous peine de servitude pénale, Me David Nonga a livré son point de vue quant à ce. « Le député National Boris Mbuku est parfaitement dans ses droits, c’est légitime pour lui de faire la proposition de cette loi, parce que le pouvoir lui est reconnu notamment par l’article 100 de la Constitution en tant que parlementaire. Il a cette vocation de proposer les lois. Donc, sur le plan de droit et sur le plan formel il n’a pas tort de proposer cette loi-là », a-t-il lâché.
«Kagame transgresse l’histoire, ses propos constituent une nouvelle provocation…». Telle est la réaction musclée du ministre de communication et médias et porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya, face aux derniers propos tenus par le président Rwandais, Paul Kagame, sur la situation sécuritaire qui prévaut dans l’Est, de l’existence du mouvement terroriste M23…
A partir de la province du Nord-Kivu où il accompagne le président Suisse Alain Berset, Patrick Muyaya réagit via son compte officiel twitter contre les allégations du Président Rwandais Paul Kagame, qui intervenait dernièrement depuis le Bénin. «Kagame transgresse l’histoire, ses propos constituent une nouvelle provocation. Ce qu’il ne dit pas ce qu’il est la cause de l’insécurité à l’Est, créateur du RCD, CNDP, M23. Ce qu’il ne doit jamais oublier ce que nous défendrons chaque centimètre de notre territoire », a écrit le porte-parole du gouvernement.
Au cours de cette conférence, le président Paul Kagame a affirmé que le problème du Congo, le problème de la région ou encore le problème du Rwanda ‘’n’est pas le M23’’. «Le M23 est la résultante des plusieurs autres problèmes qui n’ont pas été résolus depuis des décennies. Le problème du M23 existait même avant que Tshisekedi ne devienne président. Cela remonte même à 2012 », a affirmé Paul Kagame.
D’un ton ferme, à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, Patrick Muyaya Katembwe, Ministre de la Communication et médias, a remis les clepsydres à l’heure. Il a rejeté en bloc les allégations de Paul Kagame qui, lors de son séjour au Bénin, a déclaré que la RDC devrait des centimètres de son territoire au Rwanda. Pour Patrick Muyaya, ces propos ‘’mensongers’’ relèvent simplement de la provocation. Face à la presse réunie sur place, le Porte-parole du Gouvernement a rassuré que la RDC ne va pas faire le jeu du Président rwandais qui, d’après lui, ferait mieux de cesser de chercher des faux-fuyants pour s’assumer par rapport à ce qu’il a signé dans le cadre de la Feuille de route de Luanda pour cesser de soutenir le M23. Patrick Muyaya a indiqué, sans la moindre peur d’être contredit, que sur la question des frontières, la RDC est irréprochable. « Il (Kagame) n’a qu’à se référer à la Belgique qui pourra lui fournir les éléments », a soulevé le Ministre Muyaya.
Nœud du problème
Ce membre de l’exécutif central a rappelé que le Président Félix Tshisekedi s’était investi pour une harmonie sans précédent dans la sous-région. Voie que Kigali a détournée pour maintenir illégalement sa main sur les ressources naturelles dont dispose le pays.
«Le Président de la République, en juin 2021, avait voulu qu’on fasse une collaboration de manière transparente. Mais, ce n’est pas le choix qui est fait par le Rwanda. Au-delà de cela, nous allons, dès que je rentre à Kinshasa, avec mes collègues de la Justice et des Affaires étrangères, travailler sur le front judiciaire parce que nous pensons que si la justice n’est pas faite, nous n’aurons pas de garantie de nos répétitions de la crise à l’Est de la République démocratique du Congo. Les criminels sont connus, ils sont recyclés de manière régulière par le Président Kagame pour semer la mort et la désolation dans l’Est de la République démocratique du Congo. Pour lui permettre de garder la main sur les ressources qu’il acquiert frauduleusement. Vous allez observer avec moi qu’il a perdu un peu la boussole. Il y a quelques mois, il parlait de la traque de FDLR, puis on disait qu’il y a un discours de la haine, protection des communautés, puis un moment, on ne veut pas récupérer les réfugiés congolais qui sont au Rwanda. Et puis, depuis quelque temps, nous observons ce discours qui tend à commencer à parler des frontières. C’est de manière expresse qu’il le fait, car il a l’habitude de travestir l’histoire. Il peut le faire dans son pays le Rwanda, mais il ne peut pas le faire en République démocratique du Congo. Pour un petit rappel, en juin 2018, à Goma, il y a eu signature d’un accord de démarcation définitive des frontières. A l’époque, il y avait le Ministre de l’Intérieur Henry Mova Sakanyi et James Kabarebe qui était ministre de la défense (du Rwanda) », a tranché Patrick Muyaya.
Halte à la provocation !
Raymond Zephyrin Mboulou, ministre de l'Intérieur, décentralisation et développement locale de la République du Congo, a remis, vendredi à la Cité de l'Union africaine, un message du Président Denis Sassou Nguesso au Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
L'émissaire du Président Sassou Nguesso a déclaré
qu'entre Kinshasa et Brazzaville, les deux capitales les plus rapprochées du monde, il y a toujours des questions de bon voisinage et d'amitié à traiter. "Les deux Congo sont un seul pays et ont un même peuple", a-t-il souligné.
Le Ministre d'Etat, Ministre de l'Aménagement du Territoire, Me Guy Loando Mboyo, a pris des mesures concrètes pour protéger les parcs nationaux de la République démocratique du Congo, qui sont des joyaux naturels cruciaux pour la biodiversité et la survie des communautés locales.
En effet, l'aménagement du territoire joue un rôle clé dans la préservation de l'environnement et la promotion d'un développement durable. Il est donc essentiel de maitriser l'espace de la RDC afin de protéger ses ressources naturelles et de garantir un avenir durable pour ses citoyens.
La lutte contre l'exploitation illégale des minerais dans les parcs nationaux est une priorité pour le Ministère de l'Aménagement du Territoire. La loi sur l'aménagement du territoire, actuellement en débat au parlement, contribuera efficacement à mettre fin à cette pratique illégale. Au cours de sa rencontre avec le Directeur Général de l'Institut Congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN), Me Guy Loando Mboyo a réaffirmé son engagement à lutter contre l'exploitation illégale des minerais dans les parcs nationaux et a donné des orientations claires pour y parvenir.
Patrick Muyaya entouré de quelques membres du Comité de suivi des recommandations des Etats Généraux de la presse
Le Président du Comité de suivi des recommandations des états généraux de la communication et médias a tenu ce mardi 18 avril 2023 au Centre Nganda, sa 6ème Session.
Si les membres du Comité se sont penchés sur la validation de mandats de nouveaux membres, la salubrité médiatique, la vulgarisation de la loi Muyaya ainsi que les préparatifs de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai prochain, étaient également au menu des échanges.
Le Président du comité de suivi se dit satisfait de l'avancement des travaux.
" Il était essentiellement question de parler de l'ordonnance- loi qui a été récemment ratifiée à l'assemblée nationale. Nous attendons donc l'étape de sa publication dans le journal officiel pour avoir la copie avec laquelle nous allons faire campagne. Il fallait donc ici aujourd'hui discuter avec les parties prenantes du secteur pour qu'elles comprennent et se préparent à sa divulgation. Le souhait, ce n'est pas que le ministre puisse faire sa communication mais que les journalistes, les associations et les organisations professionnelles du secteur puissent prendre le lead de cette initiative" a indiqué le ministre Muyaya et Président du Comité de suivi des états généraux.
Parmi les recommandations phares de cette session, mettre un accent sur la divulgation de cette loi et pourquoi pas les grandes lignes en langues nationales. Surtout les innovations pour en faire large échos.
Une CIRGL plus active, efficiente, avec une gestion basée sur les résultats, le Minétat en charge de l'Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi l'a évoqué lors de l'audience qu'il a accordé ce lundi 17 avril 2023, au Secrétaire exécutif de la Conférence internationale sur la région de grands-lacs, M. Joao Samuel Caholo.
Tout a commencé par un huis clos, en tête-à-tête entre le Minétat et le secrétaire exécutif de la CIRGL. Plus d'une heure plus tard, ils ont été rejoints par leurs équipes respectives d'experts. Mbusa Nyamwisi a rappelé combien la RDC s'est employée pour la mise en place de la CIRGL et a longtemps misé sur cette organisation régionale pour le retour de la sécurité, la stabilité et la paix dans la région, particulièrement dans la partie est du pays. Hélas.
Depuis 2004, année de la création de l'organisation régionale qui englobe 12 pays dont tous les États de la sous-région de grands-lacs, l'est de la RDC vit dans la spirale de bruits de bottes et de détonations des Kalachnikovs. Certes, a reconnu le Minétat Mbusa, chaque pays a ses besoins basiques, ses défis spécifiques mais ce n'est qu'à travers des échanges sincères, au sein des structures régionales, en l'occurrence la CIRGL, que chacun des États membres peut non seulement retrouver son compte mais aussi rassurer ses voisins.
Le ministre d'État rdcongolais en charge de l'Intégration régionale s'est engagé à réactiver la CIRGL particulièrement dans son volet Paix et sécurité
Adèle Kayinda Mahina, Ministre du Portefeuille, en exécution d’une recommandation de l’Assemblée Nationale, a suspendu, de toutes ses fonctions, Fabrice Lusinde, l’actuel Directeur de la SNEL. Ici, en fac-similé, il y a lieu de retrouver, ci-dessous, un extrait de cette note coupe-gorge.
Ainsi, les carottes sont-elles devenues cuites, pour un homme qui, depuis sa nomination, a fait flèche de tout bois. Tantôt, la justice. Tantôt, le parlement. Entretemps, au sein de la SNEL, elle-même, la levée des boucliers a même trouvé son exutoire dans les dépendances des procédures judiciaires dont certaines sont encore pendantes. Est-ce le début de la fin de ce passage de Lusinde sur un trône à la tête de la SNEL dont il n’aura que peu duré ? Y a-t-il d’autres voies de recours ? Est-ce possible que le Président de la République aille, en vertu de son pouvoir discrétionnaire, à l’encontre d’une recommandation de l’Assemblée Nationale et, même-là, de la lettre de la Ministre du Portefeuille ? Difficile, en tout cas