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24 janvier : Célébration de la Journée Mondiale de la Culture Africaine et Afro descendants

Artiste-peintre Frank Dikisongele Zatumua, point focal de la JMCA en RDC.

La célébration de la Journée Mondiale de la Culture Africaine et Afro descendants (JMCA) se tient mardi, au siège de l’UNESCO, à Paris, en France, sous le thème « L’africanité globale pour une humanité réconciliée », indique un communiqué de l’agence onusienne dont une copie est parvenue à notre rédaction.

La république Démocratique du Congo sera également de la partie à travers son représentant qui n’est autre que l’artiste –peintre Franck Dikisongele, point focal de la JMCA.

Cette journée consiste à célébrer et à rendre un vibrant « Hommage à l’Afrique notre berceau commun! 

Selon le même document, le programme de cette cérémonie prévoit notamment, un panel sur le thème ‘‘Comment une identité culturelle assumée peut contribuer à l’avènement d’une humanité réconciliée’’, un débat, un cocktail dinatoire sous le thème ; « richesse et diversité culinaires afro » ainsi qu’une animation culturelles par plusieurs artistes musiciens et humoristes du Togo, du Soudan, du Ghana et des Comores.

Les panélistes Doudou DIENE, membre du Conseil d’administration de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, Dr Seynabou DIA-SALL, Fondatrice et Présidente du Global Mind Consulting et d’Action Africa Culture 55 (AAC55) , Dr Khalid HAMDANI, Directeur de l’Institut «Ethique et Diversité », Dr Quince DUNCAN, Université St. Olaf, Costa Rica sont également annoncés dans la programmation sous la supervision du Comité scientifique international du programme de l’UNESCO Routes des personnes mises en esclavage et du Directrice du Centre International de Recherches sur les esclavages et post-esclavages (CIRESC).

Adopté en 2019 lors de la 40ème session de la Conférence générale de l’UNESCO, la Journée mondiale de la culture africaine et afrodescendante, est célébrée le 24 janvier de chaque année. Il célèbre les nombreuses cultures dynamiques du continent africain et des diasporas africaines à travers le monde, renforçant ainsi le mandat de l’UNESCO de promouvoir le respect de la diversité culturelle et la créativité humaine dans le monde entier.

Cette date coïncide avec l’adoption de la Charte de la renaissance culturelle africaine en 2006 par les chefs d’État et des gouvernements de l’Union africaine. La célébration de cette journée vise également à promouvoir la ratification et la mise en œuvre la plus large possible de cette Charte par les États africains, renforçant ainsi le rôle de la culture dans la promotion de la paix sur le continent.

JD

24 janvier : Célébration de la Journée Mondiale de la Culture Africaine et Afro descendants
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Crue et inondations en RDC: urgence humanitaire à Mbandaka

Plusieurs provinces de la RDC sont touchées par des inondations, à la suite d’une crue exceptionnelle du fleuve Congo et de ses affluents. La situation humanitaire est particulièrement désastreuse dans la ville de Mbandaka. On déplore des morts, des maladies hydriques apparaissent, les installations hygiéniques se sont déversées dans les eaux, qui sont utilisées pour la cuisine ; les inondations ont déterré des corps dans les cimetières. Une catastrophe qui demande une réponse multisectorielle.

«La situation à Mbandaka est désastreuse», a déclaré l’abbé Louis Iyeli, prêtre de l’archidiocèse de Mbandaka-Bikoro, coordinateur diocésain de la Caritas. Pour le moment, depuis un mois, il ne pleut plus dans cette ville, capitale de la province de l’Equateur, dans le Nord-Est. La population est plutôt surprise par des inondations, provoquée par la crue, la montée des eaux du fleuve Congo, a-t-il indiqué dans une interview accordée à Vatican News. «C’est du jamais vu pour nous», s’est exclamé le prêtre, qui a décrit une situation qui requiert une réponse humanitaire urgente. Les habitants de Mbandaka et de ses environs ont déserté leurs maisons, on déplore quelques morts, dont des enfants; la population «fait ses besoins dans ces eaux, cette même eau est utilisée pour la cuisine et pour se laver; dans des cimetières, des corps sont sortis des tombeaux à cause de la puissance des eaux, les installations hygiéniques se sont déversées dans ces eaux». Beaucoup se plaignent des démangeaisons qui provoquent des petites plaies sur le corps, des maladies hydriques apparaissent et les nombreuses personnes qui passent la nuit à la belle étoile font face aux moustiques.

Une urgence humanitaire qui requiert une réponse multisectorielle

Face à une telle catastrophe, «je pense qu’il faut une réponse multisectorielle pour soulager la population, sur le plan de l’habitat, de la santé, social, …», a déclaré l’abbé Iyeli, qui estime que si rien n’est fait dans l’immédiat, la situation sera plus compliquée à la longue. L’un des organismes qui apportent une réponse à cette situation est la Caritas diocésaine de Mbandaka-Bikoro. La première solution est «la présence auprès des sinistrés» dans différents sites, afin de leur manifester la compassion, de les identifier et de les écouter pour savoir comment mieux les aider. L’organisme caritatif de l’Eglise apporte des aides «ponctuelles» aux indigents, car les moyens sont limités, a confié le coordinateur diocésain de la Caritas. «La population est grande, les besoins sont nombreux, nous sommes obligés d’être discrets dans nos interventions, car nous ne savons pas secourir plus que nous n’en pouvons», a-t-il indiqué.

La réponse des autorités de la Province se fait encore attendre

Jusqu’à présent, la réaction des autorités de la Province de Mbandaka se fait attendre. Des réunions sont organisées à ce sujet, un comité d’urgences a été mis en place, des concertations, auxquelles la Caritas diocésaine est invitée, ont lieu, mais il n’y a encore rien de concret, a indiqué l’abbé Iyeli. «Le pays vient de sortir du processus électoral, les esprits des autorités sont encore tournés vers les résultats, il n’y a pas encore d’actions concrètes du gouvernement provincial». Pour la province de l’Equateur, une autre particularité est que le gouverneur a été démis de ses fonctions après les élections du 20 décembre 2023, l’intérim est confié au vice-gouverneur, «qui vient de commencer. Donc, tout est un peu en léthargie, on ne sait pas tellement décoller». Mais, la situation est urgente, le besoin est grand et pressant et exige une riposte immédiate, a souligné le prêtre de Mbandaka-Bikoro.

SOS pour les populations de Mbandaka, Ingende et Lukolela

Malgré cette situation, l’abbé Iyeli reste optimiste et lance un appel à l’aide au gouvernement, aux organismes d’aide et à toute personne de bonne volonté, pour secourir cette population sinistrée. Caritas Mbandaka-Bikoro a lancé différents appels à travers des médias et a fait remonter l’information au pouvoir central, «les images sont passées à la télévision nationale et sur des chaînes privées». Des promesses d’aide du gouvernement sont parvenues à la Caritas diocésaine, qui continue à attendre. «La situation reste désastreuse», malgré la diminution des eaux, les habitants de Mbandaka et ses environs restent exposés «à des maladies d’origine hydrique». Il faut trouver des abris pour ceux dont les maisons se sont effondrées. «Les écoles, les infrastructures de santé et des Eglises sont écroulées. Le besoin est immense… il nous faut conjuguer des efforts pour trouver une bonne solution». La situation est la même dans les trois territoires qui constituent le rayon d’action de Cartas Mbandaka: la ville de Mbandaka, ainsi que les territoires d’Ingende et de Lukolela.

Dans tout le pays, des centaines des milliers des sinistrés

Fin décembre, la Régie des voies fluviales (RVF) de la République Démocratique du Congo (RDC), établissement public qui gère quelque 25.000 km de voies navigables dans l'immense pays d'Afrique centrale, lançait un message d'alerte aux autorités et à la population, les informant d'une crue «exceptionnelle du fleuve Congo et de ses affluents». Le jaugeage du fleuve indiquait alors 5,94 mètres à la station de mesure du port de Kinshasa, au-dessus des «5 mètres normales» et s'approchant des 6,26 m enregistrés lors de la grande crue de 1961. Le changement climatique, la déforestation et les constructions anarchiques seraient à la base de cette situation exceptionnelle, selon des scientifiques.

A Kinshasa, la capitale et dans d’autres provinces du pays, le nombre total de sinistrés le long du fleuve Congo et de ses affluents n'est pas connu avec exactitude, mais peut se chiffrer à des centaines de milliers au moins, selon certaines estimations. Le 6 janvier, l'organisation humanitaire Caritas a lancé un appel à l'aide pour près de 100.000 ménages à Mbandaka, à environ 600 km de Kinshasa. En amont, à Kisangani, plus de 200 maisons étaient sous les eaux dans la commune de Lubunga, selon le bourgmestre.

Stanislas Kambashi/Vatican News

Crue et inondations en RDC: urgence humanitaire à Mbandaka
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Inondations au Congo : 350.000 personnes ont besoin d’une aide humanitaire, selon l’ONU

Des terres agricoles et des maisons sont inondées suite aux fortes pluies en République du Congo.

La République du Congo est touchée par des inondations sans précédent en six décennies suite aux « pluies extrêmes » tombées depuis octobre dernier qui ont fait déborder les berges de l’Oubangui, un affluent du fleuve Congo. 

Le 29 décembre dernier, le gouvernement a officiellement déclaré l’état d’urgence pour inondations.

Trois semaines plus tard, le trois-quarts des douze départements du pays sont toujours sous les eaux et le pays compte 1,8 million de sinistrés dont 350.000 ont besoin d’une aide humanitaire, a indiqué Jens Laerke, porte-parole du Bureau de coordination de l’aide humanitaire de l’ONU (OCHA) lors d’un point presse ce vendredi aux Nations Unies à Genève.

Villages, écoles et centres de santé inondés

M. Laerke a expliqué que les inondations ont laissé les communautés locales sans abri ni accès aux services de santé primaires.

De son côté, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait précisé la semaine dernière que les inondations avaient détruit ou endommagé 34 centres de santé, 120 écoles et plus de 64.000 maisons dans les zones touchées. Dans certaines régions, l'accès à l'eau potable et aux installations sanitaires est limité, voire inexistant. Quelque 27.000 enfants ne sont plus scolarisés, déplore l’OCHA.

A cette situation, s’ajoutent les menaces sanitaires, notamment le risque d'épidémies de maladies transmises par l'eau, comme le choléra, de maladies à transmission vectorielle, comme le paludisme ou la dengue, et de maladies évitables par la vaccination, comme la rougeole. La santé nutritionnelle de la mère et de l'enfant est également menacée, tandis que les violences sexuelles ainsi que celles basées sur le genre pourraient aussi augmenter, s’inquiète l’OMS. 

L’accès aux sinistrés est rendu très difficile en raison des inondations et de nombreux villages ne peuvent être atteints que par bateau ou par canoë, a indiqué le porte-parole d’OCHA.

Plan de réponse à hauteur de 26 millions de dollars

Les agences des Nations Unies ont élaboré un plan de réponse avec le gouvernement, d’un budget total d'environ 26 millions de dollars avec comme priorité la construction d’abris, la sécurité alimentaire, la nutrition, la santé et l'eau, l'assainissement et l'hygiène. Il ne s’agit-là que de premières mesures pour faire face à la situation d’urgence, a prévenu Jens Laerke. Les inondations pourraient également entraîner des conséquences à plus long terme.

Selon les estimations d’OCHA, 2.300 hectares de terres cultivées ont été inondés, « ce qui laisse craindre que les moyens de production alimentaire, par exemple les arbres fruitiers et les engins de pêche, aient été détruits et que le bétail ait péri », a indiqué le porte-parole d’OCHA.

Une allocation de 3,6 millions de dollars du Fonds central d'intervention d’urgence (CERF) a d’ores et déjà été allouée pour répondre aux besoins les plus urgents de 270.000 personnes. Cependant, pour mettre en œuvre l’ensemble de la réponse, un financement international plus important sera nécessaire, a insisté Jens Laerke.

Inondations au Congo : 350.000 personnes ont besoin d’une aide humanitaire, selon l’ONU
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Léthargie, administration inexistante et aucun projets d’avenir : Un groupe de musiciens se rebelle contre l’UMUCO !

Le chanteur Guy Moller, un des chefs rebelles

 «Association des musiciens congolais», ACOM en sigle,  est le nom de la nouvelle structure  qui vient de naître et qui s’ajoute sur la liste  d’organisations artistiques en RD. Congo, selon  un des membres de son comité provisoire.    

« Une nouvelle association regroupant exclusivement les artistes musiciens vient d’être mise en place à Kinshasa dans le souci de militer pour la professionnalisation des musiciens congolais et de la promotion de la musique en RDC. L’idée est qu’à travers notre association, la voix du musicien soit également prise en compte en tant qu’une organisation membre de la société civile dans notre pays», a souligné Paul Le Perc, membre du bureau provisoire de l’ACOM.  

Et d’ajouter : «L’Association congolaise des musiciens (ACOM) est une structure créée par les professionnels de l’art d’Orphée dont la majorité sont des jeunes leaders de la scène musicale ».

Le bureau provisoire de la nouvelle plateforme se prépare déjà pour l’organisation de l’évènement qui va marquer sa première sortie officielle devant le public, les autorités et les partenaires.

Comme souhaité lors de la dernière réunion, un comité a été mis en place pour coordonner les préparatifs de l’assemblée générale, les adhésions, les statuts… Cette équipe va fonctionner sous forme d’un bureau provisoire composé de 6 personnes qui  y travaillent déjà depuis quelques jours. Il s’agit de  chanteurs, ci-après :  Guy Moler Mapamboli, Beya Bendoson, Joss Kalim, Déborah Ntoya, Tsaka Kongo, Paul Ngoie le Perc ainsi que Didi Kembrwars (Diaspora) ».

« Ce bureau a une mission de deux mois pour organiser l’Assemblée générale avant fin février. Pour nous permettre  d’identifier chaque artiste musicien dans notre base de données, et en préparation de l’Assemblée générale, nous commençons  le processus officiel d’enregistrement de ceux désirant en faire partie. Ceci constitue d’office un appel pour tout musicien qui veut nous rejoindre dans l’ACOM. Vu que l’adhésion n’est pas obligatoire», renseigne-t-on.

A en croire la même  source, l’initiative de créer une nouvelle structure a été prise par des artistes qui n’avaient aucune responsabilité au sein de l’Union des musiciens Congolais (UMUCO) qui date, pourtant,  depuis l’époque du Maréchal Mobutu.

« De toutes les  façons, on ne pourra pas créer un nouveau monde, on sera obligé de travailler avec les anciens. Car,  le  changement est un long processus. Le Président de la République,  Félix Antoine Tshisekedi,  en sait  quelque chose », a martelé, en outre,  le Directoire de l’ACOM.

Et,  de conclure : « Ce qui est vrai est que nous sommes déterminés à changer l’image de l’artiste musicien en République démocratique du Congo.  Il est important de trouver des moyens pour susciter l’intérêt de cette nouvelle structure chez les vrais professionnels de la  musique».

D’après  le corps fondateur, l’ACOM est une plateforme dont la création a été motivée suite à la léthargie constatée au sein de l’Union des musiciens congolais (UMUCO) caractérisée par son inactivité criante depuis plusieurs années.

C’est pourquoi,  les jeunes leaders de la scène musicale reprochent le manque d’organisation dans l’administration et  aucune assemblée générale organisée depuis plus de deux décennies,  ainsi que la confiscation de l’UMUCO par un groupe de  vétérans de la musique congolaise.  

« L’Union des musiciens congolais a été non seulement prise en otage mais surtout la structure a été politisée et devenue un fonds de commerce pour  certains vétérans de la Rumba », fustigent les membres de l’ACOM.

Et d'ajouter : « Alors que l’UMUCO est censée jouer un rôle important de syndicat pour la défense des droits et  intérêts des musiciens en tant qu’une organisation professionnelle dirigée par des artistes responsables ». 

Il faut noter que le saxophoniste Kiamuangana Mateta Verckys a été le dernier Président élu qui a dirigé l’Union des musiciens pendant plus de 20 ans  jusqu’à sa mort en 2022. Adios Alemba a été désigné pour faire l’intérim en attendant la tenue d’une Assemblée générale. Pour certains, sa gestion ne garantit aucun avenir pour  cette  structure-là.

Jordache Diala 

Léthargie, administration inexistante et aucun projets d’avenir : Un groupe de musiciens se rebelle contre l’UMUCO !
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Coupée depuis le 10 janvier 2024, Prison Centrale de Makala : la SNEL à pied d’œuvre pour le rétablissement de l’électricité

 La Société Nationale d’Électricité (SNEL SA), Direction Régionale de Distribution Kinshasa Centre, informe l’opinion publique qu’une interruption volontaire de l’électricité est observée depuis le même jour à 17 heures. Cette mesure résulte des travaux de transfert de charge sur le nouveau réseau interne Basse Tension récemment déployé, peut-on lire dans le communiqué publié le mercredi 10 janvier. La SNEL tient à rassurer les autorités pénitentiaires ainsi que les pensionnaires de la prison en assurant que ses équipes s’emploient activement pour rétablir l’électricité dans les plus brefs délais. Elle présente également ses excuses pour tout désagrément occasionné par ces travaux.

 

COMMUNIQUE SNEL/DKC

Concerne : PRISON CENTRALE MAKALA

La Société Nationale d’Electricité, Direction Régionale de Distribution Kinshasa Centre, informe que suite aux travaux de transfert de la charge sur le nouveau réseau interne Basse Tension y déployé, il s’observe une interruption volontaire de l’électricité dans l’enceinte de la PRISON CENTRALE MAKALA.

Depuis 17heures.

La SNEL rassure les autorités pénitentiaires et les pensionnaires de la Prison que ses équipes sont à l’œuvre, jusqu’au rétablissement de l’électricité et leur présente ses excuses pour le désagrément lié aux travaux.

Pour tout contact

0817101964 DKC

0817101965 GRC

(LP/Sphynxrdc)

Coupée depuis le 10 janvier 2024, Prison Centrale de Makala : la SNEL à pied d’œuvre pour le rétablissement de l’électricité
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Insalubrité inquiétante, Kasaï-Central : la Lucha juge le bilan de la Mairie de Kananga largement négatif

Kananga souffre d'insalubrité populaire

Depuis le lancement de  l'opération Kananga Makenda  par la Mairie de la ville de Kananga dans le souci  majeur de lutter contre l'insalubrité populaire, il y a quelques mois,  il est malheureux de constater que  rien n'a changé, ni évolué en termes des travaux concrets dans la Ville.

Cette situation inquiète les militants du Mouvement Citoyen ‘’Lutte pour le changement’’, Lucha en sigle, plus précisément au niveau de sa section du Kasaï Central.

La Lucha/Kananga estime, en effet, qu’il s’agit-là d’un cas d’incompétence et de laisser-aller dont font notoirement   preuve   les dirigeants de la Mairie de Kananga. 

Et, pourtant, au début de leur prise du pouvoir, l’opération ‘’ville propre’’ initiée, en son temps, en plein centre-ville, évoluait plutôt bien. 

« J’ai dénoncé cette information avec beaucoup d'indignation et de regret.  La ville va très mal ce dernier temps avec l'insalubrité populaire », a fait entendre, par ailleurs, Benjamin Kapena, activiste œuvrant au sein de la Lutte pour le changement.

Félix Mulumba

Insalubrité inquiétante, Kasaï-Central : la Lucha juge le bilan de la Mairie de Kananga largement négatif
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Kailo : Alphonse Kitwanga à la pêche des âmes en pleine forêt

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 Nous sommes dans le Diocèse de Kindu en RD.  CONGO. Pour Noël, ce jeune curé de la paroisse de Kailo, l'abbé Alphonse KITWANGA, a rendu visite, en pleine forêt, à des chrétiens qui ont vu le dernier prêtre en 1970. Prions souvent pour nos prêtres qui endurent des sacrifices énormes, au péril de leur vie, pour que la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ soit annoncée. BRAVO !

" Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi, ton bâton me guide et me rassure" (PS 22, 4).

(Stanislas Longonga  avec Alphonse Kitwanga

Kailo : Alphonse Kitwanga à la pêche des âmes en pleine forêt
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