*‘‘Telema bouger’’ est l’un des titres chansons qui se trouve dans le nouveau maxi single que vient de lancer la jeune chanteuse germano- congolaise Solina Marie Julie alias ‘‘Muana Mboka’’ sur le marché international de la musique urbaine.
Selon son Manager, les mélomanes de la bonne musique que son nouveau tube est déjà disponible sur toutes les plateformes numériques de téléchargement des musiques : Spotify, Apple Music, Amazon Music, deezer, audiomack, boomplay et ITunes. « Les fans peuvent aussi visualiser la vidéo de la chanson ‘‘Téléma bouger’’ dans les différents comptes et pages officielles de l’artiste au niveau des réseaux sociaux, à savoir : You tube, instagram, tic-toc et facebook », a précisé Mme Christine KERN.
Et d’’ajouter : « ‘‘Telema bouger’’ intervient en attendant la sortie prochaine d’une autre chanson « Mi –Amor » qui est le titre phare d’un maxi single que Solina envisage de mettre à la disposition de ses fans dans les prochains jours''.
Sur le plan artistique, renseigne-t-on, « Téléma bouger » a été enregistré à Kinshasa avec le concours des beatmakers congolais. Tourné également au Congo-RD, le clip vidéo regorge aussi une qualité exceptionnelle qui ne va pas laisser indifférent les friands de la musique urbaine.
La musique est composée des sonorités vibrantes proposées et accompagnées d’un beat authentique qui motive la danse», a souligné le bureau de l’artiste.
«Comme son titre l’indique, ‘‘Telema bouger’’ est une chanson dansante que j’offre à mes fans afin de célébrer la fête en ce début de la nouvelle année. C’est un cantique qui donne de l’espoir. Même si tu tombes, ayez le courage de te lever rapidement pour continuer le chemin », a expliqué, par ailleurs, Muana Mboka Solina.
Et, de poursuivre : « Une chanson caractérisée par une ambiance festive avec des paroles attirantes à travers ma voix et une rythmique moderne pour allumer le feu. Il s’agit d’une animation irrésistible en mode solo concoctée dans le style afrobeat qui reste un rythme dénominateur de la musique ».
Née à Munich en Allemagne et grandie à Ibiza en Espagne, en passant par Londres pour faire ses études, Solina ‘‘Muana Mboka’’ a des racines congolaises à travers sa mère qui est originaire des provinces de l’Equateur et du Kasaï.
Grâce à sa voix mélodieuse et sa vivacité sur la scène, elle s’est vite révélée et considérée comme une étoile montante de la musique urbaine en RDC. Au-delà de sa belle voix, Solina Julie ‘‘Muana Mboka’’ est une auteure-compositrice qui chante en français, Lingala, espagnol, allemand et anglais.
La chanteuse congolo-allemande regorge également en elle, un talent explosif dans le domaine de la danse et chorégraphie que les fans pourront évidemment apprécier à travers son nouveau single.
Il sied de noter, enfin, que ‘’Téléma bouger’’ est la deuxième chanson de la jeune chanteuse germano-congolaise, après le titre « Bébé ça va » sorti en 2022 qui consacre l’engagement de sa carrière musicale professionnelle.
«Association des musiciens congolais», ACOM en sigle, est le nom de la nouvelle structure qui vient de naître et qui s’ajoute sur la liste d’organisations artistiques en RD. Congo, selon un des membres de son comité provisoire.
« Une nouvelle association regroupant exclusivement les artistes musiciens vient d’être mise en place à Kinshasa dans le souci de militer pour la professionnalisation des musiciens congolais et de la promotion de la musique en RDC. L’idée est qu’à travers notre association, la voix du musicien soit également prise en compte en tant qu’une organisation membre de la société civile dans notre pays», a souligné Paul Le Perc, membre du bureau provisoire de l’ACOM.
Et d’ajouter : «L’Association congolaise des musiciens (ACOM) est une structure créée par les professionnels de l’art d’Orphée dont la majorité sont des jeunes leaders de la scène musicale ».
Le bureau provisoire de la nouvelle plateforme se prépare déjà pour l’organisation de l’évènement qui va marquer sa première sortie officielle devant le public, les autorités et les partenaires.
Comme souhaité lors de la dernière réunion, un comité a été mis en place pour coordonner les préparatifs de l’assemblée générale, les adhésions, les statuts… Cette équipe va fonctionner sous forme d’un bureau provisoire composé de 6 personnes qui y travaillent déjà depuis quelques jours. Il s’agit de chanteurs, ci-après : Guy Moler Mapamboli, Beya Bendoson, Joss Kalim, Déborah Ntoya, Tsaka Kongo, Paul Ngoie le Perc ainsi que Didi Kembrwars (Diaspora) ».
« Ce bureau a une mission de deux mois pour organiser l’Assemblée générale avant fin février. Pour nous permettre d’identifier chaque artiste musicien dans notre base de données, et en préparation de l’Assemblée générale, nous commençons le processus officiel d’enregistrement de ceux désirant en faire partie. Ceci constitue d’office un appel pour tout musicien qui veut nous rejoindre dans l’ACOM. Vu que l’adhésion n’est pas obligatoire»,renseigne-t-on.
A en croire la même source, l’initiative de créer une nouvelle structure a été prise par des artistes qui n’avaient aucune responsabilité au sein de l’Union des musiciens Congolais (UMUCO) qui date, pourtant, depuis l’époque du Maréchal Mobutu.
« De toutes les façons, on ne pourra pas créer un nouveau monde, on sera obligé de travailler avec les anciens. Car, le changement est un long processus. Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, en sait quelque chose », a martelé, en outre, le Directoire de l’ACOM.
Et, de conclure : « Ce qui est vrai est que nous sommes déterminés à changer l’image de l’artiste musicien en République démocratique du Congo. Il est important de trouver des moyens pour susciter l’intérêt de cette nouvelle structure chez les vrais professionnels de la musique».
D’après le corps fondateur, l’ACOM est une plateforme dont la création a été motivée suite à la léthargie constatée au sein de l’Union des musiciens congolais (UMUCO) caractérisée par son inactivité criante depuis plusieurs années.
C’est pourquoi, les jeunes leaders de la scène musicale reprochent le manque d’organisation dans l’administration et aucune assemblée générale organisée depuis plus de deux décennies, ainsi que la confiscation de l’UMUCO par un groupe de vétérans de la musique congolaise.
« L’Union des musiciens congolais a été non seulement prise en otage mais surtout la structure a été politisée et devenue un fonds de commerce pour certains vétérans de la Rumba », fustigent les membres de l’ACOM.
Et d'ajouter : « Alors que l’UMUCO est censée jouer un rôle important de syndicat pour la défense des droits et intérêts des musiciens en tant qu’une organisation professionnelle dirigée par des artistes responsables ».
Il faut noter que le saxophoniste Kiamuangana Mateta Verckys a été le dernier Président élu qui a dirigé l’Union des musiciens pendant plus de 20 ans jusqu’à sa mort en 2022. Adios Alemba a été désigné pour faire l’intérim en attendant la tenue d’une Assemblée générale. Pour certains, sa gestion ne garantit aucun avenir pour cette structure-là.
La Société Nationale d’Électricité (SNEL SA), Direction Régionale de Distribution Kinshasa Centre, informe l’opinion publique qu’une interruption volontaire de l’électricité est observée depuis le même jour à 17 heures. Cette mesure résulte des travaux de transfert de charge sur le nouveau réseau interne Basse Tension récemment déployé, peut-on lire dans le communiqué publié le mercredi 10 janvier. La SNEL tient à rassurer les autorités pénitentiaires ainsi que les pensionnaires de la prison en assurant que ses équipes s’emploient activement pour rétablir l’électricité dans les plus brefs délais. Elle présente également ses excuses pour tout désagrément occasionné par ces travaux.
COMMUNIQUE SNEL/DKC
Concerne :PRISON CENTRALE MAKALA
La Société Nationale d’Electricité, Direction Régionale de Distribution Kinshasa Centre, informe que suite aux travaux de transfert de la charge sur le nouveau réseau interne Basse Tension y déployé, il s’observe une interruption volontaire de l’électricité dans l’enceinte de la PRISON CENTRALE MAKALA.
Depuis 17heures.
La SNEL rassure les autorités pénitentiaires et les pensionnaires de la Prison que ses équipes sont à l’œuvre, jusqu’au rétablissement de l’électricité et leur présente ses excuses pour le désagrément lié aux travaux.
Depuis le lancement de l'opération Kananga Makenda par la Mairie de la ville de Kananga dans le souci majeur de lutter contre l'insalubrité populaire, il y a quelques mois, il est malheureux de constater que rien n'a changé, ni évolué en termes des travaux concrets dans la Ville.
Cette situation inquiète les militants du Mouvement Citoyen ‘’Lutte pour le changement’’, Lucha en sigle, plus précisément au niveau de sa section du Kasaï Central.
La Lucha/Kananga estime, en effet, qu’il s’agit-là d’un cas d’incompétence et de laisser-aller dont font notoirement preuve les dirigeants de la Mairie de Kananga.
Et, pourtant, au début de leur prise du pouvoir, l’opération ‘’ville propre’’ initiée, en son temps, en plein centre-ville, évoluait plutôt bien.
« J’ai dénoncé cette information avec beaucoup d'indignation et de regret. La ville va très mal ce dernier temps avec l'insalubrité populaire », a fait entendre, par ailleurs, Benjamin Kapena, activiste œuvrant au sein de la Lutte pour le changement.
Un bus TRANSCO numéro parc 716 affecté au réseau interurbain en provenance de Masimanimba vient de prendre feu ce dimanche soir vers 19 heures de Kinshasa au parking de Pascal dans la commune Masina (arrêt école), après avoir déchargé passagers et marchandises à l’agence TRANSCO Masimanimba et Kasaï. Le responsable de l’agence renseigne que le bus était stationné en attendant la fin des embouteillages pour prendre la direction de l’entrepôt, avant d’être pris pour cible. Selon les premières informations concordantes et suffisantes, il s’agit d’un acte de sabotage orchestré par un groupe d’individus dangereux et extrêmement violents appartenant à un mouvement politique de l’opposition. Ces inciviques du reste très bien identifiés, sont connus de la police et s’attaquent régulièrement aux bus TRANSCO. Pendant que la police et les membres de la sécurité interne de TRANSCO sont à pied d’œuvre pour appréhender les auteurs de cet acte barbare, un suspect vient d’être arrêté. Le Directeur Général de TRANSCO, le Bâtonnier Cyprien MBERE MOBA qui s’indigne de cet acte ignoble, annonce des actions policières et judiciaires rapides et efficaces, afin de mettre fin à l’activisme de ces inciviques qui empêchent TRANSCO d’accomplir sa mission, celle de servir la population, en toute quiétude.
Nous sommes dans le Diocèse de Kindu en RD. CONGO. Pour Noël, ce jeune curé de la paroisse de Kailo, l'abbé Alphonse KITWANGA, a rendu visite, en pleine forêt, à des chrétiens qui ont vu le dernier prêtre en 1970. Prions souvent pour nos prêtres qui endurent des sacrifices énormes, au péril de leur vie, pour que la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ soit annoncée. BRAVO !
" Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi, ton bâton me guide et me rassure" (PS 22, 4).
C’est un album authentique bien adapté aux sonorités et cadences musicales basées sur les tendances actuelles en Afrique. Sa nouvelle œuvre est riche en mélodies et rythmiques variées. L’auteure a, encore une fois, donné les meilleurs d’elle-même. Les chansons sont taillées sur mesure. Les collaborations sont percutantes et souvent des dialogues mélodieuses surprenantes entre artistes. Voilà ce qu’on peut retenir de « Transfiguration », un opus signé par la voix subliminale de la musique africaine, qui n’est autre que Barbara Kanam la Diva africaine.
‘‘Transfiguration’’, 5ème album du patronne du groupe Kanam Music, a fait l’objet d’une conférence de presse à Kinshasa dans le cadre de son lancement sur le marché du disque.
« Transfiguration est le titre phare de mon nouvel opus que j’ai mis à la disposition des consommateurs la bonne musique depuis le 23 décembre dernier. J’ai tenu à présenter ce disque à la presse afin que les mélomanes et tous mes fans sachent que la nouvelle sauce est déjà sur leur table L’œuvre est composée de 14 chansons qui sont toutes déjà disponibles sur toutes les plateformes de téléchargement légal », a confirmé la cantatrice Barbara Kanam.
Et d’ajouter : « C’est un travail succulent qui est marqué par des belles collaborations artistiques que nous appelons dans le jargon musical, featuring. Après un long moment de travail, il est temps de vous offrir une tracklist de mon album. J’espère que chacun de vous va s’y retrouver ».
Koffi, Férré Gola, Héritier et Roga Roga en featuring avec Barbara
Dans cet opus, la Diva africaine a fait appel à 9 musiciens dans son disque dont quatre chanteurs étrangers et 5 stars congolaises pour donner plus de noblesse sur le plan artistique.
Koffi Olomidé, Ferre Gola, Héritier Wanatabe, Fabrice Maestro et Innoss-B sont des voix de la scène musicale congolaise qui ont participé dans ce projet de Barbara.
En dehors de ce collègue de la Rumba, le leader de Kanan Music a travaillé deux chanteuses camerounaises Mimie et Coco Argentée. Elle a aussi fait un featuring avec le chanteur ivoirien Ariel Sheney et Roga Roga du Congo Brazzaville.
« Le choix de collaborer avec chacun a apporté un résultat excellent pour le succès de ce nouveau playing. Toutes ces collaborations constituent une bonne stratégie pour illuminer davantage ma musique. Je suis contente de proposer au public un album ouvert et riche. ‘‘Transfiguration’’ est une œuvre panafricaine, sans frontière. C’est un disque transgénérationnel. Vous y trouverez une musique variée avec un mélange de sons exaltants qui va certainement faire plaisir au public du monde », s’est réjouis la cantatrice.
Et de poursuivre : « Au-delà de notre style rumba, ‘‘Transfiguration’’ regorge une musique authentique. L’œuvre a été réalisée avec le concours d’un jeune beatmaker qui a apporté beaucoup d’innovations sur le plan rythmique. La musique est jouée dans les normes et modes selon la cadence, la saveur et la tendance de la mouvance actuelle. Il y a vraiment ‘‘Kilelo’’ ».
Evidemment, la voix glamour de la Diva africaine raisonne avec lucidité et caractère. Il faut l’avoir écouté pour comprendre la dimension du travail artistique battu par cette héritière de la Rumba congolaise.
5ème album frénétique de carrière glorieuse
25 ans de carrière professionnelle glorieuse, Barbara Kanam compte cinq albums à son actif, à savoir : « Mokili », « Teti », « Karibu », « Zawadi » et « Transfiguration ». Très dynamique, elle fait partie des chanteuses qui défendent valablement la Rumba congolaise sur la scène internationale.
Faire la musique autrement sans forcément suivre les autres pour rester originale : voilà le crédo de cette chanteuse congolaise qui continue à faire ses preuves à travers ses tubes de haute facture.
Ainsi, la Diva africaine a dévoilé quelques projets qu’elle envisage de réaliser en 2024. Sur le plan scénique, elle s’est dite favorable pour faire l’honneur à son public à travers une production au stade des Martyrs de Kinshasa.
Au niveau international, l’auteure de la chanson «Djarabi a également décidé d’affronter une grande salle mythique européenne pour communier avec tous ses fans du monde.
Rappelons que depuis le mois de juillet 2023, Barbara Kanam assume le poste de Directeur Général du Fonds de Promotion Culturelle (FPC) en République Démocratique du Congo.
Elle combine parfaitement sa fonction avec son art et ne ménage aucun effort pour offrir le bonheur à ses précieux fans qui sont invités à consommer sans modération et découvrir les merveilles dans son nouvel album « Transfiguration» dans le bac.
Dans le souci de promouvoir la bonne gouvernance financière, la Société Civile a tenu, le vendredi 29 décembre 2023 au Cercle Gourmand, une conférence de presse de présentation du rapport d’analyse du Projet de Loi des Finances 2024. Suite à une série d’activités faites du 5 octobre au 28 décembre 2023, celles-ci ont été appuyées par le Projet d’Amélioration du Recouvrement des Recettes et de la Gestion des Dépenses en RDC (Projet ENCORE), sous exécution du Comité de Pilotage et d’Orientation de la Réforme des Finances Publiques (COREF).
Cette analyse budgétaire a réuni les organisations de la Société Civile travaillant dans divers domaines d’intervention ainsi que les syndicats et les corporations, sous la supervision du Réseau Gouvernance Economique et Démocratie (REGED) et la co-coordination de l’Observatoire de la Dépense Publique.
Cela remonte à 2008 depuis que la RDC a opté pour l’analyse budgétaire des finances publiques.
Et, pour cette année, l’analyse a porté, particulièrement, sur les aspects globaux et les secteurs intéressant la population, à savoir: la santé, l’éducation, l’agriculture, le développement rural, les mines, l’énergie, les infrastructures et travaux publics, l’intérieur et la sécurité, l’environnement ainsi que le genre.
Au nom de la Société Civile, Abraham Djamba a remercié tous les partenaires du Projet ‘’Encore’’ qui leur ont permis, par cet appui, de contribuer tant soit peu à l’amélioration de la crédibilité, de la transparence et de la responsabilité dans la gestion des finances publiques au niveau du pouvoir central.
« A travers cette analyse budgétaire du Projet de Loi des Finances 2024, le citoyen congolais accomplit un pas supplémentaire vers l’affirmation de ses droits d’accès à l’information budgétaire et de participer, par ses avis, à la prise des décisions à toutes les étapes du processus», a-t-il déclaré.
En ce qui concerne les initiatives menées, il a précisé, par ailleurs, que le rapport des travaux de la Société Civile a été adressé aux deux chambres du Parlement à travers leurs commissions Economiques et Financières, au Gouvernement, par l’entremise des Ministères du Budget et des Finances.
Cette démarche de la Société Civile vise, de manière spécifique, à contribuer à la prise en compte au Budget 2024, par l’Assemblée Nationale et le Sénat, des points de vue et des aspirations prioritaires des citoyens dans leurs domaines d’intérêts.
Ensuite, d’attirer l’attention des Honorables Députés Nationaux et Sénateurs sur les aspects non pris en charge et de la mise en évidence des éventuelles incohérences relevées dans le projet de Budget 2024 en rapport avec le cadre budgétaire à Moyen Terme 2024-2026 avant son exécution.
Considérations générales
Il a démontré que les prévisions budgétaires présentent 40 .463. 584. 387. 369 FC contre 32 .456 .782. 809.392 FC en 2023, en recettes, et 40. 463. 584. 387. 368,00 FC, contre 32. 4.56 7.82 .989 .391,00 FC, en 2023, en dépenses, soit une augmentation de 8 .016 .801 .478 .977 FC. Cet accroissement significatif en Francs Congolais est très faible lorsqu’elle est exprimée en dollars américaines (au taux de 1.USD/2518.33 FC) : 16.067.625.921,68 USD, en 2024, contre 16.056.268.209,49 USD, en 2023, soit un écart de 11.357.712,79 USD.
En matière de dépenses, il affirmé que le Gouvernement s’est donné les priorités pour la période 2024-2026 notamment, d’appuyer le processus électoral, d’investir dans les secteurs porteurs de croissance, de rémunérer les agents et fonctionnaires de l’Etat, de rembourser la dette publique ainsi que de poursuivre la mise en œuvre des réformes liées à l’Administration. En matière de recette, il a procédé à appliquer le code minier, à poursuivre la réforme fiscale et d’améliorer le climat des affaires.
A l’issue de ces travaux, la Société Civile s’attend à ce que les points de vue et les aspirations des citoyens sur les recettes et les dépenses dans leurs domaines d’intérêts doivent être pris en compte dans le budget 2024, et les données devront être harmonisées avec des éventuels rectificatifs.
Au regard de ce tableau évoqué, Abraham Djamba a, enfin, rappelé l’assistance que le budget est un domaine qui doit intéresser tout citoyen responsible.
Car, c’est un élément fondamental de l’interaction entre les citoyens et le pouvoir public.
L’acteur cinématique congolais Anzor Alem a annulé toutes ses représentations de décembre pour donner la priorité à sa santé, qu'il a «ignorée» en raison de ses innombrables concerts ces derniers temps.
Dans une publication en story Instagram, l’icône des Afrobeats a révélé que sa santé était passée au second plan. Avec des spectacles programmés au Congo et en Zambie, Anzor Alem a souligné la nécessité de marquer une pause et de se concentrer sur la récupération. «Cela me brise le cœur de dire que je ne jouerai nulle part en décembre. Depuis des années de tournée, j’ai ignoré ma santé et j’ai besoin de temps pour récupérer. En 2024, nous y retournons, mon amour", a-t-il déclaré.
L'artiste Congolais a remporté de nombreux succès musicaux cette année, avec sa chanson quasi omniprésente Christine Safia, qu'il chante avec Mr Tomaaa, battant de nombreux records de streaming et de charts.
La chanson est devenue la chanson la plus shazammée de 2023 en République démocratique du Congo et a reçu la semaine dernière le prix de la meilleure chanson Afrobeats aux Katanga Music Awards.
Plus tôt dans le mois, il a épaté les légendes du football, quelques jours après que LOL soit entré dans l'histoire en devenant la chanson Congolaise la plus longue et la plus réussite de tous les temps sur le Katanga Hot 1000 aux États-Unis.
En réaction à la décision de Anzor Alem d’annuler ses émissions, la star Congolaise Fally Ipupa a salué ses réalisations.
Zaiko Langa Langa est né un certain 24 décembre 1969 à Kinshasa. Mais, il n’est pas le premier groupe musical à voir le jour dans l’histoire de la musique congolaise moderne. Bien avant l’indépendance du Congo-RDC, on a connu des précurseurs tels que Wendo et son groupe, Kalé Jeff et son African Jazz, Franco et Ok Jazz, Tabu Ley et African Fiesta qui ont été créé et existé avant depuis des années dans la sphère de la Rumba.
En termes de durabilité, aucun parmi tous ces orchestres n’a pu résister dans le temps et dans l’espace, par rapport à Zaiko.
Cette année, ce groupe mythique totalise 54 ans d’existence et bat le record des anciens groupes musicaux du pays. Cette résistance est attribuée au chanteur Nyoka Longo M’vula, 70 ans, qui dirige Zaiko avec perspicacité malgré la vague de la nouvelle génération des jeunes groupes sur terrain.
En marge de la célébration du 54ème anniversaire d'existence de Zaiko, un plaidoyer a été lancé par les congolais pour la reconnaissance officielle de l’orchestre dans la liste des patrimoines culturels nationaux en RDC.
«Zaiko Langa Langa est et doit être reconnu par l'État comme un patrimoine national en Républicain démocratique du Congo. Son apport artistique, sociologique et anthropologique dans l'histoire est très significatif dans l'histoire de la Rumba congolaise qui est devenue aujourd’hui patrimoine immatériel culturel de l'humanité. Zaiko a défendu énormément la culture congolaise sur la scène internationale et à beaucoup contribué pour l’émergence de notre musique dans le monde », a soutenu José Mpaka Ikombe, journaliste-musicologue et proche de Nyoka Longo, président du groupe.
Et d’ajouter : « Il est impossible et difficile de parler de la musique en RDC sans citer le nom Zaiko qui est considéré comme une grande école de musique et une génération référence en Afrique. Cet orchestre a apporté un style original avec sa rythmique particulière partant dans la danse Kavacha et de sonorité endiablée à travers la guitare de Pépé Felly Manuaku. Donc, cela forme toute une identité musicale mélangée avec la musique de Bakongo».
Plaidoyers pour Zaiko comme patrimoine !
Pour le musicologue, l’acte d’inscription de Zaiko Langa dans la liste des patrimoines culturels du pays est une façon d'honorer les artisans de cette formation musicale.
« Les pères géniteurs du groupe ne sont pas tous vivants. Certains sont encore vivants. Ils vont être honorés et émerveillés par cette reconnaissance nationale et officielle. N'attendons pas que Nyoka Longo, Evoloko, Manuaku, Bozi, Gina..., soient morts pour consacrer Zaiko dans la liste des patrimoines culturels du pays. Car Zaiko est non seulement un clan, mais aussi tout un état d'esprit et une génération à conserver », a-t-il martelé.
Il sied noter qu'aucune manifestation officielle n'a été organisée à l'occasion de la célébration du 54ème anniversaire de cet orchestre légendaire de la RDC.
«Président Jossart Nyoka Longo n’a pas prévu d'organiser quelque chose, ni un concert spécial, vu le contexte politique actuel au pays qui est pratiquement dominé par les élections », renseigne un membre du bureau du groupe.
Et de poursuivre : « Je pense que l'année prochaine lors du 55ème anniversaire, une série d’activités sera initiée pour célébrer avec faste la fête avec les fans de Zaiko. De génération en génération. Ce sera aussi l'occasion de renforcer davantage le plaidoyer pour la reconnaissance officielle du groupe comme patrimoine musical ».
54 ans : Hommage aux pères fondateurs !
Un certain 24 décembre 1969, renseigne l'histoire que le groupe Zaïko Langa Langa, avait été créé dans la parcelle familiale de Gégé Mangaya (accompagnateur) sur Popokabaka 10, commune de Kasa-Vubu, la où Zaïko avait installé son quartier général et son siège. Des répétitions s’intensifièrent, en vue d’une sortie officielle », précise Bona Masanu, un des premiers fans kinois depuis la création de Zaiko.
Plus qu'un groupe, Zaïko Langa Langa est un véritable orchestre qui a traversé le temps pour devenir une incontestable institution, voir un patrimoine. Kinshasa, 1974, Ali/Foreman, le combat de boxe du siècle. Zaïko était déjà là, sur scène, aux côtés des James Brown et autres Tina Turner pour le grand concert de cette rencontre historique. Un grand parmi les grands. Après l'African Jazz de Monsieur Kabasele et le OK Jazz de l'illustre Franco, Zaïko Langa Langa peut être considéré comme la troisième école de musique congolaise.
«Nous étions à la veille des festivités de la Nativité lorsqu’un certain Vital Moanda di Veta (DV) a pris sur lui la décision de dissoudre l’ensemble de l’orchestre Belguide qui, selon ses concepteurs, n’arrivait pas à accrocher pour créer Zaiko », a-t-il souligné.
Et ajouter : « DV Moanda a montré ses capacités d’encadreur des jeunes de son quartier dans la commune de Kasa-Vubu et forme Zaiko dans un paysage musical où trônent déjà les Thu-Zaïna, Stukas Boys, Myosotis, Symba et bien plus, pour affronter l’adversité symbolisée aussi par des requins comme Franco, Rochereau et Nico.
Sortie officielle sur scène !
De l’ensemble dissout, explique-t-il, deux éléments sont maintenus, à savoir : Félix Manuaku et Enoch Zamuangana, guitaristes (solo) et (rythmique). Les deux instrumentistes seront rejoints par les chanteurs Jules Presley Wembadio alias Papa Wemba et Jossart Nyoka Longo.
Et de poursuivre : la vraie sortie officielle du groupe a eu lieu le 28 mars à l’Hôtel Hawaï, sur Bongolo, chez Papa Disasi, un ancien bourgmestre de Kalamu.
Du coté orchestration, on avait Pépé Felly (solo), Damien Ndebo (basse), Matima Mpiosse (rythmique), Baudouin Mitshio (batterie). Et aux avant-postes, il y avait Jules Presley Wemba, Jossart Nyoka Longo, Siméon Mavuela venu dans l’entre-temps, ainsi que Otis Mbuta.
«Il fallait clouer le bec à tous ceux qui avaient hué les deux premières apparitions publiques. L’orchestre a joué et gagné ! Et depuis, unis par le sort et dans l’effort, ils ont pris le plus bel élan jusqu’à s’imposer dans la scène musicale continentale», a conclu Bona Masanu.
Un incendie à large flamme surmontée d’épaisses fumées s’est produit sur l’avenue Dilandos à la première rue Limete le soir du samedi 16 décembre 2023 à la hauteur d’un pont sur la rigole Kalamu. La cause, aux dires des témoins, le sectionnement d’un câble aérien de la SNEL percuté par un gros véhicule qui charriait des fûts d’essence destinés à un dépôt de carburant inconnu des services compétents qui se trouve dans les environs du lieu d’incendie.
En effet, au passage du véhicule, la fausse manœuvre du chauffeur qui aurait dû éviter le côté où les câbles aériens de la SNEL étaient bas a fait que le haut de la carrosserie du véhicule sectionne un câble, faisant jaillir des étincelles. Le chauffeur a pu avancer de quelques mètres avant de se rendre compte que le feu avait pris à la carrosserie du véhicule où étaient rangés des fûts d’essence. Alerté par les passants et les habitants du lieu, le chauffeur immobilise le véhicule, descend de la cabine pour voir de quoi il retourne. Il constate des flammes qui s’élèvent du haut de la carrosserie et crie à l’aide. Ce n’est que lorsque quelqu’un a osé verser de l’eau sur les flammes qu’elles ont augmenté d’intensité, semant la panique sur le lieu. Les passants ont commencé à affluer et les habitants s’affairaient à sauver quelques biens. Profitant de l’effervescence, le chauffeur a pris fuite.
Impuissants, passants et habitants observaient à bonne distance comment les flammes prenaient du volume, faisant régner une température mortelle qui embrasait le commerce dans un rayon d’une vingtaine de mètres tout autour.
Quant au bilan, pas de pertes en vies humaines déplorées, à part quelques égratignures subies par une dame qui tâchait de sauver quelques-uns de ses biens, selon un médecin qui tient un centre de centre dans le coin. Des dégâts matériels notables dont les traces sont visibles sur le lieu dont le gros véhicule ainsi qu’une quincaillerie et toutes ses marchandises calcinées. Pareil avec une pharmacie et des maisons des environs.
Aux témoignages concordants, au reste, le feu s’est allumé à partir de 17 h. Mais ce n’est qu’à partir de 20 h que le premier véhicule anti-incendie de l’hôtel de ville de Kinshasa s’est présenté sur le lieu. D’autres véhicules anti-incendie viendront lorsque, craignant de subir des dommages, le service de sécurité d’un édifice en construction non loin de là attribué à la première Dame Denise Nyakeru les a réquisitionnés, selon les témoins. Un de ces derniers a rendu hommage à l’entreprise SEP CONGO qui a dépêché sur le lieu le deuxième véhicule anti-incendie.
Les victimes de l’incendie ont déploré le fait que pas une autorité n’est pas jusqu’ici passée pour apporter du réconfort aux habitants ayant subi des pertes.
Par ailleurs, dans l’anonymat, les habitants battent en brèche les autorités qui permettent que dans des coins à forte densité humaine qui abritent des maisons de particuliers, des tiers aménagent des dépôts de carburants. Un jeune quado anonyme du coin amer demande également à la SNEL de veiller à l’entretien de son réseau aérien de distribution du courant pour élever suffisamment ses câbles aériens.
Au cours d’un point de presse tenu à Kinshasa, le mardi dernier, la Mission d’observation électorale de l’Organisation de la Société civile pour la Paix au Congo (OSPC), par le truchement de son secrétaire exécutif national, M. Edward Mutombo, a promis de publier, en toute impartialité, après s’être divisée en morceaux pour la crédibilité des scrutins du 20 décembre 2023, un rapport qui reflétera la volonté du peuple.
« Nous avons rempli toutes les conditions. En 2018, quand nous avons fait notre observation électorale, nous n’avons pas rendu de manière officielle le rapport d’observation de la mission. Comme il est de coutume dans notre pays, ll y a des missions qui évoluent comme ça… Nous avons une expérience de 2018 mais le rapport n’était pas publié selon les règles. Jusqu’à ce matin, nous sommes accrédités à 76% mais les listes ont été déposées pour que tous les observateurs soient accrédités », a souligné Edward Mutombo. Ce dernier a rassuré que toutes les dispositions sont prises, en tout cas, pour garantir la vérité des urnes et barrer la route à la manipulation sous toutes ses formes. A l’en croire, l’Organisation de la Société civile pour la Paix au Congo (OSPC) a mobilisé les énergies nécessaires pour mieux accomplir sa mission, avec une touche assez particulière du point de vue technologique. ‘’Je peux vous rassurer que dans toutes les missions de la RDC que vous connaissez, il n’y a personne qui a l’expérience que les agents, les cadres, les formateurs de l’OSPC ont. Quand il faut parler de l’expérience, ici, nous en avons et c’est la langue expérience. La preuve, ceux qui étaient présents lors de la clôture de la formation des observateurs provinciaux ont vu la crème, ont vu dans la salle des gens outillés et des facilitateurs. Ici, l’expérience est là », a-t-il complété, tout en appelant, à la confiance...