La Prospérité – L’élection de Trump constitue-t-elle une menace pour l’Afrique ? L’Afrique ne peut-elle pas, au contraire, voir dans cette élection une opportunité pour affirmer sa souveraineté ?
Christian Gambotti – Le 20 janvier 2025, Trump sera officiellement le 47è président des Etats-Unis. Or, les Africains le savent, l’Afrique n’est pas une priorité pour Trump. Le message du slogan « America First » est clair : réduire l'abyssal déficit commercial américain. Trump cherchera à renégocier tous les accords commerciaux de libre-échange, y compris avec l’Afrique. Trump va-t-il annuler, suspendre ou limiter les accords de l’AGOA, dont on célèbrera, en 2025, le 25è anniversaire ? L’objectif de l’AGOA (African Growth and Opportunity Act) est de promouvoir la croissance économique de l’Afrique subsaharienne. Les pays éligibles ont un accès au marché américain avec, pour plus de 6 500 produits, la suppression des droits de douane et des quotas d'importation. L'AGOA a permis de stimuler la croissance économique et la création d'emplois dans certains pays. Cependant, l’impact de l’AGOA reste faible pour les pays n’ayant pas, pour de multiples raisons, une capacité d’exportation suffisante. Alors que l’administration Biden envisageait de prolonger l'AGOA de 16 ans, Trump pourrait supprimer cet accord commercial historique, ce qui, bien entendu, fragiliserait encore plus l’économie subsaharienne déjà fragile. L’élection de Trump constitue une menace pour l’Afrique, si les Etats africains sont incapables de développer les échanges commerciaux intra-africains et lever les obstacles qui retardent le projet de la ZLECAF (Zone de Libre Echange Continentale Africaine), projet phare de l’Union Africaine. L’élection de Trump est un avertissement envoyé aux Etats africains. Cet avertissement leur dit : « Les échanges intra-africains constituent une véritable opportunité économique et stratégique pour l’Afrique et l’affirmation de la souveraineté. ». Les Africains ont deux mois pour se préparer.
La Prospérité – Vous parlez d’opportunité économique et stratégique pour l’Afrique. La question qui se pose n’est-elle pas celle de la place de l’Afrique dans le monde actuel ?
Christian Gambotti – Longtemps tenue à l’écart des affaires du monde, l’Afrique a été niée dans son identité avec la colonisation, dépossédée de sa souveraineté pendant la période de la « Guerre froide ». L’indépendance politique des années 1960 a été une étape nécessaire, mais le continent a continué à porter le lourd fardeau de l’Histoire. Avec la fin de la « Guerre Froide », l’Afrique qui n’est plus un enjeu géopolitique, est marginalisée. Elle n’existe qu’à travers l’APD (Aide Publique au Développement), une aide sans véritable enjeu d’efficacité avec des prêts et des restructurations de dettes sans fin. Aujourd’hui, c’est un monde nouveau qui se construit, le monde de l’Après-Yalta. L’Afrique, devenue un formidable enjeu géoéconomique, géopolitique et géostratégique, est courtisée par toutes les puissances étrangères, grandes et moyennes. Face à l’urgence des réponses qu’elle doit apporter aux défis qui se présentent à elle, l’Afrique est tentée de se vendre à la coupe à des puissances étrangères auxquelles elle soustraite son développement et sa sécurité. Or, le continent doit apporter aux questions qui se posent à lui des réponses africaines, ce qui signifie qu’il doit trouver en lui les ressources et les capacités de son développement, de sa sécurité et de sa souveraineté. Le continent dispose de 3 atouts : des richesses naturelles qui semblent inépuisable, un poids démographique considérable (la puissance est aujourd’hui liée au poids démographique) et un vaste marché avec des centaines de millions de consommateurs d’ici la fin du XXIè siècle. Mais, le continent doit faire face à un handicap majeur : l’Afrique n’existe pas, il existe 54 Etats différents avec des intérêts divergents et des approches idéologiques actuellement irréconciliables. L’Afrique peut-elle sortir du piège que représente le mythe trompeur du panafricanisme politique et faire en sorte que les Etats africains se rangent sous la bannière d’un panafricanisme économique pragmatique ? Le chef d’orchestre des relations intra-africaines ne doit être ni l’Occident, ni Moscou ou Pékin, mais l’Afrique elle-même à travers l’Union Africaine. C’est à cette condition que l’Afrique prendra la place qui lui revient dans les dynamiques nouvelles du nouvel ordre mondial multipolaire qui se construit aujourd’hui.
La Prospérité – Vous dites que l’Afrique n’existe pas, mais qu’il existe 54 Etats souverains, dont les intérêts sont divergents. Comment l’Afrique doit-elle se situer dans ce « Sud global » devenu une réalité géoéconomique et géopolitique ?
Christian Gambotti – Le « Sud global » est un concept nouveau certes, mais il recouvre une réalité ancienne, celle qui renvoie à l’ensemble des pays appelés autrefois « Tiers-Monde ». Cet ensemble est devenu « pays en développement ». Soyons concrets : la plupart des pays du « Sud global » sont des pays pauvres, voire très pauvres, et en retard de développement par opposition à un « Nord global », qui regroupe les pays riches occidentaux. Pour moi, il n’est pas scandaleux que se constitue un « Sud global » qui nous oblige à réinventer le monde. Le danger est le suivant : ce « Sud global » est en train de devenir sous l’impulsion de certaines puissances un monde militant en guerre contre l’Occident. Or, le « Sud global » est un ensemble très hétérogène, dont les membres doivent refuser de s’aligner sur l’une ou l’autre des grandes puissances du « Nord global », - je pense aux Etats-Unis -, ou du « Sud global » - je pense à la Russie ou à la Chine. L’Afrique doit se situer dans le droit fil de l’ancien mouvement des pays non-alignés. Je ne prends qu’un exemple : la lutte contre le terrorisme. Pour que l’Afrique occidentale ne devienne pas un nouveau califat, qu’elle est la meilleure réponse dans la lutte contre le djihadisme ? La CEDEAO ou l’AES (Alliance des Etats Sahéliens) ? La meilleure réponse est évidente : il s’agit de la coopération entre la CEDEAO et l’AES pour offrir, dans l’ensemble de la sous-région, des opportunités de financement, de meilleurs équipements et un partage de renseignements. La CEDEAO avait un centre antiterroriste au Nigéria. La Chine considère qu’il faut y associer le Mali, Niger et le Burkina Faso, qui sont en première ligne dans cette lutte. C’est une bonne idée, mais c’est évidemment plus facile à dire qu’à faire, tous les pays de la sous-région ayant des intérêts différents et divergents. Mais, il faut retrouver l’élan de l’Initiative d’Accra, lancée en 2017 par les pays du golfe de Guinée. L’expérience montre que le G5 Sahel n’était pas la bonne solution. Le développement et la sécurité, comme les réponses aux crises climatiques, sont des enjeux globaux qui nécessitent, dans l’intérêt des populations, le refus de tout enfermement géographique et politique.
Son constat est sombre. Et sa recommandation, pleine de lumière. Réfléchissant sur le sort de sa chère patrie, la RD. Congo, Me Dieudonné Tshibuabua Mbuyi s’attèle, dans sa énième tribune, sur l’épineuse question de la croissance et performance des établissements et entreprises publiques du Portefeuille. Dans sa réflexion, cet Avocat aux Barreaux de Kinshasa-Gombe, de Kananga et de Bruxelles épingle le constat pénible, en RDC, du choix porté sur des mandataires publics sans compétences managériales avérées, ni requises. Pour lui, la désignation des acteurs politiques aux fonctions de mandataires ne favorise pas la croissance, encore moins la performance des entreprises publiques. Ce, étant donné, que ces acteurs politiques portent l’écharde morale envers les intérêts de leur parrain, à savoir leurs partis politiques ou Autorités Morales. Pour juguler ce mal qui ronge l’arsenal du Portefeuille de l’Etat Congolais, il recommande, in extenso, le mode de recrutement de gestionnaires sur base d’un profil managérial avéré ou par un concours indépendant, avec un contrat de performance à la clé, dont les objectifs devront être réévalués périodiquement. Ainsi que l’annulation d’un des décrets de l’ancien Premier Ministre Jean Michel Sama Lukonde précité qui va à l’encontre de l’article 18 de la loi du 07 juillet 2008 qui organise les entreprises publiques.
La dépolitisation des établissements et entreprises publiques du portefeuille est une condition sine qua non à leur croissance et leur performance
Une entreprise publique est toute entreprise du portefeuille de l’Etat dans laquelle l’Etat ou toute autre personne morale de droit public détient la totalité́ ou la majorité́ absolue du capital social. La loi du 07 juillet 2008 a procédé à la transformation des entreprises publiques du portefeuille de l’Etat en sociétés commerciales. Ces entreprises publiques du portefeuille de l’Etat sont régies par le droit commun et prennent l’une des formes prévues par le Décret du 27 février 1887 sur les sociétés commerciales. Les représentants de l’Etat dans les entreprises du portefeuille sont des mandataires publics et ceux-ci forment le conseil d’administration.
Parmi ces mandataires, il y en a que l’on qualifie de mandataires actifs dont le Directeur Général (DG) et dans une moindre mesure, son adjoint. Il y a également les administrateurs, avec le Président du Conseil d’Administration (PCA) en tête, qui sont des mandataires passifs.
Etant donné que ces entreprises sont transformées en sociétés commerciales, elles se retrouvent dans un marché concurrentiel, vu la libéralisation de notre économie, et elles sont régies par le droit OHADA.
Ces entreprises mènent des activités lucratives et se doivent d’être performantes. D’où la nécessité de placer à la tête de ces entreprises, qui pour certaines, ont la taille des multinationales, des personnes ayant un profil de bons managers ainsi que des comités de gestion performants.
Le triste constat est qu’en RDC, la gestion de la plupart de ces entreprises est confiée à des mandataires n’ayant pas les compétences managériales avérées et requises. A la place, c’est un partage de gâteau entre politiciens ou partis politique, dans le cadre d’une récompense pour loyauté ou fidélité à un groupement ou à une certaine autorité morale.
Nous ne contestons pas le fait que certains politiciens peuvent aussi être des bons managers, mais la dette morale dont la plupart se sentent liées les amène à travailler non pas dans l’intérêt de la croissance et de la performance de l’entreprise et par ricochet de l’Etat, mais plutôt pour l’intérêt de leur parti politique ou leur autorité morale. Ainsi, la majorité des entreprises publiques deviennent des lieux de recrutement et d’embauche des membres des partis politiques, des membres de famille des mandataires, ou des personnes qui ont été recommandé au détriment du mode de recrutement classique et utile basé sur les besoins de l’entreprise.
La majorité de ces entreprises sont moins performantes, puisque la masse salariale absorbe tous les bénéfices et que le management s’effectue de manière hasardeuse.
Dans l’intérêt du pays, il est grand temps de mettre un terme à ce système et de privilégier les compétences et la méritocratie. Il y a des personnes qui possèdent des compétences avérées, mais qui, faute de soutien politique, ne peuvent pas accéder à la gestion de ces entreprises.
Par ailleurs, les conseils d’administration de la plupart de ces entreprises sont fortement politisées, avec comme conséquence des rivalités entre les membres du conseil d’administration dont la plupart aboutissent à une guerre acharnée entre le Directeur Générale ( DG) et le Directeur Générale Adjoint, qui souvent convoite la place du DG, ou encore une guerre ouverte entre le DG et le Président du Conseil d’Administration ( PCA), qui oublie son rôle passif et veut supplanter le DG, dans la gestion quotidienne. Il n’est pas rare de voir que le DG, par représailles, bloque à son tour, les avantages des membres du conseil d’administration avec toutes les conséquences sociales qui s’en suivent…Dans une telle situation, il est illusoire de penser que ces entreprises peuvent être performantes.
A cela, il faut rajouter deux décrets de l’ancien Premier Ministre Sama Lukonde signés le 12 avril 2023 portant sur les avantages des mandataires publics dans les entreprises de l’État qui octroient aux mandataires non actifs (passifs) une rémunération régulière, au mépris de l’article 18 de la loi du 07 juillet 2008 qui organise les entreprises publiques, et qui par contre fixe leurs avantages en jeton de présence pour participation aux réunions du conseil d’administration. Par ailleurs, ces décrets leur accordent également d’autres avantages tels que : des soins médicaux, des frais funéraires, des frais d’installation représentant six mois de rémunération, des indemnités de sortie représentant 6 mois de rémunération, des frais de mission et des droits au remboursement des dépenses engagées et billets pour des voyages effectués dans l’intérêt des entreprises, avec comme conséquence que certaines de ces entreprises déboursent des centaines des milliers de dollars mensuels juste pour la rémunération des mandataires, alors que les employés souffrent de grands retards de paiement.
Nous proposons que désormais, le mode de recrutement de gestionnaires se fasse sur la base de leur profil managérial avéré ou par un concours indépendant, avec un contrat de performance à la clé, dont les objectifs devront être réévalués périodiquement. Par ailleurs, nous recommandons l’annulation du décret de l’ancien premier ministre précité qui va à l’encontre de l’article 18 de la loi précitée et d’octroyer uniquement des jetons de présence de participation aux mandataires passifs.
Sous l’œil du Ministre de tutelle et de différents organes de contrôle, tout gestionnaire qui n’aurait pas rempli ces obligations managériales devrait être remercié et remplacé. Ainsi, nous pourrions sauver toutes ces entreprises publiques de cet état de quasi- faillite dont se retrouve la plupart d’entre elles, et, les rendre performantes dans un marché concurrentiel largement dominé par les entreprises à capitaux étrangers, ce qui permettrait certainement d’atteindre au moins un des piliers de l’action gouvernementale, à savoir, la création et la préservation d’emploi stable.
Me Dieudonné Tshibuauba Mbuyi
Avocat aux Barreaux de Kinshasa-Gombe, de Kananga et de Bruxelles
Vice-Président du Centre de Recherche et d’Information pour la Protection des Consommateurs en RDC
Le principe moniste, qui établit une hiérarchie des normes en plaçant les accords et traités internationaux au-dessus des législations nationales, suscite des débats intenses au sein des États souverains. En République Démocratique du Congo (#RDC), comme dans d'autres régions du monde, cette dynamique soulève des interrogations cruciales concernant la souveraineté nationale. Comment concilier l'engagement d'un pays envers la communauté internationale avec le besoin de préserver son indépendance législative et politique ? Dans cette note, je me propose d'explorer ces questions en examinant le principe moniste, ses implications pour la souveraineté nationale en RDC et les enjeux globaux qui en découlent.
Le principe moniste : définition et implications
Le principe moniste repose sur l'idée que le droit international et le droit national forment un tout intégré. Les traités et accords internationaux, une fois ratifiés, ont force obligatoire au même titre que les lois internes. Cela signifie que, dans les cas de conflits, les normes internationales doivent prévaloir. En théorie, ce principe vise à assurer une cohérence dans le respect des droits humains, de l'environnement et d'autres normes globales. Cependant, cette hiérarchie des normes pose un défi pour les États, notamment en matière de souveraineté.
La situation en République Démocratique du Congo
La Constitution de la RDC contient des dispositions qui déterminent son rang normatif. Il s’agit principalement des articles 215, 216 et 217 de la Constitution. L'article 215 confirme le caractère moniste du droit congolais. Cet article 215 met en exergue l’autorité supérieure des traités sur les lois tandis que l’article 217 conditionne la ratification des traités internationaux à leur conformité à la Constitution. Quant à l’article 216, il prévoit un contrôle préventif de la constitutionnalité qui porte sur tous les traités ou accords internationaux, c'est-à-dire aussi bien sur ceux qui sont soumis à l'approbation parlementaire avant leur ratification.
En RDC, la question de la souveraineté nationale est particulièrement sensible. Le pays, riche en ressources naturelles, a souvent été confronté à des interventions étrangères, tant militaires, politiques qu'économiques. L'application du principe moniste pourrait signifier que des décisions prises à l'échelle internationale, comme celles concernant l'exploitation des ressources ou les droits des peuples autochtones, aient un impact direct sur les lois congolaises. Ainsi, la RDC se retrouve à naviguer entre ses engagements internationaux et la nécessité de protéger ses intérêts nationaux.
Les enjeux globaux
Au-delà de la RDC, d'autres régions du monde partagent des préoccupations similaires. Les États en développement, souvent soumis à des pressions extérieures pour adopter des législations conformes aux normes internationales, craignent une dilution de leur souveraineté. Par ailleurs, la montée du nationalisme dans divers pays remet en question l'adhésion à des traités internationaux, illustrant une tension entre les impératifs globaux et les aspirations locales. La question se pose alors : jusqu'où un État peut-il se conformer à des normes extérieures sans compromettre son autonomie ?
Vers un équilibre entre souveraineté et coopération internationale
Pour la RDC, il est impératif d'envisager des mécanismes qui permettent de concilier les exigences du droit international avec les besoins spécifiques du pays. Cela nécessite une approche proactive, où la RDC pourrait jouer un rôle actif dans la formulation des normes internationales, afin de s'assurer que celles-ci tiennent compte des réalités locales. Pour cela le pays doit se doter d’une législation et de structures sur la normalisation qui n’existent pas en RDC. Je prépare un projet de loi dans ce sens au Sénat.
Renforcement des capacités nationales
Un autre aspect essentiel est le renforcement des capacités institutionnelles et juridiques au sein de la RDC. En investissant dans la formation des juristes et en améliorant le système judiciaire, le pays peut mieux intégrer les normes internationales dans son cadre législatif sans sacrifier son autonomie. Cela passe également par la sensibilisation des acteurs politiques et de la société civile sur les enjeux liés au droit international et à la souveraineté nationale.
La voix des citoyens et des acteurs locaux
Enfin, il est crucial d'inclure la voix des citoyens et des acteurs locaux dans le débat sur le principe moniste et la souveraineté. Les populations congolaises, souvent les premières affectées par les décisions prises à l'échelle internationale, doivent avoir l'opportunité de participer activement aux discussions sur les traités et accords qui les concernent. Une approche participative permettra non seulement de renforcer la légitimité des décisions, mais aussi de garantir que les intérêts locaux soient pris en compte.
Conclusion
Le principe moniste, en plaçant les accords et traités internationaux au sommet de la hiérarchie des normes, offre une vision intégrée du droit qui favorise la coopération entre les Etats.
Le principe moniste représente un couteau à double tranchant pour la RDC. S'il offre des opportunités de coopération et de développement à l'échelle internationale, il pose également des défis significatifs pour la souveraineté nationale.
A l'aube d'une nouvelle ère de relations internationales marquées par l'interconnexion et l'interdépendance, il est crucial que la RDC et d'autres Etats en développement trouvent des solutions innovantes pour naviguer ces tensions. Cela nécessitera une vision stratégique, un engagement sincère envers les droits fondamentaux et un équilibre délicat entre l'adhésion aux normes internationales et la préservation de l'intégrité nationale.
La route à suivre est complexe, mais elle est essentielle pour garantir un avenir où la souveraineté et la coopération peuvent coexister en harmonie.
Notable de l’espace Grand Kasaï et véritable défenseur de la relance des activités de la Minière de Bakwanga (Miba S.A), Aimé Kayembe Kaykong est revenu, en exclusivité, sur les écueils à impact négatif sur la relance de cette société dont les années de gloire remontent à plusieurs décennies. Pour lui, il est nécessaire de baliser la voie à cette relance car, précise-t-il, un projet d’un montant de 70 millions de dollars est déjà sur la table du Ministre des Finances en décaissement de la première partie pour impulser cette démarche.
Propositions
S’adressant à Jean-Lucien Bussa Tongba, Ministre du Portefeuille, il a signifié ce qui suit : « Rappelons le nouveau Ministre du Portefeuille, Jean Lucien Bussa Tongba, de mettre en place les cinq piliers pour la relance réelle de la MIBA, une restructuration profonde du comité de gestion de la MIBA ».
Au sujet des Administrateurs identifiés comme véreux dans la gestion de cette société, il recommande la réduction systématique de la taille éléphantesque pour le Conseil d’Administration de la MIBA qui, d’après lui, se voûte dans cette malversation.
Egalement, il est favorable à la rupture sine qua none du mercenariat avec ASA Group afin que l’Etat congolais récupère la gestion de la MIBA à 100%. « Avec maintenant un Ministre de Portefeuille compétent comme Jean Lucien Bussa, mettant à nue méthodiquement l’escroquerie ASA-Sibeka qui a durée depuis des décennies au sein de son Ministère, il devient maintenant possible de la relance de la MIBA S.A », s’est-il exprimé.
Par ailleurs, il a salué les actions salvatrices du Directeur Général, le Docteur André Kabanda Kana, qui a pu remonter la production avec la haute qualité et quantité des diamants DJEM.
Halte à la manipulation et intox
Cependant, dans sa tribune de réflexion, Aimé Kayembe dénonce les agissements de syndicalistes qui, selon ses précisions, mobilisent le personnel à des grèves, l’obéissance civique, la destruction méchante des outils de production ainsi que des vols des matières premières en vue de saboter la production.
« Nous appelons les autorités locales et le Ministère de la Justice d’ouvrir une enquête d’interpellation à ses fauteurs des troubles. Nous demandons aux dirigeants actuels de la société d’enterrer leur hache de guerre, leurs sentiments égoïstes et du gangstérisme, le triomphalisme dans les affaires de la société épauler et accompagner le Chef de l’Etat dans la mission noble qu’il nous a confié : la production et la relance du Kasaï en avant », a-t-il déclaré.
(Par James Andersson NZALE, Président du CIEGS RDC AFRIQUE)
Avant toute chose, avant toute écoutons tous et partageons ensemble ces versets bibliques qui du reste représentent une petite exhortation pour nous, pour notre vie et pour notre mieux être social :
Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera (Galates 6 : 5, 7 - 8) ;
Qui sème le vent récolte la tempête (Osée 8 : 7 - 8) ;
On vous mesura de la même façon que vous mesurez les autres (Matthieu 7 : 1 - 2) ;
Les Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne le verrez plus (Exode 14 : 11 - 14) ;
Quand les gens crieront paix, paix sur la terre, une ruine soudaine les surprendront (1 Thessaloniciens 5 : 3) ;
La tour de Babel Dieu dit : Descendons et confondons-les (Genèse 11 : 1 - 9) ;
Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore, et que le juste pratique encore la justice et que celui qui est saint se sanctifie encore, voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. (Apocalypse 22 : 11 - 12).
Voilà la PROPOSITION DU PLAN D’ACTION PRIORITAIRE, GEOPOLITIQUE ET GEOSTRATEGIQUE A INSERER ET A ENRICHIR LE PROGRAMME DE LA GOUVERNANCE POLITIQUE DU PRESIDENT DONALD TRUMP A EXECUTER DURANT SON DEUXIEME ET DERNIER MANDAT POLITIQUE DE 2025 A 2028 A LA TETE DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE : « MAKE AMERICA GREAT AGAIN OU AMERICA FIRST » du CIEGS RDC AFRIQUE faisant suite et complétant les deux MEMORANDUMS DES NOIRS D’AFRIQUE VIVANTS SUR LE CONTINENT AFRICAIN ET DU CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE ET ASBL A L’ATTENTION DU PEUPLE AMERICAIN SANS EXCEPTION ET EXCLUSION ET PARTICULIEREMENT AUX AFRO - AMERICAINS DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE, AUX MEDIA AMERICAINS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), AUX MEDIA EUROPEENS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), AUX INSTITUTS DE SONDAGES AMERICAINS ET EUROPEENS, AUX INFLUENCEURS ET INFLUENCEUSES DE TIK TOK AMERICAINS ET EUROPEENS, AU PARTI DEMOCRATE AMERICAIN, AU PARTI REPUBLICAIN AMERICAIN, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - CULTURELLES AMERICAINS, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - ECONOMIQUES AMERICAINS, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - PROFESSIONNELLES AMERICAINS, AUX SYNDICATS DES EMPLOYEURS ET DES EMPLOYES AMERICAINS, AUX EGLISES AMERICAINES, AUX ENTREPRISES AMERICAINES, AUX ONG AMERICAINES, AUX FONDATIONS AMERICAINES, AUX STARS DE MUSIQUE AMERICAINS ET AUTRES EN RAPPORT AVEC LE COMPORTEMENT A OBSERVER ET A DEVELOPPER, LES BONNES ATTITUDES JUSTES, VERIDIQUES, HONNETES, CORRECTES, CREDIBLES, INTEGRES, IMPARTIALES, NON PARTISANES ET TOTALEMENT DEMOCRATIQUES A CULTIVER A INCARNER, A DEVELOPPER ET A ENCOURAGER DURANT LA PERIODE DE LA CAMPAGNE ELECTORALE AMERICAINE QUI AURA POUR ABOUTISSEMENT FINAL L’ELECTION DU 47ème PRESIDENT DES ETATS UNIS D’AMERIQUE LE MARDI LE 05/NOVEMBRE/2024 ainsi que les conclusions générales des grands enjeux de l’élection présidentielle du Mardi le 05 Novembre 2024 aux Etats – Unis d’Amérique.
Sans préjudice des principaux thèmes phares de la campagne électorale de 2024 qui devraient être développés par des candidats présidents des Etats – Unis d’Amérique pour expliquer, persuader, convaincre et faire comprendre à tout citoyen américain ou peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre, ce que devrait être son projet de société et son programme de gouvernance dans les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028, malheureusement, cela n’a pas été fait et cela n’a pas été le cas, les candidats à la présidence des Etats – Unis d’Amérique de cette année 2024 ont parfois versé directement ou indirectement ou par personne interposés dans des escalades verbales, dans les polémiques, dans le dénigrement et la diabolisation de l’autre adversaire politique jusqu’ à jeter le discrédit et l’opprobre sur l’autre sans se rendre effectivement compte de ce qu’ils étaient en train de faire et de dire au public et au peuple américain et ce que cela entrainera effectivement directement ou indirectement dans le subconscient, dans la tête et dans la conscience individuelle et personnelle du peuple américain au lieu d’aborder directement des questions majeurs, très sensibles et très stratégiques qui touchent directement la vie socio - économique du peuple américain auxquelles il est confronté au quotidien, des véritables problèmes et difficultés auxquels le citoyen et le peuple américain est quotidiennement confronté nuit et jour à savoir : la santé, l’éducation, l’environnement, l’économie, les mécanismes de la lutte contre l’immigration illégale, clandestine et abusive, ainsi que les enjeux locaux à savoir : le pouvoir d’achat du peuple américain, le logement, octroi des crédits au logement et la construction des logements sociaux, la lutte contre l’inflation, la crise de logement, pour des classes sociales démunies etc.
Ce qui est bien triste, regrettable, dommage, pitié, très ridicule et très honteux pour une très grande démocratie mondiale et planétaire qu’est les Etats – Unis d’Amérique. Alors qu’ils ont eu beaucoup ou suffisamment du temps et des moyens matériels et financiers pour le faire et développer aussi des thèmes hautement géopolitiques et géostratégiques durant leurs campagnes électorales à la présidentielle américaine de 2024. Il s’agit en effet essentiellement des thèmes, des matières et des questions clés sur le plan national et international que le peuple américain voulait aussi bien écouter leur avis, leur opinion, leur projet de société et leur programme de gouvernance politique et économique des Etats – Unis d’Amérique pour les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028 durant la campagne électorale de 2024 que voici que le CIEGS RDC AFRIQUE à travers sa branche Internationale, planétaire et mondiale le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE considèrent et propose au Président Elu des Etats – Unis DONALD TRUMP de les insérer et intégrer totalement et globalement dans son plan d’action et programme de gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat et durant les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028 à la tête des Etats – Unis d’Amérique :
La lutte contre le terrorisme international ;
La situation de la paix et la sécurité internationale au proche, moyen et extrême orient et la zone indo – pacifique ;
La situation de la paix et la sécurité internationale en République démocratique du Congo et dans la région des grands lacs et à travers le monde ;
Le processus de paix Israélo - palestinien ou le plan de paix Israélo - palestinien ;
Les grands enjeux géopolitiques et géostratégiques des USA en Russie, en Syrie, en Israël, au Liban, en Turquie, en Iran, en Irak, en Palestine, en Lybie, au Soudan et en République Démocratique du Congo ;
Le transfert officiel de l’Ambassade des Etats – Unis d’Amérique de Tel - Aviv (Jaffa) à Jérusalem (Stratégies, mécanismes de mise en œuvre) ;
Les USA et le G7 ;
Les USA et le G20 ;
Les USA et le BRICS ;
Les USA, la Crimée et l’Ukraine ;
Les USA, l’OTAN et l’acte fondateur OTAN – Russie ;
Les USA, l’Union Européenne et la nécessité de sa réforme et restructuration après le Brexit ;
Le Brexit ou la sortie du Royaume Uni de l’Union Européenne ;
Les USA et les Etats Américains (Organisation des Etats Américains) ;
Les USA et traité de non-prolifération des armes nucléaires ;
Les USA et l’accord avec l’Iran sur le nucléaire ;
Les USA et la préservation de la planète, de l’environnement, le dérèglement et le réchauffement climatiques ;
Les USA et les relations économiques transatlantiques, le Commerce mondial et l’Organisation Mondiale de Commerce (OMC), OCDE, OSDE et le BRICS ;
Les USA et les relations politiques, diplomatiques, géopolitiques et géostratégiques que voici : USA – Royaume Uni (UK), USA – Union Européenne (UE), USA – Union Africaine (UA) ;
La maitrise de l’immigration américaine et européenne et le respect des frontières nationales comme mesures difficiles à prendre pour protéger les citoyens face au terrorisme international ;
L’accord de libre-échange Nord-Américain et transatlantique ;
La diplomatie agissante des USA en Europe, Afrique, Proche Orient, Moyen Orient, Extrême Orient et en Amérique du Nord et du Sud ;
Les relations bilatérales : Usa – Mexique, Usa – Russie, Usa – Israël, Usa – Chine, Usa – Royaume Uni, Usa – Allemagne, Usa – Bruxelles, Usa – Japon, Usa – Corée du Nord, Usa – Corée du Sud, Usa – les Balkans et l’Europe de l’Est, Usa – Afghanistan, Usa – Pakistan, Usa – Inde, Usa – Birmanie, Usa – Ukraine, Usa – Crimée, Usa – Géorgie, Usa – Turquie, USA – OTAN, Usa – Union Européenne, Usa – Turquie, Usa – Iran, Usa – Irak, Usa – Afrique, Usa – Syrie, Usa – Liban, Usa – Union Africaine, Usa – Egypte, Usa – République Démocratique du Congo et autres ;
La réforme, la suppression ou pas d’OBAMACARE et son remplacement par une autre Loi de Santé ou de Couverture Médicale Universelle ;
La réforme fiscale aux USA tels que vu par le nouveau Président élu des Etats - Unis d’Amérique DONALD TRUMP ;
La problématique, la possibilité et la mise en œuvre de la poursuite de la construction du mur de séparation avec le Mexique dans le cadre du programme du Président élu des Etats - Unis d’Amérique DONALD TRUMP dans la lutte contre l’immigration clandestine des sujets mexicains aux USA ;
La réduction des impôts aux USA ;
La guerre commerciale avec la Chine et la taxation des produits chinois (Made in China) fabriqués en Chine à la douane américaine ;
L’Energie et la relance de l’industrie de charbon, du pétrole et du gaz sur le sol américain ;
L’engagement des USA en rapport avec la Défense, la sauvegarde, la surveillance, la promotion, la protection planétaire de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de l’Etat de Droits, de la primauté de la Loi et des Droits, de la liberté d’expression, de la liberté d’opinion, de la liberté de culte, de la liberté de manifestation, de l’autodétermination et le droit au développement des peuples de la planète ;
L’engagement spécial des USA face à l’Afrique dans la problématique de la démocratisation des régimes politiques, du respect des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, Non et plus question des soutenir politiquement les dictateurs éternels africains qui sont restés longtemps au pouvoir politique et qui oppriment leurs peuples, de l’alternance démocratique, du respect de la Constitution ou Loi Fondamentale et les Lois de la République, de la fin des mandats éternels et à vie des Présidents Africains.
L’engagement spécial des USA en rapport avec la reforme et la restructuration de l’OTAN ;
L’engagement spécial des USA en rapport avec la Reforme, la REFONTE TOTALE et la RESTRUCTURATION DE L’UNION EUROPEENNE ;
L’engagement spécial des USA en rapport avec la Reforme, la refonte totale et la restructuration de l’Union Africaine et de toutes les Organisations politiques, régionales non démocratiques et qui n’appuyent pas le principe de la démocratisation des régimes politiques des Etats membres, et le strict respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, de la déclaration universelle des droits de l’Homme, de la Charte des Nations Unies et de la Charte de l’Union Africaine à savoir : la CEEAC, la CEMAC, la CEPGL, la SADC, la COMESA, l’EAC, la CIRGL et autres pour ainsi se conformer aux impératifs et exigences mondiales et internationales de la démocratie, de l’Etat de Droit, des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, de la paix et sécurité internationale, de la lutte contre le terrorisme international et enfin le REFUS ABSOLU ET CATEGORIQUE des USA de tout soutien moral, politique et diplomatique et d’appui logistique et financier aux dictateurs africains, aux seigneurs de guerre des rebellions armées ainsi que la légitimation politique et diplomatique des pouvoirs non démocratiques issues des rebellions, des coups d’état et renversement par les armes des régimes démocratiquement élus ;
Etudes des mécanismes, des voies et moyens et des possibilités du retrait total et définitif des USA de l’OTAN ;
Retrait des toutes les troupes américaines dans les bases de l’OTAN en commençant par la base aérienne de l’OTAN de Ramstein en Allemagne ;
Mettre définitivement fin à l’élargissement de l’OTAN ;
Retour de l’OTAN dans les limites de 1991 conformément au compromis qui a été trouvé autrefois entre les Etats – Unis et la Fédération de Russie au lendemain de la chute de l’ex – Union Soviétique, ce qui contribuera à la paix, à la sécurité et à la stabilité en Europe ;
Rétablissement et reprise du dialogue direct et sans intermédiaire et de partenariat et cadre de concertation direct OTAN – Russie ;
Retrait définitif des Etats –Unis d’Amérique de l’OTAN ;
Arrêt total de financement des Etats – Unis d’Amérique de l’OTAN ;
Dissolution pure et simple de l’OTAN, ce qui contribuera à la paix, la sécurité et la stabilité internationale et particulièrement en Europe.
Etudes des mécanismes, des voies et moyens et des possibilités du retrait total et définitif des USA de l’ONU ;
Etudes des mécanismes, des voies et moyens et des possibilités de reconsidérer et de revoir à la baisse le financement des USA de l’ONU ;
Reconsidérer et diminuer la part et la contribution financière des USA aux charges de l’ONU et que l’argent récupéré servira désormais à améliorer les conditions sociales du peuple américain conformément au discours de campagne, au programme électoral et au projet de société du Président DONALD TRUMP et de sa gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat de 2025 à 2028 à la tête des Etats – Unis d’Amérique ;
Retrait des toutes les troupes américaines de toutes les missions de maintien de la paix de l’ONU à travers le monde ;
Mettre définitivement fin au financement des certaines Agences et branches spécialisées de l’ONU et cet argent doit désormais servir pour le mieux-être du peuple américain dans le domaine de la santé, de l’éducation, de la création des emplois, des infrastructures, de logement, de la lutte contre la misère et la pauvreté des citoyens américains du pouvoir d’achat des citoyens américains etc. ;
Retrait définitif des Etats –Unis d’Amérique des NATIONS UNIS ;
Arrêt total de financement des Etats – Unis d’Amérique des NATIONS UNIS ;
Etude des mécanismes de dissolution pure et simple des NATIONS UNIS pour avoir échoué de maintenir la paix et la sécurité internationale à travers le monde particulièrement en République Démocratique du Congo, en Ukraine, en Palestine, à Haïti, au Liban etc., ce qui contribuera à la paix et la sécurité internationale ;
Reconsidérer rapidement les relations de collaboration et de coopération multilatérales entre les USA et l’Union Européenne en rapport avec des procès contre les géants technologiques et les grandes entreprises américaines du GAFA (Google, Amazone, Facebook et Apple) parfois abusivement condamnés dans des Cours et des Tribunaux européens à des très fortes amandes pour violation des normes de concurrences déloyales et abusives et que l’argent qui sera récupéré servira à relancer ces entreprises de la GAFA en vue d’améliorer les conditions sociales du peuple congolais au regards de discours de campagne, au programme électoral et projet de société du Président DONALD TRUMP de sa gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat de 2025 à 2028 ;
Etude des mécanismes et des modalités pratiques de la restitution des milliards des dollars américains du peuple américain ou des contribuables américains dépensés par le Gouvernement ou l’Administration BIDEN pour financer la guerre en Ukraine par l’Union Européenne et par l’Europe collectif selon les promesses de campagne électorale du Président Elu DONALD TRUMP ;
Reconsidérer rapidement les relations de collaboration et de coopération multilatérales entre les USA et la Cour Pénale Internationale (CPI) en rapport avec des procès politiques et des mandats d’arrêts internationaux politiques, politisés, illégaux et arbitraires et totalement dénoué de fondement juridique lancés contre certains leaders politiques de certains pays à travers le monde qui n’ont pas ratifié le statut de Rome de la Cour Pénale Internationale (CPI) au regard du discours de campagne, du programme électoral et du projet de société du Président DONALD TRUMP et de sa gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat de 2025 à 2028 ;
Faire voter des lois au niveau du Congrès américains assorties des très fortes sanctions américaines contre toute forme d’abus de pouvoir et d’autorité de la Cour Pénale Internationale et de certains de ses animateurs dans leurs prise de décision en rapport avec des procès politiques et des mandats d’arrêts internationaux politiques, politisés, illégaux et arbitraires et totalement dénoué de fondement juridique lancés contre certains leaders politiques de certains pays à travers le monde qui n’ont pas ratifié le statut de Rome de la Cour Pénale Internationale (CPI).
La politique du Président élu des Etats - Unis d’Amérique DONALD TRUMP en rapport avec le soutien à la classe moyenne américaine désœuvrée ;
Le bilan de 100 jours du nouveau Président élu des Etats – Unis DONALD TRUMP à la maison blanche ;
La préparation spirituelle, morale, politique et stratégique du nouveau Président élu DONALD TRUMP après son élection le Mardi 05 Novembre 2024 à assumer valablement ses fonctions et ses responsabilités politiques de diriger les Etats – unis d’Amérique durant les Quatre (4) années avenir de 2025 à 2028.
Que la grâce du Seigneur Jésus - Christ, l’amour de Dieu le Père Céleste et Eternel des Armées et la Communication du Saint Esprit soient avec vous (2 Corinthiens 13 :13).
Que Dieu le Père céleste et Eternel des Armées vous bénisse abondamment au nom puissant de notre Seigneur et Sauveur personnel et Maître Suprême JESUS - CHRIST (Actes 2 :21 ; 4 :11-13 ; 3 Jean 2 ; Ephésiens 1 :1-3).
Fait à Kinshasa, le 16/Novembre/2024
James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU
ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Président – Fondateur et Président Exécutif International
Et Chercheur du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL
Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Journaliste Manager et Professionnel
Char du Feu, Char d’Israël et sa Cavalerie
Le Vaillant Héros et le Grand Lion
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(Par Isidore KWANDJA NGEMBO, Analyste des politiques publiques)
La tarification du carbone est un moyen de lutte contre le changement climatique qui suscite un intérêt croissant. Un nombre important et croissant de pays visés ou non à l’annexe I de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) se sont dotés de systèmes d'échange de quotas d'émission (ETS) ou de taxes sur le carbone.
Comme nous n’avons cessé de le dire, en RDC, la taxe carbone, en plus de jouer un rôle central pour le financement des actions d'atténuation et d'adaptation liées au changement climatique, au renforcement de la résilience aux risques climatiques et à l’amélioration de notre capacité à répondre aux catastrophes naturelles et à les prévenir par des bonnes politiques publiques en la matière, elle pourrait bien être une mesure économique et une source nouvelle de revenus essentiels qui comptera significativement dans le budget global de l’État.
Nous croyons fortement qu’avec une bonne politique publique en la matière et une saine gestion de la taxe carbone, la RDC pourrait, avec ses immenses réserves des forêts tropicales humides riches en carbone, recueillir abondamment des nouveaux fonds qui seront réinjectés dans l'économie nationale.
En effet, les recettes provenant de la tarification du carbone, comme mécanisme de financement novateur, contribueraient de manière significative au budget de l’État. Mais l'enjeu crucial est la mise en place d'une gouvernance permettant de garantir la plus grande transparence, l'intégrité et la saine gestion des ressources financières provenant de cette tarification du carbone.
Parmi les plus grands pollueurs ayant historiquement émis le plus de CO2, il y a notamment les pays occidentaux avec les États-Unis d’Amérique en tête.
Mais actuellement, c’est la Chine qui est le premier pays émetteur mondial de CO2, suivie des États-Unis d’Amérique, de l'Union européenne, de l'Inde, de la Russie, du Japon, de l’Iran, de l’Allemagne, de la Corée du Sud, de l’Arabie saoudite et de l’Indonésie, etc.
Qu’on ne se trompe pas, la victoire de Donald Trump aura inévitablement des répercussions sur tous les domaines de la politique dans le monde. Aux USA, la famille démocrate est en deuil. Les femmes qui ont voté majoritairement Kamala Harris ne décolèrent pas. Elles pensent que si leur championne était du genre masculin, elle aurait remporté l’élection haut la main face à un homme qui ne voulait se faire élire que pour échapper à ses déboires judiciaires.
En 2016, la secrétaire d’Etat, Hilary Clinton, première candidate de l’élection présidentielle des USA, pensait briser les codes et les convenances face à Trump mais, le handicap du genre, estime certains militants démocrates, a contribué à son échec malgré sa victoire en nombre de voix populaires. Ce malheur d’Hilary Clinton a poursuivi Kamala Harris et cela de la pire de façon. La vice-présidente a perdu l’élection en nombre de voix et en nombre de délégués. Aujourd’hui, l’Amérique est plus que jamais divisée et la réconciliation sous l’administration Trump semble compromise !
A l’inverse des Démocrates qui pleurent leur défaite, en Afrique, le royaume du Maroc jubile ! Le journal en ligne le 360, réputé proche du palais royal, et la presse marocaine en général se sont très largement félicités de la victoire du magnat de l’immobilier, élu à l’issue de la présidentielle américaine du 5 novembre 2024. Ce soutien de la presse marocaine s’explique par le fait que lors du premier mandant de Trump, en 2016, il a reconnu officiellement la souveraineté de Rabat sur le Sahara occidental, en décembre 2020. Cette joie visible sur le visage de la presse ne va pas arranger les affaires entre le Maroc et son géant voisin, l’Algérie, qui soutient le combat du Front Polisario dans sa lutte pour l’indépendance du Sahara Occidental.
En Europe la pilule est difficile à avaler ! Face à Trump, le saut dans l’inconnu de l’Organisation du traité de l’atlantique (OTAN). Le président américain élu menace de se désengager de l’Alliance atlantique, dont Washington est le principal contributeur. Ce désengagement peut avoir des conséquences fâcheuses sur la guerre en Ukraine surtout que la Corée du Nord vient de s’engager aux côtés de la Russie de Poutine avec l’envoi d’un millier d’hommes. Cette contribution coréenne, mal venue, complique la donne géopolitique des Européens. Au siège de l’OTAN, à Bruxelles, le silence est de mise. Certains diplomates chevronnés estiment que si les pays européens ne consacraient pas au moins 2% de leur PIB à leurs dépenses de défense, Trump risque de mettre sa menace à exécution même si ce dernier propose une solution irréaliste de créer une zone tampon, pour la paix, entre l’Ukraine et l’espace conquis par la Russie et dont la force européenne garantirait la sécurité. Si nous lisons entre les lignes ce que je viens de souligner ci-dessus, on peut interpréter cette déclaration de Trump comme une volonté politique de la balkanisation de l’Ukraine et cela peut faire réfléchir la RDC au regard des territoires occupés actuellement par l’ennemi (Voir l’article 217 de notre constitution et son ambiguïté) en référence avec ce qui se passe à l’Est même si la situation ukrainienne n’est pas comparable à celle de la RDC.
Au Brésil, enfin, les succès de Donald Trump galvanisent les partisans de l’ancien président Jair Bolsonaro. Ces derniers espèrent que leur champion reviendra aux affaires même s’il est frappé par une sanction d’inéligibilité jusqu’en 2030. D’ailleurs, Bolsonaro, par imitation de ses compairs Viktor Orban (Hongrie) et Benyamin Nétanyahou (Israël), a rapidement congratulé Donald Trump. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, comme l’écrit le journal le monde (France), l’ancien président brésilien (2019-2023) a pris la pose, une rougeoyante casquette « Make America Great Again » sur la tête. « Nous sommes ensemble ! », jubile-t-il ?
La victoire de Donald Trump et l’espoir des nationalistes de revenir au pouvoir vont bouleverser l’ordre du monde dans les années à venir. Les guerres, le repli sur soi et l’expropriation des terres sont autant des défis auxquels nous seront confrontés. C’est le retour à la loi du plus fort qui va prévaloir !
(Par James Andersson NZALE, Président du CIEGS RDC AFRIQUE)
CENTRE INTERNATIONAL D’ETUDES GEOSTRATEGIQUES POUR LA RECHERCHE, LA DEFENSE, LA SAUVEGARDE, LA SURVEILLANCE, LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DEMOCRATIE, DES DROITS DE L’HOMME, DE LA PAIX INTERNATIONALE ET DU DEVELOPPEMENT INTEGRAL
CIEGS RDC AFRIQUE
ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTERGRAL ET DE MIEUX ETRE SOCIAL ET ASBL
Concerne : MESSAGE DE FELICITATION DU CIEGS RDC AFRIQUE ADRESSE AU PEUPLE AMERICAIN, SOUVERAIN PRIMAIRE, MAITRE ET PROPRIETAIRE DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE POUR SA MATURITE POLITIQUE ET ELECTORALE ET POUR AVOIR BOYCOTTE ET REJETTE OUVERTEMENT, TOTALEMENT, COMPLETEMENT ET CATEGORIQUEMENT TOUS LES MOTS D’ORDRE, LES INJONCTIONS, LES APPELS DE VOTE, DE REPORT DE VOIX ET DE SOUTIENT DIRECTS OU INDIRECTS, VOILES OU PAS DES MEDIA AMERICAINS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), DES MEDIA EUROPEENS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), DES INSTITUTS DE SONDAGES AMERICAINS ET EUROPEENS, DES INFLUENCEURS ET INFLUENCEUSES DE TIK TOK AMERICAINS ET EUROPEENS, DU PARTI DEMOCRATE AMERICAIN, DU PARTI REPUBLICAIN AMERICAIN, DES ASSOCIATIONS SOCIO - CULTURELLES AMERICAINS, DES ASSOCIATIONS SOCIO - ECONOMIQUES AMERICAINS , DES ASSOCIATIONS SOCIO - PROFESSIONNELLES AMERICAINS, DES SYNDICATS DES EMPLOYEURS ET DES EMPLOYES AMERICAINS, DES EGLISES AMERICAINES, DES ENTREPRISES AMERICAINES, DES ONG AMERICAINES, DES FONDATIONS AMERICAINES, DES STARS DE MUSIQUE AMERICAINS, STARS DES SPORTS AMERICAINS ET AUTRES STARS AMERICAINS EN FAVEUR DE TELS OU TELS AUTRE CANDIDAT PRESIDENT DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE DURANT L’ELECTION PRESIDENTIELLE AMERICAINE DU 05 NOVEMBRE 2024 ET POUR AVOIR VOTE EN AME ET CONSCIENCE DEVANT DIEU ET DEVANT LES HOMMES SUR LA VOIX DE LEURS CONSCIENCES INDIVIDUELLE ET PERSONNELLE LE PRESIDENT DONALD TRUMP COMME LE 47ème PRESIDENT DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE DURANT L’ELECTION PRESIDENTIELLE AMERICAINE DU 05 NOVEMBRE 2024.
LE CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET DE MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE ET ASBL À TRAVERS SA BRANCHE INTERNATIONALE ET PLANETAIRE DENOMMEE LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE félicitent le Président américain Donald Trump pour sa très brillante élection en qualité de 47ème Président des Etats - Unis d’Amérique durant l’’élection présidentielle américaine du 05 novembre 2024 avec un score électoral très impressionnant, inédit, écrasant, imbattable, jamais vu, sans ambages, sans commentaire, sans contrédit, sans appel et défiant toute concurrence aux Etats – Unis d’Amérique malgré toutes difficultés rencontrées, les obstacles, les entraves et entorses érigées autour de sa candidature durant l’élection présidentielle américaine du 05 novembre 2024.
De ce fait, en ce jour, le CIEGS RDC AFRIQUE : Ong de défense des droits de ll’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux être social en RDC, en AFRIQUE et partout à travers le monde et ASBL à travers sa branche internationale et planétaire dénommée le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE saluent et félicitent aussi le peuple américain pour sa maturité politique et électorale pour avoir pris le courage politique avec un très forte détermination de boycotter et de rejeter totalement, publiquement, ouvertement et catégoriquement à travers les urnes les injonctions, les mots d’ordres, les appels au ralliement, les appels au vote, le report des votes des leaders politiques démocrates considérés depuis longtemps comme les plus puissants, les plus écoutés et les plus considérés, les plus en vue, les plus charismatiques et eternels soit du parti démocrate américain, soit du parti républicain américain, soit des leaders des ONG américaines, des Associations américaines, des églises américaines, des syndicats américains, des entreprises américaines, de la presse écrite et média audiovisuels américains et européens, des influenceurs et influenceuses des réseaux sociaux et de Tik Tok américains et européens, des acteurs de cinéma, des musique et des sports américains et autres.
Félicite en outre le peuple américain pour avoir écouté le plaidoyer du CIEGS RDC AFRIQUE : Ong de défense des droits de ll’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux être social en RDC, en AFRIQUE et partout à travers le monde et ASBL à travers sa branche internationale et planétaire dénommée le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIREqui appela le peuple américain à travers ses deux mémorandums qui leur ont été adressés avant le jour du vote du Mardi le 05 Novembre 2024 afin de leur prier, demander et recommander de faire le bon choix de la responsabilité, de la raison et en toute liberté et indépendance d’esprit et de voter leur nouveau président de la République, le 47ème Président des Etats – Unis d’Amérique sur la voie de leurs consciences individuelles et collectives.
Félicite encore le peuple américain pour avoir voté leur nouveau président de la République, le 47ème Président des Etats – Unis d’Amérique sur la voie de leurs consciences individuelles et collectives en tenant compte de son discours de campagne, de son projet de société, de son programme électoral et de gouvernance politique des quatre (4) années à venir de 2025 à 2028 axé sur l’économie, la lutte contre l’inflation, le pouvoir d’achat du peuple américain, la santé, l’éducation, l’environnement, les mécanismes de la lutte contre l’immigration illégale, clandestine et abusive, ainsi que les enjeux locaux à savoir : le logement, octroi des crédits au logement et la construction des logements sociaux, la crise de logement pour des classes sociales démunies etc.
Prie le Président DONALD TRUMP de réaliser rapidement et sans plus tarder toutes ses promesses électorales envers ou vis – à - vis le peuple américain qui l’a fait confiance et qui l’a porté au pouvoir jusqu’à le faire élire comme 47ème Président des Etats –Unis lors de l’élection présidentielle du Mardi le 05 Novembre 2024 pour les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028 à la tête des Etats – Unis d’Amérique.
Demande au peuple américain de soutenir et d’adhérer massivement à la philosophie, à la doctrine, à la pensée de MAKE OF AMERICA GREAT AGAIN, la MAGA, de faire confiance au Président DONALD TRUMP dans la gouvernance politique des USA durant les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028, de rester vigilants et observer de très près et scrupuleusement et de façon minutieuse toutes les réalisations du Président DONALD TRUMP par rapport à son discours de campagne et du programme de Gouvernance politique pour le mieux être social du peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, riche et pauvre, libre et opprimé, jeune et vieux.
Le CIEGS RDC AFRIQUE : Ong de défense des droits de ll’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux être social en RDC, en AFRIQUE et partout à travers le monde et ASBL à travers sa branche internationale et planétaire dénommée le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE attirent l’attention des Afro – Américains ou de la Communauté noire d’Amérique disséminés partout dans les 50 Etats des Etats – Unis d’Amérique à propos des élections présidentielles américaines futures et au peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, riche et pauvre, jeune et vieux, libre et opprimé de ne pas se laisser tromper et se laisser rouler dans la farine par des positions, des déclarations, des mots d’ordre, des injonctions, des appels au vote et au report de voix en faveur de tels ou tels autre candidat président des Etats – Unis et autres de façon directe ou voilés des média américains (Presse écrite et audiovisuelle) et des médias européens (Presse écrite et Audiovisuelle), des Instituts de Sondages américains et européens, des Associations américaines, des Entreprises américaines, des Eglises américaines, des Syndicats américaines, aux ONG américaines, des Fondations américaines, des influenceurs et des influenceuses américains et européens de Tit Tok dans les réseaux sociaux, des stars de musiques américains, des stars de football américains et autres sans exception et exclusion.
Que les média américains (Presse écrite et audiovisuelle) et les médias européens (Presse écrite et Audiovisuelle), les Entreprises américaines, les ONG Américaines, les ASBL américaines, les Eglises américaines, les Syndicats américaines, les Fondations américaines, les influenceurs et les influenceuses américains et européens de Tit Tok dans les réseaux sociaux, les stars de musiques américains, les stars de football américains et autres sans exception et exclusion ainsi que les Instituts de Sondages américains et Européens évitent désormais, maintenant et dans l’avenir des comportements de nature ou susceptibles de tromper, de manipuler, de contraindre, d’obliger, d’influencer, d’instrumentaliser, de prendre en otage le peuple américains par des informations et des sondages d’opinions à propos des candidats présidents des Etats – Unis d’Amérique qui sont souvent considérées comme tronqués, injustes, partisans, partiaux, faux, sans fondement et sans objectivité, sans aucune précision et dont les échantillons ne sont pas véritablement représentatives sur le plan national à travers les 50 Etats américains de nature à prendre le peuple américain en otage par leurs publications des résultats de leurs sondages d’opinion et qu’ils évitent tous de faire pour que les élections présidentielles américaines futures ne soient pas biaisées et déroutées à cause d’eux et des résultats de leurs sondages d’opinions et à amener au véritable chaos électoral, à des véritables contestations électorales jamais vues et jamais vécus aux Etats – Unis d’Amérique plus qu’en 2020 et si jamais nous ne le souhaitons pas, une telle situation et désagrément arrivait autour des élections présidentielles américaines futures, ils seront tenus de loin ou de près responsables directs ou indirects des telles contestations et chaos électoral aux Etats – Unis par le peuple américain qui ne pardonnera plus jamais un jour aucun média américains (Presse écrite et audiovisuelle) et médias européens (Presse écrite et Audiovisuelle) que ce soit ainsi que les Instituts de Sondages américains et Européens pour avoir réussi à saper et dénaturer leur démocratie.
Que les média américains (Presse écrite et audiovisuelle) et les médias européens (Presse écrite et Audiovisuelle) les Influenceurs et Influenceuses de Tik Tok américains et européens que ce soit que ce soient ainsi que certaines personnalités et membres du Parti Démocrates américains qui se croient et se considèrent toujours comme les plus populaires, les plus écoutés, les plus puissants et éternels ainsi que certaines Entreprises américaines, ONG Américaines, ASBL américaines et autres cessent immédiatement et désormais et immédiatement de présenter à l’avenir la candidate démocrate Kamala Harris comme noire pour ne pas énerver les consciences des Noirs d’Afrique ou les noirs vivants en Afrique et demandent aux média américains (Presse écrite et audiovisuelle) et aux médias européens (Presse écrite et Audiovisuelle) aux Influenceurs et Influenceuses de Tik Tok américains et européens ainsi que certaines personnalités et membres du Parti Démocrates américains qui se croient et se considèrent toujours comme les plus populaires, les plus écoutés, les plus puissants et éternels ainsi que certaines Entreprises américaines, ONG Américaines, ASBL américaines, Eglises américaines, Fondations américaines, Syndicats américains et autres de ne pas prendre en otage la démocratie américaine et le peuple américain pour le faire croire et le faire avaler facilement des hérésies, des mensonges et des contres - vérités et n’importe quelle information à des périodes hautement stratégiques de la campagne électorale de l’élection présidentielle américaine dans le futur considérées comme les élections présidentielles les plus importantes, les plus sensibles et les plus hautement stratégiques à travers le monde et sur le plan planétaire de part leurs enjeux géopolitiques et géostratégiques en République Démocratique du Congo, en Afrique, en Amérique, en Europe, en Asie, en Océanie et partout à travers le monde.
Par motif de conscience personnelle, individuelle et collective, pour des raisons géopolitiques, pour des raisons géostratégiques et pour des raisons purement humanitaires, pour des raisons de la paix, de la sécurité et de la stabilité et de la consolidation de la très vielle démocratie américaine au monde, le CIEGS RDC AFRIQUE : Ong de défense des droits de ll’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux être social en RDC, en AFRIQUE et partout à travers le monde et ASBL à travers sa branche internationale et planétaire dénommée le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE fortement spécialisé dans des réflexions et dans des études géopolitiques, des études géostratégiques et des questions de la défense, de la sauvegarde, de la surveillance, de la protection et de la promotion des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales, de la Démocratie, de l’Etat de droit, des élections libres, justes, crédibles, honnêtes, intègres, inclusives et transparentes, de la bonne gouvernance, de la Paix, Sécurité et Stabilité Internationale et Mondiale, de la géopolitique, de la géostratégie, de l’environnement, du développement durable et Intégral, du mieux être social, du Commerce International, des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication et du numérique et de l’Intelligence artificielle, de la lutte contre le réchauffement climatique, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre le racisme, de la lutte contre le terrorisme International, de la lutte contre l’impunité, de la lutte contre les antivaleurs à savoir : la tricherie, la fraude, la corruption, le clientélisme, le favoritisme, le tribalisme, le régionalisme, le clientélisme, le vol, le meurtre, les assassinats, de la lutte contre le détournement des deniers publics, de la lutte contre le blanchissement des capitaux, de la lutte contre l’Antisémitisme, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre l’Islamophobie, de la lutte contre la Russophobie, de la lutte contre la Sinophobie et autres continueront de suivre de très près et avec beaucoup d’attention soutenu et cela dans les moindres détails comme depuis 2016 jusqu’à ce jour et cette année 2024 et dans les années avenir le déroulement, le développement et les campagnes électorales des élections présidentielles américaines et prennent bonne note de tout.
C’est pourquoi, tout en encourageant le 47èmePRESIDENT DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE DONALD TRUMP à travailler d’arrache pied et sans relâche durant son dernier mandat présidentiel à la tête des Etats – Unis d’Amérique avec amour, zèle et détermination pour améliorer la vie quotidienne du peuple américain en vue du mieux être social du peuple américain qui l’a fait confiance à travers les urnes, le CIEGS LE CIEGS RDC AFRIQUE : Ong de défense des droits de ll’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux être social en RDC, en AFRIQUE et partout à travers le monde et ASBL à travers sa branche internationale et planétaire dénommée le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE ont hate et se disent prêts et très disposés de collaborer, de coopérer et de travailler rapidement, efficacement et d’arrache pied avec le Président DONALD TRUMP, avec son Administration et cela à travers et dans son vaste programme électoral dénommé : MAKE AMERICA GREAT AGAIN (MAGA) qui est un véritable et vaste courant de pensée philosophique, idéologique et doctrinal purement révolutionnaire de la pensée, de la mentalité et du peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre ainsi que des autres peuples partout à travers le monde et cela pour le triomphe total de la démocratie, du respect des droits de l’Homme, de la bonne gouvernance politique et économique, et pour faire avancer beaucoup des dossiers géopolitiques et géostratégiques internationaux e et mondiaux relatifs aux Droits de l’Homme, à la démocratie, à l’Etat de Droit, à la bonne gouvernance, à la paix, à la sécurité et stabilité internationales, à la lutte contre le terrorisme, à la lutte contre la corruption, à la lutte contre les antivaleurs, à la lutte contre l’immigration illégale et clandestine mais aussi des dossiers cruciaux et purement géopolitiques et géostratégiques qui concernent et préoccupent au plus haut point la vie quotidiènne du peuple américain qui lui a placé sa confiance en élisant massivement comme le 47 ème Président des Etats – Unis d’Amérique à travers l’eléction présidentielle américaine du Mardi le 05 Novembre 2024 à savoir : des dossiers très sensibles liés à l’économie américaine, à la lutte contre l’inflation américaine, à la perte du pouvoir d’achat du peuple américain, à la santé, à l’éducation, à l’environnement, aux mécanismes de la lutte contre l’immigration illégale, clandestine et abusive, ainsi que les enjeux locaux à savoir : le logement du peuple américain, l’octroi des bourses d’études aux étudiants américains, l’octroi des crédits au logement, la construction des logements sociaux, la lutte contre la crise de logement pour des classes sociales démunies etc.
Ce faisant pour terminer et conclure aussi et encore ce message de félicitation adressé directement au Président DONALD TRUMP, le CIEGS RDC AFRIQUE : Ong de défense des droits de ll’homme et des libertés fondamentales et de développement durable et intégral et de mieux être social en RDC, en AFRIQUE et partout à travers le monde et ASBL à travers sa branche internationale et planétaire dénommée le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE ainsi que tous ses partenaires stratégiques de collaboration et de coopération locaux, nationaux et internationaux disseminés par - ci et par - là à travers le monde souhaitent tous un excellent et fructeux mandat au Président DONALD TRUMP à la tête des Etats – Unis d’Amérique et lui souhaitent tous pleins succès dans toutes ses décisions, ses actions, ses entreprises et ses oeuvres à la tête des USA sous la proctection et sous la main puissante et bras étendu du Très – Haut et Dieu le Père Céleste et Eternel des Armées et prient Dieu le Père Céleste et Eternel des Armées au nom puissant de son Fils Unique notre Seigneur et Sauveur Jésus – Christ afin de lui accorder sa grâce, sa force, sa vigueur, sa puissance, sa bonté, sa fidelité, sa miséricorde, son amour, sa compassion, son onction, sa puissance, son intélligence et une sagesse supérieure renouvelée comme celle du Roi Salomon afin de diriger les Etats – Unis d’Amérique durant son second mandat de 2025 à 2028 dans la crainte de Dieu, dans l’amour de Dieu, du prochain et pour le mieux être social du peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre, dans la paix et en toute sagesse divine. (2 Chroniques 1: 1 – 17; 2: 1 - 18; 3: 1 – 17; 4: 1 – 22; 5: 1 – 14: 6: 1 – 42; 7: 1 - 22; 8: 1 – 18).
Kinshasa, le 13/Novembre/2024
LE CIEGS RDC AFRIQUE
ONGDH DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME
ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE
ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL ET ASBL
Chercheur et Président - Fondateur et
Président Exécutif International
James Andersson NZALE LONGBANGO
MONGA TSHAMBU ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Le Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Journaliste Manager et Professionnel
Le Cher du Feu, le Char d’Israël et sa cavalerie
Le Vaillant Héros et Le Grand Lion
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La Nécessité du Forum Patriotique Indépendant Le Forum Patriotique Indépendant que nous ne cessons de réclamer pour la paix et la prospérité durable au Congo est une concertation nationale des penseurs conscients au Congo. Une réunion ou les représentants congolais devraient se parler sincèrement avec patriotisme pour décortiquer les éléments clés de l’amalgame qui fait office dans tous les domaines de la vie sociale, économique et politique au Congo. Nous n’avons pas d’excuses pour justifier notre indifférence sur les situations courantes qui dévalorisent notre cher pays. Soyons patriotes et ne laissons pas notre pays devenir le « Haïti d’Afrique. »
Nous pouvons imaginer que le cout pour organiser ce forum, espoir du peuple Congolais, seraient exorbitant. Mais, nous sommes certains que parmi nous, nous avons des compatriotes qui sont financièrement capables de prendre ces activités en charge. Ce forum pouvait se faire sous forme de séminaire professionnel et académique. Les résolutions et recommandation de ces assises devraient être opposables à tous et permettre de gérer le Congo sous un nouvel angle.
Avec le souci de voir le Congo se reconstituer et revenir sur la voie de son développement et avec l’assentiment des tous les Congolais, la cohésion nationale sera facilement obtenue. Et cette cohésion nationale encadrée par l’amélioration des conditions socio-économiques de la population créerait en environnement favorable, un tonus, une motivation patriotique pour la défense du pays. Cessons d’être égoïstes et sauvons le Congo. Le Forum Patriotique Indépendant est une voie inévitable pour la paix durable et pour la prospérité nationale et il conduira à l’application d’une justice distributive au Congo.
Le Forum Patriotique Indépendant (FPI) serait une opportunité cruciale pour discuter du remplacement de certains articles de la constitution qui sont hautement antipatriotiques. Les propositions faites par le Professeur Isidore Ndaywel, telle que la mise en place d’un régime de type fédéral pas à partir de 26 entités, mais à partir des 6 entités qui sont les « six provinces » du Congo ayant accédé à l’indépendance, devrait y trouver un moment propice pour les discussions et des solutions salutaires pour le Congo.
Le FPI aura aussi l’opportunité d’analyser les éléments des finances publiques de notre Congo pour comprendre comment notre pays connu très riches en ressources naturelles ne parvient pas à assurer une vie décente et confortable au peuple Congolais ! Notre Congo peut rapidement devenir Le Dubaï d’Afrique si la voie devient propice.
L’avenir du Congo est même plus compromettant que jamais. L’éducation de notre jeunesse au Congo n’est pas rassurante à l’allure ou l’éducation nationale est entretenue. Beaucoup d’élèves et beaucoup d’étudiants n’ont pas de possibilité de se payer le minerval pour continuer leurs études au-delà du secondaire. Nous sommes convaincus qu’une bonne gestion financière et moins de détournements feraient que tout étudiant congolais serait bénéficiaire d’une bourse d’études de l’Etat Congolais, modique soit-elle, pour assurer un minimum de vie acceptable dans nos Universités et Instituts Supérieurs. Ceci nous éviterait de voir des étudiants Congolais exposer la misère et la pauvreté dans des campus. Nous avions bénéficié de cette opportunité du temps du Zaïre du Président Mobutu. Nous pensons qu’il n’est pas impossible en ce moment d’aider autant nos étudiants de 2024 et des années à venir.
Sans cette bourse des années du Président Mobutu, beaucoup d’entre-nous ne seraient pas ce que nous sommes aujourd’hui. Que des vrais pasteurs et des religieux intensifient des prières pour chasser du Congo les diables qui sèment l’égoïsme, poussent aux détournements, entretiennent les indifférences devant les souffrances qui se voient partout, la misère qui ne se cache plus, bref des incantations diaboliques. Le Congo, notre pays, se sauvera premièrement par le changement foi et de mentalité. Le service à autrui est capital pour voir le Congo s’émerger.
Patriotiquement vôtre,
Professeur Yangambi Matthieu Waakal’Ewae Université Pédagogique Nationale Kinshasa – Ngaliema.
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“La phrase est dans une interview accordée le 10 octobre 2024 à Baudouin Amba Wetshi, responsable du website www.congoindependant.com. Treize jours après, en séjour à Kisangani, Félix Tshisekedi l'a reprise à son compte: «Cette constitution a été rédigée par des étrangers… à l’étranger», a-t-il dit à Kisangani. L'interview est intitulée «Boniface Kabisa : 'Il faut changer la Constitution de la RDC' ». Parue samedi dernier, la première partie de la réflexion a été consacrée aux articles 4, 9, 10 et 51. La deuxième est consacrée aux articles 51, 91 et 217. La conclusion est prévue dans la troisième et dernière partie qui paraîtra mercredi prochain.
Il y a des communautés éthniques réellement minoritaires
Le quatrième article ciblé est 51. Selon le Prof. Boniface Kabisa, «C’est le deuxième alinéa de l’article 51 qui parle de ‘minorités’: [L’Etat] assure également la protection et la promotion des groupes vulnérables et de toutes les minorités».
Il s’exclame: «Ça n’a jamais existé! ».
A la question “«Il n’y a pas de minorités en RDC? »”, il répond: « Nullement! Notre pays compte 450 tribus et 250 groupes ethniques. Chacun mis à part est minoritaire. Même les Mongo qui sont presque dans toutes les provinces du pays n’y échappent pas. C’est une histoire recopiée je ne sais où».
Pourtant, avec ou sans recensement scientifique, l'existence des minorités est évidente.
En effet, en dehors des “Pygmées”, il est établi que dans la plupart des provinces congolaises il y a des communautés ethniques réellement “minoritaires”, comparées aux autres communautés effectivement “majoritaires”. Le phénomène est connu dans l'Espace Kasaï avec les «Bena X», «Bena Y», «Bena Z». Au Kongo Central, c'est le cas des «Mbeko» assimilés aux Batandu et aux Bambata. Heureusement que la culture Kongo les considère comme les Né Kongo à part entière.
Il désavoue tout ce qui a été fait à la CNS et au DIC
C'est aussi le cas de l'article 91. Certes, Pr Boniface Kabisa ne le cite pas nommément. C'est la disposition qui concerne la définition et la conduite de la politique de la Nation. Dans son entendement, il est d'avis qu’«On doit revoir les prérogatives de l’institution ‘Président de la République’. Dans la Constitution actuelle, le Président a été dépouillé de ses pouvoirs au profit du Premier ministre. Et pourtant, chaque fois que le pays est confronté à un problème, tous les yeux sont tournés vers le premier magistrat du pays. On n’entend jamais les gens dire : 'Mama Premier ministre talela biso likambo oyo'. C’est toujours le chef de l’Etat qui est appelé à la rescousse. La raison est que dans notre mémoire collective, il n’y a qu’un père et une mère».
Quand il lui est demandé s'il est en train de “plaider pour un régime présidentiel”, sa réponse est sans ambages: «Absolument! Un régime présidentiel clair et net. Un Président qui nomme les gouverneurs de provinces et les affectent dans les Régions autres que celles dont ils sont originaires. Ils nomment les ambassadeurs comme il fait aujourd’hui. Je m’oppose à cette histoire de quota des partis politiques. Il s’agit, pour le Président de la République, de nommer des personnalités compétentes, choisies intuitu personae pour administrer le pays (...) Aujourd’hui Félix Tshisekedi ne peut pas entreprendre la même démarche. Pourquoi ? La Constitution ne lui permet pas. La vérité est que l’actuel chef de l’Etat n’a pas de véritable pouvoir».
Lorsque BAW lui fait observer s'il est favorable à une sorte de «particratie», Pr Boniface Kabisa est formel: «C’est bien cela ! Un groupe de gens se sont accaparé des structures de l’Etat. Hier, ils géraient le pays avec Joseph Kabila. Aujourd’hui, ils sont avec Felix Tshisekedi Tshilombo».
Au fait, il en appelle ouvertement au “retour au Parti-Etat”!
Ainsi, désavoue-t-il tout ce qui a été fait à la CNS et au DIC (institutions fortes et non personnalités fortes, un chef d'État qui règne et un Premier ministre qui gouverne), schémas auxquels s’opposaient Mobutu Sese Seko et Laurent-Désiré Kabila de leur vivant !
En clair, le “scientifique” Boniface Kabisa met le “politique” Étienne Tshisekedi doublement hors-jeu...
“Etienne Tshisekedi est impliqué dans la rédaction des 4 textes”
Cas enfin en de “l’article 217”. A ceux qui en réclament l'annulation, Pr Boniface Kabisa dit: «Ils n’ont pas tort! » et reprend la formulation de cet article, à savoir: «La République démocratique du Congo peut conclure des traités ou des accords d’association ou de communauté comportant un abandon partiel de souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine». Il s’explicite: «Les Européens avaient repris une formulation quasi-analogue dans le Traité de Maastricht signé le 7 février 1992. Or nous n’avons pas encore recensé notre population. La nouvelle carte d’identité n’est pas encore en circulation. Un tel article ne peut que signer la mort de notre pays».
Ce que le scientifique ne dit pas, c'est que cet article est la copie conforme de l'article 69 de la Constitution de 1967, de l'article 77 de la Constitution de 1974, de l'article108 de la Constitution de 1992 et de l'article 122 de la Constitution de 1993.
Notons, pour l'histoire, qu'Etienne Tshisekedi est impliqué dans la rédaction des 4 textes.
La suite de l'analyse dans la prochaine livraison consacrée à la conclusion. En avant-goût, cette interrogation suggérée par un professeur d'université congolais surpris de voir Boniface Kabisa s'exhiber avec ses nombreux titres académiques: "Comment peut-on être un Docteur de l'université belge de Louvain sans attache à une université congolaise!".
Déjà, son association dénommée «Collectif pour la paix et la réconciliation nationale», «COPARE» en sigle, a un gros problème de visibilité...
PROCHAINEMENT: "Avec la re-visitation de la Constitution, Tshisekedi renvoie Bemba, Kamerhe, Bahati et Muzito à après 2042! »
Omer Nsongo die Lema
@omernsongo
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