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RDC : Modeste Kakudji vante l’Université internationale de Chypre auprès des finalistes et étudiants

Modeste Kakudji, Manager-assistant régional d’Afrique centrale de l’Université de Chypre, a présidé, ce lundi 3 juillet 2023, dans la salle de conférence du ministère des affaires étrangères, une activité sur «l’orientation et l’intégration académique à l’Université internationale de Chypre».
Cette conférence a été un moment fabuleux pour Modeste Kakudji de présenter l’université internationale de Chypre aux étudiants et aux finalistes, comme un champ qui accomplit nettement les fonctions que la société lui a doté, entre autres, une formation initiale et continue interdisciplinaire, une recherche d’envergure internationale et une politique scientifique innovante, la diffusion de la culture et l’information scientifique, la coopération internationale, la réussite et l’insertion professionnelle des étudiants. Et en cela s’ajoute, les deux rôles que cette université joue dans la communauté qui consistent à contribuer et à satisfaire les besoins en ressources humaines d’une société cognitive et à préparer les futurs enseignants d’université et de renforcer la recherche dans les domaines vers lesquels il faut diriger les ressources pour pouvoir améliorer la productivité et les résultats économiques.
«C’était en 2012 que je rêvais d’aller aux Etats-Unis pour continuer mes études. Après avoir décroché le diplôme d’Etat en 2014, j’ avais le souci d’accomplir mon rêve, celui d’aller aux USA pour entamer l’université. Mais, je me suis rendu compte que j’étais face à une réalité, qui ne m’avait pas permis d’accomplir mon rêve, parce que le coût de voyage vers les Etats-Unis était exorbitant, mes parents ne disposaient pas, à cette époque, de moyen suffisant pour m’envoyer là-bas pour accomplir mon ambition. J’étais juste un jeune ambitieux qui voulait poursuivre ces études aux USA. La deuxième option était de trouver une université qui offre aux étudiants une formation de qualité. Soudainement, j’ai entendu parler de Chypre du Nord, dans une agence basée dans ma province d’origine. Sur ce, je me suis rendu là-bas pour me renseigner… C’est en 2015, que j’ai posé mes pieds à Chypre pour commencer ma licence. Mais, avec des documents falsifiés, je n’étais pas reconnu par le système, non plus dans l’université et la seule chose à faire était de renter dans mon pays », a révélé Modeste Kakudji. Poursuivant son speech, ce dernier a indiqué qu’après le temps de déboire qu’il a passé dans son cursus académique, il s’est fixé des objectifs de combattre l’hémorragie de l’escroquerie que certaines agences de voyage font, en donnant aux candidats de faux documents.
A cet effet, Modeste Kakudji a démontré aux étudiants et finalistes que pour aller à l’université de Chypre du Nord, il faut visiter l’agence de voyage safari travel pour un voyage fiable, crédible et sûr.
Présentation de l’Université internationale de Chypre
Créée en 1997, l’Université internationale de Chypre (CIU) est un établissement d’enseignement privé situé à la périphérie de la grande ville de Nicosie, dans le Nord de Chypre.
Cette université est reconnue par la Commission supérieure pour la planification, l’éducation et l’évaluation (Conseil de la planification, de l’évaluation de l’accréditation et de la coordination de l’enseignement supérieure, Chypre du Nord).
Les filières et les programmes sont officiellement reconnus tels que les diplômes de premier cycle (diplômes, associés ou grades), les licences, les maîtrises et les doctorats dans de nombreux domaines d’études. Elle applique une politique d’admission sélective basée sur les examens d’entrée précédents, les dossiers et les étudiants. Les taux d’acceptation varient de 60 à 75 %.
Le CIU a comme filière : la pharmacie, le génie civil, le génie de l’environnement, le génie industriel, le génie électronique et électronique, le génie informatique, le génie du système énergétique, l’architecture, etc.
Hénoc Akano

 

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Congo Tolingi dit ‘’non’’ à tout projet de société qui ne tient pas compte des desiderata de la population

(Cas des étudiants de tous les Instituts supérieurs et Universités confondus)

*Congo Tolingi est un projet de consultation populaire sous la conduite de l’Asbl Po Na Congo, qui est une plateforme de plusieurs mouvements citoyens que cordonne, d’une tête bien posée sur les épaules, M. Floribert Anzulumi.
A en croire Monsieur Doudou Kafuti, Chargé des Relations avec les médias du Coordonnateur, Po Na Congo se veut une interface entre les décideurs congolais et la population, surtout durant les périodes pré-électorales comme celles-ci, périodes durant lesquelles les candidats aux élections viennent, chacun, imposer son projet de société à sa base dans la perspective que cette dernière lui accorde ses voix, alors qu’il n’a pas tenu compte de ses desiderata.
Après mûres observations, Po Na Congo a dit ‘’non’’ à cette pratique. Voilà ce qui justifie ses séances des consultations qu’elle s’est décidée de tenir, désormais, à travers toute l’étendue de la République et dont la toute première, elle l’a eue hier, lundi 3 juillet 2023, avec les étudiants, issus de tous les instituts supérieurs et universités confondus, dans la salle haute du Centre Béthanie à Gombe.
UNIKIN, UPN, UCCM, Université du CEPROMAD, IFASIC, INBTP, ISAU, ISTA, ISP/Gombe et ISTM ont été parmi les universités et instituts supérieurs qui ont été représentés.
Avec la gent estudiantine, Floribert Anzulumi, Coordonnateur de Po Na Congo, Doudou Kafuti, son responsable des médias et Palmer Kabeya, Porte-parole de Filimbi, se sont appesantis sur les difficultés que rencontrent ces cadres congolais de demain.
L’on a noté, par ailleurs, parmi ces dernières, la mauvaise dispensation des cours par les enseignants, l’absence des ‘’périphériques de sortie’’ après les études, la cherté des frais académiques, la disparition des cotes, la fameuse histoire des branchements, la surpopulation dans les auditoires, la vente des travaux pratiques, la suppression des syllabus qui a donné lieu à la vente obligatoire des livres par les enseignants, l’absence d’esprit de recherche chez les professeurs qui répètent les mêmes rengaines chaque année, le sous-paiement des assistants qui donne de plus en plus lieu à la corruption, l’insalubrité dans les installations sanitaires, l’absence des restaurants et la liste n’est pas exhaustive.
Au sujet de ces problèmes évoqués, les étudiants ont proposé des pistes de solutions. Bienvenu de l’INBTP, au regard de la surpopulation dans les auditoires, propose, par exemple, que soient limitées les inscriptions, selon la capacité d’accueil de chaque local.
Pour Josephat de l’IFASIC, il revient au gouvernement congolais, via son ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, d’entrer souvent en communication avec la communauté des étudiants, en vue de palper de ses propres mains, les réalités qui prévalent dans leur milieu de vie estudiantine.
A en croire Raphaël de l’UNIKIN, l’Etat congolais doit désormais, accepter de travailler de commun accord avec la société civile.
Tharcisse de la même Université de Kinshasa suggère, pour sa part, que les frais académiques ne se paient plus en dollars comme à l’heure actuelle.
Héritier, lui aussi, de l’UNIKIN, appelle à une discipline étatique pour la suppression sans délai des cotes ‘’lucrativisées’’.
Trésor de l’UCCM émet, enfin, le vœu de voir ce projet Congo Tolingi être couronné de succès.
Il ne reste plus qu’à Po Na Congo de faire parvenir en ‘’bdf’’, entendez : en bonne et due forme, tous ces desiderata des étudiants qu’il va mouler sous forme d’un cahier de charges ou d’un contrat social, à l’intention des autorités en exercice.
Saint-Germain Ebengo

 

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Nord-Kivu : le FOFECEGDD condamne le traitement humiliant infligé à Mme Isabelle Ukunabo

Le traitement humiliant infligé à madame Isabelle Ukunabo embrase encore la toile. Le Forum des femmes citoyennes et engagées pour la gouvernance, la démocratie et le développement (FOFECEGDD) condamne cette violence faite à la femme. Dans un communiqué de presse, il dénonce et condamne l’acte et espère que la justice militaire amorcera des enquêtes pour mettre la main sur les coupables.
“FOFECEGDD dénonce et condamne avec force cette torture infligée par des militaires dont le rôle est de protéger les populations. Il juge inacceptable et cruel tout comportement inhumain et dégradant à l’égard de la femme, peu importe la gravité de la situation. FOFECEGDD espère que la justice militaire se saisira de cette affaire, que des enquêtes impartiales seront diligentées et que les auteurs seront traduits en justice”, écrit-il dans un communiqué publié le vendredi dernier.
Pour une petite histoire, le lundi 26 juin dernier, pour une affaire de 33.000 FC, soit 14$, cette épouse du militaire Kaninda Mutamba a été passée à tabac, copieusement fouettée puis déshabillée et délogée du camp par des soldats FARDC sur ordre du général Doudou Kabwe Pascal (commandant de la base militaire de Biruwe, en territoire de Walikale (Nord-Kivu). En cause, Isabelle Ukunabo réclamait cette prime de son mari.
Au Nord-Kivu, tout comme dans de nombreux autres coins des provinces en proie aux violences armées, les femmes ont souvent été ciblées. Soit elles sont victimes d’actes barbares perpétrés par des groupes armés, soit elles sont maltraitées par des militaires. En dépit de leur cri d’alarme, les autorités congolaises n’ont jamais pris des mesures particulières pour protéger les femmes de cette contrée.
Dans son document, FOFECEGDD encourage d’ailleurs le président congolais, lui qui est champion de l’Union africaine pour la masculinité positive et commandant suprême des FARDC, à renforcer ses efforts pour protéger les femmes contre toutes les formes d’abus.
Emma Muntu

 

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Pour son livre l’holocauste au Congo : Charles Onana récipiendaire d’un prix d’honneur de la part de l’asbl Miziki Lolenge Mosusu

Le début du mois de juillet de l’année en cours a été marqué à l’Académie des Beaux-arts de Kinshasa, précisément dans sa salle d’exposition, par une conférence-débat autour du livre de l’écrivain camerounais Charles Onana, intitulé ‘’Holocauste au Congo, l’omerta de la Communauté internationale, la France complice ?’’.
Freddy Mulumba, qui en a été organisateur, avait à ses côtés sur la table des orateurs : le ministre honoraire Justin Bitakwira, le Professeur Claude Nsaka et les autres.
Dans ses propos liminaires, il a fait savoir à l’auditoire l’alerte de l’écrivain camerounais à l’endroit des congolais sur la mise à mort, programmée par ‘’l’homme blanc’’, de la République démocratique du Congo par la voie de la terreur en vue que soit réalisé son dessein de faire main basse sur ses minerais qu’il juge sine qua non pour l’industrie mondiale de l’armement, de la téléphonie et de la transition énergétique. Voilà ce qui justifie tous ces massacres qui ont lieu tous les jours dans la partie est de la RdC, sous couvert des envahisseurs rwandais, avec comme bilan, à l’heure actuelle : plus de 10 milliards de congolais tués et plus de 500 milles femmes congolaises violées.
Patrick Mpiana, Secrétaire Fédéral de l’Udps/Mont-Amba en charge d’études et planification, a été parmi ceux qui ont pris la parole. Pour lui, parmi les causes vivantes à la base de cette situation, il faut compter les églises, les partis politiques et les mouvements citoyens dont la plupart trouvent leurs financements auprès de ce même homme blanc qui se présente à eux sous le masque d’un bienfaiteur en exacerbant de plus en plus l’opposition entre les congolais comme sous le principe : ‘’diviser pour mieux régner’’.
Regardant un peu plus loin dans la nuit du temps, Monsieur Mpiana trouve la cause lointaine sous-jacente à la situation actuelle de la République Démocratique du Congo dans la signature de l’Acte de Berlin du 26 février 1885 faisant du Congo le centre d’intérêts communs de tous les pays de l’Occident ayant pris part à la Conférence de Berlin. Donc en bref, foi sur ses révélations, il y a derrière le malheur de la RdC, une main ‘’noire blanche’’.
A en croire Corneille Mulumba, le concepteur du logo de l’Udps, pour mettre fin à cette tragi-comédie conçue par l’homme blanc, il serait de bonne guerre pour la République Démocratique du Congo de se doter d’une armée à la hauteur de sa superficie, à l’exemple de la Chine qui a à l’heure actuelle un effectif militaire équivalant à 3 millions d’hommes en uniforme. ‘’Avec seulement 150 mille militaires, c’est difficile pour la RdC de pouvoir mettre un terme à cette histoire’’, a-t-il souligné avant de déplorer l’inclusion des Forces armées de la République démocratique du Congo dans celles de la Communauté des Pays de l’Afrique de l’Est, qu’il a révélées être constituées à 100 % des ennemis de la RdC ou, pour le dire en bon français, des transfuges. Au regard de la carence en armes dont souffre la République démocratique du Congo, Monsieur Corneille évoque la possibilité qu’il y a pour le pays de troquer ses minerais, source des conflits, contre les armes en provenance des pays qui ne font pas partie des ennemis de la RdC.
Jean-Goubald Kalala a aussi eu voix au chapitre, en sa qualité, foi sur ses propres mots, de maçon de la pensée. Il a proposé aux congolais, qui ont étudié l’ingénierie, de songer à fournir à la RdC ses propres armes inventées sur place. Il s’est rappelé de l’époque où, à chaque approche des saisons festives, les jeunes congolais s’amusaient à fabriquer des ‘’canons’’ au moyen de l’étain qu’ils soutiraient, en guise de réemploi, dans les batteries des véhicules abandonnées.
‘’Nous pouvons réveiller ce génie qui somnole en nous et le développer pour désormais avoir des armes made in DRC’’, a-t-il proposé avant de faire savoir que cela nous mettra à l’abri des préoccupations liées aux tant vantés embargos que nous impose l’homme blanc en la matière.
‘’Il peut nous frapper d’embargo d’armes, mais il ne réussira jamais à nous frapper d’embargo de nos matières grises’’, a-t-il expliqué le bien-fondé de sa proposition qu’il a réussi à résumer en un seul mot : autonomie de pensée.
Dans sa poursuite de son discours, il a fustigé dans un premier temps les musiciens congolais, dont il est un, pour leurs chansons qui ne cadrent pas avec la situation actuelle de la République démocratique du Congo et, en second lieu, ceux qui se disent hommes de Dieu et qui ne parviennent pas à prier au vrai sens du mot pour la délivrance du pays.
Même son de cloche chez Madame Nicole Kavira du Mouvement des Indignés qui, durant son intervention, n’a pas caché son indignation de voir les congolais de Kinshasa faire la sourde oreille au regard de l’holocauste qui se produit chaque jour à l’Est. ‘’Ils préfèrent remplir le stade pour vibrer au rythme des chants et des danses qui sont hors-gamme avec la situation qui prévaut à l’Est’’, a-t-elle déploré, larmes aux yeux.
‘’La RdC est une maison à 26 chambres dont le salon se trouve à Kinshasa pendant que le signal pour son organisation vient de Kigali’’, une métaphore haute définition signée Justin Bitakwira qui a, dans ce même ordre d’idée, comparé la richesse de la République démocratique du Congo à un bocal de miel qui, pour être sans couvercle, est devenu la proie de toutes les mouches.
‘’A cause de manquer la loupe, la RdC a fait entrer les loups dans sa bergerie’’, a-t-il fait savoir.
Pour ce ministre honoraire en charge du développement rural, il est arrivé l’heure de faire l’autopsie d’un pays en danger’’.
Comme pour accorder son violon avec celui de Jean-Goubald et de Nicole Kavira, qui a aussi abondé dans le même ordre des choses, Justin Bitakwira propose que soit formée à partir d’ici une nouvelle génération de musiciens congolais qui adapteront leurs textes aux réalités du pays’’.
Selon le professeur Claude Nsala, ce livre de Charles Onana s’inscrit dans le cadre d’un génocide qui, si on n’y prend garde, risquera de donner lieu à un statocide, allusion faite à la mort d’un Etat.
Claude Nsala, faut-il le souligner, est auteur d’un livre qui vient de paraître sous le titre : ‘’Les guerres à l’Est de la République démocratique du Congo : entre génocide et statocide’’. Son vernissage, si tout va bien, aura lieu très bientôt.
Ce débat houleux a eu pour point d’orgue l’octroi, par l’asbl ‘’Miziki Lolenge Mosusu dont fait partie Jean-Goubald Kalala, d’un prix d’honneur à Charles Onana pour ce livre révélateur de pas mal de choses. Faisant d’une pierre deux coups, il a, dans ce même ordre, octroyé un second prix à Gilbert Balufu, pour son film qui abonde dans le même sens.
Freddy Mulumba, qui les transmettra à qui de droit, les a reçus de la main du Directeur Général de l’Académie des Beaux Arts, Henry Kalama.
Saint-Germain Ebengo

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Sous le haut patronage du Président de la République , OCC : Etienne Tshimanga lance les travaux de la 29è Assemblée générale de l’Organisation Africaine de Normalisation

Ils sont plus de trente pays membres de l’ARSO, Organisation Régionale Africaine de Normalisation à participer à la 29è assemblée générale de cette structure panafricaine. Sous la houlette du Directeur général de l’office congolais de contrôle,  Mme Christelle Muabilu, ces assises ont débuté hier, lundi 3 juillet 2023, à Kinshasa et prendront fin le 7 juillet prochain. L’objectif majeur derrière cette initiative est de renforcer les Normes en vue de faciliter des échanges commerciaux entre les pays membres.
Durant 5 jours, les participants à ces assises vont échanger autour du thème : «Accélération de la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine-une norme-un test-un-certificat accepté partout ». Cet exercice qui s’effectue chaque année, est une armure qui balise des échanges commerciaux africains, sous des normes bien harmonisées.
La première journée de cette assemblée a été consacrée uniquement à l’ouverture de toutes les sessions axées essentiellement sur des enseignements et la réunion du conseil de l’ARSO, constitué de quelques membres de l’Assemblée générale.
Sur place, 2 sessions ont été organisées pour renforcer les capacités des participants notamment, sur le leadership dans le secteur de l’élaboration des normes, à l’instar de la troisième session consacrée à des champions, qui sont des pays qui aident plus les autres dans le secteur de la normalisation.
L’Organisation Régionale Africaine de Normalisation (ARSO) est un organisme intergouvernemental institué à Nairobi (Kenya), fondé en 1977 qui réunit 40 États membres, représentés par leurs organismes nationaux de normalisation. Cet organisme est chargé d'harmoniser les normes africaines et les procédures d'évaluation de la conformité afin de réduire les obstacles techniques au commerce et de promouvoir le commerce intra-africain et international.
Le but principal de l’ARSO, c’est l’harmonisation des normes africaines et des procédures d’évaluation de conformité afin de réduire les obstacles techniques au commerce. Elle compte à ce jour 36 États membres (Afrique du Sud, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Cameroun, Congo Brazzaville, Côte d'Ivoire, Égypte, Éthiopie, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Kenya, Libéria, Libye, Madagascar, Malawi, Maurice, Namibie, Niger, Nigéria, Ouganda, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Seychelles, Sierra Leone, Soudan, Soudan du Sud, Swaziland, Tanzanie, Togo, Tunisie, Zambie et Zimbabwe, plus Zanzibar en qualité d'observateur).
La Pros.

Sous le haut patronage du Président de la République , OCC : Etienne Tshimanga lance les travaux de la 29è Assemblée générale de l’Organisation Africaine de Normalisation
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Kinshasa : la fondation Liliane Iranga lance le projet « Kelasi » pour scolariser des jeunes filles démunies

Au cours d'un point de presse animé à Kinshasa en présence des représentants du directeur du Fonds de promotion de l'éducation et de la déléguée du ministère du Genre, la fondation Liliane Iranga a lancé un nouveau projet dénommé « Kelasi », mercredi 28 juin, au cercle de Kinshasa.
Liliane Iranga, présidente de la Fondation, a fait savoir qu’avec ce projet, sa structure prendra en charge la scolarité, dès la prochaine rentrée scolaire et pour un premier temps, de 50 jeunes filles de la ville de Kinshasa qui désirent réellement poursuivre leurs études mais qui, faute de moyens, ne peuvent plus étudier, comme l'a indiqué la présidente de cette organisation philanthropique, Liliane Iranga Lukonga.
« Pourquoi seulement les filles ? Parce qu'aujourd'hui, nous nous rendons compte qu'à cause de la misère et des pesanteurs socioculturels, plusieurs familles jusqu'à nos jours privilégient l'éducation du jeune garçon au détriment de la jeune fille. Nous sommes témoins lorsque nous circulons dans les rues, ce sont beaucoup plus de jeunes filles que nous voyons avec un bassin de légumes sur la tête en train de vendre pour pouvoir soutenir sa famille au lieu de pouvoir aller à l'école. Elles sont nombreuses ici à Kinshasa, des filles qui normalement auraient pu terminer ne fût-ce que le cycle secondaire et obtenir un diplôme. Mais pour une raison ou une autre, elles ne parviennent pas », a-t-elle expliqué.
L'autre motivation de cette organisation, a-t-elle ajouté, ce sont les viols et massacres dont sont victimes les jeunes filles de l'Est du pays, surtout celles ayant témoigné sur ces atrocités lors de la visite papale. « C'est donc pour ces raisons que la Fondation Liliane Iranga a lancé ce projet ambitieux, une manière pour nous de pouvoir contribuer à la promotion de la jeune fille dans notre pays ».
En effet, Liliane Iranga a lancé un appel à toutes les personnes de bonne volonté afin de soutenir ce projet en vue d’accroitre le nombre de filles instruites au pays.
Pour rappel, la Fondation Liliane Iranga est une organisation philanthropique créée en 2018, qui a pour objectif la prise en charge des enfants orphelins victimes de conflits armés, l’assistance des personnes vulnérables et se bat plus pour la promotion de l’accès de la jeune fille à l’école. Elle a également des représentations dans l’Est du pays notamment, au Nord et Sud Kivu.
Grâce Daro

 

 

 

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Jean-Baptiste Kapuku : ‘‘Les chrétiens doivent mener une vie de prière maintenue’’

Jean-Baptiste Kapuku Nkulu, pasteur titulaire de l’église le germe de la rédemption (GERED) a accordé, ce jeudi 22 juin 2023, une interview au quotidien La Prospérité. Dans cet échange, ce dernier a annoncé officiellement l’activité que son église est en train d’organiser durant cette période. Il s’agit de 30 moments des prières et d’édification, une activité qui se tiendra du lundi 3 juillet au dimanche 13 août 2023, de 6h00 à 7h00 et le dimanche de 7h00 à 10h00, sur l’avenue Masuwa N°55, quartier Kingasani, dans la commune de Kimbanseke.
Cette manifestation aura pour thème « Veillez donc… », un extrait de la parole de Jésus-Christ à ses disciples, tiré dans le livre de Matthieu 24, 42. Notons que plusieurs hommes de Dieu vont intervenir dans ce grand événement pour un seul but, celui de faire connaître la pensée de Dieu à son peuple.
Parmi les intervenants, nous pouvons citer : l’apôtre Jean-Baptiste Kapuku Nkulu, le révérend Joyeux Lubaki, le révérend Romain Langunu, le frère Markys Mbuyi, l’apôtre Nick Kayembe, le frère Grâce et l’ancien Malachie Mukwa.
Pour Jean-Baptiste Kapuku Nkulu, le visionnaire de l’église le GERED, cette activité va permettre aux chrétiens de mener une vie de prière maintenue. Car, l’Eternel Dieu nous ordonne de faire en tout temps par l’esprit, toutes sortes des prières.
A l’en croire, les chrétiens ne doivent pas négliger la vie de prière, mais il faut qu’ils activent et réactivent cette vie de façon quotidienne pour donner gloire à Dieu. La prière est une recommandation et, est une vie. Le peuple de Dieu doit s’attacher à cette vision divine consistant à se mettre ensemble pour élever le nom du Seigneur Jésus-Christ. Dieu a dit : « Ma maison sera appelée une maison de prière. Raison pour laquelle, nous devons nous assembler en tant qu’église pour prier. Il y a un mystère dans le rassemblement », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter que la Bible dit : «Un seul d’entre vous en poursuivra mille, cinq d’entre vous en poursuivront cent et cent d’entre vous en poursuivront dix mille. C’est une mathématique de Dieu. Quand nous sommes ensemble, la force est multipliée et ça nous permet d’avoir plus d’impact».
A travers ce grand moment, soutien Jean-Baptiste Kapuku, son souci est de pouvoir faire bénéficier aux autres, le moment béni dans la présence de Dieu. Pour ce qui concerne la préfiguration de ces matinées de gloire et de visitation, cet homme de Dieu a signalé que toute l’église est motivée à l’efficience et à l’efficacité de ces 30 moments de prière et d’édification.
Hénoc Akano

Jean-Baptiste Kapuku : ‘‘Les chrétiens doivent mener une vie de prière maintenue’’
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RDC : Caritas et NORAD lancent la 3ème phase de 5 ans du programme SECAL pour réduire la pauvreté et la faim parmi 12.000 ménages ruraux dans quatre provinces

« Réduire la pauvreté et la faim parmi les ménages ruraux dans les Provinces du Nord-Kivu, Maniema, Kongo Central et Tanganyika » en République Démocratique du Congo (RDC), tel est l’objectif global de la 3ème phase d’un programme de la Caritas Congo Asbl lancée lundi 26 juin 2023 à la Maison d’accueil Marie Reine des Apôtres de Kisantu.

Il s’agit du programme « Amélioration de la sécurité alimentaire et réduction de la pauvreté des ménages ruraux dans les Territoires de Lubero, Kasongo, Kasangulu et Kongolo en République Démocratique du Congo (RDC)/2023- 2027», sous le code P.123 COD 01. Il cible 12.000 ménages ruraux vulnérables dans 162 villages, dont 30% constitués des bénéficiaires de la 2ème phase dudit programme (2018-2022) et 70% de l’actuelle.

Quatre résultats sont attendus de ce programme de cinq ans, allant de 2023 à 2027 : les ménages atteignent la sécurité alimentaire et une meilleure nutrition ; les ménages ciblés génèrent des revenus afin d’améliorer leurs conditions de vie ; les communautés ont une résilience accrue face aux effets du changement climatique : la Société Civile fournit des services de qualité et est le moteur du changement structurel.

L’activité de lancement de ladite phase vise ainsi de présenter le programme aux parties prenantes, à travers ses principales composantes, sa stratégie de mise en œuvre et son dispositif institutionnel. Ouverts lundi par Mr Nestor Nsonsa Matomina, Administrateur du Territoire de Madimba, qu’accompagnait ses Inspecteurs Territoriaux du Développement Rural et de l’Agriculture, les travaux de cet atelier de lancement connaissent la participation d’une vingtaine de personnes représentant les Caritas-Développement Butembo-Beni, Kindu, Kisantu et Kongolo (chargées de la mise en œuvre), ainsi que de la Caritas Congo Asbl (pour l’accompagnement technique et financier). Les Délégués de la Caritas Norvège prendront part à ces assises par visioconférence.

Dans son mot de circonstance, au nom du Secrétaire Exécutif de la Caritas Congo Asbl, M. André Mathunabo a remercié NORAD « pour la marque de confiance qu’elle accorde au réseau Caritas en République Démocratique du Congo, en vue de la poursuite de la mise en œuvre de ce programme dans les Provinces susmentionnées ». Ces travaux se déroulent du 26 au 29 juin 2023, sous la facilitation de Caritas Congo Asbl, sur base des orientations convenues avec la Caritas Norvège, ainsi que les Caritas Diocésaines partenaires.

Il sied de souligner que ce programme est financé par NORAD (Agence norvégienne de coopération au développement), à travers la Caritas Norvège et en collaboration avec Caritas Congo Asbl. Il s’aligne fortement sur le Programme du Gouvernement de la RD Congo, à travers le « Programme National de Développement Agricole »/PNDA /2022-2026, dont l’objectif est de réduire la pauvreté rurale en rétablissant et modernisant les systèmes de production agricole.

Caritas Congo Asbl

 

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