REGROUPEMENT DES ASSOCIATIONS KONGO ET ALLIES RAKO - A Avenue Kasa-Vubu 13 Q/Karthoum C/Ngiri–Ngiri Contact 0999989112/0895578218 Message de remerciement à Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Nous, membres du Regroupement des Associations Kongo, RAKO en sigle, réitérons notre indéfectible attachement au Président de la République, Garant de la Nation, pour la reconnaissance d'un digne fils de l’espace Kongo, en la personne du Prophète SIMON Kimbangu, à qui il a dédié la journée du 6 avril comme fériée et payée pour son combat en vue de l’éveil de conscience congolaise et africaine.
En effet, nous vous renouvelons notre soutien pour les efforts combien louables et inlassables que votre auguste personne ne cesse de traduire en actes à impact visible, que nous citons entre autres :
1) L’élévation du premier Président de la RDC, Mbuta Joseph KASA-VUBU au rang de Héros national ; 2) La reconnaissance du combat mené par le prophète Simon KIMBANGU 3) L’asphaltage des tronçons routiers MBANZA NGUNGU NKAMBA et bien d’autres projets d’intérêts publics et nationaux en faveur du Kongo Central Par ailleurs, en vue de nous permettre de pérenniser les actions entreprises dans votre premier mandat pour le bien-être des congolais, RAKO vous promet son soutien total pour votre réélection au second mandat.
Que Dieu Le Tout Puissant vous accompagne et vous protège Que vive le Regroupement des Associations Kongo et Alliés. Que Vive le Kongo Central, Que vive la Ville-Province de Kinshasa Que vive la République Démocratique du Congo Fait à Kinshasa, le 18/04/2023 Pour le Regroupement des Associations Kongo Donat NGUMBA LUSANGINDU Secrétaire Général
*Florent-Délice Lushima Djunga Wembadio est prêt à défendre sa thèse devant les Honorables Députés Nationaux, en présence des Experts en gestion des sociétés d’électricité. Le diagnostic de cette étude a été établi par LUSHIMA DJUNGA à partir de 9 bilans énergétiques de la SNEL S.A de 1990 à 1998. « Le salut de la SNEL SA, ne proviendrait à court terme, ni de sa clientèle industrielle (MT et HT), ni du pauvre Etat Congolais, ni de l’exportation, ni de l’Occident ; mais de l’amélioration de la gestion de sa clientèle basse tension ou domestique. En réduisant son énergie non facturée, la SNEL est capable de multiplier au minimum par 5 ses ventes et ses recettes sur sa clientèle basse tension ou domestique sans modifier ou en diminuant le tarif le moins cher parmi les tarifs pratiqués par les sociétés privées d’électricité installées dans notre pays. Etranglé par le poids de sa dette odieuse, le pauvre Etat Congolais est incapable de payer sa facture d’électricité parce qu’il est victime de la surfacturation du fait que l’énergie lui facturée par la SNEL SA représente quasiment le triple de sa consommation effective», soutient-il, dans une pétition constitutionnelle adressée au Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. Pour lui, en effet, ‘’cette thèse est valable jusqu’aujourd’hui, sauf en ce qui concerne l’Etat qui a vu sa facturation passer de 1.135 GWH en 1997 à 352 GWH en 2015 et à 407 GWH en 2021’’. ‘’J’ai l’honneur d’user pour la énième fois du pouvoir que me confère l’article 27 de notre Constitution pour vous informer par la présente Pétition que Monsieur Fabrice LUSINDE, Ingénieur Civil et Directeur Général de la SNEL SA, meilleur Candidat au poste de Directeur Général de la SNEL SA qui a été sélectionné par COPIREP à l’issue du concours qu’il avait organisé en 2022, est contredit par les bilans énergétiques de la SNEL SA établis de 1990 à 2021’’, écrit-il. Pour rappel, ‘’Monsieur Fabrice LUSINDE, a déclaré lors de son interpellation par l’Assemblée Nationale, le mercredi 12 avril 2023 ce qui suit : « La grande faiblesse de la SNEL SA depuis sa création en 1970, c’est le fait que la majorité de ses clients ne dispose pas de compteurs. Sans compteurs, on ne sait pas mesurer la quantité d’énergie électrique qui circule dans la Ville de Kinshasa ». Cette déclaration a été publiée dans le journal Le Potentiel n°8.555 du 13 Avril 2023. Or, à ses yeux, ‘’les bilans énergétiques de la SNEL S.A établis de 1990 à 2021 contredisent Monsieur le Directeur et montrent que l’énergie électrique produite par la SNEL SA augmente chaque année, elle est passée de 5.358 GWH en 1990 à 13.361 GWH en 2021. Quant à la consommation de la Ville de Kinshasa, elle augmente aussi chaque année et est passée de 1.768 GWH en 1990 à 4.273 GWH en 2021 comme l’indique le bilan énergétique synthétisé ci-joint. Avec sa production de 13.361 GWH en 2021, les ventes et les recettes de la SNEL SA devraient être supérieures à 1,700 milliard USD. Les tarifs domestiques très bas ne permettent pas à la SNEL SA d’atteindre cet objectif. Sans l’Africanisation ou la Nsisanisation des tarifs domestiques, la SNEL n’atteindra jamais cet objectif même pendant mille ans. En dehors de la Nsisanisation des tarifs domestiques développée par LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO dans son plan de redressement de la SNEL SA intitulé « Projet CVS et ASIC », l’Etat n’a pas d’autre alternative plus avantageuse pour redresser la SNEL SA’’, précise-t-il. LPM Lushima Djunga Wembadio Kinshasa, le 24 Avril 2023 Rue Luasua n°13 Macampagne Saint Luc KINSHASA/NGALIEMA Tél.+243 999 913 960 Pétition Constitutionnelle A sa très haute Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO Président de la République Démocratique du Congo, Chef de l’Etat (Avec l’expression de mes hommages les plus déférents) Concerne : DG DE LA SNEL S.A CONTREDIT PAR LES BILANS ENERGETIQUES J’ai l’honneur d’user pour la énième fois du pouvoir que me confère l’article 27 de notre Constitution pour vous informer par la présente Pétition que Monsieur Fabrice LUSINDE, Ingénieur Civil et Directeur Général de la SNEL SA, meilleur Candidat au poste de Directeur Général de la SNEL SA qui a été sélectionné par COPIREP à l’issue du concours qu’il avait organisé en 2022, est contredit par les bilans énergétiques de la SNEL SA établis de 1990 à 2021. En effet, Monsieur Fabrice LUSINDE, a déclaré lors de son interpellation par l’Assemblée Nationale, le mercredi 12 Avril 2023 ce qui suit : « La grande faiblesse de la SNEL SA depuis sa création en 1970, c’est le fait que la majorité de ses clients ne dispose pas de compteurs. Sans compteurs, on ne sait pas mesurer la quantité d’énergie électrique qui circule dans la Ville de Kinshasa ». Cette déclaration a été publiée dans le journal Le Potentiel n°8.555 du 13 Avril 2023. Les bilans énergétiques de la SNEL SA établis de 1990 à 2021 contredisent Monsieur le Directeur et montrent que l’énergie électrique produite par la SNEL SA augmente chaque année, elle est passée de 5.358 GWH en 1990 à 13.361 GWH en 2021. Quant à la consommation de la Ville de Kinshasa, elle augmente aussi chaque année et est passée de 1.768 GWH en 1990 à 4.273 GWH en 2021 comme l’indique le bilan énergétique synthétisé ci-joint. Avec sa production de 13.361 GWH en 2021, les ventes et les recettes de la SNEL SA devraient être supérieures à 1,700 milliard USD. Les tarifs domestiques très bas ne permettent pas à la SNEL SA d’atteindre cet objectif. Sans l’Africanisation ou la Nsisanisation des tarifs domestiques, la SNEL n’atteindra jamais cet objectif même pendant mille ans. En dehors de la Nsisanisation des tarifs domestiques développée par LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO dans son plan de redressement de la SNEL SA intitulé « Projet CVS et ASIC», l’Etat n’a pas d’autre alternative plus avantageuse pour redresser la SNEL SA. 1. Energie électrique, produit hautement stratégique et ultra-sensible L’énergie électrique est devenue aujourd’hui un facteur fondamental dans le développement d’une nation sans lequel aucun projet de développement ne peut être envisagé. Si l’eau, c’est la vie selon le slogan de la REGIDESO, on peut affirmer avec force et sans crainte d’être contredit que sans électricité il n’y a point de vie. Dieu est lumière, cela signifie que Dieu est électricité parce qu’il existe une corrélation étroite entre l’électricité et le développement d’une nation. En effet, l’électricité et le carburant sont deux produits hautement stratégiques et ultra-sensibles qui se trouvent en amont de toutes les activités sociaux économiques et culturelles d’une nation et jouent le rôle de locomotive capable de propulser le pays de la pauvreté et de l’obscurité. 2. Activité fondamentale et raison d’être de l’entreprise. Une lecture attentive et sereine de la parabole des talents tirée des Saintes écritures qui constitue le fondement de la gestion financière permettrait au lecteur de mieux comprendre qu’aux yeux de Dieu, meilleur et incomparable gestionnaire, l’augmentation sans cesse des recettes nouvelles, additionnelles ou supplémentaires, demeure et demeurera jusqu’à la fin du monde, l’activité fondamentale, la mission numéro Un, la vocation première, l’objectif ultime et la raison d’être de l’Etat et de l’entreprise physique ou morale quels que soient sa nature, sa taille, son statut, sa nationalité, sa localisation etc.. En effet, grâce aux recettes nouvelles récoltées, l’entreprise peut obtenir un crédit auprès des bailleurs de fonds pour construire les barrages hydro-électriques, les postes, les sous-stations, les bâtiments administratifs et acquérir les câbles et les matériels électriques. Sans le crédit, aucune entreprise ne peut ni voir le jour, ni fonctionner, ni se développer. Même l’enfant qui vient de naître a besoin de crédit de sa mère pour grandir. Si Dieu règne au ciel, le crédit, déclarent les bailleurs de fonds, règne sur la terre, gouverne le monde, règle et dérègle les relations entre les individus, les ménages, les entreprises et les Etats. Si le crédit est le secret de développement de l’entreprise, les recettes nouvelles constituent le gage commun de tous les créanciers qui doit être utilisé pour respecter les engagements pris par l’entreprise vis-à-vis des bailleurs fonds. Dans les entreprises performantes, la seule erreur de gestion que tout gestionnaire doit éviter de commettre est celle qui entraine la diminution des recettes parce qu’elle est capable d’asphyxier l’entreprise et de provoquer la cessation de ses activités. La diminution des recettes est la seule erreur de gestion qui suscite la colère de Dieu comme l’indique la parabole des talents. La diminution des recettes est le principal indicateur de la mauvaise gestion et la principale cause des difficultés financières que connaissent toutes les entreprises. Elle donne des insomnies au responsable financier et réduit la crédibilité et la solvabilité de l’entreprise. Les recettes nouvelles contribuent efficacement à augmenter les capacités managériales du gestionnaire et les moyens dont il a besoin pour atteindre les objectifs de l’entreprise. La peur que suscite la diminution des recettes de l’entreprise chez le gestionnaire est un facteur puissant qui le stimule à maintenir son esprit de créativité en éveil afin que la courbe des recettes demeure chaque année ascendante en adéquation avec le niveau de production de ses biens et services. Gérer la SNEL SA, ne signifie pas construire les barrages, les routes, les bâtiments, les postes, les sous-stations, les cabines, éliminer les poches noires, réduire les pannes électriques aux réseaux MT et BT, etc. Sans la création des recettes additionnelles, la SNEL SA ne pourra rien faire. Gérer la SNEL SA, signifie donc augmenter sans cesse les recettes de l’entreprise en adéquation avec l’évolution de la production de son énergie électrique. Quand la production de l’énergie électrique augmente, les recettes doivent augmenter aussi. C’est la règle d’or d’une gestion orthodoxe qui caractérise toutes les entreprises performantes. 3. Evaluation d’un gestionnaire selon le critère divin Considérant la fonction importante que jouent les recettes dans la survie de l’entreprise, Dieu, meilleur et incomparable gestionnaire n’évalue ses gestionnaires qu’en ne se servant que du seul critère d’évaluation lié à la capacité managériale du gestionnaire à augmenter sans cesse les recettes nouvelles, additionnelles ou supplémentaires de l’entreprise. Tout autre critère d’évaluation relève de l’arbitraire, de la distraction, de la mystification et du militantisme. Au ciel, comme l’indique la parable des talents, les chasseurs des recettes valent plus que les gisements d’or, de diamant, de cuivre, d’uranium, de pétrole, de cobalt etc. Quand une entreprise est dirigée par un gestionnaire chausseur des recettes, elle est performante, par contre quand elle est dirigée par un gestionnaire mangeur des recettes, l’entreprise devient contre performante. Parmi toutes les tâches de l’entreprise, l’augmentation sans cesse des recettes est la tâche la plus difficile à réaliser, la plus exigeante et la plus exaltante parce que la suivie de l’entreprise en dépend. En effet, l’augmentation des recettes de l’entreprise est plus difficile que la construction d’un barrage, d’une université, la défense d’un doctorat ; c’est la raison pour laquelle les bailleurs de fonds déclarent que la survie de l’entreprise ou de l’Etat se définit dès que l’on désigne le responsable financier. Malheur à l’entreprise dont la gestion est confiée au mangeur des recettes dépourvu de l’esprit d’imagination et de créativité. Grâce à la surperformance réalisée dans la mobilisation des recettes publiques, Monsieur Nicolas KAZADI, Ministre des Finances de notre Pays avait reçu le 20 Septembre 2022 le prestigieux prix « Best of Africa » décerné par le Magazine Forbes Afrique à New-York aux Etats-Unis d’Amérique selon le journal Géopolis Hebdo n°1.340 du 12 au 13 décembre 2022. Cette surperformance inédite et historique a été saluée par l’Honorable Modeste BAHATI LUKWEBO, Président du Sénat. La seconde consécration internationale en trois mois après le Magazine Forbes Afrique a eu lieu le jeudi 08 décembre 2022 à Lomé, Capitale du Togo. Là, le journal panafricain Financial Afrik a reconnu la surperformance réalisée par Nicolas KAZADI dans la gestion des finances publiques et lui a décerné le prix de « Meilleur Ministre des Finances en Afrique pour l’année 2022 » selon le journal Africa News n°2.186 du 12 au 13 décembre 2022. Les recettes nouvelles renforcent la crédibilité et le prestige de l’entreprise et de son Chef. 4. Bilan énergétique ou tableau de bord de la société d’électricité La gestion d’une société d’électricité est très complexe et exige beaucoup de connaissance et d’expérience de la part de son gestionnaire parce que l’électricité produit d’importants flux énergétiques répartis à trois niveaux de tension à savoir HT, MT et BT. Chaque tension électrique obéit à des règles de gestion spécifiques. On ne gère pas les clients industriels (MT et HT) de la même manière que l’on gère les consommateurs domestiques ou basse tension. Toute la vie de l’entreprise est caractérisée par des décisions rationnelles ou irrationnelles prises au sein de l’entreprise à long, moyen et court termes, qui se traduisent inexorablement soit par un encaissement, soit par un décaissement. Les fluctuations quotidiennes des encaissements et des décaissements constituent ce que les financiers appellent les flux de trésorerie enregistrés au niveau des comptes caisse et banque. Dans une société d’électricité, les fluctuations des flux de trésorerie sont provoquées par les fluctuations des flux énergétiques. La gestion d’une société d’électricité s’effectue à travers les niveaux des pertes techniques et pertes non techniques parce que les pertes représentent les recettes qui échappent à la trésorerie de la société. Il existe une parfaite corrélation entre les flux énergétiques et les flux de trésorerie. L’augmentation des pertes signifie la diminution des recettes, par contre la diminution des pertes signifie l’augmentation des recettes. Gérer une société d’électricité signifie donc maintenir les pertes techniques et pertes non techniques à des niveaux normatifs. Le bilan énergétique est le meilleur tableau de bord qui permet au gestionnaire d’une société d’électricité de s’assurer que toutes les pertes techniques et pertes non techniques respectent les normes. Il éclaire périodiquement le gestionnaire d’une société d’électricité sur l’évolution de tous les flux énergétiques de la production à la consommation finale et lui montre le chemin à suivre pour élaborer un plan de redressement de l’entreprise capable de réduire les pertes techniques et pertes non techniques à des niveaux acceptables. Sans le diagnostic clair, précis, chiffré, fiable et incontestable, issu des bilans énergétiques, il est impossible d’établir un plan de redressement d’une société d’électricité cohérent et efficace. Monsieur Fabrice LUSINDE, DG de la SNEL SA n’a pas présenté le diagnostic de son plan de redressement de la SNEL SA, établi pour 5 ans, soit de 2023 à 2027, ni la politique tarifaire qui va soutenir son plan. L’énergie électrique produite par la SNEL SA a atteint 13.361 GWH en 2021 et place la société dans le top 10 des plus grandes sociétés productrices de l’énergie électrique en Afrique ayant une production supérieure à 10.000 GWH. Malheureusement la SNEL SA se classe en termes des recettes derrière toutes les sociétés africaines d’électricité ayant une production de 5.000 GWH. C’est la principale cause des difficultés financières de la SNEL SA. Les recettes de la société ne progressent pas de la même manière que la production de son énergie électrique. Pendant 4 plénières de l’Assemblée Générale, le Directeur Général de la SNEL SA a parlé devant les Députés Nationaux de tout sauf des bilans énergétiques de la SNEL SA, autrement dit, il a parlé de tout sauf de l’électricité. Il n’a pas parlé de l’énergie produite par la SNEL SA, ni de l’énergie importée et exportée, ni de l’énergie consommée ou vendue, ni de l’énergie facturée et non facturée, ni des pertes techniques et pertes non techniques, ni des tarifs pratiqués, ni des pannes enregistrées mensuellement aux réseaux de distribution selon la tension électrique. 5. Echec des Consultants Occidentaux et Congolais Pour aider la SNEL à améliorer la gestion calamiteuse de ses consommateurs domestiques ou basse tension afin de permettre à la société d’augmenter ses recettes sur cette clientèle, l’Etat Congolais a fait appel depuis 1990 à de nombreux Consultants occidentaux et congolais. Parmi les Consultants Occidentaux, on peut citer : EDF, TRACTABEL, LAHMEYER, MANITOBA HI, etc.… Tous les Consultants occidentaux ont établi des diagnostics à l’issue desquels ils ont fait le même constat selon lequel les tarifs domestiques pratiqués par la SNEL sont très bas et ne permettent pas à la société de se développer. Pour augmenter les recettes sur la clientèle domestique, ils ont proposé à la SNEL d’appliquer les tarifs économiques ou rémunérateurs calculés selon les principes des coûts marginaux ou de la vérité des prix afin que le tarif de chaque catégorie de sa clientèle reflète les coûts réels d’alimentation. Pour s’être opposé à cette politique tarifaire édictée par la loi du secteur de l’électricité n°14/011 du 17 Juin 2014 dénommée « La loi Bruno KAPANDJI KALALA », la tête de LUSHIMA DJUNGA a été mise à prix. Cette loi édicte l’obligation pour l’Etat de garantir le respect des règles de concurrence loyale dans le secteur de l’électricité, la fixation des règles tarifaires claires et de facturation selon les principes de la vérité des prix, d’égalité, d’équité et de non transferabilité des charges. En application de cette loi, les Experts Canadiens de MANITOBA HI, avaient procédé à des augmentations exponentielles des tarifs domestiques de la manière suivante : Clientèle Sociale : 213% ; Vapeur : 123% ; Clientèle Building et Confessions religieuses : 92% ; Clientèle MT : 62% ; Clientèle Résidentielle 1 : 414% ; Clientèle Résidentielle 2 : 677% ; Clientèle Haute tension : 62%. Les résultats obtenus ont été catastrophiques. Les recettes sur la clientèle basse tension sont passées de 67,38 millions USD en 2013 à 64,14 millions USD en 2016. A cause de ces résultats catastrophiques, la loi n’est plus appliquée à Kinshasa. Le 16 février 1999, lors de la présentation aux cadres de la SNEL S.A et aux Experts Européens du Groupement EEF-ICM-MEDIS, des résultats de son étude inédite, intitulée « Projet CVS et ASIC », sur les pertes techniques et pertes non techniques de la SNEL SA, Monsieur LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO avait fait en termes de parabole la déclaration suivante : « Le salut de la SNEL SA, ne proviendrait à court terme, ni de sa clientèle industrielle (MT et HT), ni du pauvre Etat Congolais, ni de l’exportation, ni de l’Occident ; mais de l’amélioration de la gestion de sa clientèle basse tension ou domestique. En réduisant son énergie non facturée, la SNEL est capable de multiplier au minimum par 5 ses ventes et ses recettes sur sa clientèle basse tension ou domestique sans modifier ou en diminuant le tarif le moins cher parmi les tarifs pratiqués par les sociétés privées d’électricité installées dans notre pays. Etranglé par le poids de sa dette odieuse, le pauvre Etat Congolais est incapable de payer sa facture d’électricité parce qu’il est victime de la surfacturation du fait que l’énergie lui facturée par la SNEL SA représente quasiment le triple de sa consommation effective ». Cette thèse est valable jusqu’aujourd’hui, sauf en ce qui concerne l’Etat qui a vu sa facturation passer de 1.135 GWH en 1997 à 352 GWH en 2015 et à 407 GWH en 2021. LUSHIMA DJUNGA est prêt à défendre sa thèse devant les Honorables Députés Nationaux en présence des Experts en gestion des sociétés d’électricité. Le diagnostic de cette étude a été établi par LUSHIMA DJUNGA à partir de 9 bilans énergétiques de la SNEL SA de 1990 à 1998.
Veuillez agréer, Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, mes hommages les plus déférents. LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO Expert en Gestion des Sociétés d’Electricité Analyste financier de l’ISSEC de Paris Annexe : Bilan énergétique synthétisé de la SNEL SA en 2021
BILAN ENERGETIQUE SYNTHETISE DE LA SNEL SA EN 2021 1. VENTES EN GWH, VENTES ET RECETTES REALISEES EN MILLIONS USD
Note : En dépit du taux élevé de délestage et des coupures intempestives, la consommation de la Ville de Kinshasa a atteint 4.273 GWH en 2021, soit 72,33% de toute la consommation de la Cote d’Ivoire qui s’élevait à 5.907 GWH en 2018. Les bilans énergétiques démontrent que la Ville de Kinshasa est une « véritable mine d’or » mieux exploitée par les sociétés des télécommunications, brassicoles, de transfert d’argent, d’assurances, de loterie, etc. La SNEL SA ressemble donc à une souris qui meurt de faim dans une cage pleine d’arachides. En 2021, la SNEL SA a géré 123.298 compteurs à prépaiement pour les ventes de 166 GWH et de 14,61 millions USD au tarif de 0,08 USD/KWH. 3. TARIFS REELS PRATIQUES EN RDC ET EN COTE D’IVOIRE EN USD/KWH
4. Taux d’accès à l’électricité ou taux de déserte en 2020 : 6,21%. Formule : Nombre d’abonnée BTx8 x100 Nombre d’habitants 776.458 x 8 100.000.000 Hab x 100= 6,21%
Selon le Ministre de l’Energie en 2007 : 17,00% C’est le taux d’accès à l’électricité le plus bas en Afrique et dans le monde. Il signifie que 93,79% des Congolais vivent encore dans l’obscurité après plus de 60 ans d’indépandance de leur Pays. Les consommateurs domestiques ou basse tension représentent un véritable gissement d’or à exploiter.
Vodacom : Recettes réalisées sur ses 5 millions d’abonnés pour le seul mois de Février 2009 s’élèvent à 198,80 millions USD selon Le Phare n°3.799 du 02 Avril 2010 ; SNEL SA : Recettes réalisées pour toute l’année 2007 s’élevaient à 115,17 millions USD. Les recettes réalisées sur les consommateurs domestiques pour toute l’année 2021 s’élèvent à 102,84 millions USD. Pourtant, les deux sociétés, Vodacom et SNEL S.A exploitent et gèrent la même clientèle évoluant dans le même environnement. La SNEL S.A est contre performante à cause de la gestion calamiteuse de sa clientèle domestique par les Ingénieurs Civils. Cette affirmation est démontrable scientifiquement. Fait à Kinshasa, le 24 Avril 2023 LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO
Message de compassion de la conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) à la suite de l’incendie du lycée Mwanga de Kolwezi 1. C’est avec grande tristesse que nous avons assisté, ce 24 avril 2023, à l’incendie qui a dévasté le Lycée Notre Dame de Lumière (Mwanga) de Kolwezi, œuvre de la Congrégation des Sœurs de Notre Dame Chanoinesses de Saint Augustin et symbole de la mission d’éducation inhérente à l’Eglise. 2. Face à cette tragédie, nos pensées sont tournées vers Son Excellence Monseigneur Richard KAZADI, Evêque de Kolwezi ; vers la Révérende Sœur Mireille ILUNGA, Supérieure Provinciale, et toutes les Sœurs de sa famille religieuse. Avec eux, nous partageons les souffrances des familles des enfants qui fréquentent cette école, particulièrement celle de l’élève décédée. 3. Au nom des Archevêques et Evêques membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) et en mon nom personnel, nous exprimons notre proximité spirituelle avec toute la population de Kolwezi. Que les enfants blessés, le corps enseignant, les Religieuses de Notre Dame, affectés par ce drame, soient rassurés de notre compassion et de nos prières. 4. Il est heureux de constater que les Autorités politico-administratives, avec le concours des Services compétents, de certaines Entreprises minières et autres locales, se sont impliquées immédiatement pour porter secours aux enfants et maîtriser le feu ravageur. Nous leur exprimons notre reconnaissance. 5. En notre qualité de Pasteurs, nous en appelons à l’aide du Gouvernement et à la solidarité de toutes les personnes de bonne volonté, pour la réparation des dégâts causés à cette école afin que les enfants recouvrent le plus rapidement possible les bonnes conditions d’étude. 6. Que par l’intercession de la Sainte Vierge Marie, Notre Dame de Lumière, le Seigneur Ressuscité console la famille endeuillée et accorde le repos éternel à l’enfant décédée. Qu’il panse les plaies des blessés, redonne courage et espoir aux élèves et aux enseignants ainsi qu’aux Religieuses gestionnaires du Lycée Mwanga. Fait à Kinshasa, le 25 avril 2023 Marcel UTEMBI TAPA Archevêque de Kisangani Président de la CENCO
La République démocratique du Congo traverse une saison des incendies des immeubles publics et privés. Dans ce lot, les immeubles de l’ex-Onatra, Télé 7, Botour, Super marché UAC à Lubumbashi, Super marché Jambo Mart à Lubumbashi, à la 8ème Rue Limete,… dont les résultats des enquêtes se font toujours attendre. Sur cette longue liste s’est ajouté hier, lundi 24 avril, l’incendie de l’école conventionnée catholique de Mwanga à Lualaba dans la province de Kolwezi. Des témoignages sur place affirment que le feu d’origine inconnue s’est déclaré vers 9h dans les locaux abritant les salles des cours et à l'internat. Le drame a surpris les élèves en plein cours tandis que d’autres étaient à l’internat du lycée. Le premier niveau du bâtiment de cette école crachait du feu à travers les fenêtres et les portes. En quelques minutes les flammes ont touché la toiture consumant toute la charpente qui a fini par s’effondrer. Des dizaines d’élèves et enseignants s’en sont sortis avec de graves blessures avant de parler de nombreux dégâts matériels. Les élèves pris de panique auraient, pour la plupart, cherché à échapper à cette catastrophe par une échelle de secours retrouvée dans la cour de l’école. Tout le monde ne pouvait pas y descendre, les autres n’ont pas hésité de sauter du premier étage. Les enseignants aussi en sont sortis avec de graves blessures. Les sources sur place ont reconnu que les secours de pompiers sont arrivés 2 heures après que s’est déclaré l’incendie. Le feu a été complètement maitrisé au bout de quelques heures. Une permanence des pompiers a été mise en place afin d’éviter toute reprise du feu. Aucune perte en vie humaine n'est à déplorer pour l’instant, selon les autorités locales. Les blessés ont été acheminés dans des structures sanitaires de la place pour des premiers soins. D'autres encore ont été internés à l'hôpital Mwangeji de Kolwezi. Parmi eux, les enseignants et leurs élèves. Naturellement, une enquête a été ouverte pour déterminer l'origine de l'incendie. Nécessité des extincteurs Il se pose aujourd’hui avec acuité la problématique du système anti-incendie dans les différents immeubles tant public que privés dans toute l’étendue du pays. Après autant d’incendies, on ne voit pas le gouvernement prendre des mesures concrètes pour protéger la population contre les incendies. Le lycée Mwanga, est un drame de trop qui pouvait être évité. En outre, on réalise que les outils mis à la disposition des sapeurs-pompiers sont soit vétustes ou inadaptés. La plupart de véhicules se retrouvent à court d’eau avant même de circonscrire le feu. Il est donc impérieux de mettre sur pied une politique anti-incendie à laquelle tout le monde devra se soumettre. Il sied de reconnaitre que la SNEL qui gagne pratiquement tous les procès contre ses abonnés, a une part de responsabilité importante dans ces incendies. C’est peut-être pour cela que les résultats de diverses enquêtes ne sont pas publiés parce qu’elles incriminent cette entreprise du Portefeuille. Comme pour dire que la responsabilité de l’Etat est entièrement engagée. Réactions sur tweeter Patrick Muyaya: Incendie du lycée Mwanga à Kolwezi, aucun cas de décès à ce stade, toutes les victimes sont prises en charge, enquête en cours pour déterminer les causes de l’incendie. Suivre communication du Gouvernement Provincial du Lualaba. Fifi Masuka : En tant que mère, voir mes filles qui sont allées étudier se démener seules et trouver des issues afin d'avoir la vie sauve face à un feu impitoyable, cela me dévaste, je suis larmoyante et difficile pour moi de trouver des mots justes dans le vocabulaire de la race humaine pour exprimer le sentiment qui m'habite en ce moment. Pour l'instant je rends grâce à notre Dieu Tout-Puissant pour la vie qu'il donne encore à nos filles et transmets mes compassions aux parents d'élèves traumatisées. L'heure est à l'union de prière. Denise Nyakeru Tshisekedi : J’ai suivi de près la situation de l’incendie qui s’est déclarée au Lycée Mwanga de Kolwezi que j’ai eu l’honneur de visiter il y a peu. Je suis soulagée d’apprendre par les voies officielles qu’aucune vie humaine n’est à déplorer. Nos prières et tout notre soutient accompagnent les familles des élèves blessées, la sœur Jeannine Ilunga, préfet des études et tout le personnel de cet établissement scolaire. Que Dieu nous garde! Emma Muntu
En déclarant la journée du 06 avril de chaque année comme chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national en mémoire du combat de Simon Kimbangu, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, peut visiblement compter sur le soutien multiforme, dans l’accomplissement de sa mission et, même, en prélude des élections à venir, de la grande communauté kimbanguiste d’ici comme d’ailleurs. Le décor a même été planté hier, à la Cité de l’Union Africaine, par Simon Kimbangu Kiangani, Chef spirituel de l’Eglise de Jésus-Christ sur la terre par son Envoyé spécial Simon Kimbangu, vulgairement appelée église kimbanguiste, venu exprimer à son hôte la gratitude de toute sa communauté pour avoir honoré la mémoire de celui qui aura consacré sa vie à la défense de la cause des noirs. Simon Kimbangu Kiangani a appelé la grande communauté kimbanguiste à se ranger derrière le Président Félix Tshisekedi et à le porter dans leurs ferventes prières pour lui permettre de réussir sa mission à la tête du pays. Le Pape de l’église kimbanguiste s’est dit honoré par la décision du Président Tshisekedi qui, d’après lui, était inspiré par le Saint Esprit. Une bonification à Félix Tshisekedi en gestation ? Voyons voir… La Pros.
*Un Kuluna aux arrêts, blesse la Maîtresse Kombila à coups de manchette, brise sa main et emporte son salaire. Le capitaine Lula de la police/ District de Bulungu a mis la main sur un Kuluna professionnel qui a failli tuer la maman Elyse Kombila, enseignante à l'EP/Bilili Etat, de la Paroisse Sainte Lucie. Ce Kuluna qui est passé aux aveux et garde encore, curieusement, tout son butin du crime en son propre domicile. Partie pour retirer sa paie du mois de mars 2023, Maîtresse Kombila s'est rencontré sur son chemin de retour avec cet incivique qui l'a grièvement blessé en lui administrant plusieurs coups de manchette sur la tête, causant des blessures graves jusqu'à lui casser sa main droite et emporter tout son sac, son salaire y compris. Ce crime odieux s’est déroulé, le mardi 18 avril 2023, non loin du centre Kiyaka. Ensanglantée et presque mourant, cette maîtresse ramassée par des bons Samaritains, a été conduite au CS Kiyaka de la ZS de Vanga où elle reçut les premiers soins, la suture de ses plaies, l'immobilisation de son bras cassé, avant d’être évacuer ce jeudi 20 avril 2023 à l'hôpital, Evangélique de Vanga, sur instruction de la POLICE pour une meilleure prise en charge. Le Dr John au chevet de la rescapée, a fait savoir que toute la tête et couvertes des plaies. A en croire le capitaine Lula qui a auditionné la victime, " son état de santé nécessite des examens appropriés car ayant subi un traumatisme crânien avec plusieurs blessures graves qui ont laissé couler beaucoup du sang", a-t-il indiqué. Et de poursuivre" je viens de transmettre les PV d'auditions au parquet de BULUNGU, où j'avais déféré le kuluna auteur de ces crimes pour que justice soit faite et que Mme Kombila Elyse, enseignante de son état, soit rétablie dans ses droits les plus légitimes ", a-t-il martelé. C'est la famille de la victime alertée par le communiqué radiodiffusion de l'OPJ précité et instructeur du dossier, qui s'attelle à la prise en charge de la rescapée de cet assassinat gratuit. Cette dame, devrait se rende à Sungu, après avoir reçu son salaire, pour s'occuper de sa fille malade et admise pour des soins. Le danger du publi-reportage d'une paie des miettes En l'absence des extensions bancaires, certaines organisations comme la Caritas Congo, ou les agents ambulants de certaines banques se servent des radios communautaires pour passer les messages de la paie des enseignants regroupés par pool ou zone géographique la plus proche. Cette publicité alerte non seulement les criminels et expose dangereusement les professionnels du noble métier, mais créé la hausse de prix des biens de première nécessité spontanée pour la circonstance. Pis encore, la date et le lieu indiqué pour la paie est transformé au rdv d’un marché de fait et des règlements des comptes, mieux de paiements des dettes, où les créanciers poursuivent les enseignants. Alors que la paie des gagnes-gros s’effectue sans tambour ni trompette. C'est ici que nous avons souligné que ce publi-reportage de la paie des miettes est dangereux. Les conséquences sont multiples et ce cas de figure en est une illustration poignante. Appel à une justice correctionnelle pour éradiquer la criminalité dans le BULUNGU Curieusement, contacté par les membres de la famille de la victime, le procureur prend plaisir de dire que : " le Kuluna devant ses offices est un grand criminel, il n'a rien pour réparer les préjudices causés, il ne faut même pas s'attendre à ce qu'il soit à mesure de rembourser les frais de soins de la victime". Qu'il a décidé de son propre Chef, le déférer devant le juge. "Et si le tribunal peut le condamner pendant un moment et d'en débarrasser" Plus d'un observateur se demande, le procureur est sous quel ciel comme ça, pendant que l'état de la victime est très critique et est encore à l'hôpital ? Comment peut-il prétendre qu'il ne trouve aucun intérêt de le garder au cachot du parquet parce que personne ne le suit jusque-là ? Saisissant le Premier Président de la Cour d'Appel de Bandundu, un membre de famille écrit :"Votre honneur, nous nous interrogeons sur les motivations hâtives du procureur, patron de l'action judiciaire, qui semble sympathique à l'égard d'un criminel de renommé à sa connaissance, qui a failli tuer une femme âgée, juste à cause de son salaire qu’il a, du reste, confisqué ? Nous avons tenu à vous informer pour qu’en cas des forfaits, nous tiendrons le procureur pour responsable vu ses penchants pour des raisons qui lui sont propres". Et de poursuivre : « Depuis quand peut-on décidée, sauf en procédure de flagrance, pendant que la victime peine encore à annoncer les dernières couleurs de son évolution sanitaire ? S'il lui arrivait le pire, le procureur va-t-il relancer le procès ? Comment peut-il n'intéresser personne et en l'absence de la partie civile, décider de son chef et selon le seul décret de sa pensée ?" Le procureur près le tribunal de Grande Instance de BULUNGU ou près le Tripaix du ressort, ne devrait pas oublier qu'il est le bras séculier de l'État Congolais pour le rétablissement de l'ordre public pour la paix, une paix durable. Ils ont l'épée pour instaurer l'ordre et la paix. C'est le lieu de voir l'organe de la loi soulever son épée et de la meilleure manière pour que pareille situation ne se répète plus. Il s'agit là, d'un cas de flagrance à laquelle les milliers des victimes et paisibles citoyens s'attendent à une sanction exemplaire. Et la justice congolaise existe, elle fonctionne. Quoi qu'il en soit, la place des criminels c'est en prison. Les kuluna en RDC, ont leur lieu de rééducation qui est Kanyama Kasese, où ils sont convenablement pris en charge par le Service National. C'est évidement, après avoir réparé les préjudices causés. Rappelons que les cas de criminalité sont devenus récurrents dans le territoire de BULUNGU, jadis territoire pacifique et cosmopolite. Mme l’Administrateur du Territoire a intérêt à ouvrir l’œil et le bon. Almaf
Dans le souci de former la masse, l’institut panafricain cardinal MARTINO (IPCM) organise quatre formations par module qui se tiendront à l’université catholique du Congo (UCC/Limete), à partir du 13 mai 2023. Ce, en vue de donner l’opportunité à toutes les personnes qui veulent apprendre dans le domaine ci-après : Doctrine sociale de l’Eglise, Gestion des conflits et construction de la paix, Management et leadership chrétien, Ecologie et Responsabilités, à bénéficier de la connaissance. La formation en enseignement social de l’Eglise vise à faire connaitre et comprendre aux participants la pensée sociale de l’Eglise. Ces séances d’enseignement porteront spécialement sur la dignité de la personne humaine, la civilisation de l’amour et le bien commun, les principes de la vie en société, le chrétien face au développement de la nation, la foi chrétienne et la politique. Avec ces enseignements, les participants seront capables de s’imprégner des valeurs de la Doctrine Sociale de l’Eglise pour mieux exercer leurs responsabilités dans un style de vie conforme à l’Evangile, attestent les organisateurs. La formation en résolution de conflits et construction de la paix, réconciliation et médiation Etant un pays en proie à des multiples conflits qui causent souvent des morts, des déplacements massifs des populations, des pertes de biens matériels et autres, cet axe de formation vaut son pesant d’or, surtout pendant cette période préélectorale. Œuvrer pour la cohésion sociale, tel est l’objectif visé par cette formation. C’est ainsi que durant ces séances, on essaiera de comprendre le conflit, relever les défis du terrorisme, des religions et du dialogue interreligieux, évoquer les mécanismes de réconciliation et de changement social, épingler quelques attitudes pour faire face aux conflits sociopolitiques africains, proposer certains systèmes politiques africains et mécanismes des résolutions des conflits. La formation en management et leadership chrétien La direction des institutions, des entreprises ou des humains, en général, n’est pas un acquis, elle s’apprend. Tant que la société congolaise rêve d’un avenir meilleur, sa gestion mérite d’être confiée aux personnes bien formées, sachant propulser leurs collaborateurs à un rendement meilleur dans l’Eglise, dans l’entreprise et dans la société. Voilà pourquoi, ce volet de formation portera sur les points suivants notamment l’art de diriger, le sens du travail et la gestion du personnel, la finalité de l’entreprise et la planification financière, les conditions de la performance de l’entreprise, l’éthique des affaires. La formation en Ecologie et Responsabilités En réponse à la dégradation de l’environnement et du dérèglement climatique constatés, cette formation envisage renforcer les capacités des participants à la sauvegarde l’environnement et de la planète Terre. Elle sera axée sur la lutte contre le réchauffement climatique, la gouvernance et la gestion et la gestion des ressources naturelles, les droits et les devoirs vis-à-vis de l’environnement, la gestion et la protection de l’écologie urbaine. Eunice Maleka
Les chefs des confessions religieuses du Congo ont procédé le samedi 22 Avril, à la lecture de la déclaration concernant le contenu du mémorandum, introduit à l’intention des Présidents de deux chambres du parlement pour exiger la majorité absolue sur le vote de la loi Tshiani. A l’issue de leur rencontre au siège de la communauté nationale islamique du Congo, le 06 Avril 2023, ils ont introduit un mémorandum à l’intention des Président de deux chambres du parlement congolais sur le vote de la loi Tshiani. Les membres de la société civile des églises et confessions religieuses ont été interpelés par l’état chaotique du pays depuis près de trois décennies à cause de ses ressources naturelles convoités par tous et cela tant sur le plan politique, sécuritaire que sur le plan social. Dans le souci d’apporter leur contribution à la situation sécuritaire dans l’Est du pays, les chefs religieux soutiennent la loi Tshiani, qui verrouille l’accès à la présidence et aux postes régaliens aux seuls compatriotes nés de père et de mère congolais. Pour eux, la nature de cette loi n’est ni discriminative, ni exclusive. Dans leur mémo, ces Chefs des confessions religieuses recommandent à l’Assemblée nationale et au sénat ce qui suit : -le vote à cent pourcent au parlement de la loi Tshiani qui non seulement n’est pas une nouvelle formule mais aussi et surtout, n’est pas discriminatoire, elle outrage personne ; -le vote d’une loi qui protège les sujets congolais qui vont à l’étranger et plus particulièrement dans les pays frontaliers qui favorisent l’infiltration et l’invasion ; ordonner au gouvernement de la République de renforcer la sécurité à nos neufs frontières ; adopter l’irrévocabilité de la nationalité congolaise contenue xcdans la loi Tshiani ; l’appropriation de la mise en pratique par les députés nationaux, toutes tendances confondues de la recommandation de Dieu à son peuple, contenu dans le livre de deutéronome 17 ;14-15,nous citons :lorsque tu seras entré dans le pays que l’éternelle Dieu te donne, lorsque tu le posséderas et tu y auras établis ta demeure et que tu diras je veux mettre un roi sur moi comme toutes les nations qui m’entourent, tu mettra sur toi un roi que choisira l’éternelle ton Dieu, tu prendras un roi du milieu de tes frères ,tu ne pourras pas te donner un étrange et qu’il soit ton frère… Ruth Musau
Les professionnels des médias ne doivent aucunement oublier leur mission sacrosainte au sein de la société, celle d’informer, former, éduquer et divertir. Pour ce faire, en perspective de la Journée Mondiale du Paludisme prévue mardi 25 avril prochain, au cours d’un briefing organisé par PNLP et Sanru mercredi, les professionnels des médias ont été conviés à informer la population sur la disponibilité et la gratuité des antipaludiques dans le secteur public et SSC; sensibiliser la population à exiger le test (TDR) et les antipaludéens recommandés par le PNLP en cas de fièvre v ; Promouvoir les pratiques clés de lutte contre le paludisme (prévention , Dépistage et prise en charge). D’après Michel Itabu, responsable de la communication PNLP, chacun d’entre nous a déjà été traité pour un paludisme, soit simple, soit grave ou a fait soigner un frère en ayant souffert, chacun d’entre nous s’est déjà absenté du travail pour cause de malaria, a eu à contribuer, directement ou indirectement, au traitement de la malaria. Donc, nous parlerons toujours de la malaria, cette maladie endémique qui n’épargne personne, qui a réussi à emporter dans l’au-delà certains princes et rois. Pour lui, le paludisme est l’une de plus vieilles maladies mortelles de l’histoire de l’humanité, causée par la piqûre du moustique anophèle femelle. Objectifs du briefing des professionnels des médias consistent à faire reculer le paludisme par l’entremise des médias de briefer les journalistes sur le thème et sur les stratégies de la lutte contre le paludisme (LAP), Familiariser les journalistes avec les messages clés de la LAP, rappeler les responsabilités et les rôles des professionnels des médias dans la LAP en tant que ‘’médiateur’’ dans le FRP et communiquer avec la presse sur le paludisme. Pour cette année, le thème choisi de la Journée Mondiale du paludisme est : «Il est temps d’atteindre l’objectif zéro paludisme: investir, innover, mettre en œuvre» avec une grande concentration sur la « mise en œuvre ». Ainsi, ce thème n’écarte pas l’idée clé des thématiques de trois dernières années qui ont tournoyé autour : « Zéro paludisme commence avec moi !» et coulé en un engagement-pays : «Moi, je m’engage pour zéro cas de malaria dans mon ménage ! ».Donc, la JMP veut démontrer que zéro malaria est à la portée de tous les pays, de chacun de nous, car pour RBM: la malaria est évitable et traitable. Le paludisme tue un enfant toutes les 2 minutes (Rapport OMS 2020). C’est la cause principale de morbidité et de mortalité chez les moins de 5 ans et les femmes enceintes. Parlant des indicateurs sanitaires/Rapports PNLP, en 2021il y avait 21.345.031 cas de paludisme (19.260.604 cas de palu simple et 2.084.427 cas de palu grave (10.407.197 cas de paludisme chez les enfants de moins de cinq ans) et 22.729 décès dont 15.297 enfants de moins de cinq ans, soit 67%. En 2022: 27.296.419 cas de palu dont 13.300.804 cas chez les enfants de moins de cinq ans et 1.209.537 cas chez les femmes enceintes ainsi que 24.880 morts dont 16.921 enfants de moins de cinq ans, soit 68%. Mesures préventives La Moustiquaire Imprégnée d’Insecticide à Longue Durée d’Action (MILD) est l’un de meilleurs moyens de se protéger contre les piqûres de moustiques qui transmettent la Malaria. Donc, la MILD vous protège et protège tous les membres de votre famille contre le paludisme. Car, le moustique qui transmet le paludisme (anophèle femelle) pique pendant les heures tardives de la nuit, généralement pendant le sommeil.La pulvérisation péri et intra domiciliaire est aussi un autre moyen efficace de se protéger contre la malaria (coût élevé). L’assainissement du milieu et la gestion de l’environnement. La prévention chimioprophylaxie (TPI) de la femme enceinte. L’orientation de tout cas de fièvre dans un centre de santé. « Il vous revient, à votre tour, chers professionnels des médias, d’aller sensibiliser pendant tout ce mois d’avril, voire au-delà, sur les dangers du paludisme et les mesures préventives à prendre. Le paludisme est une catastrophe lente; il tue à bas bruit, donc en silence, plus que la COVID-19 », a exhorté le Responsable de communication du PNLP. Rappelons que Serge Beltshika, Manager Marketing et Communication du Sanru a énuméré la mission ainsi que la contribution du Sanru dans cette lutte en République démocratique du Congo. MB
*L'Université Saint Augustin de Kinshasa (USAKIN) mettra bientôt sur le marché du livre un ouvrage intitulé ‘‘promotion des langues locales et construction des identités culturelles’’. Il s'agit d’un mélange, d’une compilation d’articles en l’honneur du Professeur Damase Ndembe Nsasi, Prêtre et linguiste congolais.
Publié aux éditions du Centre de Recherches Pédagogiques (CRP), sous la direction de Faustin Diatezulwa et Innocent Badada, ce volume de 392 pages fait un état de lieu de la politique linguistique de la République Démocratique du Congo (RDC), et de la problématique de la promotion des langues dites nationales dans ce pays. Au cœur de l’ouvrage se trouve une affirmation importante : « la langue est un élément essentiel dans le développent d’une identité nationale et la construction d’une nation », comme l’articule Frédéric Khonde, chercheur en Relations Internationales, depuis l’université de Hiroshima au Japon.