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Clôture de la semaine du leadership au féminin, IFASIC : Patience Mashini offre des armes stratégiques aux étudiantes pour leur réussite dans la société

A l’occasion de la clôture de la semaine du leadership au féminin organisée, du 22 au 28 mars 2023, par la coordination estudiantine de l’Institut facultaire des sciences de l’Information et de la communication, Patience Mashini, Cheffe des travaux, a appelé les étudiantes au pragmatisme, à toujours viser le meilleur et à aimer le sacrifice dans le travail pour se distinguer dans la société.
Outre la clôture de la semaine riche en connaissance, c’était la commémoration de la naissance du professeur Malembe qui a totalisé 78 ans d’âge. Dans sa prise de Parole, la femme au parcours élogieux s’est exprimée en ces termes : «J’ai étudié dans un auditoire de plus de 450 étudiants avec 6 distinctions seulement, et j’étais la seule femme», a-t-elle révélé. Selon elle, cela était le fruit des encouragements de son professeur Jean-Richard Kambayi Bwatshia. Pourquoi ? Parce que le professeur me disait toujours, travaille pour distinguer et je l’ai fait, vous pouvez aussi le faire», a-t-elle lancé.
Dans la même logique, Madame Mashini Patience les a conseillé à faire une étude de soi sur les forces et faiblesses, en anglais le SWOT (strengt, weakness, treats, and opportunity), qui se traduit par force, faiblesse, menace et opportunité. «Vous devez connaitre vos points forts et faibles, c’est comme ça qu’on se distingue dans la société. Dis-toi, je suis fort à telle et telle chose et non à telle autre, connaitre les contraintes et les opportunités que t’offre le monde extérieur. Les formations, adhésion dans les associations», a martelé l’oratrice.
La journée s’est clôturée par la remise d’un trophée au recteur Jean-Richard Kambayi Bwatshia pour son dévouement à soutenir les activités estudiantines et la bonne gestion de l’institut. Le tout s’est clôturé par une photo de famille.
Michel Onoseke

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Transférés à Kinshasa pour être séparés, Les bébés siamois évacués du Kwilu n’ont pas survécu

Tout a été mis en œuvre pour sauver ces nouveau-nés. Un avion médicalisé affrété par le gouvernement central via le ministre de l'Intégration régionale, Didier Mazenga, a été mis à la disposition des bébés siamois de sexe masculin, venus du Kwilu. Les prières de tous les croyants ont accompagné ces deux anges.
Mais hélas, les voies du Seigneur sont insondables. Les deux bébés sont morts lundi 27 mars à la clinique Ngaliema à Kinshasa où ils étaient internés. La tentative de les séparer par une intervention chirurgicale, n’a pas abouti.
Selon le médecin directeur de la clinique Ngaliema, Roger Kongo, qui livre l’information, le cas de ces siamois était plus complexe du fait des malformations cardiaques. «Ils sont morts alors qu’ils étaient encore en observation avant leur opération», a indiqué le médecin directeur de ladite clinique. Selon une première évaluation de l'équipe médicale sur place à Misay, ces deux enfants respiraient et avaient un battement de cœur.
A l’aéroport national de Bandundu-ville, Dr Jean-Pierre Basake, chef de Division provinciale de la santé du Kwilu explique: «Les réanimateurs sont arrivés, ils ont évalué comme nous que les enfants sont accolés en thoraco-abdominal, ils respirent, les deux cœurs battent, parfois en synchrol ou un peu en déphasage. Il y a un qu’on a nommé J1, Jumeau 1 qui est vraiment normal jusqu’à même la saturation acceptable, mais l’autre, nommé J2, le jumeau 2, est en saturation de temps en temps ».
Ces nouveau-nés siamois sont partis à Kinshasa accompagnés de leurs deux parents, et du Dr Augustin Anetubuna, médecin responsable du centre de santé de Misay, dans la zone de santé de Kikongo, dans le territoire de Bagata.
Emma Muntu

 

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ESU : Georges Ongelo dévoile l’application ‘’TRANSACADEMIA’’


Le Directeur général de la société TransAcademia, Georges Ongelo, a dévoilé l’application ‘’TransAcademia’’ le lundi 27 mars 2023, au cours d’une conférence organisée par la coordination estudiantine de l’Institut Facultaire des Sciences de l’information et de la Communication IFASIC, dans l’espace Professeur Malembe au sein dudit institut, pour permettre aux étudiants de créer leurs comptes, s’abonner, contrôler et assurer leurs mobilités.
Intervenant pour débattre autour du thème : «L’éducation numérique pour l’épanouissement des femmes et filles en RDC», le numéro un du transAcademia n’a pas gardé secret la création de son application qui, selon lui, est une innovation numérique et est purement congolaise. ‘’TransAcademia’’, a indiqué M. Ongelo, est téléchargeable sur Playstore pour établir une communication numérique entre les étudiants et l’entreprise qu’il dirige. Cela, pour répondre à la question de paiement des frais d’abonnement qui s’élève à 375 FC la course. «Nous avons une application transAcademia, téléchargeable sur playstore, vous êtes appelés à créer un compte en mettant les informations vous concernant, qui doivent être identiques à celles de votre université. Parce l’université nous donne aussi les informations et cela pour raison d’exclusivité. Seuls les étudiants auront accès à bord de bus», a-t-il précisé.
Parlant de l’importance de l’application, il renseigne qu’il y a la possibilité de contrôler l’utilisation des frais des courses à travers cette application. «Elle peut aussi vous localiser par Géolocalisation le lieu où est bloqué le bus en cas d’embouteillage. Vous pouvez accéder au bord de bus grâce à l’application sur votre téléphone en donnant votre code qui sera aussi dans l’application en cas de perte se votre carte et on continu de la développer», a-t-il déclaré.
Le DG de TransAcademia a signifié que tout étudiant sera en possession d’une carte de TransAcademia portant son identité et le nom de son université, une fois qu’il s’enregistre. À la question de savoir la conséquence en cas de perte de la carte, il réagit : «La carte est valide pour une année académique, parce que, à chaque année vos données changent, la promotion change et consort. En cas de perte, vous pouvez accéder au bord de bus grâce à l’application sur votre téléphone en donnant votre code qui sera aussi dans l’application, en attendant une nouvelle carte de l’année en cours».
Chutant dans son intervention, il a demandé aux étudiants de télécharger l’application et à s’identifier pour l’abonnement.
Signalons que cette activité s’inscrit en marge du cinquantenaire de l’Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication IFASIC et de la clôture du mois de mars dédié à la femme.
Michel Onoseke

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Célébration du mois de mars dédié à la Femme, Mont-Ngafula : les Amis de Socrates Mubengaie distribuent des pagnes aux mamans de N’djili Kilambo

Les Amis de Socrates Mubengaie savent honorer les mamans. Comme chaque année, le mois de mars consacré à la promotion des droits de la femme est une occasion que saisissent les hommes bien éduqués et sensibles d’écouter la femme et célébrer ses nombreux bienfaits dans la société. C’est dans cette logique que l’asbl ‘’les Amis de Socrates Mubengaie’’, chapeautée par son initiateur qui porte le même nom, a bien compris l’importance de la gent féminine. En ce troisième mois de l’année 2023, les membres de cette structure sociale ont effectué une descente au quartier Ndjili Kilambo dans la commune de Mont-Ngafula où ils ont communié avec les femmes.
Accueilli en triomphe à son arrivée, l’autorité morale de « ASM » et sa compagne Madame Grâce Mubengaie, sans oublier les membres de cette asbl, ont marché sur une longue distance sous les ovations du public qui les attendait depuis les petites heures matinales. Visiblement, c’était un moment de joie, ponctué par des chants d’allégresse et de bienvenue.
Dans le mot de bienvenue, les mamans de Ndjili Kilambo dont la joie était débordante et palpable ont expliqué en détail les défis auxquels elles font face dans leur vie quotidienne. Ces difficultés sont d’ordre socio-économique mais également socio-culturel. Elles ont souhaité acquérir un centre d’alphabétisation fonctionnel qui pourrait faciliter la formation professionnelle d’un certain nombre d’activités génératrices de revenus afin de diminuer tant soit peu la misère dans cette communauté, ont-elles conclu.
Attentif, réceptif et sensible à la douleur sociale de « ses mamans », Maître Socrates Mubengaie, autorité morale de l’ASM dit avoir tout entendu et noté au fond de son cœur. L’heure n’est pas au discours ni à des promesses fallacieuses, a-t-il ajouté. Le centre d’alphabétisation fonctionnel a particulièrement retenu son attention ainsi que la mutuelle de santé, aussi demandé par les mamans de Ndjili Kilambo. Si Mont-Ngafula compte beaucoup de quartiers, son choix ce jour s’est porté sur Ndjili Kilambo pour être à l’écoute.
Ouvrant sa gibecière, le Joker de la République a distribué des pagnes à toutes les mamans présentes dans une grande réjouissance. Il a promis de revenir très prochainement afin de soulager les mamans suivant leur requête sociale. C’est par un pas de danse que tout s’est terminé lors de cette rencontre, la première du genre et certainement pas la dernière.
MB

 

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Devant des Sénateurs et Députés Nationaux, CNDH : Paul Nsapu plaide pour l’adoption de la proposition de Loi portant protection et responsabilité du Défenseur des Droits de l’Homme

Le Président de la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH), Paul Nsapu Mukulu, a participé, ce mercredi 22 mars 2023, à l'atelier « Légitimation de la Loi portant protection et responsabilité du défenseur des droits de l'homme (DDH) » avec les Sénateurs, au Centre Carter, à Kinshasa. Une rencontre initiée par les organisations de la société civile notamment la Voix des Sans Voix (VSV), le SOS IJM et le Service international pour les droits de l'homme (SIDH), dont des Sénateurs et Députés nationaux, ainsi que certains acteurs de la société civile ont pris part.
Union des forces et des stratégies
Lors de ces assises, Paul Nsapu a signifié qu’« il sera donc question pour les organisateurs de mettre en place des stratégies efficaces avec les sénateurs dans le but d'en faire un suivi régulier en mettant en place un plan de plaidoyer global et inclusif par des actions orientées vers les parlementaires et le ministère des droits humains, en collaboration avec les partenaires techniques et financiers ».
Il a, en outre, souligné que: « La CNDH demeure intéressée et engagée dans ce processus et attend dans la même logique que celle-ci, réunisse une délégation des parlementaires (Députés et Sénateurs), des représentants du Gouvernement et des institutions publiques (Ministères de la Justice, Droits humains et services publics), des défenseurs des droits humains et des représentants des missions diplomatiques pour engager un débat public, et favoriser les échanges sur ce plaidoyer législatif essentiel et prioritaire en matière des droits humains, d'une part, et d'autre part, pour constituer une équipe forte de suivi pour le plaidoyer législatif en RDC ».
Pour lui, « il sera aussi question de mettre en œuvre l'utilisation de nos carnets d'adresse parlementaires et diplomatiques pour cette fin. J'en appelle donc à l'union des forces et des stratégies ».
Responsabilités
Le Président de la Commission permanente des Droits de l’Homme de l'Assemblée nationale, le Député Simon Pierre Yananio, est intervenu pour relever que ce projet de loi déjà adopté au niveau de la Chambre basse a été faite de manière à protéger les défenseurs des droits de l'homme, mais aussi de les mettre devant leurs responsabilités.
« La vision pour la RDC est de faire des droits de l'homme une priorité pour les actions engagées au niveau de l'Etat et au niveau des associations », a précisé le Député National Simon Pierre Yananio.
C'est ainsi qu'il a plaidé auprès des sénateurs, présents à l'atelier, de faire d'urgence pour examiner ce projet de loi au niveau du Sénat, et l'envoyer au Président de la République pour sa promulgation.
Plaidoyer
Un plaidoyer approuvé par le Président de la Commission Politique, Administrative et Juridique (PAJ) du Sénat, le Sénateur Jean Bakomito. Ce dernier a pris l'engagement, ensemble avec les autres Sénateurs présents à la rencontre, pour la plupart membres de cette commission PAJ, de travailler pour que ce projet de loi soit inscrit au cours de session, pour son examen au Sénat.
Le coordonnateur de SOS IJM Justin Bahirwe, la représentante du SIDH, Mme Adélaïde, ainsi que le représentant du directeur du Bureau conjoint des Nations Unies pour les Droits de l'Homme, Hamidou Ngapnah, et le Directeur exécutif de la VSV, Ronstin Manketa ont tous plaidé en faveur du vote de la proposition de loi portant protection et responsabilité du défenseur des droits de l'homme au Sénat en RDC, au cours de sa session de mars 2023 récemment ouverte.
LP/Cellule de communication CNDH

 

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RDC : la Communauté baha’ie inaugure la maison d’adoration nationale à N’sele

Ça y est ! La communauté baha’ie de la République Démocratique du Congo a inauguré la Maison d’adoration nationale ce samedi 25 mars 2023, dans la périphérie de la ville de Kinshasa, au cartier SICOTRA de la commune de la N’sele. Cette cérémonie d’inauguration a connu la participation de plus de deux mille personnes de toutes catégories sociales. Des représentants étatiques, de la société civile, parmi lesquels une diversité de confessions religieuses ayant un grand encrage dans la société congolaise, sans oublier la communauté baha’ie venue de tous les coins de la RDC et d’une trentaine de pays de cinq continents ainsi que des hommes, femmes, enfants, jeunes et vieux ; des milieux urbain et rural, ils étaient les premiers à offrir des louanges au bon Dieu, dans ce magnifique cadre de la Maison d’Adoration Nationale.
Cette cérémonie a été marquée par trois temps forts. L’adresse de l’Assemblée Spirituelle Nationale des Baha’is de la RDC, le message de la Maison Universelle de Justice, institution suprême de la communauté mondiale baha’ie et le service dévotionnel offert au sein de la maison d’adoration. Tout en décrivant succinctement la portée de la foi mondiale baha’ie, le premier temps fort a constitué un survol de l’historique de la communauté baha’ie en RDC et celle du processus ayant conduit à l’érection de la Maison d’Adoration Nationale de la RDC.
Mot du Coordonnateur national
Le Coordonnateur de l’Assemblée spirituelle nationale des Baha’is en RDC, Lem’s Kamwanya, a signifié que l’érection de la Maison d’adoration est la concrétisation d’une recommandation spirituelle de Baha’u’llah. « En effet, sa sainteté Baha’u’llah, en tant que messager de Dieu pour notre époque, a apporté de nouveaux enseignements spirituels révélés des lois et des Ordonnances. Parmi elles, celle enjoignant aux hommes de multiplier des maisons d’adoration comme lieux par excellence de la louange et de la glorification de Dieu», renseigne-t-il. Et de renchérir : «La Maison d’adoration, telle que nous la voyons ici devant nous, en tant qu’une des ordonnances divines, ne peut pas être considérée comme un bâtiment ordinaire ou comme tout autre lieu du culte que nous avons l’habitude de fréquenter. Il s’agit d’un édifice particulier, spécialement chargé en potentialités spirituelles».
Un temple, un phare de lumière
Quant au deuxième temps fort, lu par Mme Melanie Bangala, du Corps continental des Conseillers de la foi baha’ie, c’est un message d’encouragement à la communauté baha’ie de la RDC, pour les efforts fournis dans la propagation des enseignements de Baha’u’llah durant les sept dernières décennies. Un accent particulier a également été porté sur le rôle transformateur que devrait jouer la Maison d’Adoration Nationale à Kinshasa et en RDC de manière générale. «Que votre première maison d’adoration soit un phare de lumière. Que ses murs résonnent les mélodies des paroles de Dieu ; qu’elle inspire les actes nés d’une foi véritable ; qu’elle offre la paix et la tranquillité à chaque âme qui y entre et qu’elle diffuse la lumière de la félicité universelle sur toute la ville de Kinshasa et sur toute la nation de la République démocratique du Congo », a-t-elle dit.
Pour ce qui est du troisième temps fort, il sied de retenir l’atmosphère paisible dans lequel on s’immerge dans la maison d’adoration. Avec des chants de méditatif entonnés en chœur ainsi que les prières dites dans différentes langues et la lecture des extraits des écritures saintes tirés du Coran, des Evangiles et du kitab-i-Aqdas, le livre saint baha’i.
Ouverture à tout le monde
Les maisons d’adoration bahá’íes sont ouvertes à tous pour venir prier, méditer et se ressourcer. Les programmes proposés consistent en des prières et des lectures choisies dans les textes saints de toutes les religions. Le chant choral y est également pratiqué. Il n’y a ni sermons, ni rituels, ni clergé officiant dans ces maisons d’adoration. Les prochaines maisons d’adoration seront érigées à l’échelle nationale ou locale, là où deux aspects essentiels et indissociables de la vie bahá’íe sont développés : l’adoration et le service.
Ces édifices, entièrement consacrés au souvenir de Dieu, créent en effet une interaction dynamique entre l’adoration et les actions de service entreprises en vue d’améliorer les conditions spirituelles, sociales et matérielles de la société. De ce fait, des équipements sociaux, médicaux, éducatifs, humanitaires et scientifiques sont construits autour des maisons d’adoration pour développer le bien-être collectif.
Zoom sur la foi baha’ie
La foi bahá’íe est une religion mondiale et indépendante. Son histoire débute en Perse en 1844. Son fondateur est Bahá’u’lláh(1817-1892) – nom persan qui signifie la « Gloire de Dieu » –, un noble persan qui a proclamé être le porteur d’une nouvelle révélation, un nouveau message divin, dont la finalité est d’établir l’unité des peuples de la terre. Au cœur de son message se trouve la conviction que l’humanité forme une seule et même famille et que le moment est venu pour elle de s’unir en une société mondiale. Ceci implique une transformation des individus et des relations qui structurent la société.
Dans les aspects spirituels et matériels de leurs vies, les bahá’ís s’efforcent de mettre en pratique les enseignements de Bahá’u’lláh, tels que :– l’âme rationnelle n’a ni sexe, ni race, ni ethnie, ni classe, ce qui rend inadmissible toute forme de préjugés ;
– Dieu est un, au-delà des diversités culturelles et des interprétations humaines et toutes les religions du monde sont les expressions successives d’une seule et même foi ;
– la religion et la science sont deux systèmes complémentaires de connaissance et de progrès pour la civilisation.
Après 180 ans d’existence, la foi bahá’íe compte plus de six millions de croyants appartenant à plus de 2 100 groupes ethniques, et répartis dans plus de 235 pays et territoires dépendants, ce qui en fait la deuxième religion géographiquement la plus répandue après le christianisme. Ses écrits sont traduits dans plus de 800 langues.
MB

 

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Pressenti candidat aux prochaines joutes électorales, Constant Mbala : voici ce qu’il faut connaitre de son parcours et ses ambitions après 2023

L’un des grands combattants qui ont avec bravoure lutté pour la démocratie en République démocratique du Congo, nationaliste, Constant Mbala est un congolais né à Kinshasa. Après ses études à l’étranger, l’homme est revenu pour contribuer à l’émergence du pays. Actuellement, il est à la tête d’une ASBL dénommée ‘’Tshangu En Avant”, laquelle met en avant le développement de Tshangu, de la ville de Kinshasa, et de la RDC en général. Il a fait de son ASBL une structure qui facilite le contact direct avec la population à travers des activités de terrain sous le nom “RENCONTRE AVEC LA BASE”. En décembre prochain, il annonce sa candidature à la députation nationale et provinciale dans la circonscription électorale de Tshangu.
Une fois élu, Constant Mbala prévoit d’accomplir fidèlement son devoir de représentant du peuple au sein du parlement, avec des initiatives qui mettent en exergue le bien-être de la population. Dans son méga projet dévoilé tout récemment, il promet de rester toujours aux côtés de sa base à Tshangu et être accessible à tout moment à la différence des autres, même après son élection. Ci-dessous, retrouvez l’illustration de son projet durant son mandat.
PROJET N° 1
• Proposition d’une résolution sur la construction de l’aéroport de n’djili qu’on va dénommer aéroport international patrice Emery Lumumba.
• Avec des restaurants, des hôtels, des parkings, etc.…
• Ceci va développer Tshangu, Kinshasa, et la RDC.
• Avantage de créer l’emploie pour les résidants de Tshangu et des kinois.
PROJET N° 2
• Proposition de loi portant financement de Congo Airways
• Achats de deux nouveaux avions chaque année pour faire du Congo le centre d’Afrique.
• Avantage de décentraliser le pays et de créer les emplois.
PROJET N° 3
• Soutien total à la gratuité d’enseignement et a la réforme de notre système éducatif.
PROJET N° 4
• Proposition de loi sur la création d’un task-force du sport congolais chargé du contrôle et de l’évolution du sport au Congo.
PROJET N° 5
• Proposition de loi sur la création d’un task-force culturel au Congo chargé du control et de l’évolution de la culture congolaise (music et autres)
PROJET N° 6
• Désenclavement des entrées de Tshangu en militant pour la mise en place des systèmes de signalisation et ouvrir les entrées comme Petro-Congo afin de permettre la fluidité de la circulation
PROJET N° 7
• Création d’une académie des sports pour les jeunes de Tshangu
Qui est-il réellement ?
Né à Kinshasa, Constant Mbala est un enfant de Tshangu. Il a résidé au Quartier Télévision, au Quartier Imbali, et au Quartier Sans-Fil à Masina. Il a aussi résidé au quartier 8 à Ndjili sur le Boulevard Lumumba. Baptisé Chrétien, il est membre de l’Église Francophone l’Ache de l’Éternel. Après la maternelle faite au Collège Malula à Limete, Primaire à l’EP I Bambous, Secondaire: (1-4) à Institut LISANGA (Mgr BOKELEALE) à Gombe, il a décroché son diplôme d’Etat à l’Institut CBCO Sona Bata au Kongo Central.
Détenteurs de plusieurs diplômes académiques, Constant Mbala est passé par l’École Nationale des Finances (Informatique des Finances), George Washington University à Washington DC aux Etats-Unis et Fédération Américaine de Football (soccer) où il rafle un diplôme d’entraîneur de football senior.
La Pros.

 

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RDC : RSF et son partenaire JED demandent à toutes les parties au conflit au Nord-Kivu de respecter le travail des journalistes

La protection des journalistes est nécessaire dans ce contexte de conflit entre
Au Nord-Kivu, les médias sont directement impactés par le conflit entre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23. Reporters sans frontières (RSF) et son partenaire Journaliste en danger (JED) demandent à toutes les parties de ne pas faire des journalistes des cibles ou des instruments de propagande.
Attaqués, pillés, censurés, ou menacés, les médias sont pris entre deux feux : les violences des rebelles du M23 et les ripostes de l'armée républicaine de la RDC. Il est primordial que les journalistes puissent exercer leur métier de manière impartiale et indépendante, sans subir de pressions. Nous demandons à toutes les parties au conflit de respecter le travail des médias qui ne sont pas des instruments de propagande.
Sadibou Marong
Directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF.
Mardi 7 mars 2023, un cessez-le-feu devait entrer en vigueur au Nord-Kivu, province du nord-est de la République démocratique du Congo (RDC). Il devait marquer une trêve des combats qui sévissent dans cette région entre le Mouvement du 23 mars (M23), rébellion qui a repris les armes en 2021, et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). Pourtant, les journalistes, directement touchés par ce conflit – qui ravive aussi les tensions avec le Rwanda, accusé par le gouvernement congolais de soutenir le M23, ce que Kigali dément – n’y voient aucun espoir d'apaisement. Malgré le cessez-le-feu, les combats continuent et les professionnels des médias sont toujours menacés par la nouvelle vague de pressions et de représailles qui les visent depuis début février.
Menaces et représailles du M23
Mi-février, les rebelles du M23 convoquent les responsables des médias émettant depuis Rutshuru, chef-lieu du Nord-Kivu, qu’ils contrôlent largement, selon une source proche de RSF. Accusés d’”incitation à la haine”, ils sont sommés de réajuster leur ligne éditoriale.
Les radios de la région sont interdites de relayer Top Congo FM, l’une des radios les plus écoutées de la région qui émet depuis Kinshasa, et ce, pendant deux mois. Lors de cette même réunion, les rebelles exigent la suppression de l’émission “Sauti ya wahami” (“la voix des déplacés"), diffusée sur plus de 40 radios du Nord-Kivu. Produite depuis Goma par des journalistes ayant fui les zones sous le contrôle du M23, elle donne la parole aux civils déplacés, qui accusent régulièrement le M23 d’être à l’origine des violences subies dans la région.
Chaque radio se voit également imposer une émission hebdomadaire, nommée “Maisha ya kwetu” (“La vie de chez nous”). Animée par un membre du M23, elle a pour vocation de promouvoir “la cohésion sociale, la paix et le développement, l'encouragement d’un climat d'affaires, d'éducation, de santé et de sécurité”, selon les rebelles.
Ces injonctions sont assorties de menaces : “Si jamais un journaliste ne respecte pas les consignes, le châtiment ne tardera pas”, a entendu un responsable de média, qui concède : “Nous avons peur, donc nous nous soumettons”. Et pour cause, les milices du M23 se sont déjà violemment attaquées aux médias du Nord-Kivu.
Le 3 février, des rebelles ont pillé les locaux de la radio Bashali, située dans la localité du même nom. Connus pour leur couverture impartiale du conflit, les journalistes de Bashali ont réussi à sauver une partie de leur matériel avant de prendre la fuite. C’est la deuxième fois que des membres du M23 s’attaquent aux infrastructures des médias. En juin 2022, la station la Voix de Mikeno à Bunagana, dans la même région, a été pillée et saccagée par les rebelles armés. Les journalistes ont fui en Ouganda, pays frontalier de la RDC.
La pression des autorités congolaises
Aux risques tangibles de représailles du M23 s’ajoute la crainte de sanctions des autorités nationales. Inquiet de la mainmise des rebelles sur l’information dans la région, le Conseil supérieur de l'audiovisuel et de la communication (CSAC), dans un communiqué du 15 février, menace de poursuites légales les médias se pliant aux injonctions et relayant des informations diligentées par le M23. Une réaction “incompréhensible” pour les journalistes : “[Les représentants du CSAC] veulent imposer leur loi dans des zones qu’ils ne contrôlent pas. Si on laisse une heure d’antenne aux milices, ils peuvent nous poursuivre ! Mais nous n’avons pas le choix, le M23 nous fait peur. C’est une véritable prise d’otage.”
Quelques jours plus tôt, le 2 février, le photographe Ismaël Matungulu, le correspondant et le photographe de l’Agence France-Presse (AFP) à Goma, Aubin Mukoni et Héritier Baraka Munyampfura, ainsi que le correspondant de l’agence Anadolu Augustin Wamenya, sont arrêtés par les FARDC, alors qu’ils réalisent un reportage sur les déplacés dans la ville de Saké, dans le territoire de Masisi, toujours dans la province du Nord Kivu. Bien qu’ils aient annoncé leur présence aux forces gouvernementales, il leur est reproché d’être sur une zone opérationnelle sans autorisation de l’armée. Ils sont ensuite accusés de fournir des informations au M23 et d’être des espions du Rwanda. Ils risquent alors la peine capitale pour trahison. Ismael Matungulu a été relâché le 5 février, ses confrères le 6 février. Les charges ont finalement été abandonnées le 8 février.
“JED dénonce vigoureusement toutes ces attaques contre les médias qui ne font qu'amplifier le conflit. Nous demandons aux responsables politiques de la RDC et du Rwanda de s'impliquer pour faire cesser cette guerre contre la liberté de la presse", déclare Tshivis Tshivuadi, Secrétaire général de JED.
L’état du conflit devient un tabou dans la presse congolaise. Jeudi 9 mars, le ministre de la Défense nationale, Gilbert Kabanda, a déposé une plainte contre le journaliste du média d’information en ligne Actualite.cd Stanis Bujakera, également correspondant de Jeune Afrique et de l'agence Reuters, l’accusant de propager des rumeurs susceptibles de “démoraliser les troupes des FARDC”. Le journaliste avait simplement rapporté dans un tweet un extrait du compte-rendu du Conseil des ministres faisant état de l'avancée sur le terrain du M23. La démobilisation des forces armées par voie de presse en temps de guerre est passible de la peine de mort. La plainte a finalement été retirée le 12 mars, sous l’impulsion du ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya.
Les journalistes sont aussi régulièrement physiquement pris à partie. Le 11 mars dernier, lors d’une manifestation pacifique organisée dans la ville de Kasindi (nord-est du pays) par des partis d’opposition pour dénoncer le conflit entre le RDC et le Rwanda, deux journalistes ont été brutalisés puis embarqués dans une voiture de police, avant d’être déposés sur une route dangereuse, connue comme étant un repaire des rebelles islamistes des Forces démocratiques alliées (FAD).
Des tensions diplomatiques qui s’intensifient
Ces pressions illustrent l’escalade des menaces qui pèsent sur les journalistes à mesure que les tensions diplomatiques s’intensifient entre le Rwanda et la RDC. Début février, le CSAC suspend la diffusion de toutes les chaînes de télévision rwandaises émettant sur satellite pour une durée de 90 jours, les accusant : “d'intox, d'incitation à la désobéissance civile, à l'insurrection générale contre les autorités publiques de la RDC, de dénigrement systématique des institutions nationales et de leurs animateurs, ainsi que d'apologie de la guerre”. Elle intervient en réaction, selon le CSAC, au brouillage de certaines chaînes congolaises au Rwanda.

 

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Pour ses multiples actions mettant au centre les jeunes, Maître Konga Elonga pense que le Chef de l’Etat a le soutien total de la jeunesse congolaise

Le Président de la République ne cesse de poser des gestes qui mettent au centre la jeunesse, pour la reclasser à sa place d’assureur de l'avenir de la nation. Pendant son règne, deux gouvernements ont été installés au sein desquels les jeunes se sont retrouvés et honorés en occupant des postes jamais confiés avant. C'est ce qui pousse maître Konga Elonga, cadre de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et administrateur à l'Office des routes de conclure que le Chef de l'État est le choix de la jeunesse, parce que, pour lui, en effet, il est la réponse même aux différentes préoccupations des jeunes. Il l'a expliqué au cours de la conférence-débat tenue dimanche dernier par le G27, une structure de la ligue des jeunes du parti au pouvoir, à Kinshasa.
Dans son intervention lors de cette conférence placée sous le thème : « Pourquoi Félix Tshisekedi est le choix de la jeunesse ?», Me Konga a, en réponse à cette interrogation, illustré, avec des mots justes, les actions du Chef de l'État faites en faveur de la jeunesse, faisant de lui avant-gardiste d'une jeunesse émergente, responsable et consciente au service de la nation.
«Quatre ans passés au pouvoir, la jeunesse congolaise continue de porter à cœur son chouchou qu'elle appelle affectueusement Fatshi Béton. À cette question, il fallait réellement répondre à l'opinion tant nationale qu'internationale, pourquoi Félix Tshisekedi est le choix de la jeunesse, parce qu'il est la réponse aux différentes préoccupations des jeunes et est le symbole de la Renaissance du Congo. Le président Félix a dit, lors de sa première allocution au congrès qu'il connaît très bien cette jeunesse, ses préoccupations et qu'il allait s'organiser pour y répondre. Et chemin faisant, le Président Félix Tshisekedi s'est fait accompagner de sa jeunesse à travers sa gouvernance. Nous avons vu que dans la composition du gouvernement, il a associé les jeunes à travers le choix porté à nos amis jeunes. À travers la nomination de différents mandataires dont j'en suis un, à travers des nominations au niveau de la territoriale, le président Félix Tshisekedi nous a fait confiance et a prouvé son amour envers les jeunes », a précisé ce haut cadre de l'UDPS.
Il a ajouté que même en instaurant la gratuité de l'enseignement sur toute l'étendue de la République, le Président Félix a répondu aux préoccupations de la jeunesse «parce que l'éducation est l'avenir d'un pays». Au regard de toutes ces réalisations faites au bénéfice de la jeunesse, Maître Konga Elonga conclut et rassure que la jeunesse congolaise a estimé que le Président Félix Tshisekedi est la réponse à toutes ses préoccupations. Il a en cette même occasion demandé aux jeunes de soutenir le Président de la République pour sa réélection en 2023. «À cette même jeunesse, nous demandons de faire un choix utile, de reconduire le président Félix Tshisekedi, lui renouveler la confiance en 2023 parce qu'il est la réincarnation de la Renaissance du Congo et le symbole du changement congolais tant attendu», exhorte-t-il.
Fidel Songo

 

Pour ses multiples actions mettant au centre les jeunes, Maître Konga Elonga pense que le Chef de l’Etat a le soutien total de la jeunesse congolaise
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En situation irrégulière en Angola : 435 expulsés congolais sont arrivés à Kamako au Kasaï

La police des frontières de l’Angola a reconduit, vendredi 17 mars à la frontière avec la République démocratique du Congo, de nombreux Congolais en situation irrégulière sur son territoire. Au total 435 Congolais dont 23 enfants sont arrivés la frontière de Kamako dans le Kasaï.
La société civile de Kamako qui rapporte cette information dénonce le traitement subi par les Congolais expulsés. Ils seraient arrivés en RDC sans leurs bagages. Certains d’entr’eux auraient été emprisonnés avant être expulsés. A Kamako, ils passent de nuit à la belle étoile par manque d’infrastructures pouvant les accueillir.
«435 Congolais ont été expulsés de l’Angola ce vendredi 17 mars, par le poste frontalier principal de Kamako. Parmi eux nous avons 370 hommes, 42 femmes, 7 garçons et 16 filles. Ces expulsions se font de manière inhumaine et brutale. Nos compatriotes passent plusieurs jours en prison et sont expulsés sans bagages et plusieurs d’entr’eux présentent des signes de maladie et fatigue», a dit l’abbé Trudon Keshilemba Lamba, président de la société civile de Kamako.
Emma Muntu

En situation irrégulière en Angola : 435 expulsés congolais sont arrivés à Kamako au Kasaï
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