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RDC-Chine : un émissaire de Xi Jinping chez Félix Tshisekedi !

La République démocratique du Congo est invitée à participer à la 9ème édition du Forum Chine-Afrique, a indiqué, au cours d’une audience, Lin Yuxi, envoyé spécial de Xi Jinping, au Président de la République, Félix Tshisekedi, ce mardi à la Cité de l’Union africaine, à Kinshasa. Lin Yuxi était à la tête d’une forte délégation chinoise constituée notamment, de l’Ambassadeur de la Chine en poste à Kinshasa. L’Ambassadeur de la RDC en chine, François Balumuene, a accompagné cette délégation auprès du Chef de l’Etat. La neuvième édition du Forum Chine-Afrique se tiendra au mois de septembre prochain à Pékin, la capitale chinoise, et connaitra la participation de plusieurs pays africains. Cette rencontre de haut niveau intervient dans un contexte où la Chine tient à renforcer sa coopération avec les autres pays du globe dans le cadre de l’Initiative ‘’La Ceinture et la Route’’, mise en place par le Président Xi Jinping, depuis 2013, pour accélérer le destin partagé de l’humanité dans différents domaines. « Nous allons travailler ensemble pour discuter sur l’amitié, la coopération et le développement », a rassuré Lin Yuxi, au sortir de l’audience. Lancé en 2000, le Forum Chine-Afrique est un mécanisme de coopération entre la Chine et les pays.

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RDC-Chine : un émissaire de Xi Jinping chez Félix Tshisekedi !
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RPDC : « En aucun cas, ne seront tolérés les actes hostiles de nature à porter atteinte à la souveraineté sacrée de notre Etat!»

Voici le communiqué (27/05/2024) de presse du porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères (AE) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une Guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR);

Face à une situation intolérable caractérisée par une grave violation de la souveraineté de son Etat contrairement à la Charte de l’ONU et aux principes du Droit International axés sur l’égalité de la souveraineté et la non-ingérence dans les affaires intérieures, le Ministère des AE de la RPDC déclare ce qui suit:

Ce 27 mai, le Sommet Trilatéral (9ème depuis 2008, NDLR) ROK-Japon-Chine (représenté par 01 Président et 02 1ers Ministres, NDLR) tenu sous les auspices de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée - créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord - qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR) a publié une Déclaration Conjointe sur;

  • le maintien de la paix et de la stabilité de la Péninsule coréenne (RPDC + ROK) et de ses environs
  • la dénucléarisation de celle-ci.

Quant à la ROK, elle aggrave, de plus en plus, la sécurité de la Péninsule coréenne et de la Région d’Asie du Nord-Est en se démenant avec frénésie pour le renforcement de son alliance militaire agressive avec les forces d’hégémonie de l’extérieur de la Région. Mais, voilà qu’elle parle de la «dénucléarisation», de la «paix» et de la «stabilité». C’est une moquerie et une tromperie à l’égard des autres Pays de la Région et de la Communauté internationale.

Le Ministère des AE de la RPDC condamne, fermement, cette grave provocation politique perpétrée dans une conférence internationale sous l’égide de la ROK au mépris du statut constitutionnel de la RPDC, en la considérant comme;

  • un défi ouvert à la souveraineté de celle-ci
  • une violente ingérence dans les affaires intérieures de son Etat.

Le fait que la ROK la plus hostile à la RPDC tente de nous imposer un acte anticonstitutionnel en niant notre souveraineté est une insulte tout à fait intolérable et une déclaration de guerre contre notre Pays.

Les menaces nucléaires des USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) ayant persisté durant plus d’un demi-siècle a entraîné l’acquisition par la RPDC d’un potentiel nucléaire. De même, les actes d’hostilité et le chantage militaire des USA et de la ROK ont constitué un facteur décisif nous incitant au renforcement constant de nos forces armées nucléaires. C’est une vérité et une histoire indéniables. Dans toute la Région d’Asie-Pacifique y compris la Péninsule coréenne;

  • existent les blocs militaires variés sous la houlette des USA
  • fonctionne le NCG (ou Nuclear Consultative Group ou groupe de consultation nucléaire depuis 2023, NDLR) destiné à l’utilisation des armes nucléaires contre la RPDC.

En outre, les exercices de guerre d’agression des USA et des Pays à leur remorque ne cessent de s’effectuer, menaçant la paix et la stabilité de la Région. Parler d’on ne sait quelle dénucléarisation dans cette situation critique, cela ne conduira qu’à une Crise nucléaire et non à la paix ni à la stabilité. La dénucléarisation de la Péninsule coréenne signifie un vide de la force et un rapprochement de la guerre. Une sorte de la «Dénucléarisation Complète de la Péninsule Coréenne» (initiée par les USA en 2003, NDLR) a déjà disparu sur les plans théorique, pratique et physique. La RPDC;

  • sauvegardera, avec sûreté, la dignité et la souveraineté de l’Etat et du Peuple ainsi que sa Constitution (les conditions d’utilisation des armes nucléaires spécifiées dans la Loi promulguée -08/09/2022- par l’Assemblée Populaire Suprême de la RPDC et constituée des 11 articles minutieusement détaillés sur la Politique des Forces Nucléaires de la RPDC, dont la doctrine -Article 6/Alinéa 1- permet l’exécution des procédures d’action nécessaires au cas où une attaque nucléaire est lancée contre la RPDC ou s’il est jugé que l’utilisation des armes nucléaires contre celui-ci est imminente, NDLR) contre toute tentative des forces ennemies de nier sa souveraineté absolue
  • consentira des efforts de haute importance pour la mise en place d’une nouvelle structure dynamique de la Région, basée sur la justice et l’équité.
RPDC : « En aucun cas, ne seront tolérés les actes hostiles de nature à porter atteinte à la souveraineté sacrée de notre Etat!»
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L’ONU plaide pour le renforcement du rôle des femmes et des jeunes dans les processus de paix

 

Lina Ekomo, médiatrice et militante pour l'égalité des sexes en République centrafricaine, prend la parole lors d'une table ronde virtuelle sur les femmes, la paix et la sécurité (photo d'archives).

Des hauts responsables des Nations Unies ont plaidé mardi pour le renforcement du rôle des femmes et des jeunes dans les processus de paix, lors d’un débat ministériel organisé par le Conseil de sécurité de l’ONU sur cette question.

La Secrétaire générale adjointe des Nations Unies aux affaires politiques et à la consolidation de la paix, Rosemary DiCarlo, a déploré la violence subie par les femmes, sous ses formes les plus cruelles, qui est une caractéristique de pratiquement toutes les guerres.

Femmes afghanes privées de leurs droits

Présentant le dernier rapport biennal du Secrétaire général de l’ONU couvrant la période allant de janvier 2022 à décembre 2023, Mme DiCarlo a évoqué sa récente visite en Afghanistan, où le sort des femmes est un exemple criant du terrain perdu en matière de droits humains.

« Les femmes et les filles afghanes sont systématiquement privées de leurs droits et de leur dignité dans de nombreux domaines de la vie, y compris l’éducation », a-t-elle dénoncé. Ces femmes rencontrées à Kaboul lui ont fait part de leurs aspirations et de leurs rêves : la même éducation que les hommes, l’égalité des chances en matière d’emploi et la liberté de choisir leur avenir.

Mais,  l’Afghanistan n’est pas le seul pays où les femmes se heurtent à des obstacles qui les empêchent de participer sur un pied d’égalité avec les hommes, a regretté la haute fonctionnaire, citant de nombreuses régions où les engagements en matière d’égalité entre les hommes et les femmes sont ignorés, voire annulés.

A  cet égard, elle a rappelé que dans le Nouvel Agenda pour la paix, le Secrétaire général a appelé au démantèlement des structures de pouvoir patriarcales. « En fin de compte, il s’agit d’une vision simple, celle de surmonter les obstacles qui empêchent les femmes de contribuer pleinement à la société ».

 

Rosemary DiCarlo, Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix, lors d'une réunion du Conseil de sécurité.

Résolution 1325

Saluant le fait que plus de 100 pays de toutes les régions ont élaboré des plans nationaux pour mettre en œuvre la résolution 1325 (2000) du Conseil de sécurité, Mme DiCarlo a appelé d’autres pays à se joindre à cet appel. 

Les processus de paix menés par l’ONU encouragent une solide représentation des femmes. Elle en a voulu pour preuve que les 30% des membres du Comité constitutionnel syrien, par exemple, sont des femmes. Et les femmes représentent 43% des équipes de médiation de l’ONU. Dans les processus de paix menés par d’autres et auxquels l’ONU apporte un certain soutien, le pourcentage n’est souvent pas aussi élevé, a-t-elle toutefois déploré.

S’agissant des jeunes, Mme DiCarlo a estimé qu’ils méritent d’avoir la possibilité de façonner leur avenir, car ils ne sont pas des « adultes en devenir ». Ce sont des êtres humains à part entière qui ont des espoirs, des aspirations, des idées et de l’énergie à revendre, a-t-elle souligné. À cet égard, elle est revenue sur les recommandations contenues dans le troisième rapport du Secrétaire général sur la jeunesse, la paix et la sécurité visant à favoriser les progrès urgents en matière d’inclusion des jeunes qui doivent pouvoir participer en toute sécurité aux processus de paix et aux activités électorales.

Cependant, a nuancé Mme DiCarlo, le rapport pointe la méfiance croissante des jeunes à l’égard des institutions de gouvernance et des processus électoraux. Selon le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), 82% des jeunes de 65 pays déclarent que la violence électorale entrave leur participation.

Encourager les jeunes à s’impliquer

C’est pourquoi elle a souligné l’importance d’encourager de manière concrète les jeunes à s’engager dans la politique et le rétablissement de la paix, car à travers cette voie les gouvernements peuvent renforcer la solidarité entre les différentes générations et rétablir la confiance dans les institutions.

Mme DiCarlo a aussi mis en exergue le rôle des jeunes femmes et des jeunes hommes en tant que défenseurs de l’environnement, dirigeants communautaires, activistes, mobilisateurs et artisans de la paix qui doivent être reconnus et encouragés. 

De son côté, la Directrice exécutive d’ONU Femmes, Sima Bahous, a souligné que les souffrances des femmes en temps de conflit ne sont pas de leur fait, avant de mentionner certains progrès.

L’an dernier, des femmes ont participé à 79 processus de réconciliation, tandis que la mobilisation des femmes se poursuit en Afghanistan. Elle a souligné l’importance du dialogue intergénérationnel dans les pays en proie à un conflit pour surmonter les entraves à la participation politique et sociale des jeunes femmes. « Il faut briser les structures de pouvoir et les normes qui écartent les femmes ».

Besoin de mesures concrètes

La cheffe d’ONU Femmes a dévoilé trois priorités, la première étant la participation renforcée des jeunes femmes aux processus de décision. Pour cela, nous avons besoin de mesures concrètes, comme des quotas, a précisé Mme Bahous, en appelant à ne pas se contenter de « vaines paroles ».

La lutte contre la haine et la désinformation est la seconde priorité. Le champ de bataille est Internet, a-t-elle dit, en ajoutant que cette lutte pourrait être perdue sans une action énergique.

Enfin, elle a demandé que les jeunes femmes soient mieux représentées dans les parlements, puisque moins de 1% des parlementaires dans le monde sont des jeunes femmes.

Pour sa part, le Sous-Secrétaire général aux affaires de la jeunesse, Felipe Paullier a présenté au Conseil de sécurité le troisième rapport du Secrétaire général sur la jeunesse, la paix et la sécurité. Ce rapport évalue de manière globale les progrès du programme jeunesse, paix et sécurité et de ses cinq piliers clefs, a-t-il précisé, reconnaissant que beaucoup reste à faire.

Initiatives de jeunes

Le haut fonctionnaire a cependant fait état de progrès dans la mobilisation des jeunes pour la paix. Ils continuent de créer leurs propres mouvements et démontrent leur capacité d’action et leur leadership croissants à travers le monde, s’est-il félicité, avant de citer des initiatives de jeunes en Syrie, au Soudan, en Somalie ou encore dans des camps de réfugiés au Tchad.

Il a également noté des avancées dans l’institutionnalisation de l’engagement significatif des jeunes à l’ONU, avec notamment la création du Bureau des Nations Unies pour la jeunesse. Il faut à présent traduire les politiques en actions concrètes, en veillant à ce que personne ne soit laissé de côté, a plaidé M. Paullier. 

Dans un contexte de discriminations multiples et de rétrécissement de l’espace civique, le Sous-Secrétaire général a constaté que les jeunes sont la cible privilégiée des menaces numériques, alimentées par les réseaux sociaux. Ces menaces ont accru la propagation des discours de haine, de la désinformation et du harcèlement sexuel, a-t-il dénoncé, observant que les jeunes femmes et les filles, en particulier celles qui sont handicapées et issues de communautés marginalisées, courent un risque accru de violence. 

Pour répondre à ces problèmes de protection, l’ONU et les organisations de la société civile ont pris des mesures spécifiques à chaque pays, a-t-il indiqué, évoquant par exemple le réseau d’alerte communautaire mis en place par la Mission des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA) avec des dirigeants de la jeunesse. 

A  l’approche du dixième anniversaire du programme jeunesse, paix et sécurité et de la résolution 2250 (2015), M. Paullier a formulé plusieurs recommandations, à commencer par l’organisation chaque année d’un débat public au Conseil de sécurité sur cette question.

Il a ensuite demandé d’accroître les possibilités offertes aux jeunes de participer aux délibérations du Conseil et aux visites de pays, ce qui implique de revoir les méthodes de travail de l’organe et de garantir des protocoles de protection pour encadrer la participation des jeunes intervenants.

Il a également souhaité que le Conseil continue de renforcer les éléments du programme jeunesse, paix et sécurité dans le cadre du renouvellement des mandats des opérations de maintien de la paix et des missions politiques spéciales.

L’histoire inspirante de quatre jeunes Congolaises

En tant que jeune ambassadrice pour la paix de l’Union Africaine pour la région de l’Afrique de l’Ouest, Simone Mbode Diouf, a confié être la « preuve vivante » que les institutions internationales et régionales peuvent choisir de faire confiance à l’expertise et au leadership des jeunes femmes en les plaçant au-devant de la scène mondiale.

Pour mettre en lumière le travail « incroyable » que les jeunes femmes artisanes de paix accomplissent chaque jour sur le continent africain, Mme Diouf a souhaité partager l’histoire inspirante de quatre jeunes Congolaises avec lesquelles elle a eu le privilège de collaborer en République démocratique du Congo (RDC).

Tout d’abord, Nora et Marie Rose ont dirigé le Secrétariat technique national, créé par le gouvernement de la RDC pour promouvoir la mise en œuvre au niveau national de la résolution 2250 (2015). 

Grâce à leur leadership, la RDC a créé son premier plan d’action national sur la jeunesse, la paix et la sécurité en août 2022. Ensuite, Émilie et Esther, les coordinatrices des réseaux « Jeunes Femmes Leaders pour la Paix » au Nord et au Sud-Kivu, ont, malgré un contexte sécuritaire difficile marqué par la guerre, veillé à ce que le plan d’action national prenne en compte les besoins spécifiques des jeunes en matière de genre.

Nora, Marie Rose, Émilie et Esther ne sont pas seules, a assuré la représentante. Comme elles, de nombreuses jeunes femmes à travers l’Afrique se consacrent à relever les défis qui affectent leur avenir, tels que les changements climatiques, la résurgence des conflits, l’extrémisme violent, la marginalisation politique, la violence sexuelle liée aux conflits et le manque d’opportunités économiques. 

L’ONU plaide pour le renforcement du rôle des femmes et des jeunes dans les processus de paix
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Vers une nouvelle Constitution , RDC : Steve Mbikayi recadre  Emmanuel Ramazani Shadary

Message

Cher Emmanuel Shadari,

Nous n’allons pas réviser la Constitution. Nous allons rédiger une nouvelle constitution à soumettre au référendum. C’est le souverain primaire qui va décider.

Personnellement, avec le Front Patriotique 2023, nous avions levé cette option il y a 4 ans. Pendant un moment non suspect. Nous avions proposé de passer à une mandature de 7 ans ; Supprimer les institutions budgétivores, approuver la double nationalité sauf pour les pays limitrophes …Quant à la limitation ou non des mandats du Président de la République, le peuple souverain va trancher parce que la question lui sera posée. Dire que cette Assemblée Nationale n’est pas légitime c’est mentir à votre propre conscience. Le mandat passé, il y avait eu beaucoup de députés nommés qu’en 2023. Les machines à voter avaient circulé mais, personne n’avait été dénoncé. Cette fois-ci, beaucoup de tricheurs, même des grands baobabs, ont été démasqués, dénoncés et invalidés. 

Les députés actuels sont plus légitimes que ceux de 2018. Ils doivent en être fiers.

Toutefois, nous sommes contents de votre réveil. L’opposition est morte de sa belle mort. Ressuscitez-la. Dénoncez, critiquez. Et nous vous répondrons coup sur coup. Et ça fera la beauté de la démocratie. 

Comme vous l’aviez si bien dit autrefois, on ne peut pas nous intimider…Il y aura une nouvelle Constitution.

Bon week-end, Mr le Secrétaire Permanent.

"Beaucoup joue de leurs charisme et apparence sans jamais avoir été de vrai homme"

Être un homme de diplôme ou bureau sortie de chez papa et maman ne fait en aucun cas de toi un homme...

Peut-on combattre sans entraînement ?

Peut-on partir à la guerre sans jamais avoir tenu une arme?

Non rien ne s'invente ni ne s'improvise.

Parle moi plutôt de ton parcours, tes épreuves tes combats ton apprentissage ta progression, tes moments de solitude, tes échecs le nombre de fois que tu es tombé et que tu t'es relevé tes expériences seul et tout ce que tu as vaincu seul.

Quand viendra le k.o les problèmes... resteras-tu Lucide, as-tu acquis cette capacité à te transcender pour l'intérêt d'autrui et trouver des solutions...ou est tu de ceux qui contribuent à décupler et intensifier le problème ?

Ce monde est faux, tout est à l'envers et inversé 

Un jour tout sera dévoilé et mis en évidence aux yeux de tous...

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Le Rotary lance un programme de 30 millions de dollars pour lutter contre les maladies infantiles les plus mortelles dans quatre pays africains

*Le « Défi du Rotary pour des collectivités en bonne santé » renforcera les systèmes de santé et s'attaquera aux principaux tueurs d'enfants — paludisme, pneumonie et maladies diarrhéiques — en RDC, au Mozambique, au Nigéria et en Zambie.

Malgré une réduction substantielle ces dernières années, le paludisme, la pneumonie (infections des voies respiratoires inférieures) et les maladies diarrhéiques restent parmi les principales causes de maladies et de décès chez les enfants de moins de cinq ans en Afrique subsaharienne.

Pour y répondre, le Rotary, en collaboration avec la Fondation Gates et World Vision, lance son « Défi du Rotary pour des collectivités en bonne santé » afin de renforcer les systèmes de santé publique et de proposer une prévention et un traitement durables des maladies.

Au cours des trois prochaines années, la Fondation Rotary, World Vision et la Fondation Gates contribueront collectivement à hauteur de 30 millions de dollars pour financer des programmes à grande échelle et à fort impact, avec des organisations et des dirigeants locaux pour améliorer les résultats en matière de santé des enfants en République démocratique du Congo (RDC), au Mozambique, au Nigéria et en Zambie. Les membres du Rotary collaboreront avec ces organisations pour renforcer les systèmes de santé publique et accroître la capacité des agents de santé locaux afin de s'assurer que les programmes sont durables.

« Le Rotary est déterminé à renforcer les systèmes de santé et à lutter contre les maladies en donnant aux communautés les moyens d'utiliser des solutions locales qui fonctionnent, a déclaré Gordon McInally, président du Rotary International. Ensemble, avec la Fondation Gates et World Vision, nous investirons dans des méthodes éprouvées pour aider les communautés à offrir un avenir plus sain et plus prometteur dans lequel tous ont la possibilité de s'épanouir».

La sélection des quatre pays participants s’est faite en fonction de la charge des maladies, de l'implication des membres du Rotary, des partenariats potentiels et de l'alignement sur les stratégies des différents ministères de la Santé. Les membres du Rotary dans chacun des pays participant ont travaillé avec des partenaires locaux et les ministères de la Santé pour élaborer un programme et un plan de mise en œuvre en utilisant un modèle d'agent de santé locaux éprouvé et adapté pour répondre aux priorités sanitaires de chaque pays.

«Investir dans les agents de santé publique est l'une des meilleures choses que nous puissions faire pour renforcer la lutte contre le paludisme et d'autres maladies évitables, a déclaré Philip Welkhoff, directeur de la lutte contre le paludisme à la Fondation Gates. Nous sommes fiers de nous appuyer sur notre partenariat avec le Rotary et World Vision et nous sommes convaincus que cette nouvelle initiative aidera à faire en sorte que les enfants de ces quatre pays aient la possibilité de grandir en bonne santé et d'atteindre leur plein potentiel. »

Le « Défi du Rotary pour des communautés en bonne santé » s'est appuyé sur le succès du programme « Partenaires pour une Zambie sans paludisme » réalisé par le Rotary et qui a aidé des agents de santé locaux à réduire l'incidence du paludisme dans dix districts cibles de deux provinces fortement touchées. Avec le soutien de la Fondation Rotary, de World Vision USA et de la Fondation Gates — chacun contribuant à hauteur de 2 millions de dollars — 2 500 agents de santé locaux ont été ajoutés au système de santé national en Zambie, permettant un diagnostic et un traitement plus efficaces du paludisme pour plus de 1,3 million de personnes.

«C'est un honneur de collaborer avec la Fondation Rotary et la Fondation Gates pour lutter contre ces principaux tueurs d'enfants, a déclaré Edgar Sandoval Sr., président et P.-D.G. de World Vision. Lorsque des partenaires s'unissent, nous pouvons avoir un plus grand impact en aidant les plus vulnérables à atteindre leur plein potentiel».

Les membres du Rotary montent partout dans le monde des actions pérennes qui luttent contre les maladies, promeuvent la paix, fournissent de l’eau potable, soutiennent l’éducation, aident des mères et des enfants, développent les économies locales et protègent l’environnement. Plus de 5,5 milliards de dollars ont été octroyés au cours du siècle écoulé par la Fondation Rotary — la branche humanitaire du Rotary qui aide les clubs à travailler ensemble pour monter des actions utiles et efficaces.

Le Rotary lance un programme de 30 millions de dollars pour lutter contre les maladies infantiles les plus mortelles dans quatre pays africains
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RPDC : «La souveraineté, la sécurité et les intérêts de notre Etat seront défendus par notre potentiel d’autodéfense puissant!»

Voici le communiqué (25/05/2024) de presse de KIM Kang Il, Vice-Ministre de la Défense Nationale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 :

  • Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une Guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR) ;

Ces jours-ci, les forces aériennes des ;

  • USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais, toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR)
  • ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée - créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord - qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, NDLR)

sont en train d’intensifier ouvertement leur espionnage aérien hostile contre notre RPDC. Les 16 avions de reconnaissance stratégique de l’US Air Force (USAF) dont;

  • 05 Boeing RC-135 (avion-espion de surveillance qui fait partie des plus utilisés grâce à sa grande panoplie de capteurs, de système d’observation et de transmission, NDLR)
  • 11 Lockheed U-2S (ou Dragon Lady considéré comme un planeur propulsé en raison du très grand allongement de ses ailes ; son programme s’inscrit dans la mission ISR - intelligence, surveillance et reconnaissance -, NDLR) ont été impliqués dans les actes d’espionnage (13-24/05/2024) aérien contre notre RPDC. L’USAF a notamment mobilisé leurs 03 Boeing RC-135 du 20 au 23 mai.

Même à présent, les forces aériennes des USA et de la ROK mènent leurs opérations d’espionnage aérien au-delà du temps de guerre (la 1ère Guerre de Corée 1950-1953 est finie par l’Accord d’Armistice; donc, persiste le statu quo bellis technique ou juridique à cause de la politique d’hostilités des USA contre la RPDC menée à leur guise de se complaire à créer une situation particulière -création du point le plus chaud du monde-, NDLR) en mobilisant, successivement, le Northrop Grumman RQ-4B Global Hawk (drone à réaction non armé et en service pour les missions d’espionnage et de localisation d’objets fixes ou mobiles; un des rares modèles capables de voler à haute altitude et sur de longues distances, NDLR) et d’autres avions de reconnaissance presque sans aucun vide de la journée pour empiéter plus sérieusement sur la souveraineté et la sécurité de la RPDC.

Un tel espionnage militaire hostile, associé aux divers exercices militaires, devient la principale cause profonde des tensions militaires de la Région sans cesse croissantes.

Récemment, la ROK est excessive avec sa méprisable guerre psychologique en dispersant les tracts et diverses choses sales près des zones frontalières de notre RPDC.

La diffusion de tracts à l’aide de ballons ou d’aérostats peut être utilisée aussi dans un but militaire spécifique, ce qui est une provocation dangereuse. Nous avons déjà clarifié notre position sur la dangerosité de la dispersion des objets avec ballons.

Le nombre d’intrusions ennemies dans notre frontière maritime est également en augmentation.

Divers types de navires de guerre de la Marine et de la Police Maritime de la ROK fantoche traversent fréquemment notre Ligne Frontalière Maritime sous prétexte des patrouilles mobiles. Les intrusions aussi fréquentes dans notre frontière maritime auront des conséquences dangereuses.

De notre côté, nous ;

  • n’avons jamais franchi la Ligne de Limite du Nord (ou Northern Limit Line ou NLL située en Mer de l’Ouest de Corée et tracée, unilatéralement un mois après l’Accord -27/07/1953- d’Armistice de Corée, par le Général Mark Wayne CLARK 1896-1984, le tout dernier Commandant de l’US Army en Extrême-Orient et Commandant des Forces Onusiennes mais, le tout 1er Commandant de l’Histoire US à avoir signé un armistice sans victoire pour dire: La victoire de l’Armée nord-coréenne est due au leadership éminent du Général KIM IL SUNG, NDLR) vantée par la ROK :
  • Avons déjà prévenu que nous prendrions des mesures militaires nécessaires pour défendre notre souveraineté et notre sécurité.

Nous avertissons en bonne et due forme que nous ;

  • Ne pourrons jamais tolérer un tel empiètement continu sur notre souveraineté maritime
  • Pouvons exercer, à tout moment, notre pouvoir d’autodéfense sur ou sous l’eau.

Si un incident survient en mer, la ROK sera tenue entièrement responsable de sa violation de la souveraineté maritime de notre RPDC au mépris de l’avertissement de la dernière. Si la ROK refuse de respecter la Ligne Frontalière Maritime tracée par notre RPDC, elle aurait dû avoir peur même de la traverser ; c’est notre choix.

Ce vendredi 24 mai, la Direction Suprême Militaire de notre RPDC a donné son Ordre à l’Armée Populaire de Corée de prendre des mesures offensives contre l’empiétement provocateur des ennemis sur la souveraineté nationale de la RPDC.

En même temps, une riposte du tac au tac sera prise contre la dispersion fréquente de tracts et autres détritus par la ROK à proximité des zones frontalières ; des monticules de déchets de papiers et d’ordures seront bientôt dispersés dans les zones frontalières et à l’intérieur de la ROK et eux, ils constateront directement combien d’efforts seront nécessaires pour les éliminer.

Lorsque notre souveraineté, notre sécurité et nos intérêts nationaux sont violés, nous agirons immédiatement.

RPDC : «La souveraineté, la sécurité et les intérêts de notre Etat seront défendus par notre potentiel d’autodéfense puissant!»
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RDC : l’ASADHO demande au Président TSHISEKEDI d’ouvrir l’espace civique

 

ASADHO  

B.P.16737                  

KINSHASA 1

R.D. Congo

Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme

African Association for the Defence of Human Rights

COMMUNIQUE DE PRESSE N°007/ASADHO/2024

« L’ASADHO demande au Président TSHISEKEDI d’ouvrir l’espace civique en République Démocratique du Congo »

L’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme, ASADHO en sigle, est vivement préoccupée par les évènements survenus, à Kinshasa, le dimanche 19 mai 2024, du fait de l’attaque de la résidence du Vice Premier Ministre, Ministre de l’économie nationale, Monsieur Vital KAMERHE et du Palais de la Nation, bureau officiel du Président de la République, par des hommes conduits par Monsieur Christian Malanga.

Selon leurs propres déclarations contenues les vidéos prises lors de leur entrée dans le Palais de la Nation, ce groupe d’hommes avait l’objectif de prendre le pouvoir et de mettre en place un autre régime. 

L’ASADHO s’inquiète du choix fait par Monsieur Christian Malanga et son groupe d’utiliser la violence pour prendre le pouvoir alors que tous les congolais, au regard de la Constitution actuelle, ont convenu que tout pouvoir s’obtient par la voie des élections.

Elle condamne cette tentative de prise de pouvoir par la violence et appelle ceux qui ont des frustrations de quelle que nature que ce soit à les exprimer par des voies démocratiques.  

Elle constate aussi que tous ceux qui revendiquent par des voies démocratiques subissent des représailles de la part de la Police Nationale Congolaise ou de l’Agence Nationale de Renseignement, dans l’indifférence totale des hautes autorités du pays (Président de la République et le Premier Ministre). Ils sont arrêtés, maltraités et mis aux arrêts arbitrairement.  

Plusieurs cas ont été documentés depuis l’année passée, mais nous mentionnons ici les plus récents :

- En date du 05 février 2024, plusieurs jeunes des mouvements citoyens dont Fred BAUMA et Bienvenue MATUMO respectivement de EBUTELI et de la LUCHA ont été arrêtés et torturés par les agents de l’ANR, en marge de la manifestation organisée, au Palais du Peuple à Kinshasa, par les mouvements citoyens pour commémorer un an de l’occupation de Bunagana par les troupes rwandaises ; 

-  En date du 04 mars 2024, les activistes de Goma au Nord-Kivu qui marchaient pour exiger les allégements fiscaux et sociaux ont été arrêtés arbitrairement par la police. Le chargé du réseau de Filimbi, Monsieur Christopher MUYISA était aussi arrêté à cette occasion.

- En date du 20 mai 2024, plusieurs jeunes des mouvements citoyens dont Gauthier KASONGO Joël ITUKA, Tony NDJOLI, Chadrack MUKWEYI, USSEIN, André OKOKA, Didier BOMBA, Eric KABONGO ont été arrêtés pour avoir organisé, à Kinshasa, une marche pacifique contre la vie chère.

-  En date du 22 mai 2024, plusieurs mouvements citoyens de la ville de Goma ont organisé une marche pacifique pour dénoncer la pénurie de l’eau potable dans la ville de Goma.  La manifestation a été réprimée et 4 jeunes (JP MULAGIZI, Héritier NYAMWAMI, Thanks WALAYA et David ISHARA HABAMUNGU) ont été arrêtés et conduits à la Police. 

Ces quelques cas montrent de manière claire que l’espace civique est confisqué par le régime Tshisekedi, rendant ainsi toute revendication démocratique difficile. Les citoyens ne peuvent pas utiliser les moyens démocratiques prévus par la constitution pour s’exprimer. Celui qui le fait expose sa vie aux représailles du régime. 

Nous condamnons fermement cette attitude anti-démocratique du régime de Kinshasa. 

Face à ce qui précède, l’ASADHO recommande :

-Au Président de la République de :

- Faire respecter l’article 60 de la Constitution qui dispose que « le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales consacrés dans la Constitution s’impose aux pouvoirs publics et à toute personne » ;

- Ouvrir l’espace civique pour que les citoyens s’expriment librement sur leurs conditions de vie et sur la gouvernance générale du pays ;

-Au Ministre de l’intérieur de :

- Instruire la police pour qu’elle s’abstienne de réprimer et d’arrêter les manifestations pacifiques arbitrairement ;

- Prendre des sanctions administratives contre tous les policiers impliqués dans la répression des manifestations pacifiques.

Ø Au peuple congolais de :

- Continuer à se battre pour que l’exercice de toutes libertés publiques garanties par la Constitution soit effectif.

Fait à Kinshasa, le 23 mai 2024 

ASADHO

Pour toute l’information, prière de contacter :

Me Jean Claude KATEENDE : Président national et Vice-Président de la FIDH.

Tél : +243811729908

RDC : l’ASADHO demande au Président TSHISEKEDI d’ouvrir l’espace civique
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