Ce dimanche 19 Mai 2024, le successeur de Marcel Madila Basanguka, désigné par le Vatican, a été installé par la conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) à la tête de cette province ecclésiastique, comprenant neuf diocèses éparpillés dans le grand Kasaï.
Au cours d’une cérémonie grandeur nature de prise de possession canonique sur l’esplanade de la pro cathédrale Saint Clément de Kananga, le nouvel ordinaire du lieu a lancé sa devise épiscopale: « Un seul cœur, une seule âme», qu’il présente comme fil conducteur de son action pour relever les défis actuels de l’église locale.
Félicien Ntambwe Kasembe s’est engagé à tout donner pour notamment : Une communion retrouvée au sein de l’église de Kananga , une évangélisation renouvelée et pour une gestion qu’il veut "prévoyante, transparente, professionnelle et rigoureuse " .
" Un seul cœur, une seule âme est une marque distinctive de la première communauté chrétienne et critère d’authenticité de notre vie dans l’esprit, de notre vie comme disciples de Jésus-Christ ; ça veut donc , signifier cette unité profonde qui va au-delà de tout signe extérieur et des clivages de toute sorte. Cette devise épiscopale est pour moi l’inspiration profonde reçue du seigneur pour mon ministère, l’appel fondamental qu’il m’adresse partout et la ligne directrice de ce ministère épiscopal " a-t-il clarifié.
Et de préciser :
"Nous allons ensemble travailler pour l’unité de notre église, pour ramener l’évangélisation dans les confins de notre archidiocèse ; Enfin , tout en cherchant de nouveaux moyens pour la mission évangélisatrice de notre église, il nous faudra apprendre à bien gérer ce que nous avons déjà, en vue d’offrir à l’église et à nos populations des meilleurs infrastructures pour des services diversifiés et viables " Félicien Ntambwe Kasembe succès à Marcel Madila Basanguka, à la tête de l’épiscopat de Kananga. Il a d’abord été nommé Administrateur apostolique de l’archidiocèse en 2022 après la renonciation aux charges épiscopales de l’ancien archevêque avant l’âge canonique. Il a été confirmé archevêque de Kananga le 19 Mars 2024 par la décision du Saint-Siège.
Un lot d'engrais chimiques, don de son Excellence Monsieur le Président de la République, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est désormais disponible au Bureau du Programme National du Riz (PNR) à N'Djili.
Cette annonce émane du Ministère de l’Agriculture, dirigé par M. José Mpanda, qui précise que seules les Structures enregistrées au budget économiques 2024 sont concernées par cette dotation. La même source renseigne que la livraison de ces produits chimiques aura lieu, aux alentours de 10 heures, ce mercredi 22 mai 2024, au Bureau du Programme National Riz, situé dans la commune de N’djili, dans la partie Est de la Kinshasa.
« Le Ministre de l’Agriculture, Son Excellence Maître José MPANDA KABANGU, porte à la connaissance de toutes les structures enregistrées au budget d’interventions économiques 2024 au Ministère de l’Agriculture, qu’un lot d’engrais chimiques, don de son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, est disponible au bureau du Programme National Riz (PNR), à N’djili, et que ce lot d’engrais leur sera distribué ce mercredi 22 mai 2024 à partir de 10h00 », rapporte le communiqué de la Cellule de communication du Ministère de l’Agriculture, qui flotte sur la toile, depuis le début de la semaine en cours.
La Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) condamne fermement la tentative de coup d'Etat survenue, aux petites heures du dimanche 19 mai dernier, à Kinshasa. Elle félicite vivement les Forces armées de la République démocratique du Congo pour le travail accompli pour étouffer cette initiative insurrectionnelle. La SADC invite, par ailleurs, la communauté internationale à apporter son soutien à la population congolaise et exhorte les Etats membres à adhérer au protocole qui la régit, sur la coopération en matière de politique, de défense et de sécurité, et qui vise à promouvoir la paix et la sécurité dans la Région, à protéger les populations de la Région de toute instabilité découlant des atteintes à l'ordre public, à formuler une politique étrangère commune en faveur de la Région et à coopérer dans les domaines de sécurité et de défense.
Rappelons que la SADC est une organisation de 16 États membres (Afrique du Sud, Angola, Botswana, Comores, RDC, Eswatini, Lesotho, Madagascar, Malawi, Maurice, Mozambique, Namibie, Seychelles, Tanzanie, Zambie, et Zimbabwe) créé en 1980 sous le nom de Conférence de coordination du développement de l'Afrique australe (SADCC) et transformée en août 1992 en Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC). Elle a pour mission de promouvoir la croissance économique et le développement socio-économique durable et équitable par le biais de systèmes efficients et productifs, du renforcement de la coopération et de l’intégration, de la bonne gouvernance et de la paix et de la sécurité durables, afin que la Région s’impose comme un acteur compétitif et efficace sur la scène des relations internationales et au sein de l’économie mondiale.
(Par Paul Van den Waer, Professeur associé à l’IRAC, Institut de Recherche sur l’Afrique Centrale, Géopoliticien, spécialiste des questions de sécurité en Afrique)
Vital Kamerhe, la cible ratée ou victime expiatoire ?
*Dimanche 19 mai 2024, Kinshasa a été secouée par une tentative de coup d’Etat qui a révélé les fragilités et les tensions au sein du pouvoir en République Démocratique du Congo (RDC). Cette tentative visait à éliminer l’allié clé du Président de la République, Vital Kamerhe, Vice-Premier Ministre chargé de l’Economie et pressenti Président de la toute nouvelle Assemblée Nationale.
Tentative de Coup d’Etat militaire ?
Les événements de la nuit du 19 mai ont débuté par des tirs et une confusion autour de la résidence de Vital Kamerhe, d’abord, et du Palais de la Nation, deux lieux hautement symboliques. Les forces de sécurité ont rapidement réagi, neutralisant les putschistes qui avaient attaqué la résidence privée de Vital Kamerhe. Première conclusion partielle : c’est bien Vital Kamerhe qui été visé. Mais, pourquoi vouloir éliminer cette figure de la vie politique congolaise ?
Un Coup d’Etat qui n’en est pas un
Etant donnés la situation sécuritaire à l’Est de la RDC et les risques de guerre avec le Rwanda, on pense à un coup d’Etat militaire téléguidé par des puissances étrangères. L’hypothèse existe, mais elle est peu probable, lorsqu’on regarde ce qu’il s’est passé le 19 mai. Les putschistes, attelage hétéroclite de Congolais, d’étrangers et de va-nu-pieds, sont peu nombreux (une quarantaine) et on les dépose exactement devant le domicile de Vital Kamerhe. Mis en échec, les putschistes se replieront vers le Palais de la Nation, sans pour autant pénétrer dans le bureau du PR et le saccager. Manifestement, le PR n’était pas, ce jour-là, la cible ultime. Seul, Vital Kamerhe était visé.
Pourquoi vouloir éliminer Vital Kamerhe ?
Cet attentat contre Vital Kamerhe met en lumière plusieurs enjeux politiques et personnels. Vital Kamerhe est une figure politique influente. Ancien directeur de cabinet du président de la République, acteur clé de la gouvernance Tshisekedi et de son administration, Vital Kamerhe a conduit des réformes économiques majeures.
Son élection à la présidence de l’Assemblée nationale en fait une menace pour certains acteurs politiques nationaux qui voient en lui un rival dans la perspective de la prochaine élection présidentielle. Installé au perchoir de l’AN, un poste clé, Vital Kamerhe peut nouer des liens de confiance avec la représentation parlementaire, s’il est le président de tous les députés, ce qui est son intention, d’après ses dernières déclarations et son discours de candidature à la présidence de l’AN. Il entend donner à l’opposition les moyens de jouer pleinement son rôle entre les colonnes de la Chambre basse.
Une opération de déstabilisation qui vise à fragiliser Félix Tshisekedi
Renverser Félix Tshisekedi, alors qu’il vient d’être élu pour un second mandat et qu’il incarne, aux yeux de nombreux Congolais, une figure de rassemblement, reste une opération difficile. Renverser Félix Tshisekedi, non, mais, affaiblir et déstabiliser le gouvernement, créer un vide de pouvoir autour du PR en éliminant ses soutiens, tel est le calcul de ceux qui ont « armé » le bras de Christian Malanga, rapidement éliminé (par qui ?), comme s’il fallait l’empêcher de parler.
Tout laisse à penser que le président Félix Tshisekedi était indirectement visé dans cette opération. Réélu pour un second mandat, Tshisekedi doit faire face à la complexité de la scène politique congolaise et des rivalités qui existent au sein de l’Alliance sacrée. Quatre mois après son élection, Félix Tshisekedi n’a toujours pas pu former son gouvernement et il s’est contenté de nommer, 3 mois après son élection, une Première ministre par intérim, Mme Judith Suminwa Tuluka.
Madame Suminwa Tuluka pourra-t-elle former son gouvernement mettre en œuvre les engagements du second mandat de Félix Tshisekedi, dans un contexte socio-sécuritaire toujours aussi tendu ?
En réalité, la tentative de coup d’État révèle les divisions et les conflits d’intérêts au sein de la mouvance présidentielle, où certaines factions pourraient chercher à affaiblir le président pour leurs propres gains politiques. Alors qu’il était pressenti pour être candidat unique de l’Union sacrée au poste de président de l’assemblée nationale, Vital Kamerhe a dû, ce qui est inédit, affronter deux de ses alliés dans une élection primaire.
Il semble évident que l’alliance Tshisekedi- Kamerhe contrarie les ambitions politiques de certains.
Complicités Internes et fragilités du Pouvoir
La tentative de coup d’Etat, même si elle est l’œuvre de putschistes « amateurs », suggère l’existence de complicités au sein même de l’appareil d’État et de la mouvance présidentielle. Des éléments de l’armée et de la sécurité, censés protéger les dirigeants, pourraient être impliqués, indiquant une déstabilisation interne. Cette situation reflète les fragilités actuelles du pouvoir en RDC, où les loyautés sont souvent changeantes et les alliances politiques volatiles.
Conséquences Politiques
Le président Félix Tshisekedi a condamné fermement cette tentative et a promis de renforcer la sécurité nationale. Vital Kamerhe, de son côté, a appelé à l’unité et à la vigilance, soulignant la nécessité de maintenir la stabilité, afin de poursuivre les réformes économiques et sociales. Cependant, cette tentative de coup d’Etat pourrait avoir des répercussions durables sur la scène politique congolaise.
Elle expose les vulnérabilités du régime actuel et pourrait entraîner une réévaluation des stratégies de sécurité et de gouvernance. Pour Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, le défi sera de renforcer la cohésion au sein de leurs rangs tout en rassurant la population et les partenaires internationaux sur la stabilité du pays.
Les événements du 19 mai 2024 sont un rappel brutal des tensions politiques qui existent en RDC. Ils mettent en lumière les risques auxquels sont exposés les dirigeants actuels et l’instabilité chronique qui menace le pays, ce dont pourraient profiter des puissances étrangères, proches (Rwanda, Ouganda) ou lointaines (Chine, Russie).
Je vois aussi dans ces événements, une opportunité qui permet à Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe de consolider leur alliance, à condition qu’ils mettent en œuvre les réformes qui leur permettront de garder la confiance du peuple congolais dans leur capacité à gouverner ensemble dans l’intérêt de la nation et des populations.
Tshilumbayi Musawu Isaac Jean-Claude, à la Première Vice-Présidence
Christophe Mboso N’kodia Pwanga, à la deuxième Vice-Présidence
Jacques Djoli au poste de Rapporteur
Constant Mutamba et Dominique Munongo s’affronteront devant les Députés Nationaux pour le poste de Rapporteur Adjoint
Mme Dominique Munongo
Aux dernières minutes, pour le poste de Questeur Adjoint, Caroline Bemba recalée et remplacée par Grâce Neema du CODE, le Parti de Jean Lucien Bussa Tongba.
Tandis que pour le poste de Rapporteur Adjoint, Constant Mutamba et Dominique Munongo s’affronteront devant les Députés Nationaux.
Pour tous les autres postes, à savoir, Vital Kamerhe, à la Présidence, Tshilumbayi Musawu Isaac Jean-Claude, à la Première Vice-Présidence, Christophe Mboso N’kodia Pwanga, à la deuxième Vice-Présidence, Jacques Djoli, au poste de Rapporteur et, enfin, Chimène Polipoli Lunda, pour les fonctions de Questeur, déjà abondamment annoncés, ont été confirmés.
Ainsi donc, à la séance d’aujourd’hui, telle qu’elle a été convoquée par Percy Nzuzi Umba, la Première Secrétaire, la Nouvelle Majorité parlementaire constituée essentiellement des Députés Nationaux de l’Union Sacrée dont l’appel à l’éveil des consciences a été lancé ce week-end lors d’une séance directe à la Cité de l’Union Africaine à Mont-Ngaliema, par Félix Tshisekedi, lui-même, n’auront qu’à entériner le ticket, tout en départageant Constant Mutamba et Dominique Munongo au poste de Rapporteur Adjoint qui, en principe, a été réservé à l’Opposition.
Dans la discussion de ce jour à l'égard du secteur mondial des nouvelles énergies, les allégations américaines liées à la "surcapacité" en Chine vont nettement à l'encontre de la réalité dominante d'une sous-capacité importante dans le secteur.
Face à la demande croissante de solutions énergétiques propres pour lutter contre le changement climatique, le paysage mondial présente un besoin urgent d'accroître les capacités de production plutôt qu'un excès.
La caractérisation de la surcapacité semble être particulière si l'on considère la nature du secteur des nouvelles énergies reposant sur l'innovation et la technologie, incarnant la tendance croissante de la transition énergétique. Ce secteur se trouve encore aux stades initiaux de croissance rapide, la demande de produits de nouvelles énergies dépassant la capacité mondiale actuelle.
D'après les prévisions de l'Agence internationale de l'énergie, la demande de véhicules à énergie nouvelle devrait s'envoler pour atteindre 45 millions d'ici 2030, soit 4,5 fois plus que le volume enregistré en 2022. Une croissance exponentielle similaire est attendue pour la demande mondiale de nouvelles installations photovoltaïques. Conformément à ces prévisions, le consensus atteint lors de la 28e session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques met également l'accent sur la nécessité urgente de tripler la capacité de production des énergies renouvelables d'ici 2030.
Il convient de souligner la Déclaration de Sunnylands sur le renforcement de la coopération pour faire face à la crise climatique, dans laquelle la Chine et les Etats-Unis ont réaffirmé leur engagement de déployer des efforts collaboratifs pour lutter contre le changement climatique, notamment en soutenant le triplement de la capacité de production d'énergie renouvelable à l'échelle mondiale d'ici 2030.
Malgré les allégations de surcapacité, il existe toujours une demande mondiale constante pour les produits chinois liés aux nouvelles énergies, tels que les véhicules et les batteries, comme en témoignent les nombreux pays qui recherchent des investissements de la part d'entreprises chinoises dans ce secteur. En outre, le soutien politique important des Etats-Unis, notamment par le biais d'initiatives telles que la Loi sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act), accentue encore plus cette disparité.
La demande croissante de nouvelles énergies dans tout le monde nécessite des efforts soutenus pour augmenter la capacité de production, le développement vigoureux de la Chine dans le secteur des nouvelles énergies jouant un rôle essentiel dans ce domaine. Le développement rapide de la Chine en matière de technologie des nouvelles énergies, combinés à son engagement en faveur de la qualité des produits, lui a valu une reconnaissance croissante dans le pays et à l'étranger.
La résilience et la compétitivité des produits chinois en matière de nouvelles énergies sont dues à plusieurs facteurs, notamment des investissements précoces dans la recherche et le développement, une chaîne industrielle globale, un vaste marché national, des infrastructures en évolution rapide, et une forte concurrence sur le marché englobant des entités publiques, privées et étrangères.
Les allégations liées à la surcapacité dans le secteur des nouvelles énergies en Chine semblent être motivées par des raisons protectionnistes. Au lieu de réduire la capacité de la Chine, la communauté mondiale doit s'efforcer d'accroître les investissements et l'accès aux produits chinois, afin d'accélérer la transition énergétique.
Voici le communiqué (16/05/2024) de presse de PAK Myong Ho, Vice-Ministre des Affaires Etrangères (AE) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;
- Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une Guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
- Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont KIM JONG UN, _NDLR_ );
CHO Tae-Ryul, Ministre (janvier 2024 - , _NDLR_ ) des AE de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée - créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord - qui tire son origine, avec siège à l'étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner, _NDLR_ ), s’est rendu il y a quelques jours (13-14/05/2024, _NDLR_ ) en République Populaire de Chine (RPC).
Il est inutile d'expliquer pourquoi le Chef de la diplomate de la ROK affligée par la crise de dernier degré due tant à sa mauvaise gouvernance anti-populaire qu'à sa flagornerie et à son servilisme envers;
- les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d'Amérique; occupants du sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, _NDLR_ )
- le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne - sa plus voisine géographique - et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l'ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l'Humanité commis pendant son occupation manu militari 1905-1945 de la Corée tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d'esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., _NDLR_ ),
a opté, à la hâte, pour son voyage à létranger.
Je me fiche également de savoir avec quel courant et dans quelle direction dériverait la barque baptisée _la ROK_ perdu en océan et en danger de naufrage. Mais, je ne pourrai jamais ignorer les terribles tentatives insolente ou hautaine de CHO Tae-Ryul de ternir ou porter atteinte à la dignité et au prestige de notre RPDC. Au cours de son voyage, CHO Tae-Ryul a déclaré avec incohérence et impudence;
- _Le Nord_ (RPDC) _a défini_ (janvier 2024, _NDLR_ ) les relations Sud-Nord comme étant hostiles, dans un déni de l'unification.
- _On s'inquiète des remarques menaçantes et des diverses provocations du Nord qui aggravent les tensions dans la Péninsule coréenne et dans la Région._
Il aurait formulé une série de recommandations pour un «rôle constructif en faveur de la paix et de la stabilité dans la Péninsule coréenne et de la dénucléarisation (ou CVID ou Complete, Verifiable, Irreversible Denuclearization; un terme dépassé ou trouvable, peut-être, dans le dictionnaire de langues mortes des USA depuis 2003, _NDLR_ ) du Nord». C'est le voleur qui crie au voleur tout en dépassent les bornes.
Tout le monde entier sait qui est le coupable de la transformation de la Péninsule coréenne et de l’Asie du Nord-Est en pire point chaud du monde et en poudrière si dangereuse, en organisant les exercices de guerre de nature agressive presque tous les jours tout au long de l'année en alléguant la «fin du Régime» en RPDC.
La cause et la source profondes de la situation toujours aggravante dans la Péninsule coréenne ne résident que dans les USA et dans la ROK qui est aux ordres des derniers. Même si la ROK tente désespérément de se déguiser en victime en se creusant la tête et en jouant sur les mots pour dénaturer les faits, personne ne s’y laissera plus prendre et les relations RPDC-ROK ne pourront jamais être inversées.
Le fait que ce diplomate se soit rendu dans la Capitale (Beijing) de la RPC et ait parlé d’un certain «rôle constructif» en sa qualité de serviteur impliqué de manière proactive dans l'alliance militaire anti-chinoise dirigée par les USA de plus en plus proche de la sphère sécuritaire de la RPC est une indication claire de l’impudence et de l’impudeur de la ROK. Cette fois-ci, CHO Tae-Ryul a fait preuve d’audace en déclarant qu'il était;
- _opposé au jeu à somme nulle_ (ou zero-sum game)
- _disposé à ouvrir conjointement une nouvelle phase de coopération ROK-RPC_ .
Alors que la ROK est fortement ou entièrement ligotée au carrosse baptisé _la Nouvelle Guerre Froide_ conduit imprudemment par le cocher de guerre appelé les USA, je ne peux que me demander si elle a le courage de dénouer l’attache par elle-même et d’en sauter. La récente visite du Ministre des AE de la ROK a clairement montré que;
- impossibles sont la coexistence et la symbiose d'avec les clans atteints de maladies chroniques ou invétérées telles que les sentiments d’hostilités et de rejet sui generis à l’égard de la RPDC
- la situation de la Région ne peut jamais retrouver sa stabilité tant qu’il y a les USA qui sont la source maléfique et la cause profonde de l'instabilité dans la Péninsule coréenne et, aussi, la ROK qui se prosterne aux pieds des derniers.
La souveraineté s'avère les droits de l’Etat qui constituent évidemment la vie précieuse. Dans le contexte actuel, préserver notre droit à la sécurité devient une question primordiale dans la défense et l'exercice de notre souveraineté.
Peu importe avec quel sérieux les diplomates de la ROK confient à quiconque un rôle constructif à travers sa diplomatie démodée de sollicitation et de mendicité des hommes politiques du 20ème siècle, nous n'abandonnerons jamais les droits à notre souveraineté cruciale pour notre vie.
Les politiciens de la ROK devraient d’abord et immédiatement, au lieu d’inciter la haine et la désillusion de la Communauté internationale avec leur conduite mesquine et dégoûtante, cesser leurs actes imprudents consistant à pousser la situation de la Région vers une catastrophe en collusion avec les forces étrangères.
Ce n’est qu’une question de temps pour que coule la barque naufragée _YOON Suk-Yeol_ (13ème Président 2022-? de la ROK, _NDLR_ ) qui ne tient qu’à un seul fil avec l'extrême précarité.
L’université catholique du Congo a organisé, samedi 18 mai, une conférence débat via son département d’agrégation, qui a réuni des professeurs, des étudiants, des assistants agréés et bien d’autres participants. C’était sous le thème : « Restitution du pacte éducatif africain du pape François ». Le Professeur Gilbert Musampa, prenant la parole, a exposé sur le sous thème « l’école catholique et l’éducation à la paix ». Dans son allocution, le conférencier a loué l’apport de l’institut Marie auxiliatrice de Bukavu, une école catholique qui milite pour la préservation de la paix et qui a même développé un programme spécifique en vue de former des jeunes à être de bâtisseurs de la pacification dans leurs communautés. Ce programme est basé sur la sensibilisation à la paix, la résolution pacifique de conflits par le dialogue et le respect mutuel, le droit de l’homme, le dialogue interculturel, le service communautaire.
Définition de l’éducation à la paix et son importance
D’entrée de jeu, le Pr Gilbert, a rappelé cette thématique : « institution chrétienne placée sous l’autorité des évêques ». Par la suite, il a défini l’éduction à la paix comme étant « le fait de vivre ensemble harmonieux mais dans la diversité ».
S’agissant de son importance, le paneliste a souligné que « la paix une vertu qui nous permet d’être et de vivre en paix avec notre prochain, une valeur qui n’est malheureusement pas considérée, au contraire elle est manipulée pour l’intérêt personnel. Pour comprendre l’importance de la paix, imaginez les zones où les atrocités se font, vous comprendrez l’importance de la paix », a-t-il fait remarquer.
«Nous sommes confrontés à des difficultés, notre société est marquée par des intérêts nationaux et internationaux. Elle est caractérisée par la misère, la faim, le trafic d’armes, les chômages, l’influence de groupes armés sur les jeunes. A cela s’ajoute la dévastation de la nature dans lac Albert, Kivu, les attaques contre les gardes dans le parc de Virunga. Cependant, la résolution de ces tous ces maux requiert un Chef d’Etat autoritaire, qui a une forte volonté de dialogue, une collaboration à tous les niveaux et mettre de côté l’individualisme. Insiste-t-il
Les modèles de références pour la mise en œuvre efficace
Il existe deux types de modèles pour favoriser l’éducation à la paix :
Primo modèle indirect ; la particularité de ce modèle ce qu’il se concentre sur les principes généraux (l’éducation à la construction de la paix, l’apprentissage de la prévention) l’inculcation de ces principes doivent se faire dès le plus jeunes dans les écoles pour prépare le gens à régler les conflits de manière pacifique, par le dialogue, la confrontation sans utiliser d’armes, il prépare des gens à vivre ensemble. Secundo modèle direct ; il prend en compte la réalité d’un conflit, il s’inspire d’incident réels et tente ensuite de trouver une solution durable et de mettre en œuvre la culture de la paix. Les deux modèles sont complémentaires, nul ne peut exclure l’autre mais peuvent se compléter en fonction des conditions.
Les rôles des écoles catholiques
Notre pays est marqué par de conflits multiples qui ne cessent de naitre, dans ce contexte difficile les écoles catholiques doivent transmettre la formation sur la paix et sur la non-violence au nouvelle génération. Malgré les défis et les difficultés humanitaire, d’insécurité et de corruption, Ils existent beaucoup d’écoles catholiques en RDC qui se sont engagé dans l’éducation à la paix, à l’occurrence : institut supérieur pédagogique catholique, l’institut Marie auxiliatrice de Bukavu etc.
Pour conclure, l’orateur a rappelé que ses écoles continuent à être une lueur d’espoir pour la préservation de la paix, surtout dans des régions où la population est prise en étau par des conflits sécuritaires. En outre l’activité a été aussi marquée par une série des questions-réponses et un repas d’ensemble à la fin.
L'Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Écrite (ACOFEPE) et le quotidien La Référence Plus ont lancé un appel à tous les professionnels des médias pour se joindre à eux à un rassemblement prévu lundi 20 mai à la Place des Évolués. Il s’agit de rendre hommage aux 22 journalistes assassinés en République Démocratique du Congo dans l’exercice de leur métier.
Ces valeureux professionnels des médias ont perdu la vie en défendant la vérité et en exerçant leur noble métier de journaliste. Ils sont tombés sur le champ de bataille, plume à la main. Ils ont continué à se battre pour la liberté d'expression jusqu'à leur dernier souffle.
L'objectif de ce rassemblement est également de plaider pour la reconnaissance nationale de ces journalistes assassinés. Les organisateurs souhaitent que l'État congolais érige un monument en leur mémoire afin de perpétuer leur héritage. Ils ont, en outre, rappelé l'importance de la liberté de la presse. Parmi les journalistes tombés figurent des noms tels que Bruno Koko, Franck Ngyke Kangundu, Bapuwa Mwamba, Serge Maheshe, Pascal Kabungulu, Patient Chebeya, Didace Namujimbo, Pierre Kabeya, et bien d'autres.
Ce rassemblement sera un message fort de solidarité et de soutien envers tous les journalistes qui risquent leur vie chaque jour pour informer le public et défendre la démocratie. Il est essentiel que la communauté des médias se mobilise pour honorer la mémoire de ces héros et pour exiger justice pour les crimes commis à leur encontre.
Oui, il est temps pour le peuple congolais, au-delà de nos indifférences et sphères, tant politiques que sociologiques, de constitutionnaliser la fin de la belligérance. Etat de fait plaçant le Pays, en incapacité de stabiliser le champ politique qui tangue, à la suite des positionnements inopportuns et de survivre aux guerres cycliques dans l’Est.
Notre Congo frappée des fléaux d’inégalités entre entités décentralisées, a grandement besoin :
- D’un régime semi-présidentiel ;
- D’une gouvernance locale effective. Certes, une opinion considère excessif un changement de constitution.
A cette dernière nous rappelons que le sens de direction est cet atout qui transformera le Congo Démocratique, en République de gouvernance.
Certes, l’émotion nous submergeant, notre attachement à la constitution de 2006 nous est si forte.
Mais, reproche-t-on à la Constitution de 2006 ?
En tant que loi fondamentale rédigée en période de fragmentation du Pays, elle est une constitution de belligérance.
Au-devant d’une telle évidence, l’impératif d’un nouveau pacte politique impliquant la redéfinition de la forme, de partage et de l’exercice du pouvoir s’impose. Celui-ci en conformité avec nos idéaux et aspirations sacrées dans l’espace historique, ethnique de notre devenir national. Une quête ardue que nul ne pourrait se payer le luxe d’abandonner. Au risque de consolider l’état insalubre des institutions. Pour y parvenir, les congolais(es) devraient se regarder dans les yeux. Non pas en tant que complices du désastre national, mais plutôt, en artisans du bien être des générations futures.
Aux uns et aux autres, d’acter que ce bien être n’est pas une grâce exclusive en faveur des Etats voisins, agresseurs soient-ils.
Et, au-devant des quels, suite à notre manque d’estime, nous sen sommes réduits au rang de vassaux. Il nous faut de l’audace, sinon, la désarticulation des institutions d’une ampleur inédite, doublée de la dynamique insurrectionnelle réactionnaire et non idéologique, contraindront le Congo à rendre gorge.
Et puisqu’il s’agit des questions sociétales, nous sommes invités, sans atermoiement funeste, à congédier la constitution de 2006.
J’appelle de tous mes vœux, à l’avènement d’un système institutionnel efficace, tant dans son horizontalité que verticalité.
Celui-ci favorisant un maillage dense, entre pouvoir et contre-pouvoir. Cette norme nouvelle en capacité d’opérer un éclatement des centres de pouvoir, provoquant ainsi, une décongestion de l’espace politique national, est le FEDERALISME.
En tant que norme fondamentale, réponse appropriée aux convulsions politiques, fissures sociologiques, à la déconfiture sanitaire tout autant que sécuritaire, elle nous libèrera de cette contrainte d’organiser plus de 5 scrutins au cours d’une année électorale en :
- Instaurant des élections de mi-mandat ;
- instaurant le suffrage indirect pour l’élection du Président de la République ;
- Modifiant la durée du mandat Présidentiel qui passera de 5 à 6 ans ;
De fait, des nouvelles combinaisons s’imposeraient.
La première, est celle des législatives d’avec l’élection du Président de la République.
La seconde portant sur les élections provinciales, urbaines et locales.
Ainsi donc, nous aurons un cycle électoral articulait comme suit :
- 2030 : Elections provinciales, urbaines et locales ;
- 2032 : Election Des élus nationaux et du Président de la République. La nouvelle norme fondamentale exclura toute possibilité de :
- Destitution du Président de la République par le parlement ; - Dissolution de l’Assemblée Nationale par le Président de la République ;
- aliénation du territoire national ;
Elle procédera à la réduction du nombre d’élus, passant pour ce qui est de l’Assemblée nationale de 500 à 250 députés. S’agissant du Président de la République, elle définira le corps électoral, constitué des :
- Elus Nationaux et provinciaux ;
- Des Gouverneurs de provinces ;
- Des Maires et bourgmestres ;
- Chefs coutumiers.
Serait-ce suffisant pour redresser ce Pays ?
Bien évidemment, non. Les congolais ont conscience que le fédéralisme n’a de pertinence que si les acteurs politiques recouvrent une certaine éthique.
Et lorsqu’on observe ce qui est fait de la loi sur la décentralisation, on ne peut que partager, dans une certaine mesure, la méfiance des sceptiques.
Toutefois, cela est une certitude, cette loi fondamentale post Sun city ne saurait qu’être le symbole de la renaissance de nos entités territoriales décentralisées.
La République populaire d’Algérie a annoncé, le week-end dernier, par le truchement de son Ambassadeur en poste à Kinshasa, son engagement à fournir une assistance humanitaire de 123,5 tonnes aux populations victimes de la crise sécuritaire qui secoue la partie Est de la RD. Congo, suite à l’agression imposée par le Rwanda. A en croire l’Ambassadeur algérien en poste à Kinshasa, qui a dévoilé la nouvelle à l’Agence Congolaise de Presse, cette assistance sera constituée notamment, des biens de première nécessité et sa livraison va s’effectuer en trois rotations : samedi 18 mai, mercredi 22 et samedi 25 mai 2024.
Selon Mohamed Yazid Bouzid, son pays a prévu d’envoyer du riz, de l’huile de table, du sucre, du sel, des pâtes alimentaires, des biscuits, du fromage, du poisson en conserve, du thon, du lait en poudre pour nourrissons, des vêtements pour filles et garçons, des cartables avec fournitures scolaires, des tentes, des fauteuils roulants, des médicaments et des produits pharmaceutiques.
Sur la même note, il a indiqué que cette initiative a été prise pour atténuer l’ampleur des dégâts dont est victime la population de l’Est du Congo. Le Diplomate Mohamed Yazid a exprimé, par ailleurs, dans la même correspondance adressée à l’ACP, l’engagement ferme de l’Algérie à favoriser le retour d’une paix durable dans l’Est de la RD. Congo et de combattre toute forme de menace pouvant, d’une manière ou d’une autre, porter atteinte à la souveraineté entre Etats.
Pour lui, en effet, le meilleur remède pour cette crise humanitaire reste une solution intégrée qui s’appuiera sur la cessation des hostilités, la démobilisation de ces groupes selon la ligne tracée par les dirigeants congolais. « Je souhaite, dans ce cadre, réitérer l’attachement de l’Algérie à la souveraineté, la stabilité et l’intégrité territoriale de la RDC, et ma disponibilité à poursuivre son plaidoyer dans les forums régionaux et internationaux en faveur de retour définitif de la paix dans la région des Grands Lacs, conformément aux intérêts supérieurs des pays et peuples de cette région », a-t-il notifié.