Sa Grande Majesté Joseph Mukungubila a accordé ce vendredi 18 juillet 2025 à 18h00 une audience à Mubeka, la Mutuelle des Bena Kabalo.
A l’issue de la rencontre qui a duré une bonne heure, LA MUBEKA, par la voix de son Président National Nshimba Kaye Blaise a déclaré solennellement que l’organisation qu’il préside et lui-même sont à 100 % derrière leur fils véritable, de père et de mère Mukungubila Mutombo Joseph, à qui ils sont venus présenter les civilités, lui « le baba wa Katanga » qu’ils considèrent comme le seul leader qui leur reste et en qui reposent tous les espoirs des congolais en général et des katangais en particulier !
La joie de retrouver un véritable fils du terroir n’était pas feinte ! Ils se sont engagés à l’accompagner dans tous ses projets visant le développement du territoire et du pays.
Une mission de contrôle de l’Agence Congolaise des Grands Travaux (ACGT) a procédé, du 13 au 16 juillet 2025, à la réception technique du tronçon Kinzau-Songololo sur la Route Nationale n°1 (RN1). Ce segment modernisé, long de 35,586 km, est situé entre les points kilométriques (PK) 206+914 et 244+500.
Cette étape cruciale, qui précède la réception provisoire globale du projet, a consisté en trois vérifications techniques majeures :
Une inspection visuelle détaillée pour identifier les éventuels défauts apparents de la chaussée.
L'auscultation à la poutre Benkelman, une méthode permettant de mesurer la déflexion et la capacité portante de la route sous une charge normalisée.
La réalisation de carottages ponctuels afin de contrôler les épaisseurs réelles des différentes couches structurelles de la chaussée.
Au terme de ces inspections, un procès-verbal de réception technique a été signé à Matadi, attestant de la conformité des travaux avec le cahier des charges.
Par la même occasion, une réunion de chantier a marqué le lancement officiel des travaux de modernisation d'un nouveau segment de la RN1. Ce chantier couvrira les 38,258 km séparant Dia Vanga (PK 280+930) de Matadi (PK 319+188). La durée d’exécution de ces travaux est fixée à 24 mois.
L’ACGT réaffirme à travers ces actions son engagement à garantir un suivi rigoureux et la qualité durable des infrastructures routières en République Démocratique du Congo.
Enfin, les autorités lancent un appel au civisme auprès des usagers, les exhortant à préserver cet investissement public. Il est rappelé que certaines pratiques, comme les vidanges d'huile ou les réparations mécaniques à même la chaussée, dégradent prématurément le revêtement en bitume et doivent être évitées.
Le Rêve Congolais et le Plan National pour la Promotion de l'Entrepreneuriat des Jeunes, deux joyaux littéraires de Don Israël Mbuyi, Ecrivain réputé, Jeune ambitieux et Acteur du changement, ont été portés sur les fonts baptismaux, vendredi 18 juillet 2025.
La cérémonie a connu la participation de Jean Marie Kanda Conseiller du chef de l’Etat en matière de mines et énergie, de la porte-parole du chef de l’Etat Tina Salama, du directeur général de l’ARSP, des personnalités du monde politique et scientifique du pays et de la Jeunesse de la RDC.
Le rêve Congolais et le Plan National pour la Promotion de l'Entrepreneuriat des Jeunes
Dans ces ouvrages, l’auteur rencontre les aspirations des entrepreneurs congolais, tout en proposant des solutions concrètes pour faire face aux défis structurels de l'entrepreneuriat dans notre pays.
À travers sa plume, Don Israël Mbuyi aspire à éveiller les consciences et à encourager un changement positif qui profitera à l'ensemble de la société. Face à une réalité où certains entrepreneurs payent, peinent sous le poids de l'endettement ou portent de pratiques douteuses, l’auteur se démarque par son éthique de travail et son intégrité. Il défend l'idée que le véritable entrepreneur doit agir avec transparence et responsabilité, posant ainsi les bases d'un environnement d'affaires sain et durable en République démocratique du Congo.
Pour la porte-parole du chef de l’Etat, Tina Salama, qui a préfacé cet ouvrage, rejoint l’appel du chef de l’Etat, celui d'entreprendre, de prendre son sort en main pour ne pas subir la vie.
‘’Réussir, ou ce que l'on peut entendre par réussir, dans la vie, c'est une chose. Cependant, montrer aux autres le chemin, le chemin à suivre pour réussir, en acceptant, d'être comme cette voix audible qui oriente les aveugles dans une vaste mine rocailleuse est toute la noblesse que révé cet ouvrage’’, a-t-elle souligné.
Avant de poursuivre : ‘’Ces livres rentrent dans la logique du président Félix-Antoine Tshisekedi, qui ne ménage, vous le savez, aucun effort pour aider les jeunes à réaliser leur rêve. Hier, faute de pouvoir accéder à la fonction publique et aux entreprises publiques, la jeunesse était condamnée, on va le dire, à l'oisiveté et à vivre le sort fatal du destin, celui de vivre sans se réaliser. Ainsi, notre compatriote a saisi l'appel lancé à la jeunesse par le Président de la République, celui d'entreprendre, de prendre son sort en main pour ne pas subir la vie’’.
A en croire Tina Salama, ce livre est porteur d'innovations et de solutions en termes de nouvelles idées, mais également d'alternatives. L’auteur dans ces deux ouvrages prend l’exemple de sa propre vie, son expérience pour tracer une voix à suivre pour la jeunesse et les générations futures afin que l’entrepreneuriat sois un moteur du succès.
‘’Il est possible de naître, grandir, étudier, travailler, réussir dans ce pays sans toucher aux interdits. J'appelle la jeunesse à travailler durement, à croire en leur propre rêve, car le Congo, c'est le magnifique pays dans lequel une personne peut entreprendre et réussir. Je me suis servi de mon expérience, ce que j'ai vécu, ce que j'ai vu, ce que j'ai enduré sur mon chemin pour proposer un plan, aider la jeunesse à comprendre ce qu'elle doit nécessairement faire pour réussir à réaliser le rêve, mais aussi interpeller le gouvernement sur ce qui doit être fait jusqu'ici qui n'est pas encore fait’’, a déclaré Don Israël Mbuyi.
Dans cette optique, l’auteur salue les efforts initiés par le président de la République pour la jeunesse, notamment la création des structures pour aider les jeunes.
‘’Il y a des avancées qui ont été enregistrées, il y a, il y a des structures qui ont été créées par le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, mais jusqu'ici, certaines structures n'arrivent pas à émerger faute d'animateurs assez sérieux. C'est ainsi que j'interpelle le gouvernement en son entièreté à revoir certaines lois, en l'occurrence la loi sur la sous-traitance qui est faible à ce jour et, mais aussi à comprendre qu'il faut nécessairement que la loi sur le continu local qui s'apprête à être envoyée à l'Assemblée nationale doit être un consensus et prendre en compte les réalités de terrain, prendre en compte la voix de ceux qui travaillent sur le terrain et qui maîtrisent le terrain’’, a-t-il déclaré.
Don Israël Mbuyi appelle la population, plus particulièrement les jeunes à s’approprier ses ouvrages pour préparer leur avenir et se procurer la connaissance.
‘’De la première page jusqu'à la dernière, je pense que les gens doivent lire, ils doivent comprendre le parcours. Par exemple, en parlant du rêve congolais, je commence par mon parcours, mon histoire, d'où je viens, où je suis aujourd'hui et où je suis en train de partir. Où je suis en train de partir parce qu'il y a des embûches, c'est alors que j'ai écrit le plan pour aider les jeunes à comprendre comment éviter les embûches. Peut-être qu'ils n'aient pas souffert pendant plusieurs années comme nous-mêmes, nous avons pu souffrir et à réaliser leur propre rêve. Mes livres ne sont pas trop volumineux, mais trop consistants’’, note cet enseignant d’université.
Publiés aux éditions « Alibooks », Le Rêve Congolais et le Plan National pour la Promotion de l'Entrepreneuriat des Jeunes sont disponibles à Kinshasa, et dans d’autres provinces du pays.
Don Israël Mbuyi est un acteur majeur du paysage entrepreneurial congolais. Un des auteurs dont la vision, les innovations, l'engagement communautaire font écho au défi du développement en République démocratique du Congo.
Licencié en gestion de ressources humaines à l'université du CEPROMAD. Il est le fondateur de Glorys Multiservices, une entreprise qui s'illustre par la fourniture de services de qualité, notamment dans les domaines de la soudure plastique et de la logistique. Il est également Président du Front commun pour la Jeunesse.
Suite à la publication relayant le communiqué du Ministère Provincial des Transports en date du 16 juillet 2025, interdisant le fonctionnement des entreprises congolaises offrant le service dit Véhicule de Transport avec Chauffeur (VTC), la société CarNayo, citée parmi les concernées, souhaite exercer son droit de réponse afin d’apporter les clarifications nécessaires et rétablir les faits.
1.Une entreprise légalement constituée et respectueuse du cadre réglementaire en vigueur
CarNayo est une plateforme numérique de mise en relation entre les usagers et les exploitants de véhicules avec chauffeur. Elle n’est ni propriétaire de véhicules, ni employeur de chauffeurs. Son rôle est strictement limité à l’intermédiation : elle met en relation, via son application, un client et un exploitant (propriétaire d’un véhicule avec chauffeur).
Il est important de préciser que CarNayo n’est pas une société VTC au sens juridique du terme. Elle n’exploite pas elle-même de services de transport, mais fournit uniquement un outil technologique facilitant l’accès à une offre de mobilité sécurisée et encadrée.
2. Un vide juridique persistant autour des VTC
A ce jour, le cadre légal et réglementaire régissant l’activité des VTC en RDC demeure flou et embryonnaire. L’arrêté ministériel n° SC/057/BVG/MIN/MTJS/FINECO&IÈME/PLS/2013 du 26 mars 2013, qui semble avoir servi de fondement à l’interdiction évoquée, concerne essentiellement :
les propriétaires de véhicules (autorisations de transport, certificat de contrôle technique),
les chauffeurs,
les structures techniques comme garages, auto-écoles, organismes de contrôle.
En aucun cas cet arrêté ne mentionne les plateformes numériques d’intermédiation comme CarNayo, ni ne leur impose une obligation d’agrément ou de redevance particulière.
3. Des taxes mal orientées
Les taxes et obligations mentionnées dans le communiqué ministériel semblent être adressées à tort à CarNayo, alors qu’elles relèvent entièrement de la responsabilité des propriétaires de véhicules et des chauffeurs affiliés, lesquels sont indépendants. Cette confusion porte atteinte à l’image de notre entreprise qui, depuis sa création, œuvre à offrir des solutions modernes, accessibles et conformes à l’évolution du secteur des transports.
4. Appel au dialogue constructif
CarNayo plaide pour une séance d’harmonisation entre les autorités compétentes et les entreprises concernées afin d’éclaircir les responsabilités, combler le vide réglementaire, et construire un cadre légal adapté à l’innovation numérique dans le domaine du transport urbain.
C’est pourquoi il nous semble impératif qu’une séance d’harmonisation soit convoquée, afin de lever tout quiproquo et de clarifier, de manière concertée, les obligations réelles de chaque acteur impliqué dans le secteur des VTC.
Le célèbre chanteur Koffi Olomide de la République démocratique du Congo a été programmé pour une production scénique qui va marquer le dernier jour de la première (1ère) édition du festival mondial de la musique et tourisme (FMMT) vendredi à l’esplanade du Palais du Peuple, à Kinshasa, a annoncé jeudi l’artiste.
« Ça va frapper sérieusement fort le 18 juillet à l’esplanade du Palais du Peuple. J’ai arrêté mes séjours en Europe pour venir jouer au Festival mondial de la musique. Soyez là pour le grand rendez-vous de la clôture ce vendredi. Je vous attends les ‘‘Koffilphiles’’, ‘‘Koffillettes’’, les Cyndi-love (fanatiques de l’artiste) et vous les ‘‘gaulois’’ au Palais du peuple. Je suis déjà dans l’avion avec la ‘‘deuxième dame’’ de la république, Cyndi-le-cœur) pour Kinshasa », a déclaré Koffi Olomidé.
« Je vous annonce également le nouveau single ‘‘Poupye’’ de Cindy Le Coeur Olomide, en featuring avec le légendaire Koffi Olomide qui sera disponible ce 19 juillet sur toutes les plateformes de streaming. L’artiste intemporel de la musique africaine s’associe à Cindy Le Coeur pour créer un titre explosif qui promet de mettre le feu à cet été ! Préparez-vous à découvrir "Poupye" et à danser sur les rythmes endiablés de ce duo », a-t-il ajouté.
Considéré comme une icône de la musique africaine en général et de la Rumba congolaise en particulier, Koffi Olomide né le 13 juillet 1956, vient de célébrer ses 69 ans d'âge, cette année.
Concernant le festival mondial de la musique et du tourisme, il faut noter que le premier spectacle inaugural a été livré à l'Esplanade du Palais du Peuple, avec la prestation du chanteur Faustin Nsimba mieux connu sous le nom de Fally Ipupa, devant de milliers de spectateurs kinois venus à cette festivité. « Je suis heureux de prester à cette première journée du Festival mondial. Je pense que vous êtes aussi contents pour cette initiative dont l'un des objectifs est de réunir les nations autour de ce festival », a déclaré Fally Ipupa sur la scène du festival.
Bien avant le spectacle des musiciens, le Président de la République, Félix Tshisekedi, avait procédé au lancement officiel de la première édition du festival, un événement inédit destiné à promouvoir la richesse culturelle, artistique et touristique de la RDC sur la scène internationale. La cérémonie s’était déroulée en présence de plusieurs membres du gouvernement, des représentants du corps diplomatique, des artistes nationaux et internationaux, ainsi que des opérateurs du secteur touristique.
Le Secrétariat Général de l’Urbanisme et Habitat, situé dans la commune de la Gombe, a servi de cadre, le mercredi 16 juillet 2025, à l’organisation d’une cérémonie de remise officielle de matériels au Conseil Local pour la Sécurité de Proximité (CLSP) de la commune de Kimbanseke. Ce projet de police de sécurité de proximité est piloté par la JICA, soutenu par l’ONU Habitat, ainsi que le Secrétariat exécutif de ladite commune.
‘’Dans le cadre de la professionnalisation de la police de proximité et la paix, la JICA a formé trois formes de policiers dans la commune de Kimbanseke et a construit 2 commissariats et 4 sous-commissariats. Pour le moment, c’est le CLSP qui doit servir une bonne collaboration entre la police de proximité et la population à travers ce projet, qui vise à transformer les déchets plastiques en pavé’’, a indiqué le représentant de la JICA, Mushoseke Kazuki.
Soutenant avec ferveur l’intervention du patron de la JICA, Claude Ngonsi, représentant de l’ONU habitat, a, dans sa prise de parole, fait savoir : ‘’ le projet a été validé par les parties prenantes et par la Police Nationale Congolais. Nous avons élaboré un guide d’entretien de bien meuble et immeuble qui sera validé dans les prochains jours. Pour opérationnaliser le CLSP, il est question d’associer les chefs de quartiers dans la lutte contre l’insalubrité qui constitue en même temps un facteur d’insécurité. Ces matériels remis aujourd’hui vont donner un signal fort du développement dans le quartier Kisantu de la commune de Kimbanseke’’.
‘’Ce projet vient à soutenir la vision du Gouverneur de la ville de Kinshasa qui milite pour l’assainissement de la ville. Bien que débuté dans le quartier Kisantu dans la commune de Kimbanseke, il va bientôt s’étendre dans la ville de Kinshasa pour soutenir la vision de notre Gouverneur’’, a-t-il renchéri.
Pour sa part, le Secrétaire Exécutif pour la sécurité de proximité de la commune de Kimbanseke, Clément Rocky Lunungu, s’est dit satisfait de ce projet qui vise l’assainissement de sa commune. ‘’Depuis 2023 que ce projet a été conçu, aujourd’hui, je suis l’homme le plus heureux de voir sa matérialisation, qui non seulement vise à assainir notre municipalité, mais aussi, vise à créer l’emploi aux jeunes. Nous allons veiller à ce qu’il aille de l’avant. Ces matériels remis serviront pour un travail efficace’’, a-t-il conclu. Cette cérémonie s’est soldée dans une ambiance conviviale autour d’un cocktail.
Mardi 15 juillet 2025, la Société nationale d’électricité (SNEL), sous le leadership de son Directeur général, Fabrice Lusinde, a franchi une étape importante dans le souci d’améliorer la desserte électrique dans la ville de Kinshasa par l’installation d’un transformateur pimpant neuf 30/20 kv – 15 MVA au poste de Liminga.
Une initiative stratégique qui s’inscrit dans le vaste programme de modernisation du réseau électrique national, visant à garantir une fourniture stable et fiable d’énergie aux habitants de la capitale.
Soulager la Funa, électrifier Kinshasa
Concrètement, cette nouvelle infrastructure permettra de désengorger le poste de la Funa, longtemps surchargé, et d’améliorer la qualité de service dans les communes de Masina et Limete, en particulier dans le quartier Kingabwa. Ces zones étaient souvent victimes de délestages répétés, dus à une forte pression sur les équipements existants.
L’opération a été pilotée par le Département de distribution de Kinshasa (DDK), dirigé par l’ingénieur Denis Tukuzu, en collaboration étroite avec la Direction d’exploitation et maintenance (DEM) de Floribert Masua. Ensemble, les équipes techniques ont œuvré sans relâche pour mettre en service ce transformateur d’une capacité de 15 MVA, capable de rediriger une partie des charges vers Liminga.
Une société engagée dans le service public
A travers ce geste concret, la SNEL confirme son engagement à répondre aux attentes pressantes de la population en matière d’énergie. Il ne s’agit pas d’un acte isolé, mais d’une action intégrée dans la vision globale de l’électrification complète de Kinshasa, telle que définie par le DDK.
Denis Tukuzu invite d’ailleurs les abonnés à protéger ces équipements vitaux, à éviter toute manipulation par des personnes non autorisées, et surtout à s’acquitter régulièrement de leurs factures, afin de permettre à la SNEL de poursuivre ses investissements pour un réseau toujours plus performant.
Un prolongement de la vision présidentielle
Pour le DG Fabrice Lusinde, cette action répond directement à la vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi, qui considère l’électricité comme un levier essentiel du développement industriel et économique de la RDC. Il s’agit de faire de l’énergie un facteur de progrès, d’attractivité économique, de paix sociale et de souveraineté.
Un message d’espoir pour Kinshasa
L’installation du transformateur de Liminga est bien plus qu’une opération technique. Elle est le symbole d’une SNEL tournée vers l’avenir, consciente de ses responsabilités et engagée dans une dynamique de transformation profonde.
Par cette réalisation, la SNEL montre la voie en RDC, celle d’une société publique qui investit, innove et sert. Et pour les habitants de Masina et Kingabwa, la lumière est de retour durablement.
Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, a procédé hier, mercredi 16 juillet, au Centre culturel des Pays d’Afrique Centrale, situé en face du Palais du peuple, au lancement officiel de la première édition du Festival Mondial de la Musique et du Tourisme, qui se tient à Kinshasa jusqu’au 18 juillet 2025. Dans son allocution solennelle, le Chef de l’Etat a souligné l’importance de cet évènement majeur qui, selon ses convictions exprimées, trace de belles perspectives en positionnant la RDC comme un acteur incontournable de la scène culturelle et mondiale.
La cérémonie d’inauguration de ce festival s’est déroulée en présence de plusieurs membres du gouvernement, des représentants du corps diplomatique, des artistes nationaux et internationaux, ainsi que des opérateurs du secteur touristique.
‘’Ce festival incarne pleinement notre volonté de mobiliser les forces culturelles et créatives de la Nation pour raffermir l’unité nationale et projeter, avec fierté et ambition, une image renouvelée, positive et inspirante de la RDC sur la scène internationale’’, a déclaré le Président Tshisekedi. Et de poursuivre : ‘’Dotée d’une richesse culturelle, artistique et naturelle exceptionnelle, la RDC s’affirme désormais comme un acteur incontournable de la scène culturelle africaine et mondiale’’.
Pour le Chef de l’Etat, ce festival ambitionne également d’inscrire la RDC parmi les grandes destinations culturelles du continent africain et du monde. Il servira de plateforme d’échange entre artistes internationaux et locaux, contribuant au rayonnement de la musique congolaise, patrimoine immatériel de l’humanité.
‘’En unissant les rythmes du monde et les trésors de nos territoires, ce rendez-vous illustre l’ambition de bâtir des ponts entre les peuples, par l’art, l’échange et la découverte’’, a-t-il indiqué.
Organisé par le ministère de Culture et des Arts en partenariat avec celui du Tourisme, sous le thème « la route de la rumba pour la paix en RDC », ce festival va se tenir pendant trois jours, soit du 16 au 18 juillet 2025 et mettra en lumière la diversité musicale congolaise, du soukous aux musiques traditionnelles tout en offrant une vitrine aux sites touristiques majeurs du pays.
Par cette initiative, le Gouvernement entend non seulement stimuler l’économie locale, en particulier les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration et du transport, mais aussi créer des opportunités pour la jeunesse congolaise active dans les domaines de la culture, de l’art et de l’entrepreneuriat touristique.
Cette première journée s’est achevée par une série de prestations musicales vibrantes, célébrant l’unité dans la diversité, et marquant le début d’un rendez-vous culturel que le Congo espère pérenniser ainsi que la visite d'exposition des produits et services dans le cadre du Tourisme.
Le lundi 14 juillet 2025, le gouvernement de la République Démocratique du Congo, par l'intermédiaire du ministère de l'Education nationale et de la Nouvelle Citoyenneté, a officialisé la décision de maintenir les élèves enceintes dans le système scolaire. Cette mesure vise à leur permettre de poursuivre et d'achever leur cursus sans interruption, mettant fin à une pratique d'exclusion de longue date.
Auparavant, une élève qui tombait enceinte était systématiquement contrainte d'abandonner ses études, une politique qui a contribué à un taux de déscolarisation élevé chez les jeunes filles en RDC.
En réaction, l'organisation non gouvernementale Foyer de Développement pour l'Autopromotion des Pygmées et Indigènes Défavorisés (FDAPID) a publié une note ce mardi 15 juillet 2025. Tout en reconnaissant le potentiel positif de la mesure, l'ONG appelle à une "conceptualisation" plus approfondie pour prévenir d'éventuels effets pervers dans les établissements scolaires et garantir la protection des droits des jeunes filles concernées. Dans une note adressée au gouvernement et à ses partenaires, l'organisation exprime sa crainte que cette décision, si elle n'est pas correctement encadrée, n'entraîne des conséquences négatives.
Le FDAPID se dit préoccupé par les vifs débats sur les réseaux sociaux suscités par la note circulaire n° MINEDU-NC/SG/80/DEVC/90/1245/2025 du 14 juillet 2025. L'ONG reconnaît que la décision est à première vue « salvatrice », car elle promeut le droit à l'éducation garanti par l'article 43 de la Constitution de la RDC, qui stipule : « Toute personne a droit à l'éducation scolaire. Il y est pourvu par l'enseignement national ».
Cependant, l'organisation met en garde contre des risques importants. « Nos larmes de tristesse coulent après avoir identifié les dégâts collatéraux camouflés par la décision prise sans une analyse critique et objective en amont », alerte le FDAPID. L'ONG craint que la mesure, en l'état, n'ouvre « grandement la porte à des conséquences sur plusieurs familles », notamment un possible accroissement du taux de grossesses non désirées, les jeunes filles n'ayant « plus rien à perdre » et les auteurs pouvant se sentir moins responsabilisés.
L'organisation s'inquiète également d'une potentielle banalisation de ce qu'elle qualifie de "délinquance juvénile", qui pourrait causer une détresse considérable aux parents.
Fort de son expérience dans le secteur de l'éducation et de sa connaissance des problématiques de déperdition scolaire, le FDAPID, qui promeut les principes d'inclusion, formule les recommandations suivantes :
- Suspendre l'application de la note circulaire pour mener une étude approfondie afin d'identifier les causes profondes des grossesses en milieu scolaire et d'élaborer une stratégie adaptée.
- Renforcer les sanctions contre les auteurs de ces grossesses dans une optique de justice réparatrice.
- Adapter les règlements scolaires en y intégrant des mesures de protection spécifiques pour les jeunes filles mineures et les autres groupes vulnérables.
- Investir massivement dans l'éducation civique et morale pour promouvoir une citoyenneté responsable, fondée sur la dignité et les valeurs humaines.
Après une longue période des préparatifs, marquée par une sensibilisation intense au plan interne, l’élaboration des stratégies ciblées et la mobilisation à grande échelle des partenaires, le Festival Mondial de la Musique et du Tourisme démarre bel et bien ce mercredi 16 juillet courant. Sauf changement de dernière minute au programme, C’est Félix- Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, lui-même, qui va procéder au lancement solennel des activités de ce grand évènement du pays.
Prévu du 16 au 18 juillet 2025, le Festival Mondial de la Musique et du Tourisme, rendu possible par José Mpambia, Ministre du Tourisme, se conçoit comme une vitrine essentielle qui entend positionner la RDC comme une destination d’exception en valorisant sa biodiversité culturelle et son patrimoine touristique, tout en assurant stratégiquement une promotion plus accrue de la Rumba congolaise. L’évènement vise également à renforcer le dialogue, l’esprit de la paix et le développement économique à travers l’innovation culturelle, à l’image du thème apprêté par le comité organisateur : ‘’La route de la Rumba pour la paix’’. Les activités du Festival vont se dérouler sur trois principaux sites, à savoir : le Centre culturel construit tout récemment par la Chine, l’esplanade du Palais du peuple et l’Echangeur de Limete. Pour la journée inaugurale, au Centre culturel, après la cérémonie d’ouverture, il est prévu plusieurs spectacles, pendant que le village culturel ouvrira ses portes pour accueillir le public. Au Palais du peuple, l’organisateur confirme que la kermesse implantée sur le site, accueillera un spectacle musical inédit, de même pour l’Echangeur de Limete.
Didier M’pambia Musanga a initié un évènement majeur à épingler à sa charge managériale. Il a transplanté sa volonté politique qui consiste à sortir des sentiers battus le secteur du tourisme en RDC. Avec l’organisation du tout premier Festival mondial du tourisme et de la musique qui se tiendra, bel et bien, en République démocratique du Congo (RDC), plus précisément du mercredi 16 au jeudi 18 juillet 2025 à Kinshasa, il expose les potentialités touristiques que regorge son pays. Le Thème général choisi est : "La route de la rumba". Le tourisme, générateur important des devises, est le meilleur secteur qui, la construction hôtelière mise à part, peut offrir le meilleur rapport entre productivité et investissement. Avec cette vision, il démontre qu’à travers ce majestueuxenjeu touristique, au niveau tant national qu’international, la RDC connaitra une croissance exponentielle des touristes. Cette croissance ira parallèlement à l’essor du bien-être économique et social en RDC.
A l’initiative du ministre de Tourisme, Didier M’pambia, il se tiendra dans les sites touristiques de Kinshasa, du mercredi 16 au vendredi 18 juillet prochain, une Messe Touristique et Musicale. Didier M’pambia signe avec cet évènement la relance du tourisme en RDC, jadis sombré dans l’immaturité. Ce 1er Festival mondial qui, en fait, est un forum qui va réunir les Officiels et les professionnels du tourisme, permettra de faire le diagnostic du tourisme Rd. congolais et d’en proposer les remèdes. Outre les professionnels, qui y prendront part, les Départements et les services du gouvernement devront profiter de cette action à concourir à la promotion du tourisme.
Les ministères du Tourisme et de la Culture, Arts et Patrimoine, en collaboration avec l’ONU Tourisme donne l’occasion au ministre Didier Mpambia, d’échanger avec le Secrétaire général de l’ONU au Tourisme, ancienne organisation mondiale du tourisme et avec une dizaine de ministres du tourisme d’Afrique, d’Europe et d’Amérique sur les questions appropriées et les défis à relever.
Il y a lieu de retenir que cet événement résulte de la vision du régime Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cette vision est assortie d’un objectif principal que le ministre du Tourisme assigne à ce Festival. Il s’agit de repositionner la République Démocratique du Congo (RDC) sur la carte touristique mondiale et de faire du tourisme l’un des secteurs phares de sa diversification économique.
Les acquis qui seront engendrés par cet enjeu majeur touristique et de la musique visent toutes les catégories socioprofessionnelles de la population : agriculteurs, commerçants, artisans, transporteurs, hôteliers, restaurateurs, etc. …
La relance du tourisme que provoque Didier M’Pambia est d’une importance capitale d’autant plus que l’histoire récente renseigne que le tourisme a toujours distribué plus largement et plus équitablement les revenus que tout autre secteur économique national. Et, ce secteur ne connaît pratiquement pas le problème de détérioration en termes d’échanges parce que les produits sont consommés à leur juste valeur. La Rd. Congo, à travers le gouvernement Suminwa et les Opérateurs touristiques, a pris conscience de l’importance de cette industrie aussi bien sur le plan économique que social.
Faudra-t-il une Table ronde sur le tourisme ?
Une Table Ronde sur la relance du tourisme en Rd. Congo est importante et c’est le moment. Cette Table Ronde peut rassembler les Officiels et les professionnels du tourisme pour en faire un diagnostic du tourisme congolais afin de proposer les remèdes durables. Outre les professionnels, il faudra associer les Départements et les services du gouvernement qui devront mettre en action la promotion du tourisme.
Les interventions des uns et des autres pourront dégagées des orientations qui peuvent concourir réellement à l’amélioration de l’accueil aux Aéroports de manière à supprimer les tracasseries dont seraient victimes les touristes ; à l’identification des services opérant aux aéroports à une campagne de sensibilisation à leur intention et par la création d’un Comité de facilitation pour évaluer en permanence l’application des mesures qui sortirons de la table ronde.
A ce propos, il est utile de souligner que l’on peut arriver à adopter des mesures de façon à faciliter le financement du secteur touristique; harmoniser les taxes de même nature frappant le chiffre d’affaires des hôtels et restaurants; à accorder aux touristes devant traverser les zones minières au moment opportun, les dérogations nécessaires et à ouvrir l’aéroport de Goma au trafic international comme c’est le cas pour celui de Kisangani.
La réalisation par les Départements du Tourisme d’une campagne promotionnelle et de sensibilisation adéquate afin de faire connaître aux jeunes congolais, à l’ensemble de la population et aux étrangers les potentialités touristiques de la Rd. Congo.
La Table Ronde pourra par la suite sortir un outil en terme de document de travail qui permettra l’élaboration d’une politique touristique au niveau du gouvernement et qui fait ressortir la nécessité de promouvoir à la fois le tourisme national, interrégional et international en mettant en évidence l’intérêt de chaque type de tourisme, les produits à offrir et les voies et moyens d’y attirer des touristes.
C’est à ce niveau que Didier M’pambia, avec un cœur battant, s’apprête à écrire une nouvelle page de son histoire et de sortir la RD. Congo des chantiers battus du secteur de Tourisme.
Durant la semaine du 7 au 13 juillet, la Société nationale d’électricité (SNEL) a mené plusieurs actions marquantes dans la ville de Kinshasa, ainsi que sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo, illustrant sa volonté de renforcer l’efficacité du réseau et de sensibiliser les citoyens pour une consommation responsable de l’énergie électrique.
Le poste électrique de 220 kilovolts ampères (kVA) situé à Kinsuka, dans l’Est de Kinshasa, a ouvert ses portes aux étudiants de l’Université de Kinshasa (UNIKIN).
Cette visite pédagogique, organisée dans le cadre de la coopération sino-congolaise, a permis aux futurs ingénieurs de découvrir le fonctionnement stratégique de ce poste clé du réseau électrique de la capitale.
Dans le quartier GB, commune de Ngaliema, la SNEL a lancé une opération de vérification des installations et documents électriques afin d’éradiquer les raccordements frauduleux et d’améliorer la qualité de la distribution.
Les effets se sont fait sentir rapidement : en seulement 48 heures, le taux de charge de la cabine GB 5 est passé de 135% à 58%.
Cette amélioration a permis de suspendre le délestage rotatif de 24 heures qui touchait deux départs du réseau.
Au cours de la semaine sous-examen, des équipes techniques ont été également mobilisées pour rétablir une alimentation normale dans plusieurs quartiers de la ville notamment dans les communes de Kasa-Vubu et Barumbu.
Ces interventions s’inscrivent dans le plan de maintenance préventive engagé par la SNEL pour améliorer la fiabilité du réseau électrique à Kinshasa.
Le Directeur général de l'Office des Routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, est résolument préoccupé par la réussite totale des travaux d'urgence en cours d'exécution sur la nationale numéro 1, essentiellement l'axe faisant partie de la ville de Kinshasa concerné par le financement du gouvernement central, dans le cas d'espèce. En effet, samedi dernier, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy a effectué une ronde sur tous les chantiers de la Ville-province de Kinshasa, à travers lesquels l'Office des Routes exécute les travaux. Accompagné de l’Ingénieur Didi Kitukila, Directeur provincial de l'Office des Routes, il a ouvert sa tournée par le rond-point Ngaba, avant de se diriger vers le chantier compris au croisement entre l'avenue Elengesa et By pass, puis à Lemba Sous-région et de Bonhomme.
Au Rond-point Ngaba, les travaux évoluent à pas de géant, comme l'attestent les moteurs des engins lourds de l'Office des Routes vrombissant sur place, dans le cadre de ces travaux d'urgence lancés par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, et matérialisés par le Gouvernement central. Accueilli par le Directeur provincial de l'Office des Routes/Kinshasa, Ir Didi Kitukila, le Professeur Jeanneau kikangala a palpé du doigt les travaux exécutés par son établissement, pour lier l'utile à l'agréable en vue d'atteindre l'objectif poursuivi dans un délai record.
Ces travaux concernent notamment la correction de la chaussée, entendez le recyclage de l'ancienne asphalte au bétonnage de la route, en passant par la stabilisation du sol et la pose de l'enrobé. L'objectif final étant de relier le rond-point Ngaba au triangle de l'UNIKIN, mais aussi la fluidité sur le plan du trafic et la circulation des paisibles citoyens.
Pour préserver les ouvrages de drainage, le numéro 1 de l'Office des routes, le Professeur Jeanneau kikangala Ngoy n'a pas manqué l'occasion de mettre en garde sévère les vendeurs opérant le long de la chaussée, non seulement parce qu'ils s'exposent aux dangers multiples mais aussi et surtout parce qu'ils déversent en quantité inquiétante des saletés et déchets dans les caniveaux, avec toutes les conséquences qui en découlent.
Pire, ces vendeurs vont jusqu'à déplacer les grillages métalliques posées pour couvrir les caniveaux.
Au quartier Maman Yemo, toujours sur by pass, à son croisement avec l'avenue Elengesa, cette fois dans la commune de Mont-Ngafula, le Directeur général de l'Office des routes a palpé également du doigt la relance des travaux autrefois suspendus à cause du financement.
Là aussi, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy a déploré l'incivisme d'un compatriote qui se donne le luxe de construire sa maison dans un chantier ouvert par l'Office des routes pour combattre pourtant les têtes d'érosions enregistrées à cet endroit après les pluies diluviennes du mois d'avril et mai 2025.
Après Elengesa, le Directeur Général Jeanneau kikangala Ngoy et sa suite se sont déportés à Lemba sous-région. Là, c'est un autre chantier de l'Office des routes. A ce carrefour, d'abord côté Lemba, à l'entrée de l'avenue Bakali c'est un super marché et d'autres congolais qui manifestent de l'incivisme en obstruant le passage aux eaux de pluie sensées se déverser dans un collecteur situé à près de 100 mètres de la route by pass. Et même les avaloirs existant depuis plusieurs années se retrouvent sur un terrain spolié par les particuliers.
En remontant l'avenue Sefu pour atteindre la place échangeur, c'est un autre chantier de l'Office des routes. Dans ce site, c'est la construction d'un grand caniveau pour bien charrier les eaux de pluie. Seulement voilà, comme ailleurs, ces travaux font face à plusieurs problèmes découlant du comportement peu orthodoxe des fils et filles de la capitale.
Des camions sont en stationnement en ce lieu depuis plusieurs années déjà. Et comme si cela ne suffisait pas, d'autres compatriotes font tourner sans être inquiétés sur l'avenue, des garages et autres business. Pire, alors que l'Office des routes est en plein chantier, un tenancier d'un bistrot s'est permis de transformer les caniveaux de l'Office en dépôt de boissons. D'où la colère du DG Jeanneau kikangala.
D'un district à un autre, sur la nationale numéro 1, l'infatigable Prof Jeanneau kikangala Ngoy et toute sa suite ont bouclé la boucle au pied du saut de mouton de De bonhomme. L'ingénieur Didi Kitukila a expliqué à son autorité de tutelle, en l'occurrence le Directeur général Jeanneau Kikangala les genres des travaux qui s'exécutent pour lutter non seulement contre les inondations après la pluie mais aussi pour lutter contre les embouteillages à cause d'une route défoncée qui oblige les conducteurs à ralentir à cet endroit.
Pour Jeanneau Kikangala, c'est la note de satisfaction qui doit revenir à l'équipe de l'Office des routes pour tous ces chantiers ouverts, en vue de permettre aux congolais en général et aux kinois en particulier de circuler dans des bonnes conditions.