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Couverture médiatique des problématiques humanitaires : La Croix-Rouge de la RDC annonce la tenue d’un atelier de renforcement des capacités à l’intention des journalistes !

 Du jeudi 21 au samedi 23 août 2025, la Croix-Rouge de la RDC tiendra une grande activité à Kinshasa. Il s’agit d’un atelier de formation initié à l’intention des journalistes, dans l’optique d’accroitre leur compréhension et leurs compétences en matière de couverture et de traitement des problématiques humanitaires. Par ce séminaire stratégique, la Croix-Rouge de la RDC, sous le leadership de Grégoire Mateso, son Président national, ambitionne également d’élargir et de renforcer qualitativement le cercle de chevaliers de la plume qui l’accompagnent dans la mise en œuvre de sa mission d’assistance aux populations.

Les activités de l’atelier de formation de la Croix-Rouge de la RDC vont se dérouler, sous la conduite d’un échantillon d’experts triés sur le volet, précisément, dans la salle Kabe de luxe, située aux encablures du rond-point Huileries, à la lisière de la Gombe. Il est à noter, dans le même esprit, que c’est le Comité International de la Croix-Rouge qui, en termes d’appui financier notamment, a joué un rôle clé pour faciliter la bonne organisation de ce conclave des journalistes, aussi bien du secteur audiovisuel que de la presse écrite ou en ligne.

‘’Les journalistes jouent un rôle crucial dans la visibilité de l’engagement du Mouvement de la Croix-Rouge en informant le public et en mettant en lumière des questions importantes qui autrement pourraient passer inaperçues. Dans le monde trépidant d'aujourd'hui, caractérisé par des cycles d'information en constante évolution, les journalistes sont plus importants que jamais pour aider à naviguer dans le bruit et fournir des informations fiables. Leur passion pour la narration et leur engagement à présenter des faits en font des membres inestimables de la société. Sans journalistes, nous serions perdus dans un océan de désinformation et d’ignorance. C’est le même rôle que joue le Club des Journalistes Amis de la Croix-Rouge, dont la principale tâche  est d’accompagner  le Mouvement à travers la Croix-Rouge de la RDC dans son action humanitaire au profit des populations les plus vulnérables de notre pays, en rendant plus visibles ses activités, en faisant connaître sa mission qui est celle de prévenir les maladies, de soulager les souffrances et d’améliorer les conditions d’existence des populations les plus vulnérables sans aucune distinction , ainsi qu’en sensibilisant les différentes communautés de la RDC sur ses idéaux et les principes humanitaires du Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans son ensemble. Pour y parvenir, le Club des Journalistes Amis de la Croix-Rouge (CJACR) doit être régulièrement outillé voire former sur les usages dans les couvertures de problématiques humanitaires, mais aussi informé des actions, idéaux de la Croix-Rouge et des Principes Fondamentaux du Mouvement. Ainsi, le Club deviendra effectivement un instrument d’accompagnement, de visibilité, de sensibilisation et de vulgarisation pour la Croix-Rouge de la RDC. Les présents termes de référence décriront les lignes de conduites et la marche à suivre (méthodologie) de cette redynamisation et mettront en évidence les stratégies et les moyens nécessaires à la réalisation de cette activité. Cela va d’abord passer par un atelier de formation pour réarmement des journalistes amis de la Croix-Rouge afin qu’ils soient capables à bien communiquer sur le Mouvement de la Croix-Rouge et couvrir les problématiques humanitaires dans le but ultime de rendre plus visible et positionner davantage l’engagement du Mouvement en RDC’’, explicite l’organisateur dans une note parvenue, à la rédaction de La Prospérité.

La Pros.

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Clôturant son atelier de deux jours , RDC : l'ACE déterminée à faire appliquer les mécanismes procéduraux de protection de l'environnement

 

Un atelier de vulgarisation des textes légaux et réglementaires sur la protection de l’environnement en RDC s'est clôturé le jeudi 14 août à l’Immeuble de la Territoriale. Organisées par l’Agence Congolaise de l’Environnement (ACE), ces assises de deux jours ont réuni des experts du Secrétariat Général à l’Environnement et Développement Durable, du Fonds National REDD+ (FONAREDD) et du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). L’objectif était de renforcer l’éducation environnementale et de garantir une meilleure application de la loi pour une gestion durable des ressources naturelles.

Dès l'ouverture des travaux, le Directeur Général de l’ACE, M. Jean Claude Emene Elenga, a planté le décor en rappelant le cadre juridique qui régit le secteur. "La République Démocratique du Congo dispose d'une loi-cadre n° 11/009 du 09 juillet 2011 portant principes fondamentaux relatifs à la protection de l'environnement, telle que modifiée et complétée par l'ordonnance-loi n° 23/007 du 03 mars 2023", a-t-il déclaré. Il a souligné que cette loi vise à définir les grandes orientations pour la gestion du potentiel immense du pays, à prévenir les risques et à lutter contre toutes les formes de pollutions et de nuisances.

Les installations classées au cœur des débats

Parmi les interventions marquantes, celle de Marius Trésor Boleko W’alembo, Directeur de suivi et expert senior du Projet d'Appui à l'Atteinte des Jalons (PAAJ) de l’ACE, a porté sur le décret réglementant les installations classées. Il a expliqué qu'une installation classée est "toute installation industrielle, commerciale ou agricole pouvant générer des nuisances sonores ou porter atteinte aux ressources naturelles telles que l'eau, l’air, le sol, le sous-sol ou la forêt".

Son exposé a clarifié les deux régimes applicables :

Catégorie 1 : Soumise à une autorisation préalable, elle requiert une étude d’impact environnemental et social, et si nécessaire, une enquête publique.

Catégorie 2 : Soumise à une simple déclaration préalable auprès de l’administration locale de l’environnement, qui délivre un récépissé sous 15 jours.

Marius Trésor Boleko a rappelé que ce cadre s'appuie sur la Constitution, qui garantit le droit à un environnement sain, la loi-cadre de 2011, ainsi que le Décret n°14/019 du 2 août 2014, qui fixe les règles des mécanismes procéduraux pour la protection de l'environnement.

L'importance cruciale des outils d'évaluation

Un autre point central de l'atelier fut la nécessité d'utiliser des outils d'évaluation pertinents pour garantir la qualité des études environnementales et sociales. Les experts ont listé plusieurs types d'outils, notamment pour la planification, l'analyse, la cartographie, la communication et le suivi post-projet.

Renchérissant sur ce point, Steve Lemba, expert à l’ACE, a souligné le caractère dynamique de l'évaluation environnementale. "C'est une discipline qui requiert une expertise multidisciplinaire et très variée. La protection de l'environnement s'accompagne d'actions concrètes, et ces actions doivent être mesurées à l'aide d'indicateurs précis. Les études elles-mêmes sont des outils, mais pour être bien réalisées, elles ont besoin d'autres outils spécifiques", a-t-il expliqué.

Ces discussions s'inscrivent dans la mission principale de l'ACE, qui est de renforcer ses capacités dans l'évaluation et la validation des études environnementales, la délivrance de certificats environnementaux et la diffusion des bonnes pratiques.

La Pros.

 

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Reconduite au gouvernement, Culture : Yolande Elebe s’exprime… !

Yolande Elebe, ministre de la culture de la RDC

Le développement du secteur de l’industrie culturelle créative et la réforme de la gestion collective des  droits d’auteur pour le bien-être des professionnels des arts et de la culture en République démocratique du Congo (RDC) constituent les engagements et nouveaux défis majeurs de Yolande Elebe Ma Ndembo, ministre nationale de tutelle qui vient d’être reconduite au gouvernement  Suminwa 2. Tout en exprimant sa gratitude au chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi, elle compte redoubler encore d'efforts, en travaillant avec l’ensemble des acteurs de son secteur pour parvenir aux résultats escomptés.   

«Cette reconduction n’est pas une récompense en soi. C’est un appel, un nouvel engagement. À mieux faire. À aller plus loin. À continuer de porter haut la voix plurielle et puissante de la culture congolaise. Merci au Président de la République, pour la confiance renouvelée et à Son Excellence Madame la Première Ministre pour le leadership éclairé », a déclaré Yolande Elebe Ma Ndembo, ministre congolaise de la culture, arts et patrimoine.

«(…) Être ministre en charge de la Culture, c’est être au service d’une nation d’artistes,  de mémoires et de rêves. En un an, nous avons délié bien des nœuds. Mais il reste tant à faire…», a-t-elle dit.

Toutefois, la Ministre de la culture a également exprimé sa reconnaissance aux acteurs du secteur pour leur sens de collaboration rationnelle qui a favorisé la mise en place des différentes réformes dans le but d’améliorer leurs conditions de travail et rentabiliser le secteur.

« Merci à vous opérateurs, artistes, créateurs, passeurs, bâtisseurs d’imaginaire pour accompagnement. Je mesure la charge… mais je ne la porte pas seule. Nous continuerons à avancer, à bâtir, à rêver ensemble. Avec vous. Pour vous. Pour ce Congo plus beau, plus digne, plus vibrant par sa culture», s’est engagée Yolande Elebe.

Il sied de noter que la Ministre de la culture, arts et patrimoine fait partie des membres du gouvernement ‘‘Siminwa 1’’ qui ont été reconduits dans la nouvelle équipe gouvernementale dont la composition a été annoncée le 8 août dernier à la télévision nationale.

Après politique culturelle, cap vers la réforme des Droits d'auteurs

Au cours de sa première année au gouvernement, elle a réussi à se démarquer grâce à ses réalisations dans les cadres des réformes engagées sur le plan légale  pour réglementer son secteur en termes de politique générale du pays en matière de la culture et de ses acteurs.  Il s’agit de la loi sur la politique culturelle et du statut d’artiste en RDC qui ont été ratifiés et adoptés  au Parlement avant d’être promulgués par le Président de la République.

Saluées dans la communauté artistique, ces grandes réformes n’attendent que des mesures d’applications qui constituent le cheval de bataille de Yolande Elebe.

Il y a, aussi, renseigne-t-on, d'autres projets  en cours sur lesquels la ministre de tutelle travaille, entre autres, le projet de l’étatisation de la gestion de droits d’auteurs ainsi que la révision de la loi n°86-033 du 5 avril  1986 portant protection des droits d’auteur et droits voisins.

JD

Reconduite au gouvernement, Culture : Yolande Elebe s’exprime… !
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A destination du Congo-Brazzaville , Kongo Central : une importante quantité de cuivre stoppé par les autorités locales

Un poids lourd transportant une charge de plus de six tonnes de cuivre a été intercepté par le Chef de secteur Floribert Mayanza en pleine circulation, le samedi 9 août 2025, vers 20h, au village Mangala, dans le secteur de Balari, au Nord de Luozi, chef-lieu du territoire éponyme, en direction du Congo-Brazzaville.

Le Chef de Secteur de Balari, Floribert Mayanza, a localisé le véhicule au village de Mangala, non loin de Ngombe, tandis que les convoyeurs avaient déjà procédé au déchargement : « Nous avons vu un véhicule de couleur bleu contenant du cuivre. Les services de sécurité ont vérifié s’il disposait des documents de transport et des autorisations relatives à ces matières premières, mais il n’en avait aucun. Les occupants ont tenté de décharger la cargaison dans un autre véhicule, à Mpangala, mais nous avons stoppé l’opération», a-t-il alerté.

D’après les autorités locales, les suspects ont été conduits à Musanda, dans l’attente de la décision du Gouverneur de province, appelé à mandater une équipe d’enquête sur terrain.

Le numéro 1 du territoire cher à Feu Ne Muanda Nsemi a contacté au téléphone nos confrères de Forum des As et, a communiqué que le véhicule, l’ensemble de son équipage ainsi que la cargaison sont en route pour Matadi, chef-lieu de la province du Kongo Central. Il a précisé que le Gouverneur Grâce Bilolo a dû envoyer du carburant pour permettre au véhicule intercepté d’arriver à Matadi.

Lors du Conseil de Sécurité élargi qui a eu lieu en cette même date entre l’administrateur du territoire de Luozi et le président du Rassemblement de Forces Vives de Luozi (RAFOVIL), Eugène kanza Tonda, ce dernier aurait annoncé aux autorités présentes qu’un camion bleu, ayant à bord plus de six tonnes de cuivre avait quitté le site minier de Kibusi, un village situé à 130 Km de Luozi à destination du Congo-Brazzaville. Il informe aussi que ce camion appartiendrait à l’homme d’affaires Yves Matondo.

La société civile rassure, à travers le RAFOVIL, d’avoir cette affaire à l’œil et exige des fortes mesures pour protéger le territoire contre les exploitations illégales.

Miclaire Kayenga  

A destination du Congo-Brazzaville , Kongo Central : une importante quantité de cuivre stoppé par les autorités locales
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Après la réunion du comité permanent de l’ACEAC, Monseigneur José Moko : « les Evêques vont s’adresser aussi aux diplomates en raison de l’impact négatif des agendas cachés des acteurs non-étatiques, comme les multinationales assoiffées d’exploiter les re

Evêque du Diocèse d’Idiofa dans la province de Maï-Ndombe, en République Démocratique du Congo, et président en exercice de l’Association des Conférences Episcopales de l’Afrique Centrale, « ACEAC » en sigle, depuis le 30 mai 2023, Monseigneur José Moko Ekanga a pris part aux assises du Comité permanent de cette organisation régionale ayant son siège à Bujumbura, en République du Burundi. A l’ordre du jour, plusieurs résolutions ont été prises par les Pères Evêques, lesquelles ont été révélées dans une interview qu’il a accordée à la radio Okapi le 12 août 2025.

Préoccupés par la situation sécuritaire qui fragilise la région, les Pères Evêques de l’ACEAC se disent motivés de poursuivre leur plaidoyer auprès des Chefs d’Etat de la zone ACEAC pour leur porter un message sans ambiguïté, d’aspiration à la paix et la cohésion sociale des populations. Cela constitue l’une des résolutions.

« Les résolutions prises par les Pères Evêques du Comité permanent de l’ACEAC sont de poursuivre l’élan pris depuis sa réunion d’octobre 2023 à Rome qui, forte de son plan triennal, a réussi à réaliser avec succès tout ce qui a été arrêté. Les Evêques vont continuer le plaidoyer auprès des Chefs d’Etat de la zone ACEAC pour leur porter un message clair et approprié exprimant l’aspiration à la paix et à la cohésion sociale de nos populations. Ils vont s’adresser aussi aux diplomates en raison de l’impact négatif des agendas cachés des acteurs non-étatiques, comme les multinationales assoiffées d’exploiter les ressources naturelles du Congo. L’ACEAC travaille surtout avec les populations locales dans une pastorale de proximité. Elle accompagne les jeunes, les groupes organisés des mamans pour pouvoir impacter sur les populations et obtenir de cette population, comme c’est ressorti dans notre dernière recommandation de notre Comité permanent, de ne pas céder à la désespérance par rapport à l’extrémisme, sous toutes ses formes, qui affecte et endeuille les populations et les communautés », a indiqué Mgr Joé Moko, président en exercice de l’ACEAC.

Pour faciliter la mise en œuvre de ces résolutions, des mécanismes efficaces ont été mises en place par l’ACEAC en vue de faire entendre leur voix qui n’est rien d’autre qu’un « message de paix » qui doit atteindre toutes les couches de la société. C’est en usant des moyens de l’Eglise et avec la collaboration et le soutien des groupes et structures engagés dans ce processus de paix qu’ils en viendront à bout de leur démarche.

« Nous sommes l’Eglise. Notre approche est pastorale, il est synodal. Nous invitons à la paix et nous voudrions que ce message de paix que, comme pasteurs, nous développons puisse atteindre toutes les couches de la société. Mais cela, avec les moyens de l’Eglise. Nous invitons à marcher ensemble vers cet objectif de paix. Mais nous savons que notre force réside en ce fait que nous sommes convaincus que nous sommes des hommes épris de paix et nous avons avec nous les jeunes des groupes organisés comme COSOPAX, Dynamique et femmes, notre Commission Justice et Paix, notre Caritas de la sous-région qui travaillent sur le terrain et qui mobilisent de plus en plus des personnes qui sont convaincues que la paix est possible dans la sous-région », a-t-il révélé.

Il sied de rappeler que les Conférences Episcopales du continent africain s’étaient réunies dernièrement, du 28 juillet au 2 août 2025 à Kigali, dans le cadre du SCEAM à la 20ème assemblée plénière de cette organisation de l’Eglise catholique d’Afrique et de Madagascar. Les Pères Evêques d’ACEAC ont mené un plaidoyer de fonds pour un retour de la paix dans la sous-région des Grands-Lacs, a indiqué son président en exercice.

« La 20ème assemblée plénière du SCEAM avait pour thème ‘’Christ, Source de notre espérance de la réconciliation et de la paix’’. Il a porté donc sur les défis que traverse notre continent africain. Les Pères Evêques savent que cette sous-région est en train de traverser des violences meurtrières depuis trois décennies. Or, la sous-région continue de connaître des guerres et des violences de toute sorte avec des conséquences dramatiques, de nombre des morts qui ne fait qu’augmenter. Il ne faudrait pas qu’un génocide en appelle un autre. Un tableau sombre du continent a été brossé pour montrer que ce continent est vraiment comme cet infortuné de Jéricho qui a été roué des coups et qui a été laissé à moitié mort. Nous voudrions donc, à partir de ce symposium et cette plénière qui a été tenu à Kigali, que la voix de l’Eglise soit entendue », a-t-il indiqué.

Entendu que l’ACEAC a pour mission de rechercher le bien-être du peuple de Dieu. Ainsi, se réunir pour parler, prêcher, interpeller et dénoncer constitue, pour lui, leur cheval de bataille pour l’atteinte de leur mission en vue du bien commun, celui du peuple pour qui les Evêques sont « des voix des sans voix », a renchérit l’Evêque d’Idiofa et président de l’Association des Conférences Episcopales de l’Afrique Centrale.

Créée au terme de l’assemblée constitutive tenue à Kinshasa du 29 décembre au 3 janvier 1984 et regroupant les Conférences épiscopales du Burundi, de la RDC et du Rwanda, l’ACEAC se veut une instance d’études des voies et moyens de pourvoir le dialogue et la concertation, l’entraide et la coopération ecclésiale entre les conférences épiscopales de cette zone pour l’évangélisation en profondeur de l’homme africain dans son milieu culturel, social et religieux.

César Nkangulu

Après la réunion du comité permanent de l’ACEAC, Monseigneur José Moko : « les Evêques vont s’adresser aussi aux diplomates en raison de l’impact négatif des agendas cachés des acteurs non-étatiques, comme les multinationales assoiffées d’exploiter les re
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Vols répétés de câbles sur la ligne RC-Shilatembo , RDC : la SNEL dénonce un énième acte de sabotage sur sa ligne haute tension 120 kV

Face à la recrudescence inquiétante des vols de câbles en cuivre sur la ligne haute tension 120 kV reliant RC à Shilatembo. La Société Nationale d’Electricité (SNEL SA) monte une fois de plus au créneau pour dénoncer, pour la troisième fois en une semaine cette mauvaise pratique qui devient monnaie courante sur ses installations.

Cette infrastructure stratégique a été ciblée par des individus malintentionnés, compromettant sérieusement la stabilité de la fourniture en électricité dans la région.

Malgré la présence des services spécialisés chargés de la surveillance, les malfaiteurs continuent d’agir avec une audace déconcertante. Trois incidents majeurs ont été enregistrés ces derniers jours :

  • Le samedi 2 août 2025, 500 mètres de câbles ont été volés entre les pylônes P217 et P219 ;
  • Le lundi 4 août, les voleurs sont revenus à la charge, emportant à nouveau 500 mètres sur la même zone ;
  • Et plus récemment, le jeudi 7 août, 250 mètres supplémentaires ont disparu dans le tronçon entre les pylônes 79 et 80.

Ce n’est pas la première fois que cette ligne est visée. Plusieurs cas similaires avaient déjà été signalés au cours des mois précédents. La situation devient critique, non seulement pour la SNEL, mais aussi pour les milliers de foyers et d’industries qui dépendent de cette ligne pour leur alimentation électrique.

Une hémorragie qui doit être rapidement stoppée

La SNEL propose la convocation d’une réunion urgente de sensibilisation avec tous les services impliqués dans la surveillance de cette ligne afin de renforcer la coordination, la vigilance et les moyens de dissuasion.

Dans un contexte déjà difficile pour le secteur énergétique, ces actes de sabotage fragilisent davantage les efforts déployés par la Direction Générale pour améliorer la desserte en électricité. La SNEL SA appelle également les autorités locales, les forces de sécurité, mais aussi les populations riveraines à plus de vigilance et de collaboration, afin de mettre fin à ce fléau.

La Pros.

 

 

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Vol de câbles à Binza Pigeon : la SNEL alerte et appelle à la vigilance collective

C’est un énième vol des câbles que déplore la Société Nationale d’Electricité (SNEL SA), cette fois, c’est la cabine Nelsen, située au quartier Binza Pigeon dans la commune de Ngaliema, qui a été le théâtre d’un vol par effraction plongeant une partie de ce quartier dans le noir. Cette situation impacte même le fonctionnement de la station Top-Congo FM.

Vol de câbles à Binza Pigeon : la SNEL alerte et appelle à la vigilance collective
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Dans une déclaration : La CENCO exprime son indignation à la suite des tueries de Komanda

Les Evêques de la CENCO ont exprimé, ce lundi 28 juillet 2025, leur indignation face au massacre des fidèles catholiques, survenu dans la nuit du 26 au 27 juillet, à Komanda, dans le diocèse de Bunia, en province de l'Ituri. Des hommes armés ont attaqué une salle paroissiale alors que des chrétiens y étaient en prière, faisant plusieurs morts et blessés.

Dans une déclaration solennelle, les prélats catholiques dénoncent un "massacre odieux" et expriment leur "proximité spirituelle" avec les victimes et leurs familles. Ils adressent également un message de compassion à l’évêque du diocèse de Bunia, Monseigneur Dieudonné Uringi, dont le territoire connaît une recrudescence d’actes violents, une semaine seulement après la profanation de l’église paroissiale de Lopa.

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Dans une déclaration : La CENCO exprime son indignation à la suite des tueries de Komanda
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Par imprudence de la garde universitaire, Unikin : Un feu déclenché endommage le câble 6,6kV de la SNEL !

 La Direction Kinshasa Sud de la Société Nationale d’Electricité (SNEL SA) informe qu’un incident s’est produit ce dimanche 27 juillet sur le campus de l’Université de Kinshasa. La garde forestière de l’Unikin a involontairement provoqué un incendie sur le câble 6,6kV du départ Agronomie de la sous-station Campus, précisément sur le tronçon reliant les cabines Home Central et Résidences, au niveau du gros arbre.

Plusieurs cabines du Plateau des professeurs sont touchées, notamment celles desservant les Résidences, la Maison S&G et Scholatiska.

Suite à cet incident, les équipes de la SNEL ont immédiatement consignée la ligne pour réparation. Ces derniers ont identifié la nécessité de remplacer 10 mètres de câble de type 1x3x150mm² pour rétablir la distribution.

La Direction Kinshasa Sud de la SNEL appelle à la patience des résidents et promet une intervention rapide pour la remise en état du réseau.

(Avec Sphynxrdc.com)

 

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Du nouveau sur le marché des livres, Plume de la Paix : Merlisse Meta présente le Roman "La Voie de la Réconciliation" !

Passionnée par l'écriture et amoureuse des belles lettres, Merlisse Meta s'illustre avec brio à travers son roman intitulé La Voie de la Réconciliation. Étudiante en sciences pharmaceutiques à l’Université officielle de Mbuji-Mayi, Merlisse Meta Kabangu, jeune écrivaine de 20 ans et slameuse, prêche la réconciliation par le biais de sa plume.

Pourquoi la réconciliation ?

«Parce que la réconciliation est un besoin profond dans nos familles et notre société, ce roman est un appel à la paix », explique Merlisse Meta Kabangu. Son inspiration provient de la vie réelle, des blessures familiales et de son désir de voir les cœurs brisés se reconnecter. Elle cite des écrivains influents tels que Sony Labou Tansi, Emmanuel Dongala, Fernand Mpiana et Pie Tshibanda comme sources d'inspiration.

Honneur à la source

Pour rendre hommage à son université, Merlisse a présenté son roman au recteur, Abbé Apollinaire Cibaka Cikongo, mercredi 9 juillet 2025. Enthousiasmé, le numéro un de l'UOM a chaleureusement félicité l'écrivaine et l'a encouragée à approfondir sa passion pour la lecture et l'écriture, afin de devenir un exemple d'une femme intellectuellement épanouie.

Un récit poignant

La Voie de la Réconciliation est un récit imaginaire qui explore l'impact de la mort d'une mère sur une famille. Le père, confronté à sa propre douleur, choisit de se remarier, mais cette nouvelle union engendre des conflits et des contradictions, devenant ainsi un lieu d'angoisse et de solitude. L'auteure démontre que même dans les moments les plus sombres de la vie, la réconciliation est possible entre les membres d'une famille.

Un café littéraire à venir

Merlisse Meta Kabangu prévoit d'organiser un café littéraire dans les prochains jours, où son roman sera présenté à la communauté universitaire de Mbuji-Mayi et aux passionnés d'écriture.

« Je compte organiser des séances de lecture et des échanges dans les écoles et les médias pour promouvoir la paix intérieure et familiale. Que ce livre touche les cœurs et ouvre un chemin vers la paix », martèle Merlisse Meta.

Jules Ntambwe

Du nouveau sur le marché des livres, Plume de la Paix : Merlisse Meta présente le Roman "La Voie de la Réconciliation" !
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