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Après l'audience accordée, hier à Luanda, aux chefs spirituels catholiques et protestants : Joao Lourenço salue l'initiative du Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble

La délégation de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) et de l'Église du Christ au Congo (ECC) poursuit ses consultations auprès des parties prenantes à la crise sécuritaire qui secoue la République démocratique du Congo. Ce lundi 10 mars, les représentants des églises catholique et protestante de la RDC ont été reçus à Luanda par le Président angolais, Joao Lourenço, qui est également président en exercice de l'Union africaine.

Selon le compte rendu de cette rencontre, le Président Joao Lourenço a salué “vivement” l'initiative du Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble en RDC et dans la sous-région avant de promettre son soutien à cette démarche.

Il a émis le vœu de voir cette initiative aboutir à un front commun moral et scientifique des forces vives intellectuelles, spirituelles et politiques.

Bien avant, la délégation Cenco-ECC avait été reçue par d'autres chefs d'État de la région dont Yoweri Museveni de l'Ouganda, Denis Sassou Nguesso du Congo-Brazzaville, Paul Kagame du Rwanda, William Ruto du Kenya qui assure en même temps la présidence de l'EAC.

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En présentiel et par visioconférence à l’hôtel de la Défense, RDC : Réunion Extraordinaire de la Troïka du comité ministériel de l’organe et les pays contributeurs des troupes à la Samidrc   

Guy Kabombo Muadiamvita, Vice-Premier Ministre, Ministre de la Défense nationale et anciens combattants et Thérèse Kayikwamba Wagner, Ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, ont pris part ce mercredi 5 mars 2025 à la réunion du comité ministériel de Samidrc.

Il était question au cours de ces assises, de l’évaluation de la situation sécuritaire actuelle de la partie Est de la RDC ainsi que de l’apport de la SADC sur la sécurisation de cette partie de la République.

Au cours de la réunion extraordinaire de la Troïka du sommet de l’organe, le comité a noté avec inquiétude la persistance de l'insécurité à l’Est de la RDC présentée par les deux membres précités du Gouvernement congolais, désapprouvant des actes de terreur et d'assassinat par les agresseurs Rwandais et leurs supplétifs des M23. Ce, en dépit des décisions du sommet conjoint SADC-EAC de Dar es Salam, des résolutions du conseil de paix et sécurité de l’Union africaine mais aussi de la dernière résolution 27/73 du Conseil de Sécurité des Nations Unies qui enjoignent à ces agresseurs de se retirer sans condition du territoire congolais et d’observer un cessez-le-feu, y compris la cessation immédiate des hostilités. Par conséquent, ils soulignent la nécessité de la présence de la Samidrc sur le sol congolais.

Dans la vision du chef de l’État, Commandant Suprême des forces armées congolaises, S.E.M Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, la République Démocratique du Congo poursuit ses contacts diplomatiques en vue de la relance des processus de Luanda et de Nairobi qui sont des voies indiquées à ce jour pour permettre de restaurer l’Autorité de l’État.

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RDC : le Gouvernement charge l’armée rwandaise et ses supplétifs

Plusieurs griefs sont à charge de l’armée rwandaise et de ses supplétifs de l’AFC/M23, principaux occupants des provinces du Nord et du Sud-Kivu depuis le début de l’année en cours. Le Gouvernement de la République, par l’entremise du Ministère de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières, informe l’opinion publique, dans un communiqué publié ce 6 mars, que ces envahisseurs persistent dans la commission des actes de crime de guerre et crime contre l’humanité dans les zones sous occupation de ce mouvement terroriste.

L’incursion dans trois hôpitaux de la ville de Goma (Heal Africa, CBCA Ndosho et CBCA Virunga) en dates du 28 février, 3 et 4 mars avec conséquence l’enlèvement d’une centaine de malades et garde-malades parmi lesquels des militaires hospitalisés qu’ils auraient exécutés constitue une violation flagrante du droit international humanitaire selon le Vice-Premier Ministre Jacquemain Shabani.

Le Gouvernement dénonce la mise en œuvre du projet qualifié de macabre d’épuration par l’installation des populations rwandaises et d’une administration parallèle dans les zones sous occupation de l’armée rwandaise.

Il dénonce également les recrutements forcés des jeunes parmi eux les mineurs et élèves dans les zones occupées tels qu’illustrés au cours d’une réunion qu’ils auraient tenus dans le territoire de Nyiragongo dans laquelle ils auraient décidé d’imposer aux responsables de chaque ménage de faire enrôler trois enfants sur cinq pour la formation militaire.

Ces crimes commandités par Kigali continuent d’être documentés par le Gouvernement. Ils nécessitent donc une prise en charge conséquente afin que la justice soit rendue aux victimes, renseigne le patron de la territoriale.

César Nkangulu

 

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RDC : l’Assemblée nationale examine le financement de l’effort de guerre

En République Démocratique du Congo (RDC), la commission des finances de l’Assemblée Nationale examine de près le budget destiné à l’effort de guerre. Elle a entamé une série d’auditions des membres du gouvernement afin de vérifier que le secteur de la défense et de la sécurité dispose des ressources nécessaires. Après l’audition du vice-Premier ministre en charge de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau, d’autres hauts responsables seront entendus cette semaine. Quelle est la portée de cette initiative ?

Ce travail de vérification s’inscrit dans un contexte où les dépenses sécuritaires et humanitaires ont connu une forte hausse, passant de 3% du budget national en 2021 à 22% en 2023. L’enjeu est d’autant plus crucial que le programme quinquennal du gouvernement, présenté en 2024, prévoit une enveloppe de plus de 18 milliards de dollars pour la défense et la sécurité, soit 20% du budget global.

L'efficacité de l'armée en question

Pourtant, l’efficacité de l’armée congolaise face à l’avancée du mouvement politico-militaire AFC/M23 - soutenu par le Rwanda - continue d’être remise en question, certains pointant encore un manque de moyens. C’est sur la base de ce constat que la commission Économique et financière de la Chambre basse du Parlement a lancé cette opération. L’objectif est d’apporter des réponses précises à plusieurs questions essentielles.

De combien le gouvernement a-t-il réellement besoin pour soutenir l’effort de guerre ? Quels objectifs doivent être atteints ? Comment garantir une gestion efficace et transparente des fonds ? Il faut dire que le sujet est déjà sur la table du gouvernement. Depuis fin janvier 2025, le Conseil des ministres s’est penché sur la question et a déjà adopté un rapport définissant les modalités d’augmentation des soldes et primes des militaires et policiers.

Doublement du salaire des militaires

Parmi les mesures annoncées figurent notamment le doublement du salaire des militaires et l’instauration d’une prime spéciale de combat avec effet immédiat. Dans ce cadre, la commission Économique et financière de l’Assemblée nationale de RDC poursuivra ses travaux avec l’audition de plusieurs membres clés du gouvernement : le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur et de la Sécurité, le ministre du Budget et aussi la gouverneure de la Banque centrale.

De RFI

RDC : l’Assemblée nationale examine le financement de l’effort de guerre
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Guerre en RDC : Le Luxembourg appelle à son tour aux sanctions contre le Rwanda

La Chambre des Députés du Grand-Duché de Luxembourg invite son Gouvernement à soutenir l’adoption des sanctions européennes ciblées à l’encontre des responsables Rwandais des exactions commises en RD Congo. Une résolution a été votée à l’unanimité par l’Assemblée pour clarifier la position de ce pays membres de la Commission de l’Union européenne.

" Satisfaite que notre motion concernant la situation dramatique en RD Congo et le soutien des sanctions à prendre contre les responsables rwandais des exactions ait été adoptée à l’unanimité le jeudi 6 mars clarifiant ainsi enfin la position’’, a déclaré Sam Tanson, membre du Parlement de  Luxembourg.

La pression internationale se fait de plus en plus sentir sur le Rwanda pour son soutien à la rébellion de l’AFC/M23 dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC). Après la décision politique suspendant les consultations avec le Rwanda sur les questions de défense, l'Union Européenne ne compte pas s'arrêter et tient à contraindre Kigali à arrêter son soutien à la rébellion du M23 et à faire respecter l'intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo.

À l'issue de sa mission à Kigali et à Kinshasa, le représentant spécial de l’Union européenne pour la région des Grands Lacs, Johan Borgstam a révélé que l’UE est en train d'examiner les possibilités d'infliger des sanctions individuelles à l'endroit des autorités rwandaises.

"La question des sanctions à titre individuel, ce qu'on a fait le 24 février jour de la réunion du Conseil c’est qu'on a pris une décision politique de continuer les préparations pour établir une liste de certains individus et maintenant ce sont nos collègues juridiques légaux au siège qui s'en occupent avec les préparations, donc, on entre dans le détail", a déclaré ce mercredi 5 mars 2025 à Kinshasa devant la presse, le diplomate européen Johan Borgstam.

À en croire l’Ambassadeur de l'Union Européenne en RDC, Nicolás Berlanga-Martinez, contrairement aux sanctions de l'ONU ou des USA, celles des européennes suivent un processus juridique avant leur adoption et application.

Comme annoncé par Kaja Kallas, haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et de la politique de sécurité, vice-présidente de la Commission européenne, à l'issue d'une réunion du Conseil des affaires étrangères, le réexamen du mémorandum d'entente avec le Rwanda concernant les matières premières critiques est en cours au niveau du département juridique de l'Union européenne.

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RDC : Germain Mpundu joint sa voix au cri des femmes victimes de l’agression rwandaise !

« Je ne peux évoquer les droits des femmes sans mentionner le calvaire des sœurs de l'Est. Depuis trop longtemps, elles sont prises dans un tourbillon de violences, où le viol est utilisé comme arme de guerre. Ce sont des femmes, des mères, des filles, souvent oubliées, abandonnées, traumatisées par des années de guerre. Je tiens à dire haut et fort que le viol comme arme de guerre est un crime abominable. Ces femmes doivent être soutenues, protégées et, surtout, justice doit leur être rendue. Leurs douleurs ne doivent pas être effacées, et leurs voix doivent être entendues. Le combat pour leur dignité est notre combat à tous. Je tiens à saluer l’engagement du Dr Denis Mukwege, qui a consacré sa vie à soigner, accompagner et défendre ces femmes courageuses. Il est un modèle, un phare dans cette mer de souffrance », épingle Germain Mpundu Bombanza, Initiateur du Mouvement Congo Ya Sika, dans son allocution en marge de la Journée Internationale des Droits de la Femme 2025.

 

ALLOCUTION DE GERMAIN MPUNDU BOMBANZA À L’OCCASION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE LA FEMME 2025

Chères mamans, sœurs et filles de la République Démocratique du Congo,

Aujourd’hui, le 8 mars 2025, nous nous retrouvons pour célébrer la femme congolaise, pour rendre hommage à votre force, à votre résilience, à votre rôle indispensable dans la vie de notre pays. En tant que fils de cette nation, je suis profondément honoré de vous adresser la parole. Vous êtes, plus que jamais, les bâtisseuses de notre avenir.

Mais cette journée ne doit pas seulement être une célébration. Elle doit être un appel à l’action, une réflexion sur ce que nous avons accompli et, surtout, sur ce que nous devons encore faire. Un Congo Nouveau, un Congo Ya Sika, ne peut exister sans une femme pleinement émancipée, protégée et valorisée.

La femme congolaise : pilier de la Nation

Partout, dans nos villages, nos villes, nos campagnes, vous êtes là. Vous êtes celles qui éduquent, nourrissent, soutiennent et reconstruisent. Vous êtes la colonne vertébrale de nos foyers, de notre économie, de notre société. Chaque jour, vous vous battez pour la survie de vos familles et de vos communautés. Vous travaillez sans relâche, souvent dans l’ombre, pour que le pays avance, que la société progresse.

Mais pourtant, vos droits, vos efforts, votre dignité sont souvent négligés, bafoués, réduits à l’invisible. Ce n’est plus acceptable. Nous devons enfin reconnaître la valeur et l’importance de chaque femme congolaise, qu’elle soit en ville ou en campagne, qu’elle soit entrepreneure, militante, fonctionnaire, ou mère de famille.

Le cri des femmes de l'Est : une lamentation qui doit nous unir

Je ne peux évoquer les droits des femmes sans mentionner le calvaire des sœurs de l'Est. Depuis trop longtemps, elles sont prises dans un tourbillon de violences, où le viol est utilisé comme arme de guerre. Ce sont des femmes, des mères, des filles, souvent oubliées, abandonnées, traumatisées par des années de guerre.

Je tiens à dire haut et fort que le viol comme arme de guerre est un crime abominable. Ces femmes doivent être soutenues, protégées et, surtout, justice doit leur être rendue. Leurs douleurs ne doivent pas être effacées, et leurs voix doivent être entendues.

Le combat pour leur dignité est notre combat à tous. Je tiens à saluer l’engagement du Dr Denis Mukwege, qui a consacré sa vie à soigner, accompagner et défendre ces femmes courageuses. Il est un modèle, un phare dans cette mer de souffrance.

Ce que nous avons accompli, mais sans nous endormir sur nos lauriers

Sous la présidence de Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi, des progrès significatifs ont été réalisés pour la femme congolaise. La nomination d’une Première Ministre femme, la montée en puissance des femmes dans les hautes sphères de décision, les initiatives pour lutter contre les violences sexuelles sont des avancées historiques.

Mais il reste encore beaucoup à faire. Ces avancées sont une première étape, mais elles doivent se traduire dans les faits par une amélioration concrète des conditions de vie de chaque femme.

Un Congo ya Sika, c'est quoi ?

Un Congo nouveau, un Congo Ya Sika, c’est un pays où les femmes ne sont pas seulement respectées, mais où elles ont leur place à tous les niveaux. Un Congo où chaque fille peut rêver et aller jusqu’au bout de ses ambitions, où chaque femme peut être libre d’évoluer, de s’épanouir.

Cela implique de garantir :

➡ Une éducation de qualité pour toutes les filles. Aucun enfant ne doit être privé d’école.

➡ L’autonomisation économique des femmes. Cela passe par l’accès à des financements, à des formations et à des opportunités de travail décent.

➡ La sécurité pour toutes les femmes. Tolérance zéro face aux violences de toute forme : sexuelles, domestiques, psychologiques.

➡ Une participation réelle des femmes à la gestion des affaires publiques. Nous avons besoin de plus de femmes dans les institutions, dans les décisions.

Le changement, c'est ensemble qu'on le construit

Chères femmes de la RDC,

Vous êtes les actrices principales de ce changement. Le Congo Ya Sika ne peut être qu’une réalité si vous êtes au cœur de la construction. Il ne s’agit pas d’une faveur, il s’agit de vos droits. Il est temps que chaque femme prenne sa place, qu’elle soit écoutée, protégée et respectée.

Aujourd'hui, nous exigeons l’égalité, nous ne demandons plus la reconnaissance, nous l’imposons. C’est votre moment. C’est le moment de faire entendre vos voix, d’être les leaders que vous êtes.

Ensemble, levons-nous pour un Congo plus juste, plus égalitaire, un Congo où la femme est au centre de la réconciliation et du développement.

Vive la femme congolaise !

Vive la RDC !

Vive Congo Ya Sika !

Germain Mpundu Bombanza

Initiateur du Mouvement Congo Ya Sika

RDC : Germain Mpundu joint sa voix au cri des femmes victimes de l’agression rwandaise !
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Connectivité en RDC : Augustin Kibassa Maliba multiplie des rencontres avec les investisseurs pour des solutions idoines                              

Du 3 au 5 mars 2025, Augustin Kibassa Maliba, Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, a eu plusieurs réunions dans le cadre du programme Ministériel de la GSMA qui a réuni les ministres, les régulateurs et les opérateurs télécoms opérant en RDC d’une part, et les responsables des entreprises qui souhaitent accompagner la République Démocratique du Congo dans sa digitalisation, d'autre part.

Toutes ces rencontres ajustaient des discussions pour trouver des solutions afin que la RDC accède réellement à la connectivité tant attendue.

Le Ministre a, dès son arrivée à Barcelone, participé le lundi 3 mars à la table ronde du service universel dans laquelle il a été présenté la situation évolutive du Fonds de développement des services Universels.

Durant son séjour, le Ministre a directement répondu à l’invitation du Programme Ministériel puis celle de Huawei. Cette dernière a exprimé le vœu d’accompagner la République Démocratique du Congo pour faire bénéficier la RDC des innovations technologiques et permettre que les projets dans les domaines Digitaux se réalisent.

Prenant la parole, le Ministre a rappelé au Staff Huawei que les années passées par des échanges seront concrètes cette fois-ci étant donné que la RDC va bénéficier cette année d’un financement de la Banque Mondiale et celui du FDSU.

«Notre souci est de développer le Congo, nous savons que nous sommes un grand pays au centre de l’Afrique, le développement du Congo a un impact sur l’ensemble de l’Afrique et peut être même du monde. Nous sommes plus que déterminés à voir comment évoluer parce que nous voulons vraiment transformer le pays, c’est notre souci le plus cher. Nous savons aujourd’hui que le Numérique porte le développement du monde. Nous apprécions la volonté de Huawei de travailler avec nous, nous sommes tout à fait ouverts et voir comment nous allons avancer ensemble », a-t-il indiqué.

Et d'ajouter : « nous avons la volonté de pousser les choses vers le développement de la connectivité, nous avons l’accompagnement de la Banque Mondiale et du Fonds de développement du service universel (FDSU). Nous avons pu avancer et pensons que cette année, entre Mai et juin nous aurons un premier décaissement du FDSU qui va permettre que nous puissions avancer car il y a maintenant du concret, il y a beaucoup de choses qui vont se dérouler».

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USN : Félix Tshisekedi fixe le cap sur de nouveaux challenges !

C’est une promesse matérialisée. Dans un contexte bousculé par de multiples urgences à résoudre dont l’agression persistante de l’armée rwandaise et de ses supplétifs dans l’Est de la RD. Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, entend, aujourd’hui plus qu’hier, placer au-devant de la scène l’Union Sacrée de la Nation, cette Plateforme née de la scission de la coalition FCC-CACH et dont il est la Haute Autorité politique. Déjà, tout récemment, lors d’une grande rencontre, tenue à la Cité de l’Union Africaine, c’était un Félix Tshisekedi plus ferme qui avait annoncé un paquet de nouvelles mesures devant mettre fin à une sorte d’inertie constatée dans le fonctionnement de sa famille politique.

Une passivité qui survient à un moment particulier de l’histoire qui, normalement, devrait susciter une mobilisation totale, à l’interne, auprès de tous les sociétaires de l’USN, dans une dynamique d’efforts concertés, pour parvenir à des solutions qui puissent, effectivement, répondre aux aspirations profondes des populations, sur l’ensemble de l’étendue du territoire national. Mais, surtout, dans la partie Est du pays, victime d’un plan d’occupation injuste des envahisseurs, du reste, identifiés comme étant le Rwanda et ses partenaires du M23/AFC. Pour le Chef de l’Etat, c’est donc une ère nouvelle qui doit commencer. En nommant de nouveaux membres au niveau du Présidium de l’Union sacrée, qui compte, depuis ce week-end, une quarantaine de membres, il lance un message clair à l’action.

La nouvelle configuration de l’Union sacrée présente de sérieux ajustements. Plusieurs figures majeures de la sphère politique de la RDC ont signé leur entrée dans le présidium. C’est le cas de Samy Babibanga, Jean-Lucien Bussa Tongba, Jacques Kyabula, Guy Loando, Fifi Masuka, Pius Mwabilu, Guylain Nyembo, Gentiny Mbaka Ngobila, Lambert Mende ou encore Julien Paluku. Après cette restructuration, reste à savoir si Félix Tshisekedi va enchainer avec ses consultations en vue de la formation d’un Gouvernement d’union nationale, comme il l’avait, lui-même, promis à la Cité de l’UA, devant l’Union sacrée de la Nation.

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