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Kinshasa : Gentiny Ngobila met en garde contre toute tentative de spoliation de la maison communale de Kalamu

La parcelle de la maison communale de Kalamu est visée, depuis belle lurette, par une tentative de spoliation. Des individus avec à la tête une dame se faisant passer pour la propriétaire d'une partie de la parcelle abritant les bureaux de la municipalité de Kalamu, est allée sur le terrain pour déguerpir certains services de cette commune. Soutenue par des services de la police et du parquet qui l'accompagnaient, elle a réussi à ériger un mur pour délimiter la partie qu'elle réclame.

Kinshasa : Gentiny Ngobila met en garde contre toute tentative de spoliation de la maison communale de Kalamu
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Dans le cadre de la concrétisation du projet ‘’Kelasi’’ La Fondation Liliane Iranga octroie 50 bourses scolaires aux enfants démunis

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Dans le cadre de la promotion de l’accès de la jeune fille à l’école, la Fondation Liliane Iranga, a procédé à la remise des bourses d’études à 50 jeunes filles ainsi qu’à la distribution des kits scolaires à plus de 500 enfants démunis. La cérémonie s’est déroulée ce jeudi 17 août au chapiteau du collège Boboto dans la commune de la Gombe.

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Création d’une classe moyenne à travers le digital UNIKIN : Patrick Onoya suggère la mise en place d’un pool numérique exclusif

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Patrick Onoya Tambwe, stratège en investissement et lobbyiste, suggère la création d’un pool numérique exclusif, lequel va réunir tous les étudiants de l’Université de Kinshasa, qui seront intéressés d’entreprendre dans le numérique et, même, ceux d’autres Universités de la ville-province de Kinshasa. Cette initiative, à son avis, entend stimuler la création d’une classe moyenne congolaise, tel que le veut le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Il l’a dit au cours d’une conférence-débat ce vendredi 18 août 2023, tenue à la faculté de l’économie, à l’Unikin.

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Du 18 au 27 août 2024 à l’espace Food Arena : Kinshasa abrite la 3ème édition du festival Congo Food Week contre la faim en RDC

La promotion de l’art culinaire fait partie de politique adéquate pour booster l’entrepreneuriat dans le secteur de la restauration et aussi pour lutter contre la faim en République Démocratique du Congo. C’est dans cet esprit que Congolicious Fondation organise la 3ème édition du Festival Congo Food Week, qui ouvre ses portes à la population du 18 au 27 2023, à l’espace Food Arena, sur le boulevard du 30 Juin, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa.  

Dans un entretien accordé à la Presse, Manassé Mbala, Chargé de communication du projet, a fait savoir que Congo Food Week est un festival culinaire qui lutte contre la faim en RDC. Désormais, ce festival est organisé chaque année par ‘‘Congolicious Fondation’’ pour collecter des fonds afin de venir en aide aux personnes touchées par la faim. « Les bénéfices du Congo Food Week seront destinés dans les actions de lutte contre la faim et tous ses contours en République Démocratique du Congo. C’est ça notre objectif principal », a-t-il souligné.

Place à la promotion de l’entrepreneuriat dans le secteur culinaire

Pour les organisateurs, cette troisième édition se penche automatiquement sur l’entrepreneuriat dans le but d’accompagner les entrepreneurs congolais qui ont des projets innovants et viables dans le secteur de la restauration.

« L’organisation met en avant les acteurs congolais du secteur alimentaire. Ce festival ouvre à la population un nouvel accès à la culture Congolaise plus précisément dans le secteur culinaire et fait rayonner leur dynamisme à faire changer les choses pour le bien-être de tous », a indiqué le responsable de communication du Festival.

Et d’ajouter : «« Notre mission est de vendre une image positive de la République démocratique du Congo dans le secteur culinaire et de l’entreprenariat. La vision est de voir des nouveaux restaurants détenus par les Congolais émerger à Kinshasa. Notre festival met en exergue le concept de ces entrepreneurs sur toutes les plateformes digitales. Cette politique leur donnera l’occasion de présenter leurs projets en présentiel au grand public durant la semaine de l’évènement proprement dit. Congo Food Week aspire à devenir la vitrine des chefs, restaurants, artisans et producteurs alimentaires congolais ». 

En termes d’activités, le festival prévoit plusieurs activités qui se résument autour d’un programme alléchant afin de permettre au public de découvrir encore la quintessence de ce projet. 

« Ce programme commence par le food court pour le renforcement des restaurateurs nationaux. Il est prévu également des expositions et découvertes des spécialités, ventes et dégustation des menus et autres produits du terroir, des conférences sur la nutrition, des ateliers interactifs. Il y a aussi du live cooking avec des chefs congolais, dans un espace attrayant sur les thématiques culinaires, avec les enjeux de société et d’ambiance festive », a annoncé Manassé Mbala.

Un festival fédérateur pour le bien-être

Ce festival culinaire vise à s’inscrire parmi les initiatives fédératrices de solidarité et de bien-être de toute la population de la RDC.

Pour ce faire, la Fondation sensibilise également la population sur l’existence de la malnutrition, de l’insécurité alimentaire et sur la collecte des Fonds pour mener le combat contre la faim, qui constitue un grand fléau pour le pays.

« L’idéal est de se positionner comme le premier festival culinaire du pays », a conclu la voix autorisée de Congo Food Week, invitant le public à venir nombreux pour découvrir l’art culinaire congolais dans toute sa diversité.

Il faut noter que l’édition 2022 du festival Congo Food Week a connu un succès attrayant et époustouflant qui renseigne un bilan positif avec 10 ateliers, 20 restaurateurs et producteurs locaux, plus de 2000 festivaliers pendant six jours des activités. La saison a été sanctionnée par un geste d’assistance alimentaire apporté à plus de 1200 déplacés dans le Nord-Kivu, plus spécifiquement dans le site des déplacés de Kanyarutchiya.

Jordache Diala

 Du 18 au 27 août 2024 à l’espace Food Arena : Kinshasa abrite la 3ème édition du festival Congo Food Week contre la faim en RDC
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A travers la Culture, les arts et les sports en RDC, Malafi Niamba lance le projet « Mwindeur Crossroads » pour l’engagement citoyen des jeunes

La culture, les arts, les sports et les loisirs, vecteurs de l’engagement citoyen pour la jeunesse en République Démocratique du Congo est le thème d’une conférence organisé par la Maison Mwindeur, dans la commune de N’djili à Kinshasa.

Pour son initiateur, cette conférence s’inscrit dans le cadre d’activation du projet « Mwindeurs Crossroads » qui est un carrefour d’apprentissage et de partage sur les différents métiers du secteur culturel pour le développement communautaire durable. ‘‘La culture, les arts et le sport sont des secteurs d’activités qui boostent les jeunes à être citoyens responsables’’, a précisé son Malafi Niamba, Entrepreneur culturel et Promoteur de la ‘‘Maison Mwindeurs, au cours de son exposé.

Il a signifié que cette thématique trouve tout son l'intérêt et toute son essence dans la mesure où elle permet de renforcer et valoriser le potentiel de la jeunesse congolaise dans ces trois domaines.

« La culture, les arts, le sport et les loisirs, vecteurs d’engagement citoyen permettent de révéler une conscience culturelle et sociale de jeunes préoccupés et mobilisés, autour des questions environnementales, de genre et de droits humains », a-t-il souligné. 

Et de poursuivre : « le projet Mwindeus Croossroads se présente comme une aubaine pour apprendre et encadrer les jeunes artistes et femmes, en leur faisant bénéficier des différentes formations, entre autres : les langues et civilisation ; la Communication et marketing ainsi que la Création artistique et technique ; ainsi que d’autres disciplines sportives. Notre souci est de renforcer en capacités les acteurs socio-culturels et accompagner la promotion de la culture comme vecteur de changement pour le développement des communautés ».

Pour les organisateurs, l’objectif de ce projet thème est d’offrir aux jeunes une perspective d’avenir en termes d’épanouissement socio-culturel.  

« Le développement du secteur socio-culturel constitue un enjeu majeur à la cohésion sociale et à l’épanouissement du jeune. Le secteur contribue à repositionner le jeune en tant que force positive et acteur du changement », a martelé Malafi Niamba.

Et d’ajouter : « N’djili est la commune pilote pour démarrer ce projet Mwindeus Croossroads qui vient d’être à ce jour lancé et qui va prendre fin le 19 septembre 2025 ».

Une centaine des participants (vieux et jeunes) ont assisté aux exposés du panel qui a été composé des experts en entrepreneuriat socioculturel et sportif venus de Kinshasa et de Brazzaville.

Jordache DIALA

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Culture : le festival pour la promotion de l’art culinaire annoncé du 18 au 27 août à Kinshasa

La troisième édition du festival pour la promotion de l’art culinaire, « Festival Congo Food Week » aura bel et bien lieu du 18 au 27 août à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo. Ces assises se veulent un cadre de lutte contre la faim et d’accompagner les entrepreneurs congolais qui ont des projets innovants et viables dans le secteur de la restauration.

«Le Festival Congo Food Week est une initiative qui vise à lutter contre la faim en République démocratique du Congo. Elle va se dérouler pendant une semaine à l’espace Food Aréna, sur le boulevard du 30 Juin, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa. Ses retombées financières seront affectées à une organisation spécialisée dans la lutte contre le problème de malnutrition », a indiqué Manassé Mbala, responsable de communication dudit Festival, avant toutefois d’ajouter : « L’événement est non seulement un rendez-vous des gourmands mais aussi une rencontre des philanthropes. Il ouvre à la population un nouvel accès à la culture Congolaise plus précisément dans le secteur culinaire et fait rayonner leur dynamisme à faire changer les choses pour le bien-être de tous».

A l’en croire, la troisième édition de ce festival se penche sur l’entrepreneuriat dans une optique divertissante et engagée. Le but étant celui d’accompagner les entrepreneurs congolais qui ont des projets innovants et viables dans le secteur de la restauration. Congo Food week aspire à devenir la vitrine des chefs, restaurants des artisans et producteurs alimentaires congolais.

Par ailleurs, cette activité est aussi une occasion primordiale de vendre une image positive de la République démocratique du Congo dans le secteur culinaire et de l’entreprenariat. « La vision est de voir de nouveaux restaurants détenus par les Congolais émerger à Kinshasa. Le festival Congo Food Week met en exergue le concept de ces entrepreneurs sur toutes les plateformes digitales. Cette politique leur donnera l’occasion de présenter leurs projets en présentiel au grand public durant la semaine de l’évènement proprement dit », a signifié Manassé Mbala.

Au menu, plusieurs activités sont prévues lors de cet événement, entre autres : le Food court pour le renforcement des restaurateurs nationaux ; des expositions et découvertes des spécialités ; vente et dégustation des menus et autres produits du terroir ; des conférences sur la nutrition ainsi que des ateliers interactifs.

Signalons que la dernière édition du festival Congo Food Week a été organisée en 2022. Elle a connu 10 ateliers avec la participation de 20 restaurateurs et producteurs locaux et plus de 2000 festivaliers pendant six jours des activités. Elle a été sanctionnée par un geste d’assistance alimentaire apporté à plus de 1200 déplacés de Kanyarutchiya dans le Nord-Kivu.

Ronsard Malumalu

Culture : le festival pour la promotion de l’art culinaire annoncé du 18 au 27 août à Kinshasa
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Quand la coiffure révèle l’identité de la femme congolaise

La coiffure fait partie des éléments de la beauté d’une femme. Avoir une belle coiffure est une nécessité. La coiffure détermine l’identité d’une femme. Une coiffure révèle l’identité réelle d’une femme.

Jadis les femmes avaient des modèles de coiffure plutôt simple et surtout moins coûteux. Aujourd’hui, avec la révolution de la modernité et la nouvelle génération, les femmes ont tendance à copier les modèles de coiffure venus d’Europe, d’Amérique … Chaque femme a ses préférences en ce qui concerne les modelés de coiffure. Il y a celles qui préfèrent les cheveux afro (cheveux naturels), les autres aiment les tresses avec les mèches ou encore des perruques (kabelo) de plus en plus populaires chez les femmes congolaises.

Plusieurs femmes et surtout les jeunes filles ne lésinent pas sur les moyens pour avoir des kabelos de qualité qui peuvent coûter jusqu’à 200$ Us.

Le choix de coiffure dépend d’une personne à une autre selon ses moyens financiers, ses goûts, sa profession, sa religion, son université pour les étudiantes (certaines universités ont des règles concernant la coiffure des étudiantes pour éviter l’extravagance et l’esprit de concurrence… exemple de l’université catholique du Congo).

Toutes les femmes sont belles, mais chacune d’entre elles à son modèle qui la rend diffèrente des autres et unique en son genre. Faire le choix d’une coiffure décente et propre valorise la femme.

Lesline Kapinga

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Prolifération des églises de réveil dans la ville de Kinshasa : entre la richesse et le royaume de Dieu

Depuis un certain temps, les églises de réveil ne cessent de se multiplier. Ce qui fait que sur certaines avenues, on peut aisément compter 4 à 5 églises qui poursuivent pourtant le même but à savoir, la quête du lucre, la recherche du salut …Plusieurs interrogations sur leurs motivations spirituelles, scientifiques, sociales et économiques.

Après entretien avec quelques pasteurs et fidèles de ces églises, trois constats : sur le plan spirituel, c’est le fait des croyances et des dons ou encore onction du pasteur. Un autre pasteur affirme que son appel au ministère, c’est Dieu. On ne devient pas pasteur du jour au lendemain par sa propre volonté.

Sur le plan scientifique, la compréhension et l’interprétation de la bible, la lecture est universelle, mais la compréhension et l’interprétation dépend d’un pasteur à un autre.

Celui qui est appelé à être pasteur doit faire des études de théologie, de bibliologie …pour mieux appréhender le mystère de Dieu et de comprendre la bible afin d’éviter des interprétations lacunaires. La mauvaise interprétation de la bible peut détourner les âmes des croyants et créer des divisions dans l’église et dans des familles des fidèles.

Sur le plan social : chaque personne a ses préférences, sa logique, sa manière de voir les choses, sa façon de comprendre… ce qui fait en sorte que tel fidèle s’attache à telle église ou à un tel pasteur pour multiple raisons. Ce phénomène est à la base de la pollution sonore.

Sur le plan économique, ces églises sont considérées comme des entreprises. L’argent fait même partie des raisons principales de la multiplicité des églises. Les pasteurs s’enrichissent et les fidèles de plus en plus pauvres, ils construisent des immeubles et les fidèles louent…

«A la fin des temps, il y aura de faux prophètes», prévient la bible. Parmi ces pasteurs, il y a de vrais mais aussi, de faux qui deviennent pasteur pour s’enrichir et gagner leur vie. Le gouvernement congolais doit agir pour stopper cette hémorragie spirituelle.

Lesline Kapinga

Prolifération des églises de réveil dans la ville de Kinshasa : entre la richesse et le royaume de Dieu
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Kinshasa : les embouteillages, quelle solution ?

Les incompréhensions et les disputes sont le quotidien des conducteurs kinois. La circulation dans la capitale Kinshasa a toujours été un véritable casse-tête. Malgré la construction des saut-de-mouton dans quelques grandes artères, la situation reste la même. Que peut bien être la solution face à ces trafics ? D’aucuns s’interrogent.

« Les conducteurs indisciplinés ne connaissent pas le code de la route », estime un kinois. « Et on se rend compte que malgré les dispositions prises par le Chef de l’Etat de créer les sauts de moutons, la situation ne s’arrange pas totalement. Les agents de la police routière ne font pas correctement leur travail et ils apparaissent au lieu des embouteillages juste après que la situation se dégénère et il y a aussi la corruption d’une autre part », renchérit-il.

Par ailleurs, la population lance un cri d’alerte aux autorités compétentes afin qu’ils trouvent les précautions nécessaires à prendre pour lutter contre le désordre des routes. «Que l’Etat puisse prendre des dispositions pratiques pour que la circulation ne soit plus un casse-tête pour la population congolaise», plaide un congolais.

Pelendo Dorcas Joyce

Kinshasa : les embouteillages,  quelle solution ?
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