Seuls 7 syndicats sur 40 en compétition ont obtenu des sièges après les élections syndicales à l’Office Congolais de Contrôle. La nouvelle délégation syndicale, qui à un mandat de trois ans, a été officiellement installée ce mardi 8 août 2023, dans une ambiance chaleureuse. C’était au siège social de l’OCC sis commune de la Gombe, en présence des différentes autorités, cadres et agents de cet établissement public. Coup de chapeau à la Direction Générale de l’OCC qui n’a pas hésité de mettre à la disposition du bureau de vote central et local tous les moyens nécessaires en vue d’organiser ces élections sociales.
Les résultats telles que publiées ont classé la Confédération Syndicale du Congo, CSC, menée par M. Shiro, en première position.
A l’occasion de cette cérémonie de remise-reprise, le Directeur Général de l’OCC, M. Etienne Tshimanga, a présenté ses vives félicitations et fructueux mandant au Président de la Délégation syndicale et tous les délégués. Au terme d’une élection transparente, démocratique et apaisée, il a rassuré que durant ce mandant, l’accent devra être mis sur la collaboration et un partenariat qui privilégient l’intérêt supérieur de l’OCC, dans le strict respect des textes légaux et règlementaires.
A en croire le DG Tshimanga, dans les pays Anglo-Saxon, des organisations syndicales collaborent et font des propositions à l’employeur pour le développement et la bonne marche de l’entreprise. De cette manière, elles obtiennent facilement leurs revendications syndicales.
Une occasion pour lui d’inviter tous les membres de la délégation à donner le meilleur d’eux-mêmes pour faire rayonner cette organisation en acceptant de travailler comme des partenaires, avec un esprit ouvert et une collaboration franche.
«Nous vous exhortons à plus d’engagement pour le respect de l’objet social de l’établissement, à veiller aux intérêts de l’Office et de la masse travailleuse afin de construire une paix sociale durable», s’est-il exprimé.
A son tour, le Président de la Délégation syndicale installée, M. Shiro, a rassuré qu’au cours de leur mandat, ils vont travailler en étant proches des travailleurs sans distinction de sexe, de religion et sans appartenance syndicale et dans le respect mutuel, dans un esprit d’écoute, de tolérance, d’échange pour l’intérêt de l’OCC et de tous.
Dans le même ordre, il a pris l’engagement, d’une part, de faire respecter des textes légaux et règlements régissant le code du travail pour une justice distributive et la paix sociale.
Et d’autre part, un partenariat responsable, basé sur le respect des documents juridiques. Il a profité de cette occasion pour annoncer dans les prochains jours le dépôt d’un cahier des charges qui sera articulé essentiellement sur les conditions des travailleurs sur le plan administratif, de l’exploitation financière et logistique.
Il a rappelé aux travailleurs l’amour du travail bien fait, mais aussi il les a interpellés à bannir la mentalité du moindre effort de sorte à ne pas réduire les résultats attendus au sein de la société.
Le conseiller du cabinet et représentant du Ministre du Commerce à cette cérémonie, a félicité la Direction de l’Office qui a prouvé à suffisance que la synchronisation entre la masse laborieuse et le conseil d’administration, la direction générale est possible.
Dans ce cadre, il les a conviés de continuer sur cette percée harmonieuse de gouvernance qui fixe la portée de l’Office vers un avenir radieux et garantissant les bonnes conditions de ses travailleurs.
Niclette Ngoie
All Stories
Anzor Alem commence sa carrière sur les écrans au milieu des années 2015. D’abord, cantonné à la télévision, il apparaît dans une multitude de productions Congolaises (Baby Boy of House, Tozoom, Ima) devenant un habitué des seconds rôles. Son talent commence à être repéré (il joue dans un film : Lubumbashi) mais, il se fait surtout connaître à partir de 2022. Pendant deux ans, il interprète Crover Tomas ‘'Tozoom'’, l’un des principaux Explorateurs de matière première, un film d’exploration acclamée par la critique.
«Conflits et guerres au Congo des Grands-Lacs. (1965 à nos Jours) », tel est le titre du nouvel ouvrage de Jean Kambayi Bwatshia, Professeur émérite et actuel recteur de l’Ifasic.
Paru cette année, ce livre se veut être un ouvrage retraçant les conflits qu’a connu la RDC depuis l’accession de Mobutu au pouvoir jusqu’à l’actuel mandat de Félix Tshisekedi.
S’il était en vie, le pauvre Donald-Wilfried Wasongolwa aurait totalisé 25 ans le 2 du mois de juillet qui vient de se clôturer. A l’époque du Maréchal Joseph-Désiré Mobutu, c’était la date de l’ouverture de la Foire de Kinshasa. A 25 ans, toutes choses restant égales par ailleurs, le jeune Wasongolwa aurait déjà terminé ses études universitaires, soit en Droit, soit en Economie ou soit en Sciences politiques et, pourquoi pas en Communication ?
Le 1er août est une journée où l’on rend hommage, chaque année, aux parent morts ou vivants. Les congolais se sont alors recueillis ce mardi 1er août 2023, dans différents cimetières de la ville de Kinshasa plus particulièrement au cimetière de la Gombe, qui jusqu’à ce jour, est devenu un rituel pour arranger et nettoyer les tombes des êtres disparus.
A Kinshasa, certaines familles ont honoré les mémoires de leurs proches décédés en organisant des visites aux cimetières pour l’entretien des sépultures le 1er août 2023.
Mardi 1er août, tout Kinshasa a été en effervescence, cap vers les cimetières, toutes destinations confondues : qui à Kimbaseke, qui à Mbenseke, qui à la Nouvelle cité, qui à la Nécropole de la N’sele… , chacun pour rendre hommage à ses parents disparus.
La Nécropole de la N’sele, dite Entre Terre et Ciel, a été l’une des plus vivantes en termes de nombre de visiteurs.
Parmi les familles trouvées sur place, il y avait celle du député national, l’honorable Eddy Iyeli.
Monsieur Valerien Mudoy est administrateur Directeur Funéraire de la Nécropole de la N’sele. Mardi 1er août, comme tous les autres premiers jours du huitième mois, a été pour lui une journée d’intenses réceptions des familles venues de tous les coins de la capitale, rendre hommage à leurs illustres ‘’disparus’’, inhumés sous le sol de la nécropole dont il est le conservateur des monuments funéraires.
L’homme s’est dit heureux de voir les familles ‘’éplorées’’ retrouver les tombes de leurs parents décédés dans une parfaite conservation, avec une remise à neuf jamais vécue ailleurs.
Des tombes disséminées dans un ordre parfait à travers un enchevêtrement de rues bien tirées au cordeau et étalées sur plus de 14 hectares compartimentés en plus de 25 quartiers, tous dans un état de propreté hors pair. L’idée, à en croire Monsieur Mudoy, c’est pour des sépultures à la hauteur de ces illustres personnes qu’ils reçoivent encercueillées.
Voilà ce qui justifie le sens de l’écriteau gravé sur le fronton de l’entrée de la Nécropole: ‘’Rien ne révèle mieux l’âme d’un pays que ses cimetières’’, une minute de silence pensive signée Bertrand Beyern, un auteur français, que l’ADF Valérien Mudoy a réussi à paraphraser au pied de la lettre.
Ce qui précède confirme la position légendaire qu’occupe depuis son érection la Nécropole de la N’sele, à savoir : entre terre et ciel.
Saint-Germain Ebengo
Kikwit : le RECIC lance la mobilisation de l’électorat et forme plus de 40 ‘’animateurs de terrain’’
(Par Badylon Kawanda)
La problématique des élections pour un avenir radieux continuent à faire couler beaucoup d’encres et des salives en République démocratique du Congo (RDC). Beaucoup d’organisations tant de la société civile que celle de liées à la politique ainsi que des partenaires se mobilisent et mettent la main à la pâte.
C’est dans cette optique que le Réseau d’éducation civique au Congo (RECIC), une des plates-formes d’éducation civique ayant plus de 40 structures de la société civique au pays et en provinces a procédé, il y a quelques jours, au lancement des activités de la mobilisation de l’électorat.
La cérémonie y afférente a eu lieu dans la concession de l’UNAF (Union nationale des femmes) dans la commune de Kazamba. Des autorités politico-administratives, policières ainsi que plusieurs autres invités ont réhaussé de leurs présences cette cérémonie. Le tout autour d’un thème dûment choisi à savoir : ‘’Mobilisation de l’électorat pour un processus électoral démocratique, crédible, apaisé et inclusif en RDC Horizon 2023’’.
Les termes de référence de cette activité reconnaissent que les élections constituent un des piliers de la démocratie qui permet au peuple de choisir librement des hommes et des femmes capables de bien gérer la ‘’Res publica’’ (La Chose publique) au profil de la population à la base pour un avenir radieux.
«Il s’agira de mener une campagne d’infos-sensibilisation de la population de Kikwit sur la prévention et la gestion des conflits avec pour finalité d’améliorer la qualité des votes, faire participer les électeurs à toutes les opérations de vote, à prévenir et gérer les conflits en véhiculant les messages de paix et de cohésion sociale», précise le même document.
C’était une occasion pour que Charlotte Lula, maire adjointe de Kikwit, puisse éveiller la conscience des structures de la société civile à cet effet.
«Veuillez noter que lors des élections il y a toujours des contestations et des tensions, des gens crient à la tricherie, à la fraude etc. Nous voulons un processus électoral où le peuple s’implique. C’est pour cela que je demande au RECIC une sensibilisation de grande envergure à la base pour une gouvernance participative», a déclaré la Maire adjointe.
Lors d’une mini-conférence de presse, Rayomond Kitako, chef d’antenne du RECIC – Kiwilu y est revenu avec force détail. A la question de savoir la motivation qui a incité le RECIC à initier cette activité, Kitako a été clair.
«Depuis plus d’une décennie la RDC s’est investie dans le processus de sa démocratisation qui constitue la voie au développement durable. Il y a eu l’organisation de trois échéances électorales 2006, 2011 et 2018. Mais, pendant l’organisation de ces processus électoraux, et après proclamation des résultats provisoires par la CENI, définitifs par la cour constitutionnelle, les voix se sont élevées et plusieurs manifestations ont été organisées », a-t-il fait savoir.
Quant à elle, Delphine Ntanga, cheffe d’antenne CENI Kikwit a fait un état de lieu du processus électoral dans sa juridiction. Pour sa part Roger Masawu, chargé des programmes a présenté le contenu du projet de sensibilisation.
Formation de plus de 40 ‘’animateurs de terrain’’
Afin de mener à bien ces activités de sensibilisation de la population à la base, le RECIC a organisé un ‘’atelier de mise à niveau’’ qui s’est déroulé hier à l’IFAK (Institut facultaire de Kikwit).
Il s’agissait de renforcer les capacités des animateurs de terrain sur le ‘’rôle et la mission d’un animateur de terrain’’ ; ‘’la CCC (Communication pour le changement de comportement) et ses composantes’’ ; ‘’l’approche en matière de la communication pour le changement de comportement’’ ; ‘’quelques techniques pour la CCC’’…
Il sied de signaler que cet atelier de mise à niveau a permis aux animateurs de terrain de faire des exercices pratiques afin d’assimiler les matières reçues.
L’Université Catholique du Congo, UCC, a officiellement clôturé, lundi 31 juillet 2023, l’Année Académique 2022-2023. Dans son discours, l’Abbé Léonard Santedi, Recteur de l’Université, a fait étalage de quelques réalisations entreprises au cours de l’année Académique. Une cérémonie marquée notamment, par la proclamation des résultats par faculté et collation des grades académiques mais également l’admission à l’éméritat de trois professeurs.
A en croire l’Abbé Léonard Santedi, cette année académique était placée sous le signe de la Fraternité, une orientation donnée par Monsieur Marcel Utembi, grand chancelier de l’Université. C’est dans ce contexte qu’il a indiqué que le travail a été fait en synergie «afin d’honorer les orientations données par Monsieur Marcel Utembi, notre grand chancelier qui, à l’ouverture de cette année académique, a rappelé que la bonne santé de notre université réside dans un travail concerté mené en toute fraternité, solidarité et complémentarité avec franche collaboration et respect mutuel».
L’édition 2023 de la soirée Election Miss Francophone Afrique aura bel et bien, ce dimanche 6 août à l’Hôtel Memling, à Kinshasa. Cet événement consacré à la promotion de la beauté féminine africaines et aux valeurs de la francophonie connaîtra la participation d’une dizaine des candidates venues des différents pays africains. La quintessence du projet Miss francophone, l’organisation de la soirée et la particularité de cette énième édition sont les angles développés par son initiateur Dechris Kabeya alias ‘‘Dechris Business’’, au cours d’une interview exclusive accordée au journal La Prospérité. Le patron de ‘‘Dechris Business Agency’’ a saisi l’occasion pour exprimer son indignation vis-à-vis du gouvernement congolais qui n’a apporté qu’une caution morale, comme soutien à l’organisation. Et pourtant, ce concours Miss francophone Afrique constitue un événement de taille pour auréoler la clôture des 9èmes Jeux de la Francophonie dont les lampions vont s’éteindre également dans la même soirée dominicale dans la Capitale congolaise. Découvrons le promoteur de Miss Francophone Afrique :
La Prospérité : Pouvez-vous expliquer brièvement l’histoire de l'élection Miss francophone Afrique ?
DECHRIS KABEYA : Le projet Miss Francophone Afrique a été créé en 2002. C’est une initiative de votre humble patriote congolais, Dechris Kabeya Tupemuni, qui est également le créateur de la toute première et la plus grande agence de formation et encadrement des mannequins en République Démocratique du Congo. Dechris Business Agency qui existe depuis 1989, est la structure organisatrice de l’Election Miss francophone Afrique à Kinshasa. La première édition de la soirée gala Miss francophone s’est déroulée en 2005 à l’Hôtel Intercontinental avec comme lauréate Christelle VUANGA, actuellement Députée nationale. L'élection Miss Francophone Afrique a pour objectif de mettre ensemble les filles des pays francophones d'Afrique. Son but est de promouvoir les valeurs féminines, la culture, la démocratie ainsi que la langue française.
La Pros : Quelle est la particularité de l'édition 2023 ?
DK : La particularité de cette édition, est que nous avions voulu l'organiser en marge des 9 èmes jeux de la Francophonie afin de lier à l'utile à l'agréable. La soirée Election Miss francophone Afrique est confirmée pour le dimanche 6 août 2023 au salon Virunga de l'hôtel Memling. Elle intervient en marge de la clôture des Jeux de la Francophonie. Toutes les dispositions sont prises pour accueillir cette compétition qui va permettre au continent de découvrir la plus belle femme de la beauté francophone de l’année. Outre l’élection des candidates, il y a un défilé de mode et une exposition touristique et culturelle. La soirée sera agrémentée par les groupes musicaux traditionnels et modernes de la RDC.
La Pros : Combien de nations vont participer à cette édition à Kinshasa ?
DK : Nous aurons une dizaine de pays, notamment : L'île de Mayotte, le Congo Brazzaville, la RDC, le Cameroun, la Côte d'Ivoire, le Mali, il y a deux candidates Ougando-congolaise, ainsi qu'une belgo-congolaise. Dans l’ensemble, 18 candidates au total vont concourir pour la couronne. La République Démocratique du Congo est majoritaire en tant que pays organisateur.
La Pros : Quelle est la cagnotte réservée à la lauréate qui remportera la couronne ?
DK : S’agissant de la récompense, je vous souligne qu’il y aura plusieurs cadeaux surprises pour la fille qui sera élue Miss francophone Afrique 2023. Chaque sponsor va proposer et dévoiler son cadeau avant le verdict final au cours de la soirée. A part ça, le comité organisateur offre une enveloppe d’argent en espèce dont le montant est équivalent à 1000 dollars américain pour chaque édition ; Outre les différents cadeaux, la Miss participera à une compétition internationale de beauté aux Etats Unis d'Amérique. Tandis que la première dauphine participera à l'élection Miss panafricaine NAIADES au Bénin.
La Prospérité : Quel est l'apport du gouvernement congolais à l'organisation de cette soirée ?
Dechris Kabeya : Aucun soutien de l’Etat congolais. Je peux dire jusque-là rien ! A part la caution morale comme toujours. Nous avons entrepris des démarches auprès des autorités de tutelle mais en vain. Nous avons décidé de nous contenter de nos propres moyens bien qu’ils soient maigres afin de défendre et promouvoir la culture, le tourisme et les valeurs féminines de notre pays. Donc, je vous assure que la soirée va bien se passer. Merci à tous les partenaires privés et sponsors qui ne cessent de nous accompagner dans l’avancement de ce projet.
Propos recueillis par Jordache Diala
Chaque année, en République démocratique du Congo, l’on célèbre, le 1er août, la journée dite commémorative des morts et des parents. Cette journée vise notamment à rendre hommage aux êtres disparus. C’est aussi une occasion pour ceux qui n’ont pas connu ceux qui ont vécus au paravent, de faire honneur à leur mémoire. A Kinshasa, cette journée est perçue comme un rassemblement des familles pour honorer les défunts.
Pour certains, la journée du 1er août vise à laisser une trace de leur passage sur terre pour faire comprendre aux autres que malgré la disparition, il faut toujours prendre soin de ceux qui ont quitté la terre des hommes et, aussi, de penser à soi-même, à sa vie sur terre.
Après la visite des familles dans des cimetières, plusieurs avis ont été partagés notamment de ceux qui pensent qu’il y a une négligence au niveau de l’emplacement des tombes. Certains estiment également, ici le cas du cimetière de la Gombe, qu’il n’existe plus aucun passage laissé pour la circulation au sein du cimetière, ce qui oblige les personnes voulant visiter le cimetière de marcher sur le tombe des cadavres, ce qui est considéré comme un manque de respect.
Certaines tombes devenus presque impossible d’identifier par manque d’entretient, d’autres abandonnées et certaines en état de délabrement total, dû à l’abandon.
Ketsia Mbala
Le 1er août est généralement connu comme une journée réservée à la commémoration des morts et des parents partout dans le pays. Aujourd’hui, cette journée revêt de plus en plus une signification multidimensionnelle, car étant vue sous différents angles : dimension spirituelle ; culturelle ; sociale et scientifique.
Si pour certains, le 1er août est une journée douloureuse parce que consacrée en souvenance des proches disparus, pour les autres, par contre, cette journée est une occasion de joie et de reconnaissance à manifester à l’endroit des parents. D’un côté, ça se fête avec de larmes aux yeux, la douleur et la tristesse au cœur, la mémoire remplie de bons comme mauvais souvenirs lorsqu’il faut se souvenir des illustres disparus, d’un autre, c’est la joie de voir encore en vie, les parents dont l’amour est illimité.
Ce qui logiquement revient à dire, à tout point de vue, que la perception de cette journée n’est pas universelle, surtout lorsqu’il faut dire que ça dépend d’une culture à autre, d’un groupe d’individu à un autre et selon les croyances respectives.
En RDC, le 1er août, suivant la culture congolaise, les gens se rendent dans des cimetières pour nettoyer les tombes de leurs proches disparus, pleurer et passer des moments de recueillement ,…
Et du cotés croyances, certains s’y rendent pour faire des prières pour le repos des âmes de leurs regrettés frères, sœurs, pères … et il y’ a ceux qui y vont pour faire des rituelles selon la croyance qu’ils apportent a leurs coutumes…et ce, en dépit de la joie pour la fête des parents.
Lesline Kapinga