(Par Aimé Lambala, CEO, Expert en Haute finance, Macro-économique, Monétaire et Marchés Financiers, depuis Paris/France)
Quand la classe Politique et Economique Congolaise jubilent pour le 7 Milliards de $ de contrat renégocié, pour le groupement des entreprises Chinoises (GEC), le nouveau contrat renégocié en 2023, signé en 2024, équivaut à l’ancien contrat signé en 2008.
Notre nation vient de renégocier le contrat avec le Groupement des entreprises Chinoises (GEC), conclu en 2008, sous la direction du Président Joseph Kabila, à hauteur de 3,2 Milliards de $.
A l’avènement du nouveau Président Tshisekedi, avec le concours de plusieurs structures d’Etat entre autre l’Inspection Générale des Finances (IGF), a réussi à renégocier le contrat de 2008, à hauteur de 7 Milliards de $, le double, 16 ans après, renégocié en 2023 et, signé le 14 mars 2024, entre le GEC et la RDC.
Que gagne la RDC, du nouveau contrat renégocié ? Gagnant/Gagnant, selon les protocoles d’accord : des infrastructures, routes 5000 km, universités, Hôpitaux, voiries provinciales, bâtiments publics…….
Que gagne le GEC, l’exploitation de nos minerais, cuivre, cobalt…..durant une période de 15 à 17 ans, à travers la société SICOMINE. (GEC) 40 %, (SICOHYDRO) 60%. Le GEC, apporterait en RDC, toute l’organisation d’une structure du BTP, bureau l’étude, main d’œuvre qualifiée ou non, matériels de chantiers, équipements, besoins d’investissements, matériels de construction pour les gros œuvres, etc.
Selon le contrat renégocié, le GEC, devrait faire un premier décaissement de 600 à 700 Millions de $, courant 2024 pour financer les infrastructures de la ville Province de Kinshasa à travers les différentes communes de la capitale.
Comment le contrat renégocié peut-il se retourner contre la RDC ?
Durant toutes les étapes du contrat renégocié notamment : l’expertise, l’importation, l’exécution, l’organisation, les personnels, les commandes en chine, la quantité et quantité des gros ouvrages, pour l’importation en RDC, le GEC, est le seul responsable.
Pour la première partie du contrat : Seul le GEC, doit commander pour 600 à 700 Millions de $, les ouvrages et la main d’œuvre Chinoises, sans la contribution de la partie congolaise pour vérifier la quantité et quantité lors de la commande en Chine. Pendant cette période de transaction commerciale entre les entreprises chinoises et les fournisseurs chinois, la partie congolaise doit être exclue lors des transactions commerciales, donc une attentent illicite des Chinois (GEC et Fournisseurs Chinois), suite à la non-participation de la partie de la RDC au moment de la commande. En toute franchise, une entreprise est faite pour augmentation de sa croissance organique, donc à travers le GEC, les commandes de 600 à 700 millions de $ pour Kinshasa, ils importeraient de la Chine, le 1/3 de la commande, main d’œuvre comprise, suite à une CORRUPTION COMMERCIALE D’IMPORTATION. «Qui vérifie les prix à la commande commerciale et, la qualité et quantité à Kinshasa ? Le GEC ».
Dans le contrat Chinois renégocié de 7 milliards de $, le Congo doit perdre suite à une augmentation des prix d’importation artificiellement élevés comme procédé pour détourner tous les profits hors pays d’activité.
En retournement l’argent obtenu par la CORRUPTION COMMERCIALE D’IMPORTATION, lors des commandes en Chine, les fournisseurs d’entreprises Chinoises doivent par un COMPTE CENTRALISATEUR, faire les virements sur la facturation de la commande précédente du contrat renégocié, en Chine ou hors la Chine pour répartir entre les membres de l’organisation (GEC). Donc la partie congolaise va se contenter seulement des factures à l’importation falsifiée.
Il faut que les autorités congolaise, l’Inspection Générale des Finances (IGF), surveillent la refacturation, une facture commerciale de 70.000.0000 de $, avec le GEC, à travers plusieurs facturations ( bureau l’étude, main d’œuvre, matériels, autres peuvent attendre 700.000.000 de $, avec la méthode de la CORRUPTION COMMERCIALE D’IMPORTATION, après livraison à Kinshasa.
Les autorités doivent de nouveau faire attention l’Inspection générale des finances (IGF), lors des achats des matériels aux fournisseurs chinois, il faut forger la transaction, en surveillance de la réalité de la transaction ; l’expéditeur de la marchandise en Chine de matériels peuvent faire des réductions de la quantité pour le compte de GEC. (Complicité entre GEC et les fournisseurs Chinois).
Pour remédier à cette situation, de ne pas perdre la moitié de la somme du contrat renégocié de 7 Milliards de $, à 3 Milliards de $, la partie congolaise, imposerait le GEC, un centrale d’achat des commandes commun, avant toute pré commande et commande de toutes les achats durant la durée du contrat renégocié. Faire appel chaque fois à 3 fournisseurs indépendants aux choix des GEC et la RDC, pour éviter la CORRUPTION COMMERCIALE D’IMPORTATION.
Il faut que le GEC, fassent de profils en fonction de la qualité des produits et de prix, mais pas en recourant aux abus.
Le développement d’une nation et les promesses d’indépendance politique et économique ne se sont jamais réalisées. Pour des millions des congolais en slogans de nos dirigeants politiques, d’une vie meilleure, la responsabilité d’un tel échec échoit aux élites locales et aux entreprises étrangères au Congo, bien intentionnés, ceux qui ont dévalisé et pillent, ainsi que ceux qui favorisent le processus.
Nous avons en RDC, la falsification des prix de transactions internationales, pour sortir de l’argent du pays sans que personne ne soit au courant, complicité Banques commerciales et la BCC. Falsification et la sous facturation des prix quantité et, qualité des minerais à l’exportation internationale (Cobalt, Cuivre, …).
Selon moi, en RDC, nous savons plus discerner ce qui est légal de ce qui l’est pas. Personne ne méprise plus les gens qui gagnent leur argent illégalement par de moyens illicites. Si nous ne résolvons pas notre soif d’argent individuel sale, nous ne trouverons aucune solution permettant de soulager la pauvreté. L’inégalité dans les pays pauvres peuvent trouvé des voies de sortie pour la population démunies, la croissance et l’efficacité ne se résoudront plus par les volontés politique, mais par une révolution sans faire confiance aux dirigeants des partis politiques en Afrique.
La corruption qui ruine notre pays la RDC, les efforts de l’Inspection générale des finances ( IGF ), porte une lumière et une solution proche, mais buté par la suivie et l’exécution judiciaire. La plus grande corruption revient plus aux haut fonctionnaires publics (Ministères, DG, Députés, Sénateurs, Gouverneurs, étrangers ). L’abus d’une charge publique en vue d’un gain privé, soudoiement, vol d’argent et bien du Trésor public, octroi de licence, exonération truquée, achats de votes (Gouverneurs, sénateurs, députés ), est condamné.
Les grandes conséquences de la corruption pour le développement de la RDC
Lutter contre la corruption est un exercice du haut en bas : pour réussir, il se doit d’être. Avant les actions anti corruptions puissent agir à des niveaux inférieur, les hautes autorités ne doivent rien se reprocher et répondre de leurs actes en justice. Tant que les sommets sont corrompus ou que l’on croit qu’ils le sont, une approche dite l’équilibre ne donnera pas d’avantage aux résultats. Tant que les haut placés sont corrompus, rien de ce que l’on croira que l’on fera réduire la corruption aux petits fonctionnaires des paliers inférieurs ( municipalités, policiers, militaires, congolais ), ne parviendra à juguler la corruption.
La corruption aggrave la pauvreté des congolais et la disparité sociale dans le Quintile et l’argent qui fuit annuellement la RDC est le multiple du total de l’argent à la disposition du cinquième du bas, ou même à peine égal à l’argent à la disposition du quintile du revenu, réduisent les revenus des impôts du pays, restreignent les dépenses de santé et d’éducation, salaire de fonctionnaires, ( militaires ), découragent l’investissement étranger direct, freine la création de nouvelle entreprise, redirigent l’argent public dans les commissions occultes, augmentation de la fraude des dettes sur les pays. L’argent sale qui sort illégalement du pays vers l’étranger contribue à endetter notre pays de milliards de $ pour de laissés pour compte.
La réussite d’une nation aux blanchiment, corruption, ne se mesure pas par les déploiements des règles, mais par la somme de dollars ( $ ), acquis frauduleusement que l’on empêchera de quitter le Trésor à l’étranger ou en interne. L’encouragement de facilitation l’entrée d’argent illégale de l’étranger est simple : La réception de cet argent profite aux USA et Europe, les étrangers préfèrent mettre leurs argent à cause d’une sûreté avec garanti.
L’argent sale retiré des centaines de milliards de $, des pays non occidentaux pour les placer aux pays riches est d’un demi-trillion de dollars par an. S’élevant à des Trillons logés en permanence dans des dépôts, propriétés, bourses, USA, UE, ASIE, l’autre flux circule entre les pays occidentaux eux-mêmes et les paradis fiscaux. Chaque année USA, récupère par leurs Banques 250 Milliards de $, sans traçabilité, fraude et évasion en provenance de pays pauvres ( Asie, Afrique, autres ), ( journalistes d’investigations internationales).
Durant plusieurs années l’administration Américaine, Ministère de l’économie et des finances, recevaient de l’argent provenant de n’importe quelle source pour combler l’écart dans la Balance des paiements du pays. Cette pratique est terminée avec Clinton.
Les grandes puissances favorisent l’importation des capitaux, il n’y a pas tentative des luttent plus dures cela réduirait la fuite d’argent et priveraient les banques Américaines, Européenne en dépôts. Mais il y a des pressions contre les effets lobbyistes.
Les hommes Africains, après avoir amassé illégalement l’argent public continu toujours a volé ?
C’est suite à la stimulation quotidienne qui alimente leur égo, semblable à un enfant des rues avec une intelligence plutôt médiocre et dénué d’estime de soi et la kleptomanie, indispensable à la conception du pouvoir de l’autosatisfaction.
ALS FINANCE CIF,
Aimé Lambala
CEO
Expert en Haute finance, Macro-économique, Monétaire et Marchés Financiers
Paris/France